Age : 21 ans
Sexe : Garçon
Groupe : Aventurier
Spécialité/Métier/etc : Armurier
En quelques mots...
Adam est un garçon à la timidité maladive qui a beaucoup de mal à communiquer en grand comité ou avec les personnes qu’il ne connaît pas. De ce fait, c’est un garçon peu loquace. Il garde sûrement un traumatisme de son enfance stricte, où aucun cadeau ne lui était fait.
Il n’a d’ailleurs jamais fait son coming out à sa famille quant à son homosexualité, il en parle peu de peur d’être jugé.
Adam ne déteste pas particulièrement les nobles, mais il a du mal à être détendu en leur présence.
Lorsqu’on le connaît et qu’il s’ouvre, on découvre un garçon rieur, et plein de bonne volonté. Il aime aider les gens naturellement, sans compensation. Sa voix est plutôt douce et apaisante.
Il travaille dans une armurerie à la Forteresse, et ça lui permet de ne pas croiser trop de monde. Il la quitte que lorsqu’une mission lui semble importante pour la sécurité des gens.
C’est un très bon bretteur, et malgré son apparence chétive, il n’en demeure pas moins un très bon combattant sur le terrain. Il regrette d’ailleurs de ne pas avoir terminé sa formation de garde.
À partir du moment où Adam est dans de bonnes conditions, c’est un aventurier téméraire et attentif.
Fun fact : Il devient maladroit lorsqu’il est gêné et il chante faux.
Nom du pouvoir : Vulpes lagopus
Catégorie : Transformations
La capacité : Adam est un hybride renard polaire.
Son activation : Lorsqu’il le souhaite, Adam peut prendre une forme semi vulpine qu’il peut conserver approximativement une demi-heure active. La transformation prend une dizaine de secondes à se faire, et il ne peut l’activer qu’une fois par jour.
Comment fonctionne-t-il : Adam n’a qu’une forme alternative, il ne peut donc pas prendre la forme d’un renard complètement. En revanche, lorsqu’il active sa transformation, son odorat et son ouïe deviennent plus sensibles, il n’égale pas un vrai renard, mais s’en rapproche. La queue elle lui sert à être plus agile et à garder un meilleur équilibre. Il gagne également deux paires de crocs à l’emplacement des canines. Etant l’hybridation d’une race polaire, il sera également moins sensible au froid. Tous ces avantages ne s’activent que lorsqu’il se transforme, sinon, il reste un humain ordinaire. Son pouvoir ne lui permet pas de communiquer avec les renards.
Les contres-coups : La transformation étant physique force son métabolisme à changer en même temps et lui inflige d’atroces souffrances, et sa vue devient mauvaise. Également, une fois transformé, il garde un instinct un peu plus sauvage et aura tendance à se montrer agressif envers les humains qu’il ne connaît pas.
Une main se glisse sur ma joue, lentement, trop lentement comme souffrant d’une longue agonie. Je ne peux m’empêcher de relever les yeux, et à travers le reflet de ses iris, je peux voir ma silhouette se dessiner. Je semble ridiculement minuscule tandis qu’il me surplombe de toute sa magnificence. Pourtant, comme pris dans la toile d’une araignée, je reste piégé, redécouvrant les épis blonds qui ornent le sommet de mon crâne. J’ai envie de reculer, de fuir de cette étreinte, d’échapper à ce regard qui semble sonder mon âme. J’aperçois alors les orbes bleutés s’animer de terreur, les miens.
« Ne crains donc pas. Je ne fais que t’admirer. »
Je tremble, mes jambes sont devenues incapables de me soutenir. Pourtant, mes jambes sont fortes, elles me soutiennent même dans les pires moments. Mais mon corps habituellement si farouche se dérobe sous les mains de cet homme qui me tient sous sa coupe. Mes lèvres tremblent, je ne trouve plus les mots, je ne trouve pas la force. Je veux repousser cet homme qui m’effraie. J’ai perdu ma langue fourchue, ma répartie sauvage pour me laisser complètement manipuler.
« Tu as les yeux de ta mère. »
Cette simple phrase déclenche enfin une réaction, et je le repousse violemment d’un mouvement de la main. J’ai l’impression enfin de regagner mes esprits. Je secoue la tête pour me reprendre. Ce n’était pas moi, cette poupée de chiffons entre ses doigts ce n’était définitivement pas moi. Je serre les poings, encore déstabilisé. J’ai presque la sensation que mes souvenirs sont encore flous. Cette pâle copie que j’avais entraperçue dans le reflet de son éternel regard n’avait de moi que mon image. Et je détestais cette sensation d’avoir reconnu ce visage encore juvénile. De ce corps qui ne payait pas de mine malgré la fine musculature qu’il dissimulait après des années d’entraînement dans la boue. Il n’y avait aucun doute. Ce n’était qu’un simulacre.
