Age : 26 ans
Sexe : Mâle
Groupe : Noble
Spécialité/Métier/etc : Conseiller Royal
En quelques mots...
- Surnoms : Cendre (Nom d'origine)/ Le Crocodile Pâle (Surnom durant son enfance dans la pègre)/ Roi des Mendiants (Surnom donné par les habitants des bas fonds)/ Le Gris (Surnom antipathique que lui donne certains nobles)
- Addiction : Substance narcotique unique
- Pragmatique, désabusé, solitaire, honnête, charismatique et arrogant
- Particulièrement doué avec une dague
- Besoin obsessionnel d'apprendre et d'expérimenter des choses nouvelles
- Sautes d'humeurs fréquentes
- Aime les plats trop sucrés
- Hétérosexuel
- Doué avec les animaux
- Possède un palais mental
Nom du pouvoir : Mind Castle
Catégorie : Psychique
Le pouvoir de Deluvyan ? Certains vous diront qu'il est très intelligent, un état de fait aussi vrai que réducteur. Deluvyan est intelligent mais pas à un niveau surhumain contrairement à ce que l'on pourrait penser au premier regard. Son pouvoir, en réalité, décuple ses capacités mentales mémorielles et les rendent à ce jour presque infini. C'est un passif ayant pour effet de lui fournir une mémoire absolue et infini dont il traite les informations à une vitesse en constante accélération proportionnelle à son expansion. S'il lui permet de posséder une source énorme de connaissances et de les traiter en un instant il n'en demeure pas moins obligé de tirer ses propres conclusions et réfléchir par lui même comme tout un chacun. Son pouvoir étant un état naturel il rend certes Deluvyan extrêmement dangereux sur le plan mental mais c'est pour lui son pire ennemi avant d'être son meilleur allié. Constamment réfléchir à mille idées en quelques instants sans être capable de mettre un terme au traitement de ces données consume énormément d'énergie et a de lourdes conséquences sur son état psychique. D'abord purement médicales : Migraines et Insomnie principalement pouvant mener à une détérioration de sa santé générale. Mais aussi psychologiques. Chaque nouvelle connaissance, chaque nouveau souvenir, étendant sa mémoire accélère sa capacité de traitement et aggrave sa condition d'avantage.
Pour palier aux retombées de sa capacité Deluvyan use savamment d'un puissant narcotique lui permettant de ralentir le flux de ses pensées et d'en limiter les effets. Bien que l'ingestion de la substance n'élimine pas complétement son pouvoir, elle permet de le restreindre. S'il s'en passe, faut il qu'il y parvienne, il fini par récupérer la pleine possession de son pouvoir mais ne peut maintenir cet état trop longtemps sans souffrir des répercutions et des symptômes du manque. Dans le meilleur des cas il lui faudra beaucoup de repos et il vous faudra supporter son humeur massacrante. Dans le pire... il risque de pousser son corps à bout et a déjà eu plusieurs malaises.
"Prévenez moi quand vous aurez eu le loisir de réfléchir. Je serais occupé à des taches plus importantes qu'avoir à attendre après vous"
Le problème lorsque l'on est le seul à pouvoir penser aussi rapidement c'est que l'on ne réfléchit pas plus vite que les autres mais trop vite pour les autres. Et je réfléchis très, très, très vite. Enfin l'avantage de vivre dans un monde peuplé de simplets dotés de cerveaux moins agile qu'un obèse cul de jatte c'est que l'on n'a pas trop de mal à s'y faire une place. L'ennui restant dans avoir quelque chose à faire. C'est à ce moment où apparait dans vos petits esprits étriqués la question suivante : "Mais si tu n'en a rien à faire des autres, pourquoi être devenu conseiller au palais ?". Et sans attendre les interminables secondes nécessaires aux plus vifs d'entre vous je me ferais le plaisir de vous répondre. Les ressources. L'accès à un maximums de sources et de recueils, les moyens financiers et la possibilité d'envoyer d'autres accomplir les taches chronophages et vides d'intérêt nécessaire à la concrétisation de vos recherches. Condescendant, n'est ce pas ? Je sais. Habituez vous tout de suite si le flot incessant de mes pensées a eu parmi ses répercussions de provoquer chez moi des brusques sottes d'humeurs pouvant s'apparenter à des variations dans ma personnalité, il semblerait qu'une pointe de condescendance soit une constante. Mais nulle crainte. Je suis tout autant désabusé et cynique. Quoi de plus naturel quand les connaissances nouvelles et pertinentes se tarisse, n'offrent qu'une surprise morte à peine née et que vos journées sont remplient d'une répétition sempiternel. J'ai d'ailleurs toujours admiré votre capacité à vous épanouir et réjouir dans la répétition.
... Peut être que nous pouvons nous arrêter là. Un avant goût du caractère de notre ami. Qu'ajouter ? Déjà que fort heureusement il est continuellement sous narcotique ce qui améliore grandement son caractère... Je n'en reviens pas de vous dire ça... Le bougre n'est pas mauvais, loin de là, mais au naturel, en supportant le fardeau de sa condition, son cœur c'est peu à peu gelé et son esprit fait plus amer. Fort heureusement pour vous, disais je, son ingestion régulière de substances narcotiques l'apaise quelque peu. Il apparait dès lors comme un jeune homme vif d'esprit et curieux jurant clairement avec les nobles peuplant habituellement le palais par sa désinvolture manifeste et son franc parler. N'hésitant pas à dire avec la plus grande honnêteté ce qu'il pense, nombreux sont ceux qui préfère s'éclipser en apercevant sa silhouette somnolente arpenter les couloirs séparant la bibliothèque des cuisines. De toute façon il ne les aime pas non plus, il n'aime pas grand monde ou plutôt ne voit pas grand monde à travers ses yeux à l'éclat doré. Seules quelques personnes arrivent à capter son attention, les autres ne devenant pas plus que des noms et des données qu'il se contente de traiter au besoin. Pour lui tout semble n'être qu'une immense partie d'un jeu complexe, rien ne l’atteint particulièrement, tout l'amuse. Un amusement sec, presque cruel. Pourtant sa loyauté au couple royal n'est pas feinte tout comme son intérêt pour l'état et le développement des quartiers pauvres. D'une certaine façon il ne hais pas réellement ce monde absurde. Du moins pas autant qu'il ne se hais lui même. Incapable de se passer de la soif de connaissance qui coûta la vie à sa sœur. Trop analyste pour comprendre, vivre pleinement, les sentiments qui l'habite. S'il peut se targuer d'être surement l'homme le plus intelligent du royaume, il possède le développement émotionnel d'un cactus.
Doté d'un charisme glacial Deluvyan est l'incarnation même des sombres allées qui l'ont vu naitre. Une peau à la teinte grisâtre recouvre un corps effilé couvert de muscles secs laissant apparaitre clairement ses veines et tendons. Portant presque toujours pour seule tenue un simple peignoir de soie couleur jais à bordure blanche qu'il enserre d'une large ceinture, blanche elle aussi, au niveau de la taille et dont le haut vient s'ouvrir négligemment sur son torse avant de se poursuivre en deux manches évasées. Il lui arrive tout de même si le roi le lui ordonne explicitement de porter une tenue plus appropriée en certaines occasions sans pourtant ôter cette impression de négligence ou avoir un jour réussit à lui faire enfiler quelque chose qui ne soit pas noir potentiellement agrémenté de blanc et de gris. Mais il déteste devoir porter de telles tenues elles lui tiennent trop chaud et ne se prêtent pas aussi bien à la multiplication de poches secrètes opérée sur ses tenues habituelle. Ses sorties hors de la pénombre intérieur son d'ailleurs marquées par le port obligatoire d'un chapeau aux larges borts et muni d'un voile à l'allure cardinale. Sans craindre le soleil, celui ci l'insupporte et l'aveugle en opposition à sa faculté à voir avec aisance dans les ténèbre. Fait du dans les deux cas à une forte sensibilité à la lumière. Cependant, toute débraillée puisse être sa tenue, jamais au grand jamais il ne vous laissera voir son dos. Et vous ne voulez pas le voir... Une toile dédié à la violence vous rappelant que le pire monstre qui puisse roder en ce monde demeurera l'homme. La séquelle la plus marquante, en dehors de celles mentales, étant la perte complète de sensation de tout son bras gauche. Bien que parfaitement fonctionnel Deluvyan préfère le laisser reposer dans le pan droit au niveau de la ceinture de sa tenue lorsqu'il est en publique, une vielle habitude du temps où il y cachait une dague empoisonner en cas d'attaque. Une habitude rappelant qu'il n'a rien perdu des compétences développées dans le monde du crime et ceux malgré une vie plus posée au palais. Son visage quant à lui, lorsqu'il n'est pas à moitié enfoui sous une chute de mèches blanches en désordre, est aussi beau qu'inexpressif. Peu ont pu voir dans ses yeux plus que du désintérêt ou ses lèvres se teinter d'un sourire. Il apparait généralement ainsi : impassible, les yeux jaunâtre d'un chasseur, semblable à un crocodile. Pourtant il arrive que ses yeux s'éclaire d'une flamme dorée pleine de malice et qu'un sourire gracieux laisse échappe un rire chaud et sincère jurant avec la froideur chirurgicale et le ton fatigué qui accompagne ses propos quotidiens. Du moins c'est ce que vous direz sa sœur.
