Informations générales
Age : 31 ans
Sexe : Homme
Groupe : Citoyen - Criminel
Spécialité/Métier/etc : Directeur de sa compagnie, Lagoon; Archonte de l'Ordre pour la capitale.

En quelques mots...
Warren Richter est un homme, d'orientation hétérosexuelle, c'est une personne relativement calme, très intelligent mais pour le moins sournois. D'un naturel relativement honnête, il n'en reste pas moins, quand les circonstances l'exigent, un fieffé menteur. Pour lui, il est parfait, surtout depuis quelques années. Autoproclamé à son pic, c'est un homme qui se complaît dans la luxure. La sujet le plus sensible reste son âge ; vu que c'est une personne passionnée, un vrai boureau de travail, la charge qu'il se met lui même sur ses épaules a pour effet de le rendre plus vieux qu'il n'en a l'air, comme un homme à la moitié de sa trentaine, alors qu'il la débute à peine. Il garde toujours une lame sur lui qui, couplée à son pouvoir, est plus un moyen dissuasif qu'autre chose. Il est toutefois bon et loyal, ce qui ne lui causa aucun ennui jusque là, de toutes façons, il est assez débrouillard pour se sortir de tout ça. Il débloque quand même parfois mine de rien, laissant place à certains accès de colère, dont la cause est parfois indéterminable, et à une fâcheuse tendance à trop parler, il n'en reste pas moins bien éduqué, on peut cependant lui reprocher certaines phrases un peu trop cinglante, prononcées tantôt pour blesser, tantôt juste pour la beauté de la verve, beau parleur, c'est un homme charismatique et éloquent. A part ça, un mec relativement normal, toujours bien habillé, bien apprêté, sans doutes liés à un ego plutôt développé.

Le pouvoir
Nom du pouvoir : Dreadful Stare
Catégorie : Pouvoir psychique, actif.

D'un simple regard, Warren peut vous faire ressentir une peur inhumaine, même si vous faites la taille d'une montagne, vous aurez l'impression que cet homme pourrait vous botter avec aise, et vous poursuivrait jusqu'aux enfers où vous pensez qu'il pourrait, d'ailleurs, vous faire atterrir. Tétanisé, il ne peut lâcher son prédateur du regard, alors que le sentiment de peur grandit graduellement.
La durée est variable, et le pouvoir est effectif à partir du moment où les regards de Warren et sa proie se croisent et qu'il active son pouvoir, il faut cependant noter que plus il l'utilise durablement, plus sa vision se trouble, il galère donc à maintenir le contact visuel, et une fois celui ci rompu, la peur s'évanouit beaucoup plus vite qu'elle est arrivée, c'est aussi une des raisons pour lesquelles il ne faut pas qu'il cligne des yeux, en sachant qu'il reste un humain moyen, il va pas rester les yeux grands ouverts pendant 57 minutes et 24 secondes. Toute rupture de contact visuel entraîne la fin du pouvoir, et l'enclenchement de la décrue de la peur. Ses effets latents restent cependant, la victime se rappelle avoir sentie cette peur, cœur battant, sueur dans le dos, tout ça.
Il lui est possible d'enchaîner les cibles, même s'il n'a jamais dépassé deux, sa vision devenant si trouble qu'il est comme aveugle, et en forçant, sa sclérotique devient rouge sang, d'où les lunettes aussi, pour cacher tout ça. Cependant, le temps de récupération s'en retrouve doublé, en fait, dès qu'il retrouve une vue 10/10, c'est qu'il peut de nouveau utiliser son pouvoir.
Le défaut de ce pouvoir est qu'il ineffectif sur toute personne n'ayant rien à perdre, sans objectifs, les fous et les inconscients sont complètement immunisés à ce pouvoir, ils ne verraient donc qu'un mec qui se donne des grands airs pour rien.
Il faut savoir qu'il s'en amuse beaucoup, de ce pouvoir. Bien qu'il soit actif, beaucoup de personnes pensent qu'il est passif, il a souvent ses petites lunettes caractéristiques, qui font que les gens pensent qu'il ne peut rien leur faire de ce côté là -ce qui est vrai en soit, le contact devant être direct, non à travers une vitre ou un miroir-, ça l'amuse donc pas mal de les enlever et de voir les gens hésiter à le regarder droit dans les mirettes.

Description
Allez, comme d'habitude, on va s'attaquer au plus simple, le physique du bonhomme. D'une taille légèrement au dessus de la moyenne, du haut de son mètre quatre-vingt-un, bien bâti, sans pour autant posséder une force démesurée ou bien des muscles à faire pâlir les plus bodybuildés du royaume, il a la chance d'être extrêmement sec, ce qui fait bien ressortir le tout. Cheveux plutôt courts, d'un blond très clair, que certains oseraient décrire comme délavés, ils sont toujours bien brossés et coiffés, bien entretenus, tout comme sa barbe, plutôt son absence, rasé de près.

En effet, Warren accorde beaucoup d'importance à son apparence, qui va de pair avec son statut d'entrepreneur ambitieux, jeune et dynamique. Habits élégants et hors de prix, petite lunettes bien distinguées pour se démarquer de la marée de moutons, parfum enivrant. Au final, la génétique n'est pas la seule à remercier pour son apparence, puisqu'il s'entretient quand même, mais chut, lui faites pas remarquer, il est né parfait.

Cette perfection peut cependant être discutable quand on s'attarde sur son visage ; presque agressif, très anguleux, pointu on pourrait même dire, à l'image de ce nez entre le romain et l'aquilin, ce menton tout sauf fuyant, et le pire, ces traits marqués qui trahissent une fatigue du quotidien ; à trente et un ans, il pourrait déjà en paraître quatre de plus, la faute à une mentalité de fer, un bourreau de travail qui n'a pas peur de traiter lui même les plus juteux et gros dossier. Et puis sa nomination d'Archonte à la capitale...C'est pas prêt de s'arrêter.

Oui, ce rôle lui était tout désigné, à vrai dire, aucun coup du destin et- non, mensonge, ce sont encore une fois les bonnes connexions qui l'ont propulsé là ou il est. Bon, il démérite pas. C'est son caractère d'acier, malin, rusé, intelligent et fourbe qui fait de lui une personne incroyablement talentueuse en affaires en tout genres. D'un naturel calme, il ne se laissera jamais démonter. Il a un défaut majeur, c'est qu'il peut se trouver bien trop méticuleux, voire même maniaque, pour son propre bien. Droit, à l'écoute, et dans la mesure du possible, malhonnête -eh, faut bien gagner sa croûte- et escroc à temps partiel, son sérieux apparent dénote avec sa capacité à lâcher des petites phrases caustiques, acerbes et cyniques d'une précision et d'une violence chirurgicale, un peu le roi de la punchline en fait. D'autant plus lorsque, disons, l'autre facette prend place...

Avec son pouvoir, permettant de facilement contrôler les négociations, son côté instable n'est qu'une cerise sur le gâteau de la violence presque cachée du blond. A tout monde, il peut partir en phrases assassines, dans une grosse colère, hausser une voix qui devient tout de suite plus grave et véhémente, un certain côté encore plus italien que sa soif de luxure se déclenche alors, puisqu'il se met à parler avec le corps, faire de grands gestes, claquer de la main sur son bureau. C'est une partie de lui qui, couplée avec ses capacités, lui donne ce surnom de Requin, un mec qui lâchera pas sa proie, et la marquera profondément de souvenirs peu chaleureux.

Dans cet état, tout est possible. Son bureau est marqué de quelques coups de lame, son arme qu'il ne quitte jamais, car après tout, insuffler la peur sans faire une petite démonstration, à quoi bon ? Il lui est déjà arrivé de s'en prendre physiquement à certains clients, pourtant, au gré de la réputation que cela lui fait, les gens continuent de toquer à sa porte, la boule au ventre, car il est d'une efficacité intolérable. Quiconque sort entier, physiquement ou mentalement, de ce bureau, est déjà gagnant.
Alors que dans le fond, ce n'est pas complètement un mauvais bougre, si on met de côté ce saut d'humeur. Il vit une existence pesante et plutôt solitaire, à la fois par obligation, se jetant dans le business comme une hyène sur une carcasse, mais aussi par volonté ; sa place et sa réputation ne gagnant rien du tout à s'acoquiner avec des gens, ça rend faible. Pas le sens ''avoir des sentiments'' rend faible, non, il n'en est pas dépourvu, loin de là, mais il se trouve être loyal et fidèle envers les siens, au point de prendre des risques inconsidérés, un chemin qu'il ne veut, et surtout, ne peut pas se permettre d'emprunter.

Hein ? Comment ça, vous avez lu le mot ''luxure'' et souhaitez en savoir plus ? Bande de coquins. Comme tout le monde, et encore plus comme tout homme puissant, oui, Warren ne dit pas non aux plaisirs de l'alcool. Ni du tabac -il adore les cigares, d'ailleurs-. Ni de la chair. Il ne dira jamais non à une belle dame, il peut se montrer dragueur, de ce côté là aussi, il fait le Requin. En liaison comme en affaires, il déteste entendre le mot ''Non''. Un défi de plus à relever, encore faut-il qu'il y en ait un, puisque c'est rarement qu'il entend une réponse négative.

On dirait pas, mais il est tout à fait normal, encore plus hors du cadre du travail, ce qui arrive rarement, en effet. Un gars simple, un habitant d'Aryon typique, qui aime manger, rire, discuter, et faire flipper tous vos ancêtres.

Histoire
Warren prit vie en 970, dans une famille modeste de la capitale. Son père ? Un simple artisan, qui travaillait le bois, gérait son business autant que faire se peut, alors que sa mère était simplement serveuse dans une taverne du coin.
Vie tranquille, enfance simple, Warren est fils unique, donc forcément, le centre de l'attention de la famille. Pas à se fritter avec un frère ou une sœur. Les cadeaux, c'est pour lui. Bref, vous voyez le genre. Comme tout enfant typique d'Aryon, il suivit un cursus scolaire basique, et de surcroît, peu stimulant, puisqu'il était largement au dessus des autres enfants, n'utilisons pas le terme génie non plus, il a pas inventé la théorie des cordes, mais tout le préparait à un grand avenir.
Aucune tragédie dans cette vie, aucun stéréotype, tout va bien. Ah, comment ça, ''si, y en a'' ? Bon. C'est peut-être vrai qu'à ses 15 ans, en 985 donc, alors qu'il tenait déjà certains comptes et certaines finances de la famille, sa mère tombe malade. Un sale truc, personne sait ce que ça peut bien être. Puis de toutes façons, comparés à toutes ces familles pétées de thunes, les Richter étaient des personnes modestes. Pas les moyens de se payer les meilleurs médecins, les meilleurs traitement. C'est donc en tout logique que le père se barra du domicile ; ''Je vais chercher du lait''. Ouais, vu le temps que ça prends, il a eut le temps de devenir laitier le chien.
Le petit Warren se retrouve donc en pleine adolescence, à devoir s'occuper de sa mère, alors que du coup, à la taverne, hein, ils versent pas un sou, c'est bien normal. Un petit début de rancoeur envers tous ces corps de mêtiers, qui font du fric, mais n'aident personne ; les médecins, ''Ah non, la consultation, c'est insérer nombre indécent cristaux'', les gérants, ''Wé 'fin si elle bosse plus, on va pas la payer non ?'', les nobles ''Plus de produits ; plus d'argent''. Comment il allait faire, pour sauver la madré ?

Mercenaire ?

Pourquoi pas, ça a pas l'air si difficile, si ?

…

Oh putain non, que c'est dur.

La chance pour lui fut d'avoir croisé la route de deux mercenaires, qui se connaissent bien, et qui étaient, eux, beaucoup plus équipés, talentueux, forts, beaux et intelligents que Warren ; dénommés Stentor et Sandro. Donc, pourquoi ces gars auraient accepté dans leur équipe, dans leur duo, un ptit gamin comme le jeune Richter ? C'est un boulet le gars, on est d'accord ? En fait, non. Il avait un potentiel que les deux combattants avaient réussis à déceler, pour le plus grand bonheur du blond.
L'évidence était qu'il n'était absolument pas fait pour tenir une lame. Tout au plus impressionner ou trancher dans le vif sans réfléchir. Non, Warren à une bonne patte avec tout ce qui a attrait à l'argent, au commerce, aux statistiques. Gérer les finances, dégoter des bons plans, embobiner des gens, et surtout, mes aïeux, la praticité de son pouvoir ! Il l'a découvert complètement au hasard, alors qu'ils s'adonnaient à des jeux d'argents ; ils perdaient, il a complètement craqué, floués, car lui comptait les cartes, et savait très précisément qu'il était impossible de se faire surclasser sur ce mouvement. Le mec en face prit bien plus peur que si Stentor et Sandro le menaçaient directement. Silence de mort, puis de grands rires. Rires qui persistaient par la personnalité de Warren, calme, rusé, intelligent, et toujours la petite phrase cinglante pour faire mouche, celle dont on s'attend pas.

Pendant cette période, Warren apprit de ceux qui sont pour lui ''Les plus grands'', alors que Stentor apportait sa connaissance et son expérience, Sandro confortait le jeune homme dans l'idée qu'il était pressenti à de grandes choses, un poste qui un jour sera capital.

Ensuite...Tout passa si vite. Malgré l'argent plus qu'honnête qu'ils se faisaient, sa mère finit par succomber à la maladie. Premier coup dur pour Warren, qui était heureusement bien accompagné par ses deux mentors, voyant en Stentor une figure paternelle de substitution, en Sandro un grand frère qu'il n'a jamais eut, et depuis quelques années, ce jeune appelé Inaros, pupille de Stentor. Ils se sont jamais vraiment parlés plus que ça ; profondément, disons, mais les deux hommes se connaissent plutôt biens. Sans ces personnes, il craquerait encore plus ; fragilisé par la mort de son unique parent, il pétait parfois des câbles, à des moments qui semblaient pourtant propices, comme des discussions houleuse, mais qui sont pourtant plus aléatoires, genre, un simple dîner. Lui même ne sait pas vraiment ce qui est à l'origine de ce petit truc qui s'est brisé de sa santé mentale.

Coup doublement dur. Année 997. Terrible année. Stentor mort, il avait perdu un deuxième père. Sandro partit, son dernier repère s'évanouit. Inaros et lui se sont pas suivis, chacun partis de son côté vivre leur vie.

Et boy, quelle vie Warren a prévu de mener.

Des 400 coups qu'ils avaient effectués toutes ses années, il avait déjà un capital solide. Finie, cette vie de mercenaire, qui n'était de toutes façons pas faite pour lui. Il se mit à investir ; d'abord en lui même. Vêtements aux petits oignons, hygiène irréprochable, dégaine de mec de confiance, puis chez les autres. Premiers investissements. Premières magouilles. Premières arnaques. Le quotidien de Warren était de démarcher les artisans, vendeurs, commerçants ; bref, tout ce qui possédait, de près ou de loin, une boutique. Commençant d'abord par ceux dont le travail leur permettait à peine de subvenir à leurs besoin. Tout est légal. Rédigé sur papier, signé, tamponné. Il propose ''de l'argent pour aider à relancer l'entreprise''. Ou ''d'en racheter une partie, pour un pécule, comme un investisseur, en fait''. Et qu'est ce qu'il leur mettait à l'envers, par la suite. Eh, faut lire les petits signes en bas du papier, hein.

Premiers pétages de câbles. Première réputation. Plus le temps filait, plus son plan marchait du tonnerre. Attention ; il fallait qu'il garde une clientèle, donne envie aux gens de revenir. Moyens imparables ; premièrement, il laisse des entreprises fonctionner, faut bien qu'il ait un taux de réussite, mais prends toujours sa part, fait mine de retrouver des business ou des postes à tous ceux qu'il laisse banqueroute. Deuxièmement, pour les plus gros, sans problèmes particuliers...On peut les créer. A force, il obtient cette réputation de requin, qui ne lâche pas sa cible. Si vous êtes détaillant, qu'il rentre dans votre établissement ; fuyez tant qu'il est temps. S'il use de son pouvoir, c'est pour vous faire croire que vous avez besoin de ses services, sa protection, son argent, qu'importe, il trouvera un truc. ''Ce serait dommage qu'il arrive quelque chose à votre Maison. Non ?''.

Bourreau de travail, ça fait maintenant un peu plus de quatre ans qu'il bâtit cet empire. Beaucoup de visites, de réunions, et surtout, une bonne dose de paperasse. Il peut se vanter d'avoir quelques employés, parmi les plus fidèles de la capitale, mais cela n'empêche qu'il délègue le moins possible. Il adore bosser, car il bosse également pour se payer toute cette luxure dans laquelle il est tombé ; vêtements chics, accessoires chers et inutiles donc indispensables, relations charnelles, alcools raffinés et la meilleure bouffe de la ville.

C'est un jour qu'on frappa à la porte de son bureau. Étonné, il partit ouvrir. Il fallait réussir à passer toutes ces pièces ; toutes ces personnes, pour arriver à son bureau. Une femme. Blonde. Eh, plutôt jolie. C'est pas son anniversaire, si ? Un employé attentionné lui aurait envoyé ce petit bout ? Quel amour. Il n'aura pas de promotion, s'il se présente pas ! En vrai, pas sur que ce soit une femme...Mais dans le doutes, disons que oui. C'est bien ce dont il aurait besoin, actuellement !

'' Mais bonjour, ma jolie ! Que puis-je faire pour vous ? Je vous en prie, entrez donc, prenez place, mettez vous tout à fait à l'aise ! ''

Ma jolie se révéla être Inaros. Non mais vraiment ? Impensable. Il était un joli petit lot depuis tout ce temps, mais on lui a rien dit ? Il ne le croyait pas. Et du demander plus de détails. Des questions auxquelles lui seul aurait pu répondre. Bien sur, pour un maximum d'emmerdement, des interrogations intimes. Ok, c'était Inaros. Il secoua les bras dans tous les sens.

'' D'accord, d'accord, d'accord ! Je te crois. Dis donc mon petit, tu t'es mit dans un sale embarras. Du moins, sale...Pour toi hein. Je préfère beaucoup plus cette enveloppe charnelle ! ''

Son ancienne connaissance conta enfin la raison de la visite. Il lui expliqua tout, sur la compagnie, sur l'Ordre, sur ce qu'il attendait de Warren. Archonte de la Capitale, hein ? Plus de travail. Plus d'opportunités. Des reliques précieuses et rares. Fric = pognon. Il hésitait quand même néanmoins.

'' Je sais pas, Inaros. Tu sais, j'ai déjà fort à faire, avec ma propre compagnie. Je ne suis pas contre le travail, j'adorerais pouvoir t'aider, mais je dois considérer, vois tu ? ''

'' Sandro en est déjà. ''

Pas besoin de réfléchir. Warren claqua ses doigts, et pointa Inaros.

'' Ok, j'en suis ! ''

'' Bien. Déjà, ton nom de code sera Vénus. ''

'' Nom de code, en plus ? Eh bien. Donc, c'est cool, comme nom de code, Vénus. Mais ça existe en hétéro ? ''

'' … ''

'' Deimos ? ''

'' ...Vendu. ''

Et c'est ainsi que d'une dernière poignée de main, l'affaire était conclue entre les deux hommes. Du moins, l'un des deux en était pleinement un. Bref. Quelques explications et détails administratifs plus tard, voilà que Warren avait été propulsé Archonte de l'Ordre à la capitale. Un grand ponte de la compagnie Althair, qui avait pour le coup absorbé sa propre entreprise pour en devenir une branche, qu'il continuerait à gérer comme avant, en bénéficiant de l'appui et du nom de la compagnie. Ca se nommerait ''Lagoon''. Pas plus mal, car avant, à part ''Jviens récupérer l'argent'', ou juste le nom ''Richter'', les gens n'avaient pas trop de quoi s'accrocher. Il avait du pain du planche, dans l'immédiat, car y en avait, du travail accumulé depuis le départ de son prédécesseur. Et il y en aurait, dans le futur. Inaros lui avait promis des mains, pour venir travailler avec lui sur ce projet, qui lui était complètement nouveau. Le bougre de menteur. Maintenant, il ne se passe pas une semaine sans qu'on entende retentir, depuis le bureau de Warren :

'' MAIS. OU. EST. LA. SECRETAIRE ? ''

La plupart du temps, c'est la secrétaire officielle de sa compagnie qui débarque. Et doit donc rapidement lui trouver une tâche fantôme. Eh ben. Ça promet.

Quelques mots sur toi
Ton pseudo : Toujours Zephiel o/
Parle nous un peu de toi par ici : ton age, ce que tu aimes, ce que tu fais, vers où tu habites etc... Roh flemme, référez vous à la fiche de Hryfin 8D

Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Téléportation? Je sais plus ce que j'ai mis

Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Encore plus que Hryfin
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Terrifier n'importe qui dans la rue

Côté HRP
Double compte ? Ui, ici Hryfin aux platines !
Comment as-tu connu le forum ? Toujours par Aish
Un truc à rajouter ? Pwet.
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
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Code:

Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]JUJUTSU KAISEN[/b], Kento Nanami @"Warren Richter"

Pour un personnage féminin :
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]SOURCE EN MAJUSCULE[/b], Personnage @"Pseudo complet"