ROSE AMERYS
Sexe : féminin
Surnom : Rose c'est assez court
Groupe : citoyen
Métier : conseillère conjugale autoproclamée. Officiellement marchande (vend des fruits & légumes sur la place marchande).
Orientation sexuelle : elle n’y a jamais pensé ; les romances des autres l’intéressent plus que ses propres histoires d’amour.
Particularité : peut faire plus jeune que son âge et le vit relativement bien.
CUPID'S CHARM
FONCTIONNEMENT
> Son pouvoir altère temporairement les émotions négatives et amplifie les émotions positives. Dans le premier cas ; l’effet principal est d’apaiser - réduire l’intensité d’émotions négatives (comme la colère ou la tristesse), ce qui aide généralement les gens à se calmer. Dans le second cas ; une personne dans un état émotionnel neutre ou assez heureux verra ses émotions positives intensifiées.
> L’activation du pouvoir dépend de l’état émotionnel de Rose. Si cette dernière se retrouve en proie à des émotions négatives ou se trouve dans un état émotionnel assez neutre ; le pouvoir n’aura pas d’effet puisqu’elle est seulement capable de transmettre que des émotions positives.
à noter que Rose ne maîtrise pas encore bien l'activation de son pouvoir ; celui ci s'active souvent contre sa volonté.
> L’intensité du pouvoir dépend de la proximité avec une personne. Son pouvoir agit dans un rayon de 3 mètres (approximatif) mais se révèle beaucoup plus efficace si la personne se trouve près de Rose.
> La durée de l’altération dépend du temps passé sous l’effet du pouvoir. Celui ci reste actif tant que Rose remplit les conditions d’activation ; les effets restent donc également actif durant cette période. Ces derniers peuvent se prolonger jusqu’à une heure ou deux (maximum) après s’être éloigné de Rose.
Rose peut également, à de plus rares occasions, altérer des émotions liées à un souvenir : c’est une sorte d’effet secondaire du temps passé avec elle sous l’emprise de Cupid’s Charm.
> Si une personne se remémore un souvenir alors qu’il est sous l’influence du pouvoir de Rose, les émotions liées au souvenir en question peuvent se retrouver altérées. Un souvenir triste peut alors perdre toute sa dimension mélancolique.
En revanche, Rose ne peut rien faire pour aider la personne à retrouver les émotions d’origines du souvenir. Cet effet secondaire ne disparaît avec l’éloignement ou même la durée. Pour autant, ça ne veut pas dire que le souvenir et les (nouvelles) émotions qui y sont liées vont restées figées. La personne sous l’emprise du pouvoir peut retrouver les émotions originales liées à ce souvenir ou encore développer une émotion autre ; mais ce processus dépend uniquement de la personne concernée et des actions qu’elle met en place pour changer sa situation.
Par exemple : une personne peut se souvenir d’un événement qui l’avait plongé dans une colère profonde en se disputant à nouveau avec la personne présente dans ce souvenir.
PRÉCISION :
> ayant pris conscience qu’elle était doté d’un tel pouvoir assez tardivement, Rose est encore loin d’avoir appris à le maîtriser. Il faudrait pour ça qu'elle arrive à mieux contrôler ses émotions.
Rose c’est cette petite silhouette sur laquelle se dessinent des traits fins ; ses couettes dans le vent, dentelle, rubans et autre ornements. Des couleurs pâles jusqu’au blanc, Rose évoque la douceur de la tête aux pieds. Coquette et d’une carrure qui lui enlève facilement quelques années lorsqu’on la voit pour la première fois. Ca l’arrange bien, elle qui est du genre à profiter des choses que lui offre la vie, aussi minimes soient t-elles. Il faut dire qu’elle la porte bien, son allure d’enfant sans défense - encore plus lorsqu’elle peut en tirer profit. Rose ne partage pas l'élégance de la fleur avec laquelle on l’associe ; loin de là. Trop loin des contes de fées, des rêves de princesse qu’elle a vite abandonné - elle se voudrait aventurière mais Rose n’a aucune qualité semblable au courage, à la bravoure, c’est à peine si elle sait tenir une épée. Alors elle se contente de courir dans les plaines, dans les rues pavées ; les gestes amples, les yeux rivés vers le ciel - loin d’être du genre à se laisser marcher sur les pieds, c’est plutôt elle qui écrase les gens. Rose c’est un bonbon trop sucré, une peste aux ailes d’ange incapable de voler - elle a trop à faire sur terre, trop de gens à embêter. Et pourtant on la voit souvent vagabonder seule aux heures perdues de sa journée, comme si rien ne la retenait, sans rien ni personne - elle se débrouille. Mais c’est plus fort qu’elle, son désir ardent d’aller vers