"Tu verras ! Je deviendrai l'homme le plus intelligent du royaume, rien ne pourra m'arrêter et très bientôt on aura la place qu'on mérite dans ce monde ! Je te promets qu'il existe deux places loin du froid et de la faim qui n'attendent que nous et quand je m'en serais emparé... Je reviendrai te chercher."
Dans tout pays il existe un endroit où tout sent la merde, où tout à le goût de la merde et où on né dans la merde. Un trou si sombre que les grands du hauts de leurs tours n'en aperçoivent jamais le fond. Contrebande, violence, prostitution et meurtre règne parmi ces ombres et quand la pisse du caniveau remplace la soie à la naissance votre destin est presque toujours scellé.
C'est dans ce charmant coin qu'est venu au monde Deluvyan ou devrais je dire : Cendre. Un nom abandonné depuis longtemps. Le nom qu'une mère illettrée et malade a trouvé pour cet enfant à la peau grisâtre et aux cheveux blancs que la lumière avait recraché dans les ténèbres. Bâtard d'un inconnu trop lâche pour le tenir dans ses bras. Fils d'une catin depuis longtemps enterrée. A six ans il ne restait que lui et dans ses bras, doucement accrochée à lui, Lucy. Une petite sœur à peine âgée de trois ans. La seule chose qui n'ai compté et ne comptera jamais pour le jeune homme, la seule qu'il ne saura pas protéger. Oh ce n'est pas une belle histoire et je ne préfère pas aller dans les détails glauques de cette affaire. Sachez juste que le hasard avez voulu doter Lucy d'un don très particulier. Celui d'apaiser l'âme, de calmer l'esprit, de ceux qu'elle touchait. La petite ne lâchait jamais son frère, pas un soir ne passait sans qu'ils ne se blottisse l'un contre l'autre se réchauffant et se rassurant. Le jour venu Cendre user jusqu'à l'épuisement s'il le fallait de toutes ses forces pour assurer leur pitance et leur sécurité. Deux années passèrent ainsi endurcissant les enfants qui c'étaient fait peu à peu une place au sein des ombres. Les capacités particulières du garçon lui permettant d'obtenir une place de choix aux côtés de différents malfrats. De cette forme de stabilité naquit le doux rêve de permettre à sa sœur d'atteindre le haut des tours. Ayant compris que le savoir étais synonyme de pouvoir il fit tout pour acquérir un maximum de connaissances et développer son intelligence. Mais au final tous ses efforts et connaissances ne suffirent pas à la sauver. Ce soir pour la première fois il fut seul face à sa perte et au brouhaha incessant de son esprit. Ses nuits passées à pleurer et à hurler, à tenter d'oublier sachant pertinemment qu'il ne pourrais jamais effacer de son esprit l'image cristallisée du corps de sa sœur et que qu'il ne passerait plus un jour sans qu'il ne la voit. Quand son esprit lâcha pour ne pas briser ce fut Deluvyan qui se releva.
A l'âge de 12 ans, éclipsant rapidement tout les adultes l'entourant, il était devenu le bras droit d'un ponte de la pègre qui l'avait pris sous son aile. Il ne semblait plus rien rester d'un enfant en lui. Pour tout dire il ne semblait plus rester quoi que ce soit. Son regard était aussi froid que l'acier. Et lorsqu'il vous regardez vous ne sembliez même pas exister à ses yeux. Il suivait les ordres à la lettre sans commettre la moindre erreur. En donnait avec une voix qui ne souffrais pas plus doute que celle des dieux. Une bête qu'entre eux ses associés surnommèrent tant par respect que part crainte : Le Crocodile Pâle. Et tel un crocodile il attendit, patiemment, que sa proie passe à sa porter pour brusquement l'écraser entre ses mâchoires.
Peu après avoir eu quinze ans, n'ayant plus besoin de la protection de son supérieur, il met en action le résultat de trois années de préparation. Maitre d'orchestre il admire l'enchainement inarrêtable des dominos chutant en parfaite harmonie. Voit sa machination et sa place à la tête du royaume qu'il a construit lui revenir. Finalement complètement aux commandes il use pragmatiquement de stratégie et de tactique innovante pour son étendre influence et diversifier ses activités. Touchant autant au milieu illégal que légal il amasse durant les années suivantes une fortune et étends plus que jamais ses connaissances, faisant de cet objectif sa priorité. C'est à cette époque que, bien qu'obsédé par sa soif de savoir, il développe un trop grande résistance aux substances calmantes dont il devait user et supervise la confection d'une puissante substance narcotique prévu pour son usage particulier. Possédant déjà de très bonne connaissances du monde de la pègre et de l'assassinat nécessaire à sa survie et manipulateur confirmé, il améliore surtout ses connaissances en histoire, théologie, philosophie et stratégie dans le but de pouvoir prétendre à la place qui lui revient. La pègre n'est d'ailleurs pas beaucoup plus à ses yeux qu'un moyen d'obtenir les ressources dont il à besoin. Très vite seuls quelques hommes de confiances connaisse son existence et s'occupent d'accomplir sa volonté aux seins des différentes branches. Il réforme complètement la manière de fonctionner de son organisation en interdisant le meurtre, le viol et toute forme de violence inutile. De plus il use habilement de la garde soit en soutenant ses actions dans l'ombre, soit en la guidant indirectement en accord avec ses objectifs. Une stratégie payante et rendu possible par la mise en place d'un réseau d'information efficace. Très vite mendiants et petites gens de l'ombre deviennent ses yeux et ses oreilles. Il s'assure dans le même temps la loyauté de ses hommes en usant de commerces légaux pour assurer les besoins de leurs familles et leur promettre un avenir. Mais l'amélioration des conditions de vies de ses hommes et la baisse de la violence ne sont pas motivée par une vision philanthropique. Tout cela n'est au fond qu'une immense démonstration savamment orchestrée de ses capacités vouée à soutenir sa plus grande réussite, le coup qui le propulsera à la cour à l'âge de vingt ans.
Un beau matin, s'extirpant des ténèbres, il apparut en pleine lumière. Un étrange inconnu qui avec assurance et accompagné d'un bien étrange cortège se dirigeait vers le palais. Imaginez cette vue ! Coupe jarrets, voleurs, arnaqueurs, dealers, suivaient en rang cet étrange homme comme les rats suivent le joueur de flute. Oh pas tous non plus mais les réticents à son grand projet devaient déjà être aux mains des gardes, ses amis s'étant occupés de leur faire passer le mot. Les autres quant à eux le suivaient pour différentes raisons : Quête de pardon, volonté de protéger leurs proches, réelles convictions ... Du jour au lendemain Deluvyan révélait la totalité de son réseau criminel et le livrait à la couronne mais plus encore il en faisait un spectacle et s'assurait d'être vue avec son cortège aussi inquiétant que docile. Il voulait créer un évènement, un symbole, celui de l'homme qui guida sans chaînes les criminels de capitale au portes du palais et d'un geste les firent s'agenouiller et se rendre.
Son coup d'éclat, le projet de toute sa vie, paya. Tout en assurant la sécurité de ses biens légaux et en préservant son réseau d'information constitué de mendiants et autres rebuts, il se fit un nom au yeux de peuple et obtint un poste au sein du palais ainsi que l'anoblissement devant de ce fait le premier de sa propre ligné en prenant le nom de Lucyamans . Son arrogance et son honnêteté lui valurent autant d'approbation de d'antipathie au cour des années suivantes qu'il passa à servir au palais. Ce n'est qu'après cinq ans, désormais âgé de vingt-cinq ans, qu'il arriva à passer outre ses origines et finalement faire reconnaitre ses services et sa loyauté. Ayant acquis la confiance du couple royal il vit ses efforts récompensés et fut nommé conseiller royal.
Ton pseudo : Grimmoir
Parle nous un peu de toi par ici : 21 ans, étudiant/écrivain, Albi 81000... Oui je ne suis pas très doué pour parler de moi ^^"
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Celui de former des contrats/pactes (un peu comme le diable :3).
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Non !
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Lire
Côté HRP
Double compte ? nope
Comment as-tu connu le forum ? Euh... C'est assez gênant ^^" Oui mieux vaut que vous ne sachiez pas quel étrange hasard m'a mené ici U_U
Un truc à rajouter ? Ecrire ici
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Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]ORIGINAL[/b], Original @haban35
Je te dis à très vite dans la section RP !
Aller, je te tamponne vu que tout est réglé avec Zah en PV, amuse toi bien
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
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