Derek Bansi Mangeshkar
Sexe : Pas ma priorité.
Surnom : Derek c'est pas suffisamment court ?
Groupe : Citoyens.
Fonction/Rang/Métier/Spécialité : Propriétaire d'une distillerie.
Orientation sexuelle : Toujours pas ma priorité. A quoi bon choisir ?
Particularité : Des cicatrices ici et là sur le corps, comme un gosse qui joue quoi. J'me rase la tête aussi, enfin l'côté. J'aime pas avoir des cheveux de partout mais j'aime la longueur sur le haut. Bref. Sinon rien de particulier.
Prédictions
- - | Elles sont incontrôlables et t’as jamais su maîtriser le pouvoir pleinement pour le moment. Elles interviennent quand elles en ont envie, te file une migraine à te cogner la tête contre les murs et ne sont jamais fiables à 100%. D’autant qu’elles sont modifiables en fonction de tes actions. Tu as aussi des visions uniquement concernant des gens ne que t’as quasiment jamais vu dans la plupart des cas. Ça arrive quand même qu’elles soient à propos de tes proches mais c’est suffisamment rare pour que ce soit notable. Et puis bon, le côté chiant, c’est que comme elles viennent quand elles veulent, elles viennent aussi uniquement quand t’as pas les yeux ouverts. Quand t’es pas en pleine conscience. Du coup, quand elles veulent sortir, tu fais un p’tit malaise tranquillement en pleine rue. Pratique, n’est-ce pas ? C’est quand même mieux quand elles te réveillent en pleine nuit, t’as l’air moins con.
Mal luné ; Franc ; Sec ; Colérique ; Bourru ; Perfectionniste ; Stratège ; Aveuglé. Tu n’es pas du genre à mâcher tes mots, tu n’es pas du genre non plus à trop parler. Tes mots se font parfois rare et tu n’es pas forcément de ceux qui hurlent leurs opinions. Ce n’est pas pour autant que tu ne sais pas exactement où tu te positionnes. Tu es du genre qui observe et qui parler au moment opportun, qui sait comment utiliser les bons arguments pour que les gens t’écoutent et réfléchissent. Parfois, ils rejoignent ta manière de penser, parfois non. Tu es un sanguin, si tu es du genre à beaucoup écouter et à bien parler, tu sais aussi en venir aux poings et aux actes violents. Tu n’as jamais fui une bagarre, fier comme un paon. Tu ne sais pas dire non à une provocation, ce qui te vaux les nombreuses cicatrices qui parcourent ton corps. Tu t’es formé aussi à cause de ça, tu t’es entraîné pour éviter de te prendre des raclées, développant à la fois force et musculature. Tu fais de la boxe régulièrement, tu as un sac dans ton appartement. Tu pratiques le tir à l’arc, tu vises particulièrement bien. Tu as fait en sorte de savoir manier l'épée, même si ce n'est pas l'arme que tu préfères utiliser. Ce n’est pas ton pouvoir qui t’aidera à te battre alors tu as toujours tout fait pour compenser la force qu’il ne te donnait pas. Du coup, à force de persévérance et de détermination, avec une pincée de génétique, t’es devenu ce grand type d’un mètre quatre-vingt-quinze avec une musculature bien développée. T’as presque pas un gramme de graisse, tu fais tellement de sport que s’en devient fatiguant pour ton entourage. Cet entourage si chaotique. D’un côté, tu as cette famille, celle qui ne t’adresse presque plus la parole. Seule ta mère passe encore te voir de temps en temps mais tu lis au fond de ses grands yeux bleus une déception intense et un manque de confiance. Et ça te tue à petit feu, alors tu te réfugies chez ton autre famille, celle de ta sœur. Ton beau-frère et ta nièce sont tout ce qu’il te reste d’amour familial. Tu avais pourtant une palanquée de frères et sœurs, pourtant ils ont tous tirés un trait sur toi. Au fond, tu le méritais un peu. Alors, Norbert et Terry ont été