Formalités de la quête
MDJ : @Nayru DalmascaPARTICIPANTS :
@Zebediah A. Mouramaca Aventurier
@Hel D. Gher Aventurier
Objectifs : Tuer le plus de rats possibles.
Récompense : 20 cristaux par rats tués à se partager
ORGANISATION DE LA QUÊTE : Le maître du jeu va vous donner quelques instructions au fur et à mesure du déroulement de la quête et vous devrez répondre chacun votre tour (l'ordre est libre) une fois ou plusieurs fois… Une fois cet objectif atteint, le MDJ fera une nouvelle apparition pour vous en donner des nouvelles et ainsi de suite.
Les rats géants sont connus pour faire d'énormes dégâts aux récoltes mais sont plutôt froussards, ils ne sortent que la nuit. On vous demande de les exterminer : s'il ne reste que deux ou trois survivants, ils seraient capables de se reproduire en l'espace d'une lune et de revenir à la charge.
Ce ne sont pas des bêtes très dangereuses mais elles sont malignes et surtout, peuvent communiquer entre elle par télépathie ce qui les rend très dur à avoir.
Comme vous serez rémunéré en fonction du nombre de rat que vous aurez réussi à tuer, il faudra donc ramener une preuve.
Début de la quête
Vous vous préparez à partir en expédition.
Le village qui a fait cette requête se trouve à une demie journée de marche de la capitale. Vous n'aurez donc pas besoin de prendre beaucoup d'affaires, le village vous hébergera une nuit et vous serez rentré le lendemain.
Lorsque vous arrivez au village, le doyen vous accueillera et vous laissera déposer vos affaires à l'auberge puis direction les champs en fin de journée.
Prochaine apparition du MDJ lorsque vous serez arrivés aux champs.
Le monde était façonné depuis le début des temps par les meilleurs d'entre nous. Altruistes, généreux, défenseurs des faibles, le monde a clairement été façonnés par ce genre de personne. Néanmoins, aussi beau et aussi paisible qu'il était, le monde s'est vu consommé par les pires vermines. Profiteurs, colonisateurs et gardiens du chaos. En général, les missions que je choisissais, consistaient celons moi à remettre le monde dans le droit en exterminant ces fameux gardiens, mais alors après un hiver qui avait été plus que difficile, m'ordonnait de prendre les plus basses tâches que la guilde me proposait. Je m'étais renseigné sur ces attaques de rats et aucune victime humaine n'était à déplorer ce qui me donnait déjà un avant-goût de la facilité de la tâche à accomplir. Je m'étais renseigné sur ces attaques de rats et aucunes victimes humaines n'étaient à déplorer ce qui me donnait déjà un avant-goût de la facilité de la tâche à accomplir.
C'était la troisième fois en moins d'un mois qu'on ordonnait à un aventurier de se rendre dans différent villages du royaume pour vaincre différents groupes de nuisible. J'ajustais mon épée, me faisant décoiffer par Daena à mon départ en signe de bonne fortune. Dan me souhaitait lui littéralement bonne fortune en me demandant de ramener un véritable trésor. Même s'il en riait, je savais qu'un trésor ne serait pas de trop. La pauvreté nous guettait de plus en plus et c'était d'ailleurs la raison principale pour laquelle je devrais me traîner un équipier pour cette quête. Je n'avais d'ailleurs pas eu du tout d'information sur son sujet. Je passais devant la forge d'Eva, sans doute en train de malaxer le fer plus que de le battre en me dirigeant vers la sortie de la ville, prêt à faire le voyage.
Après une très longue route de la capitale jusqu'au fameux village sans grandes difficultés, le soleil, lui allait se coucher. À la tombée de la nuit, je mettais donc enfin les pieds dans ce village, l'un de ses représentants m'accueillant avec une bonne poignée de main. Il semblait joyeux pour un rien. Cet homme relativement grassouillet ne semblait plus vraiment m'attendre.
"Ahhh ! Voilà le numéro deux ! J'espère que la route ne fut pas trop tumultueuse. Boarf ! Qu'est-ce que je dis là, vous êtes en plein âge d'or et vous portez cette épée ! Forcément que tout ça fut si simple pour vous ! Tenez, prenez une chambre à l'auberge, le travail commencera dès dans une ou deux heures, tenez vous prêt !"
Je prenais la clé de ma chambre avec mon gant en métal, sans laisser passer un mot. La discussion, c'était clairement pas mon fort. Néanmoins, il allait falloir faire un effort. J'allais passer la soirée avec un coéquipier et avec la chance que j'avais, c'était sans doute une pipelette. À une époque, j'aurais juste pu terminer ma quête sans dire un mot, mais depuis mon arrivé chez Daena, j'essayais réellement de faire un effort avec les autres. Je montais les escaliers de bois de cette auberge si authentique. Les gens buvaient au rez-de-chaussée, une merveilleuse ambiance s'en dégageait, l'odeur de la cuisine enchantait le peuple et l'alcool coulait à flots. Ce village était presque un havre de paix, mais surtout menacé par ses invasions de rats. Il fallait que je protège cet endroit de ce danger en particulier et c'était exactement ce que je comptais faire. Aaron l'aurait fait.
Je m'installais dans ma chambre, comprenant que la pièce voisine à celle-ci était la chambre de mon collègue. Je déposais mon épée sur le lit, me débarrassant de mes affaires pour être plus au confort, l'odeur fumée de la nuit se glissant par la fenêtre. Je me posais par terre, adossé au lit, retirant mes bottes et respirant un bon coup. Cet endroit était des plus relaxants et je voulais en profiter avant la longue soirée de chasse qui s'annonçait.
Jawilsia sur Never Utopia
Je posais donc mes affaires avant d’aller à la taverne. La sociabilisassions. C’était important, surtout que j’aimais boire. Mais aussi, ça permettait d’évaluer la situation. Oui, le nombre de rat toussa toussa. Mais au final, cela ne mena pas à grand-chose. Il y avait des rats certes. Combien ? On ne savait pas. Suffisamment pour être relou en tout cas. Mais bon, j’avais bien bu, c’était ce qui compter. Pas assez pour être bourré hein. J’étais juste de bonne humeur. Et c’est là que le chef du village vint m’annoncer que mon collègue était arrivé. Tu t’en doutes hein, j’allais pas attendre.
Ni une ni deux, je me précipitais vers la chambre du collègue. À côté de la mienne. Sans arme, le visage légèrement rouge à cause de l’alcool. Légèrement hein. Faut pas abuser. J’vais pas être bourré pour quatre pintes. Et je tambourinais à sa porte. Oups, un poil fort. Tant pis, y’avait plus qu’à espérer qu’il soit de bonne humeur.
- Hey y parait que t’es mon collègue ! On fait connaissance un peu où tu comptes pioncer ?
Ouais, la question con, moi j’allais douiller mais j’avais l’habitude. Pis c’est pas comme si je me couchais tôt d’habitude hein. On va dire que quand le soleil se lève, c’était l’heure d’aller au lit. Et la, j’avais bien dormi avant la mission, donc j’en avais pas besoin. Enfin normalement.