Age : 28 ans
Sexe : Femme
Groupe : Aventurière
Spécialité/Métier/etc : Combattante / Aventurière
En quelques mots...
J'adore me battre. Je suis une combattante, fière. Très fière. J'ai horreur de me sentir inférieure ou plus faible. Calme de nature, je suis très agressive une fois que je dois me battre. Des armes ? J'en ai une tonne. 1 sabre : Atropos , 2 épées, 2 couteaux de lancés, 2 dagues, 1 lame secrète... Entre autre. Je suis déjà très épanouie dans ma vie, j'ai une compagne, la prunelle de mes yeux. Messieurs, vous voilà donc avertis : Me courtiser est à vos risques et périls. Et non, le risque ce n'est pas "que" moi. Eve' qui tout aussi bien de faire des hommes trop insistants des eunuques. Je porte un bandeau sur les yeux, car je ne supporte pas la lumière. Mes yeux sont trop fragiles. Je vomis, j'ai le vertige... Le karma est le roi des fourbes, quand même. J'ai besoin de lumière, si je veux être capable d'utiliser mon pouvoir au maximum. Je suis aussi un peu jalouse. Eve est à moi, et je suis à elle. Je n'aime pas quand on l'approche de trop. Oui, elle est très belle, trop belle même. Mais... non, faut pas l'approcher de trop. J'aime partager avec elle des soirées beuveries. J'ai un penchant pour l'alcool. La bière surtout. Et j'adore me battre... Je l'ai déjà dit ça, je crois.
Nom du pouvoir : Manipuler les ombres
Catégorie : Offensif
Sofia peut matérialiser sa propre ombre et la sienne uniquement. L'intensité de l'ombre détermine sur quelle distance elle peut envoyer son ombre. De nuit, sous la seule lueur de la lune, la portée sera courte voir inexistante. Plus elle "tient" d'objets avec son ombre, plus la portée sera réduite. L'ombre matérialisée est tangible. "Couper" l'ombre rompt tout lien. Pour faire simple : Ce sont comme des tentacules.
Fonctionnement : En premier lieu, il faut une ombre. Donc une source de lumière. Une fois matérialisée, l'orientation de la lumière n'influe pas sur l'ombre. L'intensité, en revanche, impacte immédiatement le "tentacule". Dans des conditions optimales et sans tenir d'objets, Sofia peut envoyer ses tentacules d'ombres sur une distance maximale de 10mètres. Par temps couvert ou autres conditions peu propices à la projection d'ombres, la distance peut-être divisée par 2. La vitesse d'action des tentacules est ni plus, ni moins, parfaitement calquée sur ce que Sofia est capable de réaliser physiquement. Si Sofia peut atteindre une vitesse de 25mk/h en sprint, l'ombre aura donc la même vitesse. Si Sofia est blessée et que sa propre vitesse est affectée, l'ombre agira moins vite. Il en va de même pour les mouvements circulaires, horizontaux, verticaux, etc. Exemple : Si Sofia est capable de sprinter à 25km/h, il faudra, à l'ombre, 1 seconde pour parcourir 6.9 mètres. L'ombre sera toujours visible pour un œil humain. Pour le moment, Sofia ne peut générer que 2 tentacules d'ombres. Sans tenir d'objet, elles peuvent rester à ses cotés pendant plus d'une heure. Sinon, 30 minutes si elle combat avec ses deux épées (un tentacule ne peut tenir qu'un seul objet). Pour les objets plus lourd, elle devra utiliser les deux, demander davantage d'effort et donc le temps de l'invocation ne durera que 15 minutes.
Ce pouvoir fait parti de Sofia comme si c'était des membres en plus. L'ombre naturelle de Sofia n'est pas tangible, elle ne l'est que lorsqu'un tentacule apparaît, sort du sol ou se déplace. Même si son but premier est d'attaquer, un tentacule pourra tout aussi bien s'interposer entre elle et une lame. Se "sacrifier". Une fois coupée, le tentacule se vaporise et l'ombre de Sofia se forme à nouveau naturellement. Elle pourra à nouveau faire appel au tentacule coupé après un délai de "repos". Imaginez simplement un sportif essoufflé qui a besoin de récupérer quelques minutes avant de pouvoir reprendre sa course. L'ombre est malléable, elle peut tout aussi bien être aussi fine qu'une brindille qu'être aussi grosse qu'une branche. La taille dépendra toujours de la quantité d'ombre disponible. Là encore, la lumière détermine cette quantité. (Soleil, feu de camp, lumière vive : grosse quantité d'ombre. Temps nuageux, pluvieux : faible quantité d'ombre. Nuit noire, aucune lumière : Aucun quantité d'ombre.) Le tentacule pourra saisir des objets, les soulever, etc. comme une main. Sa force est, au même titre que sa vitesse, équivalente à celle de Sofia.
