Blacks Zadyelle

Nom du pouvoir : Sang Bleue
Catégorie : Contrôle pnj


Du sang qui crée une dépendance, une drogue douce et sournoise.
Diluée dans du vin, elle rend servile
Totalement inutilisable sur un personnage joueur sans l'accord du joueur.
En outre, les effets ne sont perceptible qu'après plusieurs jours, voir semaines d'ingestion.
Le sang c'est la vie, mais visiblement celui de Zadyelle est mortel au membre de sa famille

Utilisation:
- Quelque goutte diluée dans un verre ou une bouteille régulièrement
Effet:
- Crée un sentiment de soumission, un besoin d'en obtenir (comme l'alcool)
- C'est une méthode de contrôle doux et insidieux qui rend la cible docile envers Zadyelle mais pas apathique, chacun continuent à vivre sa vie sans se rendre compte de rien mais avec en tête une grande considération pour la jeune noble.

Deux visages, ce sont les mots qui caractérisent le mieux la jeune femme.
Hautaine, méprisante et fière à l'intérieur mais totalement maîtresse d'elle même en public.
Douce, généreuse et attentionnée par obligation, une fois seule elle en crève

Une superbe jeune femme de vingt-six ans, d’un mètre soixante, au corps élancée mais bien proportionnée. Une tenue de ville est légère, chemise et veste courte portée avec assurance et élégance. Dotée d’une chevelure courte, couleur océan qu’elle néglige. Elle les laisse tomber sur le magnifique regard pénétrant de de ses yeux bleus, qui s’assemblent très bien avec un visage fin et bienveillant de façade. Son jolie sourire cache pourtant une tristesse et une solitude dont elle n'a pas conscience.

Une noble éducation, la grâce d'une danseuse et un petit brin de voix qui en charme plus d'un. Une personne très agréable d'aspect, qui n'aime pas trop être le centre de l'attention mais qui s'en enorgueillie tout de même, après tout c'est elle la plus intéressante, non ?

Sous cette apparence de jeune noble charmante et fragile se trouve une femme ambitieuse et manipulatrice. Elle n’hésitera pas à déployer ses charmes ou de toutes autres stratagèmes plus ou moins loyales pour se débarrasser de ses ennemis ou de toute autre personne qui ose se dresser sur son chemin. Qu'elle vous apprécie ou pas vous ne verrez surement pas la différence car sauver les apparences vis à vis de  sa noblesse et de sa fortune est un impératif, mais soyons honnête, la jeune femme n’a pas que des défauts.

Intelligente, éduquée, sociable et ouverte d’esprit, cette dernière ne se laissera jamais arrêter par des principes et des règles, qui selon elle, date d’une époque révolue. La jeune noble admire particulièrement les femmes qui ont réussi à faire leurs places dans un univers d’homme, elle ne se gênera pas pour dire ce qu’elle pense quitte à mettre ses plans à mal. D’une nature calme, Zadyelle est un "bon vivant", elle aime manger, boire, faire la fête et danser. Poètes à ses heures d’oisivetés, elle apprécie particulièrement les voyages et les grands espaces.

Croyante en la déesse Lucy sans vraiment pratiquer, elle fait malgré tout de généreux dons, au cas ou. Parce qu'après tout pour Zadyelle l'argent n'est qu'un outil parmi d'autre, la richesse permet d'oublier la valeur de l'argent et le vin coule à flot dans les tavernes, à la grande joie de la viticultrice qui connait mal le métier finalement.

Il y à très longtemps un anonyme ancêtre de la famille Blacks à fait fortune dans le commerce du vin, une terre de qualité, des vignes exceptionnel et un bouche à oreille qui à amener les bouteilles sur les plus riches tables du royaume. Jackpot, la réputation de la minuscule vigne était faite. Plusieurs générations plus tard les différents héritiers ont améliorés et fait évoluer l'entreprise jusqu'à atteindre les sommets, la noblesse. Aujourd'hui plus aucun Blacks ne travaillent la terre et surement pas Zadyelle. La famille achètent et vend des terres, emploies des maîtres de chais et des dizaines d'ouvriers pour les différentes étapes de fabrication. Le profit et le maintient de leur rang social sont devenus leur seule préoccupation, quittent à utiliser des méthodes peu reluisantes pour arriver à leurs fins.

C'est dans ce milieu que Zadyelle a été élevée, par de successives nounous, par différents précepteurs, par de nombreuses servantes. Des employés qui malheureusement pour la petite fille n'avaient pas d'amour à lui donner, trop apeurés par la perspective de perdre un poste si bien payé, alors ils cédaient à tous les caprices de cette gamine qui appris bien vite à mener toute la maisonnée à la baguette. Mais, et ses parents alors ? Sa mère est morte en lui donnant naissance et son père ne s'est jamais remarié, n'a jamais eu d'autre enfant. Il ne donna à sa fille unique aucune explication sur son absence, trop occupé par son travail, il ne lui témoignait aucune affection mais ne lui montrait aucune hostilité non plus. Pour la petite la vie de famille ressemblait à ça, un point c'est tout. Ce n'est que plus tard à l'adolescence quant elle commença à côtoyer les autres enfants de son âge qu'elle se rendit compte de la différence entre elle et eux, tant au niveau familial que de l'état d'esprit.

Ils étaient tous si insouciant, si innocent, si insignifiant.
Ils suffisaient de si peu d’effort pour les monter les uns contre les autres, manipuler sentiments et agissements. Donner à l'un pour prendre à l'autre, amplifier la jalousie, accroître la cupidité. Créer un besoin pour accorder des faveurs. Des relations sociales malsaines et en toute discrétion qui pourtant apportaient à Zadyelle un sentiment de jouissance infini. Jusqu'à ce jour spécial ou une énième ruse failli tourner au drame.
Son père voulait la marier mais elle voulait garder sa liberté, après une violente dispute l'homme de la maison eut évidement le dernier mot et dans un geste de folie la jeune fille s'entailla le poignet avec un coupe papier, ce fut comme cela qu'elle découvrit son pouvoir, le sang coula dans le verre de vin du père qui affolé par le geste de sa fille ne s'en rendit pas compte. Pour reprendre ses esprits il but le breuvage et à la stupéfaction de de Zadyelle, son père avait changé d'avis.
Cela faisait longtemps déjà qu'elle avait cherchée son pouvoir, sans succès. Là, le changement d'opinion de son père avait été si brutal que ça lui mit la puce à l'oreille. Elle n'était pas encore sure de la cause de cette transformation mais il ne lui fallut que peu de temps pour identifier la source de son pouvoir, son sang.

Il était tombé malade après avoir cédé aux arguments de sa fille, pour la première fois dans sa vie, cela n'était pourtant jamais arrivé. Alors la réflexion fut de mise pour la jeune fille, esprit de contradiction poussé à son paroxysme ou réelle remise en question ! Jamais son père ne la laisserait hériter des biens de famille, alors il lui fallait absolument un mari, un pantin plutôt, et ce pouvoir serait parfait pour arriver à ses fins. la marionnette devrait être d'un rang inférieur mais pas trop, beau mais pas trop, mais surtout faible d'esprit. La riche héritière se mit donc en chasse dans les bals, les dîners et autres réunions de jeune gens prêt au mariage, jusqu'à trouver la perle rare.

Lui, Erik, fils de propriétaire de haras n'en revenait pas de sa chance mais il lui fit la cour comme il se doit. Elle n'avait qu'une idée en tête, lui faire boire une tasse de thé tout les soirs, agrémentée d'une petite goutte de sang évidement.
Son père pendant ce temps allait de plus en plus mal, de semaine en semaine, il put tout de même assister au mariage et signer les papiers donnant à sa fille et son gendre les plein pouvoir sur le domaine et les vignobles. Erik accepta docilement de changer de nom pour celui des Blacks et ils s'installèrent au manoir de la capitale.
Le couple vivait tranquillement dans une routine que personne ne suspectait, le mari recevant tout les soirs une dose savamment diluée dans son thé, le maintenant dans la poigne de sa femme. Le reste du personnel du manoir était astreint à se régime de domination, méthode de contrôle doux et insidieux qui les rendaient tous docile mais pas apathique, chacun continuaient à vaquer à ses occupations sans se rendre compte du subterfuge mais la considération envers leurs maîtresses était grande.

C'est dans cette environnement que l'histoire de Zadyelle Blacks commence.