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L'étrange Noël des cerisiers [pv Athalia]
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Tu volais, emporté par la caresse du vent, acerbe et poignante qui te faisais balloter, toi, petite fleur décolorée, qui l’été passé refusait de mourir, toi dont l’hiver semblait ralentir la mort inexorable. Immaculé, fantomatique, tu étais une bien étrange pétale porté par le vent près de ce paradis pour les âmes perdues. Petit dragon de cerisier était ce la fin du voyage pour toi ? Un purgatoire pour ton âme décolorée qui attendait le repos bien mérité ? Tu t’écrasais au sol, sans un bruit, sans encombrer le sol ou la terre, roulant sur la terre sans soulever une once de neige ou de poussière, comme si tu n’avais pas de corps. C’est ça… Tu n’avais pas de corps. Tu n’étais qu’une âme errante à la recherche d’une main secourable.
Tu roulais encore et toujours, balloté comme un caillou, jusqu’à heurter quelque chose. C’est alors, étendu sur le dos, reprenant tes esprits et ton souffle, qu’un flash hanta ton esprit. Ton corps était étendu au sol, dans les profondeurs de la forêt, ton sang c’était mêlé à la neige pour former une poignante couverture neigeuse écarlate. Si ça avait été un rêve, il t’aurais surement captivé, mais tu savais maintenant faire la différence entre rêve et réalité. Tu n’étais plus ce sale gamin revanchard et égoïste de la caserne, tu étais désormais un aventurier et tu as su comprendre dompter ton pouvoir.
Et pourtant aujourd’hui malgré tes progrès tu gisais aux portes de la mort, dansant avec cette inconnue drapé de sa robe ténébreuse, perdant tes forces dans ce balais insensé, dont la fin signifierait… LA FIN ! Ainsi tu virevoltais, te laissant porter par l’espoir de trouver une issue favorable à cette valse endiablé. Le ciel, aujourd’hui d’un azure remarquable, se couvrit soudainement. Ton regard suivit la courbe de cette vallée, pointant étrangement vers toi, alors tu tombais sur deux lunes étonnement colorées. Ton esprit embrumé percuta alors la nouvelle réalité qui était tienne tandis que tu réalisais enfin ta position et ta situation.
-Des yeux !!! Es-tu un anges ? Tsss j’aurais aimée vous rejoindre plus tard !
Es tu vraiment sûr d’avoir compris ta situation ? Bon vu les circonstances et ton corps qui s’affaiblit de plus en plus. On peut te pardonner ce moment d’égarement. Heureusement que la demoiselle a eu une réaction que tu commences à bien connaitre qu’aucun ange omniscient n’aurait eu. Cette demoiselle n’était peu être pas un ange à proprement parler mais elle semblait être envoyée par Lucy, car elle seule pourras te sauver la mise. Au final, on pourrait dire que ce fut ton ange gardien.
-WOW… Dis-moi, ton père ne serais pas un voleur ?
NON, ZEL… On a pas le temps pour ta punchline clichée ! Tais toi et file tel le petit dragon envoutant que tu es vers ton corps, la demoiselle saura peut-être te sauver ou au minimum amoindrir ta souffrance avant la mort.
-Suis moi s’il te plait princesse, ma famille et moi on est bloqué dans la forêt, blessés… On c’est fait attaquer par des aventuriers braconniers, il faut que tu nous aides.
C’était en partie vrai. Disons que tu n’avais pas vraiment le temps de tout raconter sur le moment, il fallait se hâter avant que le jour ne se couche ou que le froid ne finisse par faire nécroser ta chaire. Bref, le miracle de Noel c’est maintenant ou jamais ! Mais la jeune femmes te suivrait elle vraiment dans la forêt au risque d’y risquer sa propre vie pour un pauvre animal doté de parole qui ne dis que des inepties ? Il le fallait !
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Feat. Zeldris Belir
Snowbell était affalée sur toi, réclamant caresses et autres marques d'affection, que tu t'empressais de lui offrir avec le plus tendre des sourires sur le visage. Ta petite étoile blanche te portait chance, comme la légende le disait. Depuis qu'elle était dans ta vie, tu avais pu revoir ta petite sœur. Bien que bouleversée, tu n'aurais pas pu souhaiter meilleur événement. Elle te manquait, et elle te marque encore aujourd'hui. Tu espérais de tout cœur avoir cette chance à nouveau, celle d'être en compagnie de Rhéa. Mais pour le moment, tu étais dans ton domicile faisant également office de refuge, et de pension. Tu n'avais pas de pensionnaire aujourd'hui, c'était donc une journée plutôt tranquille. C'était d'ailleurs la raison qui t'avait poussé à sortir pour prendre un brin d'air frais.
Tu aimerais pouvoir voler. Tu portais des ailes couvertes de plumes dorées mais elles ne te permettaient pas d'arpenter les cieux. Parfois, tu avait l'impression d'être un Ptidodo. Une créature ailée incapable de déployer ses ailes, contrainte à rester sur la terre ferme. Un jour Athalia, un jour tu pourras t'envoler et explorer les nuages, voir Aryon sous un nouvel angle. Tu gardais cet espoir en toi, quand bien même après vingt-deux années de vie tu n'avais pas quitté le sol une seule fois. Enfin, sauf en sautillant peut-être.
Rêvassant en marchant de manière nonchalante près de ton domicile, tu te dirigeais vers la grande forêt. Quelle ne fut pas ta surprise lorsqu'un petit dragon de cerisier errant était venu vers toi. Non, ce n'était pas sa présence qui te surprenait ; tu avais l'habitude de cette créature, tu en élevais, et tu en soignais à chaque semaine. Mais celui-ci semblait plus... fantomatique, plus virevoltant. Il n'agissait pas comme un dragon de cerisier comme tu avais l'habitude d'en côtoyer et surtout, surtout... Il avait prononcé des mots.
« Tu... tu peux parler ? »
Est-ce que tu venais de faire abstraction de tout ce qu'il venait de te dire ? Absolument. Justement parce qu'il venait de te le dire. Tu pouvais comprendre ce que les animaux te disaient, enfin... tu pouvais le ressentir, le deviner à force de les avoir près de toi, comme n'importe qui ayant un lien fort avec quelqu'un ou avec une créature. Mais de là a les entendre te parler, c'était hors de tes capacités, cela ne t'était jamais arrivé.
« A-Attends, es-tu vraiment un dragon de cerisier ? Je... J'essaye de comprendre... » Tu étais perturbée. Tu essayais de trouver une explication à la scène qui se déroulait devant tes yeux. Mais quelque chose te fit changer tes priorités... Il avait besoin d'aide, et il était en danger ? Ce n'était pas un piège, n'est-ce pas ? Puis, même si c'était le cas... Tu pouvais te défendre. Même si cela impliquait des procédures douteuses. Tu étais prête à le refaire. Tu n'avais pas peur de sombrer à nouveau dans une souffrance éphémère. De toute façon, tu possédais une potion d'insensibilité, et... Stop. Athalia, tu devais te ressaisir.
« Très bien, je vais te suivre... Mais... je ne suis pas une combattante et je ne possède aucun pouvoir offensif, je suis soigneuse. »
Aussi bien qu'il le sache avant de se faire des idées. Tu n'allais pas affronter des braconniers à toi toute seule. Tu en étais incapable, même si tu parvenais à corrompre ta personnalité. Tu avais beau cacher un profond sadisme dans tes plumes, tu étais seule, et tu n'avais pas le physique du guerrière.
Tu aimerais pouvoir voler. Tu portais des ailes couvertes de plumes dorées mais elles ne te permettaient pas d'arpenter les cieux. Parfois, tu avait l'impression d'être un Ptidodo. Une créature ailée incapable de déployer ses ailes, contrainte à rester sur la terre ferme. Un jour Athalia, un jour tu pourras t'envoler et explorer les nuages, voir Aryon sous un nouvel angle. Tu gardais cet espoir en toi, quand bien même après vingt-deux années de vie tu n'avais pas quitté le sol une seule fois. Enfin, sauf en sautillant peut-être.