>Pour y voir plus clair<
Je porte un bandeau devant mes yeux. Ce bandeau est fait sur mesure. Je vois, mais... C'est comme si je vivais toujours dans une ambiance un peu tamisée. Alors pourquoi le mettre ? Car je souffre d'une maladie contraignante. La lumière vive me donne des nausées, des vertiges. Un comble, pour moi, car j'ai besoin de lumière. Mes yeux sont bleus, du moins quand on les voit et ce n'est pas souvent. Mes cheveux, quant à eux, sont entièrement blancs et encadrent le reste de mon visage. Mes traits sont plutôt fins, un nez en trompette et des lèvres pulpeuses. Mon sourire, quant à lui, est éclatant, radieux et... carnassier. En effet, mes dents sont devenus des crocs, taillés. Pourquoi ? Car je trouve cela très esthétique et que je juge les dents humaines très peu adaptées à notre mode de vie... Et puis, si jamais un jour je me voyais privée de toutes armes, je pourrais toujours mordre.
Dentition de Sofia
Concernant le reste de mon corps, je n'ai rien à envier aux autres femmes. Enfin, il faut dire, je fais tout pour avoir ce corps. Je ne bouffe pas de la daube, je fais du sport chaque jour, je m'entraîne sans arrêt. Résultat : Un corps fin, athlétique, musclé, taillé pour le combat. En parlant des combats... j'ai des cicatrices un peu partout. Des cicatrices de couteaux, de lames, de crocs, de griffures. Bref, mon corps est la preuve que je vis avec les combats. Sinon... Je mesure 1,68cm et je pèse 58 kilogrammes. J'ai une belle poitrine, ce ne sont pas des pastèques, mais ce ne sont pas des cacahuètes non plus. Elle est très bien comme ça. J'ai les hanches plutôt larges, de grandes jambes élancées et puissantes.
Cicatrices visibles ici
Je m'habille toujours avec des robes noires. Mes jambes, quant à elles, sont habillées avec des bas noirs et des bottes montantes en cuir noires. Je dissimule, au niveau de sa cuisse, un couteau de combat, dans un étui lui aussi noir. Sous la doublure de ses gants, bien cachée sous le tissu au niveau de l'avant bras, se trouve une autre lame de combat, plus fine et plate, faite pour assassiner : Achlys . A ma ceinture, je porte généralement mon sabre, Atropos. Sous mon serre-tête se cache une aiguille que j'utilise, en dernier recours, pour tuer. Sur mon autre cuisse se trouve un étui avec deux couteaux de lancés. Enfin, de l'autre coté de ma ceinture, deux épées adaptées pour être manipulées avec mon ombres : Clotho et Lachésis.
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Je ne suis pas du genre vraiment sociable, mais je ne cherche pas non plus à fuir les autres. Disons que je me laisse porter par le courant de la rivière. Les amis, les connaissances, vont et viennent. Je préfère cependant ne pas trop m'attacher aux gens : Plus on connait de gens, plus grand est le risque d'avoir les problèmes qui vont avec. Alors autant limiter les interactions ou alors... Simplement profiter des gens pour obtenir quelque chose d'utile ? Pas plus mal ça.
Je suis donc une opportuniste et, si besoin est, je n'hésite pas à jouer des charmes de mon corps. Je connais bien les hommes, je sais comment faire avec, mais je n'irai jamais jusqu'au plaisir de la chair. Plutôt tuer si je dois en arriver là. Car oui, tuer, je peux le faire comme si c'était un geste aussi normal que de respirer. Prendre le dernier souffle de quelqu'un, c'est facile. Je suis fidèle, très fidèle et protectrice envers ceux que je considère comme ma famille. A savoir ma compagne, Evelyn et c'est tout.
Je suis de nature calme et silencieuse. Je laisse, en général, les autres gérer les discussions. On peut même croire que je suis détachée de tout, ailleurs, tant mon visage et mon attitude sont plats. Mais il n'en est rien, j'écoute, simplement, toujours à l’affût, très attentive à tout. Les sens en éveils : Ouïe, odorat, vue. Je fais juste très attention à ce qui m’entoure. Et quand une menace approche, je sors de ce qui ressemblait à une léthargie pour frapper. Et frapper fort. Très agressive -même sanguinaire- je laisse parler la violence en moi. Je me bats pour tuer et c'est mon but unique quand je me lance dans un combat : Chaque coup sera donné avec l'intention de tuer. Et j'y prends beaucoup, beaucoup de plaisir.