une vraie bouffée d’air frais. Une échappatoire. Ils le sont toujours, quand tu ne sais plus qui tu es ou la route à prendre. Tu fini dans la taverne. Ou chez tes amis, ceux que tu t’es fais au fur et à mesure de tes années à traîner dans les rues. T’es pas mécontent de les avoir non plus. Côté cœur, t’es tellement fermé qu’il faudrait qu’on te saute dessus pour te rendre compte de ce qu’il se passe. Pas que tu sois contre, t’es juste tellement aveugle qu’on pourrait te faire des avances pendant vingt ans que tu ne t’en rendrais pas compte. Par contre, le jour où tu tombes amoureux, c’est pour de bon. T’es tellement borné, têtu, jusqu’au-boutiste et déterminé que tu feras ce qu’il faut pour la personne que tu aimeras. Et qu’on ne s’avise pas non plus d’essayer de se mettre entre toi et ceux que tu aimes, t’es suffisamment doué pour le faire seul alors tu ne permets à personne de foutre la merde dans tes relations. 195cm ; 95kg de muscles ; brun ; yeux noirs ; rasé sur les côtés ; porte souvent la barbe de trois jours ; porte des pantalons noirs en coton et des chemises qu’il ne ferme quasiment jamais ; A la peau basanée à force de bosser dehors ; Possède pleins de cicatrices sur le torse et les bras principalement, mais aussi sur les jambes. Bois un peu trop, mais comme il bosse dans la distillerie, il ne s'en rend pas compte ; Se protège d'un arc et de flèches qu'il a toujours sur lui ; Ne sort jamais sans une paire de gant en cuir ; Monte très souvent à cheval ; Fait ses livraisons lui-même ; Premier producteur et vendeur d'alcool du pays ; N'aime pas côtoyer des gens parce qu'il ne sait pas leur parler (en dehors de ses prises de position) ; Dis toujours ce qu'il pense, que ça séduise ou non ; Veut le meilleur pour ce pays ; Joue aux cartes, plutôt très bien ; N'est pas un mauvais patron ; A récupéré la distillerie après la mort de son précédent patron qui n'avait pas d'enfants ; Adore son job ; Veut voir les nobles et le Roi tomber. |
Histoire
Manisha, était une femme d’un tempérament de feu. Elle savait ce qu’elle voulait et elle l’aurait. Son mari avait été tellement patient qu’elle ne le lâcherait pas, jamais. Elle l’aimait avec une passion qu’elle n’aurait cru possible. Et elle avait cet idéal familial, un garçon et une fille. Elle voulait des enfants et ils furent ravi d’annoncer, très vite après leur mariage, la future naissance d’une petite Teryza Mangeshkar. La jeune femme naquit sans problème en quelques heures pour le plus grand bonheur de ses parents. Malheureusement, les récoltes furent mauvaises cette année-là. Et les suivantes aussi. Alors, Mohan redoubla d’effort et la famille Mangeshkar fut mise de côté pendant plusieurs années. Huit années. Et puis, un accident. Enfin, ça n’en fut pas réellement un. Mohan et Manisha étaient jeunes à leur rencontre, à peine quinze ans. Ils s’étaient mariés à 21 ans et avaient finalement eu leur fille à 22. Alors, attendre presque dix ans pour leur deuxième enfant n’était pas un choix très agréable. Mais les problèmes d’argents n’étaient pas aussi faciles à résoudre jusque-là. Puis la chance tourna de nouveau et ils purent de nouveau vivre confortablement. C’est là que Derek apparu. Petite bouille, déjà un gros bébé, il était la fierté de ses parents comme l’avait été Teryza avant lui. La relation entre les deux enfants fut toujours assez fusionnelle. Ryza avait déjà presque dix ans mais elle aimait son frère comme s’il était la huitième merveille du monde. Même si Derek ne se rendait pas vraiment compte de tout, elle l’aimait plus que tout. Tout comme les autres qui les rejoignirent après.
Parce que finalement, Mohan et Manisha étaient très amoureux. Et Ryza étant une grande fille, avoir des enfants serait plus simple puisqu’elle pourrait aider à la maison. Alors, après Derek vinrent Cadfaël et Clarence. Trois ans d’écart séparaient les trois garçons. La maison n’était jamais silencieuse mais Manisha adorait ça. Mohan aussi, même s’il râlait beaucoup. Sa famille était tout pour lui. Il aurait tout donner pour ça. Il avait agrandi son domaine, avait plusieurs employés. Son entreprise fonctionnait bien.
Puis, un premier drame secoua ta famille.
Teryza avait rencontré un jeune homme dont elle était tombée amoureuse tout de suite. Ils avaient roucoulé ensemble quelques temps avant qu’il ne demande sa main à Mohan. Un peu réticent au début, c’est Manisha qui, d’un coup de coude dans les côtes, fini de le convaincre. Sa fille était heureuse, c’était tout ce qu’il leur fallait. Mais elle était son unique fille. C’était difficile de la voir partir si jeune. Très vite après le mariage, une grossesse s’annonça. Toi, Derek, tu étais fou de joie pour ta sœur : une nièce c’était trop cool. Tu passais beaucoup de temps chez ta sœur et Norbert, ton beau-frère. Votre relation n’avait jamais cessé de s’accroître avec le temps. Elle était ta confidente et ton modèle. Malheureusement, l’accouchement ne se passa pas aussi bien que prévu. Seule Manisha avait été autorisée à venir rendre visite à sa fille, mais, comme à ton habitude, tu n’en n’avais eu que faire, tu voulais la voir. Tu as eu la chance d’échanger quelques mots avec elle avant qu’elle ne s’éteigne, laissant Norbert le cœur brisé avec sa petite fille. Tu l’as toujours admiré pour la force dont ton beau-frère avait fait preuve dans ces moments-là, la force qu’il avait eut de se relever pour Terry, pour qu’elle soit heureuse et qu’elle ait tout ce dont elle avait besoin.
Après la mort de Ryza, la famille ne fut plus jamais réellement la même. Mohan et Manisha pleuraient leur fille perdue, quant à toi, tu filais un mauvais coton, et les plus jeunes ne comprenaient pas forcément ce qu’il se passait. Ils étaient tristes mais, sans vraiment savoir pourquoi, sans vraiment comprendre la peine des autres. Ton comportement s’était durci, tu répondais à ton père, n’obéissais plus à ta mère. Et tu te réfugiais souvent chez Norbert et Terry, pour fuir cette peine qui t’oppressais dans les yeux de ta nièce. En parallèles, tu commenças a traîner dans les rues de la capitale, te faisant des amis, de bonnes relations, de moins bonnes. Certains, plus vieux, t’entraînent dans de mauvais coups. Tu es de plus en plus souvent raccompagné à la maison par un membre des forces de l’ordre, avec des travaux d’intérêts généraux. Ton père te sermonne, essaie de te ramener à la raison, de te secouer. En vain. A force de traîner dehors, tes opinions se forgent. Ton caractère devient de plus en plus mauvais. Pourtant, tu es là pour la famille. Tu n’as jamais hésité à protéger tes frères ou ta mère avec tes poings quand il le fallait.
