Quelle dure journée. Vous avez passer la journée à courir à gauche et à droites pour vos affaires respectives et vous n'avez pas eu un seul moment de repos. C'est arrivé le soir que vous pouvez enfin vous poser un peu... Vous n'avez qu'une envie, vous enfoncer dans votre lit et profiter d'un bon sommeil réparateur...
Vous vous souvenez avoir acheté quelques temps plus tôt, une petite pastille de doux sommeil. Si vous hésitez à la prendre, au final, vous le faîtes quand même en vous disant que cela ne peut pas vous faire de mal... Mais ce que vous ne saviez pas, c'est qu'il s'agit en réalité d'une pastille de rêve.
Vous allez donc vous coucher... Et vous vous réveiller immédiatement dans un rêve en commun. Comment les deux pastilles ont-elle été liées ? C'est un mystère, peut être une défaillance de la magie ?
Quoi qu'il en soit, vous êtes toutes deux face à face et autour de vous, un monde froid et montagneux. Vous êtes tout de même à l'abris dans une grotte, mais dehors, le blizzard souffle à n'en plus pouvoir... Est-il possible d'avoir froid dans un rêve ? Oui, vous venez de l'expérimenter. Le souffle de neige s'engouffre dans la caverne et le froid vient vous mordre jusqu'aux os...
Elle discuta avec la couturière pendant facilement deux bonne heure, mais au final elle savait maintenant que son projet étais réalisable mais qu'il prendrait un peu de temps. Une fois qu'elle eu finis avec la couturière, l'aventurière partit en direction de chez elle.
Arriver à son appartement toute la fatigue de Light se fit ressentir, n'ayant qu'une hâte c'est d'aller se coucher. Mais avant de filer au lit elle se prépara un truc rapide à manger et fila prendre une douche. Une fois en pyjama elle se rappela qu'elle avait encore une pastille de doux sommeil, pourquoi ne pas en prendre une ?
Se disant que de toute façon sa ne pourrait que l'aider elle goba la pastille avant de s'enfoncer dans le moelleux de son lit.
Elle se retrouva alors dans une caverne gelée, un blizzard comme elle n'avait jamais vu soufflant à l'extérieur, le froid qui gelé jusqu'à l'os et surtout qui étais la jeune fille en face d'elle ?
L'examinant rapidement et remarquant le physique particulier de celle-ci, sa peau sombre et ses yeux rouge.
Après avoir vendu tous les matériaux que j’avais récupérés suite à mes chasses, je m’étais dirigée vers le marché. Il était bien rare que j’y fasse un tour et pour une fois j’avais le temps. De plus, qu’est-ce qui se trouvait dans le quartier commerçant? LA taverne de l’homme dont j’attendais patiemment le retour. Bien sûr, certains diront que je suis très patiente, mais il le faut. Après tout, si je ne peux même pas attendre l’homme qui semble faire battre mon cœur à quoi bon être avec qui que ce soit. Il était sûrement parti en quête d’aliments et de connaissances pour améliorer ses recettes de boissons. Je ne me souviens pas l’avoir vu avec une quelconque monture ni avoir l’espace pour en posséder une près de chez lui. Du coup, il y était très certainement allé à pied. Enfin, comme à mon habitude, je bifurque jusqu’à sa taverne, mais cette dernière semble toujours fermée. Je pose quelques questions aux passants et ceux-ci ne semblent pas avoir vu le grand gaillard depuis un petit moment. Ce n’était pas très bon pour ses affaires…
Bon, je ne dois pas me dépiter. Je dois rester positive et je crois fermement qu’il va revenir. Il ne m’a pas abandonné et n’a pas laissé tomber son travail qui semblait être toute sa vie et ses souvenirs. Je marche donc d’un pas décidé jusqu’au marché et j’y fais quelques achats. Puis sachant que la soirée commençait à s’achever, il me faudrait trouver un endroit où dormir. Bien sûr, je me loue une chambre à l’auberge du coin et me prépare doucement à aller au lit. D’ailleurs, je me souviens d’avoir acheté une pastille de doux sommeil que je n’avais pas encore utilisé. On disait qu’avec cela, on tombait comme une buche et que le repos était des plus réparateurs. Et je dois dire qu’en forêt, j’étais spécialiste du microsommeil. Au moindre bruit suspect, mes sens me réveillaient. Alors qu’en ville et dans cette auberge, il n’y avait pas de prédateur. Enfin, je m’enfile alors la pastille, prend un peu d’eau, puis je m’allonge sur le lit en fermant doucement les yeux.
