Nom Aruzy

Prénom Elwing

Surnom Elw (se prononce "Elle - ve")

Age 25 ans

Sexe Féminin

Groupe Citoyens

Spécialité/Métier/etc Apothicaire

Orientation sexuelle Hétérosexuelle

Arme de prédilection Une rapière dont le pommeau est certi d'un saphir à son extrêmité.


En quelques mots...
Elwing est une jeune femme qui a grandi parmi les plantes et les remèdes que confectionnaient ses parents. Elle a souvent été la première à tester certaines potions et l’une d’elle a changé la pigmentation de ses cheveux, la tignasse brune est devenue bleu marine. L’amour ne l’intéresse guère, mais à choisir, elle se définirait comme hétérosexuelle.
Ses principales qualités sont la franchise et une volonté d’aider à toute épreuve, au contraire, son défaut le plus criant est le fait de foncer tête baissée sans prendre réellement le temps de la réflexion parfois.
La damoiselle possède une rapière dont elle ne se sépare jamais, elle lui servait au départ à se défendre face aux brigands quand elle partait en excursion pour chercher des plantes pour sa famille et au fil du temps, elle a pris l’habitude de l’avoir à ses côtés et ne l’enlève plus depuis.

Nom du pouvoir Bouclier

Catégorie Pouvoirs et changement physique


Fonctionnement du pouvoir
Grâce à ce pouvoir actif, Elwing est capable de produire un bouclier de magie pure, faisant deux mètres de largueur sur trois mètres de hauteur, devant elle afin d’arrêter les attaques magiques de ses adversaires (ne fonctionne pas pour une attaque physique, peut arrêter deux attaques magiques avant de se briser). Afin de l’activer, elle doit prononcer une incantation : Ô pouvoir surnaturel de protection, j’en appelle à ta puissance, protège-moi de mon ennemi.
De plus, le pouvoir peut être gardé actif pendant une quinzaine de minutes sans que cela ne l’épuise, au-delà de cette limite, Elwing risque de ressentir des maux de tête, des vertiges, un évanouissement au fur et à mesure que le temps s’écoulera. Si elle en vient à cette extrémité, il lui faudra se reposer plusieurs heures avant de pouvoir bouger et elle ne pourra pas réactiver son bouclier avant le lendemain. En dehors de cela, il lui faut une heure sans utiliser son pouvoir avant de pouvoir le réactiver, si le délai n'est pas respecté, Elwing s'expose aux mêmes risques que précédemment. Enfin, elle ne peut utiliser son pouvoir que quatre fois par jour sous peine d'être incapable de l'activer pendant une journée entière.

Qualités / Défauts
Elwing est une personne honnête qui aime aider les autres au point parfois de se mettre en danger. En effet, c’est souvent qu’elle réfléchit après être passée à l’action et s’être mis dans un pétrin sans nom. Il n’est pas rare que la demoiselle offre ses services en échange d’une somme d’argent, quel que soit ce qui lui ait demandé : un remède ou bien un poison.
Ensuite, vous devez savoir qu’Elwing est une jeune femme amicale, ponctuelle, pleine d’une joie de vivre et qui est très curieuse : elle aime enrichir ses connaissances sur la faune, la flore, mais aussi en ce qui concerne les sciences. Pour cela, elle n’hésite pas à faire de nombreux tests dans  le laboratoire derrière la boutique pour étudier les effets de telle ou telle plante, tel ou tel mélange.
Enfin, il faut que vous sachiez qu’Elwing est un peu maniaque sur les bords, elle adore que tout soit bien rangé à sa place et par catégorie : les bocaux et fioles vides ensemble ; les pots de remèdes répartis par contenus : les liquides d’un côté, les crème et comprimés autre part.



Physique et mental
Comment vous décrire Elwing Azury ? Il s’agit d’une jeune femme d’un gabarit normal pour son âge, assez fine au niveau des hanches et dont la poitrine n’est pas très développée. Elle a des lèvres minces et un nez aquilin, des yeux d’un bleu abyssal ainsi qu’une longue chevelure de la même couleur. Vous devez savoir qu’il s’agit de l’effet d’une potion qu’elle a ingérée étant enfant, rien de bien dangereux pour la santé, mais ayant pour effet de réécrire l’ADN d’une personne en changeant au hasard sa couleur de cheveux. La plupart du temps, elle tresse ses cheveux et fait tomber sa natte sur son épaule, mais il lui arrive de faire une simple queue de cheval ou de les attacher en chignon, surtout quand elle se trouve dans le laboratoire.
En ce qui concerne ses habits, Elwing s’habille la plupart du temps avec une robe (longue ou courte selon la température) ainsi que des collants, elle met à ses pieds des bottines fourrées à talon plat ou bien des ballerines, elle a horreur des talons hauts qu’elle laisse volontiers à la noblesse. Enfin, pour ses déplacements, elle rajoute une cape de voyage avec capuche à sa tenue, ce qui lui permet de cacher la rapière qu’elle porte toujours sur elle, dans son fourreau, rattaché à ses hanches par une ceinture.

