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Avoues le, tu m'adores ! Ou pas ! {Ryuku}
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And Ryuku Yamiko
Il commençait réellement à se faire tard, si ce n'est que nous sommes plus prêt du petit matin que du début de soirée. Mais il était récurrent que Winry travaille de nuit, sans pour autant que cela ne semble la fatiguer. Ho, à lui demander elle serait bien mieux dans son lit, ou bien encore dans les contrées lointaines à vagabonder. Néanmoins, elle n'allait pas non plus laisser Ryuku porter toutes les charges du loyer et des frais divers sur le dos. Il était important pour elle de s’investir à sa juste mesure. C'était déjà bien charitable que Ryuka et son père lui ont permis de travailler ici. Beaucoup diront que ce n'est pas la place d'une femme, ces hommes-là n'ont dans ce cas, pas connu Winry. Si au départ l'adaptation a mis du temps à venir, maintenant elle y était bien intégrée. Et oui, la demoiselle était rapidement parvenue à faire sa place et à se faire respecter par les habitués du coin. Certains voyageurs tentent parfois le diable... À leurs risques et périls pour eux. Quoi qu'il en soit, elle arriva à la fin de son service et allait pouvoir rentrer... Mais avant cela...
Il restait encore quelques personnes dans la taverne, malgré l'heure tardive. Des habitués, et d'autres personnes de passage. Winry se servit un verre, histoire de décompresser un petit coup avant de partir et se dirigea vers l'une des tables. Retrouvant la tête blonde, qu'elle ne connaît que trop bien. En compagnie d'une charmante jeune femme à la chevelure d'ébène et aux formes généreuses. Petit sourire au coin des lèvres, une petite idée lui trotta dans la tête... L'occasion était trop belle. Se dirigeant vers elle, elle s'adressa à Ryuku. « Il t'en faut une tous les soirs dit moi. » Faisant bien en sorte que la brune comprenne ses paroles, cette dernière se leva vexée et s'en alla. Winry, fière de ce qu'elle venait de compromettre, prit la place de la brune face à Ryuku. Une petite blague comme elle a l'habitude de lui faire... Ho... Avouons-le... Il aime ça. Non ? Peut-être pas, mais quand il le voulait, il le lui rendait bien ! « Désolée, c'était tentant. De toute manière, on va bientôt y aller. » Et bien ? Oui, Winry lui imposa clairement de rentrer avec elle. Surtout après tout les verres qu'elle avait pu lui apporter à cet ivrogne. Bien qu'il puisse en avoir l'habitude, elle n'allait pas le laisser ici, il serait capable de se créer encore des ennuis.
Il restait encore quelques personnes dans la taverne, malgré l'heure tardive. Des habitués, et d'autres personnes de passage. Winry se servit un verre, histoire de décompresser un petit coup avant de partir et se dirigea vers l'une des tables. Retrouvant la tête blonde, qu'elle ne connaît que trop bien. En compagnie d'une charmante jeune femme à la chevelure d'ébène et aux formes généreuses. Petit sourire au coin des lèvres, une petite idée lui trotta dans la tête... L'occasion était trop belle. Se dirigeant vers elle, elle s'adressa à Ryuku. « Il t'en faut une tous les soirs dit moi. » Faisant bien en sorte que la brune comprenne ses paroles, cette dernière se leva vexée et s'en alla. Winry, fière de ce qu'elle venait de compromettre, prit la place de la brune face à Ryuku. Une petite blague comme elle a l'habitude de lui faire... Ho... Avouons-le... Il aime ça. Non ? Peut-être pas, mais quand il le voulait, il le lui rendait bien ! « Désolée, c'était tentant. De toute manière, on va bientôt y aller. » Et bien ? Oui, Winry lui imposa clairement de rentrer avec elle. Surtout après tout les verres qu'elle avait pu lui apporter à cet ivrogne. Bien qu'il puisse en avoir l'habitude, elle n'allait pas le laisser ici, il serait capable de se créer encore des ennuis.
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AVOUES LE, TU M'ADORES ! OU PAS !
? ft. Winry Mishigawa
Te voilà dans cette taverne, tu picoles sévèrement. Depuis combien de temps on t’apporte à boire ? À manger ? Tu ne comptes plus les heures, mais tu dois bien être à cinq pipis, ce qui peu montrer que ça fais bien longtemps, sachant que ta vessie n’a à envier à personne.
Les gens vont et viennent depuis que tu squattes l’endroit, mais durant la soirée, une charmante femme aux cheveux d’ébène et aux yeux perçants fit son entrée. Toi et tes deux grammes dans le sang aviez d’un coup paupaul en frivole, tu pensais même laisser en plan la personne pour laquelle tu attendais vraiment dans cette taverne.
Tu t’approches de la dite femme tout en gardant un air au minimum normal, cette dernière ne semble fermée à ta venue plus ou moins titubère, ce qui peu être surprenant, car ce n’est en général pas vraiment glamour.