« Laisse-moi ! Finis-je par hurler en me tenant le crâne comme si ça pouvait faire barrière entre nous. »
« ADAM ! »
Je me redresse subitement, les yeux écarquillés, mes mains tremblent encore. Je ne peux m’empêcher de les apporter à mon visage comme pour m’assurer qu’il est toujours bien présent. Finalement, je le plonge entre mes doigts, le temps de reprendre mes esprits. Comme perdu dans un songe interminable, j’avais l’impression d’avoir sombré. Lorsque je relève finalement la tête, j’aperçois quelques paires d’yeux qui m’observent avec inquiétude. Je ressens un certain malaise maintenant que l’attention est focalisée sur moi.
« Je… »
Je bafouille quelques excuses inaudibles, préférant qu’ils m’oublient et se désintéressent de moi. En public, j’ai toujours eu du mal à m’exprimer et cette fois-ci n’échappe pas à la règle. Mes doigts se referment autour de ma couverture de fortune, alors que mon visage s’enfonce dedans, écarlate. Je n’arrive même pas à formuler une simple phrase. Je ressens la honte enserrer ma poitrine comme un étau, mais je reste incapable de m’exprimer terriblement gêné par cette timidité dont je n’arrive pas à me débarrasser. Une main vient s’abattre dans mon dos et je manque de m’étouffer.
« Tu nous as fait une sacrée frayeur quand tu t’es mis à dire des trucs bizarres dans ton sommeil, mais tu vas bien, c’est le plus important. »
J’acquiesce doucement, reconnaissant qu’il prenne la parole à ma place. Et lorsque tout le monde s’écarte, j’ai l’impression d’enfin pouvoir respirer. Finalement, mon regard croise le sien, et j’étire un faible sourire.
« Merci…
- Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? Je te jure, je t’ai jamais vu comme ça. Et je pense pas que c’est une bête qui a pu te faire peur. »
Il explose de rire, et je ne peux m’empêcher de le rejoindre nerveusement. En effet, il avait bien raison, ce n’était pas les créatures que je redoutais le plus. Mais je me gardais bien de le lui dire. À la place, je secoue à nouveau la tête.
« Pourtant, il faut croire que c’était bien le cas. »
« Adam… »
Je tourne la tête après avoir relâché la pile de cuir à côté de l’atelier. Son expression me fait comprendre que quelque chose ne va pas, et j’appréhende. Son regard ne se détache pas du mien, et je sens que quelque chose se trame. Quelque chose qui me déplaît fortement. Il n’avait plus cet air hagard, un peu stupide sur le visage. Il avait revêtu celui qui faisait de lui le chef de cet établissement. Mais je n’ose pas interrompre le fond de ses pensées, il avait peut-être une raison pour prendre autant de temps. Mais il avait bien toute mon attention. Je le vois finalement me tendre une lettre, et la marque qui scelle l’enveloppe ne fait aucun doute. Je ne peux retenir une grimace, et je la prends de ses mains. La cheminée m’attire, j’aurais presque envie de la voir se réduire en cendres entre les langues de feu.
« Je pense que tu devrais la lire. »
J’observe à nouveau le bout de papier. Et celui-ci ne m’inspire que crainte et rejet.
« Je ne sais pas trop… »
Je ne sais pas ce qui m’attend derrière les lignes qui ornent cette lettre, et c’est sûrement ce qui m’inquiète le plus. Je baisse les yeux, incertain, avant de la déposer sur le comptoir. J’ai soudainement l’impression d’étouffer, d’être emprisonné dans des vêtements trop serrés. Derrière un sourire tremblant, jugé derrière ces regards hypocrites. Finalement, j’ouvre la porte de la boutique, tandis qu’un courant glacial contrastait avec la chaleur des fours dans l’armurerie. J’avais besoin d’air.
« Je sors, annoncé-je.
- Retenu sur ta paie. »
Je hoche la tête, au moins, il ne me retient pas de ma fuite. Mes démons me hantent encore tous les jours lorsque je vois le blason de la famille Obelia. Je déteste ma propre faiblesse, celle de ne pouvoir me confronter à mes craintes, et de ne vivre que dans la peur.
Mes pieds s’enfoncent dans la neige à peine sorti, la route n’avait encore pas été déblayée. Je soupire longuement, commençant à retracer le chemin pour sortir de l’enceinte de la forteresse. Impossible de me vider l’esprit, alors que le froid mordant s’était mis à battre mon visage.
