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[défi RP] En plein désert
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Faolan SealtarMarthe Applebee
(Chacun de votre côté)
Vous ne vous sentez pas très bien aujourd'hui (à vous de choisir les maux dont vous pouvez souffrir) et vous allez donc consulter un médecin. On est jamais trop prudent... Celui-ci vous diagnostique juste un petit manque de repos et vous donne un petit cachet à prendre le soir même, pour vous aider à vous endormir.
La journée s'écoule et vient l'heure de dormir. Suivant les instructions du médecin, vous avalez cette pilule et vous vous mettez au lit. Mais ce que vous ne savez pas, c'est que ce pauvre charlatant ne vous a pas donné de somnifère, mais un pastille de rêve...
Vous vous endormez normalement... mais vous vous réveillez dans un rêve étrange.
Autour de vous, un désert ardent, des cactus de partout qui semblent converser entre eux : des cactus qui parlent ? Étrange... Mais si ce n'était que ça, vous êtes au bord d'un oasis et l'eau vous paraît tellement transparente, cela ressemble a une vrai petite crique utopique avec des jolies fleures colorées sur les bords et une petite cascade en con centre dont l'eau semble littéralement tomber des nuages. Un rêve quoi.
Mais ce qui est le plus étrange c'est que vous êtes pleinement conscient et vous contrôler vos actions et mouvements.
De l'autre côté de la rive, un jeune homme / une jeune femme vous regarde, il / elle a l'air aussi perdu de que vous dans cette histoire... Et c'est ainsi que vous allez faire connaissance.
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![[défi RP] En plein désert C9aa6a201ab53b1e12c041940c168845](https://i.pinimg.com/564x/c9/aa/6a/c9aa6a201ab53b1e12c041940c168845.jpg)
En plein désert
Une santé fragile est une des conséquences de son pouvoir. En temps normal il ne serait pas allé voir un médecin, mais là ça faisait plusieurs jours qu’un début de fièvre ne voulait pas partir et la crainte de pouvoir refiler son mal à son fils était présente.
Quand on lui indiqua que c’était un manque de repos, il jura contre lui-même de ne pas avoir fait attention à ce genre de détail. Le fait devoir prendre une simple pilule pour mieux dormir quelque part était rassurant.
Le soir venu il borda Melta sans se poser plus de questions dans l’auberge du coin où il avait élu domicile pour quelque jour, sans se poser plus de questions. Prenant sa médication bien docilement et ayant parfaitement confiance sur le fait que ça soit une bonne idée.
S’endormir ne fut pas des plus long. Le songe fut rapidement là et c’est dès cet instant que tout partit en vrille. Pourquoi du sable sous ses pieds ? Des étendus de sable comme celle-là il n’en avait vu que dans les livres et entendu parler dans les récits de certain, ses pieds ne l’ayant pas encore porté à un désert ou a une plage autre que celle de cailloux de la rivière proche de sa ville natale.
Curieux il mit ses mains dedans pour sentir de comment ça donner comme sensation. Les grains de sable filant entre ses doigts chatouillaient sa paume comme aucune sensation avant. Ce n’était pas comme de la neige ou même le sable amené pour faire les constructions. Beaucoup plus léger et le fait d’avoir cette sensation unique le perdu un peu plus sur tout se qui se passait autour de lui.
Les couleurs et ce qu’il voyait avaient tout d’un rêve, mais il est beaucoup trop conscient pour que ça en soit vraiment un. Le fait d’être acteur dedans et non simple spectateur le chiffonnent et il avance tout en cherchant quoi faire au milieu de ce songe étrange. Même si l’envie de simplement se rouler dans le sable et jouer est présente, quelque part il trouve dommage que Melta ne soit pas là pour en profiter, mais c’est normal. C’est un rêve et seul lui peux en profiter.
Enfin, seuls lui et la femme en face de lui visiblement. Elle aussi c’est quelqu’un qu’il n’a jamais vu. Depuis quand on rêve d’autant de chose qu’on n’a jamais vécue ou imaginée ? Rêver de gens ne semble pas être dans ses habitudes, enfin il lui semble. De ce qu’il se souvient de ses rêves en tout cas. Peut-être pas. Tout ça est mille fois trop compliquer pour lui tout cela.
Une personne en plus est toujours moins étrange que des cactus qui parlent entre eux comme s’ils étaient des nobles autour d’un thé. Toujours plus normal qu’une cascade venant d’un nuage. Il s’y connait en nuage et ça ne fait pas ça de base.
En fait, la jeune femme semble même être l’élément le plus normal du songe, tellement que ça en devient étrange. Encore plus d’avoir conscience d’autant de choses alors qu’on rêve.
Alors ça semble faire tilt dans sa caboche. Comme si on venait de mettre une grosse flèche rouge sur l’étrangère avec explication en prime.
— HEY !!! TOI ! C’est ta faute tout ce bordel ?
Oui, si elle avait l’air normale c’est qu’elle était peut-être tout bêtement responsable. Tout en disant ça, il commence à faire le tour de l’étendue d’eau de l’oasis pour la rejoindre. L’air passable agacer, mais c’était surtout de la frustration de ne rien comprendre à ce qui arrive qu’autre chose. D’un point de vue extérieur c’est tout sauf évident par contre.
Tout comme une partie de lui veut juste profiter du paysage, surtout sans ses pouvoirs pour changer la météo en prime.
Quand on lui indiqua que c’était un manque de repos, il jura contre lui-même de ne pas avoir fait attention à ce genre de détail. Le fait devoir prendre une simple pilule pour mieux dormir quelque part était rassurant.
Le soir venu il borda Melta sans se poser plus de questions dans l’auberge du coin où il avait élu domicile pour quelque jour, sans se poser plus de questions. Prenant sa médication bien docilement et ayant parfaitement confiance sur le fait que ça soit une bonne idée.
S’endormir ne fut pas des plus long. Le songe fut rapidement là et c’est dès cet instant que tout partit en vrille. Pourquoi du sable sous ses pieds ? Des étendus de sable comme celle-là il n’en avait vu que dans les livres et entendu parler dans les récits de certain, ses pieds ne l’ayant pas encore porté à un désert ou a une plage autre que celle de cailloux de la rivière proche de sa ville natale.
Curieux il mit ses mains dedans pour sentir de comment ça donner comme sensation. Les grains de sable filant entre ses doigts chatouillaient sa paume comme aucune sensation avant. Ce n’était pas comme de la neige ou même le sable amené pour faire les constructions. Beaucoup plus léger et le fait d’avoir cette sensation unique le perdu un peu plus sur tout se qui se passait autour de lui.
Les couleurs et ce qu’il voyait avaient tout d’un rêve, mais il est beaucoup trop conscient pour que ça en soit vraiment un. Le fait d’être acteur dedans et non simple spectateur le chiffonnent et il avance tout en cherchant quoi faire au milieu de ce songe étrange. Même si l’envie de simplement se rouler dans le sable et jouer est présente, quelque part il trouve dommage que Melta ne soit pas là pour en profiter, mais c’est normal. C’est un rêve et seul lui peux en profiter.
Enfin, seuls lui et la femme en face de lui visiblement. Elle aussi c’est quelqu’un qu’il n’a jamais vu. Depuis quand on rêve d’autant de chose qu’on n’a jamais vécue ou imaginée ? Rêver de gens ne semble pas être dans ses habitudes, enfin il lui semble. De ce qu’il se souvient de ses rêves en tout cas. Peut-être pas. Tout ça est mille fois trop compliquer pour lui tout cela.
Une personne en plus est toujours moins étrange que des cactus qui parlent entre eux comme s’ils étaient des nobles autour d’un thé. Toujours plus normal qu’une cascade venant d’un nuage. Il s’y connait en nuage et ça ne fait pas ça de base.
En fait, la jeune femme semble même être l’élément le plus normal du songe, tellement que ça en devient étrange. Encore plus d’avoir conscience d’autant de choses alors qu’on rêve.
Alors ça semble faire tilt dans sa caboche. Comme si on venait de mettre une grosse flèche rouge sur l’étrangère avec explication en prime.
— HEY !!! TOI ! C’est ta faute tout ce bordel ?
Oui, si elle avait l’air normale c’est qu’elle était peut-être tout bêtement responsable. Tout en disant ça, il commence à faire le tour de l’étendue d’eau de l’oasis pour la rejoindre. L’air passable agacer, mais c’était surtout de la frustration de ne rien comprendre à ce qui arrive qu’autre chose. D’un point de vue extérieur c’est tout sauf évident par contre.
Tout comme une partie de lui veut juste profiter du paysage, surtout sans ses pouvoirs pour changer la météo en prime.
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Succès : ![[défi RP] En plein désert GOX9AhG](https://i.imgur.com/GOX9AhG.png)
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![[défi RP] En plein désert 1588535473-header-03](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2020/18/7/1588535473-header-03.png)
_ Des médicaments.. on aura tout vu. Comme si une bonne gouvernante pouvait tomber malade. Il était là, le vrai rêve. Avoir des tournis, des "chutes de tension", et même piquer du nez ! Les symptômes étaient absurdes, le constat du médecin plus clair : Marthe devait prendre un cacheton et aller au lit faire un gros dodo. Admirez donc Marthe contrariée devant sa tisane du soir, les bras croisés sur la poitrine et la mine boudeuse.
" Aller. Tu te réveilleras demain de toute façon... Mgh... " ronchonna-t'elle pour elle-même . Puis, essayant de dédramatiser la situation elle se réconforta comme elle pu. " Au pire, la proprio viendra me sonner les cloches demain matin...
_ Résignée elle finit par avaler la pilule, au sens propre comme au sens figuré. Une fois au lit elle ferma à peine les yeux que déjà elle les rouvrait éblouie par le soleil. Un monde fantasmagorique s'ouvrit devant elle. Portant instinctivement sa main à son chapeau pour l'abaisser sur son visage elle ne se formalisa pas sur sa présence. Ni sur sa tenue habituelle de robe d'été à fleurs , froufrous et volants en lieu et place de sa chemise de nuit. Elle failli tiquer quand elle décida d'enlever pour la deuxième fois d'affilée ses bottes sans les avoir remises entre temps ... mais la gouvernante avait beaucoup trop hâte de profiter du sable (du sable?!) sous ses pieds nu! Quel délice de remuer ses orteils dans du sable doux et chaud quand on vient des plaines et de la capitale. Comme on dit: Heureux sont les simples d'esprits qui se contentent de profiter avant de cogiter ! Concentrée sur ses doigts de pieds c'est une voix énervée qui l'interpella.
-" HEY !!! TOI ! C’est ta faute tout ce bordel ? " lui cria un homme loin de là de l'autre côté d'un lac.
- " Ah non... Ah-non-non .. " Répondit-elle en le fixant d'abord de loin, puis en commençant à reculer." Nôon-nôon-nöôooôn Mônsieur ! " . Continua la jeune femme en voyant l'homme courir vers elle. " NôOOÔN MöÔNSsSiïÎIEuuUUR ! C'EST-PAaAS-MOôoIîîIIII !! " hurla-t-elle enfin.
_ Et alliant le geste à la parole la gouvernante se transforma en spectacle vivant tellement sa réaction fut absurde et caricaturale : Elle jeta ses chaussures par dessus ses épaules et se mit à courir les bras en l'air en criant "nooooon!!!non-non-non-nooooon-!-!-!" . Et Marthe ne prit pas un seul instant pour réfléchir à la situation. Faire le tour du lac n'était pas la bonne solution. Être mauvaise à la course en sable était un sacré handicap également. Ne mettez pas Marthe dans de pareilles situations. La pauvre; elle n'y comprends jamais rien et fini presque toujours par perdre son calme et sa raison. Voilà ce que donne une pense-à-tout trop organisée face à l'improvisation.
Faolan SealtarApprouvé par Gordon Ramsay
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En plein désert
Voilà ! Voilà sa preuve indéniable que cette femme était la coupable ! Elle s’enfuit !
Enfin c’est ce qu’il voudrait penser, mais il l’a trouvé ridicule avec sa façon de fuir. Qui fuit comme ça ? Certainement lui aussi dans la même situation. En tout cas il allonge le pas pour la rattraper, mais il y a un élément qu’il n’a pas calculé dans cette action.
Le sable ce n’a pas la même stabilité que la terre et même s’il est dans une oasis il coin de sable sous lui sont encore très important. Les premières foulés pour rattrapé la jeune femme sont bien faits, quatre à tout casser avant d’avoir sa cheville qui se dérobe sous lui, l’équilibre qui vacille et lui la tête la première dans le sol.
Il y a un cri de surprise face à la juste. Le dit cris ouvre la bouche de Faolan et fait qu’une fois au sol du merveilleux sable entre dans sa bouche. Un délice.
— Bordel de globou en chaussette d’écaille de pichon !
C’est ce qu’il a de plus poli à dire alors qu’il crache en boucle le sable qui semble partout dans sa bouche. Il y a tellement de grain qui semble lui coller au palais et que c’est tout sauf agréable. À quatre pattes il crache en boucle, comme un chat tentant de recracher une boule de poil coincé dans sa gorge. Vraiment d’un reluisant magnifique.
Agacez et après une dizaine de crachats au sol il relève la tête pour tenter de revoir la miss qu’il tentait de rejoindre un peu plus tôt. Il n’allait pas reprendre sa course après elle, aucune envie d’avoir plus de sable dans la bouche.
— Putain ! Troufions ! Barre-toi pas si ce n’est pas toi la responsable nom d’un porc-becue, je n’ai pas la gale et je ne vais pas non plus te frapper. Puis pourquoi t’as retiré et jeté tes chaussures ?
Sa voix est plus calme sur la fin, juste résignée et ne voulant pas plus hurler que cela. Avec un soupir il se redresse et s’approche de l’eau pour se rincer la bouche plus efficacement.
Enfin c’est ce qu’il voudrait penser, mais il l’a trouvé ridicule avec sa façon de fuir. Qui fuit comme ça ? Certainement lui aussi dans la même situation. En tout cas il allonge le pas pour la rattraper, mais il y a un élément qu’il n’a pas calculé dans cette action.
Le sable ce n’a pas la même stabilité que la terre et même s’il est dans une oasis il coin de sable sous lui sont encore très important. Les premières foulés pour rattrapé la jeune femme sont bien faits, quatre à tout casser avant d’avoir sa cheville qui se dérobe sous lui, l’équilibre qui vacille et lui la tête la première dans le sol.
Il y a un cri de surprise face à la juste. Le dit cris ouvre la bouche de Faolan et fait qu’une fois au sol du merveilleux sable entre dans sa bouche. Un délice.
— Bordel de globou en chaussette d’écaille de pichon !
C’est ce qu’il a de plus poli à dire alors qu’il crache en boucle le sable qui semble partout dans sa bouche. Il y a tellement de grain qui semble lui coller au palais et que c’est tout sauf agréable. À quatre pattes il crache en boucle, comme un chat tentant de recracher une boule de poil coincé dans sa gorge. Vraiment d’un reluisant magnifique.
Agacez et après une dizaine de crachats au sol il relève la tête pour tenter de revoir la miss qu’il tentait de rejoindre un peu plus tôt. Il n’allait pas reprendre sa course après elle, aucune envie d’avoir plus de sable dans la bouche.
— Putain ! Troufions ! Barre-toi pas si ce n’est pas toi la responsable nom d’un porc-becue, je n’ai pas la gale et je ne vais pas non plus te frapper. Puis pourquoi t’as retiré et jeté tes chaussures ?