Rêvassant en marchant de manière nonchalante près de ton domicile, tu te dirigeais vers la grande forêt. Quelle ne fut pas ta surprise lorsqu'un petit dragon de cerisier errant était venu vers toi. Non, ce n'était pas sa présence qui te surprenait ; tu avais l'habitude de cette créature, tu en élevais, et tu en soignais à chaque semaine. Mais celui-ci semblait plus... fantomatique, plus virevoltant. Il n'agissait pas comme un dragon de cerisier comme tu avais l'habitude d'en côtoyer et surtout, surtout... Il avait prononcé des mots.
« Tu... tu peux parler ? »
Est-ce que tu venais de faire abstraction de tout ce qu'il venait de te dire ? Absolument. Justement parce qu'il venait de te le dire. Tu pouvais comprendre ce que les animaux te disaient, enfin... tu pouvais le ressentir, le deviner à force de les avoir près de toi, comme n'importe qui ayant un lien fort avec quelqu'un ou avec une créature. Mais de là a les entendre te parler, c'était hors de tes capacités, cela ne t'était jamais arrivé.
« A-Attends, es-tu vraiment un dragon de cerisier ? Je... J'essaye de comprendre... » Tu étais perturbée. Tu essayais de trouver une explication à la scène qui se déroulait devant tes yeux. Mais quelque chose te fit changer tes priorités... Il avait besoin d'aide, et il était en danger ? Ce n'était pas un piège, n'est-ce pas ? Puis, même si c'était le cas... Tu pouvais te défendre. Même si cela impliquait des procédures douteuses. Tu étais prête à le refaire. Tu n'avais pas peur de sombrer à nouveau dans une souffrance éphémère. De toute façon, tu possédais une potion d'insensibilité, et... Stop. Athalia, tu devais te ressaisir.
« Très bien, je vais te suivre... Mais... je ne suis pas une combattante et je ne possède aucun pouvoir offensif, je suis soigneuse. »
Aussi bien qu'il le sache avant de se faire des idées. Tu n'allais pas affronter des braconniers à toi toute seule. Tu en étais incapable, même si tu parvenais à corrompre ta personnalité. Tu avais beau cacher un profond sadisme dans tes plumes, tu étais seule, et tu n'avais pas le physique du guerrière.
(c) TakeItEzy & Ellumya
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Aussi spectrale sois tu, immatériel ou inexistant, les choses se corsait pour toi, car ce vent glacial te fit frissonner. Etais ce l’approche de ton corps qui conférait à ton âme cet esquisse de sentiment et se sens aiguisé, ou étais ce le froid polaire de la mort venue t’accueillir toi, petite âme perdu dans ce monde. Les arbres s’allongeait terriblement à ton passage, de tel sorte que chaque troncs semblait être la botte noir et sales d’un géant prêt à nous écraser comme de vulgaires insectes. Le monde entier c’était mis à tourbillonner aux grès des vents, les flocons dansant avec les arbres dans une valse inhabituelles. Par ailleurs, tes paupières semblaient lourdes et vacillantes. Un sursaut, un voile noir et se brouillard neigeux et lumineux. Un sursaut, un voile noir et le visage de cette femme qui te poursuivait. Du calme, elle ne te chassait pas, c’était une soigneuse elle te l’affirmait. Un sursaut, un voile noir et… Rien d’autre.
-Sauve moi !
Tu avais disparu tel un spectre se jouant des humains, laissant la pauvre jeune femme seule, au milieu de la forêt enneigée. Peut être te prêterons nous une légendes à toi le fantôme tueur de soigneuse… Ou bien une chanson prônant l’égoïsme ? Mais est ce de ta faute si tu es trop faible pour la guider, trop faible pour lui répondre, trop faible pour lui demander de te sauver. Ton esprit avait enfin rejoins ton corps dans ce doux silence, ce mutisme propre à l’apocalypse, la fin de toute chose, la mort ! Enseveli sous un monticule neigeux, ton corps ne tremblait plus. Le froid l’avait complétement tétaniser, et ce manteau qui tantôt avait cautérisé ses plaies et limiter son saignement avait finir par le ronger et engourdir toutes ses fonction, seuls ton cœur battais encore tout faiblement sous son manteau immaculé. Seul lui se battait encore contre la faucheuse tandis que ce décors paradisiaque digne d’une peinture devenait ton tombeau !
Une rivière s’écoulait là, rompant le silence glaciale de la mort. Autour, un rassemblement de tronc laisser imaginer le havre de paix floral que devait être ce lieu au Printemps. Mais aujourd’hui ils étaient juste nu, et terriblement triste devant leur noir solitudes, ses cerisiers qui ne rêvaient que d’un miracle de Noel (Ou de Lucy car on la sait tous c’est dame chance qui distribue tout au début). Un étrange bruit attire ton attention Athalia, ou est-ce ce monticule dissonant qui le fait ? Curieux, n’est-ce pas ? Est-ce les vestiges d’une sculpture érigé par un passant ? Une aspérité naturelle ensevelie. D’ailleurs quel est donc cet animal qui semble creuser un trou dans le monticule ? Tu te rend vite compte, jeune fille, en approchant, que ce n’est point un rongeur ni un quelconque animal mais bien plus macabre découverte… Une main humaine dépassant à peine de ce monticule, qui après un étrange bruit de succion s’effondra sur lui-même et sur toi aussi !
On dit que la mort porte un voile noir mais aujourd’hui elle semble paré du blanc le plus pur, seulement taché par endroit de ses trace pourpres coagulé. Maintenant vous étiez deux pris dans l’attaque du froid, espérons qu’un miracle se produisent et que Lucy daigne faire refleurir la vie en ce lieux aujourd’hui si sombre et morbide.
~Désolé mon ange gardien, je t’ai fait tomber avec moi… Les cerisiers pleuront notre mort.~
Etais ce déjà la fin de l’histoire ?
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Feat. Zeldris Belir
Tu suivais la créature dotée de parole plus loin dans la forêt. L'hiver était bien là, il faisait froid et en ces lieux, ça se ressentait davantage. Heureusement, Snowbell avait une bonne laine pour se réchauffer, et toi, tu avais des vêtements appropriés. En plus, tes plumes faisaient office d'une couche de plus pour t'éviter de frissonner davantage.
Le dragon de cerisier aux allures de spectre semblait faible. Il avait l'air de pouvoir se volatiliser à n'importe quel moment, et... c'est ce qu'il fit. Il n'avait eu le temps que de te demander de le sauver avant de disparaître.
« Attends ! »
Il était parti. Il n'était pas mort non, il était juste... parti. Envolé, comme par magie. Tu ne comprenais pas. Ce n'était définitivement pas un dragon ordinaire, il cachait quelque chose de plus... mystérieux. Tu aurais pu rebrousser chemin, cela aurait pu être un piège, mais tu ne voulais pas l'abandonner. Il semblait d'une sincérité déconcertante, et ce malgré son absence de précision. Il était sans doute trop faible pour donner davantage d'explications. Alors tu continuais de marcher, là, sur la légère surface enneigé, contre le vent hivernal. Tu comptais bien découvrir la vérité.
Une vérité à laquelle tu ne t'attendais pas vraiment. Un monticule s'était dressé devant toi ; au début tu n'y avais pas porté attention, poursuivant simplement ta route comme si de rien n'était. Jusqu'à ce qu'il se mette à bouger et qu'une main humaine en sortit. Tu avais accouru, il était impossible que cette personne ne puisse survivre dans cet état. Tu avais tiré l'homme vers toi, délicatement pour ne pas le blesser davantage. Comment s'était-il retrouvé là ? Que diable avait-il pu faire pour être dans une telle posture ? Il était couvert de sang et il était presque inconscient. Tu savais ce qu'il te restait à faire.
« Ne t'en fais pas, tout va bien aller... »
Alors que la tête du jeune homme aux cheveux violacés s'étendait sur tes cuisses, tu laissais parler tes plumes médicinales. Passant du doré au noir, elles soignaient progressivement l'inconnu qui était gravement blessé. Presque toutes tes plumes y passaient, seulement celles près de tes oreilles avaient pu être épargnées. Cet homme venait de frôler la mort, et tu venais de l'empêcher de rejoindre la lumière éternelle.
Pendant qu'il reprenait conscience, tu détachais ces plumes telles des feuilles mortes, voyant qu'il n'y avait aucun danger à l'horizon pour le moment, et que tu n'avais pas besoin de te défendre. Il ne fallait pas que tu te mettes à gâcher ton travail en agressant ce pauvre jeune homme à nouveau, tu ne pourrais pas te le pardonner. Tes bras et ton dos étaient désormais dépourvus de plumes, et celles-ci disparaissaient petit à petit, un peu comme le dragon de cerisier tout à l'heure... D'ailleurs, ce garçon avait-il un lien avec cette étrange créature dotée de parole ? Tu allais sans doute en avoir le cœur net bientôt...
Le dragon de cerisier aux allures de spectre semblait faible. Il avait l'air de pouvoir se volatiliser à n'importe quel moment, et... c'est ce qu'il fit. Il n'avait eu le temps que de te demander de le sauver avant de disparaître.
« Attends ! »
Il était parti. Il n'était pas mort non, il était juste... parti. Envolé, comme par magie. Tu ne comprenais pas. Ce n'était définitivement pas un dragon ordinaire, il cachait quelque chose de plus... mystérieux. Tu aurais pu rebrousser chemin, cela aurait pu être un piège, mais tu ne voulais pas l'abandonner. Il semblait d'une sincérité déconcertante, et ce malgré son absence de précision. Il était sans doute trop faible pour donner davantage d'explications. Alors tu continuais de marcher, là, sur la légère surface enneigé, contre le vent hivernal. Tu comptais bien découvrir la vérité.
Une vérité à laquelle tu ne t'attendais pas vraiment. Un monticule s'était dressé devant toi ; au début tu n'y avais pas porté attention, poursuivant simplement ta route comme si de rien n'était. Jusqu'à ce qu'il se mette à bouger et qu'une main humaine en sortit. Tu avais accouru, il était impossible que cette personne ne puisse survivre dans cet état. Tu avais tiré l'homme vers toi, délicatement pour ne pas le blesser davantage. Comment s'était-il retrouvé là ? Que diable avait-il pu faire pour être dans une telle posture ? Il était couvert de sang et il était presque inconscient. Tu savais ce qu'il te restait à faire.
« Ne t'en fais pas, tout va bien aller... »
Alors que la tête du jeune homme aux cheveux violacés s'étendait sur tes cuisses, tu laissais parler tes plumes médicinales. Passant du doré au noir, elles soignaient progressivement l'inconnu qui était gravement blessé. Presque toutes tes plumes y passaient, seulement celles près de tes oreilles avaient pu être épargnées. Cet homme venait de frôler la mort, et tu venais de l'empêcher de rejoindre la lumière éternelle.
Pendant qu'il reprenait conscience, tu détachais ces plumes telles des feuilles mortes, voyant qu'il n'y avait aucun danger à l'horizon pour le moment, et que tu n'avais pas besoin de te défendre. Il ne fallait pas que tu te mettes à gâcher ton travail en agressant ce pauvre jeune homme à nouveau, tu ne pourrais pas te le pardonner. Tes bras et ton dos étaient désormais dépourvus de plumes, et celles-ci disparaissaient petit à petit, un peu comme le dragon de cerisier tout à l'heure... D'ailleurs, ce garçon avait-il un lien avec cette étrange créature dotée de parole ? Tu allais sans doute en avoir le cœur net bientôt...
(c) TakeItEzy & Ellumya
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Tu n’étais plus. Comme les couleurs, elles n’étaient plus. Censurés par ces ténèbres impalpables, enivrantes, qui tel un trou noir semblait avoir avalé la réalité elle-même dans son néant insondable. Toi, les couleurs, la vie, plus rien n’avait de sens, plus rien n’existait. Tout n’était plus qu’une particule dans ce monde invisible en perpétuelle expansion. « One is all and all is one » comme dirait certains alchimistes. Auraient ils donc percé le secret de ce monde insondable qui s’érige à la mort et ce dévoile comme un univers de ténèbres ? Peut-être… Ou peut être était ce simplement ton cerveau qui délirait devant l’imminence de ta mort et l’atrophie de toute tes fonctions vitales ? A quoi se raccrocher quand on ne croit en rien ?
Mais le plus hilarant vient au réveil, car oui, finalement quelqu’un a oser défier la mort pour te ramener du coté de la vie. Une jeune femme rayonnante, donnant sa foi et son âme dans ton rétablissement. Ton regard s’entrouvrit à peine, tu n’avais pas la force pour ouvrir un œil nouveau sur le monde et cette lumière aveuglante qui t’irradiais, t’aveuglait était ce la réflexion du soleil sur la neige ou la lumière nimbant cette ange venu te sauver. Tes yeux plissé avait aperçu sa longues chevelure rousse, ses petites oreilles pointu et son regard azure. Reprenant à peine connaissance, fixant son fixant son visage flou te dominant, tu avais murmuré faiblement :
-LU-LUCY…
Qui d’autre qu’une déesse ou un de ses envoyés pouvait te sauver ? Tu étais censé mourir… Qui donc oserait défier le destin et le réécrire si ce n’est une déesse ? A mesure que tes forces te revenais, la chaleur de son aura t’enveloppait et tu sentais ta vie s’accrocher à nouveau à ton corps comme ta main le faisait avec celle de la jolie Athalia. Puis alors que la soigneuse semblait avoir fini son œuvre et que tu te sentais renaitre enfin, la fatigue te terrassa et tu te laissais paisiblement endormir sur les confortable genoux de ta sauveteuse sans même avoir pus voir encore avec précision son doux visage ! Alors le petit dragons de cerisiers spectral refit son apparition dur l’épaule de la femme fixant un instant son propre corps inanimé puis sa patte invisible dans un automatisme pour comprendre s’il rêvait ou se promenait dans la réalité avec son pouvoir de projection astral. Pas de toute possible !
La petite créature que tu étais bondit alors dans le vide pour se mettre à flotter devant Athalia, au-dessus de ton propre corps gisant au sol. Cette vison avait fini par être banale et ne plus te choquer le moins du monde ! C’était même devenue un réflex différenciateur. Une petite discussion s’imposait !
-Alors euhm… Déjà merci Déesse Lucy ! Et pardon pour toutes ses années où je n’ai pas cru en vous et ce fantasme hérétique que je nourris depuis que j’ai gouté à euh… enfin voilà quoi… Faut dire que l’interdit c’est excitant alors le blasphème… Bref c’est pas le sujet, je m’égare ! Je me présente je m’appelle Zeldris et je suis aventurier ! Ça c’est mon corps et tu viens de me sauver, déesse ! Je t’en suis infiniment reconnaissant et à partir de ce jour je te prierais tous les jours et je porterais ta religion ! Bon par contre… Là je dors… Y a pas moyen que tu m’emmènes dans un lieu chaud que je puise me reposer ? On discutera en marchant…
Tu regardes le visage ampli d’incompréhension de ta déesse et la trouve si humaine que tu décides que tu peux t’adresser à elle en tant que tel :
-Tu te demandes peut-être ce que je suis Lulu ? Eh bien je pensais que tu le savais mieux que moi et que t’allais m’en apprendre plus sur mon pouvoir. Il semblerais que je sois un projection astral de mon esprit. Quand je m’endors mon esprit vagabonde hors de mon corps et ah oui je suis narcoleptique… GG pour le combo Lulu fallait y penser !
