Age : 14 ans
Sexe : Masculin
Groupe : Citoyens
Spécialité/Métier/etc : Vendeur ambulant colportant des fioles de parfums
En quelques mots...
Bien que Menteur surtout sur sa santé Arthur est bienveillant.
Courageux oui mais ce jeune garçon refoule trop ce qui le rend calme face au danger mais fait qu’il craque après très fort.
Arthur est d’un grand altruiste quand il n’est pas seul.
Il aime la vie et aime vivre mais s’empêche de la partager avec les autres à qui il a peur de faire du mal.
En effet, il déteste son don même s’il l’utilise pour son commerce et la vente à ses clients de parfums.
A cause de ce pouvoir il se voit dangereux pour lui et les autres et se dit sans arrêt ‘’Je dois être fort’’ et ‘’à part’’, c’est son leitmotiv 1. Malgré son amour de ce qui l’entoure et vie, il chasse et pêche, en effet manger ou être mangé est son leitmotiv numéro 2.
Il ne se permettait comme ami que Pi son Rapidodo mais il l'a laissé avec d'autres douloureusement persuadé que celui-ci en sera plus heureux.
Pourtant il aimerait tant que ce soit autrement.
Sans ce don maudit il ne ferait pas des terreurs nocturnes et pipi honteusement durant la nuit.
Il n’aurait pas en tête ce qui attiré par son parfum a été le commencement de son drame.
Cette cassure, cette fissure en lui qui le fait identifier à ce qui a tout fait basculer, son don ‘’maudit’’ et cette très grande créature ailée aux plumes qui sentent pour lui la terreur et la culpabilité.
Ce Chouettours aux yeux couleur sang comme ce qu’il croit faire risquer à son entourage.
Nom du pouvoir : parfum magique
Catégorie : Divers
Effet : En quoi consiste votre pouvoir ?
Encens magique :
Impossible de se cacher avec ce pouvoir une odeur émane de lui.
Ce parfum empli de magie attire la curiosité de toutes sortes de créatures plus ou moins dangereuses.
Tout être magique peut la sentir (et aller voir ou pas selon sa curiosité).
Elle a pour eux soit une douce et agréable odeur soit un fumet ragoutant, cela change selon la personne/créature.
• Durée de l'effet : Est-il passif ou actif ? S'il est actif : combien temps dure-t-il ? Est-ce que l'activation a une durée définie également ? Il est passif et agit en continue même quand il dort. Cependant selon la force des états d’âmes de l’enfant l’odeur couvre plus ou moins de terrain.
• Zone de l'effet :En temps normal c’est une odeur qui ne se répand pas au-delà d’un kilomètre maximum et est supportable à respirer, elle est telle une brise qui s’en va et retourne au jeune garçon.
Elle est invisible mais pas inodore, ni inexistante, une brise oui on la ressent et on la sent même. Quand le jeune garçon est très mal cela peut atteindre deux kilomètres et sentir si fort que cela en est presque étouffant.
• Conditions d'activation : Le parfum change d’odeur plus ou moins délectable selon les humeurs du jeune homme.
• Contre-coups : Que se passe-t-il si vous utilisez trop votre pouvoir ? Quels sont les effets ? Au bout de combien de temps vous commencez à les ressentir ? Étant passif c’est plutôt la puissance qui fatigue le jeune Arthur que ce soit la distance couverte ou la force de l’odeur. Une augmentation trop puissante de son don en distance ou force peut aller de la simple fatigue à une inconscience de plusieurs jours niveau physique. Niveau psychique plus le jeune homme change d’humeurs donc d’odeurs plus il fatigue mentalement.
• Faiblesses : Arthur a des humeurs qui peuvent changer sans transition de temps en temps, c’est un contrecoup psychique de son don.
Le don attise la curiosité chez tout être magique mais ne l’oblige pas à suivre l’odeur qui l’intrigue. Cela a valu et vaudra à Arthur bien des rencontres heureuses et malheureuses.
• Autres : Le garçon parcourait les routes avec une valise emplie de fioles , le tout harnaché à un Rapidodo nommée « Pi » qui lui est très lié depuis qu'il est tout petit. Mais depuis peu Arthur laissa le cœur lourd ''Pi" à sa famille il continue donc le voyage seul.
• En Vente : Ces fioles contiennent le parfum du jeune homme qu’il aspire avec leur embout et vend en colporteur parfumeur. Il fabrique lui même ses fioles en taillant le bois avec son canif, elles ont l’allure d’un sifflet qu’il referme bien avec du tissu.
Caractère et Physique d’un enfant errant dans la pénombre en regardant la lueur
Arthur est un enfant, il a quatorze ans mais il a encore cette étincelle enfantine qui à la fois le rend sensible et imaginatif, nourrit son intelligence mais ses émotions aussi qui changent d’ailleurs assez rapidement.
Avide de curiosité il connaît beaucoup de plantes et tout ce qu’il peut apprendre depuis petit il l’apprend.
Arthur est un jeune garçon qui veut se dépasser et réagir avec logique. Il creuse son cœur tel un Foreur cette taupe griffues, puis le referme pour y enfermer sa peur et sa tristesse.
Arthur n’est pas sincère sur ce qu’il ressent il a comme leitmotiv « Ça va ! Tout va bien ! » et ce il le dit même en larmes.
Il se trouve qu’Arthur a un pouvoir qui peut attirer possiblement selon leurs bons vouloirs toujours des bêtes autant inoffensives que dangereuses.
Il est un danger pour lui-même et fera tout pour survivre car Arthur aime la vie, les rayons du soleil le matin, les Pinplumes qui baillent en ouvrant leurs ailes ces lapins blancs à stries noires sur le visage et ailés, entendre le chant des Ribou le soir, ces oiseaux minuscules bruns et avec des pattes et une queue fleurie, parler à ses clients à qui il vend du parfum, entendre les Mantabu des petites raies bleues claires tachetées de blanc et aux oreilles à la forme de celle d’un lapin nain nager dans les ruisseaux.
Oui Arthur aime vivre malgré la douleur, malgré le danger, malgré ce don qu’il n’arrive pas encore à apprécier, malgré le premier drame aux yeux de sang, malgré sa solitude et cet espoir cassé de revivre avec sa famille, non il n’est pas parti pour vivre avec eux non il est simplement allé sur les routes car il veut les revoir en vie et heureux de loin et ça lui suffira oui ça lui ira...n’est ce pas ?
Il a dit revenir à son mentor pour le rassurer, mais même si il les retrouve il n’ira pas leur parler. Ils sont mieux sans lui, c’est comme ça il veut juste vérifier qu’après tout ce temps ils vont bien et sa petite sœur si elle sourit encore si candidement, si son père raconte toujours avec animations ses aventures, Si Maman oui Maman si tu, avec la glaise de différentes couleurs en mélangeant, tu peins encore un monde plus beau que tu déposes peut-être, encore, sur le front de Luna qui a du grandir pour qu’elle fasse après ce bisou au front de doux rêves.
Juste ça.
Pour rassurer, Arthur est un menteur, pas le plus doué mais pas le plus malhabile.
La vérité fait mal et blesse il aimerait qu’elle n’existe pas mais autour de lui oui autour elle existe bien.
Arthur est un garçon de quatorze ans aux habits vieux mais dont il prend grand soin au maximum du possible du moins, la rivière est parfois sa seule source de lavage pour lui et le linge. Il possède peu à part quelques habits, une gourde en peau, un baluchon d’aliments renouvelés, le tout dans une couverture sur son dos et une valise emplie de ses parfums à vendre à la main.
Ses cheveux bruns quasiment roux sont toujours en batailles et ses yeux verts sont plein de vie. Il sourit facilement enthousiaste et émerveillé tel un enfant si souvent.
Cependant ce n’est plus un enfant, son corps est solide et élancé, mince mais musclé bien que cela ne soit pas évident au premier coup d’œil, il est aussi agile que rapide. Son point faible reste le combat de front car même si il sait bien manier sa lance et l’épée donnée par Merculin, épée qui avait appartenu à l’ancien soldat retiré, il a de la force dans ses mouvements d’attaques mais a toujours eu un point faible pour parer ce qui lui fait préférer ses flèches et son arc, qu’ avec un couteau plutôt petit cadeau encore de son mentor, il a taillé lui même. Il tire avec habilité étant moins maladroit que petit, bien moins, mais il le redevient quand il n’est pas concentré.
Son tir habile lui vaut bien des repas, en effet bien qu’aimant la vie l’enfant connaît déjà cette devise manger ou être mangé, ses genoux plein de pansements peuvent tromper, bien qu’agile le garçon va un peu trop loin dans ses découvertes certes mais cette insouciance est en vérité l’espoir d’autre chose mais cet espoir n’est pas.
Il est maudit selon lui c’est pour cela que ses sourcils se froncent et qu’il semble ailleurs, laisser vagabonder son esprit pourrait avec cet air rêveur encore être pensé innocence mais elle est défense.
Sans ses repos qu’il a rarement à cause des cauchemars entraînant avec honte de sa part ses pipis en son pantalon cachés et ses cris, il ne pourrait pas oublier son propre parfum source de son traumatisme de ce rouge sang de ce monstre au nom terrifiant de Chouettours.
En vérité Arthur se voit en ce monstre et en tous ceux qui d’une manière ou d’une autre lui font du mal ou font du mal aux alentours car ils sont envahis d’émotions négatives (les positives ne sont pas forcement dangereuses pas à chaque fois du moins) et vont jusqu’à aller vers cette odeur pour en découvrir la source, pas tous, certains s’éloignent tout simplement, l’ignorent ou la couvrent de leur propre odeur, pour s’approcher il leur faut une raison.
Arthur ne contrôle pas son don, Arthur d’ailleurs ne contrôle rien.
Il se voit donc comme le Chouettours dont la raison lui importe peu, il est comme lui en les intriguant, couleur de sang, il voudrait tant être dans ce théâtre d’espoir l’émerveillant mais il est errant et le restera, pour ne pas blesser pour ne pas détruire, affamer, attirer des ennuis, au mieux, il le refuse.
Il se sent coupable, atroce mais surtout surtout condamné à errer loin d’une vie normale.
C’est un optimiste de la vie qui la regarde derrière une fenêtre.
Bienvenue dans le clan familial Bienvenue dans ce bonheur sans égal A notre festival, Partager c'est normal C'est tout notre idéal ! Personne n'a compris, Ce lien qui nous uni ! Célébrons cette joie de la vie, De revoir ses amis ! Je s'rai là pour toi, Je sais que tu s'ras là pour moi !
Il était une fois...C’est comme ça que commence toutes les histoires.
N’est-ce-pas ?
Un monde où tout semble possible , où tous les êtres regorgent de magie.
II était une fois Aryon.
« Qui peut me citer les principaux rangs des habitants du royaume ? »
Dans la petite école d’un village dans les plaines non loin de la capitale plusieurs mains se levèrent. La leçon se poursuivit jusqu’au milieu de l’après midi, les écoliers étaient d’âge d’école primaire, les plus grands allaient apprendre un métier après celle-ci, mais pour petits et grands la fin de la classe signifiait souvent aider leurs parents aux champs.
Pas pour Arthur Lumen, Arthur du haut de ses trois ans avait en père l’instituteur du village. Malgré son jeune âge, il aimait assister à la classe même s’il ne comprenait pas tout. Il adorait regarder les images, faute de savoir lire les livres, des quelques abécédaires qui servaient à toute la classe, les livres coûtent cher.
Mais ce qu’il aimait encore plus c’étaient les histoires de son père.
Avant de se poser pour fonder un famille le père d’Arthur avait de longues années parcourut le terres d’Aryon en tant qu’aventurier.
Il avait toujours un récit à raconter.
Il portait un rêve, écrire son épopée de jeunesse, patiemment il écrivait feuille après feuille, il économisait dans l’espoir de transmettre. Il disait toujours : « Les déluges du passé et les jours de soleil tout doit être gardé ! »
Dans la petite maison au toit de chaume, la douleur et la joie se mêlaient, une petite fille naissait, la famille s’agrandissait.
Arthur se promit d’être un bon grand-frère et de toujours protéger sa sœur au doux nom de Luna.
Mais le bon temps a une fin, ce serait trop facile si la vie était un long fleuve tranquille, et bien dans les « Il était une fois » c’est la même leçon.
Les deux enfants avaient grandi très liés, Luna suivait son frère comme un petit poussin. C’était bientôt la rentrée des classes, le soleil brûlait le ciel et Arthur qui, à six ans, savait déjà lire montrait à sa sœur de trois ans différentes fleurs en les citant par leur nom.
« Regarde Luna tu te souviens de celle-ci ? Je te l’ai dit tout à l’heure ! »
La fillette pencha la tête à la question du grand frère.
« Regardeeeee, elle est rouge et jaune et elle est marrante et on peut soigner avec et il y en a plein ici en ce moment ! » réessaya le plus grand.
Luna fronça les sourcils, sa moue se figeant en une intense réflexion.
Avant qu’une expression de terreur balaye les traits de la petite fille.
« Ce n’est pas grave si tu ne sais pas ! Je vais te dire, C’est une... »
Mais le plus grand ne finit pas sa phrase, une intense douleur à l’épaule le tordit, deux yeux pourpres passèrent en ses yeux verts, deux yeux de la couleur du sang qui allaient le hanter toute sa vie, puis l’inconscience prit l’enfant face à la douleur.
La fleur, une Beodassa était en miettes, déchiquetée sur l’herbe arrachée de la plaine.
Mais qu'est ce qu'ils ont contre les gens qui sont différents , Dîtes moi ?
Eclaire la misère des cœurs solitaires
Nul âme à part moi ne les entendra
Si Tu restes sourd aux mendiants d'amour
Les bannis ont droit d'amour
Intrigué par l’odeur un Chouettours était entré dans le village et avait attaqué non seulement le garçonnet qui s’était soudain mis à sentir le parfum qui l’avait attiré et dérangé mais de nombreuses Crocpoules.
Beaucoup de ce bétail caquetant n’avait pas survécu.
Les villageois avaient fini par abattre le dangereux volatile mais leurs champs non plus n’étaient pas en reste et une quantité énorme d’Ambriosa, plantes à bulbes en guise de fleurs et comestibles, poussant en saison chaude en plaine, étaient piétinées ou éclatées sur le sol.
Malgré la blessure de l’enfant, l’instituteur et sa famille durent sous la colère des agriculteurs quitter le village.
Ils allèrent demander de l’aide à Mitride , la grand-mère aigrie du petit Arthur . Profondément misanthrope depuis le décès de son mari faute de soin, un rude hiver trop solitaire, trop indifférent pour que la mort n’emporte pas son aimé et sa croyance en l’humanité.
Mitride , donc, habitait la grande forêt et ses contacts étaient rares avec les humains. Elle les résumaient à un colporteur nommé Merculin qui depuis le village perché et par un mélange de pitié, de compassion et d’amitié lui assurait les denrées de premières nécessités.
Le voyage fut long et éprouvant malgré le Rapidodo qui les portait, autrefois mascotte de l’école, l’animal avait autant perdu sa classe que l’instituteur et dans ses mains il y avait l’enfant de plus en plus faible malgré les soins sommaires qu’il avait en savoir et fait à son fils.
Mais l’enfant tenu et au bout de quatre jours, ils atteignirent le chalet de Mitride . Le Rapidodo s’arrêta à la rivière qui était tout près et les quelques derniers pas furent effectués par les parents fatigués et leurs enfants endormis en leurs bras.
Mitride en les voyant arriver cria et brandit une lance au bout pointu et aiguisé envers les voyageurs.
Avant de reconnaître ceux qu’elle avait voulu effacer de sa mémoire depuis longtemps et ceux-ci de prime sur tous pour ne plus souffrir…
Sa famille…
Mitride ne pouvait pas garder l’enfant mais elle accepta de le soigner. Elle avait une connaissance des plantes magiques accrue.
Arthur fut allongé sur un lit de paille. Il était brûlant, la vieille dame cracha : « Il faut faire baisser la fièvre, déposez la petite dans le fauteuil et faites ce que je vous dis ! »
Les parents s’appliquèrent à suivre les ordres de la vieille dame et une fois les soins faits tout le monde obéit et alla au lit, des tas de foin qui firent des couches chaudes pour les voyageurs exténués.
L’enfant resta comateux quelques jours puis quand il commença à bouger en son sommeil, Mitride alla atteler le Rapidodo et réveiller le reste de la famille.
« Il faut partir maintenant. Le colporteur est un ancien soldat qui a fini au Village Perché après des années de loyaux services, il n’est plus tout jeune mais ce n’est pas un vieillard, il saura protéger votre fils ! »
Les parents bouleversés demandèrent puis supplièrent d’au moins le voir et lui expliquer avant de le serrer en leurs bras une dernière fois. Mais la vieille dame brandit la lance dans un : « C’est moi qui l’ai récupéré le gamin ! Merculin saura le protéger et lui apprendre à se défendre de son propre pouvoir ! »
Devançant une énième supplique Mitride conclut de manière tranchante : « Pas vous ! »
Effondrée la famille monta sur le Rapidodo
« Il y a d’autres villages qui ne vous connaissent pas, mon fils tu es habile de tes mains et encore vaillant, apprends le métier de menuiser et ta femme et ta fille et toi construisez vous une nouvelle vie ! »
Mitride se détourna dans un sec : « Et oubliez le gamin ! »
Le Rapidodo partit et suite à ses actes qu’elle avait fait pour le bien de tous, Mitride la misanthrope aigrie se mit à pleurer.
Toi et moi, on est deux amis
Et c'est pour la vie
Partout et en bonne compagnie
Dans la vie
C'est juré pour toujours
Jamais moi sans toi
Jamais toi sans moi
Partout en meilleure compagnie
Dans la vie
Nous serons deux amis
Toi et moi, on est deux amis
Et c'est pour la vie
Partout et en bonne compagnie
Dans la vie
Jure toi aussi
Quand il se réveilla, Arthur chercha partout sa famille, il ne trouva que la vieille Mitride en train de balayer la cour et de donner à manger à des bébés Rapidodos.
Les poussins avalaient si goulûment que l’enfant en larmes se mit à rire. La vieille dame se retourna d’un coup sec et siffla entre ses dents : « Ils te plaisent ? Je les ai trouvés en forêt ! »
Elle lança le seau en bois que l’enfant ne réussit pas à rattraper et sous le regard colérique de la vieille se dépêcha de tout ramasser .
« Rends-toi utile au moins et occupe-toi en alors ! Ne pense pas rester bras ballants jusqu’à l’arrivée de Merculin ! » cracha t’elle une fois ceci-fait.
« Merculin ? Qui-est-ce ? Et où sont Papa, Maman et Luna ? » s’étonna l’enfant de six ans.
« Tiens encore un qui cause trop ! » soupira la vieille dame avant de répondre malgré tout maugréant : « Merculin va s’occuper de toi bientôt à son prochain passage, et oublie ta famille ! Si tu veux chialer fais le avec les petits Rapidodos dans le poulailler, mes oreilles sont fragiles ! »
Le soir tombait quand les corvées finirent après un simple souper, de soupe de plantes qu’il n'était pas sûre de connaître, du Larissa peut-être c’était petit, vert et mou, plantes aquatiques sûrement. Quand il eut presque fini son bol l’enfant demanda : « C’est du Larissa c’est ça ? » La vieille fit simplement : « Humm ? » L’enfant répéta : « La plante c’est bien du Larissa ? J’adore les plantes je les apprenais à la maison ! » La vieille dame renifla avec mépris : « Ne crois pas que c’est car tu connais une plante que tu connais tout ! Tu ne connais rien gamin, rien ! Allez va fermer le poulailler ! Je débarrasse qui sait si en plus de je sais tout, tu étais maladroit à nouveau ? »
L’enfant déglutit mais obéit sur le champs.
Il entra dans le poulailler, l’un des bébés Rapidodo était à part, il tenta de le remettre avec les autres mais il se débattit et se blottit contre l’enfant qui s’enferma dans la poulailler. De la lucarne à barreaux en bois il voyait les étoiles. Il sentait, dans la pénombre, la respiration du bébé Rapidodo contre lui.
« Je me demande où sont vos parents... » murmura le petit garçon avant de sentir le duveteux bébé oiseau se frotter contre lui. « Tu as froid ? Attends ! » L’enfant rabattit un pan de sa veste en laine de Boucton, une sorte de mouton aux cornes énormes et vertes et au visage écrasé qu’en plus des Crocpoules des agriculteurs des plaines où il habitait avant élevaient.
« Voilà c’est bien chaud hein ? Ça va mieux ? Moi c’est Arthur ! Papa et Maman m’ont donné ce nom car il appartenait à un ami de Papa qui lui a sauvé la vie alors c’est un très beau nom et toi tu t’appelles comment ? »
« Pi ! » fit le Rapidodo en se blottissant un peu plus.
« C’est joli aussi Pi ! » sourit doucement l’enfant avant de sentir ses yeux s’emplirent de larmes.
« Pi ! Pi ! » fit le bébé Rapidodo. L’enfant renifla et du dos de sa main essuya sa bouille dans un : « Je ne sais peut-être rien pour le moment mais un jour je les retrouverai et ce jour là je serai grand, fort et plein de connaissances ! » L’enfant déglutit ses larmes encore là et ajouta : « Tu me suivras Pi ? »
« Pi ! » fit le petit oiseau en s’endormant. L’enfant sourit : « Alors c’est une promesse ! » Avant de s’endormir à son tour.
Comme un homme
Sois plus violent que le cours du torrent
Comme un homme
Sois plus puissant que les ouragans
Comme un homme
Sois plus ardent que le feu des volcans
Secret comme les nuits de lune de l'Orient
Le village perché l’était pour échapper au bêtes sauvages et profiter de la lueur du soleil. En ce moment, des orages soudain venaient par temps chauds et humides, et à terre les bêtes rodaient. Mitride était la seule assez fantasque pour croire ses armes artisanales qu’elle savait certes manier et son chalet de pierre, certes dures, assez sûr pour résister à l’assaut des bêtes avec un garçon au parfum qui les attirait en son foyer.
Le jour où Merculin arriva fut celui de trop, il buvait un thé avec Mitride dans la cuisine. Arthur sermonnait gentiment « Charbon », un Loupain sorte de chien ou loup plus de la taille d’un grand chiot ou grand louveteau aux yeux dorés bordés de mauve et au cou entouré d’un collier de fourrure violette et de la couleur du soleil. Ce collier naturel était touffu et formait des pics tout autour du coup de l’animal. Charbon était encore jeune sans être petit, un jeune « adulte » version Loupain, il était le petit-petit fils du Loupain du mari décédé de la vieille Mitride, autant dire qu’elle y tenait !
L’époux de Mitride élevait des Loupains pour la compagnie et la chasse aux petits animaux, ça agrémentait la soupe. Mitride avait arrêté l'élevage depuis longtemps si bien qu’il ne lui restait plus que son cher Charbon depuis que l’an dernier Aglesia et Atlasis ses parents Loupain étaient morts de vieillesse.
« Charbon, il ne faut pas grogner sur les bébés Rapidodos, ce sont nos copains ! Nos copains tu comprends ? » disait Arthur en remuant le doigt avec désapprobation. Charbon lui jetait des coups d’oeil derrière Arthur, il avait quoi ce gamin et depuis quand Mitride avait un mini Humain ? Lui il avait juste faim et il obéissait juste à Mitride, il devrait lui demander pas par la parole mais elle devinait souvent ses désirs par ses mimiques, sauts, gestes, façons d’aboyer, tous les deux que tous les deux Mitride et Charbon ! Et voilà que vient ce gamin ! Non mais où va le monde ?
Soudain Charbon couina, l’enfant allait s’adoucir pensant que sa réprimande douce avait assez duré mais avant qu’il le puisse le jeune chien-loup fut envoyé valser par la queue d’un...dragon.
Du sang coulait de la patte de l’animal et les yeux de l’enfant s’agrandirent, le rouge, le sang, la destruction, comme autrefois comme avec le Chouettours.
L’enfant était incapable de bouger face au petit dragon bleu, enfin petit...Il faisait bien la taille d’un grand cheval, ses écailles étaient bleues, ses griffes aiguisées sur la queue mais pas sur les pattes.
« Arthur cours ! » surgit fortement la voix de Mitride, alors que Merculin sortait déjà son arc.
« NON ! » cria l’enfant de six ans face à la bête qui se retournait férocement vers les adultes. Le dragon ou plutôt la dragonne avait perdu ses petits, et même si Arthur ne le savait pas il savait bien que le dragon n’était pas venu se battre ou il aurait été bien plus agressif comme le carnage au village il y a un peu plus d’un mois.
« Tu as blessé mon ami. »
La voix d’Arthur était ferme mais calme. Il répéta : « Charbon est mon ami, il a eu peur pour moi et tu l’as blessé mais tu n’as rien attaqué d’autre qu’es-tu venu chercher ? »
L’enfant parlait lentement, tranquillement et bien que ne parlant pas humain la Griffroid comprit la demande à sa manière, l’enfant d’Homme attendait qu’elle exprime ce qu’elle cherchait et ce qu’elle cherchait était...lui.
Elle souffla sur lui de ses naseaux et se frotta doucement à sa veste avec, une telle tendresse si rare pour cette espèce, que le manteau n’en pâtit presque pas. Puis elle s’allongea. L’enfant comprit du peu que lui avait expliqué Mitride sur son pouvoir, il enleva sa veste, son tee-shirt et frotta celui-ci contre son torse pour imprégner le tissu du parfum.
Puis il tendit le tee-shirt au dragon Griffroid et dit doucement mais avec sûreté : « Cette odeur elle te rappelle un truc agréable ? »
Le petit dragon prit le tee-shirt parfumé en son bec et s’envola à travers la cime des arbres et l’immense ciel avec, même si seule la dragonne le savait, le tissu en son bec au parfum lui rappelant ses petits. C’était beau et en même temps…
L’enfant qui avait contenu sa terreur tout du long explosa en sanglots, la pression retombant.
Épuisé autant physiquement que mentalement l’enfant se laissa s’asseoir sur un petit rocher en pleurant en son bras qui n’arrêtait pas les grosses larmes.
Une main adulte se posa sur sa tête : Merculin.
« Tu as eu peur mais tu es resté debout, le courage est une force petit souvins t’en ! »
Il tapota la tête maladroitement, Merculin était maladroit pour exprimer ses émotions avec tact et clairement : « Je suis fier de toi petit, on y va ? Je ferai de toi quelqu’un qui peut combattre et empêcher les autres d’être blessé si une bête est intriguée ou autre. Cette vieille Fantasque a juste mis une condition de dernière minute: Elle veut que tu emmènes le bébé piaf là ! »
« Pi, vient avec nous ? » dit l’enfant ravalant peu à peu ses larmes, un instant le regard de la vieille Mitride reconnaissante au final de n’avoir un temps pas été seule, même si cela n’aurait pas pu durer elle était trop routinière de son isolement, et celui aussi reconnaissant de l’enfant face au don de cet oiseau qui était un peu comme une accroche de tendresse pour lui depuis sa guérison, se croisèrent.
Puis elle rompit le contact et rentra en maugréant dans son chalet.
« Je crois que Mitride elle n’est pas méchante juste c’est Mitride mais elle n’est pas méchante ! » exprima le petit garçon de six ans.
« Oui je le pense aussi allons y ! Mitride sait bien soigner, tout ira bien pour Charbon ! »
«Oui ! Allons y Monsieur…»
« Maître ! » corrigea l’adulte.
« Maître Merculin ! » dit l’enfant le bébé Rapidodo sur la tête et sa petite main dans celle immense de l’ancien soldat.
Courage petit,
Fais un vœu chaque fois que tu pleures
Redresse-toi au lieu d'avoir peur
Quelqu'un t'attend là-bas
« Arthur je t’ai dit de parer ! »
L’enfant était à terre et devait se relever de suite malgré la fatigue et la chute bien que superficielle, il obéit. Au début, il ne voyait pas l’intérêt de ces durs entrainements puis il a écouté les exploits de l’ancien soldat et a voulu devenir aussi fort que lui.
Si bien qu’après l’école primaire le soir et avant, le matin, les heures de fin d’après midi étant consacrés aux devoirs d’école, il apprenait à manier l’arc, l’épée et la lance effilée en une pointe aiguisée. Les armes étaient réelles mais son mentor ne blessait pas son élève, attentif et passionné bien que sévère, il veillait à son bien être tout en lui faisant se donner au maximum. Il le grondait quand il en faisait trop, son apprenti avait tendance à se dépasser mais c’était un coup à se casser.
« Tu sais pourquoi on s’est toujours entraînés ? »
L’enfant de douze ans débarrassait les assiettes creuses en bois à la question de son Maître. Il n’hésita pas une seconde : « Pour suivre vos pas Maître Merculin. »
« Arthur viens assieds toi sur mes genoux ! » soupira l’homme.
« J’ai douze ans Maître je peux emprunter le tabouret ? »
Dans un rire Merculin ébouriffa les cheveux du gamin et dit : « C’est vrai qu’en six ans tu as bien grandi et t’es fortifié ! » avant de lui passer le tabouret.
« Heureusement... » grimaça Arthur.
Merculin sourit à cette réponse presque adolescente, il ne l’avait pas vu pousser aussi vite son petit, oui son car bien qu’il ne soit pas son père il avait appris à connaître et à aimer le gamin comme le sien malgré lui.
« Demain c’est ton dernier jours d’école primaire...Tu veux vraiment suivre mes pas ou toi, oui toi, juste toi que veux-tu ? »
« Je... »
Arthur s’arrêta et murmura quelque chose en serrant les poings il réessaya mais ne réussit pas ça restait coincé dans sa gorge, sa famille, il voulait la retrouver mais avant : « Je veux continuer à m’entraîner et à 14 ans quand je suis serai plus fort encore je partirai pour prouver ma valeur en vendant mes fioles de parfum. Exploiter ce don maudit serait bien ! Et si je réussis ce voyage, quand je serai prêt dans un, deux, trois ans plus ? Je les chercherai et les retrouverai ! Je veux me protéger et protéger les autres de moi-même ! Acceptez de me garder encore un peu Maître en vue de ce voyage! Je vous en prie ! Acceptez ce ... »
L’enfant ne put pas finir projet ? Rêve ? Il ne savait pas mais il le voulait si fort.
« Bien, va au lit demain on commence aux premières lueurs ! »
« Oui Maître Merculin ! » s’exclama l’enfant dans un sourire qui voulait dire merci.
Et il y alla immédiatement le cœur léger.
Pour une fois il ne fit pas de cauchemar ni pipi en ses draps.
Qu’importe ses mensonges.
Non rien ne s’arrangera mais si il prouvait sa force et au terme de son voyage les retrouvait alors il serait heureux.
Non il ne les approcherait pas, il vérifierait juste leur bonheur.
Non il ne pèserait plus sur personne.
Pi et lui sont dans un couloir et derrière les baies vitrées en guise de mur il y a les autres.
La vie. Pi la mériterait, Arthur y a pensé plus d’une fois mais que seraient-ils l’un sans l’autre ?
Tout va s’arranger,
Si il devient encore plus fort,
Si il les retrouve,
Si il les voit heureux,
Sa famille.
♪ Tout va s’arranger, je ne ressentirai ni peines ni maux, Si tu peux rire à ton tour, je continuerai Tout va s’arranger, moi qui, sans cesse, ne fait que trébucher Tout va s’arranger, je ne ressentirai ni peines ni maux, Si tu peux rire à ton tour, je continuerai Tout va s’arranger, moi qui, sans cesse, ne fait que trébucher ♪
♪ Il faudra bien que je m'habitue, Que j'accepte ton absence,[...] Le temps est venu je sais, De se dire adieu toi et moi, Chacun devra suivre maintenant sa voie.♪
Malheureusement, il arrive que les choses changent même dans les « il était une fois ».
Certains événements extraordinaires peuvent se révéler douloureux.
Et c'est ce qui arriva avec « Pi » le Rapidodo d'Arthur au détour du chemin.
Vous vous ne souvenez plus de « Pi » ?
Et bien si on parlait en dictionnaire on dirait :
''Pi est un Rapidodo adulte.
Il est très câlin avec son maître et très protecteur face au danger.
Cependant il sait le laisser respirer, Pi ne bronche jamais si son maître le laisse seul
il sait qu’il reviendra d’ailleurs Arthur n’attache jamais Pi à un arbre ou autre, il sait
qu’il ne partira pas. Ils sont une famille, un îlot au milieu des autres qui navigue en vendant des fioles de parfums sources de leur isolement, mais ils sont deux, deux donc pas seul, pas vraiment, en tout cas l’animal et son Maître se soutiennent à chaque instant. Ils se connaissent depuis tout jeune.
Pi est jaune, grand et solide on dirait une immense Crocpoule jaune et au cou long. Il peut porter trois fois son poids ce qui n’est pas rien pour le grand animal.
Il est plutôt calme pour un jeune adulte Rapidodo.
Son plat préféré est en plus d’un peu de viande, une fleur ou plutôt des fleurs : Les Racines Daruyes herbe aquatique comestible, assez commune et qui pour son grand bonheur peuvent pousser en toutes saisons.
Mais attention Pi ne sait pas prendre la nourriture dans les mains et a tendance à pincer quand ça sent la nourriture.
Il a les yeux plus gros que le ventre l’oiseau, et il lorgne même sur les denrées que porte son maître en son baluchon.''
Mais il serait préférable de dire que « Pi » est le seul « Parfum » dont Arthur n'a pas peur et qui le réchauffe autant qu'il le rassure et c'est réciproque.
C'est pourquoi en arrivant face à une grande plaine encore sauvage où un troupeau de Rapidodo tout aussi sauvage s'abreuvait à un ruisseau la dévalant, ''Pi'' tenta de ne pas reconnaître l'odeur familière quittée tout jeune de sa mère.
Mais Arthur remarqua bien le changement de comportement de son ami et sourit en le voyant jeter des coups d’œil qu'il croyait discrets vers le troupeau. Cette nuit là, Arthur prit la valise de parfum à la main et attacha avec la couverture de Pi le reste sur son dos. Puis il partit le plus vite et discrètement possible.
Quand il cessa de courir le matin déposait déjà sa rosée sur le rose de l'horizon.
Arthur quatorze ans sentit ses yeux le piquer et il s'assit sur sa valise. Cette fois il ne put retenir aucune de ses larmes. Il pleura tant qu'il finit par s'endormir sur sa valise. Sur son dos la couverture anciennement à son ami Rapidodo était encore imprégnée de l'odeur de ''Pi'' et le calmait un peu berçant ses rêves. Quand il se réveillera Arthur reprendra le voyage seul.
Car ''il était une fois'' doit continuer pour notre vendeur ambulant de parfums.
Ton pseudo : Lou
Bonjour moi c’est Lou,
J’ai 32 ans et fait du rp depuis 11 ans environ.
Je suis donc une mémé du 3 novembre 1988.
J’aime rp avec tout le monde qu’importe son style, niveau etc
C’est peut-être mes études ou mon envie de travailler en bibliothèques,
mais pour moi chaque texte a sa propre richesse et vaut le coup de rps.
J’adore écrire, dessiner, Pokemon surtout Bulbizarre et Pikachu, son amitié avec Sacha,
les champs de fleurs, les arbres pour lire dessous, les chansons Disney, mon chat « Tibou » et Animal Crossing. J’ai fait un magnifique portrait robot de ma bouille plus bas.
Mémé Lou vous adore déjà !
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Voler dans le ciel
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Non, il a un pouvoir lourd le pauvre !
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Je suppose que je vendrai des parfums comme lui, autant que ça serve malgré les ennuis que le pouvoir apporte.
Côté HRP
Double compte ? nope
Comment as-tu connu le forum ? Google
Un truc à rajouter ? Il est magnifique et si complet et si organisé et il a l'air actif ce forum j'ai hâte
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]LES ANIMAUX FANTASTIQUES[/b], Norbert Artemis Fido Dragonneau (jeune) @"Arthur Lumen"
Pour un personnage féminin :
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]SOURCE EN MAJUSCULE[/b], Personnage @"Pseudo complet"
C'est marrant, ma petite lapine s'appelle Luna
Merci beaucoup de ces bienvenus
Luna et un joli nom ! Ta lapine doit être toute mimi !
Hâte de rp avec vous aussi, je vais annoncer ma fiche en terminée.
Ta lapine doit être toute mimi !
Elle est dans le trombi.
Bienvenue Arthur !
j'aime beaucoup ta fiche ! J'espère que nous aurons l'occasion de nous rencontrer dans un rp ! (Avec mon petit Obsidian ou mon futur DC )
Niveau pouvoir, on est parfait, félicitations !
Cependant, ce qui va bloquer, c'est Pi, malheureusement....
A la validation, tu ne peux pas avoir un familier ><
Pour en avoir un, il faut passer par la boutique d'achat. Tu peux parler de lui, il n'y a pas de problème, mais ça ne pourra pas être "le tiens".
Je te laisse modifier tout ce qu'il faut (dans tes informations, ta description et ton histoire) et on sera tout bon !
Une fois fait, je t'invite à reporter yn message dans le tapis "signaler une présentation terminée" pour qu'on puisse repasser ici le plus rapidement possible o/
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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