~
« Comment ça, tu veux quitter la Capitale ? »
Il hurlait ce jour-là, je m’en souviens encore aujourd’hui. J’ai bien cru que le vase allait s’écraser sur moi, mais il se fracassa à mes pieds. Et j’étais bien pitoyable. Incapable de relever la tête pour défendre ma cause. J’ai toujours été trop froussard pour oser élever la voix. Sa main avait saisi mon col violemment, et je fus contraint de croiser son regard. J’étais terrifié alors que je ne lisais que dédain et fureur.
« Réponds-moi ! Vociféra-t-il.»
J’ai baissé la tête sans répondre, et ça n’a fait qu’attiser la flamme de sa colère. J’entends encore aujourd’hui le bruit qui avait résonné dans son bureau, et de la douleur dans ma joue. Mais j’étais devenue une poupée de cire incapable de s’exprimer alors qu’il continuait à m’injurier. Je le savais déjà, mais je n’étais qu’une honte pour la famille Obelia. Ils me regardaient toujours avec pitié et mépris.
Je fus repoussé en arrière, manquant de perdre mon équilibre et de tomber sur le sol.
« De toute façon, il est hors de question que tu t’échappes, même si tu n’es qu’un bon à rien, tu restes mon seul héritier. »
~
Ce seul souvenir m’emplit de rage, je n’avais pas été capable une seule seconde de lui répondre. Et je ne le regrette que maintenant. Seul au milieu d’une plaine neigeuse, je hurle. Ma poitrine me fait mal, mes poumons aussi, mais je continue à crier pour évacuer. Je déteste le monde hautain de la noblesse, où tout n’aspire qu’à l’hypocrisie et à l’argent. Je déteste avoir fait partie un jour de cet univers, à m’employer à un langage grotesque, et à m’armer d’un sourire tremblant pour ne pas faire honte au nom Obelia. Il était hors de question que je retourne au milieu de ces dorures écœurantes pour le plaisir d’une famille qui ne voyait en moi qu’un autre outil pour faire prospérer leur titre.
Un rire aigre traverse mes lèvres. Encore aujourd’hui, je suis sous leur joug, souffrant comme un traumatisme de qui j’étais.
~
« Tu devrais écouter père comme moi ! »
Ophelia était la parfaite petite fille que tout le monde adorait. Elle était aussi pourrie gâtée parce qu’elle rentrait dans les codes de cette société parfaite. Et surtout, elle aimait venir s’en vanter auprès de moi. C’est sûrement la raison pour laquelle je ne peux toujours pas la supporter. Si fière de son rang, si insupportable. Ce jour-là, en rentrant de l’académie, je l’avais juste ignorée, et haussé les épaules, comme à son habitude, elle se serait juste lassée, et je serais retourné dans ma chambre. Mais elle en avait décidé autrement cette sale peste.
Je ne sais toujours pas pourquoi, mais elle aussi devait me détester. Elle avait l’habitude de me mettre tous les problèmes de la maison sur le dos. « Adam est trop gentil avec les servants, c’est pour ça qu’ils sont feignants. », « Je suis sûre qu’Adam a fait exprès de lâcher les chevaux, c’est à lui d’aller les chercher. », « Si Adam n’avait pas renversé son verre durant ce banquet, vous auriez sûrement pu avoir un entretien avec la couronne. » Mais plutôt que de me révolter, j’avais préféré taire ma colère, et laisser encore couler cette méchanceté gratuite.
Je savais Ophelia jalouse, car en tant que femme, elle n’aurait jamais le même pouvoir que père ou que moi, même en portant le nom des Obelia. Et même si elle représentait la fierté de la famille, j’avais au moins la revanche de savoir qu’elle ne serait qu’une pauvre femme bonne à marier.
Ce jour-là, elle s’était volontairement jetée sur le sol, et avait fondu en larmes, alertant au passage tous les servants aux alentours. Complètement démuni, j’étais resté planté au milieu du couloir comme un imbécile. Père était arrivé, en fureur.
« Adam ! Qu’as-tu fait ?!
- Rien, je vous l’assure ! M’égosillai-je. Je retournais dans ma chambre ! »
Ophelia s’était levée pour attraper le poignet de père, je vis son regard malicieux alors qu’elle venait pleurer dans ses bras.
« Père… Adam doit me détester… Je ne sais pas… Il est rentré et m’a bousculée. »
J’étais abasourdi, sa stupidité n’avait aucune limite. J’étais en colère, et si dépité. Le pire fut lorsque je finis par croiser le regard de père. Jamais un parent n’aurait dû regarder son enfant de la sorte.
J’avais été puni une semaine il me semble. Je ne pouvais pas en vouloir à mère de s’être enfuie avec son amant. L’air était tout simplement invivable dans cette maison.
