Personne ne peut l’utiliser ? Alors comme ça Madame est dominatrice ou bien invivable en couple, je ne sais pas sur quelle idée penchée, on peut penser qu’une ministre de la justice aime le pouvoir ou du moins appliquer les peines avec un certain enthousiasme, non pas que je l’imagine le fouet à la main.
A son tour, c’était à elle de succomber, je ne sais pas qui a réellement gagner ce combat, elle a cédé la première mais m’a “ forcé “ la main ensuite, imposant soi-disant ces conditions dont je pourrai me défaire comme je le pouvais mais j’ai plus l’impression d’avoir pactisé avec le diable, non pas que ça me déplaise mais la curiosité était un très vilain défaut.
Mais mon amante du jour en a décidé qu’on était mal installé et profite de la situation pour me mettre sur le dos, maintenant une chose est sûre, elle aimait vraiment prendre le dessus, il n’y a pas de doute et un léger sourire taquin apparaît sur mon visage. Les personnes avec du caractère n’étaient jamais une source d’ennui et j’avoue être servie avec Nyx.
- On dit que la persévérance est la noblesse de l’obstination mais je crois que cette fois-ci ma curiosité va prendre le dessus et je vais voir ce qu’une si jolie femme pourrait faire sur cette forme là déjà.
Rien nous oblige de franchir toutes les étapes et d’avoir le dessert, il y avait tellement de plats avant d’atteindre cette phase ultime même si l’envie ne manque pas, mon doigt se promène entre sa poitrine, les yeux profitant de la jolie vue qu’on leur avait gentiment offert.
- Puis ne viens tu pas de me condamner à perpétuité, nous avons donc tout le temps d’explorer diverses choses.
Le doigt se promenant sur ses formes rebondies avant que ma main y prenne place.
- Ai-je vraiment besoin de t’amadouer encore ?
Voyant ça comme une invitation à continuer, je glisse un main sur ses reins, et l’autre tenant son visage pour l’embrasser de manière plus fugace. Fini l’hésitation, fini de tourner autour de nos envies, j’avoue que ça fait plusieurs semaines que je n’ai pas osé succomber à la luxure avec Sekyung dans les parages et toute cette frustration accumulée à cause de Miss Sayuri avait atteint son paroxysme, quelle idée d’avoir embauché pareille perceptrice pour ma protégée, elle me faisait du rentre-dedans continuellement et je ne sais même pas comment je fais pour ne pas craquer, j’ai vraiment un faible pour les femmes aux cheveux roses.
Des mains plus baladeuses essayent d’enlever ses bouts de tissus qui ne servent à rien, ça me rappelle alors cette nouvelle qu’elle avait écrite, deux femmes de la Gardge qui avaient des sentiments l’une par l’autre mais le boulot leur interdisait quelconque approche sachant aucune ne savait si l’autre avait des préférences pour les femmes, c’était au détour d’un verre après une mission épuisante que l’une se confie sous l’effet de l’alcool. S’ensuit alors une course folle pour atteindre la première auberge. La fille qui semblait si sûr d’elle se laissait faire par cette jeune femme bien entreprenante, est-ce que Nyx était pleine d’expériences, ces histoires étaient ses reflets de ses fantasmes ? Je me rappelle alors une phrase qui revenait souvent dans ses bouquins et taquine, je lui chuchote dans l’oreille.
- Fait ce que tu veux de moi Nyx...
Haru était-elle finalement en train de craquer ? Ca en avait tout l’air, même si elle semblait essayer de tourner la phrase dans un sens qui ne la désavantageait pas totalement. Elle ne voulait pas tout de suite de sa forme alternative ? Parfait, parce qu’elle ne l’aurait de toute façon pas eu dans cet espace ouvert. De cette façon, Nyx s’épargnait pour le moment des justifications sur le fonctionnement de son pouvoir. Petit à petit, on se rapprochait du moment fatidique et sa conquête ne semblait qu’attendre le geste de la ministre de la justice pour que les hostilités démarrent. Des baisers, des mains baladeuses, des attaques directes à sa tenue… Elle ne lésinait pas sur les détails. De son côté, Nyx en faisait de même, caressant les formes de sa partenaire et répondant à son baiser, aussi insolent soit-il. Elle saisit délicatement ses mains un petit peu trop baladeuses quand elle entendit LA phrase. Elle avait osé.
"Alors comme ça nous en sommes à ce chapitre."
Sur ces mots, ses mains saisirent son chemisier, bien décidée à passer les prochains instants dans une scène digne de ses écrits les plus osés. Mais pour le moment, Haru était bien trop chaudement vêtue.
[...]
Le soleil était désormais légèrement couchant, pendant que Nyx se rhabillait. Elle ne s’était pas attendu à… autant. Elle avait déjà eu des retours de personnes qui adoraient ses écrits, mais jamais d’aussi explicite. Elle retourna ensuite s’asseoir sur la banquette, pas sur les genoux d’Haru cette fois, déposant délicatement une main sur la joue de cette dernière, repoussant une mèche de cheveux rebelle.
"Dans le feu de l’action, j’ai oublié de prendre des notes. Je ne pourrais pas me souvenir de tout d’un coup pour écrire tous ces chapitres..."
Elle disait ça sur une voix faussement déçue, plaisantant très visiblement. Il fallait dire que sur certains points, la différence entre la théorie et la pratique était vraiment flagrante. Non pas qu’il s’agissait de sa première fois, mais pour certaines parties ça l’était. Elle tenta ensuite de déposer la tête de sa conquête sur ses genoux, sans insister si elle n’était pas de cet avis, toujours dans cet esprit de garder sa supériorité, et lui caresser la tête.
"La vue de cette terrasse est magnifique. C’est peut-être un peu tard pour les numéros de charme, mais rien n’empêche d’en profiter un petit peu."
Elle continuait sur une note plus douce, plus chaste d’une certaine façon. Après tout, si elle voulait juste un peu d’action, il y avait des endroits pour ça, pas besoin de faire des pieds et des mains avec une ministre. Non, clairement là on était plutôt sur du romantisme pur, celui sans arrière pensée, sans but particulier.
J’avais la quasi-certitude que cette simple phrase allait allumer la flamme chez elle et ça n’avait pas raté, il a fallu peu de temps pour que nos vêtements trouvent le sol et ainsi écrire les nouvelles pages de son prochain bouquin.
Je ne dirai pas que c’était la première fois que j’ai eu une expérience comme celle-ci mais il faut avouer que nous avons pu briser tellement de barrières en jouant subtilement sur divers chapitres de ses livres ainsi certains tabous étaient levés à la simple mention de telle ou telle phrase ce qui rendait le jeu beaucoup plus amusant.
- Je suis qu’au début de ma peine, rien nous empêche de renouveler la chose et cette fois-ci, tu prendras un calepin.
Un sourire taquin s’affiche sur mon visage surtout quand je vois la douceur qu’elle met maintenant dans ses gestes qui se veulent tendres et quand je vois qu’elle essaye de faire un calinou d’après, je me retiens alors de faire quelconque remarque car c’était beaucoup trop attendrissant et me laisse donc faire pour poser ma tête sur ses genoux, regardant le ciel puis aussi mon amante du jour.
- Ca fait du bien de souffler aussi un peu, loin de nos travails respectifs, loin du palais et loin de nos obligations.
Elle continuait alors à caresser mes cheveux, c’était agréable mais dans cette position, je ne pouvais rien faire pour elle, faisait-elle ça pour me faire plaisir ou plutôt qu’elle adorait ces petites attentions ? Cette femme qui semblait si forte, si sûre d’elle avait-elle besoin d’amour et m’avait en quelque sorte “ obligée “ cette exclusivité pour ne pas rejeter comme une vulgaire chaussette ? Prenant à mon tour aussi une voix douce, je voulais en apprendre plus sur elle.