Lorsque je me réveille, j’ai l’impression que mon corps est congelé comme si je me trouvais tout au nord du pays. Je n’ai pas pour habitude de m’y rendre. Mes membres tremblent et même ma mâchoire semble danser la claquette tellement mes dents s’entrechoquent entre elles. J’essaie de m’asseoir et me frotte les bras vigoureusement. Bien sûr, mon souffle chaud crée une volute de fumée chaque fois que j’expire. Que dire de mon inspiration, j’ai l’impression que mes bronches me font mal… Enfin, je regarde autour de moi et la paroi rocheuse m’indique que je suis dans une grotte. Lorsque je regarde vers la sortie, des rafales de neige nous empêchent de voir plus loin créant un mur opaque. Enfin, je finis par regarder dans une tout autre direction et une jeune femme se trouvait non loin de moi. Bien sûr, elle me regardait.
Je n’étais malheureusement vêtue que de ma chemise que je portais sous mon armure de cuir ainsi que de mon pantalon. Je n’avais ni cape pour me cacher et le prie dans tout cela, c’était les pieds nus.
« C…comme…comment on s’est re…retrouvé ici? » J’avais du mal à parler, le froid était insoutenable surtout pour moi qui préférait les habitats tempérer. Avez-vous déjà vu une araignée en plein hiver? Non! Alors il en était de même pour moi. Lorsque l’hiver s’installait, le froid me faisait migrer vers des endroits plus tempérés.
Et puis qui étais cette personne dans son rêve ? Peau sombre, yeux rouge, et oreille pointu elle aurait pu faire peur à certaine personne. Mais a vrai dire pour l'instant Light se demander comment elle c'était retrouver ici avec elle ? Question que la femme se posait aussi apparemment.
Je... sais pas ... je m'appelle Light ...et toi ?
Alors qu'elle se présenta, Light essaya de réfléchir à comment elle étais arriver ici, malgré le froid qui la fessait trembler comme si elle avait Parkinson. Il fallait à l'aventurière qu'elle rassemble des données
Qu'est-ce que ... tu te souviens... en dernier ?
Pour son cas elle se souvenait être rentrer cher elle est d'être partit dormir
La demoiselle semble drôlement vêtue pour se retrouver dans ce lieu. On dirait qu’on l’a sortie de son lit par la force, mais tout comme moi, elle ne savait pas du tout ce qui nous avait menés jusqu’ici. Enfin, elle dit s’appeler Light et me demande mon nom en retour. Dois-je lui mentir ou lui dire la vérité. Après tout je ne connais pas ses intentions. Enfin, un frisson parcourt tout mon corps alors qu’un nouveau coup de vent glacial s’engouffre dans notre pauvre abri. Je ne suis pas vêtue pour rester dans ce genre d’endroit et je commence déjà à ressentir l’engourdissement sur mes membres exposés au vent. Les bras en croix contre ma poitrine je tente de me réchauffer du mieux que je le peux.
« Je m’appelle Saryna. »
Cette femme ne pouvait pas réellement être mauvaise, mais elle apporta une question pertinente. Quels étaient mes derniers souvenirs précédents mon réveil. À vrai dire, je n’ai absolument pas conscience de m’être réveillée durant la nuit, ce qui voudrait dire qu’on m’aurait déplacée pendant mon sommeil en pénétrant dans ma chambre à l’auberge? Ou était-ce simplement la pilule de doux sommeil qui leur avait permis que je ne me rende compte de rien.
« Je me souviens de m’être couchée à l’auberge après avoir pris une capsule de doux sommeil… Ensuite, j’étais ici. Et toi? »
Enfin, j’essaie de m’éloigner de l’entrée de la grotte alors que mes pieds me font un mal de chien. Je regarde le sol devant moi un bref moment *Si seulement…si seulement nous avions un feu pour nous tenir chaud…* puis je ferme les yeux essayant d’imaginer une source de chaleur. Des buches montées en tipi, les flammes léchant le bois pour se nourrir crépitant doucement. J’arrive presque à sentir sa chaleur et ses crépitements semblent bien plus présents et saccadés que dans mon imagination. J’ouvre mes paupières et que ne fus pas ma surprise de voir le feu de bois qui se tenait devant moi. Je m’assieds aussitôt devant ce dernier tentant de me réchauffer.