Sa voix est plus calme sur la fin, juste résignée et ne voulant pas plus hurler que cela. Avec un soupir il se redresse et s’approche de l’eau pour se rincer la bouche plus efficacement.
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- Se rendre compte au bout de plusieurs foulées que c'est difficile de courir dans le sable ? Check.
- Se faire interpeller par un cactus qui cri "Hé !Pourquoi vous courrez, ma jolie ?" ... Heu... check ?
- Finalement se retourner pour voir qu'il n'y à plus personne derrière soi... parce qu'on a fini de faire le tour du lac : Check ...
- Abandonner toute méfiance et s'inquiéter de la chute de l'homme : Naturelement CHECK !
_ Perdre la raison était peu courant chez Marthe avant qu'elle n'arrive à la capitale. Mais depuis peu les situations improbables semblaient s’enchaîner :
-" Ça vas monsieur ?" le héla-t'elle en s'approchant. Puis, sur un air de révolte; " Et puis QUELLE IDÉE de me CRIER dessus aussi ! Monsieur !... ", puis grommelant surtout pour elle même dans sa barbe, "et pis' quel langage de charretier ... non mais dit-donc ..." Il y eut un court silence avant qu'une dernière vague fâchée et outrée ne lui sorte des lèvres. Elle se comportait plus comme une enfant révoltée que comme la nourrice qu'elle était censée être. "Et puis j'enlève mes chaussure SI-je-VEUX d'abord !!" Et après une seconde de réalisation elle se calma un tantinet. Son ton boudeur demeura néanmoins. " Et 'pis, si vous êtes jaloux vous n'avez qu'à faire pareil tiens... C'est vraiment sympa en plus. ... et personne ne vas voler mes chaussures... elles peuvent bien rester où elles sont maintenant..." finit-elle en parlant de plus en plus bas pour terminer sa phrase, honteuse et boudeuse.
_ Preuve qu'on pouvait à la fois être fâchée mais aimable. Il avait fallut un entrainement rigoureux pour atteindre une pareille politesse en toutes les circonstances. Enfin quelque chose de coutumier chez notre d'ordinaire délicate gouvernante. Elle finit par rejoindre tranquillement l'inconnu tout en veillant à garder une bonne dizaine de mètres avec l’énergumène. Assez près pour ne pas avoir besoin de crier, assez loin pour pouvoir repartir s'il se remettait à jurer. S'installant le long de l'eau elle fit tremper ses orteils avec un plaisir non dissimulé. L'eau était à la température parfaite. Tout comme le ciel était d'un bleu parfait. Tout comme la pluie qui tombait du ciel pile sur la cascade au centre du lac. Derrière elle quelqu'un, ou quelque chose, l’appelait discrètement en faisait "Psst ! Hé ! Psst ! Mam'zelle ! Pssst ! Par ici ! " . Mais Marthe préféra garder son attention sur quelque chose de plus logique. Même si, à bien y réfléchir, sa présence à lui ne faisait pas plus de sens que le reste. Elle avait reprit un ton un peu plus calme et aimable, passant l'éponge sur le petit incident de tout à l'heure.
- " Vous aussi ils vous causent ?" Dit-elle en pointant du pouce derrière son épaule en direction des cactus. " C'est un drôle d'endroit tout de même.."
Faolan SealtarApprouvé par Gordon Ramsay
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En plein désert
C’est paradoxal de se demander si on ne rêve pas en plein milieu d’un rêve. Pourtant c’est ce que Faolan est entrain de réfléchir en écoutant la demoiselle. Une part de lui est assez outrée de ses propos. Elle raconte n’importe quoi, juste totalement n’importe quoi du début à la fin. En tout cas selon lui, parce que selon le narrateur ce n’est pas le cas, mais bon, ce n’est pas son avis à lui qu’on souhaite.
— Je n’ai pas crié, j’ai parlé fort. Si tu as les oreilles avec une sensibilité de chante-lune, je n’y suis pour rien du tout.
Il claque la langue et trouva encore quelque grain de sable avec le bout de sa langue et soupira avant de se rincer une fois de plus la bouche en grognant pour la forme. Il n’allait rien dire sur son langage même si ça le gonflait qu’on le reprenne dessus. Il avait encore l’impression d’entendre sa mère le reprendre sur le fait qu’il ne fallait pas parler à un noble ainsi ni à sa fiancée. La bonne blague.
Il regarda les chaussures au loin de son interlocutrice en soupirant avant de l’imiter. Peut-être que la sensation sur ses pieds pouvait expliquer le geste de retirer ses souliers. Pour le coup c’était de la pure curiosité et le fait qu’elle voit ça comme une attaque l’agace.
— Oh !
Sa bouche fait un rond presque parfait quand il met ses pieds nus sur le sable et la sensation est vraiment agréable, étrange, mais agréable. Il n’aurait vraiment pas pensé. Peut-être que c’est uniquement ainsi qu’on se déplace sur le sable et de comment faire pour garder tout son équilibre dessus.
— Tu fais ce que tu veux de tes chaussures, je voulais que comprendre, mais c’est bon. C’est sympa…
— Dit l’abruti à la douce demoiselle.
Ça par contre c’est beaucoup moins sympathique le cactus qui vient lui causé, c’était beaucoup plus plaisant quand ils prenaient leur thé bourgeois entre eux.
— En plus il ne sait même pas tenir sur ses pieds et fait du mal aux miens, qu’elle tragédie ma douce amie.
Vraiment non, c’est tout sauf plaisant.
— Visiblement non, il ne me parle pas, ils se moquent est-ce que ça compte quand même ? Pour un rêve reposant à base de somnifère je repasserais en tout cas. Le médecin il avait dit du repos, ça ce n’est absolument pas du repos… et qu’est-ce que tu fous ici ? Tu es un bout de ma conscience pour me dire que je devrais mieux parler aux femmes ou je sais quoi en merde ? Non parce que je les traite bien, bien mieux qu’elles me traitent. Tu devrais le savoir si tu es un bout de moi.
Un dernier coup de langue dans la bouche lui apprend qu’il n’a plus de sable dedans et c’est le seul réconfort qu’il. Vraiment un rêve avec un bout de sa conscience ou surement un truc comme ça ce n’est pas ce qu’il voyait comme moment reposant. Ce rêve est chelou, mais ça ne lui donne pas envie de reconsulter un médecin avant un bon moment.
— Bordel, je voulais juste me reposer…
— Je n’ai pas crié, j’ai parlé fort. Si tu as les oreilles avec une sensibilité de chante-lune, je n’y suis pour rien du tout.
Il claque la langue et trouva encore quelque grain de sable avec le bout de sa langue et soupira avant de se rincer une fois de plus la bouche en grognant pour la forme. Il n’allait rien dire sur son langage même si ça le gonflait qu’on le reprenne dessus. Il avait encore l’impression d’entendre sa mère le reprendre sur le fait qu’il ne fallait pas parler à un noble ainsi ni à sa fiancée. La bonne blague.
Il regarda les chaussures au loin de son interlocutrice en soupirant avant de l’imiter. Peut-être que la sensation sur ses pieds pouvait expliquer le geste de retirer ses souliers. Pour le coup c’était de la pure curiosité et le fait qu’elle voit ça comme une attaque l’agace.
— Oh !
Sa bouche fait un rond presque parfait quand il met ses pieds nus sur le sable et la sensation est vraiment agréable, étrange, mais agréable. Il n’aurait vraiment pas pensé. Peut-être que c’est uniquement ainsi qu’on se déplace sur le sable et de comment faire pour garder tout son équilibre dessus.
— Tu fais ce que tu veux de tes chaussures, je voulais que comprendre, mais c’est bon. C’est sympa…
— Dit l’abruti à la douce demoiselle.
Ça par contre c’est beaucoup moins sympathique le cactus qui vient lui causé, c’était beaucoup plus plaisant quand ils prenaient leur thé bourgeois entre eux.
— En plus il ne sait même pas tenir sur ses pieds et fait du mal aux miens, qu’elle tragédie ma douce amie.
Vraiment non, c’est tout sauf plaisant.
— Visiblement non, il ne me parle pas, ils se moquent est-ce que ça compte quand même ? Pour un rêve reposant à base de somnifère je repasserais en tout cas. Le médecin il avait dit du repos, ça ce n’est absolument pas du repos… et qu’est-ce que tu fous ici ? Tu es un bout de ma conscience pour me dire que je devrais mieux parler aux femmes ou je sais quoi en merde ? Non parce que je les traite bien, bien mieux qu’elles me traitent. Tu devrais le savoir si tu es un bout de moi.
Un dernier coup de langue dans la bouche lui apprend qu’il n’a plus de sable dedans et c’est le seul réconfort qu’il. Vraiment un rêve avec un bout de sa conscience ou surement un truc comme ça ce n’est pas ce qu’il voyait comme moment reposant. Ce rêve est chelou, mais ça ne lui donne pas envie de reconsulter un médecin avant un bon moment.
— Bordel, je voulais juste me reposer…
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Faolan SealtarMarthe Applebee
Qui dit désert dit... tempête de sable.
Cela tombe bien parce que vous en voyez une arriver au loin vers vous. Une longue colonne tourbillonnant qui monte jusqu'au ciel. Ou qui descend jusqu'à la terre tout dépend du point de vue.
A vue de nez vous avez encore... une petite demi-heure avant qu'elle vous atteigne. Mais vous sentez déjà un courant d'air circuler autour de l'oasis. De quoi s'inquiéter. Heureusement que vous êtes dans un rêve et que rien ne peut réellement vous arriver mais encore faut-il le savoir. Surtout quand tout autour de vous a l'air si réaliste. Ou presque...
Bref, maintenant que les intempéries approchent, c'est à vous de voir ce que vous souhaitez faire. Ce n'est pas comme s'il y avait beaucoup de cachettes mais bon...
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_ Alors que Marthe faisait un effort pour arrondir les angles l'inconnu préféra se défendre en rejetant la faute sur une prétendue sensibilité des oreilles. Bah oui, Marthe est une sensible. Comme elle ne cri presque jamais elle n'est pas habituée aux élévations de voix contre elle. Alors pour seule réponse elle haussa ostensiblement les épaules et reporta son attention sur son environnement. De nature crédible Marthe trouvait que tout était plausible en ce monde. Il y avait les souris normales, et celles qui sont bleu et gonflent comme de ballons. Les chevaux normaux, et ceux qui ont des cornes au milieu du front et qui prédisent l'avenir. Alors, franchement. Des cactus qui parlent; ça se tient. Mais l'hypothèse que formule l'homme est un peu plus plausible. Si bien que Marthe commença même à être déçue d'apprendre que ce n'était peut-être pas la réalité. Au moins, l'homme semblait un peu plus apaisé et profita même de la sensation agréable du sable chaud entre ses orteils. Le regardant faire elle répondit aux hypothèses qu'il émit.
- " En tout cas, si c'est un rêve, moi j'ai bien ma conscience. Et je pense que j'ai toujours existé. T'aurais pas pu m'inventer ,même avec toute l'imagination de monde. Marthe Applebee, d'ailleurs. Enchantée. Repondit la jeune femme en inclinant un peu la tête en signe de révérence. " Je ne pense pas t'avoir inventé de mon côté. D'ailleurs je ne connais même pas ton nom. "
_ Et après un silence inspiré elle se releva pour se diriger vers Samael. Et sans prévenir, elle le pinça au bras, accompagnant son geste d'un "désolé" sincère mais platonique .Bien sûr qu'il réagit ! Et de la manière qui semblait lui être coutumière. S'y attendant, Marthe resta de marbre.
- " Il paraît qu'on se réveille d'un rêve quand on a mal... " Annonça t'elle. Elle pointa ensuite en direction du désert. " Du coup, ÇA, c'est un problème..
_ Le vent s'était levé. Quelques grains de sable commençaient à se déplacer autours d'eux et au loin, la cible de l'index de Marthe semblait s'approcher d'eux. Une colonne de sable et de vent qui grossissait aussi mystérieusement que dangereusement.
" Houston, on a un petit problème !" commenta le cactus près d'eux.
" Petit comment ? " rétorqua Marthe.
" Ça dépend... "
" Comment ça, "ça dépend" . Ça dépend de quoi, cactus ?! " Demanda Marthe, une pointe d'inquiétude et d'impatience dans la voix.
" Baaaah... Vous avez des ailes ? Des racines ? Vois respirez sous l'eau ? Parce que sinon, ça vaaas secoouuuééeééeeer ! " lança le cactus comme un forain annonce le démarrage d'une attraction sensationnelle . Marthe en resta pantoise et les bras ballants. Fixant dans le dos de Sammael le danger approchant et son vent annonciateur s'amplifier.
Faolan SealtarApprouvé par Gordon Ramsay
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En plein désert
Il la regarda longuement avec l’air parfaitement ahuri. Pas ce qu’elle pouvait dire n’avait pas de sens, mais plutôt qu’il cherchait à comprendre de comment son rêve pouvait partir dans ce genre de délire. De comment tout ça avait l’air aussi vrai. Qu’est-ce qu’on lui avait fait prendre comme médicament ? Pourquoi en plus ? Qu’est-ce que cette femme avait à voir dans l’histoire ? Est-ce que Melta était en sécurité ?
C’est quand elle le pinça qu’il réagit en sursautant et la regardant encore plus effarer. Parce que si ce qu’elle disait était vrai et que ce truc ne l’avait pas réveillé, ça voulait donc dire qu’il n’était pas dans un rêve et donc qu’il y avait un énorme problème.
— Oh bordel de merde…
La réalisation de cela commença à lui faire avoir des sueurs froides. Et la miss qui se présentait n’aidait en rien du tout. Il aurait bien voulu être poli ou autre chose et se présenter aussi, mais là tout de suite il était simplement inquiet et sur les nerfs. Comme si en plus les dires des cactus allaient pouvoir l’aider à se sentir mieux pour le coup.
Il regarda et sentit le vent qui se lève et tout le désert commencer à se mettre en place pour sa dite tempête. Il fallait une solution, mais pour le coup un des dires du cactus sembla allumer une lumière dans son esprit. L’eau pouvait être une solution pour un temps, possiblement. Il n’avait jamais affronté de tempête de sable alors il imagina que cette solution était viable.
—OK. Juste OK. Je ne pige rien, genre vraiment rien du tout. Je veux juste rentrer et voir mon fils, donc on va faire équipe contre ça.
Il désigna l’ensemble de ce qui se passait autour. Pas juste la tempête de sable, tout se rêve sans sens qui était bien trop réaliste et flippant pour le moment.
— Je suis Faolan, mon nom de famille on s’en fiche. Tu peux retenir ta respiration combien de temps ? Parce que je te propose qu’on aille dans l’eau et qu’on plonge quand ce truc qui arrive va arriver. Peut-être comme il y a des cactus qui parlent on pourra respirer sous l’eau, mais sinon ça nous protégera du vent.
Parce que mise à part cela il n’avait pas beaucoup de solution selon lui. C’est surtout le mieux que pouvait lui donner son esprit là tout de suite. Il lui tendit sa main gauche pour l’inviter à le suivre dans l’eau avec lui. Il cherchera à plus comprendre le pourquoi du comment de tout plus tard.
C’est quand elle le pinça qu’il réagit en sursautant et la regardant encore plus effarer. Parce que si ce qu’elle disait était vrai et que ce truc ne l’avait pas réveillé, ça voulait donc dire qu’il n’était pas dans un rêve et donc qu’il y avait un énorme problème.
— Oh bordel de merde…
La réalisation de cela commença à lui faire avoir des sueurs froides. Et la miss qui se présentait n’aidait en rien du tout. Il aurait bien voulu être poli ou autre chose et se présenter aussi, mais là tout de suite il était simplement inquiet et sur les nerfs. Comme si en plus les dires des cactus allaient pouvoir l’aider à se sentir mieux pour le coup.
Il regarda et sentit le vent qui se lève et tout le désert commencer à se mettre en place pour sa dite tempête. Il fallait une solution, mais pour le coup un des dires du cactus sembla allumer une lumière dans son esprit. L’eau pouvait être une solution pour un temps, possiblement. Il n’avait jamais affronté de tempête de sable alors il imagina que cette solution était viable.
—OK. Juste OK. Je ne pige rien, genre vraiment rien du tout. Je veux juste rentrer et voir mon fils, donc on va faire équipe contre ça.
Il désigna l’ensemble de ce qui se passait autour. Pas juste la tempête de sable, tout se rêve sans sens qui était bien trop réaliste et flippant pour le moment.
— Je suis Faolan, mon nom de famille on s’en fiche. Tu peux retenir ta respiration combien de temps ? Parce que je te propose qu’on aille dans l’eau et qu’on plonge quand ce truc qui arrive va arriver. Peut-être comme il y a des cactus qui parlent on pourra respirer sous l’eau, mais sinon ça nous protégera du vent.
Parce que mise à part cela il n’avait pas beaucoup de solution selon lui. C’est surtout le mieux que pouvait lui donner son esprit là tout de suite. Il lui tendit sa main gauche pour l’inviter à le suivre dans l’eau avec lui. Il cherchera à plus comprendre le pourquoi du comment de tout plus tard.
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_ Le regard braqué sur ce danger imminent aucune solution ne semblait raisonnable pour Marthe. Mais en fonctionnant par élimination il y avait bien une évidence: La fuite semblait impossible. On ne gagne jamais contre les éléments. Peut-être étaient-ils vraiment dans un rêve et que rien ne pourrait leur arriver. Après tout les deux protagonistes avaient comme dernier souvenir de s'être endormis sur les conseils d'un médecin théoriquement fiable. Enfin, c'est ce que sont censés être les médecins, pas vrai ? Mais cette tornade qui s'approchait avait pourtant l'air si réelle...
" Temps estimé avant l'impacte : 20 minutes !" Annonça le cactus en ricanant comme le font certaines pierres à potins, prédicatrices à l’œil unique et au sourire rieur. Mais Marthe ne frappa pas celle là à coups d'épées pour l'interroger d'avantage.
- " Je ne sais pas si je tiendrais longtemps sous l'eau... mais au point où on en est, je crois qu'il vas falloir faire de son mieux... répondit-elle finalement à Faolan.
_ Et acceptant la main tendue de l'inconnu Marthe se dirigea avec lui en direction du lac enchanté. Il était tout aussi mystérieux que le reste ici, avec sa pluie continuelle pour l'alimenter, sa fontaine centrale sans queue ni tête et son eau d'un bleu parfait. Mais une fois les pieds dans l'eau celle-ci s'avérait tout à fait banale. Mouillée et liquide à souhait. Tiède, au moins.
" Alors tu.. tu as un fils ? " commença timidement Marthe pour essayer de détendre l'atmosphère. " Je suis sûre que tout se passera bien. Tu le reverras très vite...". Dit-elle en essayant de dissimuler son inquiétude grandissante. " De toute façon, ce n'est qu'un rêve, pas vrai ? " glissa-t'elle, plus pour se rassurer elle-même que pour la conversation.
_ La gouvernante se retourna une dernière fois vers le désert. Un dernier regard en arrière. L'angoisse commençait à la gagner peu à peu, comme un poing se refermant sur son cœur. Le vent s'intensifiait. La colonne de sable s'approchait inexorablement. Ses doigts commencèrent à se crisper sur la main de l'homme qu'elle n'avait pas encore pensé à lâcher. Rentrant dans l'eau à reculons Marthe s'essaya à un sourire qui devait évoquer la confiance et la sérénité. Mais aussi douée soit-elle, un œil quelque peu expert aurait vite remarqué le coin de ses lèvres pincées. Ce petit rictus que la peur coince au creux des fossettes. Toujours face à Faloan, Marthe continua d'avancer à reculons pour s'immerger progressivement. Toujours en "souriant".
" Boing-Boing ! Temps estimé avant l'impacte : 17 minutes." annonça le cactus à potin, crispant Marthe d'avantage encore mais qui préféra l'ignorer.
" Aller, allons-y ! L'eau est bonne en plus ..." dit-elle en l'emmenant à sa suite.
_ Ignorant ses vêtements qui se mouillèrent sans coller désagréablement la gouvernante finit de s'immerger complètement. Cette baignade était plutôt agréable au final. L'eau était aussi légère qu'à la mer et portait son corps sans efforts, le tout sans sel ! Nager dans ce lac ne demandait aucuns efforts. Enfin quelque chose qui l'aida à se détendre un peu, si bien qu'elle commença même à patauger avec plaisir. Quand on habite la capitale les baignades en eau libre sont plutôt rare. Pouvoir se mouvoir à loisir dans une eau si légère était un régal dont Marthe profita comme d'une cure de jouvence. Pouvait-elle avoir des propriétés magiques ? La jeune femme n'y pensa pas mais ne manqua pas d'en profiter pour autant.
Faolan SealtarApprouvé par Gordon Ramsay
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En plein désert
Il y a un bout de rire qui sort de sa bouche quand elle émet ses craintes au temps à pouvoir passer dans sous l’eau. Tu ne te moques pas, simplement que ça fait un peu échos a certaines de tes propres craintes, cela te fait sentir moins seul. Vous êtes deux galériens dans un monde étrange, sans savoir pourquoi vous faire vivre ce genre de chose.
— Ton mieux sera le plus important, après tout cette tempête sera peut-être aussi notre réveil.
Beaucoup plus calme sur tout ce qui se passe, il profite de la sensation de l’eau. C’est si différent de ce qu’il a pu ressentir avant. Pas de sensation désagréable, juste une bien être constant d’être dans une eau à bonne température. Il se laisse guider par sa bonne humeur, ne faisant même plus attention à ses cactus chronométrés.
— Oui, j’ai un fil, le meilleur de cet univers.
Il y a cet émerveillement dans sa voix, celui toujours présent quand il parle de son adorable fils. Elle le rassure grandement avec ses mots et le calme est beaucoup plus présent qu’il n’avait pu être depuis le début sur cette terre remplie de sable.
— Désolé pour l’énervement un peu plus tôt, juste tout ça c’est perturbant.
Avec sa main il désigna l’ensemble de ce qu’il y avait autour de lui. Un cactus sembla même lui faire coucou de sa branche en même temps. L’idée de cuisine ce genre de plante pour voir ce que ça pouvait donner comme produit se fait dans son esprit. Même s’il était très possible que cela pas forcément plaisant, au moins il aurait une vengeance contre leur attitude ici.
— L’eau est plus que bonne, franchement, si la tempête n’était pas si proche je serais bien resté à me baigner tout du long dedans… C’est tellement moins froid que l’eau de la rivière près de chez mes parents.
— TIC TAC ! 13 minutes avant, impacte !
Il prit une forte inspiration et mit la tête sous l’eau de base. Le temps passait et il fallait au moins voir ce qu’il pouvait y avoir dessous dans l’eau. Les yeux ouverts il voyait un peu flou, mais beaucoup moins que s’il avait regardé directement tout cela sous l’eau. C’était très étrange à voir. Comme un filtre qui avait décidé de simplement effacer les silhouettes de base, mais laissant tout le reste. Il y a avait plein de petit poisson qui bougeait dans tous les sens autour d’eau. Les couleurs étaient très variées et même si tout était flou cela donnait un spectacle assez beau à voir.
Pour tester il ouvrir la bouche et tenta de prendre une respiration par la bouche. Il y avait toute une sensation humide qui se fit dans son corps, comme si tout en lui était mouillé, mais ça ne lui brula pas le poumon. Sa respiration semblait même normale malgré cette sensation étrange et pas des plus agréable de base. Il remonta la tête hors de l’eau et regarda Marthe.
— On peut faire un truc qui ressemble à respirer sous l’eau c’est juste… humide ? Comme si tu avais de l’eau tiède qui allait dans tout ton corps en continu. Mais viens voir, c’est joli.
Et sur ses mots il replongea la tête sous l’eau sans plus attendre.
— Ton mieux sera le plus important, après tout cette tempête sera peut-être aussi notre réveil.
Beaucoup plus calme sur tout ce qui se passe, il profite de la sensation de l’eau. C’est si différent de ce qu’il a pu ressentir avant. Pas de sensation désagréable, juste une bien être constant d’être dans une eau à bonne température. Il se laisse guider par sa bonne humeur, ne faisant même plus attention à ses cactus chronométrés.
— Oui, j’ai un fil, le meilleur de cet univers.
Il y a cet émerveillement dans sa voix, celui toujours présent quand il parle de son adorable fils. Elle le rassure grandement avec ses mots et le calme est beaucoup plus présent qu’il n’avait pu être depuis le début sur cette terre remplie de sable.
— Désolé pour l’énervement un peu plus tôt, juste tout ça c’est perturbant.
Avec sa main il désigna l’ensemble de ce qu’il y avait autour de lui. Un cactus sembla même lui faire coucou de sa branche en même temps. L’idée de cuisine ce genre de plante pour voir ce que ça pouvait donner comme produit se fait dans son esprit. Même s’il était très possible que cela pas forcément plaisant, au moins il aurait une vengeance contre leur attitude ici.
— L’eau est plus que bonne, franchement, si la tempête n’était pas si proche je serais bien resté à me baigner tout du long dedans… C’est tellement moins froid que l’eau de la rivière près de chez mes parents.
— TIC TAC ! 13 minutes avant, impacte !
Il prit une forte inspiration et mit la tête sous l’eau de base. Le temps passait et il fallait au moins voir ce qu’il pouvait y avoir dessous dans l’eau. Les yeux ouverts il voyait un peu flou, mais beaucoup moins que s’il avait regardé directement tout cela sous l’eau. C’était très étrange à voir. Comme un filtre qui avait décidé de simplement effacer les silhouettes de base, mais laissant tout le reste. Il y a avait plein de petit poisson qui bougeait dans tous les sens autour d’eau. Les couleurs étaient très variées et même si tout était flou cela donnait un spectacle assez beau à voir.
Pour tester il ouvrir la bouche et tenta de prendre une respiration par la bouche. Il y avait toute une sensation humide qui se fit dans son corps, comme si tout en lui était mouillé, mais ça ne lui brula pas le poumon. Sa respiration semblait même normale malgré cette sensation étrange et pas des plus agréable de base. Il remonta la tête hors de l’eau et regarda Marthe.
— On peut faire un truc qui ressemble à respirer sous l’eau c’est juste… humide ? Comme si tu avais de l’eau tiède qui allait dans tout ton corps en continu. Mais viens voir, c’est joli.
Et sur ses mots il replongea la tête sous l’eau sans plus attendre.
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_ Marthe savait a peu près nager mais l'eau du lac semblait la porter tout aussi bien que l'eau salée. Elle se laissa aller au plaisir de la baignade à l'instar de son compagnon d'aventure. Quel délice c'était ! Se laisser flotter, être protégé du vent, pouvoir dégourdir ses muscles et ne plus sentir le poids de la pesanteur. Il suffisait juste d'oublier un peu le cactus et son décompte... et la tornade qui approchait.
_ Faolan qui appréciait la baignade de son côté surpris la jeune femme en plongeant sous l'eau. C'est qu'il n'avait pas peur dit donc ! L'eau était si clair qu'elle le vit clairelent hésiter.. puis ouvrir la bouche !
- " Faolan !! " cria-t'elle en plongeant a son tour.
_ Il était fou ! Il allait se noyer !! Marthe, morte d'inquiétude, fonca droit vers lui. Mais à sa plus grande stupeur il ne suffoqua pas. D'ailleurs il acceuilli la "sauveteuse" avec le même regard choqué qu'un homme qui découvrait savoir parler glooby. Un regard stupéfié qu'elle lui rendit aussitôt. C'est alors qu'elle remarqua que plonger et nager sous l'eau avait été d'une facilité déconcertante. Comme si savoir contrôler son propre centre de gravité était suffisant pour plonger vers le fond ou remonter à la surface. Ou bien ça fonctionnait à la volonté et à la force de l'esprit... Non, impossible.
- "Finalement, ça vas être plus sympa que prévu !" répondit Marthe a Faolan qui lui décrivit les sensations éprouvées.
_ L'homme replongea a nouveau sous le regard stupéfié de la jeune femme. Sur la plage, le cactus repris son décompte. 《Boing-Boing
_ Tiens, si peu de temps venait de s'écouler depuis le dernier décompte ? Elle aurait pu jurer qu'il s'était passé plus de minutes que ça.. Haussant les épaules elle attendit quelques secondes pour se donner du courage avant de plonger à son tour. D'abord concentrée sur sa nage et l'univers marin de l'oasis elle ne se rendit même pas compte qu'elle respirait aussi sous l'eau.
- "Atchoum ! " éternua un poisson multicolore a côté d'elle.
- "À vos souhait !" répondit Marthe d'instinct.
_ Et la jeune femme se figea instantanément, plaquant ses mains sur sa bouche et son nez comme pour empêcher l'eau de la noyer. Elle venait d'ouvrir la bouche sous l'eau !! Elle venait de parler !! Battant des jambes en paniquant ses mouvements désordonnés la firent descendre vers le fond. Paniquant alors d'avantage elle lâcha son visage et agita ses bras dans une brasse bonne à vous noyer. Et elle coula pour de bon. Les mains toujours sur la bouche le reste de son corps se relacha et elle coula comme une pierre jusqu'à atteindre le fond du lac. La chute était lente et lorsqu'elle finit couchée sur le sable un poisson eu encore l'audace de lui passer au dessus du visage. Immobile, couchée comme elle aurait pu l'être sur la terre ferme, elle le vit la regarder dans les yeux et oser lui dire;
- "Hé.. coule Raoul ! "
- "N'en rajoutez pas, vous! " s'insurgea-t'elle. Puis après quelques secondes de réalisation elle s'écria;" Et arrêtez de me faire parler sous l'eau ! Ce n'est . PAS . NOR . MAL !". La goutte d'eau qui fit déborder le vase... elle se releva sans difficultés et se tint debout au fond de l'eau, plaça ses mains sur ses hanches et pointa un index accusateur vers le poisson qui semblait bien se marrer. "Hé ! Ne vous moquez pas de moi, malandrin! "
" T'inquiètes, bichette! Encore 9 minutes ! " annonça le poisson avant de s'en aller.
_ Marthe resta dubitative, les mains toujours sur les hanches sans réaliser qu'elle respirait et parlait parfaitement normalement sous l'eau. Elle aurait juré que ça faisait au moins déjà 5 ou 8 minutes depuis le dernier décompte. Pas seulement 1! Est-ce que, dans l'eau, le temps passerait moins vite ? La jeune femme chercha de suite son ami du regard et commença a marcher au fond du lac. Il fallait lui faire part de cette potentielle découverte !! Mais, où était-il passé ?
Faolan SealtarApprouvé par Gordon Ramsay
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En plein désert
La surprise de toute la discutions qu’avait Marthe avec les poissons se lisait très clairement sur le visage de Faolan. Il y avait aussi un amusement certain, le même que cela qu’il avait quand il voyais Melta commencer à s’amuser avec un rien. C’était une vision attendrissante, comme le fait qu’elle se soit inquiétée pour lui quand il a plongé. Il ne sait vraiment le pourquoi du comment de ce songe, mais aussi étrange soit-il il y avait des surprises amusantes tout de même.
Les poissons qui parlent lui plaisaient plus que les cactus, même si une part de lui se demandait quel gout il pouvait avoir et qu’est-ce qu’on pouvait faire en plat avec. Est-ce qu’il avait des organes spécifiques qui avaient même des particularités magiques ? Est-ce que ce genre de poisson vivait ailleurs ?
— Malandrin ? Ah, ouais, carrément.
Un rire sur la fin de sa phrase alors qu’il rit de ce qu’elle vient de dire. Il était bien plus loin, ayant pris place sur un rocher qui sentait la vanille avec la texture de la peau de glooby de couleur menthe. Il avait pris place pour attendre et fit un geste à la jeune femme pour lui indiquer sa position.
Décidant de se lever, au même moment un tremblement se fit sentir dans le lac. Pas dans le style tremblement de terre, plus comme un tremblement dans toute l’eau. C’était étrange, comme si on secouait tout l’air autour de soi, mais là c’était de l’eau. C’était comme avoir de faible vague qui s’écrasait sur la peau de tous les côtés à la foi.
— C’est quoi ce bordel ?
— Erreur de calcul.
Il tourna la tête vers la droite où se trouvait un cactus sous l’eau, un avec une bouche et de grands yeux le fixant avec un sourire assez dérangeant. N’étant pas du tout à l’aise avec cette chose aussi proche de lui il recula un peu et le cactus sortit ses racines du sol pour lui-même reculer. Toute cette situation avait vraiment des côtés perturbants.
— C’est la tempête de sable ?
— Oui, mais pas de souci, elle arrive aussi.
— Quoi ? On n’est pas protégé ?
— Qu’est-ce qu’il y a sous tes pieds ?
Alors qu’il allait répondre, il sentit son pied être pris par le sol et emporté vers le bas d’un seul coup. Son cœur vu un rater un cri sorti de sa bouche. La chose qui lui avait attrapé le pied l’entrainait visible dans le fin fond d’un trou de sable ouvert sous ses pieds à l’instant. Le trou se refermant sur lui au fur et à mesure qu’il était entrainé vers le bas.
Il allait allait chercher l’aide de Marthe quand d’un seul coup ses yeux s’ouvrir sur un plafond en bois. La bouche formant toujours un cri bien audible et une main tendue vers le haut. Il entendit un grognement bien caractéristique de son fils qui se réveille.
— Papa ? Cauchemar ?
Sa voix est faible, teinte de fatigue due à un réveil brutal et à de l’inquiétude d’un enfant face à un mauvais songe, même si ce n’est point le sien.
— Ce n’est rien, tout va bien.
Sur ses mots il prit l’enfant dans ses bras et commençant à chantonner une berceuse, le petit ne mit pas longtemps à replonger dans le pays des rêves. Le blond lui était toujours des plus perturbés par ce qu’il venait de vivre. Cette fille si un jour il en croisait une semblable il faudra qu’il lui parle pour en savoir plus. Le pourquoi de toute cette histoire était toujours un mystère total. Il en parlera à la garde tout de même, si jamais cette femme existe vraiment et qu’elle avait vécu la même chose. Faire ce genre de chose à des gens était perturbant et étrange.
Il fixa le plafond longtemps la tête pleine de réflexion en écoutant le souffle régulier de Melta à son oreille avec de lui-même sombrer à nouveau dans le sommeil, cette fois sans aucun rêve.
Il aurait le temps de comprendre tout cela plus tard.
Les poissons qui parlent lui plaisaient plus que les cactus, même si une part de lui se demandait quel gout il pouvait avoir et qu’est-ce qu’on pouvait faire en plat avec. Est-ce qu’il avait des organes spécifiques qui avaient même des particularités magiques ? Est-ce que ce genre de poisson vivait ailleurs ?
— Malandrin ? Ah, ouais, carrément.
Un rire sur la fin de sa phrase alors qu’il rit de ce qu’elle vient de dire. Il était bien plus loin, ayant pris place sur un rocher qui sentait la vanille avec la texture de la peau de glooby de couleur menthe. Il avait pris place pour attendre et fit un geste à la jeune femme pour lui indiquer sa position.
Décidant de se lever, au même moment un tremblement se fit sentir dans le lac. Pas dans le style tremblement de terre, plus comme un tremblement dans toute l’eau. C’était étrange, comme si on secouait tout l’air autour de soi, mais là c’était de l’eau. C’était comme avoir de faible vague qui s’écrasait sur la peau de tous les côtés à la foi.
— C’est quoi ce bordel ?
— Erreur de calcul.
Il tourna la tête vers la droite où se trouvait un cactus sous l’eau, un avec une bouche et de grands yeux le fixant avec un sourire assez dérangeant. N’étant pas du tout à l’aise avec cette chose aussi proche de lui il recula un peu et le cactus sortit ses racines du sol pour lui-même reculer. Toute cette situation avait vraiment des côtés perturbants.
— C’est la tempête de sable ?
— Oui, mais pas de souci, elle arrive aussi.
— Quoi ? On n’est pas protégé ?
— Qu’est-ce qu’il y a sous tes pieds ?
Alors qu’il allait répondre, il sentit son pied être pris par le sol et emporté vers le bas d’un seul coup. Son cœur vu un rater un cri sorti de sa bouche. La chose qui lui avait attrapé le pied l’entrainait visible dans le fin fond d’un trou de sable ouvert sous ses pieds à l’instant. Le trou se refermant sur lui au fur et à mesure qu’il était entrainé vers le bas.
Il allait allait chercher l’aide de Marthe quand d’un seul coup ses yeux s’ouvrir sur un plafond en bois. La bouche formant toujours un cri bien audible et une main tendue vers le haut. Il entendit un grognement bien caractéristique de son fils qui se réveille.
— Papa ? Cauchemar ?
Sa voix est faible, teinte de fatigue due à un réveil brutal et à de l’inquiétude d’un enfant face à un mauvais songe, même si ce n’est point le sien.
— Ce n’est rien, tout va bien.
Sur ses mots il prit l’enfant dans ses bras et commençant à chantonner une berceuse, le petit ne mit pas longtemps à replonger dans le pays des rêves. Le blond lui était toujours des plus perturbés par ce qu’il venait de vivre. Cette fille si un jour il en croisait une semblable il faudra qu’il lui parle pour en savoir plus. Le pourquoi de toute cette histoire était toujours un mystère total. Il en parlera à la garde tout de même, si jamais cette femme existe vraiment et qu’elle avait vécu la même chose. Faire ce genre de chose à des gens était perturbant et étrange.
Il fixa le plafond longtemps la tête pleine de réflexion en écoutant le souffle régulier de Melta à son oreille avec de lui-même sombrer à nouveau dans le sommeil, cette fois sans aucun rêve.
Il aurait le temps de comprendre tout cela plus tard.
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_ Bien que le lac n'ait pas eu l'air aussi profond de l'extérieur, de son fond on avait l'impression qu'il pouvait s'étendre à des lieux de là. Marthe aperçu son compère qui l'attendait non loin sur un rocher à l'aspect inconnu. Elle lui fit de grands signes de la main tout en le rejoignant.
-" Hé ! Faolan ! Je crois qu'il n'y a plus de dangers ici ! " l'interpella-t-elle.
-" Ah ? Première nouvelle ! " fit un poisson en passant par là.
-" Pardon ? Mais.. hé ! Mais revenez ! Expliquez-vous bon-dieu ! "
-" HÉ ! NON !! " cria-t'elle en voyant le sable s'ouvrir sous les pieds de son nouvel ami. " FAOLAN !! ATTENTION !!! " Et Marthe se mit à courir dans sa direction. Mais le trou formé commençait à tirer l'homme vers le fond. Quand la jeune gouvernante arriva il venait juste de se refermer sous ses doigts. "FAAOOOLAAAAAAANN !!!!" hurla-t'elle en se jetant genoux au sol et en commençant à creuser là où il venait de disparaître.
-" Allons-allons. Pas besoin de vous mettre dans un tel état ! " dit le cactus dans son dos.
-" Comment ça, un "TEL ÉTAT" ?! Vous vous moquez de moi ?!! " S'emporta-t-elle. Mais il répondit d'un ricanements. " Hé petit impertinent !! Réponds et sois poli Lutin de Merle !!! Est-ce qu'il vas bien ?!! "
-" Maiiiiis ouiiii biche ô ma biche ! " répondit le cactus rieur d'un ton humoristique se voulant rassurant. " Relax Max ! Marx.. Martha .. Padmé.... hm.. paumée.. ? "
-" ... C'est Marthe.. Juste Marthe.. " le reprit-elle sans conviction, maintenant profondément blasée.
-" Bah Marx, toi t'as encore 6 minutes. "
-" Six minutes ?.. Pourquoi faii-AIIIIIIII-Rrrrrr !!!"
-" Veuillez nous excusez pour nos manières, Miss Applebee. " dit le ver avec un ton révérencieu. " Sachez que nous nous appliquerons désormais à vous faire passer les 5 minutes restantes du mieux que nous le pourrons. Une saveur particulière?"
-" Pastèque ?"
-" Avec les compliments de la maison. "
DEFI: Dans le désert
Feat @Faolan Sealtar
_ Bien que le lac n'ait pas eu l'air aussi profond de l'extérieur, de son fond on avait l'impression qu'il pouvait s'étendre à des lieux de là. Marthe aperçu son compère qui l'attendait non loin sur un rocher à l'aspect inconnu. Elle lui fit de grands signes de la main tout en le rejoignant.
-" Hé ! Faolan ! Je crois qu'il n'y a plus de dangers ici ! " l'interpella-t-elle.
-" Ah ? Première nouvelle ! " fit un poisson en passant par là.
-" Pardon ? Mais.. hé ! Mais revenez ! Expliquez-vous bon-dieu ! "
_ Mais le poisson était déjà reparti. Reportant son attention sur son ami qui s'était déjà redressé elle le vit marcher étrangement à reculons. Pressant un peu le pas, une chose moins aisée qu'il n'aurait pu le paraître sous l'eau, Marthe assista impuissante à la scène de l'enlèvement de Faolan.
-" HÉ ! NON !! " cria-t'elle en voyant le sable s'ouvrir sous les pieds de son nouvel ami. " FAOLAN !! ATTENTION !!! " Et Marthe se mit à courir dans sa direction. Mais le trou formé commençait à tirer l'homme vers le fond. Quand la jeune gouvernante arriva il venait juste de se refermer sous ses doigts. "FAAOOOLAAAAAAANN !!!!" hurla-t'elle en se jetant genoux au sol et en commençant à creuser là où il venait de disparaître.
-" Allons-allons. Pas besoin de vous mettre dans un tel état ! " dit le cactus dans son dos.
-" Comment ça, un "TEL ÉTAT" ?! Vous vous moquez de moi ?!! " S'emporta-t-elle. Mais il répondit d'un ricanements. " Hé petit impertinent !! Réponds et sois poli Lutin de Merle !!! Est-ce qu'il vas bien ?!! "
-" Maiiiiis ouiiii biche ô ma biche ! " répondit le cactus rieur d'un ton humoristique se voulant rassurant. " Relax Max ! Marx.. Martha .. Padmé.... hm.. paumée.. ? "
-" ... C'est Marthe.. Juste Marthe.. " le reprit-elle sans conviction, maintenant profondément blasée.
-" Bah Marx, toi t'as encore 6 minutes. "
-" Six minutes ?.. Pourquoi faii-AIIIIIIII-Rrrrrr !!!"
_ Sans avoir pu finir sa phrase convenablement Marthe se fit percutée puis encerclée par une dizaine de poissons-gloots. Ils étaient bleu, à poils et de taille variable, dotés de branchies comme les poissons et l'air aussi stupide que ceux de la surface. Ils formèrent un tourbillon tout autour de la jeune femme et se mirent à tourner de concert. Quelques uns vinrent lui percuter les pieds pour la faire tomber tandis que d'autres se coordonnèrent pour la réceptionner dans son dos, se plaçant comme un matelas derrière elle. Ils s'organisèrent ainsi pour la transporter, agissant comme des tapis roulant pour la déplacer ailleurs.
_ La tornade de poissons-gloots déposa Marthe un peu plus loin sur un transat en mousse naturelle rose. Elle n'eut même pas le temps de finir de s'insurger qu'un gros ver aux lumières multicolores lui glissait déjà un verre a cocktail dans les mains.
_ La tornade de poissons-gloots déposa Marthe un peu plus loin sur un transat en mousse naturelle rose. Elle n'eut même pas le temps de finir de s'insurger qu'un gros ver aux lumières multicolores lui glissait déjà un verre a cocktail dans les mains.
-" Veuillez nous excusez pour nos manières, Miss Applebee. " dit le ver avec un ton révérencieu. " Sachez que nous nous appliquerons désormais à vous faire passer les 5 minutes restantes du mieux que nous le pourrons. Une saveur particulière?"
-" Pastèque ?"
-" Avec les compliments de la maison. "
_ Et le verre à cocktail se remplit par magie d'un granité fruité qui s'avéra délicieux. Marthe passa ainsi le temps qu'il lui resta à profiter des environs. Elle admira à loisirs les myriades d'animaux que seuls l'aléatoire aurait pu imaginer. Au dessus-d'elle la tornade finit par atteindre l'oasis, déposant force de sable à sa surface. Un piège mortel qui crée des sables mouvants et vous noie en vous empêchant de remonter à l'air pur une fois tombé dedans. Mais loin de ces tracas là Marthe profita de poissons récureurs de peau morte et de tout le temps nécessaires à la contemplation. Elle s'endormit finalement à la fin du chrono, paisiblement sur son transat, pour se réveiller le front sur son bureau.
_ Tout ça n'avait été qu'un rêve. Un drôle de rêve cela dit. Mais un rêve reposant. Se demandant encore qui était cet homme, malpoli mais aimable au demeurant, et si elle le reverrait un jour, Marthe gagna son lit pour reprendre sa nuit. Faolan n'apparut pas dans son nouveau songe, ni dans les rêves suivant. Si bien que le lendemain matin elle se demanda si tout ça s'était vraiment passé. Le médecin qui avait prescrit ce "remède" ne s'était pas fourvoyé. Marthe, bien que pleine d'interrogation, avait passé une bonne nuit !
_ Tout ça n'avait été qu'un rêve. Un drôle de rêve cela dit. Mais un rêve reposant. Se demandant encore qui était cet homme, malpoli mais aimable au demeurant, et si elle le reverrait un jour, Marthe gagna son lit pour reprendre sa nuit. Faolan n'apparut pas dans son nouveau songe, ni dans les rêves suivant. Si bien que le lendemain matin elle se demanda si tout ça s'était vraiment passé. Le médecin qui avait prescrit ce "remède" ne s'était pas fourvoyé. Marthe, bien que pleine d'interrogation, avait passé une bonne nuit !
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