Puis, une nouvelle plus réjouissante intervient quelques années après la mort de ta soeur. Manisha était de nouveau enceinte. Un peu âgée, ta mère était un peu frileuse quant à cette grossesse. Elle avait peur de finir comme sa fille, de ne pas s’en remettre. Heureusement, il n’en fut rien. Elle mena la grossesse à terme sans trop de complication et donna la vie à une paire de faux-jumeaux : Caelen et Neela. Tu t’étais déjà éloigné de la famille lorsque les deux petits montrèrent le bout de leur nez, mais ça ne t’a pas empêché de venir les voir régulièrement. Ta mère espéra un moment que ça te ramènerait dans le droit chemin, mais ça n’a pas été le cas. Pourtant, peu importait le délinquant que tu devenais, si les Mangeshkar quel qu’ils soient avaient besoin de toi, tu répondais présent. Malgré le regard de tes parents, malgré la colère que tu lisais dans les yeux de tes frères. Tu serais là, même si tu n’étais plus le bienvenue dans leurs vies.
Te sentant de moins en moins chez toi dans la maison familiale, tu tétais habitué à dormir en ville chez des amis. Ceux qui acceptaient de t’héberger en échange d’un petit travail ou de quelques pièces durement gagnées. Plus tu passais dans les ruelles de la Capitale, plus tu la voyais, cette pauvreté dont tu avais été préservé tout ton enfance. Tu les voyais, ces gens qui se battaient pour un morceau de pain ou un verre d’alcool. Tu t’es même battu pour ça toi aussi. Tes opinions étaient déjà bien radicales mais, plus tu y vivais plus la colère montait en toi. Tu ne voulais plus voir des mômes sans le sou pendant que les nobles se remplissaient le bide régulièrement et à outrance. De voir que le peuple crevait de faim et de maladie et que la famille Royale s’en fichait comme de sa première guenille.
C’est à ce moment-là qu’il rencontre Altaïr. Altaïr c’est ce vieux grognon qui produit de l’alcool. Il est juste à l’entrée de la ville avec sa distillerie et tu passes devant constamment lorsque tu rejoins la Capitale. Et puis, tu es toujours dans ce petit groupe, t’as pris un peu plus de bagou mais t’es encore jeune, encore influençable. On te dit que ce serait cool d’aller piquer quelques bouteilles, ça ne lui fera pas d’mal au vieux après tout. Vu le prix qu’il vend ça en ville. Alors un soir, vous vous mettez en route et vous entrez par effraction dans la distillerie pour piquer une dizaine de bouteilles. Toi, t’en avais quatre à toi tout seul. Sauf que t’as été le seul à être attrapé. Le seul qui n’a pas été suffisamment rapide à déguerpir quand t’as vu la lumière arriver. T’as fini avec une épée sous la gorge.
Le vieux te laissa deux solutions : soit il appelait la cavalerie et t’étais pas sûr de t’en sortir cette fois, soit tu bossais pour lui pour payer les travaux qu’il allait devoir faire et rembourser l’alcool volé par tes comparses. T’as pas cherché longtemps. Tu savais rien faire de tes dix doigts à part travailler dans les champs. Tes parents t’avaient enseigné la lecture et l’écriture et tu savais faire quelques travaux manuels de la ferme. Ton père avait pensé un moment que ça pourrait te canaliser, en vain. Altaïr t’inculqua les bases du travail en distillerie. Et finalement, t’y aura pris goût. Le travail était valorisant et tu te plaisais bien avec le vieux. Il jugeait pas tes fréquentations, il jugeait pas tes actions.
Jusqu’au jour où l’un de tes postes à fait exploser une caisse d’alcool sur l’un des chariots que ton père t’avait prêté. T’étais pas vraiment au courant mais, au fond, tu devais bien approuver. Vous aviez les mêmes idéaux, les mêmes aspirations. Il était un peu plus radical que toi à cet instant. Alors, quand les forces de l’ordre débarquèrent chez ton père pour faire des perquisitions, ils trouvèrent évidemment des preuves que tu avais fais cacher dans la grange. Personne n’allait dans cette grange. Tu pensais que c’était sécurisé. Ils avaient déjà un dossier sur toi, tu t’attendais à être jugé. Mais il n’en fut rien. Ton père se plaça devant toi et pris le grief de cet attentat. Le doute planant, il ne fut pas exécuté mais enfermé à vie dans une prison. Cet événement marqua la rupture définitive avec tes frères et sœurs. Ta mère, elle, ne pouvait pas abandonner son fils. Alors tu fis tes bagages et tu t’installas à la distillerie. Altaïr ne vit rien à y redire et ta mère lui demanda de garder un œil sur toi. Il l’envoya balader mais, au fond, tu savais bien qu’il le faisait.
