Age : 16 ans
Sexe : Masculin.
Groupe : Garde
Rang : Apprenti Espion / Couverture: Garde Civile
Orientation sexuelle : Hétérosexuel mais peu intéressé par le sujet.
Arme de prédilection : Epées courtes
En quelques mots...
Zetto est un jeune garde malin mais peu agréable au quotidien que je vous laisse découvrir au travers de cette fiche. Notamment parce que je ne suis pas amateur de résumés.
Nom du pouvoir : Lien de transfert.
Catégorie : Soin
Ce pouvoir ne peut s’activer que sur des personnes pour qui Zetto a un lien affectif plus ou moins fort. C’est la principale raison pour laquelle il n’a toujours pas découvert sa magie, n’ayant jamais eu assez d’affinité avec quelqu’un pour en user.
Zetto est capable de créer un lien magique temporaire avec un humanoïde permettant de transférer n’importe quelle blessure ou maladie et ce dans les deux sens. C’est un processus rapide pour des maux superficiels mais qui peut durer plusieurs dizaines de minutes pour des blessures/maladies bien plus graves. Usant beaucoup d’énergie magique, même pour un moindre mal, le jeune homme ne peut l’utiliser qu’une fois par jour.
Cette magie, qui dégage une forte et puissante lumière blanche, nécessite un contact physique (toucher direct) régénérant la cible du soin tout en infligeant ses maux au futur blessé. Ne sachant pas se servir de ce pouvoir et n’ayant jamais subi de blessures ou maladies graves, Zetto devra apprendre à gérer la douleur afin de mener un transfert important à bien.
• Physique :
Une chose est sûre, ce jeune garde n’a pas la carrure d’un guerrier! Du haut de ses 1m70, son corps reste svelte malgré une évidente apparence fine. Il n’a cependant pas à rougir face à ses collègues, son physique ayant été forgé par les nombreuses heures d’entraînement à l’académie.
Son impassibilité constante cache un visage doux si l’on se donne la peine de l’observer. Vous remarquerez rapidement qu’il n’est pas rare de le voir se battre avec les mèches de sa tignasse blonde mal coiffée. Au travers de ce rideau de mèches rebelles, des yeux d’un marron clair intense aussi expressifs que curieux et vivace. Quelques cicatrices de petites tailles parcellent ça et là certaines parties de son corps et témoignent d’une formation plutôt tumultueuse.
Ses tenues vestimentaires sont souvent banales, à la fois simples et fonctionnelles, elles lui permettent de ne jamais le gêner. Zetto porte toujours sur lui deux épées courtes qu’il entretient régulièrement, un fourreau à l’avant de la ceinture, l’autre à l’arrière.
• Mentale :
Au premier abord, Zetto est quelqu’un qui parle très peu et ne semble pas intéressé par les personnes en général. Son regard expressif trahit un visage ne laissant passer que peu d’émotions, il ne sera pas rare qu’il vous envoie balader, se faisant rapidement une idée des gens qu’il fréquente.
Très, voir trop, critique sur les dires et les actes des gens, vous pourriez être surpris à l’entendre vous reprendre et partager son point de vue. Si jamais vous avez cette chance, c’est qu’il a de l’estime pour vous.
Discret, il a tendance à rapidement se faire oublier et ne parlera jamais si ce n’est que pour dire l’essentiel.
Malgré son parler assez simple, c’est un jeune homme brillant à la mémoire très fiable et à l’intelligence exploitée. Cela implique que c’est quelqu’un de très rancunier: Il n’oublie jamais, il ne pardonne pas.
Pragmatique et discipliné, même à son jeune âge, c’est quelqu’un d’incroyablement déterminé qui a trop souvent ce qu’il veut une fois l’idée en tête. Ce n’est pas pour rien qu’il en est arrivé là alors que tout jouait contre lui à ses débuts. En revanche, une fois ses objectifs atteints il sombre rapidement dans l’ennui, sentiment des plus désagréables pour quelqu’un comme lui qui cherche constamment à apprendre de nouvelles choses.
Abandonné et placé dans un orphelinat de campagne peu de temps après sa naissance, Zetto après quelque années est devenu un bambin blondinet aux yeux clairs remplis d’étoiles.
Malgré un manque certain d’éducation aussi bien scolaire que de vie, les habitants de son petit village ont souvent été surpris par sa vivacité d’esprit et son avance pour son jeune âge.
- Wow !
Les cliquetis des armures en mouvement des deux gardes passant alors par là pour leur patrouille sont recouverts par les cris d’admiration des enfants du village. Principalement constitué de corps de fermes, il est assez rare de voir des militaires dans la zone et c’est le regard rêveur que le blondinet fixe ces deux hommes au demeurant pas si exceptionnels que ça.
- Arrête de te faire des idées ! Tu seras jamais comme eux. Non seulement t’es tout maigrichon mais en plus tu sais même pas utiliser la magie à ton âge !
La remarque acerbe de son aîné à l’orphelinat transperce le petit cœur du gamin. Il faut dire, l’attention que portent les villageois pour Zetto est source de jalousie au sein de son petit groupe de réfugiés.
Colère
Le bambin ne dit rien, mais il sert les poings de toutes ses forces, piqué au vif. Encouragé par sa réaction, son aîné reprend de plus belle et se met à répéter d’un ton moqueur que c’est un petit faiblard. Il n’aura fallu qu’une minute ou deux pour qu’il se jette sur le grand en le frappant de toutes ses forces sans réel résultat. C’est sans surprise qu’il se fera dérouiller, sauvé par un autre grand qui aura eu l’intelligence de les séparer.
Assis en tailleur sur le sol terreux, non remis de ses émotions et des larmes de douleur et de susceptibilité aux coins des yeux, Zetto cherche à nouveau un peu d’inspiration en admirant les militaires.
Mais les deux gardes semblent déjà être partis.
…
Les années ont encore défilé, le garçon entre dans l’adolescence. Il a rapidement appris à lire et à compter grâce à la femme du chef du village qui prend la peine de donner cours aux réfugiés.
Lui ne demande que ça, apprendre.
Il connaît déjà par cœur toutes les histoires des héros de ce monde que le vénérable chef du village voulait bien leur conter.
Il est plus motivé que jamais à suivre son rêve d’enfant. De toutes façons, il n’a rien d’autre pour lui ici. Tous les jeunes de son âge le détestent et le travail de la terre ne l’intéresse pas. Socialement, il ne sait pas s’intégrer et n’en a clairement pas envie, ses objectifs n’ayant aucun lien avec ce lieu.
C’est donc quelques jours avant sa douzième année qu’il pousse la lourde porte de la salle commune du village où siège le doyen. Celui-ci, surpris de le voir venir pour la première fois, lui fait signe d’approcher. Tous les regards des villageois présents se tournent vers lui, ajoutant toujours plus de pression au pré-adolescent qui n’a pas l’habitude de se faire remarquer.
Il s’approche alors du vielle homme et s’incline respectueusement avant que le silence s’installe.
Gêne
- … Je veux partir m’inscrire à l’académie militaire, à la capitale, m’sieur!
Sa voix est hésitante, il se rend bien compte de l’importance de ce moment pour son avenir, mais son ton est solide.
- Oh! Oh! Mon petit, rejoindre la garde c’est jouer avec un feu qui risque de te dévorer. Toi qui es si malin aussi jeune, pourquoi me demandes-tu de partir t’enrôler? Tu nous serais bien utile ici tu sais?
Cette question ambiguë lui offre la chance de s’expliquer mais Zetto ne sait pas comment aborder la question.
Il réfléchit.
La garde civile incarne tous ses idéaux fraîchement fondés, il est prêt à s’offrir corps et âme pour gravir les échelons jusqu’à son rêve. Sa magie semble ne jamais vouloir se pointer, mais il deviendra un excellent guerrier pour peu qu’on le lui inculque, il en est sur.
Sans s’en rendre compte, le garçon a pensé tout haut. C’est sous le regard devenu glacial du chef du village que Zetto prend un air coupable pendant une fraction de seconde.
- C’est d’accord.
Un grand sourire se dessine sur le visage du jeune adolescent pour la première fois depuis des années. Impressionné par la présence d’esprit de son protégé, le chef du village lui donne congé d’un geste et Zetto se dirige vers la porte de sortie.
- Oh! s’exclame alors le vielle homme comme s’il venait de se rappeler de quelque chose. Et ne reviens pas avant d’avoir eu tes plaques.
Le futur militaire ne manque pas de s’en faire la promesse.
…
La chaleur de l’après-midi commence à se faire sentir lorsque Zetto s’arrête en plein milieu de la place commerçante de la capitale, à la fois choqué et émerveillé par la splendeur du lieu. Tout ce monde l’intimide et il regrette la pauvreté de sa tenue comparé aux si beaux habits des citoyens de l’endroit. La sensation de faire tâche au milieu de la rue ne le démonte cependant pas et c’est d’un pas déterminé qu’il se dirige vers la caserne.
Les tests d’admission n’auront pas été aussi simples qu’il le pensait. Son incapacité à utiliser sa magie et ses piètres performances sportives auront demandé une analyse plus approfondie aux examinateurs qui finirent par accepter face à l’intelligence et à la détermination du gamin.
Il sait qu’il va en baver et c’est tant mieux, il n’a aucun problème avec la discipline.
Sans réelle surprise, il ne tisse aucune affinité avec ses camarades d’internat, ignorant complètement la plupart. Souvent moqué, parfois mal-aimé, Zetto a la fâcheuse tendance à ralentir le groupe lors des formations pratiques. Malgré tous ses efforts, il lui est difficile de gagner en force.
En revanche, il excelle et finit régulièrement premier aux tests théoriques, retenant parfaitement à peu près tout ce que l’académie enseigne.
...
L’adolescent âgé maintenant de 14 ans pénètre dans la pièce éclairée par la lueur de l’aube. Une odeur persistante de sueur agresse légèrement ses narines. La main de l’instructeur repose sur la garde de son épée qui se trouve sur son côté. Les cliquetis des plaques de son armure vient rompre le silence en cette matinée pourtant si calme. Aujourd’hui est un jour déterminent. Son instructeur aux armes menace de le virer de l’académie s’il ne prouve pas qu’il est capable de se battre correctement. Il l’a convoqué pour le mettre à l’épreuve et ce n’est pas gagné pour le blondinet.
Une fois au centre de la salle, le maître d’arme dégaine lentement. Sa lame fait entendre son chant qui met mal à l’aise le jeune homme. Le visage froid, l’instructeur se met en garde, attendant que sa recrue fasse de même.
Zetto récupère une épée longue au râtelier et se met en garde à son tour. L’examen peut commencer…
- Tu n’as pas bientôt fini de brasser de l’air?
Le garçon n’ose pas répondre, épuisé par la lourdeur de son équipement et l’instructeur qui cherche constamment à le déstabiliser au combat.
- T’as les bases, mais ça ne te va pas. Enlève cette armure et prend une lame plus légère.
Dépité, il s’exécute, tâchant de ne pas faire trop de bruit qui résonnerait dans le silence de la pièce. Il choisit deux épées courtes qui vaudront un haussement de sourcil à l’instructeur. Après tout pourquoi pas? Le combat ne tarde pas à reprendre…
Les coups n’ont cessé de pleuvoir, Zetto achève sa parade avec une extrême rigueur, aussi vif que son léger corps le lui permet. Il se laisse cependant surprendre par la dernière botte du maître d’armes et reçoit un violent coup dans les cotes du plat de l’épée. Contre toute attente, le guerrier a l’air satisfait.
- Ça fera l’affaire. Range ton équipement et retourne t’entraîner avec les autres, aspirant.
Le garçon, ignorant au mieux sa cuisante douleur, se relève d’un bond.
- A vos ordres.
Épuisé.
L’instructeur est parti et aura eu la bonté de le laisser récupérer. Zetto ne peut s’empêcher de lâcher un soupir de soulagement, sentiment rapidement remplacé par l’épuisement et la douleur lorsque ses poumons se sont gonflés.
Et je dois retourner à l’entraînement…
Les dents serrés de douleur, il sort de la salle en direction du cours. Il a mal mais n’en a rien à faire, il est prêt à tout.
…
Zetto passe l’index sur le bord de son verre à moitié vide. La remise de son diplôme militaire et de ses plaques ce matin l’a empli de joie et de fierté. Les dernière années de sa formation militaire auront été plus simples que les premières. Devenu rapide et endurant physiquement, il se satisfait pleinement du rôle d’éclaireurs dans les missions de test aux aspirants.
Maintenant, il se sent vide.
L’adolescent passe sa main dans sa tignasse blonde, le regard vide. Il est affecté à la Garde Civile et a déjà pour mission le lendemain une patrouille non loin de la capitale. Tout en fixant le sol, il ne peut s’empêcher de laisser son esprit penser qu’il risque de ne plus apprendre grand chose maintenant sa formation est terminée. Voir ses camarades de promotion en train de faire les pitres devant les jolies demoiselles aura eu raison de lui, il ne tarde pas à quitter la taverne pour passer sa dernière nuit à l’internat.
…
Ennui.
- Eh! Tu pourrais me répondre quand je te parle.
Cela fait plus d’une heure que Zetto patrouille avec son collègue légèrement plus âgé que lui. Il se tourne vers celui-ci, un brin d’agacement dans sa voix.
- Désolé. J’ai rien à dire.
Être garde est visiblement bien moins passionnant que ce qu’il imaginait plus jeune. Tant d’années d’entraînement pour finir patrouilleur. Certes, ce n’est pas le combattant le plus compétent mais quand même, la pilule est dure à avaler. Un pas après l’autre, il avance vers l’ennui.
C’est alors qu’un de ses camarades de promotions arrive en courant et s’arrête à son niveau.
- Zetto! On m’a demandé de te remettre cette lettre et de prendre ta relève.
Étonné, l’adolescent à la tignasse blonde prend la lettre que lui tend son collègue et commence à s’éloigner.
- Merci.
Les deux gardes nouvellement rencontrés reprennent leur patrouille pendant que Zetto ouvre la lettre scellée du sceau officiel de la garde.
Tu es attendu aux bureaux de la Commission, présente toi à l'accueil.
Un frisson d’excitation lui parcourt le corps et il ne tarde pas à courir aussi vite que ses jambes le lui permettent vers la capitale.
…
Après avoir été fouillé, le jeune homme rentre dans la pièce tout aussi discrète que surveillée. Le secrétaire alors présent ne prend même pas la peine de le regarder, affairé à ses papiers. Il lui indique tout de même:
- Vous pouvez passer. Feuille vous attend dans le bureau à côté.
Feuille ?
D’un pas hésitant, Zetto s’approche de la porte du bureau. L’endroit est spacieux, ça le change de la froideur spartiate de la caserne. Mettant fin rapidement à sa contemplation, le garçon frappe avant d’entrer et tombe face au bureau où siège un homme trentenaire plutôt commun mais dégageant quelque chose de particulier qu’il ne connaissait pas encore. Dans tous les cas, il devine que c’est probablement son dossier militaire qu’il a dans les mains.
Il s’empresse alors de faire le salut de la Garde Civile.
- Garde Zetto, présent m’sieur!
Le regard de l’homme semble amusé mais il lui répond sur un ton autoritaire.
- Appelle-moi Lichael et assis-toi. Tu as fait vite, je t’en remercie.
Tâchant de cacher l’intimidation par un homme visiblement si haut gradé, l’adolescent s’exécute sans dire un mot.
- Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je t’ai fait venir pour te proposer un poste au rang d’espion. Intéressé?
- Je ne suis pas sur de correspondre au profil m’sieur.
- Lichael. L’homme prend alors un regard sévère. Au contraire, ton dossier met en avant ta discrétion, ton intelligence et ta perspicacité. Même si tu n’as pas encore les compétences requises, les trois années de formation qui t’attendent si tu acceptes se chargeront de régler le problème.
Une proposition inespérée pour Zetto dont la soif d’apprendre et l’ennui n’a pas de limite. Quelques longues secondes plus tard, le garçon soutient à nouveau le regard de Lichael.
- Dans ce cas, j’accepte.
- Tu sais ce qui t’attend? Il en coûte beaucoup de nous rejoindre.
- J’en ai qu’une maigre idée, mais j’apprendrai.
- Tu ne pourras pas faire machine arrière, tu en es conscient?
- Oui.
Un court silence s’installe, brisé par Lichael qui se lève gracieusement et lui tend une main bienveillante.
- Dans ce cas, bienvenue dans la famille Zetto.
Famille.
Ce mot touche particulièrement le garçon qui ne peut retenir un si rare sourire. Il se lève à son tour et accepte la poignée de main, le cœur chaud. Il ne sait pas ce qui l’attend mais étrangement, il a confiance.
- Tu vas garder ton affectation actuelle en guise de couverture. Ne parle de cet entretien à personne, c’est important, trouve une excuse si on te demande ce que tu faisais. On te contactera bientôt. Tu peux disposer.
Une fois le bâtiment quitté, le jeune homme n’en revient toujours pas. Il sait que sa vie est sur le point de changer drastiquement mais il n’arrive pas à se faire à l’idée. Il prend son temps pour retourner à son poste, cherchant à mettre de l’ordre dans sa tête.
Déterminé.
Ton pseudo : J'en ai jamais assez !
J'ai un quart de siècle ! J'aime la lecture, l'écriture, la musique blablabla...
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Lire dans les pensées.
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Je ne pense pas, je bien derrière mon ordi moi :)
Quelle serait la première chose que tu ferais ? J'aurais pas utilisé mes méninges pour rentrer dans la garde !
Côté HRP
Double compte ? Nop
Comment as-tu connu le forum ? Google est mon ami !
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]VINLAND SAGA[/b], Thorfinn @Zetto
La bienvenuuue sur Aryon, amuse-toi bien parmi nous !
Au plaisir de se croiser en RP
Je vais m'occuper de ta fiche, avant de te valider, il va falloir modifier et ajuster quelques éléments :
- Tout d'abord ton avatar. Comme écrit dans le règlement tu dois connaitre sa source, c'est à dire le nom du personnage et l'oeuvre d'où il provient OU l'artiste dans le cas d'OC.
- Enusuite L'aspect "ne sent pas la douleur" de base qui peut être mitigé. Avec l'aspect n'a plus de sens du toucher ça pourrait passer mais pas vu la nature de ton pouvoir. Son principal contre coup est useless vu que tu ne ressents pas la douleur. Donc cela ne passera pas : il faut retirer l'un ou modifier l'autre.
- Côté histoire y'a l'aspect "école" qui est incohérent. Vu que l'école public d'Aryon s'arrête au primaire (donc vers les 11/12 ans) ensuite, tu dois soit faire appel à des precepteurs particuliers soit directement te former au métier en tant qu'apprentis. Donc idem pour tout ce qui est classe, proviseur, expulsion etc...
- Idem pour la majorité, elle est a 16 ans sur Aryon et non 18.
- Pour s'enroler dans la milice, deux possibilités et elles se passent toutes deux à la capitale : soit ton personnage a déjà des bases en combats etc et après une série de test, peut intégrer la garde en tant que soldat, soit il doit passer par l'académie militaire à l'age de 12 ans pour ensuite entrer à la garde à 16. Et ce n'est pas aussi "simple" dans les deux cas : y'a des séries de test non seulement physique (capacités et santé) mais aussi contrôle de sa magie et surtout psychologique. Une enquête est faite sur l'entourage et la personne etc...
- La partie où tu mentionnes ton pouvoir sera a modifier en fonction de ta décision plus haut. Idem pour l'aspect ne sent pas la douleur.
- Ensuite question, j'ai pas tout pigé. Tu as commis un -ou plusieurs- meurtres ? (hors accident de la flèche entre les yeux) les gens savent ? Parce que si oui, cela ferait de toi un criminel recherché par la garde (possible, mais à prendre en compte)
Voilà, j'attend ton retour pour repasser sur ta fiche, si tu as des questions n'hésites pas !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire ! Tu peux aussi demander une chambre à la CASERNE.
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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