OWAIN MOORHELL
Sexe : masculin.
Surnom : aucun à sa connaissance.
Groupe : la garde.
Rang : garde royal, plus particulièrement le garde personnel de la princesse atheas renmyrth.
Orientation sexuelle : bisexuel.
Particularité : plutôt agile, il bouge relativement bien.
Arme de prédilection : owain favorise l'utilisation des lances. il est généralement équipé de deux lances de tailles différentes, la plus longue étant celle de son père tandis que la plus courte lui appartient réellement. il manie aussi les épées, mais il se sent beaucoup plus à l'aise avec les lances.
GÉNIE ;
_ Owain, tel un génie de la lampe est capable d'exhausser trois de vos vœux. La seule contrainte de fonctionnement est que chaque formulation de vœux doit précéder par le murmure du véritable prénom du génie.
_ Le terme formulation n'est pas spécialement comme on pourrait l'imaginer, il n'est pas réellement obligatoire de dire "Owain, je souhaite que tu viennes ici", en vérité seul un "Owain, vient ici" peu convenir à la réalisation d'un vœu.
_ Le génie ne peut être lié qu'à une seule personne à la fois. C'est à dire que tant que la personne actuellement liée n'a pas formulé ses trois désirs, personne ne peut rien exiger.
_ Un lien ne peut prendre fin que par deux façons : les trois vœux formulés ou bien par la mort de la personne actuellement liée.
_ Une personne venant de terminer ses formulations ne peut pas enchaîner sur trois nouveaux vœux, elle sera obligée d'attendre que quelqu'un fasse trois souhaits avant de désirer de nouveau.
_ Un vœu ne peut pas en annuler un autre de façon explicite.
_ Le génie n'est pas magique, Owain ne peut quasiment rien "créer", c'est à dire que chaque vœux sera écouté et exhaussé mais en échange d'une équivalence aléatoire.
_ Ainsi, un vœu dit insignifiant n'aura pas de réelle répercussion, voir même aucune, tandis que plus le désir demande la lune, plus le contre-coup peut-être dangereux.
_ Owain ne peut pas exhausser ses propres désirs par son pouvoir.
Owain c’est l’humour étrange, parfois salace et décapant. Sans le moindre doute dérangé et qui ne peut s’empêcher de lâcher une petite blague (clairement pas drôle) pour détendre l’atmosphère, et cela, même lorsqu’elle n’a clairement pas besoin d’être détendue. Alors au fond de lui, il en vient à s’en persuader que si la princesse lui fausse compagnie, c’est tout bonnement parce qu’elle ne les a pas comprises. Ainsi, à chaque échappée, c’est une petite larme qui prendrait faussement vie au coin de sa vue. Tout cela avant de se rendre à l’évidence, qu’il est dans une merde noire. Alors Owain, on pourrait croire qu’il est idiot. Parce que ça lui arrive de faire l’imbécile avec son rire tellement fort qu’il y parait faux. La vérité est qu’Owain, sans doute beaucoup trop joyeux – ou essayant tant bien que mal de cacher ses réels ressentis – tente de tourner l’ordinaire ennuyant ou les malheurs désastreux à la dérision, dans le seul but d’éviter des moments de stress insignifiant. En fait, cela est principalement dû aux événements de son passé, les sentiments négatifs qu’exposait sa mère à son égard. Owain sait pourquoi aujourd’hui, il possède ce rôle important de garde personnel de la princesse. Il sait pourquoi il n’est plus cet homme dont la motivation était bien implacable, mais qui n’arrivait à rien malgré ses longues heures d’entraînements. Aujourd’hui, sa motivation ne peut pas être remise en question. Il aime le royaume, il aime sa famille royale, il aime son travail. C’est un homme dans un sens, sûr de lui mais qui est capable de se remettre en question lorsque l’envie lui vient. Owain ne prend pas le talent de son père comme acquis, simplement de peur que cela disparaisse du jour au lendemain, comme cela est arrivé à son paternel –bien que sur ce point, c’est entièrement de sa faute. De principe vachement collant, il peut même être comparé à un pinplume à son arbre. Très entreprenant et de nature sociable, Owain est pour ainsi dire. Vachement énervant. Parce que même si vous désirez la quiétude, même si vous ne l’appréciez pas. Ce n’est pas pour autant qu’il vous abandonnera. +++ ; moqueur — observateur — efficace — courageux — hautain — joyeux — narcissique — travailleur — décontracté — séducteur — provocateur — volontaire — vigilant — prétentieux — joyeux — sarcastique. *** Owain n’est pas aux grosses armures où a la surprotection. Plutôt fin et agile, il prône la liberté des mouvements. Pour ainsi dire, il ne porte que le strict minimum. Inconscience ou non, seul l’avenir le lui dira étant donné qu’il n’a jamais été face à des difficultés majeures par ce choix. Mais Owain, c’est surtout le parfait reflet de son père dans sa jeunesse. Une copie quasi-conforme avec cette chevelure ébène et ses yeux au bruns si éclatant qu’ils sembleraient scintiller d’or. Tandis que son visage, où arpente ce nez fin et ces sourcils vaillants seraient hérités de sa mère. Au fond, le garde de la princesse est assez extravagant autant dans ses faits que de son apparence. Bien qu’il semble faire assez attention aux bons soins de sa chevelure. Owain est aussi imposant, autant par sa taille que par sa carrure toujours droite. Un mètre quatre-vingt-dix abordant les quatre-vingt-sept kilos. Plutôt musclé, résultat de son adolescence. Celle où il s’entraînait encore et encore pour se surpasser, pour rendre fier ses parents. Continuellement, athlétique et très sportif. Mais surtout, la totalité de son corps qui abrite d’innombrables cicatrices. |
Histoire
Un désir profond, une remarque meurtrière. Des propos qui s'entrechoquent, comme poignardant son cœur d'adolescent.
