Informations générales
Age : vingt-neuf ans
Sexe : masculin (il/lui)
Groupe : nobles
Spécialité/Métier/etc : héritier de mauvaise grâce de la tradition joaillière de sa famille ; commerçant médiocre ; excellent dans l'art de la diatribe option moquerie ; nanti & déception familiale les jours ouvrés de 8h à 21h et une fin de semaine sur deux.

En quelques mots...

Bartelot, Bart pour les intimes - mais surtout pas Barty, il déteste ça - est le fils ainé de la famille Whytlys et malheureusement pour lui, l'héritier principal du savoir ancestral pour la joaillerie qui s'y transmet. Il se présente sous le profil d'un noblion moqueur et grognon, qui aime la provocation et les jeux de mains (et de vilains).
Il n'est pas trop complexe de l'aborder, puisqu'il est poli, plutôt beau et souvent souriant ; mais il se déchargera facilement de toutes responsabilités si vous êtes agacé ou bien même blessé par ses propos et son ton moqueur.
De facto il n'a pas que des amis.
Mais il n'a pas que des ennemis non plus. Il sait être drôle et d'une compagnie intéressante quand les astres sont alignés.

Il a rêvé toute son enfance d'entrer dans la garde, comptant sur sa soeur pour être l'héritière des traditions joaillières familiales.. Avant de voir sa vie lui échapper lorsque ses parents décidèrent que ce serait lui qui serait l'héritier principal, plutôt que sa soeur, bien trop fragile. Sa soeur pour qui il nourrit une amertume sans commune mesure depuis lors.
Il a grandit, dans un climat d'une lourdeur étouffante, avec un père aux aspirations bien trop élevées et constamment derrière son épaule pour surveiller ses faits et gestes.
Une figure paternelle au regard inquisiteur et ne cachant pas sa déception à la découverte de la médiocrité irrattrapable de son propre fils pour les affaires et l'art de la famille.

trivia. il préfère le salé au sucré et n'est d'ailleurs pas foutu de préparer la moindre pâtisserie sans faire brûler la baraque. un chat a élu domicile dans sa chambre un matin d'hiver, il s'en occupe depuis. il est très bon cavalier et possède son propre cheval. il déteste tout le monde à peu de chose près. il gagne souvent la bagarre parce qu'il a un atout dans sa manche. le romantisme est un concept qui lui échappe. il préfère les nichons de ce que l'on sait.

Le pouvoir
Nom du pouvoir : les yeux du ciel
Catégorie : physique & passif

Dans une espèce de tradition ironique familiale, à l'instar de sa soeur cadette, il éprouve quelques difficultés quand à la maitrise - ou tout du moins, à l'appréciation du potentiel de sa propre capacité. Capacité qui réside dans ses yeux, dont la couleur d'un bleu très marqué et bizarrement facetté comme pourrait l'être une pierre précieuse, témoigne du fait qu'ils sont le réceptacle de sa singularité.
Un peu à la manière de ceux des insectes, ses yeux sont sensibles à toutes sortes de variations de lumière, de mouvement - sans pour autant atteindre le niveau des yeux composés du règne animal mais allant bien au delà de ce dont un être humain lambda est capable - il voit tout et surtout tous les détails que personne ne voient. Cette capacité de captation de détails visuels accrue fait de lui un excellent adversaire en combat, capable d'anticiper des intentions grâce à de subtiles mouvements de mains, de pieds, de visage et de regard. Un bon détecteur de mensonge aussi.
Mais un mauvais joaillier - au grand damne de son père -, indécrottablement mauvais.

De par leur nature, ses yeux sont très sensibles et il ne peut pas pleinement exister au quotidien sans porter des lunettes aux verres très foncés, atténuant les sollicitations visuelles.
Il ne peut pas, non plus, rester trop longtemps le regard fixé sur un point en particulier, il finit invariablement par ne plus rien voir et récolte des migraines ophtalmiques qui peuvent durer plusieurs heures, voire une journée entière. Il lui arrive de passer des journée entière affublé d'un épais bandeau noir dans le but de s'isoler du mieux qu'il peut. Il a de la peine à contrôler le focus et semble toujours regarder partout et nulle part à la fois.

Il est probable, aussi, dans une certaine mesure, que les désagréments engendrés par ses yeux ne font qu'envenimer sa propension à être un personnage imbuvable et volontairement désagréable (mais ça reste à prouver).

