par Jaime D. Cooper (997)
Prix "Avancée humaine" décernée en l'An 998.
Avant propos :
La chirurgie au sens auquel nous l'entendons de nos jours est une forme de médecine consistant à réparer par le biais d'une opération une partie d'un corps humain. En tant que médecin aimant vogué hors des sentiers battus, j'ai réalisé divers expériences pour obtenir des résultats que je vais tenter de vous expliquer tout au long de cet ouvrage. Je tiens à préciser afin d'éviter tout détracteur que les patients traités dans cet ouvrage est constitué de personnes consentantes. La chirurgie sur une personne non-consentante est d'ailleurs interdite d'après la loi royale, sauf si la vie de la personne est en danger et qu'il n'est pas en mesure de manifester clairement son avis. Je tiens également à préciser que la chirurgie ne s'invente pas, il faut d'abord étudier le corps humain dans son intégrité si l'on veut pouvoir pratiquer une opération en limitant les risques. Ce recueil d'expérience est avant tout destinée à des gens désireux d'en apprendre davantage sur le corps humain. Je nourris le secret espoir que ce livre devienne une référence dans le milieu du médical, ayant moi même lu énormément d'inepties dans des livres prétendument "médicaux". Je ne lance pas la pierre à mes illustres collègues, mais je tiens à faire part de mes expériences qui m'ont valu aujourd'hui d'avoir le meilleur taux de réussite d'opérations sur les six années précédentes. Mes détracteurs ne manqueront pas de parler de mon pouvoir, mais mes patients peuvent témoigner que je ne l'utilise qu'en cas d'opération extrêmement lourde.
Revenons en à nos moutons s'il vous plait. Lors de mes expériences, je me suis basé sur le ressenti de mes patients, et sur des diagnostiques que j'ai également vérifier de nouveau avant de me lancer dans une quelconque opération. Je ne dis pas que les médecins se trompent souvent, je dis juste que la confiance n'exclue pas le contrôle. Une opération impliquant des conséquences assez lourde, je souhaite l'éviter tant que possible. Il est également conseiller aux apprentis-chirurgiens de nettoyer correctement leurs outils de travail. Je ne compte plus le nombre de patient qui sont venus me trouver après avoir subi une infection à cause d'une négligence sur la propreté de ces outils. Egalement, l'idéal est de les stériliser pour éviter toutes transmissions de virus en les mettant à chauffer à très hautes températures. Je recommande de passer les instruments dans une flamme pour neutraliser bon nombre de bactéries présentes dessus. Je précise encore une fois, que ce qui est mentionné dans mon manuel est avant tout des recommandations pour augmenter vos chances de réaliser une chirurgie réussie. Il est possible que des opérations se déroulent bien sans toute cette préparation, mais étant adepte du pragmatisme, je vous le conseille fortement.
I / Les anesthésiants
Chacun a sa technique pour endormir son patient avant même que l'opération commence. Les techniques sont vastes et je vais vous soumettre une liste non-exhaustive des différentes anesthésies que j'ai pratiqué, les classant de la moins efficace (1) à la plus efficace (9). Je ferais également en sorte de faire apparaître les remarques de mes patients ayant subi ce genre d'anesthésie afin de voir les différents ressentis.
1/ A vif :
Les apprentis médecins sont capables de faire n'importe quel bêtise, et notamment d'oublier qu'un patient peut ressentir de la douleur durant l'opération. Ils ne s'embêtent pas des détails et n'hésite pas à attacher leurs patients pour pouvoir opéré dans un plus grand confort. J'ai moi même eu l'occasion de pratiquer une chirurgie à vif pendant une bataille navale contre des pirates, afin de permettre à cet homme de pouvoir continuer à se battre sur sa demande, il m'a prié de ne pas l'anesthésié pour pouvoir se défendre jusqu'au bout, connaissant les effets dévastateurs de l'anesthésie. L'homme ayant reçu un carreau d'arbalète dans le ventre, j'ai pris la décision d'opérer. J'ai du retirer la flèche et recoudre la partie blessée avant de bander la zone attaquée.
Résultat : Une grande douleur de la part du soldat, une perte d'audition temporaire pour ma part lorsque j'ai retiré la flèche de son ventre, et un inconfort certains pour mon patient.
