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Pour braver l'ennuie rien ne vaut une taverne
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La nuit était tombée sur la capitale, la vie nocturne avait pris le pas sur l’agitation journalière. Les commerces fermaient les un après les autres, les gens se séparait d’un signe de la main, d’un « A demain » vers un employé prêt a retrouver les siens chez lui. Les enfants rentrés chez eux après avoir joué dehors pour un souper préparé par maman. Et au milieu de tout ça, Oliver se baladait, les mains dans les poches errant ça et là sans vraiment trop savoir quoi faire.
« On s’ennuiiiiiiiiie » cria-t-il en plein milieu de la rue, regardait par les quelques badauds se demandant ce que voulait cet énergumène. Le dos tassait, les épaules basses, le regard dans le vide, Oliver avait tout de la personne qui n’avait rien à faire. A chaque pas il se demandait bien comment il allait terminer la journée. Rentrer chez lui ? Déjà ? Il n’était pas fatigué, la journée avait été très peu productive, à peine une altercation avec un crétin qui avait eu le malheur de lui faire une réflexion. Oui, certes il avait coupé la queue au vendeur à emporter pour son repas, mais il était pressé, il avait plein de chose à faire après comme… Des trucs qui auraient pu arriver ensuite… Etait-ce une raison de le pousser ? Ce que les gens peuvent être malpolis ! Oliver en avait profité pour lui faire la leçon à grand coup de tatane. En quelques coups c’était réglé en plus. Malpoli et faible, quelle déception c’était, en plus de le déranger il ne l’avait pas amusé.
Et ensuite ? Pas grand-chose, une journée morne. Il avait discuté avec ce type tout de même, Lorius qu’il disait s’appeler, il avait l’air sympa. Ils avaient discuté ensemble de chose que font de vrais amis ! Enfin sans doute… Il lui avait demandé comment il trouvait sa tenue. Drôle de question, mais il était peut-être comme Oliver ? Un peu foufou. En plus ce type était vraiment bien habillé, une vraie tenue de séducteur. Pendant ce cours échange, si intense pour Oliver, il avait réussi à obtenir son prénom.
Au fil de sa marche, Oliver entendit des rires assez forts s’élever. Finalement il y avait peut être une façon de ne pas s’ennuyer à mourir ce soir. En se tournant vers la source du son il remarqua une taverne. Mais c’était bien sûr ! Allez boire un coup était la solution à tout ! Il se frappa la tête de ne pas ya avoir pensé avant tout. Mais boire seul ? Pas fun du tout, non il fallait trouver quelqu’un, et il savait précisément qui allait être ravi de voir son nouvel ami.
« Je me demande comment va Lorius ! »
En un clignement d’œil le calme relative des rues de la ville se changea en un brouhaha constant si propre au débit de boisson, l’air frais laissa place à une chaleur étouffante. Si ça ce n’était pas un signe ! Il voulait inviter Lorius dans un débit de boisson mais il y était déjà ! Il ne pourra pas dire non du coup ! Comme à son habitude après avoir utilisé son pouvoir il faisait le point sur sa situation. Le lieu, c’était ok. Maintenant il avait pris la place de qui ? Il sentit une douleur au pied, un regard à ses petons et il vit des escarpins à ses pieds, ses jambes étaient à nues laissant apparaitre ses poils de jambes puis une petite robe bustier jaune d’où dépasser les quelques poils de son torse. Il en conclut donc rapidement qu’il avait pris la place d’une femme… Ou d’un homme avec des gouts vestimentaire assez unique, mais qui était-il pour juger ?
*J’aime pas du tout cet ensemble* Comme à chaque fois qu’il usait de son pouvoir une voix revenait dans sa tête, et celle là il la reconnaissait entre mille. Plus aigu que la sienne c’était celle d’Oliviera son alter ego jeune femme. Et pour le coup il était assez d’accord, la couleur jaune c’est sooooo an 995.
« MAIS QU’EST-CE QUE … »
Une voix forte s’était élevé dans la taverne, revenant avec ce qui semble être sa commande et celle d’une autre personne, Lorius semblait hébété de voir Oliver ici. Celui-ci lui fit un geste de la main accompagné d’un « Youhouuuuuu ». Lorius se rapprocha de lui.
« Qu’est ce que vous faites là ? Et où est Marina ? » Ah du coup il avait du prendre la place de cette Marina, évidemment sinon ce serait trop simple. Mais ce n’était pas plus mal, cette Marina les auraient empêché de passer une bonne soirée à faire du gringue et tout. Alors que lui voulait passer du temps avec son nouveau pote. Il répondit calmement
« Je suis juste venu boire un coup et je ne sais pas qui est cette Marina mais je suis sur que je suis d’une aussi bonne compagnie si ce n’est mieux. » dit-il en adressant un clin d’œil, plus guidé par son côté Oliviera qu’autre chose.
« Mais vous avez ses vêtements en plus ! C’est une blague ? Elle est où ? » Oliver soupira, une blague ? Comment ça ? Il n’avait pas commencé sa phrase par toc-toc ou c’est l’histoire d’un gloutosaure… Comment cela pouvait être une blague ?
« Et bien… » Son regard se posa sur les deux verres qu’il tenait toujours en main, c’est vrai qu’il était aussi un peu venu pour ça. Il en saisit un sous le regard médusé de Lorius et en avala une gorgé. Doux, sucré avec un petit arrière goût de fraise *Délicieuuuuuuuuuuux* cria la voix dans sa tête. Et oui c’était bon, mais pas ce qu’il était venu chercher. Il s’empara donc du second verre et fit de même. Un gout plus fort se fit sentir dans sa bouche, plus chaud, plus piquant. Du rhum de toute évidence. Un bien meilleur choix pour cette soirée. Il lâcha un « Aaaaah » après avoir bu sa gorgée et sourit à son serveur de fortune toujours hébété par la scène, attendant une réponse qui ne viendrait pas car Oliver avait déjà oublié qu’on lui avait posait une question. L’homme cria de plus belle
« Où est-elle ?! »
« On s’ennuiiiiiiiiie » cria-t-il en plein milieu de la rue, regardait par les quelques badauds se demandant ce que voulait cet énergumène. Le dos tassait, les épaules basses, le regard dans le vide, Oliver avait tout de la personne qui n’avait rien à faire. A chaque pas il se demandait bien comment il allait terminer la journée. Rentrer chez lui ? Déjà ? Il n’était pas fatigué, la journée avait été très peu productive, à peine une altercation avec un crétin qui avait eu le malheur de lui faire une réflexion. Oui, certes il avait coupé la queue au vendeur à emporter pour son repas, mais il était pressé, il avait plein de chose à faire après comme… Des trucs qui auraient pu arriver ensuite… Etait-ce une raison de le pousser ? Ce que les gens peuvent être malpolis ! Oliver en avait profité pour lui faire la leçon à grand coup de tatane. En quelques coups c’était réglé en plus. Malpoli et faible, quelle déception c’était, en plus de le déranger il ne l’avait pas amusé.
Et ensuite ? Pas grand-chose, une journée morne. Il avait discuté avec ce type tout de même, Lorius qu’il disait s’appeler, il avait l’air sympa. Ils avaient discuté ensemble de chose que font de vrais amis ! Enfin sans doute… Il lui avait demandé comment il trouvait sa tenue. Drôle de question, mais il était peut-être comme Oliver ? Un peu foufou. En plus ce type était vraiment bien habillé, une vraie tenue de séducteur. Pendant ce cours échange, si intense pour Oliver, il avait réussi à obtenir son prénom.
Au fil de sa marche, Oliver entendit des rires assez forts s’élever. Finalement il y avait peut être une façon de ne pas s’ennuyer à mourir ce soir. En se tournant vers la source du son il remarqua une taverne. Mais c’était bien sûr ! Allez boire un coup était la solution à tout ! Il se frappa la tête de ne pas ya avoir pensé avant tout. Mais boire seul ? Pas fun du tout, non il fallait trouver quelqu’un, et il savait précisément qui allait être ravi de voir son nouvel ami.
« Je me demande comment va Lorius ! »
En un clignement d’œil le calme relative des rues de la ville se changea en un brouhaha constant si propre au débit de boisson, l’air frais laissa place à une chaleur étouffante. Si ça ce n’était pas un signe ! Il voulait inviter Lorius dans un débit de boisson mais il y était déjà ! Il ne pourra pas dire non du coup ! Comme à son habitude après avoir utilisé son pouvoir il faisait le point sur sa situation. Le lieu, c’était ok. Maintenant il avait pris la place de qui ? Il sentit une douleur au pied, un regard à ses petons et il vit des escarpins à ses pieds, ses jambes étaient à nues laissant apparaitre ses poils de jambes puis une petite robe bustier jaune d’où dépasser les quelques poils de son torse. Il en conclut donc rapidement qu’il avait pris la place d’une femme… Ou d’un homme avec des gouts vestimentaire assez unique, mais qui était-il pour juger ?
