Rykroxa Eklips
Sexe : Tu es une femme, femme tu es.
Surnom : Ryk, Roxa, Rosa, qu'importe comment tu te prénommes, qu'importe ton prénom ou ton surnom.
Groupe : Aventurière.
Fonction/Rang/Métier/Spécialité : Corps-à-corps.
Orientation sexuelle : Tu aimes les hommes, bien plus que les femmes.
Particularité : Tu as de nombreuses cicatrices. Tu aimes plus que tout ton visage. Tu adores les sucettes, sauf celles à la fraise. Tu mordilles trop souvent tes lèvres. Et enlèves trop souvent tes ongles. Tu possèdes une bague qui ne te quitte pas. Une pomme rouge.
Souveraineté sur la lignée Grenat
Tu masses ton cuir chevelu. Grommellement. Tu mâches tes lèvres pleines et gercées. Tes lèvres d'un rose pale. Harmonie. Avec ta peau blanche poudreuse. Tu fixes. Le tableau. En face de toi. Un miroir se trouve au milieu. Tu regardes ton reflet. Tu passes ta main dans ta tignasse. Rose. Si improbable. Tu suis le contour de ton visage. Aucune imperfection sur ce beau visage. Rien. Tu touches le bout de ton nez. Aquilin. Se retroussant légèrement. Et tu regardes. Tes propres iris. Saphir. Aussi profond que ne l'es ton âme. Sans aucun doute. Tu poses ta main sur le miroir. Ta serviette tombe et révèle. De nombreuses cicatrices sur ton corps. Ton visage. Il ne reste que lui. Rien ne viens troubler sa beauté. Tu caches rapidement. Ce corps affreux. Que tu hais par dessus tout. Tranche. Tu baisses ton bassin. Tu fais un pas. En avant. Ton pied droit. Et tu te redresses. D'un coup. Ton bout de bois. Fendant l'air. Tu te remets en position. Une main derrière ton dos. Les deux pieds écartés. Au même niveau que tes épaules. Tu fermes les yeux. Tu écoutes. Le bruit. Des passants. Du vent. Des rires. Et des larmes. Tu fais le vide. En toi. Tu fais le vide. Entier. Tu attends. Cette goutte de sueur. Tu attends. Elle descend. Tombe. Paresseusement. De ton menton. Et tu tranches. Le vide. Il faut savoir attendre. Avant de frapper. Et tu continues. Cet exercice. Inlassablement. Acharnée. Il ne faut jamais te poser de questions. Jamais. Jamais. Il ne faut pas savoir ce que tu penses. Pourquoi ? Ta franchise. Tu ne comprends pas. Tu ne comprendras sûrement jamais. Même si on te le répète. Même si on t'insulte. On te mets plus bas que terre. Cela ne t'atteint pas. Mais tes mots. Tes paroles. Crues. Franches. Elles blessent. Profondément. Chacun et chacune. Alors, tu as fini par te taire. Ne pipant mot. Mais si on te pose. Une question. Une seule. Tu ne peux retenir ta langue. Ni tes lèvres. Ils le feront d'eux mêmes. Ils sortiront les mots que tu penses vraiment. Du fin fond de toi. Tu aimes. Tellement. Que les autres suivent tes ordres. Sans piper mot. Oui. Tu adores cela. Qu'on t'écoute. Et tu haïs. Qu'on te désobéisse. Si autoritaire. Si révoltante. Tu punis ceux qui osent se rebeller. Il n'y as que toi. Rien que toi. Au dessus des autres. Ainsi est ta façon de penser. Au diable les autres ! Ils sont tous faibles. Et minables. Tu ne peux compter que sur toi. Rien que toi. Toujours toi. Tu ne te décevras jamais. Tu prends un pantalon. Tu noues une ceinture à celui-ci. Des bottes hautes. Un simple maillot. Une veste pour te protéger. Un fourreau. Une dague. Ta bague à ton doigt. Tu attaches tes cheveux. En une queue haute. Et te voilà prête. A partir. Loin. Ou tout près. A ne pas rester. Dans cet appartement. Lugubre. Et seule. Non. Tu pars. Tu fermes à double tour cette cage. Tu y reviendras. Tôt ou tard. Tu le sais. Mais pour l'heure, tu profites. De l'extérieur. De l'air. Du beau temps. Et de ton boulot. |
Histoire
Qu'importe. Qu'importe ! Tu courrais. A en perdre haleine. Tes frères te suivaient. Et tu rigolais. Ton rire. Partant, loin, loin. Se mêlant avec le vent. Ils rigolaient. Aussi. Tu gravissais la colline. Elle n'était pas haute. Pour toi, elle était immense. Petite fille d'à peine six cristaux. Tu te pensais reine du monde. Reine de cette colline. Tu voulais y construire ton château. Que de rêves, petite fille !
Tu étais essoufflée. Tu avais atteints le sommet. Si fière de toi. Tu t'affalas. Sur l'herbe. Faisant l'ange. Voulant l'être. Ta mère était là. Tes frères étaient là. Tu étais si heureuse. Jusqu'au cri de ton frère aîné. Tu ouvris les yeux. Perdue. Ta mère criait. Ton frère criait. Tes frères hurlaient. Tu ne comprenais pas. Ils regardaient dans le ciel. Ton frère. Des plumes. Il volait ! Il volait réellement. Tu avais des étoiles. Pleins les yeux. Il avait des ailes. Des ailes d'une blancheur éclatante. Il montait si haut. Tu courrais. Pour essayer de le rattraper. Tu tendais ta petite main. Ses ailes disparurent. Ta mère te dépassa. Essayant de rattraper. Ton frère. Tu t'étais arrêter. Regardant sa silhouette.
Source de l'avatar : Luka Megurine - Vocaloid
Double compte ? Nop
Comment avez vous découvert le forum ? Par hasard !
Disponibilités : Cela dépend ! 5 à 8, voir 2 à 5 ?
Quelques mots sur vous ? Hum ... Je suis moi ?
Quelque chose à rajouter ?
Megurine Luka, bon choix <3 Ta fiche semble prometteuse, tu as une plume bien à toi. Hâte de lire la suite :>
Court début de fiche mais prometteur ! J'aime beaucoup ton style d'écriture, on plonge dedans :mouton:
Sinon si tu as des questions n'hésite pas, soit ici soit par MP
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