Pauvre Athalia… Déjà qu’elle s’était fatiguée pour toi il fallait qu’elle écoutes tes délires elle allait vraiment ce chopper un mal de tête la petite !
Mais le plus hilarant vient au réveil, car oui, finalement quelqu’un a oser défier la mort pour te ramener du coté de la vie. Une jeune femme rayonnante, donnant sa foi et son âme dans ton rétablissement. Ton regard s’entrouvrit à peine, tu n’avais pas la force pour ouvrir un œil nouveau sur le monde et cette lumière aveuglante qui t’irradiais, t’aveuglait était ce la réflexion du soleil sur la neige ou la lumière nimbant cette ange venu te sauver. Tes yeux plissé avait aperçu sa longues chevelure rousse, ses petites oreilles pointu et son regard azure. Reprenant à peine connaissance, fixant son fixant son visage flou te dominant, tu avais murmuré faiblement :
-LU-LUCY…
Qui d’autre qu’une déesse ou un de ses envoyés pouvait te sauver ? Tu étais censé mourir… Qui donc oserait défier le destin et le réécrire si ce n’est une déesse ? A mesure que tes forces te revenais, la chaleur de son aura t’enveloppait et tu sentais ta vie s’accrocher à nouveau à ton corps comme ta main le faisait avec celle de la jolie Athalia. Puis alors que la soigneuse semblait avoir fini son œuvre et que tu te sentais renaitre enfin, la fatigue te terrassa et tu te laissais paisiblement endormir sur les confortable genoux de ta sauveteuse sans même avoir pus voir encore avec précision son doux visage ! Alors le petit dragons de cerisiers spectral refit son apparition dur l’épaule de la femme fixant un instant son propre corps inanimé puis sa patte invisible dans un automatisme pour comprendre s’il rêvait ou se promenait dans la réalité avec son pouvoir de projection astral. Pas de toute possible !
La petite créature que tu étais bondit alors dans le vide pour se mettre à flotter devant Athalia, au-dessus de ton propre corps gisant au sol. Cette vison avait fini par être banale et ne plus te choquer le moins du monde ! C’était même devenue un réflex différenciateur. Une petite discussion s’imposait !
-Alors euhm… Déjà merci Déesse Lucy ! Et pardon pour toutes ses années où je n’ai pas cru en vous et ce fantasme hérétique que je nourris depuis que j’ai gouté à euh… enfin voilà quoi… Faut dire que l’interdit c’est excitant alors le blasphème… Bref c’est pas le sujet, je m’égare ! Je me présente je m’appelle Zeldris et je suis aventurier ! Ça c’est mon corps et tu viens de me sauver, déesse ! Je t’en suis infiniment reconnaissant et à partir de ce jour je te prierais tous les jours et je porterais ta religion ! Bon par contre… Là je dors… Y a pas moyen que tu m’emmènes dans un lieu chaud que je puise me reposer ? On discutera en marchant…
Tu regardes le visage ampli d’incompréhension de ta déesse et la trouve si humaine que tu décides que tu peux t’adresser à elle en tant que tel :
-Tu te demandes peut-être ce que je suis Lulu ? Eh bien je pensais que tu le savais mieux que moi et que t’allais m’en apprendre plus sur mon pouvoir. Il semblerais que je sois un projection astral de mon esprit. Quand je m’endors mon esprit vagabonde hors de mon corps et ah oui je suis narcoleptique… GG pour le combo Lulu fallait y penser !
Pauvre Athalia… Déjà qu’elle s’était fatiguée pour toi il fallait qu’elle écoutes tes délires elle allait vraiment ce chopper un mal de tête la petite !
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Feat. Zeldris Belir
Tout se déroulait beaucoup trop vite. Déjà, le blessé t'avait appelé Lucy. Oui, comme la déesse. Il te prenait pour la Déesse Lucy. Tu ne savais pas à quoi elle ressemblait, tu ne savais même pas si elle avait une véritable apparence... Mais tu n'avais pas l'air d'une déesse, et encore moins une déesse qui incarnait la chance. Cependant, c'était... touchant, comme remarque.
Le dragon de cerisier spectral avait réapparu, alors que le jeune homme s'était endormi sur toi. Une projection astrale ? Était-ce là son pouvoir ? C'était original, tu n'avais jamais rien vu de tel, c'était bien plus qu'une simple transformation.
« Z-Zeldris... Enchantée, mais... mais je ne suis pas Lucy. Je pense que tu me surestimes un peu trop... Je m'appelle Athalia, et je ne suis qu'une simple éleveuse. » Tu étais embêtée. Tu l'avais un peu arrêté dans son élan, mais tu n'avais pas besoin de connaître sa vie et ses péchés, cela ne te concernait pas, ce n'était pas à toi qu'il devait se confier. « J'ai pu te sauver parce que j'en avais la capacité, tu aurais pu mourir. Je suis soulagée que tu n'aies rien... » Tu soupirais doucement.
Le plus important en ce moment, c'était de constater son état de santé. Ses blessures étaient guéries et il allait bien. Il dormait comme une bûche... Mais le dragon fantomatique marquait un point, vous alliez devoir quitter cet endroit avant d'attraper froid. Ce n'était pas le moment de tomber malade.
« Tu... tu ne peux pas te réveiller ? C'est que... tu n'es pas aussi léger qu'une plume. Sans vouloir te froisser... »
Tu allais faire de ton mieux pour le traîner jusqu'à ton logis, mais ça n'allait pas être de tout repos, surtout pour tes pauvres muscles qui n'étaient pas faits pour supporter un autre être humain plus costaud que toi. Heureusement que Snowbell était là, même si elle n'était pas grande, elle tentait de t'aider au mieux. Elle était adorable, cette petite boule de laine immaculée.
« Donc... tu peux devenir un dragon de cerisier lorsque tu t'endors, c'est bien ça... ? C'est... fascinant. »
Si seulement il savait à quel point tu affectionnais ces petites créatures. Ce n'était pas pour rien que tu avais décidé d'en élever.
Le dragon de cerisier spectral avait réapparu, alors que le jeune homme s'était endormi sur toi. Une projection astrale ? Était-ce là son pouvoir ? C'était original, tu n'avais jamais rien vu de tel, c'était bien plus qu'une simple transformation.
« Z-Zeldris... Enchantée, mais... mais je ne suis pas Lucy. Je pense que tu me surestimes un peu trop... Je m'appelle Athalia, et je ne suis qu'une simple éleveuse. » Tu étais embêtée. Tu l'avais un peu arrêté dans son élan, mais tu n'avais pas besoin de connaître sa vie et ses péchés, cela ne te concernait pas, ce n'était pas à toi qu'il devait se confier. « J'ai pu te sauver parce que j'en avais la capacité, tu aurais pu mourir. Je suis soulagée que tu n'aies rien... » Tu soupirais doucement.
Le plus important en ce moment, c'était de constater son état de santé. Ses blessures étaient guéries et il allait bien. Il dormait comme une bûche... Mais le dragon fantomatique marquait un point, vous alliez devoir quitter cet endroit avant d'attraper froid. Ce n'était pas le moment de tomber malade.
« Tu... tu ne peux pas te réveiller ? C'est que... tu n'es pas aussi léger qu'une plume. Sans vouloir te froisser... »
Tu allais faire de ton mieux pour le traîner jusqu'à ton logis, mais ça n'allait pas être de tout repos, surtout pour tes pauvres muscles qui n'étaient pas faits pour supporter un autre être humain plus costaud que toi. Heureusement que Snowbell était là, même si elle n'était pas grande, elle tentait de t'aider au mieux. Elle était adorable, cette petite boule de laine immaculée.
« Donc... tu peux devenir un dragon de cerisier lorsque tu t'endors, c'est bien ça... ? C'est... fascinant. »
Si seulement il savait à quel point tu affectionnais ces petites créatures. Ce n'était pas pour rien que tu avais décidé d'en élever.
(c) TakeItEzy & Ellumya
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C’est gênant. Tu ne pouvais le nier, te livrer à la mauvaise personne, c’est… Gênant ! Tu as le chic pour instaurer le malaise auprès de la gente féminine. Un véritable don ou une malédiction que la déesse de la chance t’avais octroyé. Plus tu écoutais la demoiselle et plus tu sentais que tu n’était qu’un fardeau pour elle. Elle t’avais sauver et pourtant ta flemme légendaire te pousser à continuer de roupiller sur ses genoux sans qu’elle est une once de retour de karma de son acte bienveillant. Et pourtant elle ne comptait pas t’abandonner là. Athalia, c’était son nom, était vraiment une personne unique, la souveraine de l’attention, la déesse de l’empathie et le générosité. Quelque chose en toi te poussais à aduler la jeune éleveuse qui se donnait à fond pour ta survie. Tu ne pouvais rester là à te faire trainer et être ce déchet que tu te pleurais à être dans la caserne. Tu ne voulais plus encombrer personne et encore moins une si gentille femme. Une nouvelle fois ton esprit reprit sa place dans ton corps en un magnifique saut retourné.
-Ah ouai… Pour moi tu restes la réincarnation de Lucy ! Mais Athalia c’est très jolie alors c’est d’accord je vais t’appeler comme ça mon petit ange gardien !
C’est d’une voix un peu fait et rendu tremblotante par le froids que tu répond en te réveillant et en reprenant le contrôle de ton corps. Néanmoins encore faible, chancelant et tiraillé de fatigue tu restes pendu à l’épaule de l’éleveuse pour t’aider à marcher et garder le cap dans l’éveil. Elle sent bon, si bon… Son doux parfum picote tes narines et éveil un peu plus ton esprit embrumé. Tu ne saurais dire exactement quel odeur te plait tant dans la fragrance envoutante entourant la femme mais une chose est sure, elle t’ensorcelle !
-En dragon des cerisiers… En béhémot… A vrai dire je ne pense pas que j’ai une limite autre que celle de mon esprit ! Après tout c’est mon imagination et mes connaissances qui régissent mes rêves ! C’est pour ça que je ne sais jamais à l’avance en quoi je vais me transformer. C’est comme jouer à la loterie, parfois on gagne… Souvent on perd ! D’ailleurs tu habites loin ?
C’est vrai, je connaissais un peu le chemin pour me rendre chez elle, mais je n’avais toujours pas régler ce problème de proportion des distance et du temps entre mes rêve et la réalité. Disons qu’être un spectre et pouvoir léviter en traversant toute chose aide grandement au déplacement, là ou marcher était si long et fatiguant !
On tourne à droite ça sera plus rapide !
Voilà que tu savais mieux que la femme le chemin pour aller chez elle. Fait attention Zel !
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Blossom holiday
Feat. Zeldris Belir
La réincarnation de Lucy ? Ah non, clairement pas... Tu étais sans doute la demoiselle la plus malchanceuse sur terre. C'était à peine si tu commençais à avoir un semblant de vie normale. Lucy était la déesse de la chance, et non de la bonté. Peut-être étais-tu la déesse de l'empathie ? Non, tu n'étais pas une déesse. Si tu l'étais vraiment, tu aurais trouvé un meilleur moyen pour protéger ta petite sœur auparavant, et tu n'aurais pas eu besoin de te séparer d'elle. Enfin bref, évitons de se perdre dans de mauvaises pensées, veux-tu ? Il fallait se concentrer sur le sauvetage de Zeldris.
« Je ne pense pas être un ange gardien non plus. Disons seulement que... j'étais au bon endroit au bon moment. Peut-être as-tu raison, peut-être est-ce l'oeuvre de Lucy. Mais je ne suis pas comme elle, la chance et moi avons rarement été de paire. »
Inutile de déballer davantage ta vie. Zeldris avait repris conscience et maintenant, il t'aidait à le porter. Vu l'état dans lequel il était quelques minutes auparavant, il était parfaitement normal qu'il se sente encore faible. Tes plumes pouvaient guérir les blessures, et non donner un boost d'énergie, malheureusement. Il allait être remis sur pieds d'ici quelques heures sans doute, mais en attendant, il allait devoir se mettre au chaud. Son pouvoir quant à lui était intéressant, il se transformait en animal selon son sommeil, et ce n'était pas prévu à l'avance. Donc... le fait qu'il se soit transformé en dragon de cerisier n'était pas prévu. Était-ce là le destin ?
« Ton pouvoir est fascinant. C'est dommage que... que tu ne puisses pas le contrôler davantage. Ça ne doit pas être facile tous les jours... »
Si tu habitais loin ? Non, fort heureusement. Quelques minutes à pieds, tout au plus. Ce qui était une bonne chose, c'était ça qui avait fait en sorte que tu réussisses à le retrouver rapidement. Ton logis n'était pas très loin de la forêt, puisqu'il était à la frontière du village perché. C'était pratique, dans ce genre de situations... Situations que tu espérais ne plus avoir à revivre, ceci dit.
« Je... oui. Oui, c'est bien à droite. Comment tu... ? » Tu avais lâché le jeune homme au sol, légèrement paniquée. Il savait où tu vivais ? Mais... il venait de te poser la question. Alors comment... ? « Tu ne m'as pas espionné, hein... ? »
Non Athalia, tu étais bête. Il était venu à toi à l'aide de sa projection spectrale, il se souvenait sans doute de la route qu'il avait prise. Logiquement, tu étais près de chez toi lors de votre rencontre...
« P-Pardon... »
Tu avais attrapé son bras à nouveau pour qu'il puisse prendre appui sur ton épaule à nouveau. Le pauvre Zeldris, on peut dire qu'il avait été bousculé dans tous les sens aujourd'hui, en plus d'avoir frôlé la mort. Ce n'était pas sa meilleure journée. Autant faire en sorte que la suite se passe mieux.
« Je ne pense pas être un ange gardien non plus. Disons seulement que... j'étais au bon endroit au bon moment. Peut-être as-tu raison, peut-être est-ce l'oeuvre de Lucy. Mais je ne suis pas comme elle, la chance et moi avons rarement été de paire. »
Inutile de déballer davantage ta vie. Zeldris avait repris conscience et maintenant, il t'aidait à le porter. Vu l'état dans lequel il était quelques minutes auparavant, il était parfaitement normal qu'il se sente encore faible. Tes plumes pouvaient guérir les blessures, et non donner un boost d'énergie, malheureusement. Il allait être remis sur pieds d'ici quelques heures sans doute, mais en attendant, il allait devoir se mettre au chaud. Son pouvoir quant à lui était intéressant, il se transformait en animal selon son sommeil, et ce n'était pas prévu à l'avance. Donc... le fait qu'il se soit transformé en dragon de cerisier n'était pas prévu. Était-ce là le destin ?
« Ton pouvoir est fascinant. C'est dommage que... que tu ne puisses pas le contrôler davantage. Ça ne doit pas être facile tous les jours... »
Si tu habitais loin ? Non, fort heureusement. Quelques minutes à pieds, tout au plus. Ce qui était une bonne chose, c'était ça qui avait fait en sorte que tu réussisses à le retrouver rapidement. Ton logis n'était pas très loin de la forêt, puisqu'il était à la frontière du village perché. C'était pratique, dans ce genre de situations... Situations que tu espérais ne plus avoir à revivre, ceci dit.