~
Cette histoire arrivait encore à me toucher même après plusieurs années. J’avais besoin d’évacuer, sortant mon épée de son fourreau, je me dirige vers un arbre isolé qui avait déjà son écorce bien entamée. À plusieurs reprises, je le martèle de coups, la lame fend le bois, faisant voler des éclats, et chaque mauvais souvenir me rend encore plus violent. J’y mets encore plus d’ardeur. J’ai envie d’oublier. De n’avoir jamais vécu cette vie, d’être autre chose que ce garçon qui se cache derrière ses sourires, incapable d’exprimer la moindre de ses volontés sans en craindre des répercussions.
« Je vous hais tous ! »
~
J’avais décidé de prendre le large sans en parler à qui que ce soit. Sans un mot, j’avais juste emmené de quoi survivre sur mon chemin, mais je ne pouvais plus. Je devais partir. Ils pourraient bien continuer à hurler, à supplier, ce n’était plus mon problème aujourd’hui.
Étonnamment, depuis que j’avais pris cette décision, j’étais extrêmement serein. L’idée même de quitter mon enfer sur terre me permettait de ne pas m’angoisser. C’est ainsi, que j’avais pu me retrouver à la guilde des aventuriers, juste ce nom m’inspirait tellement. Une paire d’ailes semblaient avoir poussé dans mon dos, sans que je ne sois restreint par qui que ce soit.
Lorsque j’ai souhaité m’inscrire, on m’avait lancé un regard réticent. Il était vrai que je n’étais pas particulièrement impressionnant lorsque l’on me regardait. Je ne suis pas plus grand qu’on autre, et je n’ai pas les muscles des hauts gradés au sein de la garde, mais je n’étais pas en reste non plus. Ça me coûtait de l’avouer, mais l’avantage d’avoir été dans ma famille, c’est que j’avais pu aller à l’académie de la garde, et si je ne m’étais pas enfui, je serais certainement rentré dans la garde royale. Et je me débrouillais pas si mal à l’épée.
Je n’avais en revanche que peu de répartie face à des inconnus, j’avais difficilement pu défendre ma cause.
« Faîtes-moi confiance, avais-je supplié. »
C’était devenu mon seul moyen de m’émanciper totalement de mon titre.
~
Ma plaque pend aujourd’hui fièrement à mon cou. L’énorme tronc était à peine entamé, mais au moins j’étais défoulé. Je me laisse retomber en arrière, mon corps s’écrasant dans l’épaisse couche de neige. C’était mon choix, mes fardeaux, mais je ne regrette à aucun moment de m’être perdu dans les montagnes du royaume.
Je décide enfin de rentrer, l’air chaud du bâtiment m’explose au visage lorsque j’ouvre la porte. Il est toujours là, assis à son atelier à travailler les plaques de métal. Il ne demande rien, il sait que j’évite le sujet, mais j’attrape quand même la lettre qui était restée sur le comptoir. Je n’ai pas envie de la lire, ni même de me replonger dans les odieux souvenirs. Pourtant, je l’ouvre. Je ne sais toujours pas comment ils ont trouvé l’adresse de l’endroit où je travaille. Les mots me font froncer les sourcils, ils sont blessants, pitoyables, mais je me rends compte qu’ils ne m’atteignent pas. Ils ne m’atteignent plus. Car après tout, je n’avais rien perdu au change en reniant mon titre.
J’envoie la lettre dans le feu.
Ton pseudo : Axy
Parle nous un peu de toi par ici : ton age, ce que tu aimes, ce que tu fais, vers où tu habites etc...
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Ecrire ici
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Ecrire ici
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Ecrire ici
Côté HRP
Double compte ? Oscar et Calcilia
Comment as-tu connu le forum ? Reboot
Un truc à rajouter ? Pwet
Source de l'avatar (laissez la balise CODE)
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]Sword Art Online Alicization[/b], Eugeo @"Adam De Obelia"
Bon courage pour rédiger ta fiche, j'ai hâte de la lire !
Quel dommage de voir Ash partir comme, mais well, si c'est pour le mieux !
Tout est ok de mon côté, rien de plus à te dire, tu connais la musique
Tout a l'air correct sur ta fiche, il ne manque plus que le passage d'un administrateur pour te donner la couleur et l'accès au forum ! Tu n'as plus rien à faire, il devrait passer d'ici peu pour t'ajouter tout cela !
Tu peux d'ores et déjà commencer à poster ton journal de bord si tu veux un peu t'avancer ou rechercher des partenaires des RPs dans la section de recherche, cependant merci de ne pas en commencer tant que tu n'es pas officiellement validé !
Pour toute question, n'hésite pas à contacter le staff et en tout cas, bienvenue sur le forum !
J'en ai profité pour renommer ton compte au passage. Et pour ne pas te faire attendre plus longtemps :
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !