Léliana Shadowrunner
Lili c'est plus court
En quelques mots...
Catégorie : Autre
Lorsque l’esprit de Lili est transféré dans un animal, son corps devient alors tout simplement sans vie, comme si elle était morte, et de ce fait, elle est donc sans défense pour quiconque cherchera à lui faire du mal. Elle devient aussi sujette à l’hypothermie ou à l’hyperthermie puisque son corps ne régule plus sa température (a toujours quelque chose lui permettant de se couvrir dans ses affaire).
Son pouvoir n’a pas une durée illimité. Actuellement, elle ne tient au maximum que trois heures environ pour les plus petits, dans le cas où elle transfère son esprit dans des animaux de moins de 5 kg. Pour des animaux de moins de 20 kg, elle peut tenir à peine une heure pour le plus gros. Concernant les animaux de plus gros gabarit, elle n’y arrive pas encore.
Pour que son esprit reprenne place dans son corps, plusieurs solution s’offre à elle :
• Elle peut décider de retourner auprès de son corps en contrôlant l’animal qui, une fois à son contact libèrera l’esprit de la jeune fille.
• La seconde solution est d’arriver à sa limite de temps qui change en fonction du gabarit de l’animal.
• Et enfin, si l’animal est tué pour x ou y raison, l’esprit de Lili repartira naturellement vers son corps.
Les répercussions sont simples, la demoiselle sera plus ou moins fatiguée. Plus le transfert aura duré et plus elle ressentira le besoin de se poser voire de dormir. Lorsqu’elle atteint sa limite et que son âme est donc forcée de revenir d’elle-même dans son corps, la jeune fille aura beau vouloir l’inverse, son corps ne lui laissera aucun autre choix que de dormir et ce, pendant au minimum trente minutes. De plus, elle devra forcément prendre attention à remonter ou baisser sa température en fonction du temps extérieur si personne n’y a pris attention.
Cette limite ne temps ne correspond pas juste à un transfert seul et unique, elle peut très bien transférer son esprit plusieurs fois dans la journée, mais elle doit prendre en compte la durée des précédents transferts si elle ne veut pas atteindre sa limite et subir les répercussions dictées ci-dessus. Lorsqu’elle atteint sa limite, elle devra attendre un délai de douze heures avant de pouvoir réactiver son pouvoir.
Malheureusement, cela lui amène un petit, voire un gros défaut, elle a beaucoup de difficulté à mentir. Enfin… elle peut bien le faire, mais comment dire que cela se sentira du fait de son rire gêné, de son regard qui fuira le votre ou encore d’un soudain changement de discussion. Peut-être qu’une personne qui ne la connait pas pourra n’y voir que du feu, mais dès lors qu’on la connait un minimum, ce sera presque impossible pour elle de vous faire gober quoi que ce soit. A l’inverse, un peu crédule, elle a tendance à croire facilement ce qu’on lui raconte… Si vous y mettez un peu du vôtre, vous n’aurez pas beaucoup de mal à lui faire croire des choses qui pourrait paraître ridicule pour une autre personne, mais c’est aussi ce qui fait son charme, non ?
Elle n’est pas très épaisse, ne pèse qu’une cinquantaine de kilos, mais n’allez pas croire que Léliana est une femme frêle et fragile, vous seriez surpris. La demoiselle, sur le modèle de son frère, souhaite devenir aventurière et de ce fait, elle s’est entrainée. Bon, elle n’a pas la carrure d’un gros bras, mais elle est endurante, peut marcher des heures sans mal, porter du poids sans problème et viser un ennemi avec son arc et ses flèches ne lui pose pas de problème, enfin si la cible est mouvante, c’est quand même une autre histoire… mais elle ne le dira pas, c’est quand même gênant… elle s’entraine encore dur.
Léliana, c’est une jeune femme pleine de vie, et surtout qui a envie de partir à l’aventure, de visiter les contrées de ce monde pour rencontrer des gens, découvrir des secrets que personne n’a encore découvert, tout ça lui semble tellement excitant. Elle s’émerveille de chaque chose qu’elle apprend et qu’elle découvre, mais elle n’en a jamais assez. Toujours motivée, toujours dynamique, il lui est difficile de vouloir s’arrêter. De ce fait, elle dépasse souvent ses limites et en conséquence, elle doit parfois rester allongée une demi-journée, voire la journée complète à cause d’une poussée de fièvre. Sa volonté est forte, mais par moment, son corps lui rappelle qu’elle ne peut pas tout faire et qu’il faut parfois faire des pauses, elle n’a que dix-huit ans et donc elle a toute la vie devant elle. Mais que voulez-vous, elle ne fait pas vraiment attention à elle, une poussée de fièvre ce n’est pas grande chose comparé à ce monde qui se présente à elle… Oui, elle est un peu butée et bornée, il est difficile de lui faire comprendre certaine chose : quand elle a une idée en tête, elle ne l’a pas ailleurs. C’est parfois exaspérant et énervant pour les autres, elle le sait bien, mais il est difficile de changer.
Plutôt sociable, elle n’a pas vraiment de difficulté à aller vers les gens, à entamer la conversation, à poser milles et unes questions non plus, car oui… mademoiselle peut parfois se montrer très curieuse jusqu’à peut-être être gênante et agaçante. Elle n’a pas vraiment de limite, donc il ne faut pas hésiter à lui en imposer si vous ne voulez pas qu’elle vous embête trop longtemps. Du même ordre, elle peut parfois se montrer un peu collante et… assez tactile lorsqu’elle apprécie quelqu’un. N’allez pas y voir une quelconque façon de draguer ou quoi, rien ne tout ça ne l’intéresse, c’est juste sa façon d’être : une petite tape dans le dos, un câlin enfantin, se tenir par le bras sont des choses qu’elle fait assez naturellement. Evidemment, elle ne fera pas ça avec des inconnus, mais dès qu’elle commencera à se sentir à l’aise avec une personne, ces gestes viendront naturellement. Donc encore une fois, il ne faut pas hésiter à lui faire comprendre que cela vous dérange, même si… il est fort probable qu’elle le fasse sans faire attention à certains moments.
Malgré ce côté enjoué qu’elle vous dévoilera sans mal, derrière cette personnalité parfois trop impulsive s’enfouie une jeune femme qui a peur et déteste se sentir rejeté et qui au fond, a très peur d’une chose, de l’abandon. Pire encore, de perdre son frère. Elle ne s’en cache pas, elle l’aime très fort et a du mal à le voir partir ; elle regrette parfois son enfance où elle pouvait rester avec lui la journée entière, et parfois même la nuit. Sa présence, cette sécurité qu’elle ressent à ses côtés, tout ça, c’est une chose qui lui rappelle qu’elle n’est pas encore vraiment une adulte. Mais a-t-elle vraiment envie de l’être. Ce sentiment d’insouciance du fait d’avoir une personne toujours de notre côté, c’est si doux que ça devient difficile de s’en défaire.
Les jours, les semaines, les mois passent et avec eux, tes souvenirs s’effacent pour se remplacer par de nouveau. Les visages de tes parents sont de moins en moins net et tu finis par complètement oublier. Le manque que tu ressentais au début a lui aussi disparu et l’affection dont tu as besoin, tu le trouves désormais chez les personnes qui vous ont recueilli toi et ton frère.
Tu as cinq ans. Dans un élan d’excitation, tu décides de courir rejoindre ton grand frère qui se trouve dehors, mais ton corps a encore parfois du mal à se mouvoir de manière correcte : tes pieds s’emmêlent et tu finis par lamentablement tomber en avant. Plus de peur que de mal, mais tes larmes commencent d’elles même à couler. C’est alors qu’une étreinte chaleureuse vient t’aider à te relever, te prendre dans ses bras pour venir te regarder avec inquiétude : « Ça va Lili, tu ne t’es pas fait mal ? ». C’est Breanne, ta maman adoptive qui n’est que douceur et tendresse et que tu appelles sans une once d’hésitation « maman ». De ce petit geste affectif, tes larmes s’arrêtent de couler presque aussi facilement qu’elles se sont mises à couler, tu viens alors l’étreindre aussi fort que tu le peux et d’un signe de tête, tu lui fais comprendre que tout va bien. Elle t’accompagne ensuite dehors et te repose par terre. Un peu gênée de t’être ainsi mise à pleurer, tu hésites à la quitter, mais tu veux tout de même aller voir Red et Laisren qui sont dans la cour, c’est un grand dilemme pour toi. Mais Breanne, d’un geste doux te pousse un peu pour t’encourager à y aller et il ne t’en faut pas plus pour te remettre à courir en direction de ton frère et l’homme que tu vois désormais comme étant ton père.
Tu as dix ans. Tu adores observer ton frère s’entrainer et ça te donne envie de faire comme lui. Peut-être pas simple besoin d’imiter la personne que tu visualises comme un modèle, ou bien par réelle envie, tu ne es bien incapable de savir. Mais de toute façon, quand tu le dis haut et fort, on te répond tout le temps que tu es trop jeune et qu’il te faut attendre d’être plus grande, que ce n’est pas facile, que c’est dangereux etc. A ces paroles, tu fais la moue, tu ne comprends pas, ou plutôt tu ne veux pas comprendre. Tu es têtue, ce n’est pas un non qui va te faire lâcher cette idée.
Un après-midi, pensant qu’il n’y a personne, tu te faufiles discrètement dans l’atelier de forgerie et tu fouilles la pièce du regard à la recherche d’un objet pour t’entrainer. Tu vois alors quelques épées posées sur le bords du mur et lorsque tu tends la main pour en attraper une, la voix de ton frère se fait entendre : « Qu’est ce que tu fais là ?! ». Surprise, ta main pousse l’épée que tu cherchais à attraper qui, dans sa chute vient faire tomber toutes les autres dans un brouhaha fracassant. Tu te tournes alors et d’un regard effrayé, tu dis sans hésiter « J’ai rien fait, c’est pas moi !! ». Un mensonge de toute évidence puisque tu es la seule dans la pièce, et cela n’échappe pas à ton frère qui réplique presque instantanément : « Comment ça c'est pas toi ?! Il n'y a que toi ici !! ». Il vient à ton niveau pour t’attraper les joues et les étirer avant de reprendre à nouveau la parole pour te sermonner : « Je t'ai déjà dit de ne pas venir jouer dans l'atelier, il y a pleins de choses avec lesquelles tu pourrais te blesser ! ». Tu restes silencieuse et baissant les yeux, tu évites son regard. Quand il te demande la raison de ta venue ici, tu hésites un peu et tu finis par ouvrir la bouche : « Je. C’est parce que. Je veux aussi devenir aventurière… » dis-tu toujours d’une mine sombre « je voulais pas tout casser grand frère, je le jure ! » finis-tu par affirmer en levant les yeux vers son visage. Mais encore une fois, il te dit que tu es trop jeune, pas assez forte et il n’a pas vraiment tort, au fond de toi tu le sais bien… Déçue, tu affiches une grimace de mécontentement, mais alors sa voix résonne à nouveau dans l’atelier : « Si tu veux vraiment devenir aventurière comme tu le prétends, je t'apprendrais plutôt à tirer à l'arc, mais pas avant tes douze ans, après ça je t'apprendrais ! ». Tes yeux se mettent alors à pétiller et un sourire s’étire presque involontairement sur ton visage : « C’est vrai, douze ans grand frère ?! Douze ans c’est dans pas longtemps, hein ?! J’ai dix ans là alors c’est bientôt c’est ça ?! » dis-tu en lui prenant la main et la secouant vigoureusement montrant ainsi la joie que ses mots te font ressentir. Tu finis par l’enlacer tout en le remerciant. Il ne t’en fallait pas beaucoup pour te satisfaire finalement.
Tu as 15 ans. Comme promis, tu apprends désormais le tir à l’arc depuis quelques années, mais bien que motivée, l’assiduité n’est pas une qualité bien marquée chez toi. Tu manques de travail et viser est loin d’être un talent inné chez toi. Il te faut encore travailler mais… tu as cette vilaine habitude de tout poser en plan pour vadrouiller de gauche à droite, c’est tellement plus excitant que de sans cesse décocher des flèches, les chercher, recommencer…
Vadrouiller dans les forêts avoisinantes, mais sans jamais trop t’éloigner de la maison, tu l’avais promis à ton frère et tes parents adoptifs. Pour ne pas changer, cet après-midi aussi tu poses ton arcs et tes flèches afin de te balader mais ne voulant pas trop t’éloigner, tu finis par te poser contre un arbre. Tu restes là, sans faire de bruit et regardes simplement l’horizon jusqu’à être interpellé par un petit rongeur qui s’approche de toi. Il ne semble pas conscient de ta présence ou du moins ne se montre pas apeuré de celle-ci. Finalement, tu décides de bouger un bras et surpris, l’animal se crispe et te regarde fixement. Soudain, tu te sens comme emporter, une sensation étrange qui n’est ni agréable, ni gênante. Juste étrange. Puis lorsque tu ouvres les yeux, tu vois ton corps étendu en face de toi, inerte qui se laisse glisser du tronc sur lequel il était adossé. Tu regardes autour de toi, et tu comprends que tu te trouves dans le corps du rongeur… tu paniques et tu te mets à bouger à vive allures tout en réfléchissant. Il se passe quoi, là ?!! (oui faut imaginer un petit rongeur qui tourne sur lui-même, et qui se met à faire des allers-retours paniqués.) Peut-être qu’il te faut aller voir ton frère ?! Lui il saura bien ce qu’il se passe non ?! Mais… ton corps, il est là… tu ne peux pas non plus le laisser seul… Dans la panique, de tes pattes de rongeur, tu marches alors sur ta main et de nouveau, tu ressens cette sensation de transport pour enfin rouvrir les yeux et remarquer que tu te trouves de nouveau dans ton corps.
Après cette mésaventure, on t’a expliqué les choses, qu’il s’agissait de ton pouvoir qui s’était éveillé, puis avec le temps, tu as découvert comment l’utiliser, son fonctionnement et ses risques. Toi qui étais jalouse du pouvoir de ton frère, désormais, tu préfères largement le tien. Il te semble empli de possibilité et de choses incroyables à faire et à essayer, c’est si excitant ! Et puis tu as la sensation, non, la conviction qu’il te saura utile en tant qu’aventurière.
L’année de tes dix-huit ans a été compliquée, voir ton frère s’en aller n’a pas été la chose la plus facile pour toi. Tes parents adoptifs bien que présents, ne comblaient pas ce manque, ce petit quelque chose que tu ne retrouvais que quand tu pouvais le voir. Il t’apportait une assurance et une sécurité qui s’en est allé lorsqu’il est parti. C’est aussi à ce moment-là où tu pris conscience qu’être aventurier n’était peut-être pas que du positif puisqu’il allait très certainement se mettre en danger. Mais cela ne changea rien à ta décision puisque tu voulais l’accompagner. Non ! Toi aussi tu voulais partir à l’aventure tout comme lui, et pour ça, il te fallait encore patienter quelques mois, étant donné la promesse que tu avais faite, celle d’attendre d’avoir dix-huit ans, mais ce jour arriva finalement très vite.
Te voilà prête pour partir à l’aventure.
Côté HRP
Et quelques petites questions pour les curieux !
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? De pouvoir mettre la journée en pause parce que le temps passe trop vite !
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Je pense que oui !
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Je crois que je testerai mon pouvoir magique et que j'irai voir les pouvoirs de tout le monde parce que c'est trop cool (oui je suis une enfant)
Comment as-tu connu le forum ? Je pense qu'à une époque, je devais avoir fait une demande de partenariat, ou l'inverse mais c'était il y a longtemps :sisi:
Un truc à rajouter ? Si on pouvait me changer le pseudo par : « Léliana Shadowrunner », ce serait super, merci !! =D
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- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♀[/size][/color] [b]SOURCE EN MAJUSCULE[/b], Personnage @"Pseudo complet"
Pour un personnage féminin :
[color=#ff3366][size=16]♂[/size][/color] [b]VOCALOID[/b], Hatsune Miku @"Léliana Shadowrunner"
Amuse-toi bien parmi nous et bon courage pour la rédaction de ton histoire. =D
Ton pseudo et ton graph me dit quelque chose on a du se croiser sur un forum de graphisme
En tout cas, côté perso tout est nickel !
Voici ton accès au forum ! Au plaisir de RP avec toi
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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