A Hat In Time, ma petite boutique de chapeau et de couture, je l'avais racheter à vieux marchant et changer de nom. Ajoutant ma touche à celle-ci avec des couleurs plus claire, flashy, bien que j'étais capable de faire un tas de pièce différente, de toute les couleurs, de toutes les formes.
Etant encore une petite boutique, je travaillais seul et c'était... Dison que j'étais content de ne pas avoir de regard sur moi, mais je me sentais aussi seul. Comme la boutique était dans un coin reculer, j'avais en plus peu de monde qui venait, le bouche à oreille ne fonctionnant que si du monde venait d'abord et transmettait ensuite. ça partait... lentement.
J'étais en générale dans l'arrière boutique, confectionnant de nouveau patron de chapeau. Lorsque la cloche d'entrée, sonnait, j'en sortais pour venir saluer mes clients.
-Bonjour ! Saluais-je la jolie petite demoiselle qui venait de passer la porte, lui montrant ma disponibilité, je passe au comptoir, mon visage caché, elle ne peu suivre mon regard, mais j'évite de trop l'observer. Je veux qu'elle se sente libre de ses aller et venu, venant vers moi lorsqu'elle saurait ce qu'elle veut, si ce n'est déjà le cas.
J'en profitais pour vérifier que tout était bien en place, j'étais assez maniaque il faut dire.
_ Une demie-journée rien que pour elle. Voilà tout ce qu'il fallait à Marthe pour la rendre heureuse. Il est facile de remplir une vie quand on pratique son métier avec plaisir. Mais cela n'empêche jamais de prendre un peu soin de soi. Et son emploi de gouvernante payait correctement. Suffisamment pour s'acheter des jolies robes ou de beaux chapeaux. Et justement, " A Hat In A Time" venait d'ouvrir. La jeune femme en avait vaguement entendu parler au marché tandis que deux dames s'extasiaient sur le chapeau d'une troisième. Un bel accessoire qui avait directement attiré l'œil de la gouvernante puis son intérêt. La conclusion était simple : elle voulait un chapeau de la sorte.
_ Néanmoins la quête était plus compliqué qu'il n'aurait parut. Localiser la boutique dans la ville avait été la partie la plus compliquée. Mais la voilà dans une petite ruelle devant une boutique à la devanture un peu vieillotte. Pourtant une fois dedans l'ambiance était bien différente. Tout était absolument fabuleux. Que ce soit les tissus, leur agencement ou la propreté irréprochable des lieux. Marthe s'y senti immédiatement bien. Elle était restée à l'entrée, ne sachant sur quel élément fixer son regard en premier, quand le propriétaire sortie de l'arrière boutique.
_ Le propriétaire avait drôle d'allure. Paradoxalement marquante mais oubliable rapidement. Comme s'il faisait tout pour disparaître aux yeux du monde. Marthe se devait d'étudier l'attitude à adopter face à chaque individu. Dans notre cas il faudra visiblement éviter les regars insistants ou les questions personnelles. Par contre il ne faudra pas lésiner sur la valorisation de son travail et de sa réussite. Quand on porte un masque on ne doit pas souvent recevoir de compliments...
- " Bonjour monsieur " lui répondit-elle en s'approchant du comptoir. " J'ai entendu parlé de vos chapeaux en de très bon termes, alors je me suis dit que ça devait valoir le déplacement ! "
_ Marthe s'arrêta à bonne distance du propriétaire. Elle estima que sa zone de confort et d'intimité devait certainement être assez grande. La gouvernante tâchera donc d'éviter d'empiéter sur l'espace vitale de l'homme tout au long de ses emplettes.
- " En tout cas, toutes vos œuvres sont splendides ! Je n'arriverais même pas à choisir un modèle... vous pourriez m'aidez ?"