2/ L’ébriété :
Certains médecins pensent qu'un patient ivre est moins enclin à sentir la douleur. C'est vrai qu'il n'est pas rare de voir des hommes ivres recevoir des coups plutôt violent et ne pas chancelé. Cependant, c'est une méthode d'Anesthésie des plus inutiles pour plusieurs raisons. La première est l'instabilité du patient qui sera beaucoup moins enclin à coopérer sur la table d'opération. Je ne l'ai utilisé une fois pour ma part, n'ayant pas d'autres choix et devant opéré un homme ivre s'étant fait transpercer par une lame de couteau. L'opération a été un véritable désastre, j'ai du demandé à mon assistant Igor de l'attacher sérieusement tant ses mouvements désordonnées et violents auraient pu compromettre nos chances de réussites de l'opération. Je recommande en cas d'opération de la sorte de vous munir d'une corde ou d'un mors à insérer dans la bouche du patient permettant à ce dernier d'éviter de se mordre la langue sous la douleur.
Résultat: Le patient en question s'en est tiré avec un peu de peur, et des céphalées dues à sa consommation excessive d'alcool de la veille. L'opération a cependant été très pénible à réaliser
3/ Étranglement sanguin:
Ne nécessitant pas de matériel spécifique mais nécessitant cependant un certain entrainement. L'étranglement sanguin est très efficace pour faire perdre connaissance à une personne donnée. Pour cela, il suffit de passer derrière son patient, faire passer ses bras sur les épaules de ce dernier, puis de replier son bras gauche en équerre pour attraper le creux du coude droit. La main droite viendra ensuite passer derrière la tête du patient pour appuyer davantage et lui faire perdre connaissance en quelques secondes. On appelle également cette prise la "Mata-Leone". Cet étranglement, relativement facile à appliquer n'en demeure pas moins assez instable. J'ai reçu un patient se plaignant de douleur au poignet, son canal carpien était écrasé et cela lui infligeait une douleur à chaque mouvement. Ayant utilisé cette méthode, les premières minutes de l'opération se sont bien passés, mais il s'est réveillé au moment où je débloquais son nerf, ce qui a sans doute réveiller son cerveau.
Résultat : Le patient s'est juste plaint, à juste titre du réveil brutal et douloureux. Après avoir pris attache avec d'autres collègues, j'ai appris que l'utilisation de cette technique pouvait avoir certains effets indésirables sur le corps humain : paralysie d'un ou plusieurs membres, voire de la moitié du corps, surdité, cécité, épilepsie sévère, troubles cognitifs. ou la mort en cas d'étranglement prolongé. Cher collègues, vous êtes prévenus des risque.
4/ Rhon Phle à l'état sauvage :
Lorsque l'on s'approche de cette merveilleuse plante qu'est le Rhon Phle, un mécanisme de défense de cette dernière s'active. Il y a en effet un petit nuage de spore qui est relaché dans l'air, plongeant la personne dans un état de sommeil avancé. C'est une technique naturelle que j'ai longtemps utilisé à mes débuts. Cependant, il y a de nombreuses contraintes à ce genre d'anesthésie. Tout d'abord, il convient d'être équipé d'un masque protégeant des spores, d'avoir la main verte pour pouvoir les faire pousser dans un endroit humide comme une champignonnière et surtout de veiller au grain chaque jour que la plante ne se détériore pas. Il faut aussi avoir la place pour les cultiver. J'enfile généralement mon masque anti-spore avant de faire entrer mon patient dans la pièce rempli de Rhon Phle. Je vous conseille d'avoir avec vous un Igor, grand et fort pour porter votre patient une fois l'homme endormi. L'Anesthésie est généralement un grand succès, l'homme ne se réveillant que quelques heures après avoir respiré les spores.
Résultat : Une méthode efficace mais extrêmement contraignante, par la nature même de l'installation. Il faut confiner les spores dans une pièce, et éviter de laisser la porte ouverte trop longtemps pour éviter une propagation des spores. Technique à éviter pour les chirurgiens peu procédurier sous peine de créer une véritable catastrophe. Il est à noté cependant que le patient ne semble souffrir d'aucunes séquelles visibles et je n'ai à ce jour jamais entendu quelqu'un se plaindre de cette forme d'anesthésie.
