Renmyrth; Grimvor
Grim, Vovor, Papounet...
En quelques mots...
Grim est… le dernier homme que quiconque aurait imaginé sur le trône. Il a tout sauf l’air raffiné, ressemble plus à l’aventurier hagard qui se saoule à la taverne, entre deux quêtes pour payer sa boisson. Époux dévoué –fanatique !- de son Altesse Allys Renmyrth, Grimvor est une anomalie, un roi à la couronne qui gratte, un père puéril comme un gosse, un noble plus vulgaire qu’autre chose.
Catégorie : Transformation
Les cheveux et les poils de Grim peuvent, à sa guise, s’embraser. Ils deviennent ainsi une crinière ardente, qui ne le dérange aucunement, mais qui brûle tout ce qu’elle touche d’autre. Lorsque ses pouvoirs sont actifs, ses yeux brillent du même orange flamboyant que sa chevelure.
Il doit cependant se « recharger », pour ainsi dire, en restant au soleil quelques heures. Son pouvoir s’intensifie lorsqu’il est en colère ou dans un endroit particulièrement sec et/ou ensoleillé. Même tombés, ses cheveux restent dangereux : il peut les enflammer tant qu’ils sont en contact avec sa peau.
Grimvor tresse le plus souvent un fouet avec ses cheveux, qui poussent anormalement vite lorsqu’il est au soleil. Il s’en sert comme arme. Un fouet enflammé, en même temps, ça impose.
Ce pouvoir fait lentement se consumer les poils et la chevelure du roi, qui doit donc régulièrement faire renouveler son fouet, ainsi que toutes les armes qu’il voudrait entourer de cheveux tressés pour les enflammer.
Lorsque Grim est mouillé, ses pouvoirs sont inefficaces : il pourra, au mieux, s’épuiser pour faire sécher son corps plus vite, mais n’atteindra la température nécessaire à la combustion qu’au prix d’énormes efforts et de l’aide bienveillante d’un soleil de plomb. En bref : si vous voulez vous battre contre lui, faites-le dans une rivière
Sa couronne semble gigoter, pauvre joyau, symbole de noblesse et de pouvoir, perché à contrecœur sur une tête visiblement d’accord : il n’a rien à faire au pouvoir, le Grimvor. Le sourire détendu qu’il vous lance est chaleureux pourtant… Peut-être est-ce ce visage typiquement masculin, aux traits dessinés au ciseau à bois : mâchoire carrée, nez aquilin, menton prognathe…. Non, ça n’a rien de chaleureux, ça ! Pourtant, entre ces yeux énigmatiques, ce sourire insouciant, qui inspire la confiance, ces pommettes remplies, semblant avoir été arrachées du visage d’un bambin pour les coller sur le faciès de commandant de la garde qu’il arbore… Ouais, il a l’air d’un type bien, quoiqu’un peu trop laxiste.
Les parures dues à son rang peinent à envelopper le corps d’un aventurier en herbe. Si la bedaine semble toujours se battre pour survivre aux entraînements et aux péripéties qu’il fait avec sa fille, Grimvor reste visiblement en bonne santé : épaules larges, bras musclés, de grandes mains d’où même l’oisiveté royale n’arrive pas à effacer les traces du maniement des armes. Des cuisses et des mollets sculptés, qui étouffent sous l’étoffe. L’homme est plus à l’aise en armure qu’en redingote, et CA. SE. VOIT.
Le roux est un homme calme, débordant d’une tendresse qu’il dissimule à grands efforts, dans la salle du trône. C’est aussi un flemmard, qui ne supporte pas les horreurs de l’administratif, les réunions et banquets de courtoisie, les jeux de faux-semblants… Pourquoi doit-il faire semblant d’apprécier le compte de Trou-puant-sur-rivière, déjà ? Il préfèrerait largement être dans ses quartiers, faire la cour, puis l’amour, à sa sublime femme. S’entrainer à l’épée avec Atheas… Merde, même tenter d’arracher une discussion de son rat de bibliothèque de fils est plus agréable que feindre l’intérêt devant tous ces lèche-culs !
Les restes de son époque tête-brûlée –pun intended- reviennent souvent lui mordre le derrière. Ainsi, Grimvor est parfois mélancolique de ses aventures, bagarres de bars, de son entraînement… Il n’a jamais remis en cause sa dévotion envers sa femme et ses enfants, et par extension le royaume, qu’il protègera jusqu’à son dernier souffle, quitte à faire cramer le palais. Bon, l’idée de ne plus être sur le trône le botte vachement, faut dire. C’est un esprit libre, un rêveur. Curieux de nature, il n’aspire qu’à deux choses : trouver une belle petite maison de campagne dans les pleines et parcourir la cambrousse avec son lugnipus, son sac à dos et sa gourde. Mais voilà, le jeune homme aux cheveux de feu s’est entiché d’une reine. Grim évite tant que faire se peut ses devoirs royaux : Seules les décisions vraiment importantes comptent pour lui. Il mobilise donc toute son énergie et son sérieux pour les prendre avec sa femme et leurs ministres. Par contre, au diable les courbettes !
En un mot comme en cent, Grimvor est un aventurier dans une redingote, un amoureux dans un corps d’homme mûr, un père aimant, attaché de force à son trône. Bah ! Ça ne l’empêche pas de profiter de sa petite famille.
« Regarde, Edmond ! Ton petit frère est arrivé ! », Lance l’homme vers son fils. Ce dernier, encore jeune, encore fasciné par l’arrivée d’un petit bout de chou dans la famille, se hisse sur la pointe des pieds pour observer le bibendum rosâtre que son père lui montre.
Sur la couche, en sueur, la mère tend une main faible, qu’Edmond attrape. Il est si fier d’avoir un petit frère. Enfin quelqu’un pour jouer avec lui, quelqu’un à qui il pourra montrer tous les progrès qu’il a faits en escrime récemment ! Alors que les hommes sont promptement congédiés, les servantes exigeant que l’on laisse la mère se reposer et le bébé s’habituer au monde des vivants, au fond de la pièce, deux joyaux couleur topaze observent en silence. Vaéhsie n’apprécie pas qu’on ajoute –encore !- un héritier dans la maison. Comme si elle avait besoin d’un autre rejeton entre elle et la fortune paternelle.
An 966, Saison douce, Deuxième Lune, Huitième jour.
Les sabots des chevaux martèlent le sol, précédés par des aboiements furieux. En tête, Edmond rugit de plaisir. Prend son arc, encoche une flèche. Il a une confiance aveugle en sa monture, ils se connaissent par cœur. Le brun touche sa cible.
Grimvor, ignorant les fanfaronnades de son frère, les félicitations appuyées de son père –il faut l’admettre, c’était un sacré tir ! Ed’ a touché en pleine nuque un cerf, à bien soixante mètres ! Même les chiens regardaient l’héritier du duché de Léral l’air incrédule, alors qu’il fêtait sa prise. Bref. Grimvor Caldem de Léral, lui, n’était pas très chasse. Il maniait assez bien l’arc. Beaucoup moins bien que son aîné, mais tant pis. Tuer des bêtes pour ne pas les manger était ce qui intéressait le moins le petit rouquin, en forêt.
Sur le chemin du retour, il descend de son cheval, se faufile dans les bois. Accroupi dans les fourrés, il observe. Pousse doucement un buisson pour distinguer plus exactement d’où venaient ces froissements. Ce n’étaient pas des bruits de sabots, ni des pas humains. Il fallait qu’il sache. Sans raison particulière. Le petit était simplement captivé par l’idée.
*CRRRRRR* Ah. C’était la manche de sa tunique, qui se plaignait d’avoir une branche plantée dans le côté. Super. D’un geste vif, Grim dégage son bras du buisson. Il soupire d’énervement, imaginant déjà la correction qu’il va se coltiner en rentrant. Et Edmond et Vaéhsie qui vont adorer ça.
Quand il lève les yeux, le petit trouve un loup qui grogne, devant lui. Pétard. Dégainant son coutelas, l’enfant essaie de mettre de la distance, recule doucement, en tournant autour de la bête. Le couinement faible, derrière son talon, fait comprendre ce que le canidé défend. Une petite boule de poils noir de jais, la truffe humide, entreprenait de tâcher le sublime gazon forestier de son sang. Et le loup qui a faim, s’approche. Doucement d’abord, l’animal prend confiance face au regard tétanisé de l’enfant. Grimvor n’a pas envie de bouger. S’il s’en va, le loup va bouffer cette pauvre petite bête ! Qu’il prenne un bout du cerf qu’Ed ramène au domaine ! Il commence déjà à s’engraisser de toutes façons, mieux vaut pour lui qu’il n’y touche p-
Le loup bondit. Grim lève son couteau, tente –encore !- un pas de recul. Sent l’animal blessé contre son talon. Le gamin resserre son emprise sur son arme, plisse les genoux. S’élance. De toutes ses forces, il crie. Qu’on le repère, que le loup prenne peur, quelque chose ! Comme il l’a apprit, le cadet de Léral vise la gorge. La lame s’accroche à la peau pendante de la bête affamée, s’enfonce légèrement. Le cri aigu d’enfant devient un rugissement. Toujours aigu, toujours d’enfant. Mais la peur n’est plus. Par pour l’instant. Le loup tombe, roule à côté du noble. Se remet sur pattes d’un coup de reins. Grimvor lui fait face, se place entre lui et… c’est quoi, cette bête d’ailleurs ? Il se retourne pour voir. Le con.
Projeté vers l’avant, le gamin sent des griffes tenter de labourer son dos, le maintenir au sol pour que les crocs aient une bonne prise. Désespéré, il essaie de se relever. Hurle, plus fort. Ses poumons lui semblent plus grands. Son corps plus léger. Dans la fumée, les jappements douloureux et la chaleur, Grim se relève, se retourne. Voit le loup fuir entre les fourrés. De la fumée.
«GRIM ! » La voix du père. D’un côté, c’est rassurant, de l’autre, la sentence est désormais inévitable. « GRIMVOR CALDEM DE LER- » C’est en voyant l’expression de son géniteur que l’enfant se rend compte. La fumée, la chaleur… ça vient de lui. Il a la tête en feu.
An 970, Saison fraîche.
« Alors, p’tit con ! On fait moins le malin, sans ton lugnipus pour te sauver les miches ! » Tandis qu’Edmond Delancy lance des piques au roux, ce dernier, pendant qu’il fait ses pompes, répète –avec beaucoup de maturité- ce qu’on lui dit, version « gna gna gna ». Le héros n’appréciant guère qu’on se paie sa tête, ponctue les pitreries de Grim d’un coup d’épée en bois sur l’épaule. « Cinquante de plus, puisque t’as encore du souffle. »
La corvée de musculation terminée, vient l’entraînement au combat. Le vieux Delancy a beau n’être que cheveux blancs et rides creusées, il rétame son disciple. Ce dernier apprend cela dit, et vite. Au bout de quelques jours, Grimvor arrête de se jeter comme un idiot sur la garde de son mentor. Il l’étudie, cherche la faille, force Edmond dans des postures qui sont moins favorables à sa vieille carcasse. Parfois, ça finit tout simplement en pugilat. Soyons clairs : le vieux chevalier gagne. Toujours. Et s’il ne le mentionne jamais –à raison !, le gamin progresse. Le lui dire serait justifier son attitude flemmarde, je-m’en-foutiste et insouciante vis-à-vis de son entraînement, ce serait comme lui donner l’autorisation d’aller crapahuter dans les forêts du coin à la recherche d’une quelconque aventure… Que nenni. Il est doué pour le combat, et son pouvoir s’y prête bien, en étant un peu intelligent. Delancy est à ça de convaincre le vieux de Léral d’enrôler Grimvor dans la garde.
An 976
« Dis-moi, Ignis… T’y crois, au coup de foudre ? » Couché dans l’herbe à côté du gamin qui l’a jadis sauvé d’un loup affamé, le lugnipus maintenant habitué à ce que Grim lui parle sans vraiment attendre de réponse pousse un grognement discret. Il parle s’il veut, mais il n’arrête pas les grattouilles sous le menton, le con, là.
Flattant distraitement la fourrure poivre et sel de l’animal, Grimvor repense à cette soirée. Le plus grand rassemblement de peigne-culs au nord du Temple. Les fils et filles de nobles et des grands marchants se suivaient pour faire des courbettes à la Reine, au Roi, à la Princesse. Ils s’attardaient tous à lui glisser le plus de compliments et de fils aîné célibataires que possible. Comme si la haute-société d’Aryon toute entière, persuadée de la disparition prochaine du couple royal, plaçait ses pièces sur un échiquier imaginaire. La plupart d’entre eux ont verrouillé les richesses de leurs régions et entreprises avec une telle poigne que même si Lucy elle-même descendait parmi les paysans, elle n’aurait pas assez de chance et de réussite pour leur arracher la moindre piécette.
Mais au milieu des vautours s’élève le faucon. D’apparence fragile, sa robe tachetée vous ferait croire qu’il est aisé de le mettre en cage. Mais la façon dont elle les regardait… Elle voyait, sans l’ombre d’un doute, les machinations que tous ces nobles cachent derrière leurs sourires. Elle avait déjà tout d’une régente.
An 977
Et les voilà mariés. Comment est-ce arrivé, au juste ? Parce que certes, lui épouse littéralement le meilleur parti de tout le royaume, mais elle ? A quel moment a-t-elle décidé de dire oui ? Tenant son aimée –son épouse ! dans ses bras, le roux joue tendrement avec l’alliance qu’il lui a mise au doigt, plus tôt dans la journée. Sans que jamais le léger sourire d’un homme heureux ne le quitte, il réfléchit.
Grim songe au trône orné qui l’attend. A la longue table en bois massif qui sert de support aux réunions entre le couple royal et ses ministres. Aux innombrables soirées et réceptions, véritables repaires de faux culs engraissés, qui l’attendent. A la longue carrière d’aventurier qu’il s’était promise, et qui est morte, en ce beau jour. Une pensée triste qui s’éloigne, disparaît, jour après jour, avec les restes du fauve que Grimvor avait sauvé en forêt, jadis. Il n’y eut pas de combat. De cris. Aucun spectacle, pas de dernier souffle grandiloquent. Juste une vie qui s’éteint, un souffle qui s’affaiblit.
Des rêves qui s’effacent.
An 983
Les grognements de douleur d’Allys. Les ongles de sa femme qui semblent décidés à lui arracher la peau. La démentielle cohorte de médecins, sages femmes et infirmières qui assistent à l’accouchement. A la naissance d’Aeron, déjà, ça l’avait surpris. Ça, et la tension, l’espèce de calme avant le début d’une bataille… Voir une foule d’inconnus hurler de joie à la naissance de son fils, c’est flippant.
La voilà. Le deuxième enfant du couple royal. Fasciné par ce petit être boudiné, mugissant, encore gluant de la cavité dont il vient de s’extirper –et que Grim passe son temps à visiter-. Atheas Renmyrth était née. Au diable les responsabilités. Le trône, la nation. Les cérémonies. Avant d’être un roi, il est un père. Père de deux enfants. Mari aimant de la personnification de la perfection. Ses ambitions personnelles ne sont qu’un faible prix à payer.
Les années passent. Petit à petit, Grim s’éloigne de son fils. De sa famille. Il n’a jamais été très proche de la fratrie de Léral, évidemment. Même le décès de leur père, l’ascension de Vaéhsie à la tête du duché. Rien n’y fait. Grimvor n’a d’yeux que pour sa famille, et, lorsque c’est absolument nécessaire, son royaume.
Le palais est ainsi animé, autant que faire se peut, par les péripéties et les chamailleries, les aventures d’opérette et les entraînements bruyants du roi et de la princesse. Bientôt, elle grandit. Découvre son pouvoir, et la facilité avec laquelle on sort, lorsqu’on n’a pas la tête de la princesse. Le prince héritier grandit, lui aussi. Trop vite, même. A à peine vingt ans, il parle déjà comme un vieillard. Se comporte comme un ministre. Étudie comme un chercheur. La fierté qu’en tire Grim ne change rien : il ne peut s’empêcher de dire qu’Aeron gâche sa jeunesse. Qu’il devrait s’amuser plus. Qu’il aura tout le temps de vivre enfermé dans les responsabilités royales.
Si seulement il avait encore du temps. La disparition de son fils aîné ne semble pas plonger le roi dans la mélancolie et le désespoir auquel on pourrait s’attendre. Bien évidemment. Il a encore une femme, une fille, un royaume. Quel souverain serait-il, quel boulet serait-il pour sa famille, s’il laissait paraître quoi que ce soit ? Alors il continue à sortir en cachette pour boire dans les tavernes. Il continue à interrompre les entraînements de la garde royale pour ne pas oublier ses propres talents au combat. Il continue à refuser les demandes de privilèges commerciaux de sa sœur. Il continue à rester muet, quand Vaéhsie lui rappelle, larmes aux yeux, rage au ventre, que son frère Edmond est mort dans la cité enfouie, à la recherche de son fils aîné. « La vie continue », qu’il se dit, « Autant que ce soir avec le sourire ! »
Côté HRP
Parle nous un peu de toi par ici : ton age, ce que tu aimes, ce que tu fais, vers où tu habites etc...
Et quelques petites questions pour les curieux !
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? La maîtrise du bois/ la croissance des plantes.
Si on te parle d'histoires fantastiques, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? TOUS. LES. JOURS
Quelle serait la première chose que tu ferais ?
Comment as-tu connu le forum ? Un Top-site ^^
Un truc à rajouter ? AMEN POUR LE MODE NUIT ! Ah, et si possible corriger mon pseudo... J'ai écrit "Renmryth" au lieu de "Renmyrth" :/
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]FINAL FANTASY XV [/b], Ardyn Izunia @"Grimvor Renmyrth"
La fiche est terminée, j'avoue avoir fait beaucoup, BEAUCOUP d’ellipses dans l'histoire pour éviter de poser 1400 mots d'histoire en une fiche. Si, typiquement, il faudrait élaborer l'adolescence et les dernières années; genre la mort d’Edmond, la relation avec les enfants, le quotidien au palais, toussa... ya pas de soucis!
(j'ai changé de compte juste pour pouvoir dire ça )
Bref, sinon concernant ta fiche : pour l'histoire y'a pas de soucis, pas besoin de détailler plus que ça. Juste une petite question qui m'a perturbé : le Edmond de ton début de fiche (grand frère ?) et le Edmond Delancy ne sont pas les même ? C'est ce que je crois comprendre mais comme les prénoms sont les même ça me met le doute
Sinon, pour info (tu n'es pas obligé d'édit ta fiche, mais je te le dis que tu sois au courant) actuellement la princesse Atheas a fugué du palais, suite a un dispute avec sa mère qui date de la troisième lune fraiche je crois (environs, septembre) a cause de son pouvoir, personne ne l'a encore retrouvé mais il y a des gens qui la cherchent (on a crée des demandes de nobles pour ça) Du coup, ça sera à prendre en compte dans tes premiers RPs
Sinon concernant le personnage, on est bon.
Et juste concernant le pouvoir : (ewi, le roi ne passe pas au travers de l'équilibrage de pouvoir )
J'aurais une petite question : combien de temps en continue peut-il se consumer (donc avant de devoir se "recharger quelques heures au soleil") ?
Et ensuite petit élément :
Grimvor tresse le plus souvent un fouet avec ses cheveux, qui poussent anormalement vite lorsqu’il est au soleil. Il s’en sert comme arme. Un fouet enflammé, en même temps, ça impose.
Ce pouvoir fait lentement se consumer les poils et la chevelure du roi, qui doit donc régulièrement faire renouveler son fouet, ainsi que toutes les armes qu’il voudrait entourer de cheveux tressés pour les enflammer.
Concernant cette partie, même si c'est issu de ton pouvoir, cela reste un objet magique et tu ne pourras donc pas l'acquérir dès la validation. Cependant, tu pourras l'avoir en boutique, en plus de cela depuis ce mois-ci on a intégrer un nouveau type d'objet : les objets magiques uniques. Ton fouet en cheveux rentrerait parfaitement dans cette catégorie donc une fois validé tu pourras aller demander un devis.
( tu peux cependant le laisser dans ta présentation mais tu ne pourras pas l'intégrer dans tes RPs tant que tu ne l'auras pas acheté -au passage : tu n'auras besoin de l'acheter qu'une fois, même si ton fouet s'use avec le temps et qu'InRP tu as besoin de le changer, HRP ce ne sera pas nécessaire de repasser par la boutique )
Voilà voilà ! Du coup j'attends ton retour avant de te valider !
(et au passage, j'ai corrigé ton nom )
Qui a fugué. C'est une mode de disparaître chez les Renmyrth, en fait?
Ok, je prends note pour la fugue ^^
Pour le pouvoir, j'ai justement rien mis de précis pour voir comment équilibrer le pouvoir avec le staff! Je dirais une demi-heure en continu maximum, le temps d'un combat?
Sinon, on peut faire un système de paliers de progression:
Palier 1 utilitaire (se réchauffer/sécher, allumer un feu, faire de la lumière pendant 30 minutes)
Palier 2 combat (allumer uniquement les poils des bras/jambes pour se battre avec, le pouvoir utilitaire peut durer 1h)
Palier 3 maîtrise (combat pendant 1h, utilitaire pendant 2h, et des gants/fouet à acheter pour obtenir des objets magiques uniques à faire flamber?)
J'avoue avoir juste réfléchi au côté cool d'avoir la tête en feu et le fouet qui va avec, le côté InRP et équilibrage je ne l'ai pas trop approfondi
(merci pour le nom, cpas ma faute si je ssé pa lir)
EDIT: AH! Et pour Edmond, en fait oui, j'ai appelé le fils aîné des de Léral Edmond, puisqu'Edmond Delancy était bon ami avec le paternel de Grim ^^ C'est pas évident du coup, mais Edmond le grand frère meurt dans la cité enfouie, alors qu'Edmond Delancy se contente de bully Grim toute son adolescence
Oui, la princesse était "jalouse" du prince qui a pu partir vadrouiller dans la nature et a décidée de faire de même
Sinon côté pouvoir, sans partir sur ces trois paliers qui concernent plus les pouvoirs élémentaires on peut partir sur une idée du type :
- Se réchauffer (une douce chaleur, rien qui brûle) faire un peu de lumière... 1h max
- S'enflammer (cheveux & poils) pour 30min max
Dans chacun des cas, c'est le temps maximum, qu'il soit en continu ou fragmenté avant de devoir te "recharger les batteries au soleil"
Est-ce que ça te conviendrait ?
En gros des éléments que tu as déjà noté, il n'y a que les objets qui devront passer par la boutique
Ouais, ça me va parfaitement!
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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