les autres la pousse sur des chemins sinueux, à la limite du danger. Rose n’a pas peur, clairement pas assez. Elle est la fougue de la jeunesse libérée, livrée à elle même et se reposant un peu trop sur ses atouts. Qu’ils soient physiques ou magiques ; Rose a clairement de quoi se sentir en confiance et surtout de quoi s’amuser. Rose est le genre de cupidon à éviter ; le genre de psy à mettre très vite en confiance et à l’écoute pour de mauvaises raisons… Un secret professionnel inexistant et une curiosité insatiable, pour elle qui voit la vie des autres comme de potentiels ragots. Les pages de son journal intime noircies par diverses confessions ; toujours de la bouche des autres, et pas un mot sur sa vie. Du haut de sa courte existence, elle n’a pas encore le recul ni la maturité nécessaire pour comprendre que tous les maux de coeur ne trouvent pas réponse au bout de ses doigts. Mais ces souvenirs envolés sont un mal pour un bien, aussi agréable qu’un jour où on ne pense à rien ; Rose est là pour que les autres se sentent bien, c’est sa mission de cupidon maudit - déposée sur terre avec son sourire fleuri. |
Histoire
Le dos tourné, des silhouettes qui s’éloignent vers l’horizon ; voilà de quoi se compose son quotidien. Même enfant, elle est déjà grande et prête à assumer sa routine ; débrouillarde - sur ses deux jambes qui la portent un peu partout : de la terre des champs, sur le parquet de la maison et jusqu’aux pavés de la ville. Une enfant qui a le temps de s’ennuyer, mais ses parents lui ont appris à aider, elle qui n’a jamais su rester en place. Sans même qu’on lui ordonne c'est elle qui met de l’ordre un peu partout : les étagères rangées, la poussière balayée sans oublier les fruits et légumes qu’elle transporte jusqu’à la place marchande.
Treizes années passées et déjà le nez dans les affaires, hors des livres faisant l’école buissonnière à sa façon ; pour Rose, rien de plus normal que d’aider. Elle joue les marchandes, suivant les pas de sa mère - approchant d’en devenir une à son tour. Ses pas résonnent dans les rues piétonnes, l’echo des passants, l’odeur s’échappant de chaque bâtiment ; tout l’enivre, sourire aussitôt arrivé sur son visage.
Elle est loin de regretter ses années passées hors de l’école. Seule, elle a un peu appris à lire et écrire - et loin d’elle est l’envie d’aller plus loin. Rose préfère sentir l’air rafraîchir son esprit, passant son temps dehors préférant sentir son corps se mouvoir plutôt que son cerveau se durcir. Certains diront qu’elle est simplette, à la limite de la bétise mais c’est peut être sa recette qui rend son sourire contagieux - infecté par la pureté et prête à envahir l’espace de ceux qui croisent sa route. Si Rose est bien indépendante pour son âge, elle se refuse la solitude.
De sa voix vive et son obsession presque maladive pour les autres, elle se sent exister - son reflet dans les yeux d’un autre, même le temps d’une journée. D’une certaine façon, Rose se débrouille pour ne manquer de rien, nouant des liens avec facilité, elle a ça dans le sang sans que rien ne lui paraisse étrange, ni à elle où ses parents ; sa capacité à transmettre son sourire et à ne pas se faire détester dès le premier instant. Rose s’est contenté de vivre avec sa chance de son côté, voyant les visages défiler, les rencontres se multiplier… Il lui aura fallu prendre le temps de se poser pour constater le charme qui planait sur elle.
Le vent est doux, les jours calmes et Rose toujours dans les prémices de l’adolescence qu’elle partage avec un garçon un peu plus vieux que son âge ; leur relation n’a cependant rien d’une romance. Juste et un prof du haut de ses seize années d’expériences et son élève assis à une même table, à un même banc lorsque les beaux jours pointent le bout de leur nez. Il s’est confié la dure tâche d’apprendre à Rose toutes ces choses qu’elle ne sait pas et ne veut pas savoir - ce n’est pas la plus motivée de la classe mais dans leurs moment partagés ils n’interrompent rien. Même lorsque la discussion part à la dérive, animée par la curiosité de Rose sur son sujet favoris : la vie d’autrui.
Sourire greffé au visage, elle pouvait voir l’agacement perçant les yeux de son ami et professeur face à ses questions hors sujet. Mais elle observait, sans cesse - et finissait par remarquer les changements sur son visage comme un livre qui se réécrit, comme si Rose influençait son récit. Mais Rose se refuse de penser de telles choses, elle se refuse souvent à penser. La tête vide, seulement prête à écouter ce garçon se confier.
Les jours passaient et Rose avait appris des choses ; aussi bien dans les ouvrages que sur ses lèvres - il avait des histoires tristes, le regard amer que Rose se contentait de suivre. Élève aussi silencieuse qu’elle le pouvait, seulement lorsqu’elle voulait. Parvenant à ressentir la mélancolie en écoutant, elle se contentait de répondre par son sourire ; souhaitant transpercer le ciel et les nuages gris autour de son ami. Rose ne pouvait rien faire, c’est ce qu’elle pensait.
Les jours s’écoulent et les temps changent, la lueur dans les yeux du garçon brille maintenant d’une autre lumière. Et Rose ne comprend pas. Ses yeux la trompent, elle aimerait ne pas le voir partir - passant derrière les plaines comme un coucher de soleil, il s’en va du côté de la nuit. Lui qui lui avait pourtant parlé de sa situation familiale compliqué, les souvenirs durs à porter qui le poursuivaient jusqu’ici s’étaient essouflés - oh non. Ils étaient toujours bien présent mais camouflés, altérés par quelque chose.
Rose a tenté de le retenir, elle a parlé jusqu’à être à bout se souffle ; mais sa décision était prise. À l’entendre ressasser son passé, sa description des choses ne correspondait plus vraiment à ce qu’il avait pu confier à Rose. Comme ci sa mémoire était teinté ; la rancoeur et la mélancolie effacée de ses souvenirs.
Libre de ce poids, il partait.
S’éloignant dans un horizon flou, il s’en allait rejoindre ses parents. Pour le pire ? cette pensée hantait les nuits de Rose depuis ce jour. Elle observait de sa fenêtre chaque jour le chemin qu’il avait emprunté, dans l’espoir d’un retour. Les mois s'écoulent sans qu’il ne revienne, Rose se fait une raison et se fait plus petite. Elle hésite, sautille à reculons, le sourire moins sincère qu’avant. Rose en est maintenant persuadée, sa chance n’existe pas. Il n’y a qu’un charme qui l'entoure en permanence et qu’elle ne contrôle pas. Un pouvoir si peu semblable à celui de ses parents ; une anomalie - et elle se voit ainsi, la peur au fond des yeux. Alors Rose garde ses distances, loin de tous les problèmes qu’elle pourrait causer. Elle se rend sur la place marchande sans un mot, les yeux au ciel pour ne plus lire les visages passants. Et le soir, sur le point de s’endormir il lui arrive d’ouvrir un livre qu’il lui avait apporté. Elle n’en comprends pas tous les mots et abandonne souvent mais un conte plus marquant que les autres vient s’ancrer dans son esprit. Rose rêve alors de princes, de dîner romantiques sous la supervision d’une fée qui serait là pour aider l’amour à prospérer. Elle demande à sa mère le lendemain quel nom peut porter ce genre de fée. «une conseillère conjugale ?» probablement le nom le plus compliqué que Rose ait appris. Une appellation qui redonne du sens au charme qui l'entoure. Une chance qui la suivra quoi qu'il arrive - autant en faire quelque chose de bien.
Et le temps lui donnera les réponses, elle apprendra à vivre avec. L’existence courte, du haut de ses seizes années passées Rose ignore encore beaucoup de choses.
Rose a relevé la tête de ses livres, de ses pensées moroses - sa curiosité confrontée à la vie des gens qu’elle croise à nouveau. Rose s’est confié la mission de les rendre heureux ; elle joue un rôle dans le destin des amoureux, se refusant la solitude, se refusant la passivité. Rose a toujours su se rendre utile - d’une manière où d’une autre - et ce n’est pas prêt de changer.
Source de l'avatar : Madoka Kaname -- Puella Magi Madoka Magica
- Code:
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]PUELLA MAGI MADOKA MAGICA[/b], Madoka Kaname @"Rose Amerys"
Comment avez vous découvert le forum ? top site !
Disponibilités : variable mais j'essaye de passer au max
Quelques mots sur vous ? riche beau gosse et j'en passe, impossible de faire semblant de rien voir quand la légende passe
Quelque chose à rajouter ? bonne nuit
Non j'bacon bienvenue ma petite fleur du bien... hâte de te voir bientôt en RP avec ce merveilleux perso!!!
(j'ai été séduite par tes ailes du désir en mode ninja...)
Bon courage pour ta validation, en esperant que tu te plaises par-minou ~
As-tu changé d'idée en cours de route ? " BG friqué " je vois pas trop où alors j'ai loupé un détail XD
Enfin, sinon je te valide Rose
Et pense a aller te faire recenser si c'est pas déjà fait !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil !
Nyx > Merci beaucoup héhé
et Atheas > Merci pour cette validation (too fast for me olala) le BG friqué c'est moi irl (je rigole bien sûr)
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