Informations générales
Age : 30 ans
Sexe : Masculin
Groupe : Noble
Spécialité/Métier/etc : Gérant de la compagnie Murmevent

En quelques mots...
Si gentillesse devait se traduire par une personne, ce serait sûrement Liory, dont l’empathie naturelle le pousse sans cesse à se fendre d’un sourire que ce soit dans les moments de joie, ou dans ceux de tristesse, ne serait-ce que pour montrer aux autres qu’une parcelle de bonheur subsiste, même au fond de l’abîme.
Un noble d’une taille normale, dont la carrure n’impressionnerait pas grand monde, mais dont les talents aux combats ne sont pas sa principale qualité. Aimant les armes pour leurs aspect artistique, et l’escrime pour ses vertus relaxante, il tache d’éviter autant que possible les débordements hasardeux, convaincu qu’il vaut mieux discuter que tirer l’épée.

Le pouvoir
Nom du pouvoir : Metaomancie
Catégorie : Manipulation des choses et des éléments

Liory maîtrise le métal, capable de former et déformer n’importe quel objet fait de métal par l’action de sa pensée. La taille des objets influe directement sur la difficulté de la maîtrise.
Déformer une bille de grenaille se révèle d’une facilité déconcertante, alors qu’une poutre de support demanderait quelques minutes et beaucoup de fatigue, néanmoins, incapable de créer du métal, il devra respecter la masse de l'objet et ne pourra donc pas fabriquer une épée à partir d'une bille.

Ce pouvoir est utile uniquement en présence de métaux, et le jeune homme est incapable de manipuler quoi que ce soit s'il ne le touche pas. Une utilisation trop prolongée et au delà de ses limites produira courbatures et maux de tête, et en cas de surutilisation, le pratiquant risque tout simplement de faire éclater certains vaisseaux sanguins
Il faut compter dix minutes d'utilisation consécutive, qu'il faudra espacer d'une période de repos d'au moins une heure


Palier 1 Offensif : Permet d’utiliser le métal de manière offensive (Façonnage offensif, projection, broyage, etc...).

Palier 2 : Défensif : Non maîtrisé

Palier 3 : Utilitaire : Non maîtrisé

Description
Un noble se doit d’être beaucoup de choses, et ce terme censé désigné autant un statut qu’un état d’esprit va comme un gant à Liory. Si sa voix ne transit pas les gens de peurs, elle possède ce timbre chaud, emplis d’un fort accent du sud qui lui donne une mélodie certaine apte à faire voyager les gens vers un pays moins froid et plus ouvert.

Maniéré quand il le faut, toujours poli, le jeune homme ferait un parfais courtisan si les intrigues ne l’ennuyaient pas autant. Porté sur les vraies valeurs plutôt que les faux semblant, il est ce genre de personnes qui pourraient descendre pousser sa propre calèche pour aider ceux supposés le servir. Et ce au grand dam de son titre et de ses fonctions.
Aimant les affaires, il tire une grande fierté de sa compagnie, unique bien provenant de sa famille qu’il pourrait chérir.
Mais loin d’être exempt de tout défaut, il reste quelqu’un se vexant assez facilement, s’attendant à être traité de la même façon qu’il traite les gens, et il ne serait pas exagéré de dire qu’il méprise de près comme de loin, n’importe quelle personne lui manquant de respect, ou manquant de respects aux autres en règle général.

Physiquement, il pourrait presque passer inaperçu si ce n’était ses cheveux argentés et ses yeux bleus. Son physique est largement avantageux, et s’il ne fais pas tourner toutes les têtes, ce n’est qu’à très peu d’exception. Mais comme il dit souvent, « on prend un livre pour la couverture, on le lit pour son contenu »
Conscient d’être un nanti malgré son rejet familial, il tente à tout prix de cacher ses propres soucis, bien plus heureux d’aider les autres plutôt que de se plaindre de lui même.

Appréciant autant chanter que danser, son cœur aime particulièrement user de divers instrument pour égayer les soirées auxquelles il participe, quitte à offrir quelques boissons aux musiciens pour le prêt d’instrument.

Histoire
« Pourquoi ne suis-je pas né en premier ? »
C’était une question qui avait souvent tournée dans l’esprit du jeune Liory. Pourquoi n’avait-il pas eu la chance d’être autre chose que le second enfant ?
Telle était la voix de chaque aîné de la famille : gérer une partie de l’entreprise colossale qu’était devenue la Prévoyance. Mais si ce destin prestigieux avait pas été pour lui. Le dernier né des Alkh’eir n’avait été considéré que comme un élément supplémentaire, un rouage de rechange d’une machine qui était déjà parfaitement huilée.
Et comme toutes les pièces supplémentaires… il avait été mis au placard. Attendant sagement qu’on  se serve de lui.
Mais ce moment n’était jamais venu. La grande famille avait trouvée un aîné compétent et le petit dernier avait été laissé à sa vie. Ce fut une bénédiction pour son développement, mais une ruine pour les liens familiaux

Vu comme l’oubliable, Liory fut confié aux bon soins d’un oncle qu’il était tout autant, un obscur membre éloigné de la famille qui assurait une production d’objets en tout genre.
L’homme, aussi ignoré qu’il était, s’avérait être un excellent marchand, contrôlant ses propres ateliers de forge et d’enchantement avec tout l’amour d’un passionné. Et ce fut avec cette même passion qu’il enseigna tout ce qu’un jeune enfant désabusé pouvait apprendre.

Les lunes passèrent, et si son amour pour sa famille ne grandit pas autant que lui, le petit fit quelques rencontres qui ravivèrent son sourire jusqu’à aujourd’hui.
Quelle ne fut pas sa découverte de découvrir les autres parias des Alkh’eir… Et de finalement réaliser que cette immense machine faisait des laissés pour compte.
« Calixte », un autre délaissé de la branche principal, laissé pour compte tout comme lui. Et si leurs ressemblance était frappante, elle n’égalait pas pour la moitié leurs complicité qui ne cessait de grandir au fil du temps.
A tel point qu’il fut difficile de voir l’un se faire réprimander sans entendre l’écho des mêmes reproches chez sa copie.

Sa petite vie commença à prendre du sens avec la fatigue d’oncle Anduin. Et à peine adolescent, ce fut Liory qui commença à s’occuper des affaires les moins importantes.
Petits dégâts dans les ateliers, un client légèrement mécontent… Petit à petit, Liory gravit les échelons dans la confiance de son oncle qui au fil du temps se retira progressivement pour lui laisser son petit empire.
Et ce ne fut qu’un beau matin que la secrétaire de la compagnie s’adressa à lui comme « lord » pour sa plus grande surprise.

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-Lord Alkh’eir ?

S’enquit la jeune femme avec un air quelque peu inquiet sur ses traits, ne manquant pas de faire sursauter Liory de son bureau
Vêtu d’un beau costume à même de représenter son rang, le jeune homme trouva presque incongru de se trouver derrière le bureau dont il n’avait connu que la façade avant.

-Vereesa, pourquoi tant de manière ce matin ?

Dit il avec le même sourire affable que tout les jours. Ce n’était pas comme s’ils avaient partagés un lit la nuit même. Jamais son nom n’avait été évoqué, ni même un quelconque titre. Cette simple phrase lui fit craindre le pire avant que la demoiselle ne lui tende un dossier au papier jauni par le temps.

-Encore une archive que j’ai oublié de trier c’est ça ? Tu sais oncle Anduin, ne regarde pas trop les dossiers en ce moment, je pense qu’il à la tête ailleurs, peut être une nouvelle conquête en vue ?

-Il ne s’agit pas de ça j’en ai peur Milord, je vous prie de vérifier le contenu.

La voix le mis encore plus mal à l’aise et c’est presque fébrilement qu’il déplia le papier. Un acte notarial comme il en voyait des dizaines tout les jours et ce fut avec un soupir d’habitude qu’il commença à le lire à voix haute

« Jour 3 de la 1ere Lune année 990

Moi, Anduin Alh’heir, fils de Morr Alkh’eir et de Nya Alk’heir, troisième dans la lignée d’héritage décrète :

Que toutes mes possessions, physiques ou morale et au jour de la signature de ce présent décret appartiendront à mon petit cousin Liory Alkh’eir et que, par conséquent, il sera fait Lord dirigeant de la compagnie Murmevent.
Que ce présent décret sera envoyé au palais sitôt signé pour qu’il soit officialisé

Anduin Alkh’eir »

Liory se mit à rire devant le document, un rire nerveux qui lui fit lâcher le vélin avant d’écarquiller les yeux vers son amante de la veille qui lui répondit par une révérence digne de son rang .

-C’est une mauvaise blague c’est ça ?

-Absolument pas, votre cousin l’a ratifié ce matin, et m’a appelé pour que je l’envoi via messager au palais pour proclamation officielle

-Tu pourrais m’apporter… n’importe quoi… un rhum… une liqueur s’il te plaît ?

-Oui messire

Dit Veressa en s’éclipsant avec une douceur qu’il n’avait jamais vu auparavant. Laissant Liory à la tête de son nouvel empire et surtout… seul devant son grand bureau.
La première chose qu’il fut d’essayer de ne pas paniquer, plaquant une main crispée sur sa poitrine pour éviter l’hyperventilation.
Mais rien ne fit et ce ne fut qu’avec le verre d’alcool fort qui lui fut déposé sur un plateau en argent qu’il reprit un semblant de contenance.

-Veressa… je ne suis pas prêt

-Je pense que si messire, vous n’occupiez pas ce siège avant, mais Messire Anduin à toujours tout fait pour que vous y soyez déjà habitué.

S’en suivit plusieurs minutes d’une discussion faites de beaucoup de questions pleines de doutes, répondues par autant d’affirmations pleines de certitudes.
Et au fil des heures, le jeune homme finit par découvrir qu’effectivement, rien de tout cela ne lui était étranger.
Chaque prise de décision, il l’avait déjà fait au moins une fois. Et ce ne fut que quelques jours plus tard qu’il comprit tout le génie de son cousin Anduin.
Sa première lettre fut pour une connaissance chère à son cœur, que la vie avait temporairement séparée de lui sans lui.

« Mon cher Calixte

Voilà bien des lunes que je ne t’ai pas vu… J’ai peur qu’il te soit arrivé malheur. J’espère que la garde te ménage et que tes ennuis actuels sont gérables.
Sache que Anduin m’a aujourd’hui nommé à la tête de la compagnie Murmevent, j’aurai aimé te compter à mes côtés en ce jour, mais le devoir est un appel prioritaire.
Porte toi bien, et reviens me voir au plus vite

Ton cousin
Liory »

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Les années passèrent, et le contact avec son fougueux cousin revinrent à la normale, et le jeune homme terrifié, à la tête d’une entreprise qui lui paraissait trop grande pour lui devint un homme élégant, au sourire omniprésent.
Si son sens des affaires et des responsabilités avaient été aiguisés par Anduin, le contact humain était naturel chez lui. Que ce soit à cause du rejet de sa propre famille, ou des nombreuses expéditions dans le Grand Port avec son cousin.

Côtoyant nobles comme roturiers, il semblait toujours avoir le mot juste pour les gens. Faisant de son mieux pour que chaque personne semble à l’aise avec lui. Et malgré ses tenues strictes, il n’hésitait jamais à l’enlever pour aider ses propres employés. Ainsi, le petit nobles oubliés devint un incontournables chez ses employés à tel point que contrairement à beaucoup de compagnie, Murmevent connu un essor incroyable, poussée aussi bien par Liory que tout ses employés, plus que ravi d’avoir quelqu’un d’aussi doux.
Certains le disaient la quintessence de la noblesse, aussi bien dans le titre que dans ses façons.

Et ce ne fut qu’après moult péripétie et investissement qu’il installa son propre manoir aux abords de la capitale, pour être plus proche des plus gros clients potentiels.
Des clients mais aussi de quelqu’un qu’il n’avait pas vu, du moins pas en vrai, depuis bien des années, même si leurs lettres ne cessaient vraiment.

Et c’est avec un sourire plein de malice qu’il débarqua au palais, pourvu de son titre et d’une autorisation en bonne et due forme.
Liory avait bataillé pour avoir cette petite chance d’apercevoir son amie, mais rien n’y fit, entre les gardes et les courtisan, la reine n’était pas visible…
Ce ne fut que le soir qu’il rédigea une nouvelle lettre.

« Ma chère Allys

Ou peut être devrais-je dire votre Majesté Renmyrth, reine d’Aryon par droit de naissance, grande protectrice du peuple ?
Oublions ça, mon amie, j’ai essayé de te voir aujourd’hui, mais ta cours est plus imperméable que le dôme de la cité aquatique. Il est loin le temps des jeux sous les dômes, que ce soit au ballon ou à chat.
Bien que j’ai peu de chances de pouvoir te voir en privé dorénavant, sache que comme nous en avions parlés, je suis à la capitale, un peu plus près de toi qu’avant.
Promis je ne viendrais pas te vendre mes produits !

Sache que malgré les années et les titres, je te considère toujours comme Aly, qui m’a coûté une semaine de pain sec pour une histoire de vitre brisée.
Malgré les nouvelles pour tes enfants, j’espère que tu te porte bien, et si d’aventure tu souhaiterai venir à la maison mère de la compagnie, je ferais de mon mieux pour te recevoir dignement

Ton ami
Liory »

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Quelques mots sur toi
Ton pseudo : Hex
Parle nous un peu de toi par ici :Vous le savez déjà  

Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Apparition d'objet en tout genre !

Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Liory est tellement plus calme, pourquoi pas oui
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Bonne question tiens  

Côté HRP
Double compte ? Arthorias Hekmatyar
Comment as-tu connu le forum ? J'en suis
Un truc à rajouter ? o7
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)

Code:

Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]SERAPH OF THE END[/b], Hiiragi Shinya @"Liory Alkh'eir"