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[Quête] Mystérieux Feux Follets
Maître du jeuCompte PNJ
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Formalités de la quête
MDJ : @Nayru DalmascaPARTICIPANTS :
@Meryl'tul Zedge Aventurière
@Shir D. de l'Épée Garde
Objectifs : Enquêter sur les feux follets et agir en conséquence
Récompense : 200 cristaux à se partager
ORGANISATION DE LA QUÊTE : Le maître du jeu va vous donner quelques instructions au fur et à mesure du déroulement de la quête et vous devrez répondre chacun votre tour (l'ordre est libre) une fois ou plusieurs fois… Une fois cet objectif atteint, le MDJ fera une nouvelle apparition pour vous en donner des nouvelles et ainsi de suite.
Des feux follets d'une couleur inhabituelle sont apparus dans la Grande Forêt et semblent agresser les voyageurs, c'est à la Guilde d'enquêter dessus et de faire un rapport détaillé.
Depuis une quinzaine de jours, des voyageurs semblent rapporter des faits étranges sur des feux follets. Créatures pourtant inoffensives se contentant d'absorber ce qui a perdu la vie, on rapporte que certains d'entre eux se sont attaqués à des humains bel et bien vivants. On les trouve dans une partie reculée de la Grande Forêt vers le nord-ouest et de nuit. A vous de tirer tout ça au clair.
Début de la quête
Vous démarrez votre quête au Village Perché, plus grand village de la Grande Forêt et lieu de halte de nombreux voyageurs. A vous de voir comment vous vous êtes rendus au village dans un premier temps.
Il fait jour depuis plusieurs heures maintenant. Vous pouvez en profiter pour vous préparer et voir la marche à suivre entre vous. La dernière attaque s'est produite à 10 heures de marche de la Grande Foret au Nord du village.
METEO : Le ciel est couvert mais vous savez que ça ne durera pas, pour le meilleur ou pour le pire.
Prochaine apparition du MDJ quand vous quitterez le Village Perché. N'hésitez pas à MP @Nayru Dalmasca pour signaler que vous êtes prêts à partir.
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Succès : ![[Quête] Mystérieux Feux Follets FFXnyYu](https://i.imgur.com/fFXnyYu.png)
Cristaux : 16637MESSAGES : 2614COULEUR : //InvitéInvité
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Très clairement, Meryl’tul n’avait en aucun cas, prévue que son arrivée, se passerait de la sorte. Comme à son habitude, la rouquine avait d’abord passé des heures à glandouiller à la guilde en attendant que quelque chose d’intéressant se passe. Au bout d’un moment, elle avait fini par en avoir marre et elle se décida à quitter la guilde. Cependant, une annonce attira son œil. Cela parlait d’une attaque de feux follets. Au début, elle semblait un peu perplexe, or la récompense de 200 cristaux, lui fit toute suite changer d’avis. Meryl ne manquait pas vraiment d’argent, mais le fait d’en amasser un peu plus ne lui déplaisait pas non plus. Sans hésiter, la rouquine embarqua l’annonce et prévint ceux qui géraient les quêtes, qu’elle partait faire celle-ci.
« Mademoiselle, vous ne seriez pas seule pour cette quête. Quelqu’un vous rejoindra au village perché. Quand est-ce que vous partez ? »
Et c’est comme cela que Meryl’tul est partie pour le village perché. Elle était partie sans prévenir personne. Que ce soit son frère ou Ryuka. Meryl était un peu partie comme une voleuse peu avant l’aube. La journée de voyage fut longue et éprouvante, mais le bonheur était bien réel quand elle se trouva face à l’entrée du village perché. Elle se dégota une petite auberge non loin du centre du village qui n’était rien d’autre que le plus gros des arbres du coin avec des plateformes tout autour. Pour avoir à éviter de payer sa nuit à l’auberge, Meryl usa de son charme naturel et elle proposa même à l’aubergiste de pousser un peu la chansonnette pour attirer les clients, juste pour la soirée. Le patron accepta l’idée de la rouquine et il lui offrit même le souper, si ce n'était pas magnifique tout cela. Dans une autre vie, Meryl’tul devait être une putain de négociatrice, car personne n’arrivait à lui dire non.
La soirée battait son plein. Les habitants venaient écouter la charmante “ Cantatrice écarlate ” tout en profitant de la nourriture de l’auberge. Meryl’tul fut surprise de voir que certains habitants se souviennent d’elle alors qu’elle était venue ici avec ses frères, il y a de cela plusieurs années. C’était une soirée agréable. Elle avait l’impression d'être comme à la maison, même s’il manquait quelques petites choses. Puis à la fin de son récital, l’aventurière passa le reste de sa soirée et de sa nuit en très charmante compagnie. Je vous épargnerai les détails, mais ils n’ont pas fait que conter fleurette, si vous voyez ce que je veux dire.
Puis aux premiers rayons de l’aube, la rouquine quitta le lit de l’inconnu encore endormi pour rejoindre sa propre chambre. Il fallait qu’elle prépare ses affaires et qu’elle prenne aussi un bon bain bien chaud. Meryl’tul barbota une bonne heure dans l’eau avant d’en sortir et de finir de se préparer. La jeune femme s’habilla avec des vêtements confortable pour la marche. Elle noua ses cheveux de manière à créer deux petits chignons au niveau de sa nuque. Et puis comme, c’est une femme et qu’elle aime être un minimum présentable même en mission, Meryl’tul rehaussa ses lèvres d’un peu de rouge. Puis elle appliqua sur ses poignets ainsi que son cou quelques gouttes de son parfum préféré ; aux lilas et aux groseilles à maquereau. Elle accrocha son fouet en cuir à sa ceinture. Meryl’tul glissa aussi de quoi prodiguer les premiers soins dans les deux pochettes à crocher à cette même ceinture. Une fois qu’elle fut enfin prête, Meryl quitta l’auberge pour rejoindre le centre du village. Elle bâillait, se frottait les yeux. En vrai, elle avait vraiment envie d’aller dormir quelques heures en plus. Cependant, il fallait bien qu’elle enquête sur ces étranges phénomènes. Des cristaux étaient en jeu.
Meryl décolla son dos de l’arbre et s’étira à nouveau. Elle se demandait quand son partenaire allait arriver. Et surtout, elle espérait que ce dernier, ne soit pas le dernier des abruti couplé d’un boulet que ne sait pas se servir de ses dix doigts. De ses yeux bleus azurs, Meryl’tul observa le village prendre vie au fils de minutes d’attente. Quand soudain, une silhouette s’approcha d’elle. La rouquine tourna la tête et de sa bouche s’échappa des mots bien loin de l’élégance dont elle savait faire preuve en temps normal.
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Shir se frotta les yeux comme un enfant refusant d’aller au lit, son esprit s’égarant parmi les souvenirs de sa journée précédente.
Il ne connaissait pas très bien le Village Perché, en voyage exceptionnel pour rendre service à un noble - une bonne occasion de voir un peu de pays et d’élargir son réseau dans le même temps. Une fois sur place, il avait été entraîné par un concours de circonstances malchanceuses dans une aventure - sa première fois. S’il avait maintes fois envié son grand frère Albéric pour toutes les choses qu’il avait eu la chance de pouvoir vivre, Dorian était assailli de quelques doutes devant le fait accompli, un promesse concrète d’action et de dangers.
Sa mission était simple : suivre l’aventurière embauchée par le noble et récupérer un objet magique perdu pendant une agression, s’assurer que tout soit bien fait, simple, efficace… Il se rendit alors compte que malgré sa large culture, ses souvenirs concernant le bestiaire étaient… Lacunaires ? L’Espion espérait que la mercenaire serait bien plus au fait que lui. Après tout, c’était une part de son travail que de connaître et affronter la faune du Royaume, aussi monstrueuse soit-elle. Quoiqu’on lui ait confié que les Feu-Follets étaient en “théorie” inoffensifs.
La découverte du village aérien avait été un émerveillement pour le jeune homme, surpris par l’originalité de l’architecture des lieux. Il n’avait guère eu de peine à se trouver une auberge où passer la nuit - attiré par la musique ambiante et le doux timbre d’une voix enchantant la cime des arbres. Son entrée avait été discrète, oubliable. Sa sortie en revanche… Shir était à peu près sûr que personne dans le bâtiment n’avait pu échapper aux bruits produits par le couple d’un soir. Jamais il n’aurait imaginé autant d’utilités à des bras spirituels…
Averti par le noble, Dorian s’était équipé pour gérer correctement son voyage en forêt, embarquant tout ce qui semblait utile sur la “liste” qu’un aventurier lui avait confiée quand, tout gêné, il avait été forcé d’admettre son ignorance et son besoin d’assistance - à commencer par demander ce qu’il devait prendre avec lui. Chargé comme un aurochs avec son épais sac sur le dos, Shir produisait par instants un capharnaüm de bruits divers tant il avait eu peur de manquer. Ses pas le guidaient naturellement sur les ponts de bois reliant les plateformes entre elles et pour l’occasion, il était accompagné d’un jeune serviteur mandaté leur commanditaire - ce dernier devant s’assurer que les deux partiraient bien ensemble.
Perdu dans ses rêveries, ses pensées à nouveau tournées vers une sublime chute de rein dévoilée ou une poitrine de rêve exposée, il ne put s’empêcher de penser :
~ *J’y pense au point d’en avoir des hallucinations.*
- Messire de l’Épée, voici l’aventurière engagée par monseigneur, il compte sur vous.
Shir resta muet et interdit, balayant la Cantatrice Écarlate de la tête aux pieds, le rouge lui montant aux joues. De toutes les personnes du village, il avait fallu que ce soit elle...
Il ne connaissait pas très bien le Village Perché, en voyage exceptionnel pour rendre service à un noble - une bonne occasion de voir un peu de pays et d’élargir son réseau dans le même temps. Une fois sur place, il avait été entraîné par un concours de circonstances malchanceuses dans une aventure - sa première fois. S’il avait maintes fois envié son grand frère Albéric pour toutes les choses qu’il avait eu la chance de pouvoir vivre, Dorian était assailli de quelques doutes devant le fait accompli, un promesse concrète d’action et de dangers.
Sa mission était simple : suivre l’aventurière embauchée par le noble et récupérer un objet magique perdu pendant une agression, s’assurer que tout soit bien fait, simple, efficace… Il se rendit alors compte que malgré sa large culture, ses souvenirs concernant le bestiaire étaient… Lacunaires ? L’Espion espérait que la mercenaire serait bien plus au fait que lui. Après tout, c’était une part de son travail que de connaître et affronter la faune du Royaume, aussi monstrueuse soit-elle. Quoiqu’on lui ait confié que les Feu-Follets étaient en “théorie” inoffensifs.
La découverte du village aérien avait été un émerveillement pour le jeune homme, surpris par l’originalité de l’architecture des lieux. Il n’avait guère eu de peine à se trouver une auberge où passer la nuit - attiré par la musique ambiante et le doux timbre d’une voix enchantant la cime des arbres. Son entrée avait été discrète, oubliable. Sa sortie en revanche… Shir était à peu près sûr que personne dans le bâtiment n’avait pu échapper aux bruits produits par le couple d’un soir. Jamais il n’aurait imaginé autant d’utilités à des bras spirituels…
Averti par le noble, Dorian s’était équipé pour gérer correctement son voyage en forêt, embarquant tout ce qui semblait utile sur la “liste” qu’un aventurier lui avait confiée quand, tout gêné, il avait été forcé d’admettre son ignorance et son besoin d’assistance - à commencer par demander ce qu’il devait prendre avec lui. Chargé comme un aurochs avec son épais sac sur le dos, Shir produisait par instants un capharnaüm de bruits divers tant il avait eu peur de manquer. Ses pas le guidaient naturellement sur les ponts de bois reliant les plateformes entre elles et pour l’occasion, il était accompagné d’un jeune serviteur mandaté leur commanditaire - ce dernier devant s’assurer que les deux partiraient bien ensemble.
Perdu dans ses rêveries, ses pensées à nouveau tournées vers une sublime chute de rein dévoilée ou une poitrine de rêve exposée, il ne put s’empêcher de penser :
~ *J’y pense au point d’en avoir des hallucinations.*
- Messire de l’Épée, voici l’aventurière engagée par monseigneur, il compte sur vous.
Shir resta muet et interdit, balayant la Cantatrice Écarlate de la tête aux pieds, le rouge lui montant aux joues. De toutes les personnes du village, il avait fallu que ce soit elle...
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La gêne entre les deux était très clairement palpable. Qui aurait cru, une seule seconde que l’homme avec qui elle avait passé la nuit, serait la personne qui l'accompagnerait lors de cette quête. Le commanditaire regarda les deux jeunes gens à tour de rôle ne comprenant pas vraiment ce qu’il avait pu avoir entre eux deux. Meryl’tul remit une de ses mèches rouges derrière son oreille et prit une longue inspiration.
« Oh ! Comme la jolie Cantatrice Écarlate ! Fait remarquer le commanditaire. »
En relevant la tête, Meryl’tul remarqua qu’il portait un sac bien trop grand et sûrement trop lourd pour elle. La jeune femme s’approcha de lui et se glissa dans son dos. Elle laissa échapper un “ Tu permets ? ” Avant de lui faire retirer son sac. Ce dernier fit un truc sourd lorsqu’il percuta le sol. Sans demander son avis, Meryl’tul ouvrit le sac et commença à faire le tri. Elle jeta un paquet de trucs sur le côté qui n’était clairement pas utile. La rouquine se permit par la même occasion de mettre deux ou trois petites choses dans ses poches à elle. Ensuite, elle se redressa et tendit le sac beaucoup plus léger et mieux optimisé au petit blond.
Le commanditaire hocha la tête avec approbation. Meryl’tul réajusta sa ceinture puis observa à nouveau le blondinet. Elle se demanda comment ce dernier allait lui être utile. Il n'était pas bien grand. Plutôt gringalet en y regardant de plus près. Puis le rouge monta aux joues de l’aventurière en repensant la nuit précédente. Il devait cacher des choses et ça la rouquine en était sûre et certaine.
Lorsqu’il était question d’argent, Meryl’tul ne perdait jamais le nord. Et puis elle était bien sympathique de laisser 30 % de la récompense, car elle aurait très bien pu réclamer la totalité. Enfin, revenons à nos moutons, il était peut-être enfin l’heure de partir.
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Fichtre… La gêne que Shir pouvait ressentir dans l’esprit de Meryl ne faisait qu’accentuer son propre malaise, il garda cependant son sérieux et un ton sobre pour répondre :
- Je le suis tout autant. Et je suis convaincu que cette mission se passera merveilleusement bien.
Dorian la laissa vider son sac : l’aventurière était bien plus au fait que lui concernant les voyages, aussi il ne s’offusqua pas qu’elle allège son fardeau. D’ailleurs, l’Espion confiait tout ce qu’elle retirait au serviteur au fur et à mesure, lui “laissant la responsabilité de ses affaires”. Traduction : débrouilles toi pour mettre ça de côté que je récupère tout à mon retour.
- C’est l’idée… Enfin, l’objet c’est ma responsabilité à moi, ma mission personnelle. Concentrez-vous sur le reste. Vous pouvez prendre soixante-dix pourcents de la récompense, ça m’importe peu. Trente me suffisent pour rentrer dans mes frais.
Shir ne négocia pas : il n’avait guère besoin d’argent. S’il n’aurait pas accepté qu’elle récupère la totalité de la récompense, ses principes moraux auraient été les seuls à blâmer, pas sa cupidité. L’Aventurière avait besoin de ce job pour vivre, pour lui, ce n’était que du bonus - sa fortune familiale était suffisante pour couvrir ses frais jusqu’à sa mort.
- Je vous fais confiance concernant la marche à suivre, c’est vous l’experte en aventure : je me contente de vous suivre et de récupérer l’objet, tel est mon travail. Marcher ne me fait pas peur, je passe mes journées à crapahuter dans le palais - je suis rodé à l'exercice, escaliers compris.
Shir se mit en marche, de quoi s’éloigner du serviteur qu’il salua d’un geste de main, laissant la Cantatrice prendre les devants, préférant lui suggérer à part :
- Si vous pouviez aussi me rendre ce que vous avez “emprunté” dans mon sac et qui gonfle vos poches, je vous en saurais gré.
Il se fendit d’un sourire, le regard braqué sur sa compagne du jour : l’esprit de cette dernière n’avait aucun secret pour lui et il était prêt à toutes les éventualités, ses gemmes de pouvoir luisants dans son dos, masquées par ses vêtements d’aventure.
- Je le suis tout autant. Et je suis convaincu que cette mission se passera merveilleusement bien.
Dorian la laissa vider son sac : l’aventurière était bien plus au fait que lui concernant les voyages, aussi il ne s’offusqua pas qu’elle allège son fardeau. D’ailleurs, l’Espion confiait tout ce qu’elle retirait au serviteur au fur et à mesure, lui “laissant la responsabilité de ses affaires”. Traduction : débrouilles toi pour mettre ça de côté que je récupère tout à mon retour.
- C’est l’idée… Enfin, l’objet c’est ma responsabilité à moi, ma mission personnelle. Concentrez-vous sur le reste. Vous pouvez prendre soixante-dix pourcents de la récompense, ça m’importe peu. Trente me suffisent pour rentrer dans mes frais.
Shir ne négocia pas : il n’avait guère besoin d’argent. S’il n’aurait pas accepté qu’elle récupère la totalité de la récompense, ses principes moraux auraient été les seuls à blâmer, pas sa cupidité. L’Aventurière avait besoin de ce job pour vivre, pour lui, ce n’était que du bonus - sa fortune familiale était suffisante pour couvrir ses frais jusqu’à sa mort.
- Je vous fais confiance concernant la marche à suivre, c’est vous l’experte en aventure : je me contente de vous suivre et de récupérer l’objet, tel est mon travail. Marcher ne me fait pas peur, je passe mes journées à crapahuter dans le palais - je suis rodé à l'exercice, escaliers compris.
Shir se mit en marche, de quoi s’éloigner du serviteur qu’il salua d’un geste de main, laissant la Cantatrice prendre les devants, préférant lui suggérer à part :
- Si vous pouviez aussi me rendre ce que vous avez “emprunté” dans mon sac et qui gonfle vos poches, je vous en saurais gré.
Il se fendit d’un sourire, le regard braqué sur sa compagne du jour : l’esprit de cette dernière n’avait aucun secret pour lui et il était prêt à toutes les éventualités, ses gemmes de pouvoir luisants dans son dos, masquées par ses vêtements d’aventure.
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