Description

physique.
un mètre soixante dix-neuf crâne chauve, cinq centimètres supplémentaires avec les cheveux. environ soixante-dix kilos de muscles de bagarre, d'os et d'amertume. conserve volontairement un style vestimentaire en apparence minimaliste mais fait de tissus riches et de détails luxueux. né avec un blond platine délicat, ses cheveux se sont éclaircis en un blanc lumineux ces dernières années.

personnalité.
L'impertinence le caractérise dans ses rapports aux autres, il est moqueur, il est agaçant et volontairement insultant, sous le couvert d'une politesse exacerbée, presque caricaturale.
Il sourit souvent et a développé au fil du temps, une palette d'expression faciale qui maquille presque parfaitement son hostilité intrinsèque envers le reste du monde.
Bart est contrariant parce qu'il est contrarié, à la manière d'un enfant capricieux, il ne saurait laisser aux autres du répit quand lui-même n'en a pas. Comme il ne sait comment évacuer ses frustrations quotidiennes et cette colère qui le ronge, il se décharge - bien malheureusement - sur toutes les personnes à sa portée.
Et puis, si son interlocuteur survit à cette première salve de mesquinerie, il finit par se détendre, un peu, restant provocateur et prétentieux mais foncièrement moins désagréable. Se developpe alors le pan de lui-même qui est rempli d'une dose d'humour inattendu et d'un sens de la fête insoupçonné.

Il aime, en vérité, passer des nuits entières à participer à toutes sortes de bacchanales, bals et autres trivialités où il excelle dans l'art de perturber les mondanités avec des comportements inattendus.

C'est un homme malin, quoi que quelque peu mesquin, dont certain trouve dans son ton provocateur une sorte d'attrait, alors que d'autre préfèrerait bien lui enfoncer un poing ou un pied dans des zones molles ( mais pour ça, encore faudrait-il l'attraper ).
C'est un indécrottable emmerdeur qui a un nombre de bagarre, ma foi, correcte à son actif, beaucoup gagnées, quelques unes perdues.
C'est une personnalité parfois dure à suivre, chaotique et mauvaise.

Noblion impertinent, il porte sa personnalité comme une épaisse cape de fourrure, s'engonce à l'intérieur pour ne pas avoir à sentir le froid du monde extérieur. Mais sous sa cape il fait toujours froid, le gel a prit racine à l'intérieur de lui et s'est étendu, cristallisant au fil du temps toujours un peu plus ses griefs, son amertume, ce sentiment d'injustice cosmique qui le fait trembler de colère presque chaque nuit. Et puis sa tristesse. Immense et insondable. Marasme fait de rêves d'enfant écrasés et d'une espèce de croque-mitaine qui prend la forme de son père, le visage déformé par la déception et le dégoût d'un fils en qui il avait placé tant d'espoirs.

En grandissant, il a juste apprit à ravaler ses larmes et son vomi, offrant un terrain fertile pour la corruption de son esprit. Bartelot, c'est un jeune homme troublé, ses espoirs écrasés ont moisis dans un coin de son esprit, répandant des spores noires sur sa vision des choses. Il se sent souvent coincé, écrasé par des responsabilités dont il ne veut pas.
Et ne saurait, bien sûr, se confier puisque la seule personne qui serait probablement à même de comprendre les détails de son mal-être, c'est sa soeur.
Et il se borne à l'éviter, à la détester, à faire d'elle une des figures de sa vie ratée.

Histoire
Ce qu'il y a à savoir sur la vie qu'a mené Bart jusqu'à présent peut se condenser en l'évocation de quelques événements bien distincts dans le temps.

Il y a tout d'abord, à l'âge de trois, peut-être quatre ans, la découverte de la garde et des figures héroïques qui la composent, tout cela condensé en une seule personne, venue au manoir des Whytlys pour une histoire de commande. Il est tout petit, et c'est un de ses premiers souvenirs - aujourd'hui probablement déformé par le temps et l'impression que lui a fait cette personne. Le port altier, l'épée et le sentiment d'importance. Tout ce décorum qu'emporte avec eux les gardes les plus importants. Aujourd'hui, il ne saurait formellement identifier cette personne - incapable même de déterminer son genre - mais le souvenir de son aura et de l'épée scintillante à son côté reste pour lui une source sans fin d'admiration.

Puis il y a, quelques années plus tard, sous l'influence conjointe de sa mère qui l'exhorte à trouver une activité l'empêchant de se bagarrer sans cesse et celle de sa propre incapacité à tenir en place, il décide de soumettre à ses parents son envie de faire partie de la garde, à sa manière d'enfant. Il est petit, mais vaillant et puisque sa soeur est là pour reprendre l'affaire familiale, il lui sera laissé le choix de sa carrière. Privilège de l'ainé.
Son père aspire à ce qu'il entre dans de hautes fonctions, qu'il soit une fierté pour la famille, sans jamais en ternir le nom - il commence à cette époque à mettre en place les plans de vie idéaux qu'il a imaginé pour sa progéniture...

Vint alors le fatidique point de non retour où, à seulement deux ans de pouvoir prétendre entrer en internat, les choses lui échappent de façon dramatique. Plus de garde, plus d'entraînement, plus le droit de choisir de suivre sa voie - à peine a-t-il le droit de conserver cheval et dignité. Sa soeur est trop frêle, trop fragile, trop inutile, elle ne sera jamais une bonne héritière, pensera le paternel. C'est à toi de reprendre le prestigieux héritage familial, tu dois cesser tes caprices d'enfants et devenir un homme. Dès demain tu prendra un nouveau précepteur et tu viendras avec moi en courses. Tout ce qu'il avait rêvé, tout ce à quoi il avait aspiré, balayé d'un revers de la main - et cette petite soeur, qui n'avait été jusque là qu'un désagrément mineur, devenait le réceptacle de sa colère. Et comme malheur n'arrive jamais seul, c'est à ce moment que son pouvoir, jusque là passé inaperçu, dérailla dans les grande largeur et exprima pleinement son potentiel d'emmerdement.

Une discussion à l'arrière de la maison. Il a quatorze ans et son père le gifle si violemment qu'il gardera la marque plusieurs jours durant. C'est une déception, il ne fait aucun progrès et le plan si bien ficelé du paternel Whytlys commence lentement mais surement à se déliter dans l'amer.
Si ta mère avait été moins sotte, elle m'aurait fait de meilleurs enfants. grogna-t-il un jour entre ses dents, dans un accès de rage - avant de se reprendre et de soupirer, composant pour l'occasion le masque qu'il n'enlèvera par la suite que très peu, celui du père contrit, un brin méprisant mais surtout, oh surtout, accablé par ses propres enfants.

Il grandit en périphérie de sa soeur, qu'il se plaît à tourmenter dès qu'il la croise. Faire du bruit, répandre des odeurs immondes... Tous les sentiments négatifs qu'il nourrit atteignent un point culminant alors qu'il a dix-huit ans. Il provoque ses parents, disparaît la nuit pour rejoindre des événements où il n'est parfois même pas convié, il se bat régulièrement. Et son père continue de faire peser sa main sur lui. Il ira jusqu'à mettre le feu, enfumant une partie du manoir, sans pour autant vraiment faire de dégâts. Sa punition sera exemplaire. Quelque chose cassera ce jour là.

Les années suivantes, il n'essaiera plus activement de pourrir la vie de sa soeur, l'évitant désormais la plupart du temps, allant même jusqu'à nier son existence. Il courbera l'échine face au paternel, qui ne lui apparaîtra plus que comme une figure grimaçante, miroir de son propre échec à convenir aux exigences familiales. Sa mère cessera d'être une figure rassurante, ne devenant plus que celle qui ne réagit pas. Il entamera dés lors le façonnage du personnage qu'il se plaît à jouer désormais, à l'aube de ses trente ans.


...Et où en sommes nous ? Face à la fugue de sa soeur.
Une désertion si l'on peut appeler ça comme ça.
Et tout, encore tout, et bien plus, tout lui reviendra en plein visage.
Encore une fois.
Et il prendra sur lui, évidemment, encore une fois.

Quelques mots sur toi
Ton pseudo : duke
Bonjour. Je voulais préciser que ttes ressemblances entre le pouvoir de bartelot et les capacités de gojo sont fortuites. J'ai ni lu ni vu jjk, c'est une tierce personne qui me l'a fait remarquer et mtn je pleure un peu parce que j'ai l'impression d'avoir copié un truc sans mon consentement alors que voilà. C'est un détail nul. Merci de m'avoir écouté. Au revoir.

Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? un truc macabre voire franchement glauque.

Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? pas vraiment
Quelle serait la première chose que tu ferais ? regarder ma nouille

Côté HRP
Double compte ? nope
Comment as-tu connu le forum ? c'était il y a longtemps, nous étions des enfants... & Gardenia m'a convaincue de (re)venir pour ses beaux yeux.
Un truc à rajouter ? idiosyncrasie
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)

Code:

Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]JUJUTSU KAISEN[/b], Satoru Gojo @"Bartelot Whytlys"