Tu es un homme galant. Radin, mais galant, et lui paye un verre même si tu as l’impression qu’un huissier vient te voler ta maison et tous tes biens (même si cela n’arriverait jamais, car le dit huissier finirait « disparu » subitement).
Le temps passe et vous avez même fini par prendre place à une table, la discussion devenait de plus en plus intéressante. Tu te fiches royalement de comment pense la femme dans la vie de tous les jours, tu ne penses seulement à la nuit que tu pourrais passer avec cette dernière, avant de disparaître de sa vie tel un gentleman.
C’est ce que tu penses, avant d’entendre cette petite voix qui fit partir la femme en question, laissant place à une jeune femme élancée, chevelure rose, et un air qui parfois, t’agace au point de vouloir lui trancher la jugulaire.
Elle t’impose même quand partir, cette garce n’a strictement aucun toupet. Non seulement, tu n’as pas envie de partir, mais en plus, tu n’es pas encore assez saoul pour partir, et tu ne va tout de même pas t’incliner comme ça.
« Mais oui ma chérie, on va partir… Mon cul oui ! Tu m’as niqué mon plan-là ! Va donc me chercher une bouteille assez forte qui te fera pardonner. Moi ? Je ne vais pas encore bouger vieille chèvre. »
Tu croises tes pieds sur la table, et pour pousser la dissidence, tu t’allumes même un cigare en lui soufflant bien la fumée dans la tronche, tu vas bien lui rendre la pareille.
Tu regardes la jeune femme avec un léger sourire satisfait. Cette jeune femme qui vit avec toi. Qu’elle idée aussi d’avoir été redevable d’un idiot qui ne savait pas ce qu’il faisait ? Mais au fond, tu l’aimes bien, toi qui es enfant unique, ça donne un peu de piment dans ta vie.
Cependant, elle va quand même bien payer. Tu ne te gêne pas non plus de tasser ta cendre au sol, sachant que c’est sans doute elle qui passera le balai à la fermeture.
Regardant un peu autour de la pièce, tu vois quand même une poignée clients qui ont l’air encore plus amoché que toi, et l’alcool montant, d’une est d’humeur… Piquante, mais tu n’as pas envie de lancer d’ennui, mais tu te dis que ce serait pas trop mal si un des guignols était dans le même état d’esprit.
Les gens vont et viennent depuis que tu squattes l’endroit, mais durant la soirée, une charmante femme aux cheveux d’ébène et aux yeux perçants fit son entrée. Toi et tes deux grammes dans le sang aviez d’un coup paupaul en frivole, tu pensais même laisser en plan la personne pour laquelle tu attendais vraiment dans cette taverne.
Tu t’approches de la dite femme tout en gardant un air au minimum normal, cette dernière ne semble fermée à ta venue plus ou moins titubère, ce qui peu être surprenant, car ce n’est en général pas vraiment glamour.
Tu es un homme galant. Radin, mais galant, et lui paye un verre même si tu as l’impression qu’un huissier vient te voler ta maison et tous tes biens (même si cela n’arriverait jamais, car le dit huissier finirait « disparu » subitement).
Le temps passe et vous avez même fini par prendre place à une table, la discussion devenait de plus en plus intéressante. Tu te fiches royalement de comment pense la femme dans la vie de tous les jours, tu ne penses seulement à la nuit que tu pourrais passer avec cette dernière, avant de disparaître de sa vie tel un gentleman.
C’est ce que tu penses, avant d’entendre cette petite voix qui fit partir la femme en question, laissant place à une jeune femme élancée, chevelure rose, et un air qui parfois, t’agace au point de vouloir lui trancher la jugulaire.
Elle t’impose même quand partir, cette garce n’a strictement aucun toupet. Non seulement, tu n’as pas envie de partir, mais en plus, tu n’es pas encore assez saoul pour partir, et tu ne va tout de même pas t’incliner comme ça.
« Mais oui ma chérie, on va partir… Mon cul oui ! Tu m’as niqué mon plan-là ! Va donc me chercher une bouteille assez forte qui te fera pardonner. Moi ? Je ne vais pas encore bouger vieille chèvre. »
Tu croises tes pieds sur la table, et pour pousser la dissidence, tu t’allumes même un cigare en lui soufflant bien la fumée dans la tronche, tu vas bien lui rendre la pareille.
Tu regardes la jeune femme avec un léger sourire satisfait. Cette jeune femme qui vit avec toi. Qu’elle idée aussi d’avoir été redevable d’un idiot qui ne savait pas ce qu’il faisait ? Mais au fond, tu l’aimes bien, toi qui es enfant unique, ça donne un peu de piment dans ta vie.
Cependant, elle va quand même bien payer. Tu ne te gêne pas non plus de tasser ta cendre au sol, sachant que c’est sans doute elle qui passera le balai à la fermeture.
Regardant un peu autour de la pièce, tu vois quand même une poignée clients qui ont l’air encore plus amoché que toi, et l’alcool montant, d’une est d’humeur… Piquante, mais tu n’as pas envie de lancer d’ennui, mais tu te dis que ce serait pas trop mal si un des guignols était dans le même état d’esprit.
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And Ryuku Yamiko
Soyons honnête, elle était plutôt contente de son petit coup mesquin. Ho et puis, ce n'est pas la première, ni la dernière fois qu'elle lui fera une petite pique. Se serait bien trop cruel de s'en arrêter là, il s’ennuierait sans cela. Mais bien évidemment, et comme elle si attendait, Ryuku fit part de son mécontentement à sa manière. Ha oui ? Il ne comptait pas bouger ses fesses d'ici ? Que croyait-il ? Qu'ils allaient coucher là ?! Qui plus est, en vidant toutes les bouteilles de la taverne ? « Et puis quoi encore ? J'ai pas envie d'avoir à porter ta vieille carcasse pour te ramener à la maison. » Finissant son verre de réconfort, elle claque l'une de ses mains sur la table et se releva promptement. Adressant un petit regard moqueur au blondinet, la rousse prit un petit ton mesquin. « Soit dit en passant, je t'ai plutôt sauvé les miches, tu devrais me remercier. Dans l'état dans lequel tu es tu n'aurais pas assuré avec la demoiselle. » C'est assez facile, on l'avoue, de se faire passer pour la grande dame de ces lieux. Il devrait la remercier après tout ! Pourtant, ce fut tout autre de sa part. Il la nargua de front avec l'un de ces cigares, l’obligeant à secouer sa main devant son visage pour en dégager la fumée. Une moue certaine s'afficha sur son visage, Ryuku était vraiment un bougre ! Pour rester polie. Qu'il attende un peu celui-là...
Ses mains claquèrent entre elles, pour attirer l'attention de ceux restant dans la taverne. Les regards de certains se tournèrent vers elle, tandis que d'autre firent mine de ne rien entendre et continuent de parler entre eux. « Bien messieurs, nous allons fermer. Je vous demande de bien vouloir quitter les lieux et je vous dis à la prochaine fois. » Et oui, il faut rester un minimum commerçante tout de même. Certains prirent la porte, mais d'autres ne semblaient pas promptes à vouloir bouger leurs fesses. Grommelant doucement, Winry vint à eux pour leur demander une deuxième fois, et poliment s'il vous plaît, de finir rapidement leur verre et de s'en aller. « C'est pas une femme qui va me donner des ordres. » Il ne daigna même pas relever la tête vers elle, continuant de jouer aux cartes avec ses compères et boire son verre. Winry resta un moment béa face à sa remarque. Une manière de lui parler qui pouvait réellement l'agacer. « Moi j'suis d'accord avec le blondinet. Ramène-nous de quoi boire. » Bien sûr... Son regard visa directement Ryuku, maintenant qu'il avait lancé les hostilités certains allaient le suivre dans son raisonnement. Soufflant, se massant doucement l'arête du nez pour tenter de garder son calme. « Dit quelque chose toi au lieu de rester sans rien faire. Puisque tu sembles êtres leur aspirant fiche les moi dehors. »
Bras croisés, Winry ne s'attendait pas à ce qu'il bouge ses fesses pour faire sa requête. Elle aura au moins tenter, avant de s'y prendre à sa propre manière.
Ses mains claquèrent entre elles, pour attirer l'attention de ceux restant dans la taverne. Les regards de certains se tournèrent vers elle, tandis que d'autre firent mine de ne rien entendre et continuent de parler entre eux. « Bien messieurs, nous allons fermer. Je vous demande de bien vouloir quitter les lieux et je vous dis à la prochaine fois. » Et oui, il faut rester un minimum commerçante tout de même. Certains prirent la porte, mais d'autres ne semblaient pas promptes à vouloir bouger leurs fesses. Grommelant doucement, Winry vint à eux pour leur demander une deuxième fois, et poliment s'il vous plaît, de finir rapidement leur verre et de s'en aller. « C'est pas une femme qui va me donner des ordres. » Il ne daigna même pas relever la tête vers elle, continuant de jouer aux cartes avec ses compères et boire son verre. Winry resta un moment béa face à sa remarque. Une manière de lui parler qui pouvait réellement l'agacer. « Moi j'suis d'accord avec le blondinet. Ramène-nous de quoi boire. » Bien sûr... Son regard visa directement Ryuku, maintenant qu'il avait lancé les hostilités certains allaient le suivre dans son raisonnement. Soufflant, se massant doucement l'arête du nez pour tenter de garder son calme. « Dit quelque chose toi au lieu de rester sans rien faire. Puisque tu sembles êtres leur aspirant fiche les moi dehors. »
Bras croisés, Winry ne s'attendait pas à ce qu'il bouge ses fesses pour faire sa requête. Elle aura au moins tenter, avant de s'y prendre à sa propre manière.
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