5/ Hypnose :
L'hypnose est une méthode des plus controversés car très difficile à concevoir. En effet, il existe deux types de personnes, ceux qui sont résistants à l'hypnose, et ceux qui y sont compatibles. Lorsqu'une personne est plongée dans l'hypnose, il n'y a plus besoin d'anesthésie et le patient peut être réveillé instantanément après l'opération. Je conseille ce genre d’anesthésie pour les enfants ou adolescents afin de limiter l'impact sur leurs cerveaux en pleine évolution.
Résultat : Cette technique serait sans doute beaucoup plus haut dans mon classement s'il n'y avait pas trois inconvénients majeurs. Le premier est que l'hypnose n'est pas utilisable sur tout le monde, certaines personnes refusant de lâché prise n'arrivent pas à être plongé dans cet état second. Le deuxième est qu'il faut absolument que l'hypnotiseur reste dans la pièce pour tenir la personne en état de transe. Il est impossible pour le médecin d'hypnotiser et opérer en même temps sous peine de bâcler l'un des deux aspects. Pour ce qui est du troisième mais non le moindre inconvénient, c'est qu'il faut connaitre quelqu'un connaissant correctement cet art pour permettre une opération dans des conditions optimales. Pas de séquelle à ce jour constatée.
6/ Graine de Pavot :
Le pavot est la plante somnifère par excellence. Beaucoup moins contraignante à faire pousser que le Rhon Phle, elle est très facile à produire chez soi et ne demande que peu d'emménagement. Il suffit ensuite de récolter les graines et de les broyer pour créer un puissant somnifère. Attention cependant, j'attire l'attention de mes confrères sur quelques choses d'important, il faut respecter un dosage précis sur ces dernières. La graine de pavot est très efficace et vous assurera une anesthésie de votre patient pendant au moins 3 heures. Lorsque j'ai dû, au cours de ma vie, installer mon cabinet en ville, j'ai dû renoncer aux Rhon Phle pour endormir mes patients. Vu la proximité des autres habitations, je ne pouvais pas prendre le risque d'endormir par inadvertance un voisin, je me suis donc tourné vers une plante dont on m'a vanter les mérites : le pavot. Et que dire, si ce n'est que j'ai été charmé par tous ces avantages.
Résultat : Une anesthésie formidable, et avec aucunes séquelles importantes à constater. Attention cependant à ne pas anesthésier trop souvent une personne avec ce procédé, la graine de pavot a un effet addictif. Pensez à bien respecté le dosage sinon votre patient risque de souffrir de quelques hallucinations pendant plusieurs jours.
7/ Une conférence par Cristaux vision de Suhm Nolan :
Aussi étonnant que cela puisse paraître, ce cher historien Suhm Nolan a un pouvoir des plus étranges. Il suffit de mettre un cristal vision dans les mains du patient pour qu'il regarde et se retrouve captivé par cet homme. Deux hypothèses se profilent : Soit l'homme est réellement captivant et les gens ont leurs attentions focalisés sur cet homme. Soit l'homme est tellement ennuyant que le cerveau se met dans une sorte de stase, refusant de fonctionner jusqu'à ce que le stimulis visuel et auditif s'éteigne. Il convient donc d'opérer avec des boules-quiès pour éviter de tomber dans cet état là. Cependant, si je puis opter pour une hypothèse, je trouve cela tout de même étonnant que les patients soient incapables de se souvenir de ce que racontait ce cher Suhm. Je devrais peut être le regarder un jour pour me faire mon propre avis.
Résultat : Une anesthésie sans réelle faille, demandant toutefois un léger investissement dans le cristal vision et dans les boule quiès. Attention à vérifier que le cristal vision soit bien rechargé pour éviter une coupure en pleine opération.
8/ Rhon phle à fumer :
Le Rhon Phle, comme on a vu précédemment peut être utilisé sous sa forme naturelle mais je le conseille davantage sous sa forme coupée et broyée. En effet, sous cette forme, la poudre blanche se met directement dans un papier et après quelques inhalations le sujet s'endort. Il est préférable de faire fumer votre patient à l'extérieur afin d'éviter que l'odeur s'imprègne dans votre salle d'opération. Il est a noté que vous pouvez rendre la fumée de Rhon Phle avec un meilleur goût, et donc plus supportable par votre patient en coupant la poudre avec un zeste de Lhumi Noeud. Le patient appréciera et se relaxera plus facilement avant de s'endormir
Résultat : Une très bonne anesthésie, nécessitant cependant une installation correcte en cas de culture soi même.
9/ Solution PRP9 :
Cette solution est issue d'une de mes expériences. Je l'ai appelé PRP9 pour Pavot Rhon Phle 9 ème tentative. J'ai essayé de créer un dosage parfait entre le pavot et son effet instantanée et le Rhon Phle pour éviter les déconvenues hallucinatoires et addictives du pavot. Les 8 autres expériences se sont mal passés, fort heureusement, je ne les ai pas testé sur des humains, seul le neuvième essais a été suffisamment concluant pour que je l'essaie sur un individu test. Ceux qui me connaissent savent que je suis consciencieux et que je ne tenterais rien sur un humain à moins d'être sûr à 99.99% du résultat. Le patient zéro a été informé que c'était une anesthésie à l'étape expérimentale et a accepté de me faire confiance. Je lui adresse encore tout mes remerciements pour avoir fait progressé l'art de l'anesthésie. Le PRP 9 est facile à utiliser. Sous forme de petite fiole, il suffit d'en imprégner une seringue et de la planter sur le patient. Nul besoin d'injecter quoi que ce soit, son effet soporifique est inégalé à ce jour et vous assure une tranquillité pour l'opération pendant 4 heures.
Résultat : L'anesthésie parfaite, et je ne dis pas ça parce que c'est moi qui l'ai crée. Aucunes séquelles, très facile d'utilisation et ne nécessitant que d'avoir une petite fiole minuscule sur soi et une seringue. Cette anesthésie est parfaite pour les situations d'urgences également.
II / Le Kit de parfait chirurgien
A ce jour, j'ai recensé plusieurs centaines d'opérations possibles. Ma capacité me permet également d'imaginer un nombre incalculables d'opérations. Cependant je vais me concentrer sur les opérations possibles pour toutes personnes ayant un minimum de connaissances du corps humain. Afin que ce recueil puisse paraître sans que je me fasse censuré d'avoir été trop précis quant aux différents procédés, je ne vais traiter ici que du matériel nécessaire pour opérer convenablement un patient. Je vais donc faire une liste du kit de départ du parfait chirurgien. Je tiens également à préciser que tous les éléments que j'inclurais dans cette liste auront été préalablement lavés, stérilisés et entretenu. Bien, maintenant que nous sommes d'accord sur la base, voyons plus en détail les différents objets auxquels vous devez avoir accès.
A/ La tenue du chirurgien
1/ Les gants en nitriles jetables
Normalement je ne devrais même pas avoir à expliquer la tenue, tellement cela coule de sens, mais au vue des différents cas que j'ai pu observé, je pense qu'un rappel n'est pas du luxe. Les gants sont les principales barrières qui éviteront à votre patient une transmission de maladie ou autre. Il suffirait d'une simple micro-coupure sur votre main pour transmettre une potentielle infection à votre patient. Donc des gants à usages uniques sont à portée en permanence durant l'opération. Je ne le dirais jamais assez, mais l'hygiène du chirurgien est encore plus importante que celle du patient.
2/ Une blouse de protection
Peu importe la texture tant qu'elles vous protègent des effusions de sangs. Vous êtes en train d'ouvrir une personne pour la soigner, donc imaginez bien que le sang va couler donc une protection, ça vous évitera une facture importante à la laverie pour faire partir des tâches de sang. On est jamais trop prudent.
3/ Un masque de protection, des lunettes (ou verre-loupe si vous en avez), et un bandeau.
Comment mentionné plus haut, les effusions de sang peuvent très bien jaillir n'importe où, et un contact avec du sang d'une personne malade sur vos yeux peut vous transmettre une maladie donc soyez prudents. Le mieux pour vos cheveux ce serait une charlotte, mais au vue de l'esthétique qui est très important pour nombreux d'entre vous, je vous conseille au moins un bandeau pour tirer vos cheveux vers l'arrières et éviter de les salir.
B / Les outils du chirurgiens
1/ Le scalpel
La base de tout chirurgien, une lame propre, coupante et qui est capable d'ouvrir n'importe quel peau. Sans ça, vous serez obligé d'y aller avec un couteau et vous perdrez énormément en précision. Donc ne négligez pas l'importance d'avoir un scalpel bien affûté et propre, cela sera votre meilleur arme pour soigner votre patient.
2/ L'anesthésie
Je ne compte pas refaire un cours sur l'anesthésie, mais avoir toujours sur soi un peu de Rhon Phle en poudre sur soi ou mieux du PHP9 c'est déjà un bon moyen de s'assurer une opération dans les meilleures conditions. Je vous rappelle que pour qu'un patient soit satisfait, il faut qu'il n'est rien senti de toute l'opération.
3/ Des verres-loupes
Parfois la zone a soigné est très petite, il n'y a rien de mal à utiliser des verres loupes pour voir mieux votre zone de travail. Ne vous inquiétez pas, les verres loupes ne sont pas uniquement destinés aux personnes souffrant d'une mauvaise vue. Il convient également de dire qu'en plus d'amélioré votre précision, ces verres loupes vous offrent également une protection des plus intéressantes contre les effusions de sang. Attention cependant, elles demandent beaucoup plus d'entretien que de simples lunettes et il convient de bien les régler si vous ne désirez pas affaiblir votre vue.
4 / Des cellules-régénérantes
A quelle belle invention que le tissu régénérant ! A force d'avoir des gens ayant comme pouvoir la régénération, il y a forcément des gens qui se sont penchés sur le sujet. On s'est rendu compte à partir d'un donneur de cellule que ces dernières peuvent être modifier pour s'adapter au corps qui reçoit une greffe de cellules régénérantes. Ainsi, si je dois vous recoller une jambe ou un bras, il suffit de mettre des cellules-régénérantes entre votre bras ou jambe et la partie du corps où elle est rattachée pour recoller le tout. C'est pas bien compliqué, les cellules vont faire leur travail et se multiplié pour s'adapter au génotype du patient. Ainsi, ces cellules vont consolider le corps. Il y aura peut être 2 jours sans que l'individu puisse utiliser ce membre, mais au final, une fois toutes les terminaisons nerveuses ressoudées, il pourra les réutiliser comme bon lui semble. L'avantage est aussi qu'elle s'assimile dans tous les types de corps, mais aussi qu'elles sont modifiés de sorte à mourir quelques jours plus tard après avoir fait leurs offices. Imaginez bien que si ce n'était pas le cas, nous aurions une recrudescence de cancer, tumeurs et autres joyeusetés de la nature dues à une régénération du corps trop importante.
C/ Les soins post opérations
1/ L'écorce de Lhant Airne
L'écorce de Lhant Airne a des vertus désinfectantes et accélère la guérison des blessures. Pour éviter d'utiliser des cellules régénérantes qui sont chers à s'approprier, un simple cataplasme suffira à refermer tout type de blessure, notamment si vous avez ouvert votre patient. N'hésitez pas à lui donner une petite fiole à la fin de l'opération pour qu'il puisse refermer chacune de ses plaies.
2/ Une décoction à la graine de pavot
Le pavot utilisé de la sorte a un pouvoir antalgique des plus intéressants. Si votre patient se plains de douleur post-opératoire, confier lui une décoction à base de graine de pavot afin de calmer immédiatement la douleur, attention cependant chaque décoction doit être espacé de 6 heures sous peine d’entraîner une certaines dépendances pour ce genre de décoction.
3/ Le Bom Dutigreuh
Ceci est une espèce de pommade qu'il convient d'appliquer sur les muscles ayant subi une opération pour éviter que le muscle s'endolorisse ou devienne douloureux. Cette espèce de baume inventé par Lhoeil Dutigreuh, célèbre boxeur reconverti dans la culture de plante médicinale s'est rendu compte qu'en mélangeant du camphre, des clous de girofles et d'autres éléments tout aussi antalgique, on pouvait apaiser les douleurs musculaires même au travers de la peau.
4/ Du Gara-Laflèbite
En cas d'immobilisation des membres inférieurs d'un individu, afin d'éviter tout endommagement du bas du corps, il convient de prendre une injection quotidienne de Gara-laflèbite. Cette piqûre devrait stimuler votre corps et faire en sorte que celui-ci soit trop occupé à se défendre de ce corps étranger plutôt qu'à endommager vos jambes.
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