« Je... oui. Oui, c'est bien à droite. Comment tu... ? » Tu avais lâché le jeune homme au sol, légèrement paniquée. Il savait où tu vivais ? Mais... il venait de te poser la question. Alors comment... ? « Tu ne m'as pas espionné, hein... ? »
Non Athalia, tu étais bête. Il était venu à toi à l'aide de sa projection spectrale, il se souvenait sans doute de la route qu'il avait prise. Logiquement, tu étais près de chez toi lors de votre rencontre...
« P-Pardon... »
Tu avais attrapé son bras à nouveau pour qu'il puisse prendre appui sur ton épaule à nouveau. Le pauvre Zeldris, on peut dire qu'il avait été bousculé dans tous les sens aujourd'hui, en plus d'avoir frôlé la mort. Ce n'était pas sa meilleure journée. Autant faire en sorte que la suite se passe mieux.
(c) TakeItEzy & Ellumya
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Tu haussais les épaules face aux paroles de la demoiselle. De là à dire que ton pouvoir est fascinant, tu ne saurais le dire. On s’habitue bien vite à ce que l’on possède et l’on désire souvent ce que l’on a pas. Pourtant tu aimes ton pouvoir, il t’a toujours permis de t’évader de ta réalité toi qui était enfermé dans un carcan militaire strict et un quotidien morose. A chaque fois que tes paupière était closes tu t’évadais, loin de ta cruelle existence. A chaque fois que tu fermais les yeux, tu étais libre ! Oui tu aimais ce pouvoir que nombreux bourrins aurait calomnier. Dormir était ton oasis, rêver, ton eau miraculeuse ! Tu adressais à Athalia un sourire timide, prêt à la remercier et complimenter à ton tour son pouvoir qui pour le coup était bien plus utile et concret que le tien. Mais, ton instinct de pisteur avait mis sur pause la discussion et sans vraiment réfléchir tu avais proposé une direction pour rejoindre la pension de ta sauveuse qui outré par cette révélation te laissa choir au sol.
-MFHEIFM MZOFOE…
Pas très compréhensible petit génie ! Essaie de mâcher moins de neige en parlant ! Alors le demoiselle, toute gênée et bégayante après sa panique, reprit ton bras et t’aida à te relever. Otant la neige qui te couvrait du mieux qu’elle pouvait en demandant pardon, elle remit ton bras sur son épaule, redevenant ce support dont tu avais grand besoin. Tu toussais les derniers morceau de neige qui n’avait pas encore fondu sur ta langue, frigorifier pour parler à nouveau.
-Pardon… J’aurais dû y réfléchir c’est bizarre que je connaisse la direction pas vrai… Je… Enfin, vous savez… Mon esprit est venu à vous… Je ne vous espionnais pas, promis !
Jamais tu n’oserais espionner quelqu’un avec ton pouvoir, n’est-ce pas ? NON, JAMAIS ! Oublions toute les autres utilisations de ton pouvoir et… Oui tu étais un autre homme avec un autre visage, ça ne compte plus ! Nouveau visage, nouvelle vie ! D’ailleurs tu n’étais pas bien habitué à tant de bienveillance, voilà une femme qui ne t’as pas encore fuit ! Bravo Zel, encore un petit effort et tu seras un bon gars. Athalia était une petite veinarde, l’homme à la chevelure violacé roupillait presque sur son épaule, marchant mécaniquement grâce à son soutien, ainsi donc elle échappa à l’humour lourd du jeune homme. Quel préjudice ! Tes cheveux gratouillaient la longue oreille de l’éleveuse, et ton souffle chaud venait se faire cueillir par la nuque froide de la femme.
-ZZZZJETAIMEZZZKSS
Tu venais de te réveiller d’un sursaut, un bond suite à ton éternuement énergique. Même le froid, maintenant comptait s’opposer à ton union avec Morphée. Quel saliguaud taquin celui-là. Au moins vous étiez bientôt arriver. Tu revoyais déjà ce lieu salvateur où tu avais rencontré ton ange gardien que tu gratifiais d’un sourire. Oh et tu venais de te souvenir que tu avais une surprise pour elle… Un fardeau de plus, en réalité !
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Blossom holiday
Feat. Zeldris Belir
C'était bien cela, il se souvenait de la route qu'il avait emprunté avant de te trouver. Tu étais rassurée. Non pas que Zeldris avait l'air d'un stalker ou de quelque chose dans le genre, mais tu ne le connaissais pas... et la coïncidence avait été surprenante... Maintenant, tu t'en voulais de l'avoir accusé à tort, mais il ne semblait pas t'en vouloir, alors c'était une bonne nouvelle.
« Oui, c'est logique. Je suis désolée de t'avoir fait tomber... »
Le pauvre jeune homme s'endormait à moitié sur ton épaule. Il sursautait même, s'empêchant par la même occasion de tomber dans un profond sommeil. Il allait sans doute faire une sieste lorsque vous arriveriez à destination. D'ailleurs, en parlant de destination... ta pension et ton chez-toi se trouvait juste devant vous. La route n'avait pas été si longue, finalement. Tu allais pouvoir rentrer au chaud, et ton nouveau camarade aussi.
« Nous y sommes. Habituellement, il y a des animaux à l'intérieur, mais aujourd'hui il n'y en a pas, tu vas pouvoir te reposer tranquille. »
Tu montais les escaliers jusqu'à ta porte, et tu l'ouvrit doucement. Snowbell était la première à entrer, en se secouant un peu pour retirer le surplus de neige sur le tapis avant d'aller s'affaler près du canapé. Tu invitais Zeldris à aller s'asseoir, pendant que tu fermais la porte derrière vous. C'était bizarre... tu n'invitais que très peu de gens chez toi de manière personnelle, souvent, ça avait simplement rapport avec un familier. Cette fois-ci, c'était différent.
« Je... Je vais faire du thé, ça te réchauffera. »
Le plus important était que Zeldris soit sur pieds rapidement ! Il avait passé un moment au froid, il fallait qu'il se réchauffe. Il devait aussi se reposer, ce n'était pas le moment de courir le marathon. Ses blessures n'étaient peut-être plus là, mais de l'énergie, ça ne venait pas en un claquement de doigts. D'ailleurs, tu te demandais comment il s'était retrouvé dans une telle situation... Mais tu te disais que lui demander ce genre de choses n'était peut-être pas convenable. Ça ne te regardait pas. Il allait t'en parler s'il en avait envie.
« Oui, c'est logique. Je suis désolée de t'avoir fait tomber... »
Le pauvre jeune homme s'endormait à moitié sur ton épaule. Il sursautait même, s'empêchant par la même occasion de tomber dans un profond sommeil. Il allait sans doute faire une sieste lorsque vous arriveriez à destination. D'ailleurs, en parlant de destination... ta pension et ton chez-toi se trouvait juste devant vous. La route n'avait pas été si longue, finalement. Tu allais pouvoir rentrer au chaud, et ton nouveau camarade aussi.
« Nous y sommes. Habituellement, il y a des animaux à l'intérieur, mais aujourd'hui il n'y en a pas, tu vas pouvoir te reposer tranquille. »
Tu montais les escaliers jusqu'à ta porte, et tu l'ouvrit doucement. Snowbell était la première à entrer, en se secouant un peu pour retirer le surplus de neige sur le tapis avant d'aller s'affaler près du canapé. Tu invitais Zeldris à aller s'asseoir, pendant que tu fermais la porte derrière vous. C'était bizarre... tu n'invitais que très peu de gens chez toi de manière personnelle, souvent, ça avait simplement rapport avec un familier. Cette fois-ci, c'était différent.
« Je... Je vais faire du thé, ça te réchauffera. »
Le plus important était que Zeldris soit sur pieds rapidement ! Il avait passé un moment au froid, il fallait qu'il se réchauffe. Il devait aussi se reposer, ce n'était pas le moment de courir le marathon. Ses blessures n'étaient peut-être plus là, mais de l'énergie, ça ne venait pas en un claquement de doigts. D'ailleurs, tu te demandais comment il s'était retrouvé dans une telle situation... Mais tu te disais que lui demander ce genre de choses n'était peut-être pas convenable. Ça ne te regardait pas. Il allait t'en parler s'il en avait envie.
(c) TakeItEzy & Ellumya
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La jeune femme t’invita alors à rentrer chez elle. Une douce chaleur vint t’accueillir et t’envelopper lorsque la demoiselle ferma la porte derrière toi. Tu grelottais toujours un peu, mais ton cœur et ton esprit était maintenant apaisé tandis que ton corps reprenait une température normal à mesure que tu passais du temps dans ce lieu. La petite boule de poil qui vous accompagnait jusque là accompagna ton regard jusqu’au canapé tandis que tu écoutais les paroles de l’éleveuse. Des animaux ? Mais oui des animaux ! Et tandis que tu faisais de gros yeux suite à ton déclic Athalia t’avais inviter à te poser sur le canapé et été partie dans sa cuisine faire du thé.
-Tu aimes les animaux ? Tu vas pas être déçut !
Tu détaches alors ton étrange cape couleur sable et tu te mets à la secouer vivement. En sorte alors deux dragons de cerisiers, puis une nuée et quelques armes tranchante ensanglantés, qui tinte en tombant au sol. Enfin je doute que l’on puisse réellement entendre ce son parmi le capharnaüm provoqué par la multitudes des créature qui ont envahi le salon de la femme aux oreilles pointues. Vidé du peu d’énergie qui te restait tu notais sur un papier laisser sur la table de la demoiselle un petit mot pour ne pas trop l’effrayer :
-Je sens la fatigue m’envahir et… J’espère que tu parviendras à me lire… Pardon pour ton salon… Soigne les je t’en prie et ne touche pas à ma c
Tu avais fini par t’endormir, affalé sur la table basse, la tête posé à coté de ton esprit, le stylo à la main et emmitouflé dans ta cape comme dans un plaid. Tu n’avais pas réussi à prévenir l’éleveuse des dangers de ta cape marécage, espérons juste qu’elle face attention, devant les motifs sable, mouvant de ton « bouclier ». En tout cas après ça, elle fera plus qu’attention avant d’invité un autre homme chez elle vu le boxon que tu as mis en t’installant. Petit sans-gêne !
Mais pour ta défense tu ne te faisait pas confiance et les créature que tu avais accueilli avait besoin d’une aide immédiate, car si certain se portait bien, et d’autre était juste en panique, d’autre étaient aux portes de la mort. Tu n’avais pas menti quand tu avais alpagué la jeune femme !
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Feat. Zeldris Belir
Zeldris semblait étonné, ou plutôt agréablement surprise de constater que tu aimais les animaux. Pourtant, tu étais éleveuse... c'était ton métier. Ton logis était aménagé de sorte à ce que des créatures puissent y vivre aisément.
« J'aime les animaux plus que j'aime ma propre personne, c'est pour ça que je suis devenue éleveuse. »
Par contre, tu ne t'attendais pas à ce que le jeune homme fasse apparaître des dragons de cerisier depuis son étrange cape, avant de se mettre à gribouiller sur une feuille de papier. Alors que tu t'apprêtais à préparer le thé, tu avais plutôt décidé d'aller voir ce qui se passait. Les petits dragons roses semblaient blessés, et Zeldris venait de s'écrouler au sol, laissant le papier virevolter près de toi.
Il avait eu le temps d'écrire quelques mots : « Je sens la fatigue m’envahir et… J’espère que tu parviendras à me lire… Pardon pour ton salon… Soigne les je t’en prie et ne touche pas à ma c » après le c, un trait avait été tracé, mais l'aventurier n'avait pas eu le temps de compléter sa phrase, il s'était endormi.
« Ne pas toucher à ta c... cape ? »
C'était ce qui te semblait le plus logique.
Après tout, il venait de faire apparaître des animaux et des armes de son tissu. Il était sans doute magique. Sa couleur sable était intrigante. Tout de même, tu avais pris la peine de redresser le jeune homme sur le canapé pour qu'il puisse dormir convenablement. Tu avais fait attention pour ne pas toucher à son vêtement.
« Il ne me reste que très peu de plumes, mais... dès que je les aurai retrouvé, je soignerai les dragons. »
Tu avais enveloppé les dragons de cerisiers dans des petites couvertures, et tu leur avais apporté de l'eau. Dans l'état actuel, tu étais inutile. D'ici une heure ou deux, tu allais pouvoir utiliser le pouvoir de tes plumes à nouveau. Zeldris allait sans doute bientôt apparaître sous forme astrale aussi, alors il allait pouvoir mieux t'expliquer ce qui se passait...
« J'aime les animaux plus que j'aime ma propre personne, c'est pour ça que je suis devenue éleveuse. »
Par contre, tu ne t'attendais pas à ce que le jeune homme fasse apparaître des dragons de cerisier depuis son étrange cape, avant de se mettre à gribouiller sur une feuille de papier. Alors que tu t'apprêtais à préparer le thé, tu avais plutôt décidé d'aller voir ce qui se passait. Les petits dragons roses semblaient blessés, et Zeldris venait de s'écrouler au sol, laissant le papier virevolter près de toi.
Il avait eu le temps d'écrire quelques mots : « Je sens la fatigue m’envahir et… J’espère que tu parviendras à me lire… Pardon pour ton salon… Soigne les je t’en prie et ne touche pas à ma c » après le c, un trait avait été tracé, mais l'aventurier n'avait pas eu le temps de compléter sa phrase, il s'était endormi.
« Ne pas toucher à ta c... cape ? »
C'était ce qui te semblait le plus logique.
Après tout, il venait de faire apparaître des animaux et des armes de son tissu. Il était sans doute magique. Sa couleur sable était intrigante. Tout de même, tu avais pris la peine de redresser le jeune homme sur le canapé pour qu'il puisse dormir convenablement. Tu avais fait attention pour ne pas toucher à son vêtement.
« Il ne me reste que très peu de plumes, mais... dès que je les aurai retrouvé, je soignerai les dragons. »
Tu avais enveloppé les dragons de cerisiers dans des petites couvertures, et tu leur avais apporté de l'eau. Dans l'état actuel, tu étais inutile. D'ici une heure ou deux, tu allais pouvoir utiliser le pouvoir de tes plumes à nouveau. Zeldris allait sans doute bientôt apparaître sous forme astrale aussi, alors il allait pouvoir mieux t'expliquer ce qui se passait...
(c) TakeItEzy & Ellumya
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Le sommeil t'emporta dans son paradis obscure. Pas d'image, pas de son, aucune sensation, rien que ce néant se déversant sur toi... En réalité, tu étais ce néant. Ta fatigue étais tel que même ton esprit et tes pouvoirs avaient été annihiler. Il ne restait rien, rien que ces voluptueuses ténèbres douces et confortables... Rien si ce n'est toi.
Et tout resta ainsi trois jours durant. Rien, ni le boucan, ni même les bousculades ne t'ont fait revenir de l'antre du sommeil trois jours durant. Il aurait pus y avoir une guerre autour de toi, que tu n'aurais pas ouvert l’œil. Mais au troisième jour une douce odeur de chocolat vint titiller ton odorat et te tirer de ce profond sommeil de princesse. Ok, certes, nous étions proche des bois mais ce n'était pas pour autant nécessaire de nous faire un remake de comte. Par chance, ce n'était point un baisé d'amour véritable qui te tirerait de ton long sommeil, mais un chocolat chaud déposé sur la table basse non loin de toi qui était affalé sur le canapé.
Ces senteurs exquise et exotique firent chavirer ton envie de repos, et bien vite tu papillonnais des paupières pour te replonger dans cette réalité un peu lointaine pour toi. Ton regard enfin moins brumeux tu le laissais continuer droit devant pour tomber sur une scène plutôt mignonne. Un dragon de cerisier était perché sur la tasse de chocolat chaud, la tête plongé à l'intérieur goûtant surement le breuvage. Mais une catastrophe arriva bien vite et la petite créature maladroite perdit l'équilibre, faisant choir la tasse qui se brisa sur le sol, répandant le liquide chaud sur le tapis. Et instinct tu répondis.
-C'est pas moi, j'ai rien fait !
Comme si j'avais besoin de me justifier. D'ailleurs une question te vint en tête en voyant la boisson chaude. Il était déjà le matin ? La bouche pateuse et sèche tu demandais :
-J'ai dormi longtemps ?
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Feat. Zeldris Belir
Trois jours étaient passés et Zeldris était toujours fermement endormi. Son pouvoir ne s'était même pas activé... Il était peut-être trop fatigué. Tu ne savais pas vraiment comment ses projections astrales fonctionnaient, si ça se trouve, elles n’apparaissaient pas à chaque nuit de sommeil non plus. Tu avais pu soigner les dragons de cerisiers, et eux, ils allaient bien maintenant. L'un d'entre eux étaient plus craintif que les autres, mais tu avais trouvé un moyen parfait pour essayer de gagner sa confiance.
Une technique pour à la fois le faire rire, mais également lui montrer que tu étais inoffensive. Tu étais en train d'imiter un Gloot... Une créature bien peu menaçante, pour ne pas dire pas du tout. Voilà que tu tournais en rond, faisant mine d'oublier ce que tu venais de faire pour tourner en rond à nouveau. Tu gonflais tes joues, aussi.La pire imitation de l'histoire d'Aryon, mais au moins, contre toute attente, cela semblait fonctionner et le dragon se laissait toucher.
Au même moment, une voix familière t'avait fait sursauter. Celle de Zeldris, il était réveillé. Une tasse venait de se briser mais ça t'importait peu, tu avais eu si peur qu'il ne se réveille pas et qu'il devienne le beau au bois dormant...
« Zeldris, tu vas bien ? D'habitude, les personnes que je soigne ne reste pas endormie aussi longtemps... Au début, je croyais que tu étais... mort. Heureusement, ton cœur battait toujours et... oh, tu dois avoir soif, attends... je t'apporte un peu d'eau. »
Le thé, ça allait être pour plus tard, là, il lui fallait de l'eau. Après trois jours, sa bouche devait être sèche et il devait mourir de soif.
« Tu as dormi... trois jours. »
C'était beaucoup. Tu avais l'habitude que tes pensionnaires dorment quelques heures tout au plus, peut-être même une nuit entière mais trois jours entiers... Il devait vraiment avoir de la fatigue accumulée, en plus d'avoir frôlé la mort, le jeune homme.
« Les dragons vont mieux... Mais il va falloir que tu m'expliques... ce qui se passe. D'où viennent-il ? Et qu'est-ce qu'elle a, ta cape ? D'ailleurs, elle doit être sale, je peux la laver si tu veux. »
Tu n'étais pas une bonne à tout faire, mais bon, tu n'allais pas laisser Zeldris dans ce piteux état. Il avait dormi dans les mêmes vêtements pendant trois jours. Il devait avoir faim, aussi... Mais une chose à la fois.
Une technique pour à la fois le faire rire, mais également lui montrer que tu étais inoffensive. Tu étais en train d'imiter un Gloot... Une créature bien peu menaçante, pour ne pas dire pas du tout. Voilà que tu tournais en rond, faisant mine d'oublier ce que tu venais de faire pour tourner en rond à nouveau. Tu gonflais tes joues, aussi.La pire imitation de l'histoire d'Aryon, mais au moins, contre toute attente, cela semblait fonctionner et le dragon se laissait toucher.
Au même moment, une voix familière t'avait fait sursauter. Celle de Zeldris, il était réveillé. Une tasse venait de se briser mais ça t'importait peu, tu avais eu si peur qu'il ne se réveille pas et qu'il devienne le beau au bois dormant...
« Zeldris, tu vas bien ? D'habitude, les personnes que je soigne ne reste pas endormie aussi longtemps... Au début, je croyais que tu étais... mort. Heureusement, ton cœur battait toujours et... oh, tu dois avoir soif, attends... je t'apporte un peu d'eau. »
Le thé, ça allait être pour plus tard, là, il lui fallait de l'eau. Après trois jours, sa bouche devait être sèche et il devait mourir de soif.
« Tu as dormi... trois jours. »
C'était beaucoup. Tu avais l'habitude que tes pensionnaires dorment quelques heures tout au plus, peut-être même une nuit entière mais trois jours entiers... Il devait vraiment avoir de la fatigue accumulée, en plus d'avoir frôlé la mort, le jeune homme.
« Les dragons vont mieux... Mais il va falloir que tu m'expliques... ce qui se passe. D'où viennent-il ? Et qu'est-ce qu'elle a, ta cape ? D'ailleurs, elle doit être sale, je peux la laver si tu veux. »
Tu n'étais pas une bonne à tout faire, mais bon, tu n'allais pas laisser Zeldris dans ce piteux état. Il avait dormi dans les mêmes vêtements pendant trois jours. Il devait avoir faim, aussi... Mais une chose à la fois.
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Tu failli bien recracher l’eau que l’éleveuse t’avais gentiment apporté lorsqu’elle t’as annoncé le nombre de JOURS que tu avais dormi. Même pour toi c’était impressionnant. Disons que tu dormais beaucoup mais de manière intermittente et incontrôlé à cause de ta maladie, en fait, c’était bien la première fois que tu dormais autant sans te réveiller. Il fallait croire que la douce chaleur de ce foyer t’avait envout2. Ou alors c’était la fatigue accumulé par ta danse avec la mort qui t’avais autant épuisé ? Du coup tu était un peu honteux, tu ne savais plus vraiment ou te mettre car tu avais clairement abusé de la gentillesse et l’hospitalité d’Athalia. Alors, tu marmonnais des excuses.
-Pardon… Je pars de suite !
Mais alors que tu te levais, ton hôte était venu s’assoir à tes cotés un grand sourire sur les lèvres et des question en pendant. Elle méritait de savoir, mais par où commencer ? Tu balbutiais, tentant d’organiser les réponses dans ta tête encore un peu en désordre, à l’image de tes cheveux en vrac.
-EUH… BON… AH… Ma cape… Les dragons. Euh oui non faut pas la laver pas la peine je t’explique. Ma cape possède un revêtement magique sur sa face externe. Cette couleur sablonneuse ne te rappelle rien ? Ma cape est un sable mouvant, elle capture tout ce qui entre en son contact et qui se débat vainement. Du coup j’ai mis les dragons dedans pour les protéger. Si tu veux toute l’histoire, il est des homme qui avec l’argent se sente tout permis et d’autre qui pour l’argent se croit tout permis. Il y a peu, un noble à eu la bonne idée de lancé une annonce pour faire capturer tous les dragons de cerisier pour en avoir l’exclusivité en les gardant en captivité dans sa serre, le petit jardin interne de sa dulciné… C’est débile… Et le pire c’est que ça à déclencher une véritable guerre, tout ça pour de l’argent, aventurier, mercenaires et civiles se sont battu pour capturer le plus de dragons… J’en ai sauver autant que j’ai pus Athalia… Je te le promet… Mais j’ai la haine ! Ce monde est fou…
Baissant la tête pour masquer les larmes et les regrets roulant sur ton visage, tu te taisais pour ne pas trahir ta tristesse et ton amertume, posant ta main tremblante sur la cuisse d’Athalia, en recherche d’un repère. Ton regard tomba alors sur le petit dragon maladroit de tout à l’heure qui léchait le chocolat chaud au sol. Tu lui adressais un sourire, content qu’il est survécu à l’enfer.
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Feat. Zeldris Belir
Suite à un bug j'ai perdu mon post. Il sera édité bientôt.
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