« Comment c’est possible! Il est identique à ce que je viens d’imaginer! »
Est-ce qu’elle était capable de faire apparaître autre chose?!
La jeune femme qui était en compagnie Light dit se nommer Saryna.
Enchanté de faire ta connaissance, même si sa aurait était mieux dans de meilleures conditions climatiques
Puis la jeune femme répondit en la question de Light concernant sa dernière action qu'elle se souvenait avant de faire un truc ouf. D'accord nous somme dans un monde de magie, mais apparemment la jeune femme avait quand même le pouvoir de faire apparaitre des choses super pratiques juste en les... imaginant
Ou du moins c'est se qu'on pourrait croire, mais vu la réaction de celle-ci devant le feu qui venait d'apparaître, il semblait que c'était la première fois que sa lui arrivait.
Tu veut dire que faire apparaitre des choses en les imaginant n'est pas un pouvoir à toi ?
Puis le cerveau de Light commença à voir le puzzle se dessiner.
Tu à bien dis que tu a pris une capsule de sommeil ? Parce que moi aussi j'en ai pris une.
Est c'est la qu'elle comprit un truc.
J'y pense sa veut peut-être dire qu'on est dans un monde onirique non ? Peut-être que je peut faire apparaitre quelques chose moi aussi.
Elle pensa alors à son long manteau d'aventurier qui ne la quitte jamais, pensant à son tissu bleu nuit et le frottement qu'elle ressentait quand elle le porte habituellement. Caressant ses bras, imaginant le tissu en contact avec sa main. Quand son manteau apparu alors qu'elle rouvrait les yeux.
La théorie de Light se confirmait, elles étaient bien dans un monde onirique dans lequel elle pourrait donner libre court à leur imagination.
En effet, cela aurait pu être plus plaisant si nous avions fait connaissance dans toute autre circonstance. Je lui aurais bien serré la main, mais j’étais bien trop occupée à essayer de me réchauffer. D’ailleurs, elle doit se les geler bien plus que moi vêtue de cette façon. Pouvant être réveillée à n’importe quel moment, j’avais pris pour habitude de dormir avec mes vêtements. Vivre dans les bois avait ses avantages après tout. Enfin, je ne sais pas par quel miracle, mais je trouve le moyen de faire apparaître un feu devant lequel je ne me fais pas prier pour m’y installer. La chaleur lèche ma peau me réchauffant un peu, mais si cela continue, je vais finir avec des engelures aux pieds. Enfin, Light semble tout aussi surprise que moi de l’apparition de notre salut, et me questionne.
« Nan, tu crois que j’ai une tête à avoir ce genre de pouvoir? » un peu sec, mais avoir une tronche comme la mienne ça voulait certainement dire une forme d’hybridation.
Enfin, elle ne semble pas trop s’en faire et continue sur sa lancée. Elle parle de capsule de sommeil, me dit qu’elle en a aussi pris une puis suppose qu’on serait peut-être dans un songe?
Enfin, je la regarde faire calmement, après tout, si elle y arrive ça vaut le coup d’essayer pour moi aussi? Bien que dans un rêve, on ne sait pas ce qui se cache derrière ce grand rideau blanc ou dans cette caverne. On est peut-être dans le nid d’un monstre, que sais-je? Light fait donc apparaître sur son corps un long manteau en se caressant les bras. Si je ne savais pas ce qu’elle essayait de faire, la scène pourrait porter à confusion, mais je me garde ma blague.
« De tous les vêtements que tu avais, tu as préféré mettre un manteau plutôt que de te trouver un pantalon et des bottes? »
Bref, si on peut faire apparaître des objets, je ne me ferai pas prier. J’imagine alors mes bottes chaudes de cuir rembourré de fourrure, avec mon armure de cuir ainsi que ma cape doublée. Il ne manquait qu’une seule chose, mon fidèle arc ainsi que son carquois. « Je te suggère de te vêtir plus chaudement l’amie! » J’enfile le tout rapidement m’emmitouflant sous ma cape. J’étais plutôt curieuse de savoir ce qui se trouvait plus loin et le désir d’explorer était bien présent.
« Si on est vraiment dans un monde onirique, il faudra attendre que le soleil se lève et que nos corps se réveillent. Ce qui nous laisse quelques heures encore. Alors je propose donc de vérifier ce qui se cache dans cette caverne et marcher nous tiendra au chaud. Qu’en dis-tu? »
Puis après que Light est fait apparaître son manteau fétiche, celui qu'elle avait reçu de Aizen et qui ne la quitter plus depuis la mort de celui-ci. Saryna lui lança une petite pique sur le fait qu'elle avait choisie son manteau, plutôt que des bottes et un pantalon, vu la tenue dans laquelle Light avait débarqué dans cette caverne.
Déjà c'est pas n'importe qu'elle manteau, il a une valeur symbolique. Donc j'ai penser que pour faire un test, un objet auquel on tient vraiment aurait plus de facilité à apparaître qu'un autre. Et puis comme je t'ai dis c'est pas n'importe quelle manteau, car il est magique. Il est fait avec des tissus spéciaux qui résiste au température et puis les poches sont comme des petits sac sans fond, donc un manteau plus que pratique.
Puis comme la jeune femme en face d'elle, Light fit apparaître ses vêtements habituels, ainsi que toute ses armes. L'habillage pris qu'elle que minute, mais Light se sentit beaucoup mieux que tout à l'heure déjà.
Saryna proposa alors d'explorer la grotte en attendant que leurs corps se réveillent, car si elles étaient vraiment dans un monde onirique il n'avait que ça à faire.
Puis alors qu'elle avançait dans la caverne, l'aventurière pensa alors à ce qui se passerait s'il arrivait quelque chose dans ce monde, est ce que ça se répercuterais sur leurs corps endormis ? Elle fit part de sa crainte à la jeune femme qui marchait à ses côtés.
Bon d’accord, si son manteau avait une valeur symbolique, je ne pouvais pas réellement lui en vouloir et ce dernier semblait fort pratique en effet. Un tissu qui permet de résister aux températures hors du confort humain et qui pouvait contenir n’importe quoi qui entrait dans sa poche c’était quand même chouette. Pour ma part, si y’avait bien un truc chez moi qui avais beaucoup de valeur c’était mon arc dont l’usure du passage du temps laissait peu à peu ses marques. L’arc avait appartenu à ma mère avant que celle-ci ne décède suite à ma naissance, alors il avait plus de vingt-cinq ans et il devait être en sa possession depuis fort longtemps. Je me sens presque mal d’être en train de fabriquer un nouvel arc plus adapter à mes besoins, mais qui sait? Peut-être qu’un jour je le donnerai à mon premier enfant. Ce sera l’héritage de la famille Delarosa.
Enfin, la demoiselle enfile aussi ses vêtements qu’elle a fait apparaître à son tour puis on se met en route. Bien sûr, on essaie de combler le silence comme on peut et la demoiselle me fait part de ses craintes. Est-ce que s’il nous arrivait quelque chose ici, cela se répercuterait sur nos corps?
« C’est une très bonne question dont j’ignore la réponse. Le seul moyen de le savoir serait de le tester en se faisant une légère coupure et de vérifier une fois réveiller notre main, mais à quoi bon? Nous ne nous rêverons peut-être jamais et j’espère ne plus avoir à vivre ce genre de rêve. Enfin, la seule chose que je peux te dire, c’est que lorsque l’on rêve agiter, notre corps est moins reposé. Du coup, il faudrait peut-être mieux éviter de se blesser… »
Sauf qu’au même moment que je dis ça, j’entends un grognement, mais pas un petit « grrr » de cabots ou de quelconques créatures lupins. Non! Un vrai « GRRRWAAAOU » qui vous glace le sang et qui vous fait savoir que vous êtes sûrement dans le pétrin. Le sol se met alors à trembler légèrement sous nos pas… Les parois de la caverne sont bien assez hautes pour contenir une créature capable d’un tel phénomène et ça ne peut pas être un simple ours! Et plus la chose se rapproche et plus j’ai l’impression de danser la claquette. Une ombre imposante se fait alors voir au détour d’un tournant. La bestiole semblait être bipède et fortement poilue au vu de la silhouette de l’ombre. Je ne connaissais pas de telle créature en ce monde…
« Je ne sais pas ce qui nous attend, mais ça m’a l’air méchamment gros et moche. Je te conseille de te préparer à toutes les éventualités possibles. »
Sur ces belles paroles, je prends mon arc en main, encochant une flèche prête à partir à toute éventualité. La créature fait finalement son apparition dans nos champs de vision et…. Bon sang de bonsoir! On a affaire à l’effroyable bonhomme des neiges ou quoi!? Enfin, sa démarche semble étrange, comme s’il avait du mal à poser l’un de ses pieds au sol.
Elle ressemblais à un sorte de troll/orque des glaces, c'est donc à ça que ressemble l'homme des glaces ? En tous cas elle étais énorme pour la petite humaine qu'est Light.
Bon comment on s'occupe de ça ? Je le distrais pendant que t'occupe de l'abattre à distance. Ca te va comme plan ?
Une fois les jeunes femmes d'accord assez rapidement sur la stratégie à adopter, Light fonça vers la créature lui balançant deux couteaux de lancer, sur lesquels son Sigil fut placer, dans les genoux. Ca lui fit peut-être mal, mais pas asser pour le faire tomber alors l'aventurière entailla les jambes du molosse de glace.
Quand elle se rappela qu'elle étais dans un monde onirique où son imagination étais sa plus grande arme. Elle s'écarta de la créature, s'accroupisant pour donner un maximum de puissance dans ses jambes. Puis elle commença à imaginer l'énorme Claymore de Miss de Payet, Riven. L'imagination et le monde onirique furent le reste, laissant apparaître Riven dans les mains de Light qui fonça en direction de la créature, lui coupant la jambe droite se qui le fit tomber le laissant à porter de tir de Saryna
À peine la créature dans notre champ de mire que Light semble déjà prête à foncer pour combattre l’horrible créature qui semblait avoir du mal à marcher. Peut-être avait-elle besoin d’aider, mais je n’ai pas vraiment eu le droit à mon mot que la demoiselle avait déjà échafaudé un plan. Je hausse les épaules sachant très bien que de toute façon, cette créature n’est pas réelle et même si nous mettions fin à ses jours, cela n’affectera rien ni personne en extérieur de ce monde onirique.
Light avait projeté deux de ses dagues puis avait couru vers ce dernier visant les jambes. Au vu de sa taille, c’était de même une bonne tactique que de le faire tomber. Alors j’attends patiemment. Je pose un genou au sol et attends patiemment l’ouverture qu’elle veut m’offrir. Son arme change soudainement prenant une taille qui ne semble pas corresponde à la demoiselle ce qui m’amène à penser que je peux peut-être aussi changer la nature de ma flèche? Je suis en possession de flèche électrique ce qui ne fera très certainement pas effet sur ce dernier, mais il s’agit d’un rêve, alors peut-être qu’une flèche explosive en pleine poire lui en fera voir de toutes les couleurs.
Light lui coupe une jambe ce qui me permet d’agir. Bien sûr, je ne veux pas que ma compatriote soit touchée par l’explosion, alors je lui signale de s’éloigner d’un simple cri et je laisse ma flèche filer aussitôt qu’elle s’est éloignée de notre proie. La flèche se fiche dans la clavicule de la créature et explose aussitôt. L’être tombe au sol achevé et ne semble pas se relever. Une chance me direz-vous, mais voilà.
« Bon, c’était vraiment moche ce machin. On continue? »
D’ailleurs, avait-on un moyen de forcer le réveil? Est-ce qu’une blessure pouvait nous réveiller? Tant de questionnement, d’ailleurs est-ce qu’une pastille de rêve ça se vendait dans une boutique spécialisée. Je ne me souviens pas d’en avoir jamais acheté, je ne peux donc pas connaître sa provenance.
Enfin, nous poursuivons notre petite enquête, mais soudainement, je sens le sol trembler sous mes pieds qui cesse après quelques secondes. Je regarde vers Light qui ne semble pas affecter de son côté. On continue et cela recommence. Dans l'espace d'un instant, tout semble s'assombrir et j'ai l'impression d'être aspirer dans un puit sans fond comme si je tombais éternellement. C'est une sensation des plus étranges et quand j'ai l'impression d'atteindre le fond, je me réveil en sursaut dans mon lit.
Mon coeur bat rapidement alors que mon corps est recouvert de sueur. Je dois dire que j'ai une sacré migraine. J'essaie de me repérer de vérifier à quel moment de la journée que nous étions, mais il semble toujours faire nuit. Pfiou, avec tout ça, je ne crois pas pouvoir me rendormir.
Un dernier soupir, je me laisse choir sur mon oreille les bras étirés de chaque côté et j'observe le plafond jusqu'au chant des coqs.