Age : 17ans
Sexe : féminin
Groupe : Citoyen
Spécialité/Métier/etc : Soigneuse
En quelques mots...
Ayant eu une enfance traumatisant Aube exècre la violence et la douleur que celle ci peux engendrer, préférant depuis son apprentissage la soigner plutôt que de l'infligé.
Aube détestant la violence ne manie aucune arme et ne sait d'ailleurs pas se battre à proprement dis. Elle conserve tout de même sur elle le couteau de son père.
Ayant encore des réticences à l'idée d'un simple contacte physique n'allez pas lui parler de sexualité.
Ses sautes d'humeurs étant nombreuses, elle n'as jamais fais le rapprochement entre les guérisons rapide et ses sombres humeurs suite à une interventions, mettant celles ci sur le compte de son talent de guérisseuse.
Nom du pouvoir : Beatus Sanator
Catégorie : Pouvoir de soin passif
Heureuse Aube dispose d'une faculté à soigner de simple blessure par contact en brulant sa bonne humeur.
Sa capacité à soigner étant limité par sa bonne humeur il lui est donc impossible de guérir de grave blessure.
Une cheville foulé pourras guérir en quelque heure la laissant dans un état de profonde tristesse.
Une simple coupure pourras est soigner en une dizaine de minute ne laissant qu'une lassitude passagère.
Cependant n'ayant pas connaissance de son pouvoir elle ne garde le contacte que le temps de l'intervention.
De loin Aube ressemble à une joli adolescente, les nombreuses journée de jeûnes ayant entravé sa croissance prématurément.
Elle est petite à une silhouette trop fine, un port trop droit, des hanches trop étroites , des membres filiformes et une poitrine à peine formée.
De loin, Aube attire les regards. De long cheveux blanc arrivant dans le bas du dos et un visage fin, mais en se rapprochant nombreux son ceux qui détourne les yeux. De vilaine cicatrice souvenir d’un passé qu'elle s’efforce d’oublié zèbre tout un coté de son visage.
Une bouche trop grande et trop fine aux coins tombants, un nez trop mince et des joues creuses.
Lunatique, utilisé ce qualificatif et Aube vous gratifieras d'un joli sourire à moins que vous ne la fassiez pleurer. Folle, utilisé celui ci et vous verriez passé dans un regard furtif de la haine teinté d'une pointe de colère avant qu'elle ne détourne le regard ses doigts blanchis sur son petit couteau.
Aube s'émerveille de tous du chant d'un oiseau, la feuille d'un arbre, une fleur... ce qui lui donne un coté distraite. Rajouté à cela ses sautes d'humeur et vous pourriez penser à une jeune enfant, mais n'allez pas croire qu'elle est stupide.
Craintive, timide et discrète elle n'aime pas le contact avec les siens quand elle n'en est pas l'initiatrice.
Prisonnière de son passé tous son monde est un équilibre contradictoire partagé entre peur et envie.
Elle aimerais découvrir les merveilles de ce monde, mais elle à peur de voir ressurgir la petite sauvageonne qu'elle était. Elle aimerait revoir Luz, mais avec les quelques années passées elle à peur de se faire rejeter. Elle aime aider les siens mais aimerait aussi les fuir.
Pour résumer, elle est comme cette terre : Ni bonne, ni mauvaise, ni triste, ni joyeuse, mais simplement changeante.
Quelque chose te tracasse mon trésor ? Si tu continue a te mordiller la lèvre tu vas finir par te faire mal.
La voix de maman étais douce et légère, mais je sens au fond de moi une pointe d’inquiétude dans son ton.
Je décides de lui sauter dans las bras et de pleurer de tout mon soul. Les douces paroles, sa chaleurs réconfortante et son parfum entêtant finir par avoir raison de ma crise aussi soudaine que passagère.
Aube étais la cadette d’une petite famille habitant à quelques pas d’un village à la bordure d’un petit bois. Elle avais un grand frère et une grande sœur, sa mère s’occupait du potager et de la basse-court. Son père ancien capitaine avait acheté la bâtisse quelque année auparavant pour élever ses futur enfants. Dernier installé dans le village leurs arrivé avait attiré la convoitise de certain.
Je me souviens de cette scène. La réaction de l’inconnu me marqua à jamais.
Mais vous nous prenez qui ? Vous venez comme sa nous demandez de vous donnez notre fille ? Avez vous cru seulement que je pouvais vous la vendre? Du vent ! Dans votre intérêt comme pour le mien , foutez moi le camp d’ici et ne revenez plus dans les parages.
Il étais rare de voir mon père en colère mais la réaction de son interlocuteur me terrifias bien plus que toutes les roustre que j’avais plus subir jusqu’ici. Imperturbable notre invité remercias mes parents et leur fis ses adieux.
Elle venais d’avoir huit ans se jours là et en se début de printemps, sa mère avait préparé un pique-nique et s’apprêtait à rejoindre son époux bûcheron avec ses trois enfants. La journée était été assez belle ; le ciel bleu s’ourlait de quelques nuages cotonneux et une brise légère rendait la température juste assez fraîche pour être agréable.
Je ne me remémore se souvenir que bien des années plus tard. Je me souviens d’avoir été incapable d’expliquer se qui étais arrivé.
Les mots de maman résonnais autant que le fracas de la hache de mon père. Elle nous hurla de courir sans jamais nous retourner jusqu’au village. J’entendis des cris et des hurlements, et je vis des hommes masqué derrière nous. Ma sœur se retournant trébuchât sans avoir le temps de se relevée un homme l’attrapa. Les deux derniers homme sur nos talons mon frère me mis dans la main son petit couteau cadeaux de père et changea de direction espérant ainsi me sauver. J’entendais le souffle du dernier homme je ne pus m’empêcher de me retourner tout en trébuchant sur une branche morte tenant toujours le couteau dans mes mains. J’entraînais sans le vouloir l’homme dans ma chute qui vins s’empalé sur la lame. J’eus beaucoup de mal à m’extirper de dessous mon poursuivant. J’étais effrayé alors que d’autre arrivait déjà dans ma direction.
Je m’enfonçais dans un buisson de ronce et restât caché là morte de peur.
Le lendemain les villageois sidéré virent la fillette exténué couverte de sang et de griffure de la tête au pied avancée vers eux un couteau ensanglanté dans la main. Les hommes partirent à la recherche de la famille tandis que les femmes s’occupèrent d’Aube. Jamais elle ne pu expliqué se qui c’était passé. Les plus vieux villageois expliquèrent que son inconscient avait volontairement enfouit des souvenirs trop douloureux.
Sa famille fut retrouvée quelques heures plus tard, baignant sans son sang.
Ses cheveux avais blanchis depuis. C’est ainsi que le terme de sorcière vint naturellement aux lèvres des plus jeune. Aube resta peu temps avec eux, hagarde et solitaire.
Mais qu’est que tu me chante la ? pourquoi ne peux t’on plus jouer ensemble ?Je me fiche des autres c’est avec toi que je veux jouer ! J’avais honte et j’avais beau fixer le sol je savais pertinemment que mon amie me dévisageait. Obstiné elle continuas désespérément à essayer de me faire changer d’avis. Au fond de moi je savais ce qu’elle ressentais. Je faisais sa pour elle pour la protéger , la seule amie que j’ai eu, la seule qui m’avais accepter. C’est en pleurant de honte autant que de tristesse que je rentrais dans la maison.
Bien plus que son manque de courtoisie et son côté sauvage, ce fût la peur et le dégoût qu’elle inspirait qui poussèrent les villageois à la rejeter.
La fille ne se laissa pas abattre. Malgré son jeune âge, elle semblait déjà suivre un dessein qui ne regardait qu’elle mais elle savais qu'elle avais besoin d'aide
aussi se résigna-t-elle à accepter l’accueil d’un marchand itinérant et de sa femme. L’homme était trop porté sur la bouteille et c’était son unique défaut ;
La femme quand à elle, l’avait élevée comme si c’était la sienne, l’avait aimée et choyée, protégée.
Mais lorsque, un ans plus tard, soûl, la viola, il signa son arrêt de mort.
Un mois plus tard je m’approchais du lit de mon père adoptif que je n’avait jamais voulu.
Le couteau de cuisine dans la main je trouvais facilement la gaine carotidienne de l’homme endormi, malgré la profondeur et l’épaisseur de chair, et trancha net
l’artère carotide commune, la veine jugulaire interne et le dixième nerf crânien. Assise sur le bord du lit, je regardais le sang aussi rouge que ses yeux s’écouler de la plaie jusqu’à ce qu’il se tarisse et qu’il ne reste plus que les muscles antérieurs du cou à contempler. Je m'enfonçait dans la forêt laissant des cris derrière moi.
Aube prit alors conscience de cette fascination que le corps humain exerçait sur elle, sur cette envie qu’elle avait de l’explorer.
Se saisissant du strict nécessaire, elle s’enfuit dans la nuit.
Sa longue errance débuta, parsemée de journées de jeûne et d’épuisement, rendant sa progression difficile. Elle mit cette lenteur à profit pour disséquer les corps d’animaux et qui croisaient son chemin, approfondissant ainsi ses connaissances.
Elle se nourrissait d’herbes et de rares cadavres comestibles. Si elle réussit à survivre, elle ne le dût qu’à l’enseignement de sa mère dans sa tendre enfance.
Je passais plusieurs saison tiraillé entre le froid et la faim, volant dans les jardins et les réserves la nuit venu et fuyant tout contacte avec les miens. Je me plaisais dans cet vie vagabond. M'enfonçant toujours plus loin dans la grande foret. Poursuivre un papillon, écouter les chantelunes, regarder passé ce magnifique animal blanc. Je m'émerveillais pour un rien oubliant peu à peu les miens.
D’ordinaire Aube fuyais les siens dès qu’elle percevais leur présence.Mais elle n'étais pas comme ces grands renards vert à pouvoir dormir plusieurs jours et nuit sans se nourrir et en ce soir d'hivers après deux jours de jeûne l’odeur d’une viande entrain de cuir poussèrent la petite curieuse à s’approcher. Aube attendais laissant plusieurs heures passés et que la jeune femme se soit endormis afin de venir chaparder quelques morceaux de viande.
Qu’il étais bon de sentir la chaleur d’un feu même mourant et la viande grillé à point étais d’un délice après plus d’une année à manger tous ce qu’il me tombais sous la main. Plusieurs morceaux de viande étais encore accroché au os éparpillé dans l’herbe. Je suçais chacun d’eux jusqu’à la moelle. Le ventre lourd et la chaleur me fis remonter le souvenir de mère, je m’accrochais à se souvenir en fermant les yeux et c’est en oubliant toute prudence que je m’endormis recroquevillé près du feu
Luz s’éveilla étonné de voir une fillette si menue endormis à coter du feu. Mais à peine eu t’elle le temps de se redresser que la fillette bondit su ces pieds avant de s’enfuir les vêtement en lambeau, un petit couteau gravé et une une besace en cuir étais tous ce qu’elle possédais. Luz continuas son chemin laissant derrière elle un petit quignon de pain. Aube marqué par ce geste attentionné suivis la jeune femme jusqu’au soir suivant lui déposant une poignée de chataigne en dédommagement.
Il se passèrent presque une lunaison ainsi je venais chaque soir une fois la femme endormie et disparaissais le matin. Elle jetais régulièrement des regards en arrière afin de m’apercevoir. Tout changea le jour ou je la vis boitant, s'appuyant sur un bâton, avançant avec peine. Alors qu'elle tombais une énième mon désir de l'aider pris le dessus sur ma crainte.
Luz fut autant surprise par l’apparition de la fillette que par son geste. Elle eu bien du mal à comprendre le changement d'humeur de la fillettes qui passât de la joie à la tristesse en quelque heure. Luz finit par accepter cette présence et même à se surprendre de l’apprécier. Aube ne craignais plus la jeune femme depuis cet évènement mais dès que la jeune femme approchait d'hune quelconque habitation la fillette disparaissait. Elle étais attentive épiant les moindre geste de Luz dès qu'elle se mettais à prépare onguent ou autre mais ce que la fillette préférais par dessus tout c'étais regarder Luz préparer à manger
C’est grâce à sa profession que la jeune femme finis par convaincre Aube de la suivre dans les villages.
Le premier village ou j’acceptais de suivre Luz fut une épreuve très difficile. Je m'accrochais désespérément à sa main terrifier à l'idée qu'un homme puisse me toucher. Les phalanges blanchies comprenant ma terreur à la façon dont je me tenais à elle on ne fis que le traverser
Au bout de deux ans à parcourir les routes ensemble et à lui enseigner les rudiments de médecine la jeune femme décidas d’envoyer cette jeune apprentie si dévoué au malade vers son grand-père afin qu’elle puisse développer son talent pour la médecine. Trois année suffire à la studieuse jeune femme qu étais devenue Aube à devenir une soigneuse exemplaire .Elle passais tous son temps libre à étudier ou soigner les malades. Tant et si bien que sous les conseils de Jeschen et armée d’une lettre de recommandation elle parti pour la capitale.
Espérant de plus retrouver son ancienne tutrice et amie.
Ton pseudo : Archaneas
J'ai 30 ans je suis boulanger. J'aimes bien les différent genre de la fantasy et ceux de la science fiction (un peu plus récemment). Depuis plusieurs années je fais des JdR entre amis INS/IMV Cthulhu DD3.5 et 4.0 mais surtout mon coup de cœur "Te Deum pour un massacre", aussi bien en temps que maitre de jeu ou joueur. J'ai pris l'habitude de toujours faire un historique personnel de mes différents personnages, mais c'est bien la première fois que je vais tenter de faire du RP écris.
Côté HRP
Double compte ? non
Comment as-tu connu le forum ? Par hasard
Un truc à rajouter ? Dyslexique la conjugaison, les virgules et les homonymes sont des cauchemar pour moi.
Source de l'avatar http://ekladata.com/9jNDthfRais2Xf4zQrzcYefZfTI.jpg (Nier automata)
[/i]
Pour un personnage féminin :
[/b]
- Code:
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]NIER AUTOMATA[/b], YoRHa No.2 Type A @"Aube Pracyn"
[/code]
Alors j'ai édité ta fiche alors que tu étais pas co pour corriger les bug de code mais honnêtement, tu as supprimé des parties entières de code, notamment les images etc (ce n'est pas parce que tu le remplis pas qu'il faut les retirer) la partie histoire également (donc je pense que tu l'as mit au niveau de "en quelques mots" )
Je pense que c'est beaucoup trop compliqué de corriger ça étant donné qu'il faudrait refaire tout le code, donc le plus simple serait que tu enregistres tes textes et que tu refasses un copier / coller au propre du code et le complétant à nouveau :
Ecrire seulement à la places des texte "Ecrire ici"
Et ne retirer / remplacer aucun < ! -- ou -- > et aucun < div > ou < /div > ou < span > ou < /span > etc.. faire très attention à ne pas chopper les balises dans tes copier coller lorsque tu remplis ta fiche
Et au passage j'en profite, au niveau de la source de ton vava, il faut que se soit une source connue (personnage ou artiste au moins) tu ne peux pas juste mettre une image sans références pour les listings c'est compliqué.
Suivant ton conseil je viens de reprendre la fiche au propre et changer l'avatar.
Amuse-toi bien parmi nous et au plaisir de te recroiser au détour d'une opération médicale ! 8D
Nickel pour le code ! Ce n'était pas trop dur ? C'est dommage que tu n'ais pas répondu aux questions du Quelques mots sur toi, mais ce n'est pas obligatoire donc c'est pas grave, c'est juste sympa à lire
Alors tout d'abord côté pouvoir, je pense qu'il serait plus simple de partir sur autre chose :
- Lecture / partage de pensé est prit par Rhis
- Lecture / partage d'émotion est prit par Haru
Donc ça serait déjà, un pouvoir double, mais en plus doublons et doublons.
Donc cet aspect là sera a changer dans ton histoire également.
Sinon côté histoire, hormis le fait que j'espère que personne n'apprendra qu'elle a égorgé un homme de sang froid, ça semble tout correct (en modifiant les passages de ton pouvoir du coup)
Fait moi signe lorsque tu auras édité ça !
Elle a un passé lourd la petite Aube ohlala, en tout cas ça reste chouette de voir un caractère nuancé comme celui-ci. J'espère que tu t'amuseras bien inrp !
Bon courage pour les modifications à faire du coup.
Du coup je vois que tu as aussi modifié sa description ? C'est un peu juste au niveau caractère, pourrait-on en savoir un peu plus sur elle ? Je te laisse rajouter quelques lignes et je passe te valider !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !