Age : 28 ans (née en 972)
Sexe : Féminin
Groupe : Noble
Spécialité/Métier/etc : Spécialisée meurtre en tout genre au nom de la beauté et d’Helmex.
En quelques mots...
Adepte du culte d’Helmex, Elizabeth Lizzie Williams est devenue assassin par son père adoptif, Jack Williams. Elle veut libérer le monde de sa laideur. Faites attention à vous si vous êtes en colère devant elle ! Il est fort possible que vous finissez comme œuvre d’art...
Nom du pouvoir : Brume
Catégorie : Manipulation de chose ou d’élément
Effet : Permet à Eli de se transformer en brume. Dans cette forme, elle peut passer partout où de l’air peut passer (fenêtre, trous, etc).
Durée de l’effet : Eli peut rester en tant que brume pendant cinq minutes. En temps de latence de une heure est nécessaire entre chaque utilisation.
Zone de l’effet : Le pouvoir n’est utilisable que sur Eli. Tout ce qu’elle porte sur elle (vêtements, objets) se transforme en brume. Si elle est en contact avec une autre personne, celle-ci n’est pas affecté par son utilisation. Transformée en brume, Eli peut aller où elle veut, sans limitation de distance. De plus, comme il s'agit de brume, Eli est intangible sous cette forme.
Si, par malchance, une partie de cette brume est prise au piège dans une boîte hermétique, Elizabeth verra la partie de son corps rester en brume jusqu'à ce qu'elle la récupère (partie intangible). Néanmoins, elle ne ressentira pas les effets de cette perte (si c'est son ventre, son système digestif reste fonctionnelle. Si c'est un bras / une main, elle ne pourra se saisir d'objet)
Contre-coup : Pour deux utilisations consécutive, Eli ne ressent pas de fatigue. Pour chaque utilisation supplémentaire (répétitive, en respectant l’heure de latence)la fatigue se fait de plus en plus présente. Si elle utilise son pouvoir toute la journée, elle devra se reposer toute une journée entière.
Si il lui manque une partie de son corps, Elizabeth se sentira de plus en plus fatigue. Si elle ne récupère pas sa partie sous cinq heures, elle tombera inconsciente.
Faiblesse : Le vent, tout simplement. Même si elle peut contrôler sa trajectoire, si elle utilise son pouvoir par météo venteuse, elle ira où le vent la mène.
PHYSIQUE
De grande taille, Elizabeth possède un charme...fou ?
Suite à un accident, elle a perdu la vue de son œil gauche, devant le couvrir d’un cache. Son autre, qui voit très bien, est d’un jaune irisé. Elle porte généralement avec un long manteau foncé et d’une mallette. La légende raconte qu’elle n’a pas de fond…De plus, une paire de ciseau et un petit miroir sont accrochés à sa ceinture. Elle porte également le symbole du culte d’Helmex autour du cou. Généralement caché sous ses vêtement, quiconque le verrait ne saurait pas à quoi il correspond, sa religion n’étant pas très répandue (pour l’instant…)
CARACTÈRE
Pour elle, assassiner des personnes n’est pas un crime. Elle les aide à rester magnifique pour l’éternité. Elle a apprit à se contrôler en public, mais ne la chauffer pas trop. Elle saura vous dire quand quelqu’un de moche se fait (un bout de salade coincer entre les dents, un cheveux de travers…). Elle vous aidera même à vous rendre jolie (selon ses goûts bien sûr).
Mis à part ça, Elizabeth est une personne très gentille, toujours souriante. Par contre, elle ne vous fera pas confiance, suite à une mauvaise aventure avec sa mère biologique.
An 985
Tant de joie, de bonheur, d’allégresse. Les rires s’échappant des maisons, la bonne humeur à chaque coin de rue. Comment font-ils pour être aussi heureux ? Comment font-ils pour passer à côté de ça ? De moi ?
- Mère ! Mère ! Qu’allons-nous manger ce soir ? Demande une petite fille de cinq ans, sa robe bleu clair virevoltant à chacun de ses pas.
- Il y a de la viande de rapidodo qui cuit, ma chérie.
- Mais j’ai faim ! J’ai faim !
- Et bien arrêtons nous dans cette boulangerie, finit par conclure le père, un sourire aux lèvres de voir sa fille si vivante.
Ils passent alors à côté d’une ruelle sombre, comme tout le monde, sans prendre le temps de regarder à l’intérieur. Et qu’est-ce qu’ils auraient pu trouver ? Une jeune fille, cheveux courts, qui ne peut faire que les poubelles pour manger. Une enfant sale, cheveux gras, vêtements déchirés.
- Parfait ! Un bout de pain pas trop moisi !
Oui, il sera parfait pour ce soir. Je pense même qu’en fouillant un peu plus loin dans la poubelle de la boulangerie, je pourrais trouver du gâteau. Un bon repas, que je n’ai pas eu depuis longtemps.
- Encore toi ?!
Le boulanger arriva par derrière, et m’assigna un coup de pied dans les côtes. Je vole sur plusieurs mètres, avant de m’écraser contre une palissade en bois.
- C’est à moi ça, sale gamin ! Si t’en veux, tu payes !
Je tousse bruyamment. Son coup est arrivé pile au même endroit que la dernière fois. Le souffle court, je me met sur mes genoux, et le regarde avec mon air le plus suppliant possible.
- Kof Kof...je vous demande pardon, messire...Je..je ne reviendrais plus. Mais par pitié, laissez-moi prendre ça ! Je vous en prie !
Sentiment de pitié ? De supériorité ? Qu’importe, le principal, c’est que je peux repartir avec ce morceau de pain. Heureux de ma trouvaille, je longe les murs pour rentrer chez moi.
Et chez moi ? Une maison close. Mère m’a eu avec un de ces nombreux clients. Je ne le connais pas, mais mère dit que c’est mieux de ne pas savoir. Je la retrouve sur le lit, simplement couverte d’un drap blanc. Un client venait de partir, cela ne fait pas de doute.
- Mère ! Regardez ce que j’ai trouvé !
Elle est belle, mère. Malgré son âge, elle garde un air angélique. Quand elle me voit arriver, son visage s’illumine. Oui, qu’est-ce qu’elle est belle, mère.
- Elizabeth, tu es enfin rentrée. Ho ! ET qu’est-ce que tu as trouvé, cette fois ?
- Un morceau de pain !
- Quelle belle trouvaille, ma chère fille ! Je suis si fière de toi.
Mère me prit dans ses bras. La chaleur de son corps, le battement de son coeur...cela fait tellement du bien.
- Me laisserais-tu un peu de temps pour que je m’habille ? Va lire dans les escaliers en attendant.
- Bien sûr mère ! Je vais continuer ce livre sur la médecine !
Dans les escaliers depuis cinq minutes et plongée dans ma lecture, je n’ai pas entendu la femme passer à côté de moi et monter jusqu’à chez ma mère. Seul son cri me tira de ma lecture. Je me dépêche de monter et la trouve, dans une robe blanche, à quatre patte au sol, le visage couvert de larmes.
- Mère ? Que ce passe-t-il ?
- Tu..tu m’avais promis de me sortir d’ici...Tu m’avais jurée de me sortir d’ici !
En y regardant de plus près, je peux apercevoir un journal posé au sol, entre ses mains. Je ne peux y lire que le gros titre, comme quoi un noble se serait marié.
- Tu aurais dû t’en douter, Lizzie ! Des nobles qui font de telles promesses, on en a toutes eu, dit enfin la femme. Comment as-tu pu être aussi naïve ?
- VA T’EN !
Mère se remet alors à pleurer. Rapidement, je lui apporte un verre d’eau. Pauvre mère, je n’aime pas la voir comme ça. Son visage est complètement métamorphosé. Il n’y a que de la peur, de la colère. Vraiment quelque chose de très laid.
- Tenez, mère. Buvez un peu.
- Ne me touche pas !
Le verre vient se briser un peu plus loin. Essayant de toujours sourire pour la rendre un peu plus calme, je m’approche un peu plus d’elle.
- Ça va aller. Toutes les deux, on...
- TAIS-TOI ! Si j’avais su…
Mère se lève et se tourne vers moi. Son visage est vraiment hideux. Toute la beauté, toute cette jeunesse qui émanait d’elle s’est complètement dissipé pour ne laisser que de la laideur.
- Si j’avais su, je ne t’aurai pas donné naissance ! Sans lui, tu n’es rien. Tu ne sers à rien ! J’aurai dû te tuer à coup d’aiguilles.
- Mais...mais j’ai cru que tu m’aimais…
- Tous ces efforts ! Toutes ces choses que j’ai faite pour toi! Rien, tout n’a servis à rien !
Mère prit alors mon livre de médecine et me le lança au visage, me blessant à l’œil gauche. Tout cet amour que j’ai cru vrai, toute cette gentillesse qu’elle me donnait...tout était faux ? Mais pourquoi ? POURQUOI ? Moi, je l’aime, je l’aime beaucoup. J’aime sa beauté, son magnifique visage. Mais dans cette colère qui l’a caractérise maintenant, je ne vois que de la laideur. C’est la chose la plus horrible que j’ai pu voir.
Le visage couvert de sang, je continue à savoir, et ouvre les bras pour aller accueillir son corps hideux.
- Ça va aller, mère. Faites-moi confiance.
- Sale petite mer…
Je resserre mes mains autour de son cou. Sous le coup de la surprise, mère n’a pas le temps de se débattre. Je la sens essayer d’enlever mes mains, mais ma prise est trop bonne, et la fatigue de son corps lui fait du tort.
- Je vais te délivrer de ta laideur.
Dehors dans la nuit, je me recroqueville sur les marches de la maison close. Le corps sans vie de mère est à l’étage. j’ai réussi à enlever de son visage toute la laideur. Elle est magnifique pour toujours. Sa beauté est maintenant une œuvre éternelle.
Une fine pluie commence à tomber. Est-ce qu’il faudrait que je remonte ? Non, je risque d’enlever la beauté de mère avec ma saleté.
- Bonjour, Elizabeth.
Je lève la tête. Un homme avec une longue cape et un chapeau haut de forme noir me fait face.
- Bonjour, messire. Je vous laisse rentrer.
- Je ne viens pas pour les femmes de l’étage. Je sais ce que tu as fait, et je viens d’offrir un toit et une famille.
- Que...
- Suis moi, et je répondrais à toutes tes questions.
Ais-je le choix ? Peut-être bien. Mais plus je le regarde, plus je vois sa beauté. Une élégance, une délicate beauté. Calmée par tant de calme, je le suis sans faire de scène.
- Comment vous appelez-vous, messire ?
- Jack. Jack Williams.
An 990
- Eli, es-tu prête ?
- Bien sûr, père. Vous me préparez pour ça depuis cinq ans.
- Il s’agit quand même de ton entré dans le culte.
- Tant qu’elle est magnifique, tout se passera bien.
Après cinq ans d’entraînement aux combats, de compétences annexes, de cours d’étiquette, je vais pouvoir enfin rentrer dans le culte d’Helmex. Le culte de père. Je vais enfin faire partie de l’ordre. Habillée de noir, je rentre dans une pièce simplement éclairée d’une dizaine de bougie. Cinq silhouettes me font face, également drapées de la tunique emblématique du culte.
- Elizabeth Lizzie Williams, faîtes un pas en avant pour rentrer dans le cercle.
Au sol, un parfait cercle rouge est dessiné. Un pas en avant, et je suis dedans. J’ai déjà eu le droit à plusieurs répétition, je sais très bien comment la cérémonie doit se passer. Mettant un genou au sol, je tends les mains pour recevoir un couteau. Une des silhouettes arrive et me tend l’objet.
- Maintenant, récitez.
- Moi, Elizabeth Lizzie Williams, fille de Jack Williams, fait le serment de donner mon corps et mon âme au Dieu Helmex, seul dieu dans mon coeur. Je ferai la chasse aux hérétiques, aux croyants de cette fausse religion qu’est celle de Lucy.
Je prend le manche de couteau de ma dextre, et tranche la paume de l’autre main. Un fin filet de sang coule sur le sol.
- Par cet acte, je lie mon corps et mon âme à celle d’Helmex. Et si ma loyauté faillit, je mettrais fin à mes jours. Gloire à Helmex, gloire à sa foi.
De nos jours
Cela fait maintenant dix ans que je suis dans l’Ordre. Au-fur-et-à-mesure des années, je suis montée dans la hiérarchie. Commençant en tant que simple adepte, je me retrouve maintenant dans le haut du panier. Une belle progression que je dois entièrement à mon dieu.
Depuis quelques jours, je suis également à la tête de la famille Williams. Père m’a laissé sa place, me permettant de créer mon réseau. Je peux maintenant agir à ma guise et donner une plus grande renommée à Helmex. Mais père m’a mise en garde : en tant que noble, il faut que tout soit parfait, qu’aucune bavure ne vienne salir notre réputation.
Je continue tout de même à travailler dans l’ombre pour moi-même. J’enlève toute la laideur du monde. Je crée mes œuvres et permet au monde entier de les observer. Comme les différentes victimes n’ont pas de liens avec moi, j’arrive toujours à m’en sortir. Étouffement, suicide, conséquences de malchances...tout était bon pour faire passer ça pour quelque chose de normale, et non pas un meurtre.
La nuit, je m’équipe de la cape et du chapeau haut de forme noir de père et de mes ciseaux favoris. Les cibles ne manquent pas, surtout à la capitale. Et celles sur lesquelles j’ai le plus de travaille, se sont les travailleuses des maisons closes. Qu’est-ce qu’elles sont laides ! Mais pas d’inquiétudes, je suis là pour les rendre magnifiques.
Rentrant dans une des ces maisons par une fenêtre, j’attends le venue de ma prochaine œuvre. Elle arrive enfin, et je lui donne mon plus beau sourire.
- Ma dame, votre laideur me fait mal...laissez-moi vous aider.
Ton pseudo : Kervy
Parle nous un peu de toi par ici : Bientôt toulousaine, on espère ! J'aime toujours autant lire, et regarder la TV (surtout, qu'on ne me dérange pas le vendredi soir D8)
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Les ombres....j'adore les ombres **
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Passé beaucoup trop compliqué pour moi :0
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Aller aux sources chaudes de la Forteresse !
Côté HRP
Double compte ? Rebecca Hekmatyar // Chrystielle Keyser
Comment as-tu connu le forum ? //
Un truc à rajouter ? //
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
- Code:
Pour un personnage féminin :
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]NareunHAO (Yoon Jaeho)[/b], OC @"Elizabeth L.Williams"
Bienvenue sinon
Votre langage est fort vilain. Mais ne vous inquiétez pas, j'enlèverai toute cette laideur pour vous rendre la plus magnifique possible...
(Merci <3)
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