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Diamond is unbreakable ... ? [Flashback]
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Loin dans les montagnes enneiger, protéger par la forêt et les arbres, recouverts d’une fine couche de blanc, cacher entre deux montagnes, installer loin de tout, mais à proximité d’un village perdu, se trouvait une forge particulière. Cette forge n’était pas légendaire, ni connu, ni miraculeuse… À vrai dire, peu de personnes la connaissaient, mais ceux qui repartaient avec un des produits vendu étaient rarement déçus. C’était dans cette petite forge que tu vivais. Lyle Obsid, fils adoptif d’un forgeron géant, mort depuis quelques années. Ici, tu vivais avec ton apprentie, Sia, une jeune demoiselle ayant beaucoup de potentiel selon toi… Tu n’avais jamais eu d’apprentie, et n’a jamais appris à vivre avec quelqu’un, surtout du sexe opposé, mais te voilà vivant de nouvelle aventure alors que tu souhaitais vivre une vie tranquille et bien calme…
Mais l’histoire qui va suivre ne se passe pas maintenant, non. Elle se passe il y a un certain temps dans le passé, avant ta rencontre avec Sia… Tu te souviens de cette rencontre, mais tu ne serais pas dire quand elle avait eu lieu précisément. Tout ce dont tu te souvenais, c’est que ta journée avait débuté normalement. Tu ne te réveillas pas au petit matin. Pourquoi ? Car tu avais passé l’entièreté de la nuit à forger, encore et encore. Ton rythme de vie était étrange, mais forger te passionnait au point de passer tes journées à frapper l’acier Des journées et des nuits sans jamais t’arrêter. Pourquoi ? Car tu voulais t’améliorer. C’était ton seul et unique but.
Tu avais une étrange façon de voir le monde et ce qui t’entoure, mais pour ce qui est de ton niveau de forgeron… Tu faisais preuve d’un étrange mélange d’humilité et d’ego. Tu savais que ton temps, passé à forger, avait fait de toi un maître forgeron digne de son titre. Tu osais même dire clairement que tu pouvais battre les forgerons royaux avec tes meilleures créations… Mais tu acceptais aussi parfaitement le fait que quelque part dans le monde, il y avait aussi de bien meilleurs forgerons que toi. Tu te savais au-dessus de la moyenne, mais si un gamin comme toi perdu en montagne était capable de cela, tu étais convaincu que de nombreux autres personnes dans ce monde pourraient te ridiculiser dans cet art… À vrai dire, tu souhaitais même rencontrer de meilleur forgeron que toi, juste pour pouvoir les affronter et t’améliorer.
… Mais sinon ! N’ayant pas dormi, tu revenais de ta forge vers ton magasin assez tôt le matin… Oui, c’était étrange, mais ta forge et ton magasin était séparé. Ta forge, celle qui appartenait à ton père par le passé, se trouvait plus haut dans la montagne, cacher entre plusieurs arbres et la montagne elle-même. Cette forge était ton bijou, on y trouvait tout ce dont un forgeron avait besoin pour travailler et c’est aussi là que tu as vécu la plupart de ta vie.
Revenant de ta forge, tu allais vers ton magasin, qui était ta deuxième merveille. Ce petit magasin, légèrement lugubre depuis l’extérieur, était bien plus grand à l’intérieur, et surtout bien plus propre. Ce magasin était coupé en deux, à l’arrière se trouvait ta résidence avec tout ce qui te fallait pour vivre. Devant, on y trouvait ton magasin et une petite forge servant à entretenir les armes. Le magasin était unique d’une certaine façon. Premièrement, pas le moindre grain de poussière. Ensuite, le magasin était rempli de fond en comble de très, très nombreuses armes et armures. À vrai dire, une fois devant, le magasin ressemblaient plus à une armurerie qu’un magasin. Le dernier détail, c’était l’agencement des produits. Pour faire simple, la produit les plus classiques se trouvaient loin du comptoir et en très grande quantité, mais plus vous vous approchiez du comptoir, plus la qualité augmentait. Il y avait trois types d’objet ici. Les apparats, de magnifiques apparences grâce à un travail d'orfèvre précis et pierre précieuse, mais inutile au combat. Les objets de guerre, la beauté avait disparu pour laisser place à des armes de grande précision et qualité. Et si vous aviez l’œil, vous pouviez trouver une arme possédant les deux. Pour ce qui est des meilleures lames, elles se trouvaient derrière le comptoir et étaient recouvertes de poussière avec des prix que même le roi ne pouvait pas s’acheter… La raison, ils n’étaient pas à vendre. C’est le genre d’arme qui donnerait plus à quelqu’un que tu penses digne que l’offrir au premier riche venant ici.
Une fois dans ton magasin, sans perdre de temps, tu retournas le panneau pour dire que le magasin était ouvert, vérifia la clochette au-dessus de la porte pour qu’elle soit prête à sonner d’un doux son à l’arrivée du premier client et puis tu te glissas juste vers la petite forge qui se trouvait à côté du comptoir, prit une des épées qui t’attendait depuis hier matin et tu commençais à l’aiguiser à l’aide d’un grand équilibre entre finesse et précision.
Mais l’histoire qui va suivre ne se passe pas maintenant, non. Elle se passe il y a un certain temps dans le passé, avant ta rencontre avec Sia… Tu te souviens de cette rencontre, mais tu ne serais pas dire quand elle avait eu lieu précisément. Tout ce dont tu te souvenais, c’est que ta journée avait débuté normalement. Tu ne te réveillas pas au petit matin. Pourquoi ? Car tu avais passé l’entièreté de la nuit à forger, encore et encore. Ton rythme de vie était étrange, mais forger te passionnait au point de passer tes journées à frapper l’acier Des journées et des nuits sans jamais t’arrêter. Pourquoi ? Car tu voulais t’améliorer. C’était ton seul et unique but.
Tu avais une étrange façon de voir le monde et ce qui t’entoure, mais pour ce qui est de ton niveau de forgeron… Tu faisais preuve d’un étrange mélange d’humilité et d’ego. Tu savais que ton temps, passé à forger, avait fait de toi un maître forgeron digne de son titre. Tu osais même dire clairement que tu pouvais battre les forgerons royaux avec tes meilleures créations… Mais tu acceptais aussi parfaitement le fait que quelque part dans le monde, il y avait aussi de bien meilleurs forgerons que toi. Tu te savais au-dessus de la moyenne, mais si un gamin comme toi perdu en montagne était capable de cela, tu étais convaincu que de nombreux autres personnes dans ce monde pourraient te ridiculiser dans cet art… À vrai dire, tu souhaitais même rencontrer de meilleur forgeron que toi, juste pour pouvoir les affronter et t’améliorer.
… Mais sinon ! N’ayant pas dormi, tu revenais de ta forge vers ton magasin assez tôt le matin… Oui, c’était étrange, mais ta forge et ton magasin était séparé. Ta forge, celle qui appartenait à ton père par le passé, se trouvait plus haut dans la montagne, cacher entre plusieurs arbres et la montagne elle-même. Cette forge était ton bijou, on y trouvait tout ce dont un forgeron avait besoin pour travailler et c’est aussi là que tu as vécu la plupart de ta vie.
Revenant de ta forge, tu allais vers ton magasin, qui était ta deuxième merveille. Ce petit magasin, légèrement lugubre depuis l’extérieur, était bien plus grand à l’intérieur, et surtout bien plus propre. Ce magasin était coupé en deux, à l’arrière se trouvait ta résidence avec tout ce qui te fallait pour vivre. Devant, on y trouvait ton magasin et une petite forge servant à entretenir les armes. Le magasin était unique d’une certaine façon. Premièrement, pas le moindre grain de poussière. Ensuite, le magasin était rempli de fond en comble de très, très nombreuses armes et armures. À vrai dire, une fois devant, le magasin ressemblaient plus à une armurerie qu’un magasin. Le dernier détail, c’était l’agencement des produits. Pour faire simple, la produit les plus classiques se trouvaient loin du comptoir et en très grande quantité, mais plus vous vous approchiez du comptoir, plus la qualité augmentait. Il y avait trois types d’objet ici. Les apparats, de magnifiques apparences grâce à un travail d'orfèvre précis et pierre précieuse, mais inutile au combat. Les objets de guerre, la beauté avait disparu pour laisser place à des armes de grande précision et qualité. Et si vous aviez l’œil, vous pouviez trouver une arme possédant les deux. Pour ce qui est des meilleures lames, elles se trouvaient derrière le comptoir et étaient recouvertes de poussière avec des prix que même le roi ne pouvait pas s’acheter… La raison, ils n’étaient pas à vendre. C’est le genre d’arme qui donnerait plus à quelqu’un que tu penses digne que l’offrir au premier riche venant ici.
Une fois dans ton magasin, sans perdre de temps, tu retournas le panneau pour dire que le magasin était ouvert, vérifia la clochette au-dessus de la porte pour qu’elle soit prête à sonner d’un doux son à l’arrivée du premier client et puis tu te glissas juste vers la petite forge qui se trouvait à côté du comptoir, prit une des épées qui t’attendait depuis hier matin et tu commençais à l’aiguiser à l’aide d’un grand équilibre entre finesse et précision.
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