Son père était commandant de la garde royale du Royaume d'Aryon. Un homme profondément bon, au caractère fort qui n'avait pourtant jamais piétiné les efforts de son jeune fils. Parce qu'il le savait motivé, parce qu'il savait que son désir de rejoindre la garde avait germé dans son esprit bien avant la dizaine. Parce que pour , son père était une sorte de marque, un genre d'héros dont il était fier et auquel il aurait désiré ressembler. Et cet homme, malgré tout le travail qui l'accommodait, avait observé son fils notamment durant ses premières années d'internat. Il avait vue à quel point la motivation était présente, bien que son enfant n'était pas meilleur que les autres, qu'il n'était pas autant prédisposé que les autres. Jamais l'homme n'aurait pu rejeter les efforts considérables que faisant son sang. Parce qu'il travaillait, s'entraînait beaucoup plus que les autres de son âge pour combler ses lacunes. Bien que cela ne fut sans succès. était potable, tout au plus. S'occuperait sans doute de la protection d'une ruelle de la ville, mais n'irait jamais plus loin. Car malgré tous les efforts entrepris, il n'arrivait pas à s'affirmer face aux compétences de ses camarades.
Alors, de telle paroles sortant de la bouche de sa génitrice, l’avait totalement désemparé. Comme une trahison. Elle qui pourtant, était de mot bien plus rude que son mari. Jamais n’avait pu imaginer entendre une telle remarque, lui qui faisait tout son possible pour que ses parents soient fiers de lui et de ses actes.
Mais le monde nous apprend qu'il est nécessaire de contenir ses paroles. Que chaque mot, chaque forme à son importance. Un vœu formulé, tel avait été l'accomplissement de cette remarque. Un blâme, simplement injuste et blessant, transformé et modelé pour exister, comme elle l'avait tant désiré.
Alors, du jour au lendemain qui atteignait tout juste la moyenne dans les différents exercices de maniement, était devenu un autre homme. Presque parfait, une maîtrise qui ne peut en tant normale qu'être acquisse avec de nombreuses années d'expérience. Bien trop talentueux, notamment dans l'usage des lances. Un style presque conforme, presque semblable à une danse qui était bien connue dans le royaume. Le doux reflet du commandant Moorhell.
Ainsi dans un premier tant, on avait imaginé un genre de copycat, dont le pouvoir n'avait jamais pu être vraiment perceptible. Qu'après des années à observer, il avait finalement acquis le meilleur de chacun. Mais la réalité était bien tout autre, car de l'autre côté, l'homme qui semblait lui avoir tout appris, avait sans raison aucune. Tout perdu.
Quasiment insignifiant, comme s'il n'en avait jamais été capable. Le paternel qui ne disposait plus d'aucune capacité, presque incapable de tenir une épée ou bien de manier son habituelle lance. Il n'était plus rien. Plus digne d'être commandant malgré son ardent désir de servir le couple royal. Alors le patriarche Moorhell avait abandonné ses fonctions face à l'évidence même, ses années d'expérience avaient disparu, récupéré par son fils.
devenu aussi talentueux que son père.
Sa mère, couturière plus ou moins reconnue, car elle s’occupait principalement de l’habillage de prestigieuse famille, n’avait jamais compris cette fixation qui existait chez les hommes de son existence. C’était pourtant bien d’un garde royal, primé à un grand avenir de par son talent dont elle était tombée amoureuse. Lui qui ne jugerait que pour son allégeance pour le royaume de sa naissance, elle vendait toujours son amour pour cette consistance et cette force d’esprit. Parce que l’homme qui l’avait charmé était loyal et déterminé, sachant pertinemment où la vie allait le mener.
Alors, elle avait été désemparée. Désemparée de le voir ainsi, presque anéantis. Du moins, c’est de cette façon qu’elle se le représentait. Car son époux, dorénavant sans but essayait de se rendre utile dans les œuvres de sa femme, ou bien passait à la caserne voir son fils afin de lui donner des conseils. En vérité, il l’avait accepté. Inconsciemment, ou peut-être moins qu’il ne le pensait car l’ancien commandant poussait de plus en plus son fils, allant même jusqu’à le pousser dans ses choix d’avenirs.
En l’occurrence, lorsque sa seizième année prit forme. qui était plus dans le désir initial, celui d’être simple garde de la ville, fut poussé par son père de rejoindre la garde royale. Le talent – du moins, l’ancien talent de son paternel, n’avait que pour but de protéger la famille royale. Alors il était évident et sans la moindre discussion possible, que serait au bon service de leur protection.
Évolution sans précédent, inimaginée qui plus est. Comme capable de douter de lui-même, car après tout, rien ne lui appartenait réellement. Mais l’évolution continuelle dont avait fait preuve, le qualifia immédiatement comme garde royale dans l’entourage de la jeune princesse à peine âgée de la dizaine.
Le pouvoir de , personne n’avait réellement réussi à le comprendre. Parce qu’il semblait avoir absorbé les capacités de son père, mais ça s’arrêtait là. Il n’y avait eu rien d’autre, rien d’extravagant. Sa mère qui semblait l’ignorer, tandis que son père était constamment sur son dos. Et ce ne fut finalement, que vers sa vingtaine que la réalité tomba. Son père qui avait trouvé une dame dont le pouvoir était de « savoir » celui d’autrui. Trois vœux. Qui en l’occurrence, n’était pas encore achevé tant la mère semblait surveiller ses paroles en présence de son fils, compte tenu des événements passés.
Entre temps, qui avait été gradé. De garde de l’entourage de la princesse, il était devenu son garde personnel. Celui de la princesse. Dans les faits, il ne devait répondre que d’elle, voyant sans doute les paroles d’Atheas Renmyrth comme seuls ordres, n’écoutant personne d’autre. Même si, dans la réalité, il avait bien plus l’impression d’être sa nourrice qui lui courrait après.
, grande fierté de son père. Ô ça oui qu’il en était fier. Au point même qu’il demanda à sa femme d’utiliser son second souhait. Rien de plus simple, comme une ultime carte. garde personnel, protecteur existentiel. Une demande insignifiante dont la contrepartie ne semble pas avoir été considérée – bien qu’en vérité, elle fut déjà récupérée. Le vœu était si simplement tourné, qu’en cas de réel danger, les mots de la princesse seraient dictés. Car si n’était pas capable de lui venir en aide, au point même de sacrifier sa propre vie. Son pouvoir lui, existerait pour sa sauveté.
Mais, bien que l’idée fût bonne. Il existait bien un problème. Quelques choses qui n’avaient jamais été pensées, sans doute parce que la famille Morrhell était trop bonne pour y voir le mal. La mère, qui n’avait plus qu’un dernier souhait pour être libérer et ainsi, de rendre possible un possible désir de la princesse. Or, le pouvoir de n’était pas passé inaperçu. Des gens, tout autant mal intentionné qu’aux idées pures, qui lui tournait autour. Attendant tout simplement le moment. Le moment où ils pourraient souhaiter. Alors, parce qu’il était nécessaire de contrer tout cet égoïsme. L’ultime vœu fut réellement pensée, réfléchit. D’un accord commun avec la totalité de la famille. Si était tant convoité. Il n’avait qu’à disparaître.
qui n’existerait plus, qui n’aurait même jamais existé. Enlevé, supprimé de la mémoire de tout ce qui aurait pu le connaître. rayé de tout un monde, de toute une vie. qui aurait toujours été un autre.
Il était, en vérité, né Owain. Il aurait grandi Owain. C’était ainsi qu’il fût nommé par ses parents le jour de sa naissance.
Owain.
Parce que c’est le seul nom dont il se souvient.
Celui qu'il a toujours possédé.
Source de l'avatar : Diarmuid Ua Duibhne — Fate/Zero
Double compte ? nop !
Comment avez vous découvert le forum ? je tourne autour depuis l'ouverture, mais de base il me semble qu'il s'agit d'un top-site.
Disponibilités : assez variante, souvent là, mais parfois absent.
Quelques mots sur vous ? si vous n'aimez pas les chiens, on ne peut pas s'entendre dsl.
Quelque chose à rajouter ? j'poste vide car je suis au boulot + j'ai la bonne habitude d'edit toutes les 30s pour rajouter quelque chose
Hâte de te valider quand tout sera terminé Et parce que je ne le répète pas assez, si tu as une questions je suis là !
Sinon pour l'avatar ils sont touuuus classe *gros faible pour les bruns* mais c'est vrai que le premier (Diarmuid Ua Duibhne) est particulièrement chouette ! Viril, beau et fort Que demander de plus !?
Héhé, avec un peu de chance, je pourrai t'accompagner dans la """protection""" de la princesse dans pas longtemps
La fiche avance bien, malheureusement pas aussi bien que je le voudrais en tout cas l'histoire et le physique sont terminés, plus qu'à prier que je termine le caractère pour participer à l’événement
J'ai hâte de te voir dans l'entourage d'Atheas (je rajoute le lien sur mon livre de bord à l'occasion ) et je te souhaite bien du courage !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Pense juste à demander une chambre à la CASERNE et à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil !