Accueil
Connexion
[défi RP] Le Grand Bal n°2
ModérateurCompte PNJ
Informations
Un grand bal costumé se tient à la Capitale. Organisé par l’une des plus grandes familles du royaume, ce bal est une occasion que personne ne doit rater. Encore moins la jeune Sanward et la belle Samnang ! Après tout, c’est dans ce genre de réception que l’on trouve un bon parti pour l’avenir. Et la rumeur prétend que le prince lui-même aurait validé sa participation à l’événement. Raison de plus pour se mettre en valeur !
Vous arrivez à peu près en même temps, alors que l’on contrôle vos cartons d’invitations, vous vous effleurez… Et par une magie incompréhensible, voilà que vous avez échangé vos corps… Voilà Pariza dans le corps de poupée de Fedora et inversement mais pas le temps de fuir la soirée qu’on vous pousse à l’intérieur. Il va falloir faire avec...
Participants : Pariza Samnang et Fedora Sanward
Challenge RP : Vous incluerez 200 mots de description de tenues par posts
Image de profil : 
Succès : ![[défi RP] Le Grand Bal n°2 FFXnyYu](https://i.imgur.com/fFXnyYu.png)
Cristaux : 2071MESSAGES : 312COULEUR : #Fedora SanwardI'm a Barbie girl, in the Barbie world
Informations
Défi rp : Le grand bal.
Elle secoue vivement la tête, ferme et décidée alors que Wilfred soupire doucement devant son attitude parfois enfantine il faut bien l'avouer. "NON NON NON ET NON! Je ne veux pas y aller Wilfred!" "Dame Sanward, comprenez que vous êtes à la tête de la société Sanward, vous ne pouvez refuser une telle invitation et..." "Mais dans ce genre de soirée, il y a toujours des hommes et des femmes célibataires, puis il y a des propositions de mariage pour conclure des ententes et... Et... Et... Faolan va encore croire que je vais me fiancer avec un noble et que je veux "mieux" que lui... Comme si c'était possible..." Finit-elle par dire! Voici la seule raison pour laquelle elle ne veut vraiment pas assister à ce bal, elle ne veut pas que le jeune cuisinier croit qu'elle cherche quelqu'un d'autre, pas alors qu'ils sont enfin ensembles, pas alors que tout va pour le mieux à présent... C'est un rire franc qui provient de Wilfred, un regard tendre et un sourire mi-amusé, mi-desespéré sans doute... "Dame Sanward, je pense que Sieur Faolan a bien conscience de vos sentiments et qu'il comprendra que votre rang vous oblige à assister à ce genre de soirée..."
Et c'est ainsi que bien malgré elle, Fedora prend la route de la capitale. Dans son fiacre, la poupée n'a réellement pas envie et cela se voit d'ailleurs! Elle n'a même pas eu le droit d'écrire à Faolan pour lui demander de venir avec elle, alors elle est bougonne! Certes, sa robe est très belle, pas le choix d'ailleurs! En réalité elle voulait mettre sa robe habituelle, noir avec des teintes de rouges, rapiécées ci et là pour ne pas laisser voir les trous de ses nombreuses chutes, laide sans aucun doute mais qu'elle apprécie toujours autant et qu'elle se refuse à jeter! Oh oui, elle aurait aimé cela, comme si son apparence risquait de ne pas être suffisante pour faire fuir des prétendants mais non, Wilfred est intervenu, affirmant que l'héritière Sanward se devait d'être présentable. De ce fait, elle porte une longue robe d'un rouge éclatant qui va parfaitement avec ses yeux de poupée, légèrement échancré et en satin semblant briller au soleil. Rehaussé d'un corset noir, enserrant sa taille de guêpe, s'attachant à l'aide de lacets tout aussi sombre dans son dos et rehaussant quelques peu son buste. Cette tenue s'accompagnant de chaussures à talon court, escarpins rouge également qu'elle porte-aisément contrairement à d'autres chaussures qui lui furent proposées - elle n'a jamais apprit à marcher avec des talons aiguilles - et qui lui font gagné un bon centimètre. Ses cheveux ont même été coiffés pour l'occasion : des chignons macarons ornant sa tête pour son plus grand malheur. Oui, elle est élégante et pour une fois, cela lui déplait réellement. Pour accompagner le tout, elle possède également son petit sac sans fond, modèle sac à main qu'elle a teint pour l'occasion en noir avec sa palette de couleur, ce qui se mari avec son corset et l'ensemble de sa tenue du coup...
Arrivant sur place, elle laisse une nouvelle imitation de soupire se faire sur son visage. Pourvu que tout se passe bien et que Faolan, lorsqu'il l'apprendra - car elle ne compte pas lui cacher ses sorties - ne s'imaginera pas des choses... Se présentant à l'entrée de la demeure dans laquelle se déroule le bal, elle donne son carnet d'invitation et effleure, bien malgré elle, une autre convive. Pas d'importance! Elle entre dans le couloir et, après quelques pas seulement, tournant la tête sur le côté, elle se voit. Un miroir? Non, c'est vraiment elle! Baissant la tête sur son corps, elle se rend compte qu'elle n'est plus dans la même tenue, décidément Lucy s'amuse avec elle? Après l'aventurier dans la forêt, la voilà qui devient humaine avec cette inconnue? Pourquoi ne peut-elle pas devenir humaine dans son propre corps lorsqu'elle est avec son précieux ami - et plus encore - mais d'ailleurs... FAOLAN! Il faut qu'elle contrôle la situation! Attrapant sa main, enfin celle de la demoiselle qui est maintenant dans son corps, elle l'attire dans son sillage en se mettant à courir. Qu'importe ce dont cela a l'air, il faut qu'elle lui parle de toute urgence!
Une fois dans un endroit calme, la demoiselle reprend son souffle, c'est si difficile de courir lorsqu'on respire! "Je suis... Désolée... Mais je dois... Vous parler!" Commence-t-elle avant de prendre une grande inspiration. "Je m'appelle Fedora Sanward, nous avons apparemment changé de corps! N'ayez crainte, je vais trouver une solution, je suis apprentie enchanteresse mais, temps que vous êtes dans mon corps, il y a une règle impératif à suivre... Vous ne devez pas approcher d'un homme!" Clame-t-elle le plus sérieusement du monde!
Et c'est ainsi que bien malgré elle, Fedora prend la route de la capitale. Dans son fiacre, la poupée n'a réellement pas envie et cela se voit d'ailleurs! Elle n'a même pas eu le droit d'écrire à Faolan pour lui demander de venir avec elle, alors elle est bougonne! Certes, sa robe est très belle, pas le choix d'ailleurs! En réalité elle voulait mettre sa robe habituelle, noir avec des teintes de rouges, rapiécées ci et là pour ne pas laisser voir les trous de ses nombreuses chutes, laide sans aucun doute mais qu'elle apprécie toujours autant et qu'elle se refuse à jeter! Oh oui, elle aurait aimé cela, comme si son apparence risquait de ne pas être suffisante pour faire fuir des prétendants mais non, Wilfred est intervenu, affirmant que l'héritière Sanward se devait d'être présentable. De ce fait, elle porte une longue robe d'un rouge éclatant qui va parfaitement avec ses yeux de poupée, légèrement échancré et en satin semblant briller au soleil. Rehaussé d'un corset noir, enserrant sa taille de guêpe, s'attachant à l'aide de lacets tout aussi sombre dans son dos et rehaussant quelques peu son buste. Cette tenue s'accompagnant de chaussures à talon court, escarpins rouge également qu'elle porte-aisément contrairement à d'autres chaussures qui lui furent proposées - elle n'a jamais apprit à marcher avec des talons aiguilles - et qui lui font gagné un bon centimètre. Ses cheveux ont même été coiffés pour l'occasion : des chignons macarons ornant sa tête pour son plus grand malheur. Oui, elle est élégante et pour une fois, cela lui déplait réellement. Pour accompagner le tout, elle possède également son petit sac sans fond, modèle sac à main qu'elle a teint pour l'occasion en noir avec sa palette de couleur, ce qui se mari avec son corset et l'ensemble de sa tenue du coup...
Arrivant sur place, elle laisse une nouvelle imitation de soupire se faire sur son visage. Pourvu que tout se passe bien et que Faolan, lorsqu'il l'apprendra - car elle ne compte pas lui cacher ses sorties - ne s'imaginera pas des choses... Se présentant à l'entrée de la demeure dans laquelle se déroule le bal, elle donne son carnet d'invitation et effleure, bien malgré elle, une autre convive. Pas d'importance! Elle entre dans le couloir et, après quelques pas seulement, tournant la tête sur le côté, elle se voit. Un miroir? Non, c'est vraiment elle! Baissant la tête sur son corps, elle se rend compte qu'elle n'est plus dans la même tenue, décidément Lucy s'amuse avec elle? Après l'aventurier dans la forêt, la voilà qui devient humaine avec cette inconnue? Pourquoi ne peut-elle pas devenir humaine dans son propre corps lorsqu'elle est avec son précieux ami - et plus encore - mais d'ailleurs... FAOLAN! Il faut qu'elle contrôle la situation! Attrapant sa main, enfin celle de la demoiselle qui est maintenant dans son corps, elle l'attire dans son sillage en se mettant à courir. Qu'importe ce dont cela a l'air, il faut qu'elle lui parle de toute urgence!
Une fois dans un endroit calme, la demoiselle reprend son souffle, c'est si difficile de courir lorsqu'on respire! "Je suis... Désolée... Mais je dois... Vous parler!" Commence-t-elle avant de prendre une grande inspiration. "Je m'appelle Fedora Sanward, nous avons apparemment changé de corps! N'ayez crainte, je vais trouver une solution, je suis apprentie enchanteresse mais, temps que vous êtes dans mon corps, il y a une règle impératif à suivre... Vous ne devez pas approcher d'un homme!" Clame-t-elle le plus sérieusement du monde!
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : 
Succès : Cristaux : 2551MESSAGES : 626COULEUR : #Hals GatzaNoble
Informations
Toute cette histoire est ridicule.
C’est une pensée simple et surtout tellement vraie. La situation de base était ridicule. Il y a quelques années, voir lune, ça aurait été le premier endroit où elle aurait foncé pour tenter de trouver un bon parti, alors que là, elle tentait d’y aller pour avoir un article à se mettre sous la dent pour les premières pages de son journal. Avant on ne lui aurait jamais demandé de mettre un pied dans cet endroit, alors que cette fois, avec la promesse d’une mise en avant de la fête et plus ou moins interdiction d’approcher des parties intéressantes, on lui proposait de venir. La bonne plaisanterie.
Au moins, je représente bien le journal avec cette tenue.
Elle avait misé, pour se bal costumé, pour une robe en un tissu assez léger ou les différentes franges de la robe, couper de manière qui semblait irrégulière pouvait, de loin et avec le bon effet de vent, faire penser à des plumes volantes sur ses jambes, laissant de temps en temps entrevoir sa peau dessous en restant parfaitement décent. Le tout est d’une couleur vert pomme, parfois un peu plus claire, d’autre fois plus foncer, pour faire vraiment un effet de plumage, il y a même son bustier qui est parfaitement blanc sur l’avant de partir sur un dégradé de vert au fur et à mesure que cela va vert l’arrière. La robe est avec les épaules de laisser libre. Le tout était accompagné d’un loup sur le visage rappelant plus ou moins le bas d’un Chantelune, ainsi qu’une ceinture où l’on pouvait parfaitement voir un carnet être attaché d’une cordelette, ainsi qu’une mine pour écrire attacher de la même façon. À ses pieds, alors que le tissu de sa robe s’arrêtait trois doigts en dessous du genou, on pouvait voir de petit talon de couleur noir qui remontait jusqu’à la cheville. Quelques perles semblaient aussi avoir été ajoutées par-ci et là pour donner un effet lumineux à toute la tenue. Vraiment, pour une robe prête pour couvrir l’événement on sentait qu’ils voulaient bien faire. Aussi qu’il cherchait à bien faire comprendre qu’eux avait de l’argent de base.
Bande de frimeurs.
Elle pense cela, mais ça l’amuse de faire un tour sur elle-même juste pour faire voler un peu la robe dans tous les sens. Elle aimait bien le fait que le familier choisi pour représenter son journal soit mis ainsi en avant. Elle pensera à remercier l’ami de la famille qui avait arrangé le coup à base de chantage sur elle ne sait plus pour afin qu’elle soit là, vêtue ainsi.
Tout aurait été cool si ça avait été la seule chose à raconter de la soirée, un peu chiante, mais cool. Seulement, bien entendu, ce ne fut pas la seule. Bien sûr, comme encore une fois, on lui demanda tes papiers pour pouvoir entrer dans les lieux. Cette fois, ayant retenu la leçon de la dernière fois, elle a ce qu’il faut sur elle directement. Tout se passe bien, jusqu’à un picotement étrange sous sa peau, une sensation assez étrange, sa respiration qui a un accro, puis, plus de respirations, mais sans que cela ne soit un souci.
Hein ?
C’est la confusion totale en elle, encore plus quand elle se fait plus ou moins embarquer de force à l’écart par son propre corps beaucoup plus paniqué qu’il ne devrait l’être. Elle écoute ce que raconte son corps et la fixe sans trop comprendre le pourquoi du comment.
— Je ne pensais pas avoir cette voix-là… Enfin, je veux dire qu’elle ne sonne pas comme cela à mes oreilles… c’est assez fascinant. Est-ce que c’est une expérience sociale de la fête ? J’avais eu vent que des spectacles magiques allaient avoir lieu, mais je ne pensais pas directement. En plus vous êtes une apprentie enchanteresse, formidable ! Est-ce un enchantement que vous aviez préparé qui est parti trop tôt ? Il y a des conséquences néfastes à approcher des hommes pendant le changement de corps ? Par toute la magie, est-ce que je peux récupérer mon carnet et mon crayon pour commencer à prendre des notes ?
Elle s'est mise à sautiller comme une enfant en posant ses questions, il n’y absolument aucune peur dans sa voix, juste une curiosité beaucoup trop grande et un peu oppressante pour ceux n’en souhaitant pas. Elle sautille tellement que sa tête quitte sa place, assez littéralement, pour finir au sol relié par une chaîne. Encore une nouveauté assez impressionnante.
— Oh ! Ma tête, enfin, votre tête, je crois l’avoir perdu. La perte de membre est parce qu’on est trop proche de personne de sexe masculin autour de nous ? C’est fascinant comme pouvoir. Oh ! Si vous pouviez m'expliquer des comment ne plus voir le sol ça serait magnifique, parler en lui faisant face n’est pas forcément pratique. Je ne peux même pas dire désagréable parce que ce n’est pas plus que cela dans cette partie-là. Mademoiselle Sanward c’est une rencontre assez atypique ce soir, j’en oublie de me présenter, Pariza Samnang, journaliste. Tant qu’on en est aux règles à respecter avec les corps d’autrui, ne toucher pas de miroir, les voyages ne sont pas aussi plaisants qu’on le souhaiterait.
Cela fait aussi étrange de ne pas avoir besoin de reprendre de l’air pour parler, c’est comme si cela démultiplie la possibilité de parler encore et toujours plus.
C’est une pensée simple et surtout tellement vraie. La situation de base était ridicule. Il y a quelques années, voir lune, ça aurait été le premier endroit où elle aurait foncé pour tenter de trouver un bon parti, alors que là, elle tentait d’y aller pour avoir un article à se mettre sous la dent pour les premières pages de son journal. Avant on ne lui aurait jamais demandé de mettre un pied dans cet endroit, alors que cette fois, avec la promesse d’une mise en avant de la fête et plus ou moins interdiction d’approcher des parties intéressantes, on lui proposait de venir. La bonne plaisanterie.
Au moins, je représente bien le journal avec cette tenue.
Elle avait misé, pour se bal costumé, pour une robe en un tissu assez léger ou les différentes franges de la robe, couper de manière qui semblait irrégulière pouvait, de loin et avec le bon effet de vent, faire penser à des plumes volantes sur ses jambes, laissant de temps en temps entrevoir sa peau dessous en restant parfaitement décent. Le tout est d’une couleur vert pomme, parfois un peu plus claire, d’autre fois plus foncer, pour faire vraiment un effet de plumage, il y a même son bustier qui est parfaitement blanc sur l’avant de partir sur un dégradé de vert au fur et à mesure que cela va vert l’arrière. La robe est avec les épaules de laisser libre. Le tout était accompagné d’un loup sur le visage rappelant plus ou moins le bas d’un Chantelune, ainsi qu’une ceinture où l’on pouvait parfaitement voir un carnet être attaché d’une cordelette, ainsi qu’une mine pour écrire attacher de la même façon. À ses pieds, alors que le tissu de sa robe s’arrêtait trois doigts en dessous du genou, on pouvait voir de petit talon de couleur noir qui remontait jusqu’à la cheville. Quelques perles semblaient aussi avoir été ajoutées par-ci et là pour donner un effet lumineux à toute la tenue. Vraiment, pour une robe prête pour couvrir l’événement on sentait qu’ils voulaient bien faire. Aussi qu’il cherchait à bien faire comprendre qu’eux avait de l’argent de base.
Bande de frimeurs.
Elle pense cela, mais ça l’amuse de faire un tour sur elle-même juste pour faire voler un peu la robe dans tous les sens. Elle aimait bien le fait que le familier choisi pour représenter son journal soit mis ainsi en avant. Elle pensera à remercier l’ami de la famille qui avait arrangé le coup à base de chantage sur elle ne sait plus pour afin qu’elle soit là, vêtue ainsi.
Tout aurait été cool si ça avait été la seule chose à raconter de la soirée, un peu chiante, mais cool. Seulement, bien entendu, ce ne fut pas la seule. Bien sûr, comme encore une fois, on lui demanda tes papiers pour pouvoir entrer dans les lieux. Cette fois, ayant retenu la leçon de la dernière fois, elle a ce qu’il faut sur elle directement. Tout se passe bien, jusqu’à un picotement étrange sous sa peau, une sensation assez étrange, sa respiration qui a un accro, puis, plus de respirations, mais sans que cela ne soit un souci.
Hein ?
C’est la confusion totale en elle, encore plus quand elle se fait plus ou moins embarquer de force à l’écart par son propre corps beaucoup plus paniqué qu’il ne devrait l’être. Elle écoute ce que raconte son corps et la fixe sans trop comprendre le pourquoi du comment.
— Je ne pensais pas avoir cette voix-là… Enfin, je veux dire qu’elle ne sonne pas comme cela à mes oreilles… c’est assez fascinant. Est-ce que c’est une expérience sociale de la fête ? J’avais eu vent que des spectacles magiques allaient avoir lieu, mais je ne pensais pas directement. En plus vous êtes une apprentie enchanteresse, formidable ! Est-ce un enchantement que vous aviez préparé qui est parti trop tôt ? Il y a des conséquences néfastes à approcher des hommes pendant le changement de corps ? Par toute la magie, est-ce que je peux récupérer mon carnet et mon crayon pour commencer à prendre des notes ?
Elle s'est mise à sautiller comme une enfant en posant ses questions, il n’y absolument aucune peur dans sa voix, juste une curiosité beaucoup trop grande et un peu oppressante pour ceux n’en souhaitant pas. Elle sautille tellement que sa tête quitte sa place, assez littéralement, pour finir au sol relié par une chaîne. Encore une nouveauté assez impressionnante.
— Oh ! Ma tête, enfin, votre tête, je crois l’avoir perdu. La perte de membre est parce qu’on est trop proche de personne de sexe masculin autour de nous ? C’est fascinant comme pouvoir. Oh ! Si vous pouviez m'expliquer des comment ne plus voir le sol ça serait magnifique, parler en lui faisant face n’est pas forcément pratique. Je ne peux même pas dire désagréable parce que ce n’est pas plus que cela dans cette partie-là. Mademoiselle Sanward c’est une rencontre assez atypique ce soir, j’en oublie de me présenter, Pariza Samnang, journaliste. Tant qu’on en est aux règles à respecter avec les corps d’autrui, ne toucher pas de miroir, les voyages ne sont pas aussi plaisants qu’on le souhaiterait.
Cela fait aussi étrange de ne pas avoir besoin de reprendre de l’air pour parler, c’est comme si cela démultiplie la possibilité de parler encore et toujours plus.
Image de profil : 
Succès : Cristaux : 795MESSAGES : 171COULEUR : #Fedora SanwardI'm a Barbie girl, in the Barbie world
Informations
Défi rp : Le grand bal.
Q uoi? Je... Non!" Une éloquence digne des plus grandes de ce monde à n'en pas douter et pourtant, la jeune noble ne sait pas réellement que dire d'autre à cet instant, alors c'est ainsi de se retrouver face à une personne qui peut parler sans devoir respirer? Est-ce vraiment cela qu'elle inflige aux autres lorsqu'elle se perd dans ses élucubration? Un léger soupire - car cette fois elle peut le faire sans que ce ne soit qu'une imitation de geste - alors qu'elle s'avance pour aider la jeune femme à retrouver sa tête, du moins à l'avoir à nouveau sur les épaules... Il y a visiblement incompréhension et toute cette discussion ne fait pas réellement sens lorsqu'on y pense, dans sa précipitation Fedora a oublié le plus important : il faut s'expliquer clairement pour qu'une conversation soit comprise, elle le sait pourtant, vu les étapes de sa relation avec son petit-ami, elle sait qu'exprimer clairement ce que l'on veut, croit, espère, est une nécessité pour qu'un message passe correctement... Tout en reposant la tête sur les épaules de son corps - chose étrange s'il en est - elle secoue doucement la tête en souriant avant de tendre le carnet de note à la jeune femme.
"Je suis désolée, je pense qu'il y a une incompréhension... Je n'ai rien à voir avec cette transformation - ou plutôt ce changement de corps - le fait de perdre des membres n'a rien à voir avec l'approche de la gente masculine, c'est l'une des conséquences de mon pouvoir..." Léger sourire gênée, voici Fedora qui profite de ce nouveau corps pour afficher toute une gamme d'émotion qu'elle ne peut montrer normalement. "Je ne pense pas qu'il y ait de conséquences néfaste à approcher les hommes, c'est plus une demande personnelle! Mon copain a la bêtise de penser qu'il n'est pas assez bien parce que je suis noble et lui non ou ce genre de chose, je ne voudrais pas qu'il entende parler du bal et qu'il pense que j'ai laissé d'autre hommes me courtiser vous comprenez?" Demande-t-elle en jouant nerveusement avec ses doigts, se mettre en tête de repousser tout homme qui aurait pu vouloir l'approcher c'est une chose, demander à une autre personne qui se trouve présentement dans son corps s'en est une autre et d'ailleurs, elle réalise soudain que cela est réciproque en réalité!
"De toute façon il faut trouver un moyen de reprendre nos corps respectif! Je doute que votre cavalier soit heureux si je refuse de danser avec..." Car ce n'est pas parce que ce n'est pas son corps qu'elle va approcher d'un autre homme que Faolan, ça non! Sauf que, belle comme elle l'est, la demoiselle doit avoir un cavalier, peut-être même un fiancé? C'est chose courante dans la noblesse, nul doute que ce-dernier ne comprendra pas pourquoi sa belle refuse ses avances... Je propose qu'on tente de trouver l'organisateur de la fête, il saura peut-être ce qu'il se passe? C'est peut-être effectivement l'une des activités magiques dont vous parliez?" Dit-elle en prenant sa main - enfin celle de l'autre demoiselle du coup - pour retourner vers la salle de bal. "Vous parliez de ne pas toucher les miroirs? C'est cela votre pouvoir? Le voyage entre les miroirs? Cela doit être exceptionnel! Bien plus que d'être une poupée en tout cas..."
En avançant, elle se souvient pourquoi elle n'aime guère les soirées de la noblesse : les gens tentent de se rapprocher, les discussions sont inintéressantes et beaucoup sont là uniquement pour conclure des alliances, parfois par un mariage sans amour... Un homme la regarde d'ailleurs avec un léger sourire. Vêtu d'un costume noir constitué de trois pièces distinctes, il respire la fortune et semble le savoir. Sa chemise, aussi noire que la nuit, rentrée dans son pantalon noir, coupé droit, certainement d'une sorte du tissu de haute qualité vu la prestance dégagé par cet homme. Un petit gilet fermé par plusieurs boutons d'une couleur variant entre le doré et l'argenté et possédant plusieurs arabesque, ces motifs qui s'entremêlent sans réellement donner de dessin précis! Pour couvrir le tout, une veste qu'il garde ouverte, de la même couleur que la chemise ou le pantalon. L'homme, élégant, possède à ses pieds de belle chaussures, tout aussi noires, en cuir, qui brillent légèrement, visiblement ciré depuis peu pour l'occasion, il dispose ensuite d'une canne dont il se sert pour marcher, cette dernière de couleur bronze légèrement métallique se termine sur le haut par une tête de corbeau? Pour finir sa panoplie, il possède également des gants semblant être en une sorte de cuir, tout aussi noirs que le reste ainsi qu'un chapeau, rivé sur sa tête, qui cache sa chevelure qui restera un mystère. Le tout fait dire qu'il est un peu effrayant et en même temps, il a une élégance certaine.
S'approchant avec un sourire séducteur, il fait une légère révérence devant Fedora, enfin... Fedora dans le corps de Pariza. "Belle Dame, m'accorderiez-vous cette danse?" "Euh... Non! Enfin, c'est à dire que..." Comment refuser? Peut-être Pariza est-elle ici pour trouver un parti et ce refus pourrait être catastrophique? Mais elle ne veut pas, elle aurait l'impression de trahir Faolan! C'est tellement difficile d'être dans le corps d'une autre...
"Je suis désolée, je pense qu'il y a une incompréhension... Je n'ai rien à voir avec cette transformation - ou plutôt ce changement de corps - le fait de perdre des membres n'a rien à voir avec l'approche de la gente masculine, c'est l'une des conséquences de mon pouvoir..." Léger sourire gênée, voici Fedora qui profite de ce nouveau corps pour afficher toute une gamme d'émotion qu'elle ne peut montrer normalement. "Je ne pense pas qu'il y ait de conséquences néfaste à approcher les hommes, c'est plus une demande personnelle! Mon copain a la bêtise de penser qu'il n'est pas assez bien parce que je suis noble et lui non ou ce genre de chose, je ne voudrais pas qu'il entende parler du bal et qu'il pense que j'ai laissé d'autre hommes me courtiser vous comprenez?" Demande-t-elle en jouant nerveusement avec ses doigts, se mettre en tête de repousser tout homme qui aurait pu vouloir l'approcher c'est une chose, demander à une autre personne qui se trouve présentement dans son corps s'en est une autre et d'ailleurs, elle réalise soudain que cela est réciproque en réalité!
"De toute façon il faut trouver un moyen de reprendre nos corps respectif! Je doute que votre cavalier soit heureux si je refuse de danser avec..." Car ce n'est pas parce que ce n'est pas son corps qu'elle va approcher d'un autre homme que Faolan, ça non! Sauf que, belle comme elle l'est, la demoiselle doit avoir un cavalier, peut-être même un fiancé? C'est chose courante dans la noblesse, nul doute que ce-dernier ne comprendra pas pourquoi sa belle refuse ses avances... Je propose qu'on tente de trouver l'organisateur de la fête, il saura peut-être ce qu'il se passe? C'est peut-être effectivement l'une des activités magiques dont vous parliez?" Dit-elle en prenant sa main - enfin celle de l'autre demoiselle du coup - pour retourner vers la salle de bal. "Vous parliez de ne pas toucher les miroirs? C'est cela votre pouvoir? Le voyage entre les miroirs? Cela doit être exceptionnel! Bien plus que d'être une poupée en tout cas..."
En avançant, elle se souvient pourquoi elle n'aime guère les soirées de la noblesse : les gens tentent de se rapprocher, les discussions sont inintéressantes et beaucoup sont là uniquement pour conclure des alliances, parfois par un mariage sans amour... Un homme la regarde d'ailleurs avec un léger sourire. Vêtu d'un costume noir constitué de trois pièces distinctes, il respire la fortune et semble le savoir. Sa chemise, aussi noire que la nuit, rentrée dans son pantalon noir, coupé droit, certainement d'une sorte du tissu de haute qualité vu la prestance dégagé par cet homme. Un petit gilet fermé par plusieurs boutons d'une couleur variant entre le doré et l'argenté et possédant plusieurs arabesque, ces motifs qui s'entremêlent sans réellement donner de dessin précis! Pour couvrir le tout, une veste qu'il garde ouverte, de la même couleur que la chemise ou le pantalon. L'homme, élégant, possède à ses pieds de belle chaussures, tout aussi noires, en cuir, qui brillent légèrement, visiblement ciré depuis peu pour l'occasion, il dispose ensuite d'une canne dont il se sert pour marcher, cette dernière de couleur bronze légèrement métallique se termine sur le haut par une tête de corbeau? Pour finir sa panoplie, il possède également des gants semblant être en une sorte de cuir, tout aussi noirs que le reste ainsi qu'un chapeau, rivé sur sa tête, qui cache sa chevelure qui restera un mystère. Le tout fait dire qu'il est un peu effrayant et en même temps, il a une élégance certaine.
S'approchant avec un sourire séducteur, il fait une légère révérence devant Fedora, enfin... Fedora dans le corps de Pariza. "Belle Dame, m'accorderiez-vous cette danse?" "Euh... Non! Enfin, c'est à dire que..." Comment refuser? Peut-être Pariza est-elle ici pour trouver un parti et ce refus pourrait être catastrophique? Mais elle ne veut pas, elle aurait l'impression de trahir Faolan! C'est tellement difficile d'être dans le corps d'une autre...
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : Succès : Cristaux : 2551MESSAGES : 626COULEUR : #Hals GatzaNoble
Informations
Il y a toujours des incompréhensions dans le monde de toute manière, surtout dans le monde des nobles. Quelque part ça amuse beaucoup Pariza alors qu’on remet sa tête en place et qu’elle écoute avec ce qu’elle pense être un sourire tendre sur les lèvres, mais qui ne donne pas du tout ainsi avec son corps actuel. Celle qui a pris son corps a une candeur assez adorable. Le nouveau venu beaucoup moins. Trop friqué, trop riche, trop plein d’assurance, celui qui veut vous ouvrir les cuisses dans les toilettes, mais jamais se marier avec vous.
— Chaperonne, voyons, il ne faut point prendre les demandes ainsi.
— Chaperon ?
Il y a tout un dégoût dans la voix de cet homme, visiblement la vue du corps d’emprunt de Pariza est tout sauf à son goût, la possible position de chaperon de son corps d’origine pas du tout ce qu’il souhaite.
