Que c'est il passé ? Vous ne le savez pas, et à part un léger mal de crâne, vous n'avez aucune idée de ce que vous faites ici, ou de ce qu'il à pu se passer auparavant.
Vous êtes réveillés par le contact d'un gloot gonflé comme un ballon qui viens vous heurter.
Car oui, vous êtes dans les sources chaudes du nord, complètement dévêtus. Difficile de dire comment vous en êtes arrivés là.
Les seuls indices qui pourraient vous aider son une bonne douzaines de gloots qui flottent dans le bassin, une plume de petit dodos et un tapis en poils de crasmo...
Quoi que vous ayez pu faire... cela dut être mémorable
Au chaud !
Défi RP de l'été - Inaros
Inaros devait retrouver ses vêtements. Il se redressa et, bordel, ses longs cheveux blonds étaient attachés en tresse. Il n’y avait que lui pour faire ça, c’était rare que Ivara se coiffe ainsi. Il commençait sérieusement à s’interroger sur ce qui s’était passé. Il n’était pas dans le bassin… Oui, c’était bien un bassin juste à côté de lui, littéralement à deux centimètres, duquel s’échappait des vapeurs chaudes. Son bras avait baigné dedans tout le temps de sa sieste. Inaros connaissait un peu cette sensation de lourdeur et de bouche un peu pâteuse… Il avait - ou elle avait - bu ? Mais en quelle occasion se serait-il permis ça ? Et pourquoi finir ici ? Il ne connaissait rien à la géographie de Aryon, il était incapable de savoir s’il était loin ou près de chez lui. Il maugréa et roula sur le côté pour entrer dans l’eau chaude. A défaut, celle-ci détendrait ses muscles engourdis et lui permettrait d’avoir l’esprit plus clair pour réfléchir. En ressortant la tête de l’eau, il nagea jusqu’à un coin et put alors observer des douzaines de gloots qui flottaient à la surface de l’eau. Il n’y prêterait pas attention tant que ceux-ci ne se mettraient pas à réfléchir pour l’attaquer. De toute façon, il ne s’en approchait pas, il n’y avait donc aucun risque.
Je tente de me redresser tant bien que mal mais mon manque d’équilibre est flagrant...Je n’ai pas peine le temps de faire un mouvement que ma tête se repose déjà contre le bord du bassin. J’ai le flegme de bouger...et rien ne me reviens...tout ce que je sais c’est que je suis dans des thermes ou des sources...probablement dans le nord, dans les montagnes...mais quel bordel...dans quoi je me suis encore fourré...d’abord j’avais été victime d’un sort de passion qui incluait une demoiselle à la peau pâle et plutôt agréable à regarder...et maintenant ça...Je me demande bien ce que dirai ma féline amie si elle savait ce qu’il se passait.
“Rahhh ma tête...”
Finalement après plus de 60secondes à me dire que je devais ouvrir totalement les yeux...je ne le fis toujours pas préférant les laisser à demi-clôt le temps de m’habituer à la lumière ambiante...un peu d’eau sur le visage d’un geste délicat de la main...et voilà que je décide de permettre à mon cerveau se faire une vision totale de la scène...On est bien dans un bassin mais en extérieur...on est vraisemblablement comme penser juste avant en hauteur et donc sur une montagne...Collé contre moi, se trouve trois gloots qui ronflent à tout vas...il y en a même un avec une bulle qui gonfle et qui dégonfle au rythme de sa respiration. Ils étaient contre ma peau nue...enfin ça cela n’a rien d’étonnant quand je prenais un bain de ce genre j’étais généralement à poil que cela soit chez les hommes ou bien dans un bain mixte. Il faut dire que je n’avais aucune gêne avec ma nudité.
“Et bien vous trois...vous avez-bu plus que de raison ? A croire que moi aussi...”
Un léger sourire naquit sur mon visage...Ah pour avoir un tel trou noir disons que la soirée a dû être bien chargé en alcool d’ailleurs c’est vrai que j’en ai légèrement l’haleine...Cette fois j’arrive à me mettre correctement le dos contre le petit muret et les bras pour supporter mon poids mort. J’ai petit à petit des sensations qui me reviennent dans mes oreilles puis dans mes pieds, bien d’ici quelques temps, je vais pouvoir bouger ma carcasse de l’eau...
C’est alors que je me fis apostropher par une voix. Il y avait donc quelqu’un d’autre ici...qui semblait tout autant perdue que moi. Je levant tant bien que mal, je fis quelque pas dans sa direction. Le bas de mon corps se trouvait encore sous l’eau si bien que mes attributs n’étaient pas visibles...plus je m’approchais de cette ombre dans le brouillard et plus sa silhouette s’affinait pour finalement me relever ses contours propres aux femmes. Et bien ça c’est un réveil qui fait plaisir...j’espère juste n’avoir rien fait avec cette personne sinon mon cœur et surtout une tierce personne ne me le pardonnerai jamais.
“On est dans les montagnes au nord d’Aryon...c’est tout ce que je puis vous dire pour l’instant...pour le reste que j’ai aucun souvenir de ce qui sait passer la veille...ni si nous avons...enfin bref...”
Plutôt que de rester sur le corps plutôt appréciable de la jeune femme, je regardais autour de nous cherchant des indices...
“Je ne sais pas comment on a fini ici...mais il est clair qu’on a plutôt passé une soirée mouvementée...”
C’est le moins que l’on puisse dire quand on voyait l’état de la source...
“Pardon, mademoiselle mais je ne me souviens plus de votre nom par contre...”
Au chaud !
Inaros
Seulement, un détail le gênait particulièrement et il n’était pas prêt de laisser ça passer. Heureusement, le regard de l’homme ne semblait pas s’être attardé dessus mais il préférait tout dissimuler. C’est pour ça qu’il plongea un peu plus son corps de femme sous l’eau pour dissimuler chacune de ses courbes. Il ne voulait pas être exposé sous les yeux de cet inconnu. Inaros, pudique ? Uniquement depuis qu’il était une femme. L’arrière de son crâne appuyé contre le rebord du bassin, il se mit à réfléchir suite aux indications de l’inconnu. Ainsi donc, ils étaient au nord du royaume. Il n’avait jamais réellement voyagé. Si certaines de ses missions d’ex-mercenaire l’avait parfois mené par-delà les murs de la Capitale, il ne s’y était jamais attardé et avait toujours fini par rentrer chez lui. Alors, pourquoi se serait-il déplacé jusque là-bas ? Avait-il craqué et accepté une mission qu’il avait ensuite trop bien célébrée ? Réfléchir lui donner mal au crâne, il grimaça en se frottant les tempes.
Et visiblement vu les gestes aux niveaux de ses lobes temporales, je n’étais pas le seul à avoir bien abuser la veille d’alcool en tout genre. Voir même d’autre chose...Oh il faut dire que ce genre de lendemain de fête vous vrille littéralement le cerveau pendant la journée du lendemain. Entre maux de tête et équilibre précaire, il allait falloir être prévenant surtout que si nous avions, nous, un trou de mémoire ce n’était peut-être pas le cas des personnes avec qui nous avions passé notre soirée enfin si nous ne l’avions pas passé qu’à deux.
“Red...suffira...pour ce qui est de ta question...disons qu’il y a beaucoup de chose possible à faire un tapis et une plume...”
C’est clair, un tapis, une plume, un homme et une femme nues...pour moi le puzzle semble s’emboiter pourtant j’ai au fond de moi le sentiment que cela n’est pas ce qu’il parait être. Comment si mon cerveau étriquer était partie dans la mauvaise direction. Et généralement dans ces cas-là, je suis mon instinct même si pour le coup tout m’indique le contraire. Bon secoues-toi un peu mon grand...qu’est-ce que tu as fait hier soir, déjà pourquoi est-ce que tu es dans les montagnes ? Une mission, une envie soudaine de grand air ? Les deux étaient possible mais je pencherai tout de même pour la première. Bon et cette mission consistait en quoi ?
La tressé sortit soudain de l’eau comme une furie. Je peux donc profiter d’une vue tout à fait acceptable sur le bas de ses reins. Il n'y avait rien à redire, si nous l’avions fait je n’avais pas à m’en vouloir sur le terme physique des choses par contre moralement là, il y avait un gros kwak. Mais encore une fois, mon flair me disait qu’il y avait autre chose..
Pour ce qui était de la demande du retour à la capitale...
“Pour ce qui est de ta demande...le plus simple c’est de te faire embaucher comme escorte ou bien encore payer un marchand qui te prendrait dans sa carriole...Il y a toujours des marchandises qui viennent et qui partent dans toutes les directions...principalement à l’aube ou très tôt au matin...ce qui veut dire...dans pas longtemps.”
Je sortis à mon tour, sous la vapeur de la source cachant par la même de temps en temps le service trois pièce. A vrai dire, je m’en foutais royalement de savoir si ma compagne de calvaire rougissait ou non à cette vue. Après tout, nous étions tous venu au monde dans cette nudité alors autant en profiter quand nous étions vêtus avec pour seul habit le vent qui glissait sur notre peau. Je me dirige vers le tas de linge, en effet c’est bien à moi...c’est une de mes tenues de villes...une chemise noire en lin, un pantalon en cuir et mes bottes. En clair, il ne manquait rien même mon couteau de chasse était là.
“la robe te va à merveille...”
C’était vrai, la tenue se mariait parfaitement avec ton teint et avec sa tresse.
“Je pars devant, je vais voir avec le ou la responsable des sources s’il ou elle sait d’où nous venions et vers qu’elle heure nous sommes arrivés ensemble et surtout si nous étions déjà tous les deux...”
Je m’exécute cherchant le propriétaire qui n’a pas l’air d’être surpris de me voir vaseux. J’attends ensuite mon acolyte et lui apprends ce que j’ai pu retirer de mon enquête.
“Déjà nous sommes arrivés vers 1h du matin et ensemble...bras dessus-dessous d’après le patron et déjà complétement ivre...Pour ce qui est du tapis et de la plume apparemment c’est nous qui les avons demandés, l’homme n’a fait que nous l’apporter. Il pensait que nous allions nous amuser...car nous venions apparemment d’un établissement appelé “A la belle blonde”, une taverne bien connue des environs...pour louer des escortes...”
Je regarde mon interlocutrice en me demandant si j’avais effectivement pu vouloir me payer une fille pareille...la réponse est sans appel, dans d’autres circonstances...oui sans hésitation mais là vu ma proximité avec une autre demoiselle impossible ou alors l’alcool m’avait complétement fait perdre les pédales...
Au chaud !
Inaros
Un seul élément était des plus étranges encore, le visage de Red ne lui était pas si inconnu que ça. Maintenant que cela faisait une bonne quinzaine de minutes qu’il était réveillé, les souvenirs semblaient revenir petit à petit. Le premier d’entre eux était le visage de Red. Il l’avait vu suffisamment longtemps pour avoir passé une bonne partie de la soirée avec lui. Toute la soirée ? Mais pourquoi ? En plus de ça, il n’avait pas de cristaux sur lui. Il avait probablement été volé. Lorsqu’il revint au bout de quelques minutes, Inaros attendit avec impatience qu’il lui révèle ce qu’il venait d’apprendre. Non, finalement il n’aurait rien voulu savoir du tout. Est-ce que le regard de Red insinuait qu’il était une escorte ?
À l’intérieur de À la belle blonde, personne ne fut en mesure de les renseigner sur leur petite soirée. C’est alors que le regard de Inaros se porta sur une autre demoiselle, assise seule dans un coin. Ses pupilles se dilatèrent lorsqu’il remarqua qu’elle avait presque les mêmes traits de faciès que Ivara et les mêmes longs cheveux blonds. Quelle étrange coïncidence ! Le mercenaire se planta de nouveau à hauteur de Red pour lui poser de nouvelles questions.
“Pour ce qui est de l’escorte, je n’émettais qu’une hypothèse en suivant ce que nous savions. Après si tu me dis que tu n’en as pas une, je veux bien te croire..."
Soudain la tressé se retourna mettant son doigt sur ma glotte et l’attitude prise à ce moment-là, n’allait pas du tout avec sa façon de s’habiller. Oh si on ne devait regarder que le physique, je pencherais pour une femme avec un travail manuel. Après tout, ce que j’avais vu dans les termes étaient plutôt musclés bien que pas voyant comme une bodybuildeuse. Du coup, le fait d’entretenir son corps était un signe que son travail n’était pas de lire des bouquins à longueur de journée. Tandis qu’une fois qu’elle se mettait à parler...cela ressemblait fort à un gamin ou à une personne des bas-fond des cités de la capitale. Oh cela à son charme aussi bien que le contraste était saisissant.
“Pour ce qui est de ta monnaie, je ne suis pas responsable de tes déboires. Pour ma part, j’ai encore de ma monnaie moins plusieurs tourner mais vu notre état cela ne m’étonne guère.”
Et comme je n’avais pas ma langue dans ma poche ayant trop mal au crâne pour me retenir.
“C’est quand même dommage qu’une aussi jolie fille se met à parler comme un goret...tu devrais faire attention à ton langage ou les hommes ne te prendront que pour ton corps...quoi que je suppose que certain allumé aime cette façon de parler.”
Nous arrivons donc à la taverne après cet amusant échange. Enfin amusant pour moi, en réalité je jubile face à la réaction de celle qui a probablement partagé ma nuit. A l’intérieur c’est le calme plat, il faut dire que c’est plutôt la nuit que c’est mouvementé. Le barman, nous reconnait, je le vois à ses yeux. Mais pour l’instant je réponds à celle près de moi.
“Je suis aventurier...et je suis resté à la capitale un long moment. Pour le reste, c’est un lieu où je peux boire des bières avec une bonne ambiance...donc cela ne me dérange pas...mais d’habitude je t’avoue que je ne repars pas accompagner...surtout depuis une certaine rencontre...enfin bref ,allons voir ce que t’as copie conforme pu nous dire sur la soirée d’hier...enfin il vaudrait mieux que tu y aille seul, si j’avais tu travail ici et que tu ne t’en souviens plus, avoir un client dans les pattes...”
Je n’entends pas sa réponse à vrai dire, je l’imagine bien voir rouge après mes paroles...puisqu’une nouvelle fois le sous-entendu était là. Je me dirige vers le barman.
“Salut, dis-moi, je sais que je suis venu hier soir, mais je t’avoue que je ne me souviens de presque rien...tu sais me dire si je suis venu seul et reparti seul ? A qui j’ai parlé ?”
Barman : Mhh, de ce que je me souvienne, tu es arrivé seul par contre n’as parler qu’à une seule personne, tu es d’ailleurs reparti de la soirée avec elle et tu viens de ramener...D’ailleurs comment c’est passé la nuit avec Rubis?
“Avec une peau de bête et des plumes...”
Barman : “Oh tu as donc suivi mon conseil...c’est surprenant n’est-ce pas ?”
"Disons que cela fait son effet..."
Bon les infos glaner n’avait pas franchement leur importance si ce n’est que définitivement, le barman pensait que la jeune femme travaillait pour le bar. Et quand je vois la ressemblance entre elle et sa jumelle juste à côté. Je me dis qu’il y a anguille sous-roche. Red dans quoi t’es-tu encore fourré.
Au chaud !
Inaros
Finalement, ils arrivèrent enfin dans la taverne, où Inaros remarqua l’étrange femme qui ressemblait étrangement à Ivara. Elles étaient loin d’être des soeurs jumelles, évidemment, mais si on buvait un peu… Inaros secoua la tête en essayant de ne pas se perdre dans toutes les directions en cherchant une explication plausible à ce qui s’était passé entre lui et Red. Ce dernier répondait d’ailleurs à ses questions avec beaucoup de clarté. Ainsi, c’était un aventurier qui avait un temps résidé à la Capitale. Il ne semblait pas dérangé à l’idée d’être perdu dans cet endroit qui, s’y Inaros se souvenait bien de ce que lui avait déjà raconté son père, se trouvait à environ quinze jours à pieds de la boutique de Ivara. Tiens, voilà qui serait bien amusant pour rentrer. S’il évitait de dormir au maximum et qu’il avançait assez vite, avec la volonté de Ivara, il pourrait peut-être raccourcir le trajet d’au moins cinq jours. S’il louait un cheval ou aidait un marchand en l’escortant, il ne mettrait que quelques jours. C’est comme ça qu’il avait dû arriver la première fois. Il n’aurait jamais pris le risque de faire perdre autant de jours de profit à Ivara. Elle devait donc être au courant de où ils se trouvaient. Il prendrait quand même soin de laisser une petite note sur lui pour la prévenir de ce qu’il s’était passé.
Enfin, il penserait à tout cela plus tard. Pour l’instant, il fallait qu’il s’occupe de ce qui se passait ici. Après une nouvelle pique de Red, qui lui fit serrer le poing au point d’enfoncer ses ongles dans sa chair, il s’approcha de la jeune femme qui lui ressemblait fortement. Le regard de cette autre blonde s’éclaira en reconnaissant Inaros et, d’un signe de la main, elle l’invita à le suivre à l’étage. Entrant dans une des chambres, elle fut très précautionneuse en fermant la porte. Par la suite, elle fouilla dans un des tiroirs et en extirpa un bout de papier qu’elle tendit à Inaros.
La jeune femme semblait presque se confondre en excuses, rougissant très légèrement en baissant le regard. Mais qui était-elle ? Pourquoi se comportait-elle de la sorte avec lui ? L’avait-il menacé ? Il n’en savait fichtre rien et la seule occasion pour lui de le savoir était de poser un maximum de questions à cette demoiselle qui semblait être le morceau manquant du puzzle.
Cela me semblait peu probable mais cela corroborait la version du barman. Cela n’est pas étrange que je me prenne au jeu de la séduction...ce qui était étrange c’est que j’étais partit avec cette dernière vers les sources chaudes...Cela restera probablement un mystère durant les quelques heures qui me restait pour complètement me remettre de cette nuit. En tout cas, les brefs souvenirs qui me revenait m’indiquait que rien ne s’était passé physiquement entre nous...c’était à la fois une bonne chose et une mauvaise. Mais j’étais tout de même heureux de ne pas avoir conclu avec cette personne du moins du côté de mon cœur !
La réponse fut expéditive...et la pique de fin bien mérité. Je n’avais pas été très fin sur ce coup-là insinuant beaucoup de chose sur quelqu’un que je ne connaissais absolument pas. Je ne m’offusquai pas du coup de celle-ci regrettant même de laisser un tel souvenir de moi ! J’espère pour ma part, la recroiser un jour pour pouvoir peut-être dans une autre occasion me faire pardonner de cette personne probablement blessé et vexés de mes propos. Décidément cette soirée ne m’avait pas fait que du bien, loin de là...
La non-escorte sortit finalement de mon champ de vision, se dirigeant comme je lui avait suggéré vers les chariots en partance pour la capitale quant à moi et bien disons que l’avantage d’avoir un pass pour les portails de téléportation, cela n’était décidément pas un luxe. En quelques secondes, j’avais parcouru l’équivalent de plus de 20 jours de marche. Me retrouvant au Grand-port. De là je pris la direction du nord pour rejoindre ma maison dans à l’extérieur d’un petit village de campagne près de la mer. Il faut dire que dans moins d’une semaine, j’avais un rendez-vous avec celle qui occupait une grande partie de mes pensées tous les jours depuis un certain baisé.
Bon, je dois bien avouer que je ne savais trop si je devais lui parler de ma soirée...Je verrai probablement le moment venu si cela est important ou non. Mais comme, il n’y avait pas grand-chose à dire cela passerait probablement sous silence.
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