Très fière, Je possède un ego presque surdimensionné. Seule moi compte et s'il faut se servir des autres, je le ferais sans scrupule. Tout est bon prétexte pour se battre. Un mauvais regard ? Bagarre. Une main mal placée ? Bagarre.
Pour beaucoup, les livres et les pages vierges étaient le meilleur moyen pour écrire et raconter des histoires. En soit, on ne pouvait pas vraiment le contredire. Tout le monde pouvait poser, sur un papier, son histoire, ce qu'il y avait à dire. Moi, c'était un peu différent. Tout était clairement marqué sur mon corps. Chaque cicatrice gravée sur ma peau était une histoire. Du moins, une page qui composait l'ensemble de mon livre qu'était mon corps lui-même. Parler de chacune d'elles pourrait s'avérer long. Sans intérêt pour beaucoup. Tout le monde n'était pas friand des aventures de la combattante que j'étais. Pour ceux, avec des étoiles dans les yeux à l'idée de savoir comment j'étais à deux doigts de mourir... Une chope de bière, une taverne, de la musique et la nuit entière pour en discuter. Mais avant d'évoquer la moindre épopée épique, il fallait bien commencer par le commencement. Chaque livre venait au monde avec des pages d'abord vierges. C'était 28 ans en arrière. On ne pouvait pas dire que j'étais née avec une cuillère en argent dans la bouche. Ma famille était des plus modestes. Une famille des plus normales, en fait. Mes parents étaient aventuriers, des aventuriers... normaux. Ils n'étaient pas spécialement connus, ni spécialement légendaires. Pour eux, c'était un travail et ça s'arrêtait là. Il n'était pas question de quête de gloire, de renommée, de richesse. Au final, mon père voulait s'assurer d'une seule chose : Être capable de mettre de quoi manger sur la table, pour sa femme, enceinte. Puis, plus tard, pour sa petite fille chérie. Hors de question de risquer sa vie, dans ce cas. C'était sage, prudent. N'importe qui ferait ça. N'importe qui de censée, en réalité, se contenterait de ça. Pourquoi aller risquer son cul pour pourfendre un dragon, terrasser un serpent géant ? Pourquoi prendre le risque de ne plus pouvoir rentrer le soir pour voir sa femme et sa fille ? N'importe qui de censée, oui.
Mon éducation était des plus basiques. J'étais à l'école, pour y apprendre le stricte minimum. Mais ce n'était pas vraiment ma tasse de thé. Mes moments préférés, c'était le soir, après l'école. Quand je devais retrouver mon père, pour mes entraînements quotidiens. Je ne pouvais pas m'en souvenir, mais il me disait que je n'avais même pas encore l'âge de marcher qu'il m'avait déjà mis une épée en bois dans les mains. Il voulait simplement voir sa fille grandir avec le combat dans le sang. Les entraînements, je ne voulais pas en rater un seul. Mon père ne payait pas de mine, vu comme ça, il semblait être le "Monsieur Tout le Monde"... Mais il était vieux. Agé. Car oui, il était prudent, même pour un aventurier. Et apprendre de quelqu'un d'expérimenté, ça valait tous les cours du Royaume. J'étais encore très jeune lorsqu'il m'offrit ma première lame, Atropos, un sabre à la courbe particulière. Unique à mes yeux. Une lame qui était magique pour moi, même si son métal était dépourvu de la moindre trace d'enchantement. Un cadeau d'un papa fait à sa fille. Voilà pourquoi il avait de la valeur, c'était ma première lame et aujourd'hui encore elle m'accompagnait. Jours, mois, années, sans rater un seul entraînement, mon père fit de moi celle que j'étais à présent. Une combattante, une tueuse. Il ne s'attendait lui-même pas à ça, en réalité. J'avais pris un peu trop à cœur ses leçons. Et il m'arrivait souvent de m'entraîner seule quand j'avais du temps.
Vers l'âge de mes 8 ans, mon père jugea que j'étais capable de l'affronter en duel. Évidemment, il me faisait bouffer la terre sans scrupule. Pour me renforcer, disait-il. Je n'étais pas une fifille à son papa. Il m'aimait, oui. Mais il avait sa façon à lui de me le montrer. Une éducation stricte, rigoureuse, parfois sévère. Il ne voulait pas que je devienne une ratée. Il voulait me voir grandir dans la Guilde, être fier de moi. Et ça, je le comprenais. De toute façon, ma mère était là pour me cajoler quand je rentrais à la maison, furax, après avoir trop goutée le sol. Ce fut au cours d'un de ces duels que mon pouvoir décida enfin de se montrer. Mon père s'apprêta à me donner un coup qui aurait été mortel en situation réelle. Une ombre, mon ombre, surgit du sol pour agripper le poignet de mon père et le tordre. Bon, une fillette de 8 ans n'avait clairement pas la force de faire du mal à un adulte de 30 ans. Ce fut surtout la surprise qui stoppa mon père. Moi, j'étais plutôt contente d'avoir découvert mon pouvoir. Je le trouvais "super trop classe", quand j'étais gamine. Dès lors, mes entraînements furent légèrement différents. En plus de combattre avec mon sabre, je devais à présent apprendre à utiliser ce nouveau membre en situation de combat. Ainsi, je parvins à m'en servir comme un troisième bras, capable de tenir une lame et me battre avec.
Aux yeux de mon père, j'étais prête à entrer dans la guilde. J'avais alors 16 ans. le minimum requis pour être acceptée. Mes premières missions étaient... D'un chiant sans nom. Aller chercher des plantes, partir à la recherche d'un familier disparu, escorter des vieux dans la capitale... J'étais bien loin des aventures que me racontaient mes parents. Mais ce n'était que le début, après tout. On allait pas envoyer une gamine à la mort en lui confiant des missions hors de sa portée. Mais comme mon père me le disait toujours, quand je venais bouder : C'était en forgeant que l'on devenait forgeron. Autrement dit, si je me démarquais du reste en fermant ma gueule et en accomplissant les missions, je pourrais prétendre à plus difficile. Et l'expérience, je l'avais acquise, pendant mes années de service au sein de la Guilde. En quatre ans, mes collègues de travail me voyaient comme une tête brûlée. Mais de qui je pouvais tenir ce trait ? Ma mère était probablement la personne la plus douce et calme de ce Royaume. Et mon père n'était pas du genre à prendre des risques. Car il était censé... Pas vrai ? En réalité, non. Je m'étais trompée. Il n'était pas comme n'importe qui de censé. C'était un gros débile.
J'avais 20 ans lorsque la guilde m'annonça, un jour, que mon père avait un peu trop insisté pour partir en mission. Une mission en particulier et qu'il "devait y aller seul." Il aurait dû revenir, mais il était encore absent. Impossible de rester là, les bras croisés à attendre. Équipée, je partis à sa recherche, sans prévenir personne. Il me fallut plusieurs jours pour atteindre l'endroit indiqué. Plusieurs heures à fouiller la forêt, jusqu'à repérer une lueur au loin, scintillante, comme un feu de camp. Convaincu de l'avoir retrouvé, je m'approchai d'un pas plus rapide. Mais je ralentis aussitôt en entendant plusieurs voix. Des voix, aucune qui n'appartenaient à mon père. Non, car lui ne pouvait plus parler, perché là où il était. Suspendu à un arbre, la corde au cou. Un genre de trophée, pour ces bandits. J'avais envie de hurler, de pleurer. Mais non, car pour l'heure, j'avais 3 hommes devant moi. 3 cibles. Mon cerveau s'était éteint. Je m'approchai simplement de leur camp, pour apparaître dans la lueur du feu. Je regardai à mes pieds, mon ombre était d'un noir si profond que j'avais l'impression que l'on pouvait tomber dedans. Je relevai la tête pour les fixer, tandis qu'ils me regardaient aussi, déjà prêts à se battre.
"C'qui cette guenon ?". fit l'un d'eux. Il n'eut pas le temps d'en dire davantage. Mon ombre plongea sur lui. Le tentacule fit son œuvre, pour ensuite jeter l'homme à terre, inerte. Je fis appel à ma deuxième ombre et, toutes deux, vinrent agripper les deux autres par la gorge. Je serrai aussi fort que je le pouvais. Si fort qu'ils avaient du mal à respirer. Je dégainai Atropos, mon sabre. La bobine de fil qui constituait leur vie arriva au bout. Il était dans de trancher. Dans leurs yeux, je pouvais lire distinctement la peur et l'incompréhension. Cette fois, les monstres, ce n'étaient pas eux. Cette fois, le prédateur devint proie. Une fois certaine d'avoir ôté la vie à ces deux homme, je les laissai tomber. Je m'en allai, après avoir détaché et enterré mon père.
La vie fut différente, après cet événement. J'ignorais toujours pourquoi mon père avait décidé de prendre cette mission seul. Un mystère à vie, sûrement. Ma mère ne le montrait peut-être pas, mais elle souffrait terriblement de la perte de son mari. Petit à petit, sa santé se dégrada, comme si elle refusait de vivre davantage sans lui. Elle mourut, deux ans plus tard. Je n'avais plus rien à faire à la Capitale. Je ne voulais plus y vivre, en réalité. Je vendis la maison au premier venu, pour récupérer un peu de cristaux. J'avais dans l'idée de m'installer au village perché. La Guilde était présente là bas et avoir du monde sur place devait surement les arranger, pour élargir la couverture d'action. Je pris le minimum avec moi. Des vivres pour le voyage, les cristaux et mes armes. Je trouvai rapidement un endroit où loger. Mes économies partirent dans l'achat d'une petite maison. Il ne me restait plus qu'à tout recommencer. Deux années s'enchaînèrent. Je vivais ma vie au jour le jour, en prenant des missions à droite, à gauche. Et j'allais dépenser quelques cristaux, de temps en temps, à la taverne.
Taverne où j'avais l'habitude d'aller. Donc à force, on pouvait y voir le visage des mêmes habitués. Dont une femme, qui venait parfois passer ses soirées ici. Elle me plaisait, j'aimais son attitude, elle était belle et attirante. Mais, surtout, je pouvais voir dans ses yeux qu'elle aussi semblait avoir connue la mort. D'abord un verre ensemble, de longues discussions à la taverne, isolées des autres, pour apprendre à nous connaître. Puis des nuits à deux. Chez moi, dehors... Un peu partout. Puis l'amour, évidemment. Le grand Amour, même. Car oui, j'étais réellement amoureuse d'Eve'. Evelyn. Un amour qui dura, pour l'instant, 3 ans 7 mois 2 semaines et 4 jours. Et, alors que j'avais aujourd'hui 28 ans, toujours heureuse à ses côtés, je me demandais toujours ce qui allait bien pouvoir se passer au bout de 3 ans 7 mois 2 semaines et... du 5° jours.
Ton pseudo : Tsuuky
N/A
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Donner vie aux dessins/œuvres
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Non
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Rien
Côté HRP
Double compte ? Non
Comment as-tu connu le forum ? Partenaire
Un truc à rajouter ? Non
Source de l'avatar
- Code:
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]NIER AUTOMATA[/b], 2B @"Sofia Nox"
Bon courage pour ta fiche et en espérant que tu t'amuses bien ici.
Amuse toi bien ici !
(sympa le schéma xD)
Tout d'abord, dans tes informations, merci de retirer l'insulte sur le karma. Aryon est un forum tout public, et les insultes ne sont pas autorisées D8
Pour ton pouvoir :
- Il va falloir que tu donnes un temps maximum d'utilisation. Même si tu donnes l'exemple d'un coureur, celui-ci ne peut pas courir toute la journée, même en faisant des pauses. Il faudra donc la durée max d'utilisation par jour, ou le temps max où tu peux faire apparaître tes tentacules (par exemple : 30 minutes pour porter des objets léger, 15 minutes pour des objets lourds)
- Il faudra également que tu donnes le nombre d'objet que tes tentacules peuvent tenir. Un par tentacule ?
Pour ta description :
- Encore une fois : le vocabulaire, s'il te plait !
- Le fait que tu mettes des photos pour plus de réalisme est bien. Mais comme tu dois t'en douter, une des deux photos des cicatrices n'est pas du tout acceptable. Il suffit de faire une retouche pour moins voir, et cela suffira.
Pour ton histoire :
- Eeeencore et tooooujours le vocabulaire !!
- Bon alors...je ne vais pas m'éterniser sur le passage avec les 3 bandits. Tout est a supprimer. Tu passes tout sous silence. Encore une fois, le forum est TOUT PUBLIC : donc pas de sang, de gore, de sexe ou d'insulte. Il suffit de dire que tu arrives, que tu mets fin à leur vie, et c'est tout. Pas besoin de rentrer dans les détails simplement pour faire des lignes supplémentaires.
Une fois que les modifications ont été faites, viens directement poster à la suite de ta présentation o/
On sera bon maintenant pour ta fiche, alors voici ton accès au forum !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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