- Pourquoi avoir arrêter d’écrire et te lancer dans une carrière politique ? Je me rappelle que tu avais un certain succès avec tes bouquins non ?
Attrapant sa main et glissant mes doigts entre les siens, je lève les yeux vers elle.
- En tout cas, moi je suis fan et j’avoue être heureuse de savoir qui est la personne qui occupe le bureau au-dessus du mien.
Je ne mentais pas sur ce point, j’étais ravie de connaître cette femme, peut-être on pourra faire quelque chose de nous deux mais je m’enflamme certainement puis quand je vois ce soleil descendre au fur et à mesure, je me dis que je vais devoir rentrer chez moi dans pas longtemps, Sekyung doit m’attendre sagement et je devais la consoler après l’évènement de tout à l’heure...
Nyx fut satisfaite de voir Haru sur ses genoux. Il y a encore quelques heures, elle ne se serait pas imaginée avec la tête d’une ministre sur ses genoux, impuissante, totalement à sa merci. Et elle avait raison, ça faisait du bien de souffler. C’était d’ailleurs peut-être toute cette frustration et fatigue qui avait autant accéléré les choses. Mais peut importe, Nyx n’allait pas se cacher derrière des excuses et assumait pleinement ses actes. Elle en était même contente au final.
"Ma grande sœur est juge. Donc entre ça et les histoires de détective, j’ai décidé de me lancer là dedans. Et puis je continue à écrire un petit peu avec Lyn Regan, mais ce ne serait pas approprié d’en faire une activité principale de la famille Anger. En soi je n’avais pas arrêté si soudainement que ça, ça s’est fait petit à petit avec les responsabilités grandissantes. J’ai saisi une opportunité en or, j’en suis pas déçue. Et puis ce genre de vie apporte bien plus de surprises qu’une vie d’écrivain. Tu en es un bel exemple."
Elle la laissait prendre sa main, la portant délicatement sous sa poitrine, essayant de lui faire sentir son pouls.
"C’est toujours un plaisir de rencontrer des fans aussi dévoués. Moi je te découvre davantage, et c’est tout aussi intéressant. Tu as l’air d'exceller dans beaucoup de domaines."
Tout était plus calme, posé. Elle pourrait même s’endormir sur place si elle ne faisait pas attention. Elle releva alors doucement le dos de l’autre ministre, se décalant sur la banquette pour la suivre et l’enlacer lorsqu’elle était redressée, collant son buste contre le dos de la dame, posant sa tête sur son épaule.
"Il y a d’ailleurs une grande partie de ce bureau que tu n’as pas visité, celle non ouverte au public. Ce serait une belle façon de conclure cette journée, non ?"
Basiquement, elle l’invitait chez elle. Elle ne pensait plus du tout à cette pupille ni à quoi que ce soit d’autre. Elle voulait juste finir sa soirée avec elle, chastement, afin de ne pas se quitter comme des voleurs. Cela donnerait aussi moins l’impression de simple plan ponctuel. Malgré tout ce qui avait été dit avant et après leurs ébats, tout ça ne restait que des mots et ça ne donnait pas la même impression que s’endormir à côté de cette personne.
Peu à peu, la belle Nyx se détendit à mes côtés, expliquant ses raisons de ce changement de carrière, c’était un enchaînement de choses l’ont venir jusqu’au poste de Ministre de la Justice, même si pour moi, je ne vois pas la grande justicière qu’elle devrait être, peut-être cachait-elle ce côté d’elle, ce ministère était si particulier, voyant toutes les horreurs de notre pays et les prises de décisions n’étaient jamais faciles même si le couple royal validait ou non l’exil, le Ministre devait présenter un dossier imparable, la Reine suivant l’avis de ce dernier mais c’était nos boulots respectifs, ça ne façonne pas toute notre vie non plus mais surtout ça cadrait notre emploi du temps…
- un bel exemple… j’aurai dis un exemple sexy oui !