*J’aime pas du tout cet ensemble* Comme à chaque fois qu’il usait de son pouvoir une voix revenait dans sa tête, et celle là il la reconnaissait entre mille. Plus aigu que la sienne c’était celle d’Oliviera son alter ego jeune femme. Et pour le coup il était assez d’accord, la couleur jaune c’est sooooo an 995.
« MAIS QU’EST-CE QUE … »
Une voix forte s’était élevé dans la taverne, revenant avec ce qui semble être sa commande et celle d’une autre personne, Lorius semblait hébété de voir Oliver ici. Celui-ci lui fit un geste de la main accompagné d’un « Youhouuuuuu ». Lorius se rapprocha de lui.
« Qu’est ce que vous faites là ? Et où est Marina ? » Ah du coup il avait du prendre la place de cette Marina, évidemment sinon ce serait trop simple. Mais ce n’était pas plus mal, cette Marina les auraient empêché de passer une bonne soirée à faire du gringue et tout. Alors que lui voulait passer du temps avec son nouveau pote. Il répondit calmement
« Je suis juste venu boire un coup et je ne sais pas qui est cette Marina mais je suis sur que je suis d’une aussi bonne compagnie si ce n’est mieux. » dit-il en adressant un clin d’œil, plus guidé par son côté Oliviera qu’autre chose.
« Mais vous avez ses vêtements en plus ! C’est une blague ? Elle est où ? » Oliver soupira, une blague ? Comment ça ? Il n’avait pas commencé sa phrase par toc-toc ou c’est l’histoire d’un gloutosaure… Comment cela pouvait être une blague ?
« Et bien… » Son regard se posa sur les deux verres qu’il tenait toujours en main, c’est vrai qu’il était aussi un peu venu pour ça. Il en saisit un sous le regard médusé de Lorius et en avala une gorgé. Doux, sucré avec un petit arrière goût de fraise *Délicieuuuuuuuuuuux* cria la voix dans sa tête. Et oui c’était bon, mais pas ce qu’il était venu chercher. Il s’empara donc du second verre et fit de même. Un gout plus fort se fit sentir dans sa bouche, plus chaud, plus piquant. Du rhum de toute évidence. Un bien meilleur choix pour cette soirée. Il lâcha un « Aaaaah » après avoir bu sa gorgée et sourit à son serveur de fortune toujours hébété par la scène, attendant une réponse qui ne viendrait pas car Oliver avait déjà oublié qu’on lui avait posait une question. L’homme cria de plus belle
« Où est-elle ?! »
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Pour braver l'ennui, rien ne vaut une taverne
Ft : Oliver Kaynes
Honnêtement, tu étais fatigué mais c'était une bonne fatigue n'est ce pas ? Rester une heure à apprendre à écrire puis, l'heure suivante, même si tu exagérais sans doute, à parler de toi à un inconnu... Enfin, c'était son métier mais quand même... Ce n'était pas évident et ça avait eu le don de te chambouler mais, inutile de s'inquiéter pour ton état, tu savais que tu allais rapidement te remettre sur pieds !
Ayant quitté les abords du Temple dédié au culte de Lucy, tu avais erré un instant dans les rues en faisant le point sur ce que tu avais appris dans la journée. De la calligraphie, un fin mélange entre de l'écriture et du dessin mais qui, en réalité, si on prenait le temps de le faire, pouvait produire un très joli résultat.
Tu poussas par la suite un soupir. Ce n'était pas gagné : ayant fait le mariol, comme à ton habitude, avec ton pouvoir que tu n'arrivais toujours pas à maîtriser, tu avais tout simplement survolé les jardins du temple avant de tomber la tête la première dans un buisson. Tu parles d'une bonne manière de rencontrer des gens...
Enfin, ce qui était fait était fait et cette journée, comme toutes les autres d'ailleurs, tirait à sa fin. À présent, la soirée battait son plein et, qui disait soirée disait forcément... Tavernes, bars et autres débits de boissons alcoolisées. Tu pouvais remercier Erwan d'ailleurs car, s'il n'avait pas été là pour t'apprendre, tu n'aurais pas été capable de tenir plusieurs verres sans t'écrouler ivre mort. Combien de verres ? Et bien ça dépendait des soirs et de ta forme.
Pour le moment du moins, tu te sentais en état et, surtout, tu avais besoin de décompresser pour « l'effort de concentration » que tu avais fais dans la journée. Ce fut d'ailleurs avec ce genre de pensées que tu entras dans une taverne :
« Bonsoir ! »
« OU EST ELLE ? »
Tiens, à peine entrer que ça s'échauffait déjà apparemment. Intrigué, tu regardas tout autour de toi pour apercevoir un homme qui hurlait, cherchant une certaine Marina et un.... Homme (?) à l'apparence plus que douteuse, siroter tranquillement son verre. Euh... Il se passait quoi là au juste ? Tu avais la nette impression d'avoir raté quelque chose :
« J'vous repose la question : où est Marina ? Et pourquoi vous portez sa tenue d'ailleurs ?! »
« Comme on dit « tous les goûts sont dans la nature » et apparemment c'est plus que vrai »
Bon sang... Tu te retenais de ne pas éclater de rire tellement la vision que tu avais de cet homme (?) habillé en version féminine t'offrais même si la situation ne prêtait pas vraiment à rire car l'homme semblait réellement rechercher cette fameuse Marina. Pourtant... à part cet homme à l'accoutrement bizarre, tu n'avais croisé personne.
Pourtant, malgré tes efforts pour te retenir, tu ne pus empêcher un grand éclat de rire de sortir de ta bouche parce que, vraiment, il était ridicule dans cette tenue. D'ailleurs, pourquoi il s'était habillé comme ça ? Si c'était quelque chose de volontaire, il y avait vraiment des gens bizarres dans ce monde mais, heureusement, cet éclat de rire soudain n'avait pas enclenché ton pouvoir parce que sinon, tu rigolerais déjà moins.
De plus, l'homme semblait royalement en avoir rien à faire de se faire crier dessus car il continuait de siroter tranquillement sa boisson tandis qu'un serveur regardait autour de lui comme s'il espérait de tout son être être ailleurs qu'ici. Quant à toi, tu eus beaucoup de mal à te calmer car, tout simplement, tu n'y arrivas pas. Au contraire, ton rire se fit de plus en plus fort de sorte que tu fus obligé de te pencher en avant tellement ton estomac te faisait rire. Puis, en faisant un effort que tu devais qualifier de surhumain, tu réussis à te redresser en te tenant toujours les côtes sans t'apercevoir que tu allais être sur le point de commettre un « crime ».
Effectivement, en te redressant, toujours secoué d'un fou rire qui te fus impossible d'arrêter, tu donnas involontairement un coup de coude à l'homme aux cheveux rouges et aux habits féminins, faisant ainsi tomber son verre d'alcool sur ses affaires. Oups...
Ayant quitté les abords du Temple dédié au culte de Lucy, tu avais erré un instant dans les rues en faisant le point sur ce que tu avais appris dans la journée. De la calligraphie, un fin mélange entre de l'écriture et du dessin mais qui, en réalité, si on prenait le temps de le faire, pouvait produire un très joli résultat.
Tu poussas par la suite un soupir. Ce n'était pas gagné : ayant fait le mariol, comme à ton habitude, avec ton pouvoir que tu n'arrivais toujours pas à maîtriser, tu avais tout simplement survolé les jardins du temple avant de tomber la tête la première dans un buisson. Tu parles d'une bonne manière de rencontrer des gens...
Enfin, ce qui était fait était fait et cette journée, comme toutes les autres d'ailleurs, tirait à sa fin. À présent, la soirée battait son plein et, qui disait soirée disait forcément... Tavernes, bars et autres débits de boissons alcoolisées. Tu pouvais remercier Erwan d'ailleurs car, s'il n'avait pas été là pour t'apprendre, tu n'aurais pas été capable de tenir plusieurs verres sans t'écrouler ivre mort. Combien de verres ? Et bien ça dépendait des soirs et de ta forme.
Pour le moment du moins, tu te sentais en état et, surtout, tu avais besoin de décompresser pour « l'effort de concentration » que tu avais fais dans la journée. Ce fut d'ailleurs avec ce genre de pensées que tu entras dans une taverne :
« Bonsoir ! »
« OU EST ELLE ? »
Tiens, à peine entrer que ça s'échauffait déjà apparemment. Intrigué, tu regardas tout autour de toi pour apercevoir un homme qui hurlait, cherchant une certaine Marina et un.... Homme (?) à l'apparence plus que douteuse, siroter tranquillement son verre. Euh... Il se passait quoi là au juste ? Tu avais la nette impression d'avoir raté quelque chose :
« J'vous repose la question : où est Marina ? Et pourquoi vous portez sa tenue d'ailleurs ?! »
« Comme on dit « tous les goûts sont dans la nature » et apparemment c'est plus que vrai »
Bon sang... Tu te retenais de ne pas éclater de rire tellement la vision que tu avais de cet homme (?) habillé en version féminine t'offrais même si la situation ne prêtait pas vraiment à rire car l'homme semblait réellement rechercher cette fameuse Marina. Pourtant... à part cet homme à l'accoutrement bizarre, tu n'avais croisé personne.
Pourtant, malgré tes efforts pour te retenir, tu ne pus empêcher un grand éclat de rire de sortir de ta bouche parce que, vraiment, il était ridicule dans cette tenue. D'ailleurs, pourquoi il s'était habillé comme ça ? Si c'était quelque chose de volontaire, il y avait vraiment des gens bizarres dans ce monde mais, heureusement, cet éclat de rire soudain n'avait pas enclenché ton pouvoir parce que sinon, tu rigolerais déjà moins.
De plus, l'homme semblait royalement en avoir rien à faire de se faire crier dessus car il continuait de siroter tranquillement sa boisson tandis qu'un serveur regardait autour de lui comme s'il espérait de tout son être être ailleurs qu'ici. Quant à toi, tu eus beaucoup de mal à te calmer car, tout simplement, tu n'y arrivas pas. Au contraire, ton rire se fit de plus en plus fort de sorte que tu fus obligé de te pencher en avant tellement ton estomac te faisait rire. Puis, en faisant un effort que tu devais qualifier de surhumain, tu réussis à te redresser en te tenant toujours les côtes sans t'apercevoir que tu allais être sur le point de commettre un « crime ».
Effectivement, en te redressant, toujours secoué d'un fou rire qui te fus impossible d'arrêter, tu donnas involontairement un coup de coude à l'homme aux cheveux rouges et aux habits féminins, faisant ainsi tomber son verre d'alcool sur ses affaires. Oups...
Codage par Libella sur Graphiorum
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« Comme on dit « tous les goûts sont dans la nature » et apparemment c'est plus que vrai »
Oliver tourna la tête pour voir le nouveau venu dans cette fête, une coupe de cheveu certes extravagante mais surtout un cache œil ! Sans doute un pirate du coup, mais il était venu sans son perroquet. Ni sa jambe de bois. Ni son crochet. Sans doute un débutant.
En tout cas il semblait bien s’amuser, en plein dans un fou rire, on avait du lui raconter une bonne blague. Ça faisait plaisir que certaines personnes ne s’inquiétaient pas pour la moindre chose comme un verre renversé ou une personne disparue. Certainement un type bien, amateur de rhum et de rigolade. Il ferait sans doute un meilleur compère que cet imbécile qui n’avait que le nom de Marina à la bouche. Heureusement qu’il avait son verre d’alcool avec lui, il continuait de le siroter quand soudain…
*BAM*
Le drame, un crime horrible venait de se commettre ! Une attaque honteuse, lâche, dans le dos. Un choc terrible à l’arrière de son crâne. C’était le premier effet du choc, ensuite un choc sur les gencives, le bord de son verre heurtant sa bouche et provoquant une forte douleur. Et enfin, peut être le pire, son breuvage, son doux nectar, renversé sur sa belle robe. Dans un long silence il regardait, les yeux dans le vide, la tâche sur sa robe. Il avait l’impression que son monde s’écroulait. Et l’autre qui continuait à gémir, sur où était sa nana. Oliver l’attrapa par le col, le regard noir.
« Ecoute tu me gonfle sévère alors soit tu te casses, soit tu poses ton cul sur un siège et tu profites de la soirée »
Et il le relâche le lançant presque dans un fauteuil. Et maintenant il fallait s’occuper du monstre qui l’avait attaqué. Un cyclope derrière lui, l’espèce de crétin qui était en plein fou rire il y a quelques minutes. Dès qu’il était entré il l’avait détesté au plus haut point, si ça se trouve il s’était moqué de lui c’est pour ça qu’il se marrait, il savait déjà quel mauvais coup il allait faire. Oliver se leva, manquant de trébucher avec ses talons trop hauts. Il plongea son regard dans les yeux… Enfin l’œil de son agresseur.
Il fallait payer pour ce crime, son regard était noir de colère, plein de rage… Avant de se calmer, un grand sourire sur son visage, un regard gentil. C’en était presque spectaculaire comme ses émotions pouvaient changer d’une seconde à l’autre. Noeinoeil se prit donc une claque… Enfin claque, plus une caresse, rien de violent.
« ça s’est pour avoir poussé une jolie demoiselle, goujat ! Hihi ! »
Un petit clin d’œil et le problème est réglé pour Oliviera. Suivi rapidement d’un coup de poing dans le nez, mais pas un petit bourre pif. Une énorme patate ! La haine d’Oliver était revenue tout aussi vite et avait fait trébucher son adversaire. Aussi sec il saisit le verre sans alcool et jeta son contenu sur lui. Œil pour œil dent pour dent… Même si lui avait qu’un œil et Oliver mal au dent.
« Et ça c’est pour ma robe capitaine sans crochet ! »
Il reposa le verre sur le plateau du serveur qui était passé de désabusé à inquiet. Oliver lui rajouta d’un petit sourire innocent et féminin.
« Je vais reprendre un verre de rhum, et c’est ce malotru qui paye… Et un vrai verre, une pinte ! »
Oliver tourna la tête pour voir le nouveau venu dans cette fête, une coupe de cheveu certes extravagante mais surtout un cache œil ! Sans doute un pirate du coup, mais il était venu sans son perroquet. Ni sa jambe de bois. Ni son crochet. Sans doute un débutant.
En tout cas il semblait bien s’amuser, en plein dans un fou rire, on avait du lui raconter une bonne blague. Ça faisait plaisir que certaines personnes ne s’inquiétaient pas pour la moindre chose comme un verre renversé ou une personne disparue. Certainement un type bien, amateur de rhum et de rigolade. Il ferait sans doute un meilleur compère que cet imbécile qui n’avait que le nom de Marina à la bouche. Heureusement qu’il avait son verre d’alcool avec lui, il continuait de le siroter quand soudain…
*BAM*
Le drame, un crime horrible venait de se commettre ! Une attaque honteuse, lâche, dans le dos. Un choc terrible à l’arrière de son crâne. C’était le premier effet du choc, ensuite un choc sur les gencives, le bord de son verre heurtant sa bouche et provoquant une forte douleur. Et enfin, peut être le pire, son breuvage, son doux nectar, renversé sur sa belle robe. Dans un long silence il regardait, les yeux dans le vide, la tâche sur sa robe. Il avait l’impression que son monde s’écroulait. Et l’autre qui continuait à gémir, sur où était sa nana. Oliver l’attrapa par le col, le regard noir.
« Ecoute tu me gonfle sévère alors soit tu te casses, soit tu poses ton cul sur un siège et tu profites de la soirée »
Et il le relâche le lançant presque dans un fauteuil. Et maintenant il fallait s’occuper du monstre qui l’avait attaqué. Un cyclope derrière lui, l’espèce de crétin qui était en plein fou rire il y a quelques minutes. Dès qu’il était entré il l’avait détesté au plus haut point, si ça se trouve il s’était moqué de lui c’est pour ça qu’il se marrait, il savait déjà quel mauvais coup il allait faire. Oliver se leva, manquant de trébucher avec ses talons trop hauts. Il plongea son regard dans les yeux… Enfin l’œil de son agresseur.
Il fallait payer pour ce crime, son regard était noir de colère, plein de rage… Avant de se calmer, un grand sourire sur son visage, un regard gentil. C’en était presque spectaculaire comme ses émotions pouvaient changer d’une seconde à l’autre. Noeinoeil se prit donc une claque… Enfin claque, plus une caresse, rien de violent.
« ça s’est pour avoir poussé une jolie demoiselle, goujat ! Hihi ! »
Un petit clin d’œil et le problème est réglé pour Oliviera. Suivi rapidement d’un coup de poing dans le nez, mais pas un petit bourre pif. Une énorme patate ! La haine d’Oliver était revenue tout aussi vite et avait fait trébucher son adversaire. Aussi sec il saisit le verre sans alcool et jeta son contenu sur lui. Œil pour œil dent pour dent… Même si lui avait qu’un œil et Oliver mal au dent.
« Et ça c’est pour ma robe capitaine sans crochet ! »
Il reposa le verre sur le plateau du serveur qui était passé de désabusé à inquiet. Oliver lui rajouta d’un petit sourire innocent et féminin.
« Je vais reprendre un verre de rhum, et c’est ce malotru qui paye… Et un vrai verre, une pinte ! »
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Pour braver l'ennui, rien ne vaut une taverne
Ft : Oliver Kaynes
Alors là... Toi qui pensais être le seul a en tenir une couche et bien... Il semblerait que tu ai trouvé ton maître dans le genre bizarre. En tout cas, vous aviez des points d'opposition tous les deux : déjà en commençant par votre physique. Cet homme (?) possédait des cheveux rouges alors que les tiens étaient bleus. Puis, il y avait aussi cet étrange accoutrement.
La jupe, qui ne semblait pas lui appartenir, sinon c'était qu'effectivement il avait des goûts étranges, tirait sur l' améthyste ou alors peut être était ce un genre de violet en tout cas, comme tu l'avais dis précédemment : tous les goûts étaient bel et bien dans la nature et, chacun avait apparemment ses goûts en matière de couleur.
En tout cas le tavernier semblait être vert de rage en prenant cet étrange individu en grippe en lui demandant où se trouvait une certaine Marina. Y avait il une « chance » pour que cet accoutrement appartienne à cette fameuse jeune femme ? Franchement tu l'ignorais mais si ce serait drôle si jamais c'était le cas.
En tout cas, la « guerre » semblait être déclaré car l'homme finit par prendre le tavernier par le col en lui lançant un regard noir. En tous les cas, il avait du répondant à n'en pas douter et puis il fallait aussi dire que tu étais étonné qu'il n'ai pas réagit à ta bousculade involontaire s'il réagissait comme ça avec le tavernier.
Alors que tu pensais avoir eu de la chance, l'homme (?) finit par s'approcher de toi en tendant une main vers ton visage pour te... Caresser ? Alors que tu t'attendais à recevoir un gros coup de poing dans la figure, tu te surpris à rosir légèrement sous le geste de ton interlocuteur/trice en l'entendant te dire que c'était pour avoir poussé une jolie demoiselle avant de te traiter de goujat :
« Ahah... » Commenças tu à répondre d'un air embarrassé : « Faut pas m'en vouloir, je l'ai pas fais exp... »
Mais tu n'eus pas le temps de finir ta phrase car tout se passa très vite car, en une fraction de seconde, te semblait il, tu te retrouvas quelques mètres plus bas, sur le sol, du sang carmin s'écoulant de ton nez pour atterrir sur le plancher marron de la taverne. La douleur était telle qu'elle te fis grogner.
N'étant pas du genre à t'emporter pour rien mais sachant tout de même te défendre, tu eus le réflexe de vouloir te relever, tout en maintenant la pression sur ton nez pour ne pas te vider de ton sang même si, évidemment, ça n'allait pas aller jusque là :
« Alors, déj'na... » Parce que oui parler du nez n'était pas évident : « Je voulais m'excus'ner à la base... C'était pas la peine de... Me cass'ner le nez... »
A vos cotés, tu pouvais sentir le regard franchement étonné tandis que le sang formait des tâches pourpres sur le sol. Le serveur, aussi blasé qu'inquiet, te tendit aussitôt un mouchoir blanc que tu pressas sur ton nez en continuant de gémir avec douleur : si ça se trouvait, il t'avais VRAIMENT cassé le nez en t'écrasant son poing comme ça...
Et c'était quoi ce surnom de « capitaine sans crochets » ? Bon d'accord, tu avais toujours un look « pirate » mais bon... Tu grognas alors que le mouchoir s'imbibait rapidement pour finir par être totalement rouge, tandis que l'homme demanda au serveur un verre de rhum et... Sur ta note en plus... évidemment tu répliquas :
« Encore une fois, je l'ai pas fais expr'nès... J'ai juste ét'né un peu maladroit c'est tout... Et puis je pense pas avoir assez pour pay'ner de toutes façons... T'in en plus... ç'n'a fait un mal de chien... »
Grognas tu tandis que le serveur s'était empressé de demander un verre de rhum au taverner histoire de ne pas raviver la haine de l'homme à la robe dont tu ne connaissais pas encore le nom même si tu avais déjà « fais connaissance » avec son poing...
La jupe, qui ne semblait pas lui appartenir, sinon c'était qu'effectivement il avait des goûts étranges, tirait sur l' améthyste ou alors peut être était ce un genre de violet en tout cas, comme tu l'avais dis précédemment : tous les goûts étaient bel et bien dans la nature et, chacun avait apparemment ses goûts en matière de couleur.
En tout cas le tavernier semblait être vert de rage en prenant cet étrange individu en grippe en lui demandant où se trouvait une certaine Marina. Y avait il une « chance » pour que cet accoutrement appartienne à cette fameuse jeune femme ? Franchement tu l'ignorais mais si ce serait drôle si jamais c'était le cas.
En tout cas, la « guerre » semblait être déclaré car l'homme finit par prendre le tavernier par le col en lui lançant un regard noir. En tous les cas, il avait du répondant à n'en pas douter et puis il fallait aussi dire que tu étais étonné qu'il n'ai pas réagit à ta bousculade involontaire s'il réagissait comme ça avec le tavernier.
Alors que tu pensais avoir eu de la chance, l'homme (?) finit par s'approcher de toi en tendant une main vers ton visage pour te... Caresser ? Alors que tu t'attendais à recevoir un gros coup de poing dans la figure, tu te surpris à rosir légèrement sous le geste de ton interlocuteur/trice en l'entendant te dire que c'était pour avoir poussé une jolie demoiselle avant de te traiter de goujat :
« Ahah... » Commenças tu à répondre d'un air embarrassé : « Faut pas m'en vouloir, je l'ai pas fais exp... »
Mais tu n'eus pas le temps de finir ta phrase car tout se passa très vite car, en une fraction de seconde, te semblait il, tu te retrouvas quelques mètres plus bas, sur le sol, du sang carmin s'écoulant de ton nez pour atterrir sur le plancher marron de la taverne. La douleur était telle qu'elle te fis grogner.
N'étant pas du genre à t'emporter pour rien mais sachant tout de même te défendre, tu eus le réflexe de vouloir te relever, tout en maintenant la pression sur ton nez pour ne pas te vider de ton sang même si, évidemment, ça n'allait pas aller jusque là :
« Alors, déj'na... » Parce que oui parler du nez n'était pas évident : « Je voulais m'excus'ner à la base... C'était pas la peine de... Me cass'ner le nez... »
A vos cotés, tu pouvais sentir le regard franchement étonné tandis que le sang formait des tâches pourpres sur le sol. Le serveur, aussi blasé qu'inquiet, te tendit aussitôt un mouchoir blanc que tu pressas sur ton nez en continuant de gémir avec douleur : si ça se trouvait, il t'avais VRAIMENT cassé le nez en t'écrasant son poing comme ça...
Et c'était quoi ce surnom de « capitaine sans crochets » ? Bon d'accord, tu avais toujours un look « pirate » mais bon... Tu grognas alors que le mouchoir s'imbibait rapidement pour finir par être totalement rouge, tandis que l'homme demanda au serveur un verre de rhum et... Sur ta note en plus... évidemment tu répliquas :
« Encore une fois, je l'ai pas fais expr'nès... J'ai juste ét'né un peu maladroit c'est tout... Et puis je pense pas avoir assez pour pay'ner de toutes façons... T'in en plus... ç'n'a fait un mal de chien... »
Grognas tu tandis que le serveur s'était empressé de demander un verre de rhum au taverner histoire de ne pas raviver la haine de l'homme à la robe dont tu ne connaissais pas encore le nom même si tu avais déjà « fais connaissance » avec son poing...
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L’ambiance au sein de la taverne était devenu électrique d’un certain côté cela animait la soirée des badaud qui trainait dans ce coin, une bonne baston c’est toujours un plaisir à regarder un verre à la main. Mais il semblait que cela soit déjà terminé. Le pirate se relever déjà alors que le serveur déposait le verre d’oliver, d’une façon hésitante, tremblotante, de peur d’être lui aussi vicitme du courroux de cet homme déguisé en femme et avec une attitude instable. Il prit le grand verre et s’enfila son contenu d’une seule traite. Il n’était plus de bonne humeur. Son ami s’inquiétait plus pour cette fichue nana qu de passer du temps avec lui, sa robe était foutue, on l’avait lâchement agressé… Bref rien n’allait et rien ne l’amusait dans cette soirée morose. Alors autant boire de tout son saoul c’était tout ce qui lui restait.
« Je voulais m'excus'ner à la base... »
La main d’Oliver se resserra contre son verre, il n’entendait plus rien d’autre, plus le bruit de la taverne en pleine effervescence après l’altercation, plus c’est bruit de verre et de discussion houleuse, plus cet homme qui se demandait encore où elle pouvait être. Non il n’avait entendu que ces mots là, d’une voix nasillarde, « excuser ». Son agresseur venait lui demander pardon ? On en était arrivé à ce point là ? Encore une fois il avait face à lui un lâche qui n’avait pas le courage d’assumer ses actes ?
Il ne comptait plus le nombre de fois où on l’avait pris en grippe, où les gens s’énervaient contre lui au point d’en venir au mains avant de se transformer en carpette. Il n’y a rien qui le rendait plus fou que ça. Ces personnes n’assumaient pas leurs actes, et encore une fois il en avait un face à lui. Un nuisible toujours prêt à donner lâchement le premier coup mais prompt à baisser le dos et à s’excuser quand l’amusement commence.
« Encore une fois, je l'ai pas fais expr'nès... »
La main se serrait encore plus contre ce fichu verre vide que le serveur ne lui remplissait déjà plus. Oubliant au passage que cela ne faisait qu’une dizaine de seconde qu’il l’avait est presque tout autant qu’il était vide. Après les excuses le fait que ce soit involontaire. Quelle meilleure manière de se dédouaner, que de dire que c’était involontaire. Et puis quoi encore ? Pas fait exprès de lui mettre un coup dans le dos ? C’était un pirate, on ne pouvait lui faire confiance. Mais le coup de grâce était à venir.
« Et puis je pense pas avoir assez pour pay'ner de toutes façons... »
Les yeux d’Oliver s’étaient écarquillés, toujours posé sur le verre. En plus il ne pouvait pas payer ? Il ne pouvait rembourser sa dette ? Il allait devoir payer ses consommations ? C’tait les mots de trop, ce type l’a il le cherchait clairement, toute personne saine d’esprit le comprenait, les autres devaient avoir une case en moins. Il inspira un grand coup avant d’éclater de rire.
« Et j’ai l’air d’avoir une poche sur ma robe ou je cache mon argent ? »
Il se retourna vers on interlocuteur au nez en miette, un grand sourire sur le visage, les yeux fermés. Un visage remplit d’innocence. Avant d’un geste de main jeter son verre au visage de son agresseur.
Le regard d’Oliver était redevenu noir alors qu’il se levait pour faire face à cette vermine. Il avait évité le verre ? Ou l’alcool ne lui avait pas fait lancer droit le projectile. En tout cas le bruit de verre brisé se fit entendre un peu plus loin dans la taverne avec un retour d’agitation dans tout le débit de boisson. L’excitation venait de remonter d’un cran. Alors que certains déguerpissait pour ne pas être pris dans l’altercation d’autres se tassait pour observer ce qui semblait bien parti pour être une bonne vielle bagarre. Certains encourager le cyclope des mers en l’appelant par sa couleur, le bleu, alors que d’autres encouragé la féminité incarné par le rouge. Le patron était complètement dépassé par ce qu’il se passait dans son établissement alors que le serveur d’un calme olympien se dépêchait de retirer les bouteilles et autres verres qui pouvaient être pris dans l’échauffourée.
« Donc si je résume, tu as pour but de bousiller ma soirée, tu m’agresses et une fois que c’est fait tu t’excuses, dès que ça commence à devenir un peu marrant ? Et tu as même pas moyen de réparer les dégâts que tu fais ? Ma belle robe neuve! TU ES SERIEUX ?! C’est quoi ton problème tu es juste un roquet, tu aboies fort, wouaf wouaf, tu mordille un coup et après tu fuis ?! J’en ai marre de tomber sur des abrutis sans honneur ! »
Il écarta en grand les bras face à son adversaire du soir, plongeant son regard dans le sien.
« Donc c’est ton style de lâche hein ? Ba vas y je t’offre le premier coup vu que tu flippes quand tu peux pas taper dans le dos. A moins que tu te comportes comme une poule à un œil mouillé, tu as déjà tous les critères pour le moment ! Cot cot. »
A cela il ajoutait des mouvements d’ailes avec les bras, des avants et arrières de la tête. Pour Oliver il n’y avait pas d’autres solutions pour s’amuser un coup, il fallait sans doute en prendre. L’alcool l’aidait en plus à chercher les embrouilles. Il espérait simplement que l’homme à un œil soit assez distrayant.
« Je voulais m'excus'ner à la base... »
La main d’Oliver se resserra contre son verre, il n’entendait plus rien d’autre, plus le bruit de la taverne en pleine effervescence après l’altercation, plus c’est bruit de verre et de discussion houleuse, plus cet homme qui se demandait encore où elle pouvait être. Non il n’avait entendu que ces mots là, d’une voix nasillarde, « excuser ». Son agresseur venait lui demander pardon ? On en était arrivé à ce point là ? Encore une fois il avait face à lui un lâche qui n’avait pas le courage d’assumer ses actes ?
Il ne comptait plus le nombre de fois où on l’avait pris en grippe, où les gens s’énervaient contre lui au point d’en venir au mains avant de se transformer en carpette. Il n’y a rien qui le rendait plus fou que ça. Ces personnes n’assumaient pas leurs actes, et encore une fois il en avait un face à lui. Un nuisible toujours prêt à donner lâchement le premier coup mais prompt à baisser le dos et à s’excuser quand l’amusement commence.
« Encore une fois, je l'ai pas fais expr'nès... »
La main se serrait encore plus contre ce fichu verre vide que le serveur ne lui remplissait déjà plus. Oubliant au passage que cela ne faisait qu’une dizaine de seconde qu’il l’avait est presque tout autant qu’il était vide. Après les excuses le fait que ce soit involontaire. Quelle meilleure manière de se dédouaner, que de dire que c’était involontaire. Et puis quoi encore ? Pas fait exprès de lui mettre un coup dans le dos ? C’était un pirate, on ne pouvait lui faire confiance. Mais le coup de grâce était à venir.
« Et puis je pense pas avoir assez pour pay'ner de toutes façons... »
Les yeux d’Oliver s’étaient écarquillés, toujours posé sur le verre. En plus il ne pouvait pas payer ? Il ne pouvait rembourser sa dette ? Il allait devoir payer ses consommations ? C’tait les mots de trop, ce type l’a il le cherchait clairement, toute personne saine d’esprit le comprenait, les autres devaient avoir une case en moins. Il inspira un grand coup avant d’éclater de rire.
« Et j’ai l’air d’avoir une poche sur ma robe ou je cache mon argent ? »
Il se retourna vers on interlocuteur au nez en miette, un grand sourire sur le visage, les yeux fermés. Un visage remplit d’innocence. Avant d’un geste de main jeter son verre au visage de son agresseur.
Le regard d’Oliver était redevenu noir alors qu’il se levait pour faire face à cette vermine. Il avait évité le verre ? Ou l’alcool ne lui avait pas fait lancer droit le projectile. En tout cas le bruit de verre brisé se fit entendre un peu plus loin dans la taverne avec un retour d’agitation dans tout le débit de boisson. L’excitation venait de remonter d’un cran. Alors que certains déguerpissait pour ne pas être pris dans l’altercation d’autres se tassait pour observer ce qui semblait bien parti pour être une bonne vielle bagarre. Certains encourager le cyclope des mers en l’appelant par sa couleur, le bleu, alors que d’autres encouragé la féminité incarné par le rouge. Le patron était complètement dépassé par ce qu’il se passait dans son établissement alors que le serveur d’un calme olympien se dépêchait de retirer les bouteilles et autres verres qui pouvaient être pris dans l’échauffourée.
« Donc si je résume, tu as pour but de bousiller ma soirée, tu m’agresses et une fois que c’est fait tu t’excuses, dès que ça commence à devenir un peu marrant ? Et tu as même pas moyen de réparer les dégâts que tu fais ? Ma belle robe neuve! TU ES SERIEUX ?! C’est quoi ton problème tu es juste un roquet, tu aboies fort, wouaf wouaf, tu mordille un coup et après tu fuis ?! J’en ai marre de tomber sur des abrutis sans honneur ! »
Il écarta en grand les bras face à son adversaire du soir, plongeant son regard dans le sien.
« Donc c’est ton style de lâche hein ? Ba vas y je t’offre le premier coup vu que tu flippes quand tu peux pas taper dans le dos. A moins que tu te comportes comme une poule à un œil mouillé, tu as déjà tous les critères pour le moment ! Cot cot. »
A cela il ajoutait des mouvements d’ailes avec les bras, des avants et arrières de la tête. Pour Oliver il n’y avait pas d’autres solutions pour s’amuser un coup, il fallait sans doute en prendre. L’alcool l’aidait en plus à chercher les embrouilles. Il espérait simplement que l’homme à un œil soit assez distrayant.
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Pour braver l'ennui, rien ne vaut une taverne
Ft : Oliver Kaynes
Par Lucy mais qu'était il sérieusement entrain de se passer ? Tu avais juste passé la porte d'une taverne et tu te retrouvais avec le nez en bouilli, comme s'il avait été écrasé par une charge de sanglier des montagnes et ce n'était pas une sensation franchement très agréable.
Tout ça parce qu'un homme habillé étrangement n'avait apparemment pas apprécié le fait que tu lui renverse involontairement un verre de vin sur des vêtements qui n'étaient sûrement pas les siens. D'accord, tu n'avais pas eu le temps de lui poser la question mais... Vu le caractère de chouettours qu'il avait... Mieux valait éviter de le mettre encore plus en rogne même si, bon par Lucy, ça faisait mal !
Puis, tu t'étais excusé auprès de lui mais cela ne semblait pas suffire. Que fallait il que tu fasses alors ? Que tu te mettes à genoux et que tu jettes un regard de petit shalupin pour espérer te faire pardonner d'une « faute », encore une fois, involontaire ? Puis, quoi encore ? Il fallait que tu lui paie la prochaine tournée avec un alcool de qualité en plus ? Qu'est ce qu'il était ce gars, au juste ? Un kapitaliste ?
Une partie de toi se disait qu'il n'y avait qu'une solution : prendre tes jambes à ton cou et filer avec la vitesse d'un rapidodo pour sortir de cette taverne mais bon... De toute façon c'était trop tard puisque le serveur avait déjà déposé la bouteille sur la table, tremblant comme un petit gloot prit dans les pattes d'un béhémot.
Tu n'avais donc pas le choix et plongea tes mains dans tes poches. Heureusement, tu avais assez de cristaux mais... Tu allais devoir te restreindre et cela te fis te sentir comme un cerberus obligé de manger des légumes... Toi qui voulais prendre du bon temps pour boire et bien... Tu allais devoir commander un verre d'eau à ce train là.
De plus, la colère de l'homme (?) était injustifiée :
« Déjà c'est quoi ce délire de venir en robe aussi... » La douleur de ton nez s'estompait, heureusement : « Au lieu de te moquer de mon look, tu devrais d'abord faire attention au tien, tu crois pas ? Franchement, j'ai l'impression qu'un minotaure m'est passé dessus... »
Autour de vous, les rumeurs circulaient. Tu entendais certains habitués s'enfuir tandis que d'autres, prit dans l'effervescence, t'encourageais en te surnommant « le bleu » et nommant également ce qui allait devenir ton adversaire à force, « le rouge ». Tu poussas un soupir en te disant que toutes les bonnes vieilles bastons de tavernes commençaient toujours ainsi...
Enfin, pourquoi pas, surtout que l'homme (?) semblait toujours sur le point de s'enflammer, ressemblant à un incandescent en pleine attaque. Pourquoi pas mais tu n'allais pas être celui qui allait porter le premier co... Ah... Tu sentais quelque chose d'humide contre tes vêtements et te rendis compte que ton interlocuteur (?) avait également renversé son verre, de façon totalement volontaire cette fois, sur toi.
Ce fut donc à toi de commencer à t'enflammer, surtout qu'il continuait de te provoquer :
« On va d'abord commencer par se calmer, d'accord ? De un, j'ai pas voulu te chercher parce que je te rappelle que cet accident était IN-VO-LON-TAIRE ! C'est toi qui as commencé à m'aboyer dessus je te signale ! Et puis, me renverser volontairement le verre comme ça, tu crois pas que c'est un peu trop puéril ? » Regardez qui était entrain de parler... Parce que oui, il était impossible de dire avec exactitude lequel d'entre vous deux avait le comportement le plus puéril.... : « C'est une imitation assez réaliste je dirais. À croire que tu es plus habitué que moi à jouer le rôle de la poule mouillée ! »
La logique aurait évidemment voulu que tu arrêtes de le provoquer pour ne pas rajouter « de l'huile sur le feu » mais non... De plus, il fallait dire que les habitués devenus à présent des spectateurs, derrière toi, t'encouragaient assez et puis... L'homme (?) n'avait pas totalement tord dans sa comparaison avec une poule mouillée sauf qu'il ne savait pas encore que tu pouvais faire apparaître de véritables ailes...
Finalement, ton envie de fuir s'estompa totalement, comme ennivré par cette atmosphère de « combat » même si, encore heureux, vous n'en étiez pas encore venu aux mains mais quelque chose te disais que ça n'allait pas tarder à arriver...
Tout ça parce qu'un homme habillé étrangement n'avait apparemment pas apprécié le fait que tu lui renverse involontairement un verre de vin sur des vêtements qui n'étaient sûrement pas les siens. D'accord, tu n'avais pas eu le temps de lui poser la question mais... Vu le caractère de chouettours qu'il avait... Mieux valait éviter de le mettre encore plus en rogne même si, bon par Lucy, ça faisait mal !
Puis, tu t'étais excusé auprès de lui mais cela ne semblait pas suffire. Que fallait il que tu fasses alors ? Que tu te mettes à genoux et que tu jettes un regard de petit shalupin pour espérer te faire pardonner d'une « faute », encore une fois, involontaire ? Puis, quoi encore ? Il fallait que tu lui paie la prochaine tournée avec un alcool de qualité en plus ? Qu'est ce qu'il était ce gars, au juste ? Un kapitaliste ?
Une partie de toi se disait qu'il n'y avait qu'une solution : prendre tes jambes à ton cou et filer avec la vitesse d'un rapidodo pour sortir de cette taverne mais bon... De toute façon c'était trop tard puisque le serveur avait déjà déposé la bouteille sur la table, tremblant comme un petit gloot prit dans les pattes d'un béhémot.
Tu n'avais donc pas le choix et plongea tes mains dans tes poches. Heureusement, tu avais assez de cristaux mais... Tu allais devoir te restreindre et cela te fis te sentir comme un cerberus obligé de manger des légumes... Toi qui voulais prendre du bon temps pour boire et bien... Tu allais devoir commander un verre d'eau à ce train là.
De plus, la colère de l'homme (?) était injustifiée :
« Déjà c'est quoi ce délire de venir en robe aussi... » La douleur de ton nez s'estompait, heureusement : « Au lieu de te moquer de mon look, tu devrais d'abord faire attention au tien, tu crois pas ? Franchement, j'ai l'impression qu'un minotaure m'est passé dessus... »
Autour de vous, les rumeurs circulaient. Tu entendais certains habitués s'enfuir tandis que d'autres, prit dans l'effervescence, t'encourageais en te surnommant « le bleu » et nommant également ce qui allait devenir ton adversaire à force, « le rouge ». Tu poussas un soupir en te disant que toutes les bonnes vieilles bastons de tavernes commençaient toujours ainsi...
Enfin, pourquoi pas, surtout que l'homme (?) semblait toujours sur le point de s'enflammer, ressemblant à un incandescent en pleine attaque. Pourquoi pas mais tu n'allais pas être celui qui allait porter le premier co... Ah... Tu sentais quelque chose d'humide contre tes vêtements et te rendis compte que ton interlocuteur (?) avait également renversé son verre, de façon totalement volontaire cette fois, sur toi.
Ce fut donc à toi de commencer à t'enflammer, surtout qu'il continuait de te provoquer :
« On va d'abord commencer par se calmer, d'accord ? De un, j'ai pas voulu te chercher parce que je te rappelle que cet accident était IN-VO-LON-TAIRE ! C'est toi qui as commencé à m'aboyer dessus je te signale ! Et puis, me renverser volontairement le verre comme ça, tu crois pas que c'est un peu trop puéril ? » Regardez qui était entrain de parler... Parce que oui, il était impossible de dire avec exactitude lequel d'entre vous deux avait le comportement le plus puéril.... : « C'est une imitation assez réaliste je dirais. À croire que tu es plus habitué que moi à jouer le rôle de la poule mouillée ! »
La logique aurait évidemment voulu que tu arrêtes de le provoquer pour ne pas rajouter « de l'huile sur le feu » mais non... De plus, il fallait dire que les habitués devenus à présent des spectateurs, derrière toi, t'encouragaient assez et puis... L'homme (?) n'avait pas totalement tord dans sa comparaison avec une poule mouillée sauf qu'il ne savait pas encore que tu pouvais faire apparaître de véritables ailes...
Finalement, ton envie de fuir s'estompa totalement, comme ennivré par cette atmosphère de « combat » même si, encore heureux, vous n'en étiez pas encore venu aux mains mais quelque chose te disais que ça n'allait pas tarder à arriver...
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L’atmosphère de la taverne commençait à s’enivrer, d’une altercation qui pouvait nuire à la soirée de tous les gens débattait sur le fait de savoir qui était en mesure de mettre l’autre K.O. Les plus farfelu parié sur cet homme/femme en robe de soirée mais qui avait déjà porté le premier coup alors que les plus censé disait que le bleu était sans doute plus posé et que ce serait lui qui parviendrait à en sortir vainqueur. Oliver lui s’en foutait, l’intérêt d’une baston était de se mettre dessus et ce n’était pas grave s’il perdait. Au contraire il aimait affronter des gens plus fort que lui, des gens qui lui permettraient de se surpasser, des gens qui lui donnerait envie de se battre à nouveau contre eux. Mais ce type là était il de cette trempe ? Certes l’effet pirate l’avait fait espérer mais maintenant… Il jactait plus qu’autre chose et peu d’action.
Se moquer de son look ? Mais pour qui se prenait ce type ! Oui il se moquait de son look, le cache œil c’est pas mal mais il pouvait aller plus loin, un crochet, une jambe de bois, un oiseau portant le doux nom de Coco sur l’épaule et criant des « Milles sabords ! » ou « Hissez la grand voile » c’était le minimum pour être sérieux avec le premier accessoire. Mais l’impardonnable arriva dans les prochains mots. Minotaure… La jeune Oliviera devint folle de rage… Minotaure ? Il savait combien de temps ça lui avait pris d’enfiler cette robe ? Combien de régime il avait du faire pour la garder à la bonne taille ? Et les concessions qui étaient nécessaire ? Il n’avait pas commandé à manger pour faire gaffe à sa ligne. Mais ça les gens ne le voyait pas. Soit aux grands mots…
Il saisit son némésis et d’un geste violent, rapide, mortel il lui arracha un bout de chair et le dégusta face à tous. L’assemblée devait être stupéfaite par une telle sauvagerie. Mais il l’avait cherché. Seul un homme décida de lever la voix par rapport à cela.
« C’est…C’est mon poulet… »
Regardant l’homme d’un air frustré Oliver répondit, pilon de poulet à la main qu’il venait de voler à cet homme.
« Quand je suis frustré je mange et j’oublie tout de mes bonnes résolutions… Oh et pariait sur le rouge… »
Son premier ennemi vaincu, mais était-ce une victoire ? Il se retourna de nouveau vers l’autre adversaire toujours en train de blablater et en plus sans être capable de trouver un seul bon mot pour calmer Oliver. Accident, premier tique, surtout au niveau de ses yeux, il se dédouaner de cette attaque en faisant croire à un vulgaire accident, comme ce type qui avait essayé de lui casser le pied au marché en lui marchant dessus. Involontaire en insistant bien sur chaque syllabe de ce mot. Les poings se serrent. Rien n’est jamais involontaire, est ce qu’il avait dit qu’il avait renversé involontairement son verre sur lui ? Je ne crois pas ? Alors pourquoi la bleusaille le faisait… Et enfin il lui fit le coup le plus bas au monde, le miroir-miroir… Ou boomerang-boomerang… Ou c’estceluiquiditquiyest… bref un coup interdit dans tout duel qui se respecte, une réaction que seul un irresponsable sans scrupule serait capable de faire. Son regard s’embrasa, devait t’il que non c’était lui la poule mouillé plus un ? Et s’il lui répondait plus l’infini… Là il serait foutu… Non il n’y avait pas deux cent solution possible, il ne partirait pas sur cette guerre déshonorante n’ayant aucune règle. Ce sont les poings qui parleront.
Ses mains se détendirent, son regard s’apaisa et il poussa un long souffle, souriant à son rival. Puis le pied droit recula pour donner de l’élan au pied gauche. Patatra, il était au sol, grommelant. Des rires se firent entendre dans la pièce, il faut dire que le spectacle était cocasse, entre talon et jupe trop serrée cela était inévitable et c’était Oliver qui s’était déséquilibré lui-même et avait le derrière sur le plancher. Il se releva, prêt à laver cet affront, il ne serait pas celui qui se battrait lui-même. Le roi des pirates avait utilisé la guerre des mots, lui avait d’autres atouts dans sa manche. Il se retourna vers l’homme au poulet, qui semblait décidé bien agrippé à sa proie, il le comprenait c’était vachement bon, mais ce n’était pas après le poulet qu’il en avait. Il saisit le couteau posé sur la table, le serrant bien fort dans sa main et le brandissant bien haut, un regard fou et un sourire sadique aux lèvres ;
« J’ai plus de limites maintenant, tu vas voir »
L’agitation avait pris la taverne, là ça allait trop loin, mais c’était trop tard, même pour Oliver c’était trop mais il n’avait pas le choix. La lame s’abattit, transperçant sa victime, un silence de mort s’en suivit. Il l’avait fait, il l’avait planté comme ça. Ce n’était pourtant pas sa faute mais il n’avait pas eu le choix. Oliver commença à sangloter de ce geste ignoble qu’il venait de réaliser
« Je… J’avais pas le choix… J’avais aucune chance sinon … snif… Pardon »
Il renifla encore du nez alors que la taverne recommençait à murmurer, d’un geste sec il poussa sur le couteau pour finir le travail. Il avait lui-même transpercé sa robe à l’entre jambe afin d’être bien plus libre de ses mouvements. Quel acte ignoble mais nécessaire. Il joua encore un peu avec le couteau, perdu dans ses pensées. Il maniait très bien les couteaux, c’était son arme fétiche. Puis d’un geste brusque il lança le couteau en l’air qui vint se planter au dessus de lui au plafond. Il profita de cet effet de surpris pour asséner le fameux coup de pied dans le ventre de l’autre. Il était enfin en mesure de ce battre.
« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs il vous reste encore du temps pour placer vos paris, ce soir nous ne battons pas pour rien, mais pour savoir qui de nous deux est … LA POUUUUUUUUUUUUUUUULE MOUIIIIIIIIIIIIIIIILLE ULTIIIIIIIIIIIIIME. »
A ces mots le bar s’enflamma, entre rire et encouragement, les paris et les encouragements allaient de plus belle.
« Oh et le gagnant prend 10% des gains »
Certains dans la taverne le regardaient sans trop osé le contredire de cette nouvelle règle au paris. Lui s’était déjà mis en position pour se battre faisant le geste à noeinoeil de s’approcher par la main un grand sourire aux lèvres.
« Allez viens je t’attends Cocotte ! »
Se moquer de son look ? Mais pour qui se prenait ce type ! Oui il se moquait de son look, le cache œil c’est pas mal mais il pouvait aller plus loin, un crochet, une jambe de bois, un oiseau portant le doux nom de Coco sur l’épaule et criant des « Milles sabords ! » ou « Hissez la grand voile » c’était le minimum pour être sérieux avec le premier accessoire. Mais l’impardonnable arriva dans les prochains mots. Minotaure… La jeune Oliviera devint folle de rage… Minotaure ? Il savait combien de temps ça lui avait pris d’enfiler cette robe ? Combien de régime il avait du faire pour la garder à la bonne taille ? Et les concessions qui étaient nécessaire ? Il n’avait pas commandé à manger pour faire gaffe à sa ligne. Mais ça les gens ne le voyait pas. Soit aux grands mots…
Il saisit son némésis et d’un geste violent, rapide, mortel il lui arracha un bout de chair et le dégusta face à tous. L’assemblée devait être stupéfaite par une telle sauvagerie. Mais il l’avait cherché. Seul un homme décida de lever la voix par rapport à cela.
« C’est…C’est mon poulet… »
Regardant l’homme d’un air frustré Oliver répondit, pilon de poulet à la main qu’il venait de voler à cet homme.
« Quand je suis frustré je mange et j’oublie tout de mes bonnes résolutions… Oh et pariait sur le rouge… »
Son premier ennemi vaincu, mais était-ce une victoire ? Il se retourna de nouveau vers l’autre adversaire toujours en train de blablater et en plus sans être capable de trouver un seul bon mot pour calmer Oliver. Accident, premier tique, surtout au niveau de ses yeux, il se dédouaner de cette attaque en faisant croire à un vulgaire accident, comme ce type qui avait essayé de lui casser le pied au marché en lui marchant dessus. Involontaire en insistant bien sur chaque syllabe de ce mot. Les poings se serrent. Rien n’est jamais involontaire, est ce qu’il avait dit qu’il avait renversé involontairement son verre sur lui ? Je ne crois pas ? Alors pourquoi la bleusaille le faisait… Et enfin il lui fit le coup le plus bas au monde, le miroir-miroir… Ou boomerang-boomerang… Ou c’estceluiquiditquiyest… bref un coup interdit dans tout duel qui se respecte, une réaction que seul un irresponsable sans scrupule serait capable de faire. Son regard s’embrasa, devait t’il que non c’était lui la poule mouillé plus un ? Et s’il lui répondait plus l’infini… Là il serait foutu… Non il n’y avait pas deux cent solution possible, il ne partirait pas sur cette guerre déshonorante n’ayant aucune règle. Ce sont les poings qui parleront.
Ses mains se détendirent, son regard s’apaisa et il poussa un long souffle, souriant à son rival. Puis le pied droit recula pour donner de l’élan au pied gauche. Patatra, il était au sol, grommelant. Des rires se firent entendre dans la pièce, il faut dire que le spectacle était cocasse, entre talon et jupe trop serrée cela était inévitable et c’était Oliver qui s’était déséquilibré lui-même et avait le derrière sur le plancher. Il se releva, prêt à laver cet affront, il ne serait pas celui qui se battrait lui-même. Le roi des pirates avait utilisé la guerre des mots, lui avait d’autres atouts dans sa manche. Il se retourna vers l’homme au poulet, qui semblait décidé bien agrippé à sa proie, il le comprenait c’était vachement bon, mais ce n’était pas après le poulet qu’il en avait. Il saisit le couteau posé sur la table, le serrant bien fort dans sa main et le brandissant bien haut, un regard fou et un sourire sadique aux lèvres ;
« J’ai plus de limites maintenant, tu vas voir »
L’agitation avait pris la taverne, là ça allait trop loin, mais c’était trop tard, même pour Oliver c’était trop mais il n’avait pas le choix. La lame s’abattit, transperçant sa victime, un silence de mort s’en suivit. Il l’avait fait, il l’avait planté comme ça. Ce n’était pourtant pas sa faute mais il n’avait pas eu le choix. Oliver commença à sangloter de ce geste ignoble qu’il venait de réaliser
« Je… J’avais pas le choix… J’avais aucune chance sinon … snif… Pardon »
Il renifla encore du nez alors que la taverne recommençait à murmurer, d’un geste sec il poussa sur le couteau pour finir le travail. Il avait lui-même transpercé sa robe à l’entre jambe afin d’être bien plus libre de ses mouvements. Quel acte ignoble mais nécessaire. Il joua encore un peu avec le couteau, perdu dans ses pensées. Il maniait très bien les couteaux, c’était son arme fétiche. Puis d’un geste brusque il lança le couteau en l’air qui vint se planter au dessus de lui au plafond. Il profita de cet effet de surpris pour asséner le fameux coup de pied dans le ventre de l’autre. Il était enfin en mesure de ce battre.
« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs il vous reste encore du temps pour placer vos paris, ce soir nous ne battons pas pour rien, mais pour savoir qui de nous deux est … LA POUUUUUUUUUUUUUUUULE MOUIIIIIIIIIIIIIIIILLE ULTIIIIIIIIIIIIIME. »
A ces mots le bar s’enflamma, entre rire et encouragement, les paris et les encouragements allaient de plus belle.
« Oh et le gagnant prend 10% des gains »
Certains dans la taverne le regardaient sans trop osé le contredire de cette nouvelle règle au paris. Lui s’était déjà mis en position pour se battre faisant le geste à noeinoeil de s’approcher par la main un grand sourire aux lèvres.
« Allez viens je t’attends Cocotte ! »
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Pour braver l'ennui, rien ne vaut une taverne
Ft : Oliver Kaynes
Bon alors... Si tu avais à résumer la situation actuelle, ce serait... Hum... Non, il n'y avait rien à résumer tout simplement parce que la situation actuelle était incompréhensible justement. Tu avais bien conscience que chaque individu était différent en ce monde mais... Tu ignorais qu'il pouvait également y avoir des cas aussi désespérés que celui de cet individu aux cheveux rouges....
Bon, tu avais compris qu'il cherchait réellement la bagarre mais pourquoi exactement ? Parce que tu avais involontairement renversé du vin sur sa robe ? Et d'ailleurs, pourquoi une telle tenue qui ne lui allait absolument pas ? Enfin bon... Là n'était qu'une petite partie du problème parce que, effectivement, dans cette taverne, les habitués étaient très intéressés par la bagarre qui allait certainement éclater entre vous deux.
De plus, vos surnoms semblaient déjà être en place : le « bleu » pour toi et, le « rouge » pour ton adversaire tout simplement à cause de vos couleurs de cheveux respectifs mais... Alors que tu pensais que le combat n'allait pas tarder à commencer, quelle ne fut pas ta surprise lorsque tu vis l'individu... S'emparer d'un poulet d'un habitué pour le manger. Mais... Que ?...
Le choc de la surprise te coupa toute tentative de parole, si bien que tu restas bouche bée, le temps de voir le couteau voler dans les airs et se planter dans le plafond. Mais avant cela... L'homme en jupe dont tu ne connaissais toujours pas le nom parce que vous n'aviez toujours pas eu le temps de vous présenter, tomba lui même, sûrement destabilisé par sa jupe justement, même si le vêtement en question avait finit par être tragiquement tranché par le couteau qui avait finit sa course au plafond. Et toi... Dans tout ça ? A part rester debout, planté à regarder avec des yeux de merlan frit... Du moins jusqu'à ce que tu ne sentes une désagréable douleur au niveau du ventre car l'individu avait « attaquer » de nouveau... En hurlant ensuite un truc à propos d'une certaine « poule mouillée ultime ». Bon... Ok... Il y avait vraiment quelque chose qui n'allait pas rond à propos de cet individu mais, le problème c'était qu'il réussissait à se mettre le « public » de la taverne dans la poche en proposant un système de paris en disant que le gagnant aurait 10% des gains.
Passé la douleur de cette première attaque au ventre, tu te mis également en position. Bon... Les combats simplement au corps à corps n'étaient pas ton fort mais bon... Tu n'allais tout de même pas te servir de tes dagues pour un simple combat de taverne, si ? Puis, quand tu le vis te faire signe d'attaquer, tu eus un sourire :
« Merci pour l'invitation mais j'ai pour principe de ne jamais être le premier qui attaque. Ce n'est pas bon pour mon image » Fanfaronnas tu tandis que, derrière vous, les clameurs allaient de bon train : « Bon... Faut dire que j'ai pas le choix que d'accepter vu que t'as tout fait pour enflammer l'ambiance et ça va sûrement encore me retomber dessus si je la laisse se refroidir donc... » Sans hurler comme ton adversaire, tu énonças ta dernière phrase en haussant la voix : « Allez y, les paris sont ouverts et, pour les plus téméraires, pariez donc sur le bleu ! »
La garde haute, les poings relevés au niveau de ton visage, tu te préparais comme un boxeur qui allait commencer son match même si... Tu partais déjà avec un léger handicap dans le sens où la douleur dans ton ventre et sur ta joue n'étaient pas tout à fait partie. Cependant, il fallait bien que tu assures un minimum le spectacle, non ?
Bon, tu avais compris qu'il cherchait réellement la bagarre mais pourquoi exactement ? Parce que tu avais involontairement renversé du vin sur sa robe ? Et d'ailleurs, pourquoi une telle tenue qui ne lui allait absolument pas ? Enfin bon... Là n'était qu'une petite partie du problème parce que, effectivement, dans cette taverne, les habitués étaient très intéressés par la bagarre qui allait certainement éclater entre vous deux.
De plus, vos surnoms semblaient déjà être en place : le « bleu » pour toi et, le « rouge » pour ton adversaire tout simplement à cause de vos couleurs de cheveux respectifs mais... Alors que tu pensais que le combat n'allait pas tarder à commencer, quelle ne fut pas ta surprise lorsque tu vis l'individu... S'emparer d'un poulet d'un habitué pour le manger. Mais... Que ?...
Le choc de la surprise te coupa toute tentative de parole, si bien que tu restas bouche bée, le temps de voir le couteau voler dans les airs et se planter dans le plafond. Mais avant cela... L'homme en jupe dont tu ne connaissais toujours pas le nom parce que vous n'aviez toujours pas eu le temps de vous présenter, tomba lui même, sûrement destabilisé par sa jupe justement, même si le vêtement en question avait finit par être tragiquement tranché par le couteau qui avait finit sa course au plafond. Et toi... Dans tout ça ? A part rester debout, planté à regarder avec des yeux de merlan frit... Du moins jusqu'à ce que tu ne sentes une désagréable douleur au niveau du ventre car l'individu avait « attaquer » de nouveau... En hurlant ensuite un truc à propos d'une certaine « poule mouillée ultime ». Bon... Ok... Il y avait vraiment quelque chose qui n'allait pas rond à propos de cet individu mais, le problème c'était qu'il réussissait à se mettre le « public » de la taverne dans la poche en proposant un système de paris en disant que le gagnant aurait 10% des gains.
Passé la douleur de cette première attaque au ventre, tu te mis également en position. Bon... Les combats simplement au corps à corps n'étaient pas ton fort mais bon... Tu n'allais tout de même pas te servir de tes dagues pour un simple combat de taverne, si ? Puis, quand tu le vis te faire signe d'attaquer, tu eus un sourire :
« Merci pour l'invitation mais j'ai pour principe de ne jamais être le premier qui attaque. Ce n'est pas bon pour mon image » Fanfaronnas tu tandis que, derrière vous, les clameurs allaient de bon train : « Bon... Faut dire que j'ai pas le choix que d'accepter vu que t'as tout fait pour enflammer l'ambiance et ça va sûrement encore me retomber dessus si je la laisse se refroidir donc... » Sans hurler comme ton adversaire, tu énonças ta dernière phrase en haussant la voix : « Allez y, les paris sont ouverts et, pour les plus téméraires, pariez donc sur le bleu ! »
La garde haute, les poings relevés au niveau de ton visage, tu te préparais comme un boxeur qui allait commencer son match même si... Tu partais déjà avec un léger handicap dans le sens où la douleur dans ton ventre et sur ta joue n'étaient pas tout à fait partie. Cependant, il fallait bien que tu assures un minimum le spectacle, non ?
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