T’avais 19 ans quand t’as commencé à bosser à la distillerie. 21 quand ton père s’est fait embarquer par les gardes. Et trois ans après avoir perdu une première figure paternelle et une partie de ta famille, Altaïr est décédé. Il n’avait ni famille ni enfant alors tu fus son seul héritier. T’avais bossé comme un dératé pendant cinq ans, vous aviez une relation un peu bizarre mais affectueuse quand même. Et t’aimais cet endroit. C’était chez toi. T’en as fait ton QG, ton univers. T’as grandi aussi, t’as imposé tes règles. Tu veux bien monter une mutinerie contre la Royauté mais tu refuses que des innocents paient comme ton père le fait actuellement. En cinq ans, t’as aussi étendu la partie commerciale de la distillerie, tu es devenu le premier fournisseur de la capitale et tu commences à avoir quelques sous de côté. Argent que tu gardes pour financer votre cause.
He ain’t ever gonna set his descendants free
So there will be a revolution in this century
Source de l'avatar : Otabek Altin ; Yuri On Ice!!!
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]YURI ON ICE!!![/b], Otabek Altin @"Derek B. Mangeshkar"
Comment avez vous découvert le forum ? Terry
Disponibilités : 4/7
Quelques mots sur vous ? Kendall, 27 yo, rôliste depuis 10 ans. J'vous aime déjà. Et j'suis désolée de spammer l'univers avec Hamilton pour l'instant. /pan
Quelque chose à rajouter ? Amour sur vos nez.
Et bon courage pour la suite ~
Aufaite, on se connait keur sur toi.
Mis-à-part cela, bienvenue, bon courage pour le reste de ta fiche
Si tu as des questions, n'hésite pas !
@velvet ; hamilton caylavie. On a déjà parlementer, tu connais les bails.
@athena ; j'ai vu qu'on était les seuls yoi xD ça m'a fait rire !
@atheas ; Merci j'hésiterais pas si j'ai des questions
Je continue èè
Une petite prédiction sur l'avenir de ma tentative de séduction d'Athena ?
Merci vous deux
Et Aube, comme il contrôle pas ses visions il peut pas vraiment faire ça :/
Yuri on ice en plus, love you.
Encore heureux, puisqu'il n'y a pas d'armes à feu dans le Royaume d'Aryon (on est plutôt du genre à trimbaler des épées, des lances, de genre ce trucs héhé).Arme de prédilection : Poings & flèches – Tu ne te sers pas d’armes à feu en règle générale
Concernant ton pouvoir, tout me semble en ordre. Pauvre Derek quand même, devoir subir toutes ces migraines alors qu'il n'a rien demandé, ça doit pas être facile tous les jours !
Pour ton histoire, je n'ai rien à redire, tout est parfait. Enfin, juste un petit point :
T’as fini nez à nez avec une carabine et t’as moins fait le malin.
Encore une fois, il n'y a pas ce genre d'armes dans le royaume ! Du coup, il faudrait modifier pour genre... une épée, un arc, enfin, comme tu veux !
Et... c'est tout.
Dis-moi dès que les termes sont modifiés et je pourrai te donner ta jolie couleur.
Je me disais bien que j'avais écris au moins une connerie hahahahaha. :genius:
Du coup j'ai remplacé les mentions d'armes à feu par l'épée, normalement c'est tout bon ! :) (y'en avais une troisième cachée mais je l'ai changée aussi hehe)
Merci à toi en tout cas
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil !
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