Age : 26 ans
Sexe : Masculin
Groupe : Citoyen
Spécialité/Métier/etc : Frère du culte de Lucy
En quelques mots...
Jeune frère parti sur les routes pour découvrir tout ce que la déesse a créé. Il a pour philosophie de savourer chaque instant et chaque rencontre. A l'écoute de ceux qui l'entourent, il traite tout le monde avec bienveillance. Si vous apprenez à le connaître, vous pourriez bien trouver en lui un bon partenaire pour s'amuser ou pour philosopher, si vous êtes du genre à vous prendre la tête.
Nom du pouvoir : Second souffle
Catégorie : Manipulation de chose ou d'éléments
Au moment du contact, toutes les parties du corps dans un rayon d’un mètre autour de la plus grosse partie se verront attirées à elle et ressoudées pour paraître le plus proche possible de son apparence lorsqu’il était en vie. Cela ne peut se passer que si lesdites parties sont encore globalement intactes (il ne peut recréer un os si celui-ci a été broyé en poussière). Le pouvoir ne fait pas non plus apparaître ce qui n’existe plus. Le mort vivant ainsi créé peut donc aussi bien être un squelette qu’un être très proche de ce qu’il était de son vivant pour peu que la mort soit récente. Durant toute la durée du pouvoir la détérioration de la dépouille est suspendue, ainsi elle ne pourrit plus.
Aord dispose d’assez de souffles pour relever l’équivalent de 5 êtres humains. La durée du charme décroît avec le nombre d’utilisations, du premier au 5e la durée est de : 60/45/25/15/10 min. Il peut relever un cadavre plus gros qu’un humain en utilisant plusieurs souffles à la fois (par exemple trois pour un ours grand comme 3 humains) dans ce cas sera comme s’il avait relevé autant d’humains qu’il utilise de charge (l’ours durera 25 minutes dans le cas présent). Il récupère toutes ses charges une journée après avoir utilisé la première. Il peut également relever plusieurs petits animaux pour le prix d’une charge, mais il doit le faire en une fois, car il ne peut pas doser son souffle : c’est tout ou rien.
Les morts-vivants gardent la force physique qu’ils avaient avant leur mort dans l’état de vieillissement où ils étaient. Ils ne ressentent ni fatigue ni douleur, mais leur corps est aussi vulnérable que de leur vivant. Le mort-vivant n’a pas accès au pouvoir de la créature qui l’a précédée sauf si celui-ci était une particularité physique permanente (par exemple des cornes). Toute partie du corps sectionnée de la partie principale qui a servi à la résurrection meurt et ne bouge plus. Les morts-vivants sont également très résistants aux dégâts de perforation, car ils ne saignent pas et ne se meuvent pas à l’aide de tendons (les flèches et dagues ne sont pas les plus indiquées pour leur faire les os).
Du point de vue de leur intelligence, les morts vivants sont très limités. Peu importe leurs compétences dans leur ancienne vie, ils auront le même niveau de combat qu’un débutant ou qu’un jeune animal. Aord peut prendre sciemment le contrôle de l’un d’entre aux pour lui faire exécuter des actions complexes et dans ce cas c’est les compétences d’Aord qui prendront effet. Il peut leur donner un ordre simple ou une tâche à réaliser, mais n’étant pas doués d’intelligence, les morts-vivants ne s’adapteront pas. Par exemple, s’il en envoie un couper du bois, ce dernier s’exécutera, mais si vous lui arrachez la hache des mains, il continuera sa tâche sans rien remarquer jusqu’à ce qu’Aord revienne lui donner un ordre. Ils ne possèdent ni âme ni esprit et n’ont rien à voir avec ce qu’ils étaient de leur vivant (aucun souvenir, connaissances …). Ils sont trop bêtes pour penser et sont très résistants aux manipulations psychiques n’étant pour ainsi dire pas dotés de cerveau.
Les morts-vivants peuvent s’éloigner d’Aord aussi loin que le temps le permet, mais leur manque d’intelligence fait qu’ils se coinceront au moindre obstacle sans son aide (ils ne savent même pas ouvrir une porte). Il ne peut prendre le contrôle que d’un mort-vivant dans son champ de vision immédiat.
Chaque souffle est plus coûteux sur le plan physique, plus il en utilise au cours d’une journée et plus il subit un contrecoup intense. Du premier au dernier : légère migraine, léger vertige, fort vertige (impossible de tenir debout), vomissements intempestifs, paralysie (2-3 minutes) allant jusqu’à l’évanouissement (5 minutes) s’il n’a pas échelonné sa dépense de charge. S’il consomme plusieurs charges en même temps il subira tous ces symptômes d’un coup.
Physique :
Beaucoup de personnes prennent Aord pour un aventurier. Difficile de ne pas se tromper quand on le regarde. Sa peau burinée par le soleil avait depuis longtemps abandonné la teinte rosée qu’elle avait à l’époque où il vivait dans la montagne. Elle avait maintenant pris une couleur sable propre aux voyageurs. Son visage barré de quelques cicatrices laisse également planer un doute : trophée de combat ou vestiges d’une adolescence un peu insouciante ? Son entraînement assidu au maniement des armes l’avait également doté d’un corps plutôt musclé qui détonnait un peu de ce qu’on pouvait imaginer d’un homme vouant sa vie à l’étude.
Passé les premiers a priori, une inspection plus précise pourrait s’arrêter sur l’étrange barbe en forme de fourche à deux dents qui orne son visage. En réalité, cette forme particulière lui vient simplement d’un tic. Chaque fois qu’il réfléchit ou cogite, il ne peut s’empêcher de tortiller sa barbe entre ses doigts créant ainsi ses deux pointes. La couleur n’est pas très présente chez notre frère, de ces cheveux bruns à ses yeux marron, il ne détonne pas trop au milieu de la foule.
D’un point de vue vestimentaire, le jeune ecclésiastique préfère garder sa tenue de voyage la plupart du temps. On n’a pas trop le temps de se faire une garde-robe sur les routes. Cuir et fourrure quand il fait froid et tissu léger comme le lin quand la température daigne remonter un peu. Il transporte cependant sa robe de cérémonie pour des occasions plus officielles.
Mental :
Si vous décidez d’entamer la conversation avec lui, vous serez surpris de la simplicité avec laquelle il vous accueillera. Peu importe votre apparence, votre rang, il vous accueillera chaleureusement. Pour lui, chaque personne est un cadeau de la déesse et il se doit de tout explorer de ce présent quand il se présente à lui.
Vous ne pourrez vous empêcher de noter à quel point il s’intéresse à vous, à ce que vous pensez et même à votre vie. On pourrait penser qu’il fait simplement la conversation, mais c’est tout l’inverse : ça l’intéresse vraiment de vous connaître.
D’ordinaire, notre frère est une personne enjouée. Un peu comme un enfant qui découvre des choses merveilleuses à tour de bras. Il s’est s’amuse de toute chose et prend la vie avec humour et une certaine dose d’ironie. Cependant, quand les évènements de la vie ne s’y prêtent plus et que le négatif devient trop important, il devient une personne sur laquelle on peut compter les yeux fermés. Fidèle à sa parole et plein de bienveillance, il sera là pour vous.
N’aller pas le prendre pour un ingénu qui parcourt le monde la tête remplie de naïvetés et de niaiseries. Il sait très bien se défendre par les armes s’il le faut. Il s’entraîne aussi bien qu’un aventurier, mais manque d’expérience dans le domaine du combat puisqu’il n’en fait pas son métier. Il mène régulièrement des débats avec ceux qu’ils rencontrent pour éprouver ses idées et son esprit bouillonnant de réflexions en tout genre pourrait en fatiguer certains.
La flèche fusa entre les arbres et frappa l’animal à la gorge. Le jeune homme s’avança parmi les feuilles mortes, vérifiant que sa proie était bien morte. Il attrapa avec poigne les oreilles du lapin blessé et brisa sa nuque d’un coup sec. Il l’avait bien fait courir celui-là. En même temps, il aurait dû acheter de quoi faire un piège dans le dernier village au lieu de chasser de si petites proies avec un arc et des flèches. Il se débrouillait en tir, mais une proie aussi petite et rapide, c’était un sacré défi ! Son estomac affamé lui fit bien comprendre qu’il n’était pas l’heure de s’interroger sur ses compétences martiales. Aord se dépêcha donc de rejoindre son campement improvisé et d’allumer un feu pour la nuit. Il dépeça délicatement l’animal à l’aide d’un petit couteau et commença à le préparer pour son repas. Le soleil était déjà couché lorsqu’il eut enfin fini sa tâche. Il retourna ensuite l’animal dépecé et approcha son museau de sa bouche. Le son du soupir transperça le silence de la nuit et l’énergie se communiqua à l’animal. Une énergie bleutée qui parcourut ses muscles et s’ancra dans ses yeux, maintenant luisants d’une lueur d’outre-tombe. Il déposa la créature à terre et celle-ci clopina doucement jusque dans les flammes se positionnant sur un petit tas de pierres qu’il avait prévu au centre du brasier. Le regard du frère se plongea dans celui de son dîner. Un échange silencieux se tenait entre celui qui offrait sa vie pour que l’autre survive. Aord joignit ses mains et s’assit sur ses genoux. Le regard toujours plongé dans cet abîme turquoise, il commença à psalmodier :
« Louée soit Lucy, dame de lumière … »
Je te supplie à genoux. Oh Déesse ! Rends-la-moi ! Elle ne peut connaître sa fin aujourd’hui ! Elle est si jeune ! Accorde-lui une autre chance !
Ses yeux embués de larmes se plongèrent dans les deux yeux turquoise d’un visage enfantin. Sa jeune sœur de 12 ans emportée par la maladie le fixait interdite. Les prières de son frère résonnaient dans les murs de la chapelle, mais elle ne réagissait pas. Cela faisait bien longtemps qu’elle était partie. Aord avait 15 ans quand la fièvre l’avait emportée, l’arrachant à lui sans prévenir. Impossible pour le jeune homme de l’accepter, d’admettre qu’elle s’en était allée. Il pouvait faire bouger les morts, les faire danser, alors pourquoi devait-elle partir ? Il l’avait emmenée dans la chapelle pendant la nuit. Il l’avait placée sous la statue de la déesse Lucy pour en appeler à sa miséricorde. Cependant, ses suppliques restaient sans réponse. Alors il priait, priait emplissant les murs de pierres de sa ferveur, offrant sa foi aux mains tendues de la statue. Ces deux mains qu’il avait si souvent vues, demandant aux hommes d’offrir leurs prières en échange de la chance que la déesse voulait bien leur accordé, mais rien, ni la foi ni la dévotion ne suffisait à la contenter. Sa sœur était toujours morte et ses yeux restaient turquoise. Il se prosterna de colère face à son impuissance. Il s’en voulait de ne pas assez l’aimer pour susciter la pitié de la déesse. Quel grand frère pathétique ! Un contact étrange vint frôler son crâne, porteur d’un espoir vain. Sa sœur tendait ses deux mains devant elle. Formant une coupe, elles imitaient parfaitement la position de la statue. Les deux entités féminines lui tendaient les mains, mais quel était le prix ?
« … de tes deux mains tu accueilles d’infinies possibilités … »
Aord vit le lac se dessiner au loin, et derrière lui l’immense temple du culte. Il avait traversé le pays, seul du haut de ses 16 ans. Il avait quitté la forteresse, son foyer, ses parents. Il ne serait ni soldat ni artisan comme son père et sa mère. Il avait abandonné les entraînements à l’épée et ses cours d’économie. Il cherchait des réponses, une réponse à la question qui le taraudait depuis un an : quel était ce prix qu’il n’avait su payer ? Quelles vérités de ce monde, cachées aux yeux des hommes, lui restait-il à découvrir ? Il s’enrôla comme Initiés au sein du culte, bien décidé à trouver sa réponse. Il se dévoua corps et âme à sa nouvelle vie d’étude. Dire que son instruction fut une partie de plaisir serait loin de la réalité. Aord se noyait dans les livres et les mots se mélangeaient sans avoir de sens. Les activités plus manuelles étaient une vraie échappatoire pour lui. Du maniement des armes à la calligraphie toutes ces activités le détendaient pour mieux affronter les montagnes de textes anciens qui essayaient de lui chuchoter leurs vérités. La compétence la plus dure qu’il dû acquérir fut certainement la discipline. Les initiés avaient besoin de décompresser, alors quand un marchand de la capitale faisait un arrêt au temple pour faire preuve de sa piété, les jeunes gens en profitaient pour dévaliser son stock d’alcool. Cela se terminait généralement par un bain de minuit au lac ou pire … dans les bassins du temple. Ils en avaient pris des soufflantes de la part des frères et des prêtres, mais au moins cela faisait des économies au temple, le nettoyage des latrines n'a jamais été aussi simple à organiser …
« Merci, merci de nous accorder la chance de parcourir ce monde … »
Qu’avait-il fait pour être digne de cette chance ? Le nouvellement nominé Frère Svenn s’interrogeait sur les marches du temple tandis que tous les autres frères se congratulaient d’avoir survécu au douloureux apprentissage. Il finit par les rejoindre toujours insatisfait. Il n’avait toujours pas obtenu de réponse et cela le frustrait au plus haut point. Tous ses frères et sœurs discutaient de leurs projets d’avenir. Certains parlaient de s’installer dans leur village, d’autres de prendre la route.
« Et toi Aord ? Avec tes résultats, tu pourrais rester au temple, il te prendrait sans histoire !
- Sauf si quelqu’un révèle au frère Hylkins qui a mis le feu à ses rosiers ! dit l’un d’entre eux en riant »
La remarque arracha un sourire coupable au jeune homme. Il l’avait bien mérité cela dit. Les autres éclatèrent de rire en cœur au souvenir de cet évènement mémorable, heureusement qu’ils avaient camouflé ça en accident sinon c’était la porte assurée.
« Je crois que je vais prendre la route moi aussi, mais … il me reste quelque chose à faire avant.
Et de l’accorder à tous ceux qui nous entourent …
Il était retourné chez lui, là où il avait débuté son voyage. Il voulait voir sa famille et cette forteresse qui avait été son foyer. Il ne se pensait pas capable de partir sur les routes avant d’avoir fait ce premier pèlerinage. Ces parents ne cachaient pas leur fierté de le voir revenir en tant que frère du culte. L’apprentissage avait été long et la distance qui les avait séparés insurmontable. Ensemble, ils allèrent à la chapelle pour y remercier la déesse et pour prier pour la petite fille qui aurait dû être là. Aord se retrouva de nouveau devant la statue. Plus de turquoise ni de visage familier, juste la froideur de la pierre et un prix toujours inconnu. La petite famille pria avec ferveur guidée par le jeune homme. Quand ils eurent fini, Aord resta un moment à contempler les mains de la déesse. Les pensées et réflexions se bousculaient dans sa tête, mais aucune n’aboutissait. Toutes ces heures passées à étudier et il était resté au point de départ. Le trouble du jeune homme attira l’attention de son père qui plaça doucement sa main sur son épaule. Il fixa aussi la statue d’un air songeur :
« Je me demande parfois ce qu’elle essaye de nous donner …
- Donner ? »
La réaction d’Aord fut brusque, comme un déclic. Une pièce venait de s’ajouter au puzzle et les autres se rassemblaient autour d’elle. La déesse n’attendait rien, elle donnait, mais quoi ? Son regard se posa sur les paumes vides.
Tu ne nous donnes rien …
Il avait demandé, supplié, mais n’avait rien eu en échange, uniquement, le silence et le doute. Que lui avait-elle donné ? Elle donnait la chance, il le savait. Lucy, déesse de la chance offrait la chance à tous. Sous quelle forme ? Une larme roula sur la joue d’Aord quand enfin il comprit quelque chose de fondamental.
Car tu nous as déjà tout donné. Chaque vie, chaque être est une chance. Chaque seconde est une possibilité. Ton présent est infini et nous aurons de cesse de le découvrir.
Elle lui avait donné une sœur et à cette sœur elle avait donné un frère. Chaque souvenir qu’il avait d’elle était cette chance pour laquelle tous les fidèles priaient. Il ne cessait de regretter ce qu’il n’avait plus alors qu’il devrait montrer de la gratitude pour tout ce qu’il avait reçu. La mort de sa sœur était l’évènement qui l’avait poussé à partir, à suivre sa propre voie. Et ce n’est que maintenant qu’il comprenait, de retour à son point de départ, que chaque rencontre était une chance. Une chance qui pouvait le changer un peu ou profondément. Une chance qui marquait sa mémoire.
Un seul homme est trop peu pour en saisir l’immensité. Mais ensemble, nous en explorons toutes les voies. Je prie en ce jour pour que tu me laisses contempler la beauté de ton œuvre. Pour que de tes mains, tu me guides sur ce chemin inconnu où se cachent mille possibilités. J’apprendrai de ton œuvre, chaque rencontre sera un enseignement, chaque souvenir ma vérité.
Merci, merci oh déesse ! Pour cette chance inestimable !
Il ouvrit ses mains et les plaça devant lui comme pour donner sa prière au vent. Le feu crépitait toujours et le lapin mort-vivant continuait d’y cuire, impassible. Cependant, son repas commençait sérieusement à sentir la viande carbonisée.
Merde, merde ,merde …
Le jeune frère se dépêcha d’arracher la créature des flammes pour constater qu’effectivement, il allait manger du lapin brûlé ce soir … Un point en moins pour la cuisson zombie. Il rit doucement à cette idée avant de dévorer sa proie grimaçant de dégoût à chaque bouchée. Cependant, son cœur s’emplissait un peu de gratitude. Ce petit échec et cette expérience culinaire ratée, voilà le cadeau que la déesse lui avait fait. Voilà ce que c’était que d’être en vie.
Ton pseudo : Makumo
Parle nous un peu de toi par ici : étudiant en osycho de 23 ans passioné de et bah de psychologie :).
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Voir l'avenir et le passé
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Je suis pas religieux pour deux sous mais ça me tenterait bien
Quelle serait la première chose que tu ferais ? faire de la magie bien sûr !
Côté HRP
Double compte ? non
Comment as-tu connu le forum ? un top site je crois mais j'en ai fait tellement avant de tomber dessus que je suis plus si sûr
Un truc à rajouter ? Ce design est ouffissime. je suis un gros manique du rangement et tout est à disposition et bien ranger accessible en quelques cliques et je ahhhhhhhhh *souris comme un idiot*
Source de l'avatar
- Code:
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color][b]Divinity original sin 2[/b], Ifan Ben-Mezd @"Aord Svenn"
La bienvenue sur Aryon Aord, j'espère que tu t'installeras confortablement parmi nous ! Le culte a grand besoin de représentants motivés.
J'ai hâte de voir en tous cas ce que tu vas nous proposer en histoire !
Culte de lucy? hmmmm c'est vrai que y'en a pas beaucoup, hâte de te voir a l'œuvre !
Effectivement, on a peu de représentant du culte ! Donc j'espère que tu resteras longtemps parmi nous !
En tout cas, voici ton pass pour le forum !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !