Fen'Aag Morrigan
Coursière royale
En quelques mots...
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Qualités : Amicale, prudente, drôle à ses dépens, rusée, légère de caractère, loyale, discrète lorsqu'il le faut et une endurance à en faire pâlir les athlètes les plus entraînés.
Défauts : Lâche, influençable, panique très vite, parfois paranoïaque, parfois trop bruyante au goût du public, imprévisible
Fun Fact : Elle chante sacrément bien et elle en est très fière.
Armes et combat en général : Elle ne sait manier aucune arme, on ne la verra certainement jamais se battre et c'est bien mieux ainsi, surtout pour elle.
Catégorie : Déplacement
Permet à Morrigan de flotter sur l'air comme bon lui semble. Dépendamment de l'altitude et de la vitesse à laquelle elle va (qui correspond à sa propre vitesse de course), l'effort physique pour maintenir sa lévitation sera plus ou moins important. On peut considérer qu'elle s'épuise à la même vitesse que si elle courait ou marchait à la vitesse correspondante au sol, lorsqu'elle se situe à basse altitude (<50m). En moyenne, elle peut atteindre les 200m d'altitude sans s'épuiser de trop. A haute altitude, au délà de ces 200 mètres, l'effort devient bien plus intense, notamment avec le vent qui s'agite plus fort à partir de ces hauteurs. S'étant déjà presque évanouie en envol après avoir essayé de tester ses limites, elle s'est imposée une règle de sécurité de ne jamais dépasser les 300m, afin de pouvoir réassurer un atterrissage en douceur derrière.
Elle estime être capable de monter au maximum à 500m en un envol, mais elle ne compte pas faire l'expérience, par peur de redescendre tête la première. La durée cumulée de vol ne peut dépasser deux heures, délai réinitialisé après que Morrigan ait dormi pendant au moins six heures.
En outre, ce pouvoir a, et ce depuis sa naissance, toujours rendu son poids très léger par rapport aux autres humains. Ceci est une des raisons principales pour lesquelles elle ne cherche jamais à se battre, une poussée suffit à l'envoyer valser.
A Noter : Cette capacité est bien plus facile à utiliser lorsqu'elle a un certain élan, demeurer statique pour monter droit vers le ciel lui demande bien plus d'effort que d'enchaîner un envol après une course de préparation.
Elle n'est pas exactement dénuée de qualité, mais on pourrait rêver d'avoir meilleur soutien dans les situations dangereuses. Son statut de coursière royale n'est pas peu mérité, vue son efficacité et la singularité de son don, mais elle n'a rien d'une guerrière et la fuite restera selon elle, la meilleure option quoi qu'il advienne. Il lui arrive parfois de voir des complots là où il n'y en a pas, côté paranoïaque qui lui vaut parfois l'indifférence de la noblesse quant aux informations qu'elle délivre. Superstitieuse, elle voit des signes divins partout, et grande croyante en Lucy, elle les prend très au sérieux bien qu'elle invente la plupart.
Sur une note plus positive, car oui, elle demeure tout de même une belle personne malgré son manque de tripes. Très amicale et empathique, Morrigan est également du genre à trop s'inquiéter du bien-être d'autrui, tout en relatant qu'elle avait connu telle ou telle personne qui avait eu un vécu similaire et à quel point c'était horrible ... le tout s'étalant souvent sur quelques bonnes minutes. L'ennui, avec elle, c'est qu'elle s'attache parfois vite, et s'investit trop dans les individus qu'elle rencontre, enchaînant ainsi les déceptions qui ont tendance à la dévaster, émotive qu'elle est.
Espiègle et légère, elle aime prendre la vie comme l'opportunité continue de rencontrer des personnes avec qui parler ... quand bien même elle parle bien souvent plus d'elle et de ses propres expériences qu'autre chose. Maladroite comme personne d'autre au quotidien, elle est une véritable source de problèmes, un aimant à ennuis. Inutile de chercher à lui faire assumer ses actes, elle se trouve toujours de bonnes excuses de toute manière. Ou des excuses absurdes, mais peu lui importe.
Physique : Le corps de Morrigan est aussi aérien que son attitude, plutôt petite, autour du mètre 55, elle est bien contente de pouvoir se grandir en décollant du sol. Pareillement, son poids exagérément léger, grandement influencé par son pouvoir ne dépasse pas les 30 kg, ce qui ne l'empêche pas d'être pourtant pourvue d'un physique dessiné et assez développé par endroits, notamment au niveau des jambes - le métier oblige. Ses abdominaux bénéficient eux aussi de cette sécheresse, mais le haut de son corps, bras compris, n'a clairement rien d'admirable. Elle peut cependant se vanter de ne pas avoir le moindre gramme de graisse sous son épiderme.
Au niveau du visage, on peut remarquer la même finesse dans tous ses traits, comme un tracé dessiné à la pointe d'une plume. Elle noue le plus souvent ses cheveux châtains clairs en deux longues liasses nouées qu'elle laisse couler devant ses épaules. Ses yeux d'un vert profond se confondent parfois avec la couleur de ses mèches, mais à la lumière, ses pupilles brillent à la manière de jades sous le soleil. Son expression est le plus souvent décontractée, munie d'un sourire qui peut paraître aussi fin qu'idiot.
Quant à ses habitudes vestimentaires, elle se contente du plus simple, mais toujours avec un capuchon, quand bien même il ne tient pas en l'air. En revanche et pour des raisons évidentes, elle ne porte jamais de robes ou de jupes. Elle tient à son cou, un collier aux aspects primitifs, orné d'un rubis, souvenir familial duquel elle ne se sépare jamais et qui lui est extrêmement cher.
Elle ne versa pas une larme lorsque sa mère succomba à son fléau, personne ne vint pour l'enterrer, alors la jeune femme dut la traîner elle-même hors du domicile, pour l'enterrer sous un monticule de terre, à côté de leur petit préau délabré. Seule sous son toit, mais libre du danger domicile, Morrigan se mit à s'adonner à un travail plus honnête, mais très irrégulier. Elle servait de lien entre les personnes de différentes régions, de messagère pour les plus démunis. Sans cheval mais avec un don infiniment plus précieux, elle passait les reliefs avec bien plus de facilité que toute autre personne. Au cours de cette expérience, elle acquit une véritable confiance en elle, au niveau social, puisque chaque personne lui rendait un sourire pour chaque service rendu.
Ayant récupéré le médaillon de son père qu'il avait trouvé par hasard au fond d'un tonnelet, elle le garda avec elle à partir de ses quatorze ans, en hommage à la déesse de la chance. Cinq ans durant, elle le supporta à sa gorge sans qu'aucun miracle ne lui vienne, sans qu'aucune aubaine ne lui apparaisse à elle qui ne pouvait compter que sur ça pour espérer un jour sortir de sa pauvre situation. Mais, à ses dix-neuf ans, alors qu'elle se baladait dans les avenues des quartiers moyens, elle entendit ce qui lui sembla d'abord comme des murmures, puis de l'affolement, mélangé à de la colère avant que de lourds pas ne viennent se rapprocher d'elle. Il faisait nuit, entendant les claquements de bottes qui se rapprochait d'elle, la jeune femme se cacha immédiatement derrière un arbre sur sa droite. Remarquant sa lourde respiration paniquée, elle tenta de boucher ses lèvres de sa paume, puis risqua un regard par-dessus les broussailles.
Le silence était revenu, au fond de l'allée, deux silhouettes s'écartaient avec une hâte précipitée. Morrigan sortit doucement de sa cachette, s'approchant de la ruelle. Par endroits, le sol adhérait à ses bottes en des bruits visqueux, l'obscurité ne permettait pas de voir ce qu'elle foulait, mais sa silhouette recroquevillée sous son capuchon laissait comprendre qu'elle avait bien deviné de quoi il s'agissait. Approchant avec une prudence manifeste, elle se figea soudainement, lorsqu'elle entendit des bruits de gorge écoeurants. Discernant un appel à l'aide entre les gargouillements, elle pressa le pas. La lumière mourante d'une lanterne brisée révéla des reflets aux nuances écarlates peints sur une toile de chair fendue.
- Lucy me protège ... bon sang ! Oh, par la déesse dites-moi que vous êtes encore en vie. Sa respiration se coupa, écoutant s'il y avait un souffle de vie chez la victime.- Vous l'êtes ! D'accord ... d'accord. Qu'est-ce que je fais ? Qu'est-ce que je fais ?!
Tandis qu'elle cherchait des yeux une solution autour du blessé, ce fut ce dernier qui réagit en premier. Levant la main, il tendit une missive parée du sceau royal à la jeune femme. Murmurant faiblement, il indiqua entre deux expirations agonisantes.
- Au ... palais.
- La garde !
Ecarquillant des yeux remplis d'anxiété comme d'espoir, elle prit le message et s'envola précipitamment en direction des quartiers royaux. Jamais elle n'avait volé aussi vite, mais une fois arrivée au palais, ses pieds retouchèrent le sol et des gardes lui barraient la route.
- J'aitrouvéuncoursierroyalmourant, il-il-il ...
Son débit de parole s'était magistralement accéléré, aussi, voyant sa mine pâle et effrayée, l'un des gardes l'invita à se calmer et à respirer. Obéissant aveuglément, et exagérant ses inspirations par la même, elle parvint finalement à expliquer la situation. Sous l'impulsion de son confrère, l'un des soldats descendit les marches du palais, en direction de la ruelle dont Morrigan avait relevé le nom. Blanche comme la mort, elle le regarda s'écarter, avant de se retourner vers le militaire restant.
- J'ai ... j'ai un message pour la couronne.
Le garde, interloqué, la considéra d'une mine suspicieuse. Avec un air plus sec, il la somma d'attendre ici, avant d'héler l'un de ses confrères, lui ordonnant d'aller chercher un homme dont elle ne retint pas le prénom. Le soldat devant elle en profita pour l'interroger sur tous les détails de l'agression à laquelle elle avait assisté, ce qu'elle fit, réenchérissant toujours de détails inutiles. Elle avait peur d'oublier de mentionner quelque chose d'essentiel, alors elle sentait qu'elle devait absolument tout dire. Au bout d'un moment, la personne qu'ils étaient partis chercher les rejoint, se présentant à elle comme le scribe du palais.
- Si vous voulez bien me confier votre message, jeune femme.
Fouillant dans les plis de sa cape, elle sortit le rouleau qu'elle tendit au vieil homme. Celui-ci le déplia, commença à le lire, avant de relever un regard sceptique sur Morrigan.
- Ce n'était pas de vos mains que j'étais censé recevoir ceci. Qu'en est-il du coursier habituel ?
- Elle affirme qu'elle l'a trouvé blessé, à côté de l'Allée des Alouettes.
- Quand est-ce arrivé ?
- Il y a quinze minutes ... messire.
Il confia la missive au garde, avant d'avancer vers la messagère, son air sceptique désormais renforcé d'un air méfiant.
- C'est impossible. Ces quartiers sont à au moins une demi-heure de course d'ici, même le plus rapide de nos coursiers ne pourrait pas couvrir une si grande distance en si peu de temps.
- ... Elle hésita, relevant alors doucement la tête avec un air incertain. Lequel de vos messagers la couvre à vol d'oiseau ?
Un mouvement de recul souligna l'étonnement du vieillard, qui d'un ton sévère, ordonna.
- Reculez et montrez-moi.
Elle s'exécuta, sortant des dalles qui délimitaient le palais et qui semblaient l'empêcher de décoller. Ses chevilles se mirent alors à flotter à plusieurs pieds du sol. L'expression fade du scribe ne laissa d'abord rien transparaître, mais le sourire en coin qu'il aborda alors, Morrigan aurait juré qu'elle avait fait sensation.
- Qu'en est-il des autres lettres ?
- Les autres ? Quelles autres ?
- Jaël n'était pas censé ne nous délivrer qu'une seule missive, il dessert tout un quartier de la capitale. N'avait-il pas de sacoche avec lui ?
- Je ... je ne sais plus.
- Allez la chercher et revenez avec. Nous vous attendrons avec. Dépêchez-vous !
La jeune femme n'hésita que le temps de recevoir l'information. L'instant d'après, ses chevilles se pliaient avec vitesse sur le sol ferme, avant qu'elles ne se laissent finalement glisser dans l'air, la portant au-dessus des toits, en direction de là où elle était venue. Elle reconnut les toits, faiblement éclairés par les lanternes traînant dans les rues, d'où elle s'était envolée plus tôt. Le hennissement d'un cheval la fit baisser les yeux, le garde de plus tôt était arrivé certainement quelques instants avant elle. Se posant aux côtés du blessé, elle baissa les yeux sur lui. Il était immobile, inerte. Les yeux du garde et la tête qu'il secoua doucement lui indiquèrent que c'était désormais un cadavre qu'elle regardait. Couvrant sa bouche de sa main, se sentant nauséeuse, elle manqua de vomir, mais ne fit que tousser sèchement et violemment.
Reprenant son souffle, elle informa le garde des ordres qu'elle avait reçus, prit la sacoche et se rendit de nouveau vers le palais. Le scribe était encore là, ainsi que l'autre soldat. Atterrissant et avançant jusqu'à eux, elle fut arrêtée par une question.
- Qu'en est-il de Jaël ?
Son air contrit répondit à sa place, envoyant une vague de dépit dans les visages des deux hommes présents. Elle tendit la sacoche remplie de lettres, mais le scribe ne la saisit pas. A la place, il interrogea.
- Jeune femme, avez-vous de l'expérience en tant que messagère ?
- Sans faux semblant, messire, il s'agit de mon métier.
- Parfait. Ces lettres ne seront livrées par personne, désormais, pas aujourd'hui en tout cas, si l'on ne les confie pas à quelqu'un d'autre. C'est pourquoi je m'en remets à vous pour faire en sorte de ne faire attendre aucun de leurs destinataires.
Il poussa le sac contre le buste de la jeune femme qui ne savait plus quoi faire, à part esquisser de grands yeux ronds en regardant sur le côté.
- Ne me décevez pas.
Après plusieurs secondes de rigidité à regarder le vide, elle répliqua d'un souffle aigu et intimidé.
- Oui.
Elle s'écarta d'abord en marchant, puis en courant, et enfin en volant vers les quartiers qu'elle avait quitté une fois de plus. C'était la première fois qu'elle ressentait pareille pression dans son métier qu'elle adorait pourtant. La jeune femme prit la première lettre qui lui passa sous la main, lit l'adresse et s'y précipita. Tout le restant de la nuit durant, et pendant une bonne partie de la matinée, elle se consacra à la livraison de ces courriers. Lorsque la dernière enveloppe fut cédée, elle s'écroula presque sur les pavés tant elle s'était pressée.
S'envolant une dernière fois avec la sacoche vide, elle se dirigea, plus doucement, vers le palais. Arrivant à une centaine de mètres des portes, elle sentit son don l'abandonner, la laissant tomber de quelques mètres au sol. La douleur immédiate ne fut pas négligeable, mais sa chute n'avait pas été si violente. Elle se dirigea en marchant vers l'entrée du palais, où le même garde était encore posté. Il la laissa entrer, accompagnée par sa propre personne, afin qu'elle aille voir le scribe. Celui-ci vit que sa demande fut satisfaite, et sans trop traîner de surcroît. Par conséquent, tenant compte des compétences de la jeune femme et de la nécessité d'un remplacement, il lui fit une offre que Morrigan ne put refuser. Mieux encore, elle se fit une joie de la prendre.
Elle fut acceptée dans les services royaux, commençant au bas du palier. Pour une roturière sans recommandation, ni réputation, ce n'était qu'usage. Petit à petit, à force d'efficacité, d'effort et de loyauté, elle gravit peu à peu les échelons, prouvant son utilité à maintes reprises dans l'information en général, sur les mots courants dans la capitale. La première fois qu'elle apporta ce genre de rumeurs aux oreilles du scribe, il l'interrogea sur la pertinence de ce type de remarques, pour une coursière. Morrigan répondit simplement qu'elle pensait que la famille royale serait certainement intéressée d'être informée des affaires citoyennes. S'étant immiscée dans la vie quotidienne des gens de la capitale en tant que citoyenne reconnue, la messagère entendait de tout dans les établissements qu'elle hantait, le soir venu. On la fit prendre congé, et plus jamais on ne l'interrogea sur la pertinence de ces remarques, et aujourd'hui encore, elle sert d'intermédiaire officieux et unilatéral entre le palais et le peuple.
Côté HRP
J'ai 21 ans, je suis étudiant en commerce et j'adore écrire, c'est pour ça que je suis là ! Sinon je suis vers les Pays de la Loire et je passe la majorité de mon temps aux bars à proximité avec mes potes, et si je suis pas sur une terrasse, alors je suis chez moi avec la musique en fond, à me perdre sur mon ordi.
Et quelques petites questions pour les curieux !
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Comme ce perso, voler o/
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Comme ça, oui, mais j'ai pas encore vu s'il y avait beaucoup de psychopathes dans le coin !
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Eh beh, utiliser le pouvoir à fond.
Comment as-tu connu le forum ? Topsites
Un truc à rajouter ? Non
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
- Code:
Pour un personnage féminin :
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]RED GEM, YANG LIU[/b], oeuvre original/inspiration inconnue
Désolée pour le temps de passage
Sinon, deux petits points sur ta fiche :
- Tout d'abord sur ton histoire, je trouve ça un peu tiré par les cheveux / pas logique le fait que ton personnage trouve un cadavre frais dans une ruelle (surtout qu'elle est censée être Lâche, influençable, panique très vite) mais la première chose qu'elle fait, c'est reprendre la saccoche et faire la factrice... (De plus, si tu livres celle royale à la fin, on ne peut pas dire que c'était "particulièrement vite" mais soit) Une personne normale aurait crié ou minimum serait allé cherché la garde qui doit patrouiller non loin. Si tu as une justification ou des détails à rajouter là dessus je veux bien.
- Sinon juste un autre point sur ton pouvoir, même si tu pars sur "fatigue comme une marche ou course au sol" ce n'est pas une limite assez "réelle" à mon gout. Il faudrait que tu me donnes un temps de vol maximum (de l'ordre d'une ou deux heures par exemple) que se soit en continue ou segmenté et un temps de latence, lorsque tu as atteint ton maximum, pendant lequel tu ne peux pas activer ton pouvoir de nouveau.
J'attends ton retour sur tout ça et je repasserais plus rapidement cette fois, promis !
Du coup ! J'ai rajouté une limite de deux heures au pouvoir du coup, et j'ai aussi remplacé complètement la partie intégration du palais, les modifications commencent au troisième paragraphe à partir de "Mais à ses dix-neuf ans ...", ça fait un p'tit paquet de lignes en plus ...
J'espère que ça te conviendra !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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