_ Derrière cette question se trouvait tout un univers. Techniquement, elle aurait pu choisir elle-même son modèle. La gouvernante aurait pris un temps fou néanmoins mais c'est une grande fille qui sait faire ses propres choix. Mais à quoi bon voir un professionnel si c'est pour se passer de ses conseils ? Ensuite, imaginez que vous manquiez de confiance en vous. Comme cet homme visiblement qui faisait tout pour se dissimuler dans les ombres de sa boutique. Ce serait valorisant de se sentir utile et demandé. Alors la jeune-femme lui laissa à chaque fois tout le temps nécessaire pour répondre.
_ La cliente se montrait sincèrement attentive aux réponses de Monsieur Escaflow. Et pour cause :le sujet des chapeaux l'intéressait véritablement ! Marthe aime vraiment les couvres-chefs originaux, beaux et uniques. Alors ce n'est pas difficile d'admirer chaque tissus de la boutique avec un indicible plaisir !
Par ailleurs, si ce masque cachait mon visage, il cachait aussi mes rictus de douleur, je n'avais pas à infliger cela à autrui et de toute manière, cela aurait fait fuir la clientèle ainsi. Sans oublier que ce rictus est loin de paraître juste douleur, mais psychopathe, et je le sais pour me regarder (très rarement) dans le miroir. Cacher la douleur me donnait un air de serrer la mâchoire et des propos "forcer". Alors même que j'appréciais la présence, considérant la mienne comme nuisible...
La jeune demoiselle avait des airs enfantin, mais une assurance d'adulte et de très bonne manière, rapidement je sentis qu'elle se mit dans des conditions d'écoute et d'échange. Pour peu, je me serais presque étancher sur mes déboires mais... Évitons !
Je fus ravie d'apprendre que mes chapeaux commençaient à se faire connaître et bomba instinctivement le torse.
-Je vous en remercie, cela me touche au ceur Madame. M'inclinais-je poliment.
Encore un compliment, j'écoutais attentivement ses intonations et la regardait caché derrière mon masque. Sûrement mes anciens réflexes de garde, je ne pouvais m'empêcher de me demander si elle était sincère où tentait de m'amadouer pour avoir une réduction. Toutefois j'étais heureux de ne pas sentir de jugement, de malaise.
-Ce sera avec plaisir, avez-vous des préférences ? Quels couleurs souhaiteriez-vous porté ? Pour quel utilisation ? Quotidienne ? Public ? En soirée mondaine ? Sportive ? Il y en a pour tous les goûts. En paille plus légère et moins sophistiquer à du sur-mesure selon vos convenances, le chapeau sera alors unique et vous serez la seul à la porter. Souriais-je derrière mon masque, content de faire mon métier.
Je me mis à lui tourner autours, évaluant ses couleurs, sa physionomie afin de m'aider à la guider dans son achat. D'une certaine manière, mieux je connaissais ma cliente, plus j'étais à même de lui proposer quelque chose qui lui siérait parfaitement à la tête.
_ Cette boutique était des plus charmantes. Il fallait espérer que les prix seraient raisonnables car Marthe y reviendrait avec grand plaisir s'y fournir en chapeau. Chaque tissus était plus intéressant que le précédent, et jamais autant que le suivant. L'homme semblait s'y connaître et les compliments de Marthe avaient l'air d'avoir fait mouche. Celui-ci prit la demoiselle au sérieux et commença donc à évaluer ses besoins. Après quelques secondes de réflexions Marthe finit par lui donner quelques indications.
" Pourrions-nous commencer par un chapeau assez léger ? Je pensais à quelque chose pour la belle saison. Peut-être dans un esprit estival ?" Elle prit un instant pour réfléchir avant de poursuivre. " Peut-être des fleurs ? Des rubans ?"
_ Peut-être avait-il déjà quelque chose dans ce genre là en magasin. Elle ne souhaitais pas non plus le déranger ou se montrer trop exigeante. Dans tout les cas Marthe restait ouverte à toutes les propositions. Et s'il fallait passer commande afin qu'il fabrique sur mesures le chapeau qui lui irait le mieux... et bien ainsi en serait-il ! Après tout, il faut bien investir un petit peu dans les petits commerces de proximité. Pour avoir vu quelques unes de ses œuvres le couturier méritait bien un petit coup de pouce dans son entreprise.
" Vous êtes arrivé dans les environs il y à longtemps ?" demanda poliment Marthe autant pour faire la conversation que par intérêt.
_ Même si elle essayait de s'en dissimuler les questions fusaient dans la tête de Marthe. Mais elle garda ses questions pour elle ainsi que le commandait son personnage de jeune femme respectable et bien éduquée. Le masque du tisserand ne manquait pourtant pas de la titiller. Mais qui porte un masque au quotidien a ses propres raisons de le faire. Et si c'est un masque, c'est bien pour indiquer que ça ne regarde personne d'autre que lui. Il fallait respecter cette initiative. Et qu'importe l'apparence quand on est compétent dans son domaine, pas vrai ? Le sujet de sa venue en ville et de l'ouverture de son commerce était déjà suffisamment vaste pour mener une première conversation intéressante.
Attentif, je l'écoutais, rétrécissant le choix avec ses critères. Bien qu'en vue de la saison, je pouvais aisément me douté de ses besoins, je me devais d'être ouvert à toute sorte d'excentricité. Il était amusant de l'entendre me questionner sur ses besoins, comme si elle voulait avoir mon avale.
- Bien sûr, je peux tout mettre sur votre chapeau, pour vous dire, j'ai fait un chapeau modeler sur un gâteau. Il s'agissait évidemment d'un faux, sinon le poids l'aurait fait s'effondrer et je ne suis pas pâtissier. Plaisantais-je. Je peux faire avec presque n'importe quelle matériaux souple et imitation faune, flore. j'évite en effet de mettre des denrées périssables, cela ferait bien mauvais effet sur la durée.
Tapant doucement des mains, pour me recentrer, je repris le droit chemin.
- Avez vous des fleurs que vous souhaiteriez ? Des couleurs que vous voudriez ?
Ma cliente me questionna rapidement sur ma position ici, il faut dire que pour les connaisseurs, il y avait une autre boutique avant ! Bon, en faillite donc je ne pense pas que beaucoup s'en souvienne mais bon. Je n'irais pas dénigrer le travail d'autrui.
- Je suis arrivé il y a... dix-douze mois je crois, et j'ai acheter la boutique trois quatre moi après, c'était un bottier installer là, j'ai tout changer. Toutefois il reste encore quelques chaussures, que je lui ai promis de vendre et évidemment, lui rendre une commission. Si par le plus grand des hasards, vous seriez intéresser, il peut encore en faire, mais sur demande. Il a vraiment arrêter de travailler. Précisais-je. Et vous Madame, si je puis me permettre, que faites-vous ?
Je pris un peu de distance, lui tournant le dos et allant, venant entre les ranger de chapeau, lui en cherchant quelques un pour lui donner une idée du genre qu'elle pourrait mettre. Je revins vers elle avec trois chapeaux à peu près du même genre, en paille, mais au rebord différent que je pose sur une table, la laissant toucher, regarder et me dire ce qu'elle en pense.
L'un est un canotier dont les courbes sont très pointus, pour les personnes qui aime les angles.
Le second et une capeline, à la tête plus arrondis, aérer, légère.
Le troisième, un chapeau country, plus tourné vers le festif, mais se portant mieux avec des tenues accordés, tandis que les autres se profil avec un peu tout. Bien sur, elle peut aussi s'intéresser au trois.
-" Avez vous des fleurs que vous souhaiteriez ? Des couleurs que vous voudriez ?" demanda le chapelier.
-"Hm.. " hésita sincèrement Marthe qui n'y avait pas encore réfléchie. "Si ça ne tenait qu'à moi," ne comprenant pas que ça ne tenait vraiment qu'à elle.. "je dirais des tournesols. Et puisque ce sont des fleurs factices pourrait-on en profiter pour faire des coquelicots ?" demanda-t-elle sur un ton enjoué.
-" Et vous Madame, si je puis me permettre, que faites-vous ? demanda-t-il.
-"Pardonnez mon impolitesse, je ne me suis même pas présentée ! Missies Marthe Applebee, " ponctua-t-elle d'un fléchissement poli des genoux. "Gouvernante de profession, actuellement au service de Madame Grassim. Un sôt métier pour certains, un véritable honneur pour moi ! répondit-elle sur un ton enjoué.
-" Celui-ci me plaît particulièrement. Vous en auriez d'autres dans le même genre ? Peut-être aux bords plus long encore, ou en tissus ? " Elle essayait d'être polie dans sa demande mais n'oublia pas de profiter du fait que pour une fois, c'était à elle de se faire servir et non l'inverse. "J'aime beaucoup ce modèle en tout cas... rah ça vas être compliqué de choisir, je le sens gros comme un glooby ! " plaisanta-t-elle en retournant son attention sur le vendeur.
Mon anecdote plaisa à ma cliente, qui s'amusa d'une petite touche, j'en souriais derrière mon masque, mais n'en rajouta pas plus. C'était une demande et tant que je l'acceptais, il s'agissait alors de me renommé et de mes valeurs. Ce serait cracher sur le client et mon art, que de continuer de mon côté.
Je lui demandais par la suite plus de précision sur sa demande, je prenais note dans tous les cas. Je n'aurais pas forcément proposer des fleurs, mais l'association du côté estival et mes précisions m'avaient fait tourné ainsi, et puis, je sentais que cela lui plaisait. Après m'être présenté, je lui retournais la question poliment, j'eus ainsi son nom, prénom et sa profession. Toutefois je ne connaissais pas la personne dont elle parlait, je l'écoutais en cherchant ce que j'avais comme exemple de forme.
Je fus en tout cas surpris qu'on parle ainsi de ce genre de vocation, nombreux étaient ceux qui n'avaient pas le temps à cause de responsabilité écrasante. C'était un métier honorable et d'une grande bienveillance. Toutefois je ne plongeas pas pour l'instant au coeur de ce sujet et lui présenter trois types. Dont l'un qui attira irrémédiablement son regard, j'en souriais amuser derrière mon masque. Je rangeais les chapeaux qui ne l'intéressait pas pour ce qu'elle cherchait maintenant.
- Bien sûr, nous en avons tout une panoplie.
Elle plaisanta ensuite sur le fait de choisir, je comprenais bien la chose. Après, rien ne l'empêchait d'en choisir plusieurs. Sauf sa bourse... Et les limites qu'elle se serait fixer.
- Bonne chance et que le meilleur gagne. Soufflais-je comme encourageant un champion à l'aventure.
Sur ces belles paroles, je refis un tour, l'invitant à me suivre et lui montra mes modèles exposer, dans le style désirer, capeline. Il y avait des bords cours, des moyens, des longs et la version extra, celle-ci était tel, qu'elle faisait presque office de parasol. Encore une étrange commande, dont j'avais du m'entraîner pour que les bords ne tombe pas, toutefois je le déconseillais au personne trop petite. Sous risque de s'attirer les foudres des passants qui se prendrait les rebords, légèrement renforcé pour soutenir le poids et ne pas s'affaisser.
-Voici nos différentes courbures. Ensuite, nous pouvons mettre des rubans, des fleurs, prendre une autre couleur, utilisé de la paille, du tissu, des branchages pour un aspect verdure. Pour les plus fous, une partie verre, avec des ingrédients à l'intérieur, comme flottant.
Je parlais en me rappelant d'une personne qui avait désirer un chapeau "angélique", il m'avait fallut beaucoup d'astuce pour que celui-ci semble être un halo et je n'en n'avais pas été peu fier je peux le dire !
- Imaginer et je créerais selon vos désirs. Rajoutais-je en m'inclinant également, comme un noble venant demander à une gente demoiselle une danse.
- Moi, Maxime Escaflow, chapelier de père en fils, fera tout ce qui est en mon pouvoir pour vous comblez ! M'élancais-je parfois bien loin d'imaginer que j'en faisais trop et que cela aurait pu passer dans une autre situation, comme une demande un peu plus... Oser et directe.
Le sens des priorité.
Feat @Maxime Escaflow
-" Sainte Lucy ! Je voudrais de touuut ! ..." Et après un petit tintement de rire Marthe reprit son sérieux. Elle enfila le chapeau qu'elle tenait et demanda poliement; "La forme de celui-ci, tissus résistant au soleil, rebords plus grands... environ 20cm.. de la dentelle, des rubans et des nœuds discrets et délicats, ce serait faisable ? "
-" Imaginer et je créerais selon vos désirs." répondit-il en mimant de s'incliner.
-" Moi, Marthe Applebee, modeste citoyenne, fera tout ce qui est en mon propre pouvoir pour être bonne cliente !" s'élanca-t-elle à sa suite.
-" Bien. Combien ça me coûterait, cette histoire de fleurs et de rubans ? "
Appréciant ce petit moment partagé, je me permis un peu de galanterie à la limite du flirt, ce qui la fit rire avec moi. Elle m'en retira une révérence et se promis d'être une bonne cliente, quoi que cela puisse dire. Sur la durée, où l'instant. En tout cas, elle restait respectueuse, polie et c'était très agréable. La question de l'argent arriva, je n'eus pas beaucoup à réfléchir, j'avais déjà les bases du chapeau, juste bien mélanger la fleur et les rubans et ce serait bon. Je lui donnais donc un prix raisonnable, qui pouvait toutefois paraître un peu élever, mais la qualité y était ainsi que... Le service après-vente.
- Bien sûr, ce prix comporte aussi les réparations s'il y a le moindre soucis, les modifications de taille nécessaires. Service gratuit sur ce chapeau durant cinq ans. L'informais-je.
Avec cela, je me chargeais de trouver le chapeau avec les bases voulus, le ruban et les fleurs que je vins lui montrer, pour avoir son avale. Une fois qu'elle fut satisfaite des matériaux nécessaires et du chapeau de base, il ne me restait plus qu'a tout assemblée. Je lui avais trouvé la bonne taille de tête et allait commencer.
- Vous pouvez revenir d'ici une demie-heure, j'aurais fini. Où rester ici et patienter, bien que je vous le déconseillerais, il ne faudrait pas qu'une folie de l'achat ne vous prenne. Plaisantais-je avec ses propos précédent.
La laissant choisir, je partis dans mon atelier à l'arrière pour faire sa commande. Je fis plusieurs test, jusqu'à être satisfait et lui présenter le résultat finale. Je lui laissa prendre son temps et me faire des commentaires avant qu'elle ne me paie. Nous aurions peut-être pue discuter plus, mais une nouvelle cliente bien "aisé" en vue de son embonpoint rentra.
- Bien, je vous souhaite donc une bonne fin de journée et j'espère à bientôt. La saluais-je avant d'aller voir la nouvelle cliente qui n'hésita pas à taper dans le directe sur mon masque. Bonjour, je suis désolé, mon visage étant brûlé, cela fait fuir la clientèle. Lui répondis-je tournant le dos à Marthe, restant calme.
J'avais rarement vue aussi abrupte, mais de nombreuse fois, si ce n'est quatre fois sur cinq, on me questionnait dessus et la cinquième qui se taisait, n'en restait pas moins peu à l'aise.
Le sens des priorités
Feat @Maxime Escaflow
-" Vous avez mon entière confiance, Monsieur Escaflow !", dit-elle en le laissant à son œuvre après une dernière investigation dans la boutique.
-" Oh Ma Lucy ! Il est merveilleux ! " s'écria-t-elle en l'admirant. "C'est un petit thé froid, je vous en ai rapporté un." expliqua-t-elle rapidement lorsqu'il se figea devant la boisson d'un air interloqué.
-" Je suis désolée pour votre visage, j'espère qu'il ne vous fait pas souffrir... " lui dit-elle tout bas en posant sa main sur l'avant bras du jeune homme. Son geste se voulait sincèrement gentil et compatissant. Puis elle se redressa, couvra sa tête d'un plaisir non dissimulé et entonna solennellement; " Merci beaucoup pour ce chef-d'œuvre ! Vois avez fait du travail remarquable ! Je reviendrais, soyez-en assuré ! "