Pour ce qui est de son caractère, Elwing est passionnée par les recherches sur les plantes, par toutes les nouveautés de la nature qu’elle peut découvrir. Étant d’un caractère enjoué et amical, elle n’a pas peur d’aller vers les autres quand elle les pense en difficulté, mais elle ne supporte pas les nobles et leur attitude hautaine. Elle tente par tous les moyens de les esquiver, préférant s’occuper de la populace que des hautes sphères, laissant ces dernières à ses parents. En dehors de l’herboristerie, la jeune femme adore faire de la danse, elle se laisse aller au rythme de la musique et peut pratiquer cette activité pendant des heures.

Elwing est née il y a de cela une vingtaine d’années dans une famille d’apothicaire, dans le logement familial d’un petit village érigé dans les plaines d’Aryon. Les premières années de sa vie furent calmes pour ses parents, mais à partir du moment où elle apprit à marcher et à se mettre sur ses deux jambes, il fallut toujours la surveiller, surtout qu’elle adorait venir dans la boutique et toucher les diverses plantes et bocaux. C’est ainsi que sa chevelure changea de couleur.
Alors que sa mère et son père se trouvaient tous deux dans le bâtiment pour vendre des remèdes, car il y avait une grande influence, Elwing s’était faufilée dans le laboratoire et regardait les diverses potions posées sur une table de recherche. En voyant une fiole dont le contenu était de la même couleur que ses yeux, la fillette l’attrapa et le souleva pour regarder au travers, elle le renifla un peu, le produit dégageait une douce odeur fruitée. La petite porta la fiole à ses lèvres et en but une toute petite gorgée avant de reposer l’objet du délit à sa place en entendant des bruits de pas venir vers elle.

— Elwing ! Qu’as-tu fait ? Chérie, viens vite !
— Rien, j’ai rien fait. Promis.
— Et tes cheveux blonds ont changé de couleur par magie peut-être ?

Quand sa mère arriva dans la pièce, elle perdit son sourire et hurla sur sa fille, la consignant dans sa chambre pour la fin de la journée. Ce ne fut que la première punition d’une longue série… Ses parents l’avaient inscrite dans une classe pour qu’elle ait quelques notions en langue et en mathématiques, chose qu’ils n’avaient pas le temps de faire eux-mêmes, mais Elwing n’était pas très réceptive, elle ne faisait que ce qu’elle voulait. Après trois ans passés sur les bancs de l’école à s’ennuyer, sa famille décida de la garder chez eux et de la faire travailler à la boutique en lui apprenant les choses sur le tas.

Cette méthode porta ses fruits, la damoiselle s’ouvrit au monde et comprenant à quoi pouvait bien lui servir ces connaissances, elle se mit au travail et apprit avec plaisir à parler correctement et à compter en plus de parfaire son apprentissage de la flore.
Au bout de dix ans, Elwing était capable de dialoguer avec n’importe qui et de confectionner tous les remèdes de ses parents. À partir de là, ils la laissèrent souvent parcourir le territoire à la recherche de plantes ou encore au comptoir de la boutique, à fabriquer les divers remèdes pour leurs clients. Mais dans le plus grand secret, l’apprenti apothicaire se mit à confectionner des poisons afin d’en trouver certains antidotes, accroissant sa sensibilité au poison par la même occasion.

Après un certain temps, sa famille le découvrit et la somma de quitter les lieux, refusant de vendre des poisons. La demoiselle prit donc son indépendance et partit sur les routes, en froid avec ses géniteurs, bien que reconnaissante pour tout ce qu'ils avaient fait pour elle depuis sa naissance. En chemin, elle vendait ses services, élargissant ainsi son cercle de clients potentiels. Son installation à la capitale près de la place commerçante dans une petite boutique au coin d’une rue avec un logement à l’étage et une arrière-salle pour poursuivre ses recherches florales datait à peine d'il y a quatre mois .