Je lui fis un petit clin d’oeil, ce n’était pas de la vantardise loin de là mais je sais que je ne laissais pas de marbre l’écrivaine et la taquiner était quelque chose de très amusant.
- Je ne pense pas exceller dans plein de domaines comme tu dis, juste une mère qui veut que ses enfants soient des gens importants, mon éducation a été faite pour que j’ai une haute place dans la société et qu’elle ne me lâchera pas la grappe tant que je n’ai pas atteint le poste de Premier Ministre.
Oui c’était un poste prestigieux, beaucoup de responsabilité, beaucoup de sorties officielles et j’en passe, oui ça serait l’apothéose de ma carrière d’arriver à une telle fin mais j’adore mon ministère, souvent délaissé par tout le monde, j’essaye de le refaire revivre depuis quelques années mais le gouvernement n’est pas prêt de changer même si Pandore semble de plus en plus souffrante mais nous ne voyons pas opportuniste, ça ne présage rien de bon généralement.
Nyx me relève pour que je puisse m’adosser contre elle, c’était romantique à souhait cette situation, je n’avais jamais connu pareil moment après un moment de luxure avec une tierce personne, chacune cherchant de l’autre, on pourrait croire que nous étions amantes depuis un certain temps, je pense que ça me plairait ce genre de relation, j’ai beau avoir essayer, je n’ai jamais trouver chaussure à mon pied mais Nyx avait ce petit quelque chose qui me donnait envie de tenter sans même ce “ contrat “ que nous avons passé.
- Tu es bien gourmande ma chère...
Mais j’avais fait une promesse à Sekyung, il fallait que je rentre, je ne pouvais pas la laisser toute une nuit seule, j’avais déjà outrepassé ma promesse, j’avais dis que je revenais vite mais je ne pouvais me permettre de rentrer la nuit tombée et vu la tournure des choses, on serait capable de rester jusqu’au petit matin, je ne pouvais lui faire ça.
- Mais tu sais...
Certes le timbre de ma voix se veut beaucoup trop sérieux pour la situation, perdant son charme d’il y a quelques secondes. Je finis par me tourner, caressant sa joue avec tendresse, je ne voulais pas la quitter, j’étais tiraillée entre passer ma soirée avec elle et honorer ma promesse, j’étais une femme d’honneur, il me restait qu’une solution..
- J’ai promis à ma pupille de revenir dès que possible...
J’essayais de lui transmettre dans mes intentions que je ne fais pas ça parce que je veux la suivre loin de là.
- J’aurai tellement voulu rester avec toi le reste de la soirée, nous avions tellement de choses à découvrir, tu es si délicieuse..
Un baiser dans le cou pour confirmer mes dires.
- Si tu tiens tant à rester avec moi cette nuit, rentre avec moi, je te promets que nous serons tranquille et je te ferai visiter une partie qui n’est pas du tout accessible au public et personne d’autres d’ailleurs..
Je n’avais jamais fait pareille proposition auparavant, personne ne dort chez moi, c’était mon domaine privée, personne ne rentre dans mon intimité, conquête ou non, je venais de proposer l'impensable...
Haru semblait assez pessimiste sur ses propres compétences. Pourtant, elle semblait déjà irréprochable dans son travail actuel. Il suffisait de se remémorer la discussion qu’elles avaient eue sur le chemin aller. Et puis elle avait démontré d’autres compétences moins professionnelles sur place, mais non négligeables pour autant. Et puis côté social elle avait également l’air très douée. Tout cela était assez contradictoire avec sa volonté de devenir première ministre. Enfin, elle n’avait pas dit clairement le vouloir, mais c’est de cette façon que Nyx le comprenait en tout cas.
"Madame la première ministre ? Ça sonne bien. Mais je vais pas avoir fini d’en entendre parler si je venais à coucher avec la première ministre. Toi non plus d’ailleurs, les promotions canapé ça passe rarement inaperçu."