— Oui, c’est mon chaperon du soir, donc, où elle va, je vais aussi.
— Je vois… On m’appelle, je reviendrai plus tard.
— Avec plaisir, passer une bonne soirée.
Et il partit vers une élégante avec une robe en velours rouge. La robe est clairement neuve et on peut presque voir d’ici les senteurs de rose qui s’en dégagent, même si c’est un peu exagéré ce qui est visible. Le velours bouge avec une harmonie qui suit parfaitement la ligne du corps de la noble qui la porte. Le rouge n’est pas d’un éclatant qui pète la rétine, juste assez soutenu pour être bien visible, mais sans faire tache. Aucune perle n’est présente sur le tissu, mais il semble avoir comme un effet de petite pierre scintillante, sûrement un tissu magique qui change légèrement d’effet visuel suivant les éclats de lumière dans sa direction. Elle porte aussi de grands et long gants noirs en résille assez fine qui vont dans le même effet que la résille sur le haut de son bustier qui met en avant ses arguments sans pour autant être indécent. Il est possible de voir des petits escarpins noirs, comme un rappelle de la seconde couleur principale du mélange. Le talon semble bas pour facilité des mouvements avec, on sent qu’ils ont été taillés pour permettre de danser sans peine toute la nuit. Bref, tout dans cette tenue respire l’élégance et le glamour, même le petit éventail fait de l’effet à son visage alors que ses yeux rieurs regardent le nouveau venu qui ne semble pas faire attention à la peau ridée ou ses cheveux grisonnants.
— Je ne cherche pas de parti non plus, donc si on pouvait fouiller toutes les deux sur ce qui se passe ici pour mon article ça me plairait bien. Surtout sur ce qui se passe sur ce banquet coloré et avec des étincelles dans tous les sens.
Elle dit cela en montrant un regroupement autour de la table du banquet visiblement.
— Vous n’auras qu’a joué ma chaperonne et cela ne devrais pas jouer ni sur votre réputation ou l’humeur de votre petit ami jaloux et un peu idiot visiblement. Est-ce que cela vous convient ? Puis, vous savez, pour le pouvoir, parfois c’est effrayant comme pouvoir. Se plonger dans toutes ses peurs à chaque fois qu’on l’utilise est perturbant et je suis souvent désorienté à la suite d’un voyage. Je ne parle même pas d’un cas de casse de miroirs ou si je reste trop longtemps dedans. Franchement, si vous voulez mon avis, tous les pouvoirs ont leur avantage et inconvénient. Par exemple, pouvoir parler autant depuis tout à l’heure sans faire de pause est un réel plaisir et je ne me sens pas du tout fatigué ! Est-ce que vous pouvez vous rendre compte du nombre d’articles qui seraient possibles d’écrire dans cet état ou encore le nombre d’enquêtes à réaliser ? Cela serait si beau !
Il y a un enthousiasme certain dans sa voix et elle virevolte en cherchant à contrôler ce nouveau corps, tout en faisant attention à ne pas perdre sa tête cette fois-là.
— Si le rôle de chaperon ne vous convient pas, on peut aussi nous transformer en associé pour couvrir ce bal si vous le souhaitez. J’ai été accepté pour cela à la base, même en étant noble vu l’influence plus que petite de ma famille sans une bonne publicité jamais on ne m’aurait laissé rentrer. Il y a tout de même quelque chose d’étrange avec leur liste d’invités… Il n’y a pas non plus le moindre garde royal alors qu’il y a une rumeur sur le prince ici. Comment est-ce qu’une telle rumeur à telle pu naître alors ?
De plus en plus d’agitation se fait autour du buffet pendant son monologue.
— Chaperonne, voyons, il ne faut point prendre les demandes ainsi.
— Chaperon ?
Il y a tout un dégoût dans la voix de cet homme, visiblement la vue du corps d’emprunt de Pariza est tout sauf à son goût, la possible position de chaperon de son corps d’origine pas du tout ce qu’il souhaite.
— Oui, c’est mon chaperon du soir, donc, où elle va, je vais aussi.
— Je vois… On m’appelle, je reviendrai plus tard.
— Avec plaisir, passer une bonne soirée.
Et il partit vers une élégante avec une robe en velours rouge. La robe est clairement neuve et on peut presque voir d’ici les senteurs de rose qui s’en dégagent, même si c’est un peu exagéré ce qui est visible. Le velours bouge avec une harmonie qui suit parfaitement la ligne du corps de la noble qui la porte. Le rouge n’est pas d’un éclatant qui pète la rétine, juste assez soutenu pour être bien visible, mais sans faire tache. Aucune perle n’est présente sur le tissu, mais il semble avoir comme un effet de petite pierre scintillante, sûrement un tissu magique qui change légèrement d’effet visuel suivant les éclats de lumière dans sa direction. Elle porte aussi de grands et long gants noirs en résille assez fine qui vont dans le même effet que la résille sur le haut de son bustier qui met en avant ses arguments sans pour autant être indécent. Il est possible de voir des petits escarpins noirs, comme un rappelle de la seconde couleur principale du mélange. Le talon semble bas pour facilité des mouvements avec, on sent qu’ils ont été taillés pour permettre de danser sans peine toute la nuit. Bref, tout dans cette tenue respire l’élégance et le glamour, même le petit éventail fait de l’effet à son visage alors que ses yeux rieurs regardent le nouveau venu qui ne semble pas faire attention à la peau ridée ou ses cheveux grisonnants.
— Je ne cherche pas de parti non plus, donc si on pouvait fouiller toutes les deux sur ce qui se passe ici pour mon article ça me plairait bien. Surtout sur ce qui se passe sur ce banquet coloré et avec des étincelles dans tous les sens.
Elle dit cela en montrant un regroupement autour de la table du banquet visiblement.
— Vous n’auras qu’a joué ma chaperonne et cela ne devrais pas jouer ni sur votre réputation ou l’humeur de votre petit ami jaloux et un peu idiot visiblement. Est-ce que cela vous convient ? Puis, vous savez, pour le pouvoir, parfois c’est effrayant comme pouvoir. Se plonger dans toutes ses peurs à chaque fois qu’on l’utilise est perturbant et je suis souvent désorienté à la suite d’un voyage. Je ne parle même pas d’un cas de casse de miroirs ou si je reste trop longtemps dedans. Franchement, si vous voulez mon avis, tous les pouvoirs ont leur avantage et inconvénient. Par exemple, pouvoir parler autant depuis tout à l’heure sans faire de pause est un réel plaisir et je ne me sens pas du tout fatigué ! Est-ce que vous pouvez vous rendre compte du nombre d’articles qui seraient possibles d’écrire dans cet état ou encore le nombre d’enquêtes à réaliser ? Cela serait si beau !
Il y a un enthousiasme certain dans sa voix et elle virevolte en cherchant à contrôler ce nouveau corps, tout en faisant attention à ne pas perdre sa tête cette fois-là.
— Si le rôle de chaperon ne vous convient pas, on peut aussi nous transformer en associé pour couvrir ce bal si vous le souhaitez. J’ai été accepté pour cela à la base, même en étant noble vu l’influence plus que petite de ma famille sans une bonne publicité jamais on ne m’aurait laissé rentrer. Il y a tout de même quelque chose d’étrange avec leur liste d’invités… Il n’y a pas non plus le moindre garde royal alors qu’il y a une rumeur sur le prince ici. Comment est-ce qu’une telle rumeur à telle pu naître alors ?
De plus en plus d’agitation se fait autour du buffet pendant son monologue.
Image de profil : Succès : Cristaux : 795MESSAGES : 171COULEUR : #Fedora SanwardI'm a Barbie girl, in the Barbie world
Informations
Défi rp : Le grand bal.
Chaperonne? Fedora tente de marquer sa surprise à cette affirmation, une chose bien plus difficile maintenant que son visage est capable d'exprimer différentes émotions! Heureusement, le galant ne fait déjà plus attention à elle, trop occupé à regarder avec dégoût ce corps qui est le sien normalement et à se dire que, définitivement, une chaperonne n'est pas ce qu'il désire! Sans doute espère-t-il une dame bien mieux placée dans la société? Un léger soupire, à la fois de soulagement, peut-être également de lassitude? Pourquoi ce regard dégoûté? Est-elle si horrible cette jeune poupée? Elle secoue doucement la tête! Qu'importe, le seul dont le regard a de l'importance ne la regarde pas de la sorte, le reste l'aurait peut-être attristé avant mais plus maintenant! Elle se moque des autres à présent.
Un grand sourire illumine son visage, grand, beau et pas du tout effrayant! Aura-t-elle un jour un si beau sourire dans son propre corps? Elle l'espère, elle fait confiance à Lin pour cela de toute façon. Pour l'heure en tout cas, elle a bien oublié la raison de sa présence ici, Wilfred ne pourra pas lui reprocher de ne pas s'occuper des affaire de son entreprise alors qu'elle n'est pas dans son corps n'est-ce pas? Et puis, l'idée de fouiller pour un article lui paraît bien plus intéressant et passionnant que de se mêler à des gens si... Superficiels! "Fort bien mon amie, nous ne nous quittons pas! Il faut bien que je veille sur vous." Dit-elle avec un sourire complice tracé finement sur son visage. Elle se rapproche de son propre corps et passe son bras sous le sien, voici qui devrait facilement empêcher quiconque de les approcher et de les déranger. Un regard surpris et une tête secoué plus tard, la demoiselle ne peut pas lui laisser dire cela.
"Faolan n'est pas idiot! Il est gentil, touchant, doux... Il sait ce que je suis mais, ne le voit pas? Ou plutôt, il voit plus loin que cela... Il a peur au fond, souffre de beaucoup de doutes parce que, alors que les autres voient une poupée, un objet, un monstre parfois même, lui me voit moi! Il dit que je suis belle, je sais qu'il le pense même si, souvent, je ne suis pas d'accord... Bon, il est peut-être qu'en même un peu idiot? Pas parce qu'il a peur, mais parce qu'il croit vraiment qu'un homme meilleur que lui existe!" Un léger sourire sur le visage alors qu'elle regarde dans le vide, elle ne dit même pas cela en fixant la jeune femme dans son corps, elle observe un point invisible et nul doute qu'elle voit celui qui fait battre son coeur - et aujourd'hui elle peut même sentir à quel point il bat lorsqu'elle parle de lui - quel dommage qu'il ne soit pas là quoi que... C'est sans doute mieux vu qu'elle n'a plus son corps. Secouant doucement la tête, elle reporte son attention sur la jeune noble. "Pardonnez-moi... J'ai tendance à en dire trop lorsqu'il est question de lui..." Elle se gratte doucement la joue, légèrement rougissante de gêne, elle manque sans doute un peu de pudeur sur ce point?
Traverser les miroirs ne semble pas quelque chose de simple, pourtant l'expérience doit être particulièrement intéressante! L'idée même de connaître cela se fige doucement dans l'esprit de Fedora, cela doit être si fascinant! Pourtant, à voir la jeune femme, elle semble aussi dire que cela peut-être dangereux? Bon, elle va museler sa curiosité, elle n'est pas dans son corps après tout et ne voudrai pas prendre le risque de blesser son hôte... "Être une poupée à quelques avantages c'est vrai... Mais les défauts sont proportionnelles : Insultes, coup, peur, l'incompréhension des gens face à cette apparence. Et cela, ce sont les moins importants! Je ne peux rien manger ou boire, je ne peux profiter d'aucun parfum, je ne peux pas sentir la chaleur des bras de mon aimé lorsqu'il me sert dedans et je ne peux même pas exprimer d'émotions ce qui rend parfois la compréhension difficile... Je préférais m'épuiser lorsque je parle pour être tout à fait sincère..." Un nouveau sourire, triste cette fois, à croire qu'elle s'amuse avec une palette d'émotion nouvelle.
Se tournant en direction du buffet, elle regarde cet attroupement avec une certaine surprise! Il est vrai que la présence du prince devrait être la cause de la présence de gardes royaux... Peut-être y en a-t-il en civile? Cet homme en train de prendre une bouchée sur un plateau par exemple? Sa veste est magnifique, aussi blanche que les premières neiges de la saison froide, elle semble particulièrement neuve. Longue, arrivant un peu au-dessus des genoux de l'homme qui la porte, elle attire forcément le regard! Pas à cause de son blanc immaculé mais bel et bien à cause des détails de ses dorures! Les boutons tout d'abord, de forme légèrement ovale et au nombre de huit. Sur deux rangées cependant, l'une a droite et l'autre à gauche du centre du veston. De chacun de ces boutons partent des dorures, fils épais formant de magnifiques arabesques se rejoignant au centre de la veste. Ces mêmes arabesques, plus petites et discrète se voyant au niveau des manches de l'homme, juste au niveau des poignet. Cette veste magnifique se trouve au-dessus d'une chemise toute aussi blanche mais dont elle ne peut qu'imaginer les détails puisque n'en est visible que le col. Le bas de la tenue est bien plus simple : un pantalon coupé droit, tout aussi blanc que la veste, sans dorure cette fois si ce n'est celle de la boucle de ceinture - noire - que l'on peut apercevoir. Finalement, des chaussures - blanche également - viennent compléter l'ensemble! Elle n'a aucun doute sur le fait qu'il pourrait s'agir d'un officier de la garde royale, aucune certitude non plus cependant.
"Devrions-nous nous approcher afin "d'enquêter" sur la raison de cet attroupement? Après tout, je vous suis comme votre ombre, c'est mon rôle de chaperon!"
Un grand sourire illumine son visage, grand, beau et pas du tout effrayant! Aura-t-elle un jour un si beau sourire dans son propre corps? Elle l'espère, elle fait confiance à Lin pour cela de toute façon. Pour l'heure en tout cas, elle a bien oublié la raison de sa présence ici, Wilfred ne pourra pas lui reprocher de ne pas s'occuper des affaire de son entreprise alors qu'elle n'est pas dans son corps n'est-ce pas? Et puis, l'idée de fouiller pour un article lui paraît bien plus intéressant et passionnant que de se mêler à des gens si... Superficiels! "Fort bien mon amie, nous ne nous quittons pas! Il faut bien que je veille sur vous." Dit-elle avec un sourire complice tracé finement sur son visage. Elle se rapproche de son propre corps et passe son bras sous le sien, voici qui devrait facilement empêcher quiconque de les approcher et de les déranger. Un regard surpris et une tête secoué plus tard, la demoiselle ne peut pas lui laisser dire cela.
"Faolan n'est pas idiot! Il est gentil, touchant, doux... Il sait ce que je suis mais, ne le voit pas? Ou plutôt, il voit plus loin que cela... Il a peur au fond, souffre de beaucoup de doutes parce que, alors que les autres voient une poupée, un objet, un monstre parfois même, lui me voit moi! Il dit que je suis belle, je sais qu'il le pense même si, souvent, je ne suis pas d'accord... Bon, il est peut-être qu'en même un peu idiot? Pas parce qu'il a peur, mais parce qu'il croit vraiment qu'un homme meilleur que lui existe!" Un léger sourire sur le visage alors qu'elle regarde dans le vide, elle ne dit même pas cela en fixant la jeune femme dans son corps, elle observe un point invisible et nul doute qu'elle voit celui qui fait battre son coeur - et aujourd'hui elle peut même sentir à quel point il bat lorsqu'elle parle de lui - quel dommage qu'il ne soit pas là quoi que... C'est sans doute mieux vu qu'elle n'a plus son corps. Secouant doucement la tête, elle reporte son attention sur la jeune noble. "Pardonnez-moi... J'ai tendance à en dire trop lorsqu'il est question de lui..." Elle se gratte doucement la joue, légèrement rougissante de gêne, elle manque sans doute un peu de pudeur sur ce point?
Traverser les miroirs ne semble pas quelque chose de simple, pourtant l'expérience doit être particulièrement intéressante! L'idée même de connaître cela se fige doucement dans l'esprit de Fedora, cela doit être si fascinant! Pourtant, à voir la jeune femme, elle semble aussi dire que cela peut-être dangereux? Bon, elle va museler sa curiosité, elle n'est pas dans son corps après tout et ne voudrai pas prendre le risque de blesser son hôte... "Être une poupée à quelques avantages c'est vrai... Mais les défauts sont proportionnelles : Insultes, coup, peur, l'incompréhension des gens face à cette apparence. Et cela, ce sont les moins importants! Je ne peux rien manger ou boire, je ne peux profiter d'aucun parfum, je ne peux pas sentir la chaleur des bras de mon aimé lorsqu'il me sert dedans et je ne peux même pas exprimer d'émotions ce qui rend parfois la compréhension difficile... Je préférais m'épuiser lorsque je parle pour être tout à fait sincère..." Un nouveau sourire, triste cette fois, à croire qu'elle s'amuse avec une palette d'émotion nouvelle.
Se tournant en direction du buffet, elle regarde cet attroupement avec une certaine surprise! Il est vrai que la présence du prince devrait être la cause de la présence de gardes royaux... Peut-être y en a-t-il en civile? Cet homme en train de prendre une bouchée sur un plateau par exemple? Sa veste est magnifique, aussi blanche que les premières neiges de la saison froide, elle semble particulièrement neuve. Longue, arrivant un peu au-dessus des genoux de l'homme qui la porte, elle attire forcément le regard! Pas à cause de son blanc immaculé mais bel et bien à cause des détails de ses dorures! Les boutons tout d'abord, de forme légèrement ovale et au nombre de huit. Sur deux rangées cependant, l'une a droite et l'autre à gauche du centre du veston. De chacun de ces boutons partent des dorures, fils épais formant de magnifiques arabesques se rejoignant au centre de la veste. Ces mêmes arabesques, plus petites et discrète se voyant au niveau des manches de l'homme, juste au niveau des poignet. Cette veste magnifique se trouve au-dessus d'une chemise toute aussi blanche mais dont elle ne peut qu'imaginer les détails puisque n'en est visible que le col. Le bas de la tenue est bien plus simple : un pantalon coupé droit, tout aussi blanc que la veste, sans dorure cette fois si ce n'est celle de la boucle de ceinture - noire - que l'on peut apercevoir. Finalement, des chaussures - blanche également - viennent compléter l'ensemble! Elle n'a aucun doute sur le fait qu'il pourrait s'agir d'un officier de la garde royale, aucune certitude non plus cependant.
"Devrions-nous nous approcher afin "d'enquêter" sur la raison de cet attroupement? Après tout, je vous suis comme votre ombre, c'est mon rôle de chaperon!"
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : Succès : Cristaux : 2551MESSAGES : 626COULEUR : #Hals GatzaNoble
Informations
C’est tellement attendrissant. J’écrirais une nouvelle sur une romance s’inspirant de ce couple quand j’aurais le temps, je pense.
Le sourire toujours aux lèvres, certaines que malgré les doutes de la demoiselle tout va bien dans le meilleur des mondes, elle écoute, attentive. D’un coup de main assez habile, même s’il y a un peu d’impaires dans la manière de bouger encore, elle récupère son carnet et crayon pour prendre quelques notes. C’est aussi naturel que respirer que de faire cela.
— Oh ! Ne vous excusez pas, c’est très intéressant comme enthousiasme. Il est bien plus intéressant d’avoir vos propos que ceux d’un vieux crouton qui liste tous les inconvénients de sa jeune maîtresse juste sous prétexte qu’elle n’est pas assez souple à son goût…
Elle mime un soupir fatigué et cela ne sort pas du tout comme elle aurait voulu. Simuler une respiration alors qu’on a plus est compliqué tout de même. Elle s’y reprend à trois fois avant d’arriver à avoir un résultat à moitié comme elle le souhaiterait.
— Compliquer les soupirs corrects, effectivement. Après, vous savez, pour l’apparence, même en étant humain on peut se prendre pas mal de réflexion et être haïs pour une couleur de peau qui ne fait pas assez continentale, une forme d’yeux, oreilles, bouche, nez ou qu’importe qui n’est pas dans la norme. Du moment où vous serez différente de la masse, il y aura toujours des médisants… Après, j’avoue, c’est assez triste pour la nourriture ou tous vos sens de manière générale sauf la vue et l’audition qui sont sans problème. D’ailleurs, les petits fours ont l’air assez bien, n'hésitez pas à vous servir à outrance si le cœur vous en dit, mon estomac est solide. Pour l’alcool vu, notre enquête si on pouvait éviter cela ne serait pas un mal, je tiens bien, mais je ne sais pas comment votre esprit le supporterait à vrai dire.
Il y a une certaine prévenance. Le même qu’elle peut avoir avec les cadets de sa famille que cela soit son frère ou ses cousins et cousines plus jeunes.
— Un physique ça change si facilement avec la magie que je ne comprends même pas pourquoi certains sont aussi fermés là-dessus.
Tout en disant cela, elle attrape un verre de cocktail coloré et le tend à Fedora.
— Tiens, testez cela. Vu l’emplacement et le fait qu'il n'est pas encore été vraiment touchée, cela doit être sans alcool. Aux fêtes beaucoup de gens trouvent cela moins enrichissant de trainer avec un verre sans alcool, cela rend moins sérieux diront certains. Il n’y a rien de sérieux de parler affaire avec trop d’alcool dans les veines, mais cela délie les langues tout de même.
Doucement elle s’adapte à ce nouveau corps, après a faire des pauses plus volontaires dans ses phrases, parler moins rapidement, ne plus être comme en un futur manque d’air où il faut tout sortir d’un coup, alors que c’est tout sauf le cas.
— Et nous allons effectivement nous approcher parce que nous sommes aussi curieux que tout le monde et ne pas manquer ce qui arrive. S’il y a eu un changement de corps, il doit bien y avoir d’autre mystère dans cette soirée.
C’est peut-être même le vrai thème de la soirée.
Ce qui lui faisait avoir cette idée était les nombreuses gens qui ne semblaient pas forcément être à l’aise dans leurs chaussures, mais qui voulaient visiblement faire bonne figure tout de même pour la réputation de cette soirée bien particulière. Il n’y avait qu’à regarder cet homme dans le fond pour s’en rendre compte. Nous parlons de celui avec une cravate rouge un peu trop pétante avec des motifs de lierre dessus fait avec un fin fil d’or et des reliefs argentés qui serrait un peu trop son cou pour qu’il soit à l’aise. Il retroussait de manière frénétique les manches en tissu blanc. C’est du lin de bonne qualité et faire ce geste en boucle le froissait de manière tout sauf agréable à l’œil, de plus, un bouton de manchette, de couleur noire, fait en onyx visiblement, avec l’écusson d’une belette jonglant avec des pommes présentes dessus, semblait à deux doigts de se détaché. Ses mains étaient tapées régulièrement pas un éventail des plus simple, le motif dessus était de simple nuage où si l’on prenait le temps de l’observer en détail on pouvait voir une baleine volante en filigrane dessus. Cela provenant d’une femme, dans une tenue blanche, très simple, avec plein de petit détail laissant clairement entendre son affection à Lucy sans être en surplus. De simple évocation stylisée en fil argenté de certains de ses miracles ou animaux liés à elle. Quelque par elle avait un air un peu contrefait d’une étoile blanche dans l’idée de sa robe. Les mêmes petites queues au niveau de son bustier qu’elle palpe régulièrement, comme pour vérifier que sa poitrine était bel et bien là et cela provoque des coups de coude de l’homme précédent. Comme si chacun évaluait les gestes de l’autre.
— On n’est peut-être pas les seuls à profiter de magie perturbatrice à cette soirée.
Il y a une excitation franche dans sa voix, celle d’enfant qui attend de voir les cadeaux pour son anniversaire. Sans la moindre hésitation, elle se met en route vers son objectif. Son nouveau corps lui répond un peu mieux et elle n’a failli perdre la tête que deux fois pendant le trajet avec un pas un peu trop vif vers l’attroupement.
— Oh ! Venez voir !
Il y a un regard surpris d’une personne à côté qui se fait, mais qui bien rapidement retourne vers la vision de verre avec des paillettes qui sautillent dans tous les sens, avec des amuse-bouches dansants. Littéralement des petits fours qui se dandinent en rythme avec la musique.
— Il faut que tu goûtes cela pour m’expliquer les effets !
Parce que c’est clairement ce qu’elle aurait fait de base si elle avait pu. Personne des personnes regardant cela n’avait osé le faire. Cette bande de couards.
Le sourire toujours aux lèvres, certaines que malgré les doutes de la demoiselle tout va bien dans le meilleur des mondes, elle écoute, attentive. D’un coup de main assez habile, même s’il y a un peu d’impaires dans la manière de bouger encore, elle récupère son carnet et crayon pour prendre quelques notes. C’est aussi naturel que respirer que de faire cela.
— Oh ! Ne vous excusez pas, c’est très intéressant comme enthousiasme. Il est bien plus intéressant d’avoir vos propos que ceux d’un vieux crouton qui liste tous les inconvénients de sa jeune maîtresse juste sous prétexte qu’elle n’est pas assez souple à son goût…
Elle mime un soupir fatigué et cela ne sort pas du tout comme elle aurait voulu. Simuler une respiration alors qu’on a plus est compliqué tout de même. Elle s’y reprend à trois fois avant d’arriver à avoir un résultat à moitié comme elle le souhaiterait.
— Compliquer les soupirs corrects, effectivement. Après, vous savez, pour l’apparence, même en étant humain on peut se prendre pas mal de réflexion et être haïs pour une couleur de peau qui ne fait pas assez continentale, une forme d’yeux, oreilles, bouche, nez ou qu’importe qui n’est pas dans la norme. Du moment où vous serez différente de la masse, il y aura toujours des médisants… Après, j’avoue, c’est assez triste pour la nourriture ou tous vos sens de manière générale sauf la vue et l’audition qui sont sans problème. D’ailleurs, les petits fours ont l’air assez bien, n'hésitez pas à vous servir à outrance si le cœur vous en dit, mon estomac est solide. Pour l’alcool vu, notre enquête si on pouvait éviter cela ne serait pas un mal, je tiens bien, mais je ne sais pas comment votre esprit le supporterait à vrai dire.
Il y a une certaine prévenance. Le même qu’elle peut avoir avec les cadets de sa famille que cela soit son frère ou ses cousins et cousines plus jeunes.
— Un physique ça change si facilement avec la magie que je ne comprends même pas pourquoi certains sont aussi fermés là-dessus.
Tout en disant cela, elle attrape un verre de cocktail coloré et le tend à Fedora.
— Tiens, testez cela. Vu l’emplacement et le fait qu'il n'est pas encore été vraiment touchée, cela doit être sans alcool. Aux fêtes beaucoup de gens trouvent cela moins enrichissant de trainer avec un verre sans alcool, cela rend moins sérieux diront certains. Il n’y a rien de sérieux de parler affaire avec trop d’alcool dans les veines, mais cela délie les langues tout de même.
Doucement elle s’adapte à ce nouveau corps, après a faire des pauses plus volontaires dans ses phrases, parler moins rapidement, ne plus être comme en un futur manque d’air où il faut tout sortir d’un coup, alors que c’est tout sauf le cas.
— Et nous allons effectivement nous approcher parce que nous sommes aussi curieux que tout le monde et ne pas manquer ce qui arrive. S’il y a eu un changement de corps, il doit bien y avoir d’autre mystère dans cette soirée.
C’est peut-être même le vrai thème de la soirée.
Ce qui lui faisait avoir cette idée était les nombreuses gens qui ne semblaient pas forcément être à l’aise dans leurs chaussures, mais qui voulaient visiblement faire bonne figure tout de même pour la réputation de cette soirée bien particulière. Il n’y avait qu’à regarder cet homme dans le fond pour s’en rendre compte. Nous parlons de celui avec une cravate rouge un peu trop pétante avec des motifs de lierre dessus fait avec un fin fil d’or et des reliefs argentés qui serrait un peu trop son cou pour qu’il soit à l’aise. Il retroussait de manière frénétique les manches en tissu blanc. C’est du lin de bonne qualité et faire ce geste en boucle le froissait de manière tout sauf agréable à l’œil, de plus, un bouton de manchette, de couleur noire, fait en onyx visiblement, avec l’écusson d’une belette jonglant avec des pommes présentes dessus, semblait à deux doigts de se détaché. Ses mains étaient tapées régulièrement pas un éventail des plus simple, le motif dessus était de simple nuage où si l’on prenait le temps de l’observer en détail on pouvait voir une baleine volante en filigrane dessus. Cela provenant d’une femme, dans une tenue blanche, très simple, avec plein de petit détail laissant clairement entendre son affection à Lucy sans être en surplus. De simple évocation stylisée en fil argenté de certains de ses miracles ou animaux liés à elle. Quelque par elle avait un air un peu contrefait d’une étoile blanche dans l’idée de sa robe. Les mêmes petites queues au niveau de son bustier qu’elle palpe régulièrement, comme pour vérifier que sa poitrine était bel et bien là et cela provoque des coups de coude de l’homme précédent. Comme si chacun évaluait les gestes de l’autre.
— On n’est peut-être pas les seuls à profiter de magie perturbatrice à cette soirée.
Il y a une excitation franche dans sa voix, celle d’enfant qui attend de voir les cadeaux pour son anniversaire. Sans la moindre hésitation, elle se met en route vers son objectif. Son nouveau corps lui répond un peu mieux et elle n’a failli perdre la tête que deux fois pendant le trajet avec un pas un peu trop vif vers l’attroupement.
— Oh ! Venez voir !
Il y a un regard surpris d’une personne à côté qui se fait, mais qui bien rapidement retourne vers la vision de verre avec des paillettes qui sautillent dans tous les sens, avec des amuse-bouches dansants. Littéralement des petits fours qui se dandinent en rythme avec la musique.
— Il faut que tu goûtes cela pour m’expliquer les effets !
Parce que c’est clairement ce qu’elle aurait fait de base si elle avait pu. Personne des personnes regardant cela n’avait osé le faire. Cette bande de couards.
Image de profil : Succès : Cristaux : 795MESSAGES : 171COULEUR : #Fedora SanwardI'm a Barbie girl, in the Barbie world
Informations
Défi rp : Le grand bal.
Il y a réellement des hommes qui font cela? Quelle sorte de rustre pourrait bien considérer les femmes de la sorte? Probablement plus qu'elle ne veut bien le croire? Après tout, Fedora vit toujours un peu dans son petit monde dans lequel tout va bien et les gens sont respectables... Malgré les épreuves déjà vécues, elle est encore du genre à croire que le monde est foncièrement bon. Une erreur probablement mais une vision de laquelle elle refuse de décrocher malgré tout. Un léger rire lui échappe alors qu'elle regarde la jeune femme tenter de "soupirer", est-ce qu'elle ressemble à cela lorsqu'elle le fait ou bien sa maîtrise de la chose est plus "perfectionnée" puisqu'elle a l'habitude de ce corps qui est le sien? Il faudrait sans aucun doute qu'elle essaie devant un miroir, bien intriguée soudainement de ce à quoi ressemble son visage lorsqu'elle effectue cette action qui est pourtant presque devenu un automatisme avec le temps...
"Je comprends parfaitement ce que vous voulez dire, l'Homme est complexe. J'aime croire que le royaume est animé surtout de bonnes intentions, habité par de bonnes personnes mais... S'ils sont capables du meilleur, certaines personnes sont également capable du pire... Pour votre proposition, je n'ai jamais bu d'alcool mais je préfère éviter... J'ai vu certaines personnes agir de manière impardonnable sous l'effet de la boisson et je ne suis pas prête à prendre le risque de me transformer sous l'effet de celle-ci... Par contre, je ne dirai pas nom à quelques petits fours..." Avoue-t-elle en souriant, la dernière fois qu'elle est redevenue humaine pour une petite durée - lorsqu'elle était sous la bulle du palais royale - elle a profité de pouvoir prendre l'une ou l'autre bouchée avant de croiser Faolan et que tout s'enchaîne...
Et voici que pour amuse-bouche, une boisson lui est offerte? Elle regarde le verre coloré qui lui est tendu, si Pariza lui affirme que c'est sans alcool, pourquoi refuser? Elle hume tout de même le parfum du liquide, pour une fois qu'elle peut profiter des odeurs pourquoi pas? Même si cela est sans doute inutile, elle ignore ce que peut bien sentir l'alcool! Portant le verre à ses lèvres, elle prends une première gorgée pour goûter et sourit doucement alors qu'elle se contente de ce plaisir sucré. "C'est excellent! Légèrement... Fruité?" Demande-t-elle sans réellement pouvoir l'affirmer, comme si la journaliste allait pouvoir le dire pour elle.
Quoi qu'il en soit, voici que Fedora armé de son verre qu'elle garde en main suit son propre corps vers l'attroupement, les gens semblent surpris par ce que la jeune poupée dans un corps humain ne peut encore percevoir... Ce qu'elle voit par contre c'est cette femme qui pointe du doigt une table en riant et en discutant avec un homme. Elle est belle cette femme, Sa chevelure, couleur de jais, doit sans doute être longue bien qu'elle la porte ici en un chignon relevé, retenu par plusieurs épines d'argent ainsi qu'une longue aiguilles, semblant être en bois, qui termine de l'attacher. Sa robe est longue : s'arrêtant un peu au-dessus de ses chevilles. Cette robe centrée et serrée d'une couleur turquoise en majeur partie, blanche pour le reste semble faite d'un tissu que la poupée ne reconnait pas immédiatement mais qui lui apparait comme chatoyant. De la soie peut-être? Elle ne saurait réellement le dire. La séparation entre la partie turquoise de la robe et sa partie blanche est faite par une ligne noir, ondulante, fine par endroit pour s'élargir à d'autre, tel un coup de pinceau précis et effectué d'une traite comme dans l'art de la calligraphie. Le long de cette ligne sombre, le seul dessin de la robe qui s'étend sur la moitié de cette ligne plus ou moins - laissant le bas de la robe et le col dénué de dessin - des fleurs, des roses rouges plus précisément, attachées en vignes qui semble reposer sur ce trait sombre... Pour compléter cette tenue, ses chaussures sont argentés, couvertes de paillettes et semblant briller alors qu'elles reflètent la lumière.
Secouant doucement la tête comme pour arrêter de fixer cette dame - c'est vraiment mieux que Faolan ne soit pas là! Lorsqu'elle voit de tel modèles de beauté, la jeune noble ne peut s'empêcher une petite jalousie en imaginant la réaction qu'aurait le jeune homme même si elle se trompe certainement - elle s'approche de Pariza qui lui indique de venir voir : les amuses bouches dansent? Voici un spectacle des plus incongrus et pourtant, cela la fascine au plus haut point! Elle n'a pas besoin que la jeune femme le lui dise, bon c'est mieux d'avoir sa permission vu que c'est son corps, mais la jeune poupée - aujourd'hui humaine - tend déjà la main pour se saisir d'une bouchée qui ne cesse de danser. Elle la porte à ses lèvres et la croque en riant doucement. Elle termine sa bouchée avant de répondre car on ne parle pas la bouche pleine. "C'est... Étrange! Elle continuait à danser, me chatouillant avant que je ne la croque! C'est très bon mais la sensation est surprenante... Je ne suis pas sûre d'apprécier en plus, ça donne un peu l'impression de manger quelque chose de vivant..."
"Je comprends parfaitement ce que vous voulez dire, l'Homme est complexe. J'aime croire que le royaume est animé surtout de bonnes intentions, habité par de bonnes personnes mais... S'ils sont capables du meilleur, certaines personnes sont également capable du pire... Pour votre proposition, je n'ai jamais bu d'alcool mais je préfère éviter... J'ai vu certaines personnes agir de manière impardonnable sous l'effet de la boisson et je ne suis pas prête à prendre le risque de me transformer sous l'effet de celle-ci... Par contre, je ne dirai pas nom à quelques petits fours..." Avoue-t-elle en souriant, la dernière fois qu'elle est redevenue humaine pour une petite durée - lorsqu'elle était sous la bulle du palais royale - elle a profité de pouvoir prendre l'une ou l'autre bouchée avant de croiser Faolan et que tout s'enchaîne...
Et voici que pour amuse-bouche, une boisson lui est offerte? Elle regarde le verre coloré qui lui est tendu, si Pariza lui affirme que c'est sans alcool, pourquoi refuser? Elle hume tout de même le parfum du liquide, pour une fois qu'elle peut profiter des odeurs pourquoi pas? Même si cela est sans doute inutile, elle ignore ce que peut bien sentir l'alcool! Portant le verre à ses lèvres, elle prends une première gorgée pour goûter et sourit doucement alors qu'elle se contente de ce plaisir sucré. "C'est excellent! Légèrement... Fruité?" Demande-t-elle sans réellement pouvoir l'affirmer, comme si la journaliste allait pouvoir le dire pour elle.
Quoi qu'il en soit, voici que Fedora armé de son verre qu'elle garde en main suit son propre corps vers l'attroupement, les gens semblent surpris par ce que la jeune poupée dans un corps humain ne peut encore percevoir... Ce qu'elle voit par contre c'est cette femme qui pointe du doigt une table en riant et en discutant avec un homme. Elle est belle cette femme, Sa chevelure, couleur de jais, doit sans doute être longue bien qu'elle la porte ici en un chignon relevé, retenu par plusieurs épines d'argent ainsi qu'une longue aiguilles, semblant être en bois, qui termine de l'attacher. Sa robe est longue : s'arrêtant un peu au-dessus de ses chevilles. Cette robe centrée et serrée d'une couleur turquoise en majeur partie, blanche pour le reste semble faite d'un tissu que la poupée ne reconnait pas immédiatement mais qui lui apparait comme chatoyant. De la soie peut-être? Elle ne saurait réellement le dire. La séparation entre la partie turquoise de la robe et sa partie blanche est faite par une ligne noir, ondulante, fine par endroit pour s'élargir à d'autre, tel un coup de pinceau précis et effectué d'une traite comme dans l'art de la calligraphie. Le long de cette ligne sombre, le seul dessin de la robe qui s'étend sur la moitié de cette ligne plus ou moins - laissant le bas de la robe et le col dénué de dessin - des fleurs, des roses rouges plus précisément, attachées en vignes qui semble reposer sur ce trait sombre... Pour compléter cette tenue, ses chaussures sont argentés, couvertes de paillettes et semblant briller alors qu'elles reflètent la lumière.
Secouant doucement la tête comme pour arrêter de fixer cette dame - c'est vraiment mieux que Faolan ne soit pas là! Lorsqu'elle voit de tel modèles de beauté, la jeune noble ne peut s'empêcher une petite jalousie en imaginant la réaction qu'aurait le jeune homme même si elle se trompe certainement - elle s'approche de Pariza qui lui indique de venir voir : les amuses bouches dansent? Voici un spectacle des plus incongrus et pourtant, cela la fascine au plus haut point! Elle n'a pas besoin que la jeune femme le lui dise, bon c'est mieux d'avoir sa permission vu que c'est son corps, mais la jeune poupée - aujourd'hui humaine - tend déjà la main pour se saisir d'une bouchée qui ne cesse de danser. Elle la porte à ses lèvres et la croque en riant doucement. Elle termine sa bouchée avant de répondre car on ne parle pas la bouche pleine. "C'est... Étrange! Elle continuait à danser, me chatouillant avant que je ne la croque! C'est très bon mais la sensation est surprenante... Je ne suis pas sûre d'apprécier en plus, ça donne un peu l'impression de manger quelque chose de vivant..."
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : Succès : Cristaux : 2551MESSAGES : 626COULEUR : #Hals GatzaNoble
Informations
Il est plaisant de voir tant de monde avoir des réactions un peu gauches. De voir en ce grand bal si prestigieux la pointe de la noblesse marcher sur des œufs. Elle-même est au cœur de cette histoire, mais voit plus cela comme un jeu que comme quelque chose de négatif. En fait, en y regardant bien, la plupart des gens semblent s’amuser tout de même de la situation, parlant à des gens avec qui ils n’auraient pas forcément parlé dans d’autres circonstances. Elle-même ne savait pas si la petite demoiselle Sanward aurait une des personnes qu’elle aurait approchée directement pour faire son article, mais il était très plaisant d’être en sa compagnie. Sa remarque sur les petits fours fit rire la journaliste qui fut presque déçue de ne point tester par elle-même.
— Le principe même de la nourriture est de manger quelque chose qui a été vivant avant. Si au moins vous avez trouvé cela bon, c’est le plus important.
Elle prit son carnet et note quelques petites notes en plus, ses doigts sachant de comment formuler son article par la suite.
— Au fait ! Il me faudra votre adresse, comme je vais faire un article sur cette soirée, il me faudra votre accord sur ma description de la soirée. Je ne souhaiterais pas entacher votre réputation, pas alors qu’on s’amuse bien ensemble. En tout cas, je m’amuse bien de mon côté et j’espère que c’est de même pour vous.
Pariza faisait attention de ne pas rebondir sur les travers les plus sombres de l’homme. Elle voyait plus le monde comme une immense étendue de nuance de gris qu’un ensemble tout blanc ou tout noir. Pourtant, si la miss voulait voir du bon autant que possible, à aucun moment elle n’allait l’empêcher de le faire. Au contraire. Il fallait bien des gens pour voir le monde ainsi pour qu’il reste dans ce nuancier de gris que la métisse appréciait autant. Il faut de tout pour faire un monde.
Tout en disant cela, elle se fait bousculer par une enfant, enfin, ce qui aurait pu sembler être un enfant au premier abord si certains signes n’étaient pas là pour contre dire la chose. Sérieusement, combien d’enfants portaient une bague contre-mouflet à leurs mains alors qu’il n’avait même pas l’âge pour savoir ce qui se passait dans une chambre à coucher ?
Puis il y avait tout se tenue bien trop lisse pour un enfant. Pas un seul faux pli, nulle part. Même ses chaussettes, en cachemire noir avec un tout petit ourlet qui remontait juste au-dessus de la malléole avait été parfaitement repassé. Les chaussures noires étaient bien trop cirées et on sentait que les quelques traces dessus dataient du jour même, voir d’à peine quelque heure, sûrement le temps de trajet. Tout le costume, bien que sobre, avait été préparé avec une attention particulière et ne donnait pas l’impression pour autant que la personne n’était pas à l’aise dedans. Au contraire, même avec ce corps enfantin la tenue avait été visiblement sur mesure pour épouser le moindre des mouvements de son propriétaire. Ce n’était pas du noir comme on pourrait le croire au premier regard, mais un bleu nuit assez foncé avec des lisières elle d’un noir ébène. La chemise en dessous était de couleur crème où la boutonnière laissait voir des boutons styliser d’armoiries d’une petite famille de la capitale, une simple fleur de lys avec un diamant en son centre, certainement une alliance entre herboriste et exploration minière de deux familles pour donner cette œuvre-là. On pouvait voir ces mêmes armoiries sur la boucle de sa ceinture en fer blanc.
Quoi qu’il en soit il s’excusa rapidement et reprit sa marche rapide vers un serveur, surement pour avoir la fin de cette histoire lui aussi.
— C’est une soirée riche en rebondissements pour tout le monde visiblement.
Elle dit cela avec un petit rire et attrapa doucement la main de sa compagne du soir pour l'entraîner dans un nouveau coin de la pièce et lui faire voir d’autre étrangeté qui l’intéressait elle à la base, mais qui saurait peut-être avoir un intérêt pour elle aussi ? Elle avait aussi vu au loin des miroirs et peut-être, avec un peu d’assistance, la demoiselle voudrait tenter l’expérience elle aussi d’un nouveau pouvoir. Il y avait tellement de points à tisser pour cet article qu’elle souhaitait de tout cœur avoir une compagne pour la soirée pour échanger de cela. Cela fait aussi naître en elle l’envie d’avoir un compagnon de tous les instants dans ses prochaines aventures, même si ce n’était point le sujet du soir. Non, il y avait eu bien plus à voir et vivre.
— Le principe même de la nourriture est de manger quelque chose qui a été vivant avant. Si au moins vous avez trouvé cela bon, c’est le plus important.
Elle prit son carnet et note quelques petites notes en plus, ses doigts sachant de comment formuler son article par la suite.
— Au fait ! Il me faudra votre adresse, comme je vais faire un article sur cette soirée, il me faudra votre accord sur ma description de la soirée. Je ne souhaiterais pas entacher votre réputation, pas alors qu’on s’amuse bien ensemble. En tout cas, je m’amuse bien de mon côté et j’espère que c’est de même pour vous.
Pariza faisait attention de ne pas rebondir sur les travers les plus sombres de l’homme. Elle voyait plus le monde comme une immense étendue de nuance de gris qu’un ensemble tout blanc ou tout noir. Pourtant, si la miss voulait voir du bon autant que possible, à aucun moment elle n’allait l’empêcher de le faire. Au contraire. Il fallait bien des gens pour voir le monde ainsi pour qu’il reste dans ce nuancier de gris que la métisse appréciait autant. Il faut de tout pour faire un monde.
Tout en disant cela, elle se fait bousculer par une enfant, enfin, ce qui aurait pu sembler être un enfant au premier abord si certains signes n’étaient pas là pour contre dire la chose. Sérieusement, combien d’enfants portaient une bague contre-mouflet à leurs mains alors qu’il n’avait même pas l’âge pour savoir ce qui se passait dans une chambre à coucher ?
Puis il y avait tout se tenue bien trop lisse pour un enfant. Pas un seul faux pli, nulle part. Même ses chaussettes, en cachemire noir avec un tout petit ourlet qui remontait juste au-dessus de la malléole avait été parfaitement repassé. Les chaussures noires étaient bien trop cirées et on sentait que les quelques traces dessus dataient du jour même, voir d’à peine quelque heure, sûrement le temps de trajet. Tout le costume, bien que sobre, avait été préparé avec une attention particulière et ne donnait pas l’impression pour autant que la personne n’était pas à l’aise dedans. Au contraire, même avec ce corps enfantin la tenue avait été visiblement sur mesure pour épouser le moindre des mouvements de son propriétaire. Ce n’était pas du noir comme on pourrait le croire au premier regard, mais un bleu nuit assez foncé avec des lisières elle d’un noir ébène. La chemise en dessous était de couleur crème où la boutonnière laissait voir des boutons styliser d’armoiries d’une petite famille de la capitale, une simple fleur de lys avec un diamant en son centre, certainement une alliance entre herboriste et exploration minière de deux familles pour donner cette œuvre-là. On pouvait voir ces mêmes armoiries sur la boucle de sa ceinture en fer blanc.
Quoi qu’il en soit il s’excusa rapidement et reprit sa marche rapide vers un serveur, surement pour avoir la fin de cette histoire lui aussi.
— C’est une soirée riche en rebondissements pour tout le monde visiblement.
Elle dit cela avec un petit rire et attrapa doucement la main de sa compagne du soir pour l'entraîner dans un nouveau coin de la pièce et lui faire voir d’autre étrangeté qui l’intéressait elle à la base, mais qui saurait peut-être avoir un intérêt pour elle aussi ? Elle avait aussi vu au loin des miroirs et peut-être, avec un peu d’assistance, la demoiselle voudrait tenter l’expérience elle aussi d’un nouveau pouvoir. Il y avait tellement de points à tisser pour cet article qu’elle souhaitait de tout cœur avoir une compagne pour la soirée pour échanger de cela. Cela fait aussi naître en elle l’envie d’avoir un compagnon de tous les instants dans ses prochaines aventures, même si ce n’était point le sujet du soir. Non, il y avait eu bien plus à voir et vivre.
Capitale, la saison chaude 1001 | Prix en cristaux libre |
Le Chantelune Voyageur Soirée mondaine / Magie en folie / Expérience sur les nobles Il y a peu, cela a fait grand bruit à son annonce, un bal pour la noblesse a été organisé à la Capitale. Les rumeurs couraient sur un lieu de rencontre de son âme sœur, alors que d’autre parlait de famille couronnée présente sur place et encore d’autre murmurais sur un banquet extravagant. Mais quelle réalité derrière un événement qui semblait tout droit sorti d’un chapeau perdu ? Nous allons revenir sur ses points tous ensemble. Une chose est certaine, c’est que ce fut une soirée des plus exotique pour beaucoup de ses invités. De l’arrivée au dernier moment dans les lieux, on ne pourra pas dire qu’il n’y a pas eu des surprises à tous les coins de la salle. Certains furent moins sensibles que d’autres à cette tentative de mettre un peu de sel dans cette soirée, pour ma part j’ai trouvé l’idée des plus amusante. Comme l’expérience de chacun fut différente, je vous donnerai la mienne sur place avec un peu de celle de ma compagne de la soirée, l’héritière Sanward qui m’a permis de faire cet article sans avoir à faire attention à mon corps tout au long de la soirée. Parce que oui, nous avions échangé de corps à peine rentrés sur place, visiblement nous ne sommes pas les seuls et cela à permis des duos des plus improbables, mais qui avait pour la plupart un franc sourire aux lèvres. Sauf peut-être celui qui a échangé de place avec sa fiancée et qui a subi à sa place tout plein de remarques déplacées, même dans un autre corps, cette personne garde une sacrée poigne, mais nous ne nous attarderons pas plus dessus. Parce que cette introduction les amis est là pour vous mettre en avant le thème de la soirée, les surprises à tout vas. La magie a été à l’ordre du soir, entre les rajeunissements intempestifs, les changements de corps ou de forme, vraiment, voir une course de glooby pour savoir qui aura le droit en premier de boire à un verre qui crache des étincelles avec un effet aléatoire, pour se faire coiffer au poteau par un gloot qui se transforme en beau jeune homme à la fin, ça en vaut le coup d’œil. L’intégralité de la soirée a été un spectacle en lui-même, beaucoup de rires et assez peu de cris outragés, ceux n’aimant point l’ambiance pouvaient prendre leurs affaires et quitter les lieux, les effets se stoppant une fois la porte passée ou à minuit pile, heure de fin de soirée. Ce fut un beau rêve, avec des petits fours dansants et des boissons intrigantes. On peut même se prêter à rêver qu’effectivement il y avait bien la famille royale, mais elle aussi avec un sort pour la soirée. Tout aurait été possible pour cette nuit. L’organisateur de l’événement m’a fait part de son envie de refaire ce genre de soirée, mais ouverte à un public beaucoup plus large à l’avenir. Pour une fois que la noblesse fait office de test surprise pour ce genre d’événement, c’est quelque chose à souligner. Pour m’être amusé, je ne saurais que trop vous encourager à tenter de participer à la prochaine organisation de ce genre de festivité. Au pire, sachez que le buffet est délicieux d’après les dires de beaucoup d’invités et de mon acolyte. Une question demeure pourtant. Pourquoi avoir la couleur cuisse de nymphe émue pour la couleur de sanitaire et de l’avoir précisé en plus sur un écriteau devant ? | |
❋ & ♚
Image de profil : Succès : Cristaux : 795MESSAGES : 171COULEUR : #Contenu sponsorisé
Informations
|
|
|