Elle disait évidemment cela sur un ton taquin. Elle serait très contente de l’avoir en supérieure. Après tout, travail et privé étaient différents, et Nyx n’avait pas la prétention de viser ce poste. Son ministère lui convenait largement. Elle était la supérieure hiérarchique directe de sa sœur, ce serait nettement moins amusant de s’en éloigner.
Cependant, il n’y avait pas que des bonnes nouvelles. Avec le ton sérieux que prenait Haru, Nyx ne pouvait qu’anticiper ce qu’elle allait dire. Ça ne pouvait qu’être un refus, à moins que ce ne soit une énième taquinerie. Mais finalement sa crainte se confirma et elle ne prit pas la peine de cacher un air déçu. Même ce nouveau baiser dans son cou n’était qu’une maigre consolation. A moins que… Vile sorcière que cette Haru jouant avec ses sentiments. Passer la nuit chez elle ? Ce n’était certes pas une solution aussi élégante pour Nyx que la sienne, mais c’était un moindre mal par rapport à ce qu’elle lui avait laissé penser il y avait quelques secondes à peine.
"A personne d’autre ? C’est une proposition qui ne se refuse pas, j’accepte avec beaucoup de plaisir."
Elle ne s’en cachait pas. Mais quel était cette partie que personne d’autre n’avait pu voir avant elle ? Pas même sa pupille, pas même ses éventuels domestiques… Était-ce simplement sa chambre ? Ce qui voudrait dire qu’elle n’avait pas de domestiques, ou y avait-il un encore plus gros secret chez cette ministre de la culture ? La curiosité se mêlait à son excitation et sa joie pour former un cocktail de sensations plutôt agréable. Elle n’aurait pas l’occasion de l’attendrir avec sa cuisine ou d’autres petits détails du genre mais tant pis. Pour cette soirée, elle lâchait son côté dominant pour pénétrer l’intimité de cette femme qui n’avait décidément pas fini de lui en faire voir de toutes les couleurs.
"J’ai hâte de voir tout ça, cette soirée s’annonce grandiose, Dame du Lys."
Avant de se lever, elle se permit tout de même le luxe de lui voler un dernier baiser, ses lèvres ne touchant les siennes que très brièvement.
- J’adorerai une promotion canapé avec toi alors.
Dis-je taquine, même si elle a son propre ministère, si je deviens Premier ministre, je pourrai rien faire de plus pour elle, je n’ai pas tels pouvoirs, tu es surtout là pour la coordination du gouvernement et un devoir de conseil très important avec le couple royal ou de les représenter directement si nécessaire, enfin ce n’est pas fait et là j’avais autre chose à penser comme ce corps de déesse qui me donne envie d’un second tour mais avant, je dois élucider le problème Sekyung.
Je la vois faire la moue, c’est vrai qu’elle m’avait proposé une magnifique soirée dans son appartement privé, peut-être s’en sert-elle pour ses rendez-vous coquins, moi je n’avais jamais pris cette initiative, je ne voulais vraiment dissocier travail et vie privée mais avec Nyx, c’était fichu… elle a fait tomber toutes les barrières, à côté avec Primus, c’était futile mais avec elle, c’était tout autre.
- Oui personne n’a osé profiter de mon lit mise à part moi, ni d’ailleurs franchi les portes de ma demeure pour ça.
Heureuse de cette nouvelle perspective, Nyx se redresse et me vole un baiser, c’était bon enfant, c’était amusant de la voir ainsi alors que j’ai eu que des échos d’une femme autoritaire et sûre d’elle, là j’avais en face de moi, une femme attachante et je ne dirai pas amoureuse mais presque. Je me lève à mon tour, attrapant sa taille pour un dernier baiser langoureux.
- Mais avec moi, tout est grandiose tu sais, Dame Anger
J’attrape alors sa main, glissant mes doigts centre les siens, c’était nos derniers moments intimes avant de reprendre nos rôles respectifs pour une fois arrivée en bas de l’escalier, reprendre nos places de simples collègues.
- Fin du RP -