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L'échappée Belle des intrus
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L'échappée Belle des intrus
Chasse aux fantômes
Vous avez tous été convié à une petite inauguration d'un musée dans un petit patois non loin de la capitale... Seulement ouvert aux invités, vous faîtes parti de la petite sélection de privilégié qui a accès a la petite soirée prévue à cet effet...
Seulement, alors que vous circuler dans les couloirs du musée, devant des peintures toutes plus glauques les une que les autres... Les cristaux de lumière s'éteignent. Les portes se verrouillent et le personnel a disparu...
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Participants :
- Queen Milan
- Leffe Ruby
- Pariza Samnang
- Oscar Gauss
Le leader va recevoir sous peu les informations concernant la "chose" à débusquer ainsi que quelques explications supplémentaires sur son rôle !
En dehors de cela, c'est un RP tout à fait classique que vous développerez en auto-modération...
Objectif
Une présence rode... Il va falloir la trouver, l'identifier et vous en débarrasser par tous les moyens possibles et inimaginables.
Il existe également trois défis cachés à réalisé pour gagner des points en plus. Bien sur, ces derniers ne seront pas dévoilés tant que vous n'aurez pas terminé le RP !
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Succès : 
Cristaux : 16640MESSAGES : 2614COULEUR : //Ombra SolarisCitoyen
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Une certaine lassitude marquait le visage de l’archonte tandis que le paysage sylvestre défilait au rythme de ses pas. Après avoir traversé le portail, il n’avait pas imaginé un instant que l’inauguration était si proche de la Capitale. À ses pieds, Claudios serpentait dans l’herbe verdoyante, jasant sa joie à la poursuite des insectes qui cherchaient les derniers grains de l’été pour subsister à la saison froide.
Oscar se pencha pour le saisir sous son bras alors qu’ils arrivaient à destination. Une foule, principalement composée de nobles s’agglutinait face au bâtiment nouvellement conçu. L’aventurier se glissa entre les personnes présentes pour atteindre l’entrée où les invitations spéciales étaient requises. Un sentiment de malaise le traversa alors que l’entrée se montrait étrangement sélective, un bras lui barra la route avant qu’il ne traverse le rang du personnel pour atteindre la porte en bois massif. Aucun mot ne passa la barrière des lèvres de l’employé, le visage couvert d’un voile opaque. La ligne des sourcils de l’archonte se fronça brièvement, un autre indice qui aurait dû lui faire rebrousser chemin, mais presque machinalement, il présenta son invitation, tandis que certains s’offusquaient de voir un si jeune garçon posséder les droits d’accès.
Il rentra dans les lieux, ignorant les manifestations de la foule derrière lui. Lorsque les portes se fermèrent, un silence reposant s’offrit au jeune archonte qui commença sa visite lentement. Diverses représentations de créatures inconnues peuplaient les tableaux successifs. Quelques bavardages chuchotés lui parvenaient, alors qu’il s’intéressait au folklore inconnu plutôt qu’à la qualité des peintures qui ornaient les murs du musée. L’aventurier se permit quelques notes évasives sur son carnet vieilli de ces monstres. Certains étaient si laids qu’ils semblaient survenir d’un roman d’horreur.
Oscar offrit une légère caresse sur la tête rugueuse de son fiouk, prenant une pause de sa visite. Jusqu’à ce que les lumières ne s’éteignent successivement, accompagnées de cris gargouillant. Il se redressa subitement, la main posée sur la garde de son épée. Il voulut se tourner vers un vigile qui tenait à la porte d’une salle, mais celui-ci, également, semblait s’être évaporé. Fouillant grossièrement dans son sac, l’aventurier saisit ses lunettes de jour qu’il s’empressa de mettre sur son nez. Si ce n’était quelques visiteurs terrifiés, Oscar n’apercevait rien d’inhabituel. Il s’agissait probablement d’une mauvaise blague pour la soirée d’Halloween alors que certains gamins devaient certainement réclamer des sucreries dans la cité. Un soupir – sûrement de soulagement – traversa les lèvres de l’archonte qui commença à parcourir les salles à la recherche d’employés pour savoir ce qu’il se passait.
Aussi longtemps, qu’il marchait à travers les pièces, il ne reconnut aucun membre du personnel, et le malaise qu’il avait ressenti à son arrivée ne tarda pas à revenir peser dans sa poitrine. Quelque chose n’allait pas dans ce bâtiment.
Oscar se pencha pour le saisir sous son bras alors qu’ils arrivaient à destination. Une foule, principalement composée de nobles s’agglutinait face au bâtiment nouvellement conçu. L’aventurier se glissa entre les personnes présentes pour atteindre l’entrée où les invitations spéciales étaient requises. Un sentiment de malaise le traversa alors que l’entrée se montrait étrangement sélective, un bras lui barra la route avant qu’il ne traverse le rang du personnel pour atteindre la porte en bois massif. Aucun mot ne passa la barrière des lèvres de l’employé, le visage couvert d’un voile opaque. La ligne des sourcils de l’archonte se fronça brièvement, un autre indice qui aurait dû lui faire rebrousser chemin, mais presque machinalement, il présenta son invitation, tandis que certains s’offusquaient de voir un si jeune garçon posséder les droits d’accès.
Il rentra dans les lieux, ignorant les manifestations de la foule derrière lui. Lorsque les portes se fermèrent, un silence reposant s’offrit au jeune archonte qui commença sa visite lentement. Diverses représentations de créatures inconnues peuplaient les tableaux successifs. Quelques bavardages chuchotés lui parvenaient, alors qu’il s’intéressait au folklore inconnu plutôt qu’à la qualité des peintures qui ornaient les murs du musée. L’aventurier se permit quelques notes évasives sur son carnet vieilli de ces monstres. Certains étaient si laids qu’ils semblaient survenir d’un roman d’horreur.
Oscar offrit une légère caresse sur la tête rugueuse de son fiouk, prenant une pause de sa visite. Jusqu’à ce que les lumières ne s’éteignent successivement, accompagnées de cris gargouillant. Il se redressa subitement, la main posée sur la garde de son épée. Il voulut se tourner vers un vigile qui tenait à la porte d’une salle, mais celui-ci, également, semblait s’être évaporé. Fouillant grossièrement dans son sac, l’aventurier saisit ses lunettes de jour qu’il s’empressa de mettre sur son nez. Si ce n’était quelques visiteurs terrifiés, Oscar n’apercevait rien d’inhabituel. Il s’agissait probablement d’une mauvaise blague pour la soirée d’Halloween alors que certains gamins devaient certainement réclamer des sucreries dans la cité. Un soupir – sûrement de soulagement – traversa les lèvres de l’archonte qui commença à parcourir les salles à la recherche d’employés pour savoir ce qu’il se passait.
Aussi longtemps, qu’il marchait à travers les pièces, il ne reconnut aucun membre du personnel, et le malaise qu’il avait ressenti à son arrivée ne tarda pas à revenir peser dans sa poitrine. Quelque chose n’allait pas dans ce bâtiment.
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Succès : Cristaux : 979MESSAGES : 127COULEUR : #6633ffQueen MilanNoble
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Combien de temps c’était-il écoulé depuis la dernière fois que Queen avait quitté la capitale ? Une lune ? Dix peut-être ? Elle ne s’en souvenait plus. Tout ce qu’elle savait c’est que lors de son dernier voyage elle avait conclut un pacte et que ce dernier n’avait pas encore porté ses fruits. La personne qui avait commandité le meurtre de ses parents respirait toujours. Mais plus pour longtemps. Un léger sourire étira ses lèvres alors que ses doigts passèrent sur la petite broche épinglé sur sa poitrine. Elle crut la sentir frémir puis une voix qu’elle ne connaissait que trop bien s’éleva dans l’habitacle.
- A quoi tu penses ? Demanda la voix nasillarde.
- Rien qui ne vous regarde. Rétorqua Queen avec calme.
- Aaaah… A l’époque de tes parents, tu ne répondais pas sur ce ton.
- Ils sont mort.
- Et c’est bien dommage…
Pour seule réponse la jeune femme leva les yeux au ciel.
Hildegarde faisait maintenant partie de sa vie et si elle n’avait pu se résoudre à s’en débarrasser pour des raisons évidentes, elle n’aimait pas particulièrement sa compagnie. Il était de coutume qu’elle l’oublie dans sa boite à bijou le matin ou qu’elle renverse son café sur son chemisier. En tout cas après ce court échange Hildegarde se tut et l’on entendit plus que les rouages en branle de la voiture. Cela dura jusqu’à l’arrivée dans le patelin miteux où les chevaux s’arrêtèrent. L’envie de demander au cochet de faire demi tour prit la noble à la gorge comme un violent dégueulis. Penchée vers l’avant, elle observait par la fenêtre l’édifice qui se dressait fièrement. Presque trop pour l’endroit où il se trouvait. Fouillant frénétiquement dans les poches de sa robe blanche et li de vin, elle en tira une petite lettre cartonnée où se lisait en lettre d’or « INVITATION ». Queen n’avait pas souhaité s’y rendre lorsqu’elle l’avait reçu mais la broche avait insisté. D’après elle, il s’agissait d’un noble au long bras qu’il serait avantageux d’avoir dans son camp. Dans sa position actuelle, la trésorière ne pouvait se permettre de faire la fine bouche.
- C’est immonde… Marmonna Queen bien droite, un sourcil arqué et les yeux rivés sur un gigantesque tableau qui partait du sol au plafond et qui sommes toutes représentait un fatras de corps et de viscère.
- C’est le moins que l’on puisse dire… De toute façon tout est de mauvais goût ici. Et je ne parle pas de l’attitude du personnel de l’entrée.
- C’est vous qui m’avez poussé à venir ici.
- Il sera un atout de qualité pour notre famille.
- Ma famille. Rectifia la Milan avant que ses pas ne la mènent le long d’un couloir ou des visages hideux et déformés suivaient chacun de ses pas. - C’est sordide. La broche ne répondit pas.
Comme si un grand souffle venait subitement de traverser la pièce, toutes les lumières s’éteignirent. Une par une. Le regard de Queen, effaré, se tourna vers l’ultime cristal qui se refléta dans l’acier de ses iris avant de disparaître. Un silence de mort s’en suivit puis, enfin, les cris et la panique. L’angoisse serra sa gorge telle une main inébranlable et la jeune femme dû se résoudre a faire courir ses doigts sur la paroi du couloir pour se guider, elle ne s’arrêta que lorsque leur pulpe rencontrèrent le bois d’une porte. Aveugle, elle frappa deux grands coups.
- Je vous sommes d’ouvrir immédiatement !
- Ils n’ouvriront pas… Chuchota Hildegarde. Elle avait raison.
- A quoi tu penses ? Demanda la voix nasillarde.
- Rien qui ne vous regarde. Rétorqua Queen avec calme.
- Aaaah… A l’époque de tes parents, tu ne répondais pas sur ce ton.
- Ils sont mort.
- Et c’est bien dommage…
Pour seule réponse la jeune femme leva les yeux au ciel.
Hildegarde faisait maintenant partie de sa vie et si elle n’avait pu se résoudre à s’en débarrasser pour des raisons évidentes, elle n’aimait pas particulièrement sa compagnie. Il était de coutume qu’elle l’oublie dans sa boite à bijou le matin ou qu’elle renverse son café sur son chemisier. En tout cas après ce court échange Hildegarde se tut et l’on entendit plus que les rouages en branle de la voiture. Cela dura jusqu’à l’arrivée dans le patelin miteux où les chevaux s’arrêtèrent. L’envie de demander au cochet de faire demi tour prit la noble à la gorge comme un violent dégueulis. Penchée vers l’avant, elle observait par la fenêtre l’édifice qui se dressait fièrement. Presque trop pour l’endroit où il se trouvait. Fouillant frénétiquement dans les poches de sa robe blanche et li de vin, elle en tira une petite lettre cartonnée où se lisait en lettre d’or « INVITATION ». Queen n’avait pas souhaité s’y rendre lorsqu’elle l’avait reçu mais la broche avait insisté. D’après elle, il s’agissait d’un noble au long bras qu’il serait avantageux d’avoir dans son camp. Dans sa position actuelle, la trésorière ne pouvait se permettre de faire la fine bouche.
- C’est immonde… Marmonna Queen bien droite, un sourcil arqué et les yeux rivés sur un gigantesque tableau qui partait du sol au plafond et qui sommes toutes représentait un fatras de corps et de viscère.
- C’est le moins que l’on puisse dire… De toute façon tout est de mauvais goût ici. Et je ne parle pas de l’attitude du personnel de l’entrée.
- C’est vous qui m’avez poussé à venir ici.
- Il sera un atout de qualité pour notre famille.
- Ma famille. Rectifia la Milan avant que ses pas ne la mènent le long d’un couloir ou des visages hideux et déformés suivaient chacun de ses pas. - C’est sordide. La broche ne répondit pas.
Comme si un grand souffle venait subitement de traverser la pièce, toutes les lumières s’éteignirent. Une par une. Le regard de Queen, effaré, se tourna vers l’ultime cristal qui se refléta dans l’acier de ses iris avant de disparaître. Un silence de mort s’en suivit puis, enfin, les cris et la panique. L’angoisse serra sa gorge telle une main inébranlable et la jeune femme dû se résoudre a faire courir ses doigts sur la paroi du couloir pour se guider, elle ne s’arrêta que lorsque leur pulpe rencontrèrent le bois d’une porte. Aveugle, elle frappa deux grands coups.
- Je vous sommes d’ouvrir immédiatement !
- Ils n’ouvriront pas… Chuchota Hildegarde. Elle avait raison.
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Cristaux : 3424MESSAGES : 525Hals GatzaNoble
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C’est une telle chance !
Comment ne pas le voir ainsi ? Jamais elle n’aurait pensé que tante Morgana lui permette d’avoir ce genre d’invitation. Enfin, si elle s’en doutait, mais jouer les surprises faisait toujours plaisir à tantine Morgana. Une brave femme qui n’était même pas sa tante à proprement parler, enfin, elle avait été l’amante d’un de ses oncles pendant quelque mois avant de voir qu’il n’y avait rien d’autre en eux qu’une histoire de cul. Une histoire de cul très profitable, mais pas ce qu’il cherchait vraiment à la base donc chacun était reparti sur sa route, sans rien trouver pour le moment, mais ce n’est pas le sujet. Quoi qu’il en soit cette femme gardait un très bon rapport avec la famille de son ex qui la voyait comme un membre de la famille, sans la pression de se remettre l’oncle délaisser. La meilleure belle famille possible d’après Morgana, mais cela ne reste pas le sujet de la conversation, enfin de l’explication.
Donc, tantine Morgana avait eu une invitation à un musée qu’elle ne pouvait honorer par faute d’intérêt flagrant pour la chose. Puis, il y avait aussi une histoire d’ex chiant voulant reconquérir ses bonnes grâces dans une chambre à coucher alors qu’elle n’en gardait qu’un goût fade en bouche, au sens littéral du terme, mais passons. Comme Pariza désespérait pour un nouveau sujet d’article à un moment, elle passait voir Morgana qui séjournait à la capitale avant de repartir à l’aventure à l’autre bout du pays, cette dernière lui offrit avec le plus grand plaisir son invitation pour l’exposition sans demander son reste.
Cela lui permettait aussi de voir de comment Turquoise, sa petite bleulette, allait réagir avec du monde autour d’elle et ainsi savoir si la prendre pour d'autres reportages semblait une bonne idée ou s’il faudrait l’éduquer un peu avant. Le tout jeune familier trottinait gaiement au pied de Pariza, s’enroulant de temps en temps au niveau d’une de ses chevilles quand elle restait immobile quelques secondes, offrant un rire à la journaliste par cette action.
Elle se sentait parfaite aujourd’hui pour cette inauguration, de petit talon noir, correctement verni le matin même, une robe dans les tons violet pour le jupon lui arrivant mis cuisse et le bustier sans manche reprenant le même noir que ses chaussures, le tout avec un châle violet et un petit sac à main noire, à l’intérieur une dague parce qu’on ne sait jamais, mais surtout un miroir de poche ainsi que son carnet d’écriture et ses fusains pour prendre des notes ou faires des croquis pour illustrer un peu son prochain article. Il y a aussi des bonbons pour se remplir un peu le ventre et de l’eau, mais bon, si on doit faire l’inventaire d’un sac à main de femme on verra que même sans être un sac sans fond il y a bien trop de choses dedans.
C’est presque comme si j’étais une noble distinguée.
Cette remarque la faisait rire intérieurement alors qu’elle souriait heureuse en tendant son invitation en écoutant d’une oreille attentive les grognements de ceux se faisant refouler à l’entrée. Visiblement pour venir cela était des plus sélectif et ce n’était pas pour déplaire à la jeune femme qui imaginait déjà le début de son article parlant de cela. Même si elle pourrait visiblement aussi parler du personnel des plus atypique, mais cela ne la touchait que très peu.
Rapidement la voilà qui regarde avec attention les œuvres avec une curiosité des plus malsaine face à ce qui se trouve face à ses yeux. Jamais elle n’aurait pensé que ce genre d’exposition rassemble autant de monde voulant la voir et aurait une sélection aussi pointue à l’entrée. Il faudra peut-être conseiller à la vieille Babybar de faire une exposition de ses têtes réduites pour arrondir ses fins de mois au lieu de la voir s’épuiser à vendre son poisson pas frais au marché.
Une note pour plus tard.
La visite se passe bien, Turquoise s’amuse à sautiller un peu partout, Pariza prend des notes et il ne semble manquer rien dans ce musée des horreurs pour donner de délicieux frissons dans le dos. Enfin, la perte soudaine de lumière avec les cris d’effrois en même temps et le personnel qui semble avoir disparu en regardant autour cela a une touche d’originalité qui fait plaisir. Un peu moins plaisir le familier qui grimpe sur son propriétaire de la même façon que cela aurait été un arbre pour finir par lui servir de collier suite à cela.
– Là, tout va bien, on est dans une animation du musée visiblement. Tu ne trouves pas cela amusant ?
Le boule de poil frotte son visage contre celui de sa maîtresse, mais ne décent pas pour autant. Ne se préoccupant pas plus que cela de la chose, la noble reprend sa marche avec un pas un peu dansant au travers de l’aller cherchant de comment enclencher le début des festivités et tâtonnant un peu sur ce qui l’entoure, autant personne qu’objet. Il n’y avait personne pour l’empêcher de toucher à tout, alors elle allait se faire plaisir, le tout en chantonnant.
– Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Envoient des frissons dans votre colonne vertébrale
Les crânes hurlants vont choquer votre âme
Scellent votre destin cette nuit
Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Parlent avec un tel cri
Vous allez vous secouer et frissonner de surprise
Quand vous entendez ces zombies hurler
Nous sommes désolés, squelettes
Vous êtes si mal compris
Vous voulez seulement vous socialiser
Mais je pense que nous ne devrions pas
Parce que les squelettes effrayants fantasmagoriques
Cris effrayants, cris aigus
Ils vont se faufiler en dehors de leur sarcophage
Et ne vous laissera pas partir
Les esprits, le surnaturel
Sont timides, quel est le problème ?
Mais les sacs d’os semblent si dangereux
C’est à moitié sérieux !
Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Sont stupides tout de même
Ils vont sourire et scrabblese gratter lentement
Et vous y amener y est si fou !
Des bâtons et des pierres vous briseront les os
Ils vous permettent rarement de répéter
Les squelettes effrayants fantasmagoriques vont
Vous —Réveiller —Avec —Un —BOO !
Au moins elle s’amuse pour le moment.
Comment ne pas le voir ainsi ? Jamais elle n’aurait pensé que tante Morgana lui permette d’avoir ce genre d’invitation. Enfin, si elle s’en doutait, mais jouer les surprises faisait toujours plaisir à tantine Morgana. Une brave femme qui n’était même pas sa tante à proprement parler, enfin, elle avait été l’amante d’un de ses oncles pendant quelque mois avant de voir qu’il n’y avait rien d’autre en eux qu’une histoire de cul. Une histoire de cul très profitable, mais pas ce qu’il cherchait vraiment à la base donc chacun était reparti sur sa route, sans rien trouver pour le moment, mais ce n’est pas le sujet. Quoi qu’il en soit cette femme gardait un très bon rapport avec la famille de son ex qui la voyait comme un membre de la famille, sans la pression de se remettre l’oncle délaisser. La meilleure belle famille possible d’après Morgana, mais cela ne reste pas le sujet de la conversation, enfin de l’explication.
Donc, tantine Morgana avait eu une invitation à un musée qu’elle ne pouvait honorer par faute d’intérêt flagrant pour la chose. Puis, il y avait aussi une histoire d’ex chiant voulant reconquérir ses bonnes grâces dans une chambre à coucher alors qu’elle n’en gardait qu’un goût fade en bouche, au sens littéral du terme, mais passons. Comme Pariza désespérait pour un nouveau sujet d’article à un moment, elle passait voir Morgana qui séjournait à la capitale avant de repartir à l’aventure à l’autre bout du pays, cette dernière lui offrit avec le plus grand plaisir son invitation pour l’exposition sans demander son reste.
Cela lui permettait aussi de voir de comment Turquoise, sa petite bleulette, allait réagir avec du monde autour d’elle et ainsi savoir si la prendre pour d'autres reportages semblait une bonne idée ou s’il faudrait l’éduquer un peu avant. Le tout jeune familier trottinait gaiement au pied de Pariza, s’enroulant de temps en temps au niveau d’une de ses chevilles quand elle restait immobile quelques secondes, offrant un rire à la journaliste par cette action.
Elle se sentait parfaite aujourd’hui pour cette inauguration, de petit talon noir, correctement verni le matin même, une robe dans les tons violet pour le jupon lui arrivant mis cuisse et le bustier sans manche reprenant le même noir que ses chaussures, le tout avec un châle violet et un petit sac à main noire, à l’intérieur une dague parce qu’on ne sait jamais, mais surtout un miroir de poche ainsi que son carnet d’écriture et ses fusains pour prendre des notes ou faires des croquis pour illustrer un peu son prochain article. Il y a aussi des bonbons pour se remplir un peu le ventre et de l’eau, mais bon, si on doit faire l’inventaire d’un sac à main de femme on verra que même sans être un sac sans fond il y a bien trop de choses dedans.
C’est presque comme si j’étais une noble distinguée.
Cette remarque la faisait rire intérieurement alors qu’elle souriait heureuse en tendant son invitation en écoutant d’une oreille attentive les grognements de ceux se faisant refouler à l’entrée. Visiblement pour venir cela était des plus sélectif et ce n’était pas pour déplaire à la jeune femme qui imaginait déjà le début de son article parlant de cela. Même si elle pourrait visiblement aussi parler du personnel des plus atypique, mais cela ne la touchait que très peu.
Rapidement la voilà qui regarde avec attention les œuvres avec une curiosité des plus malsaine face à ce qui se trouve face à ses yeux. Jamais elle n’aurait pensé que ce genre d’exposition rassemble autant de monde voulant la voir et aurait une sélection aussi pointue à l’entrée. Il faudra peut-être conseiller à la vieille Babybar de faire une exposition de ses têtes réduites pour arrondir ses fins de mois au lieu de la voir s’épuiser à vendre son poisson pas frais au marché.
Une note pour plus tard.
La visite se passe bien, Turquoise s’amuse à sautiller un peu partout, Pariza prend des notes et il ne semble manquer rien dans ce musée des horreurs pour donner de délicieux frissons dans le dos. Enfin, la perte soudaine de lumière avec les cris d’effrois en même temps et le personnel qui semble avoir disparu en regardant autour cela a une touche d’originalité qui fait plaisir. Un peu moins plaisir le familier qui grimpe sur son propriétaire de la même façon que cela aurait été un arbre pour finir par lui servir de collier suite à cela.
– Là, tout va bien, on est dans une animation du musée visiblement. Tu ne trouves pas cela amusant ?
Le boule de poil frotte son visage contre celui de sa maîtresse, mais ne décent pas pour autant. Ne se préoccupant pas plus que cela de la chose, la noble reprend sa marche avec un pas un peu dansant au travers de l’aller cherchant de comment enclencher le début des festivités et tâtonnant un peu sur ce qui l’entoure, autant personne qu’objet. Il n’y avait personne pour l’empêcher de toucher à tout, alors elle allait se faire plaisir, le tout en chantonnant.
– Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Envoient des frissons dans votre colonne vertébrale
Les crânes hurlants vont choquer votre âme
Scellent votre destin cette nuit
Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Parlent avec un tel cri
Vous allez vous secouer et frissonner de surprise
Quand vous entendez ces zombies hurler
Nous sommes désolés, squelettes
Vous êtes si mal compris
Vous voulez seulement vous socialiser
Mais je pense que nous ne devrions pas
Parce que les squelettes effrayants fantasmagoriques
Cris effrayants, cris aigus
Ils vont se faufiler en dehors de leur sarcophage
Et ne vous laissera pas partir
Les esprits, le surnaturel
Sont timides, quel est le problème ?
Mais les sacs d’os semblent si dangereux
C’est à moitié sérieux !
Les squelettes effrayants fantasmagoriques
Sont stupides tout de même
Ils vont sourire et scrabblese gratter lentement
Et vous y amener y est si fou !
Des bâtons et des pierres vous briseront les os
Ils vous permettent rarement de répéter
Les squelettes effrayants fantasmagoriques vont
Vous —Réveiller —Avec —Un —BOO !
Au moins elle s’amuse pour le moment.
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Succès : Cristaux : 1009MESSAGES : 171COULEUR : #Leffe RubyLa Garde
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Halloween
Leffe
Ces derniers temps, tu vivais de nombreuses situations loufoques. Si cela avait le mérite de te changer les idées le reste du temps, cette fois-ci tu aurais préféré vivre une semaine de vacances paisibles, t’amuser avec tes enfants pour une fois que tu étais en déplacement à la Capitale.... Et à la place tu te retrouvais ici, à faire la queue pour aller voir une exposition qui ne t’intéressait même pas. Tu soupiras en regardant l’invitation. Tu l’avais gagné et ta fille avait insisté pour que tu y ailles puisqu’elle ne pouvait en profiter elle-même. ”Votre invitation, monsieur ?” Demanda une femme dont le visage était caché par un voile. Elle n’était pas la seule dans ce cas-là, tous les employés portaient un masque. C’était quoi ça ? Un show ? Une nouvelle mode chez les riches ? Tu tendis la petite enveloppe et la femme te laissa entrer. Bon, il te restait plus qu’à y faire un tour comme ça, la petiote serait contente. Tu dépassas quelques visiteurs pour t’arrêter devant une des nombreuses pein... Qu’est-ce que c’était que ça ? -Une grimace se forma sur ton visage alors que tu reculais d’un pas pour voir un peu plus l’ensembles de la scène. La tête légèrement penchée sur le côté, tu ne savais quoi penser de cette première œuvre qui se révélait assez morbide. Un groupe te poussa à avancer vers d’autres tableaux tout aussi glauques. Etais-tu tombé sur la mauvaise période de l’artiste ? Pourtant ça continuait et ça empirait même.
”Cet homme a un problème au ciboulot...” Soufflas-tu pour toi-même en “admirant” une nouvelle toile. ”Il est temps de se casser d’ici.” Tu allais te retourner pour te diriger vers la sortie quand tous les cristaux magiques s’éteignirent. ”Non d’une chaussettes sale c’est quoi cette merde encore...” Grognas-tu en tentant d’apercevoir quelque chose dans cette obscurité soudaine alors que des cris paniqués se faisaient entendre. ”Tu crois que c’est un évènement pour Halloween ?” Demanda une femme proche de toi à son conjoint. Bonne question... Tu attendis quelques secondes, attendant de voir s’il se passait quelque chose, mais la pénombre persista.
”Quel enfer...Si c’est une mauvaise blague je vais m’énerver.” Vivement, la saison froide avec les fêtes de Solstice, ça c’était bien plus joyeux et sympa ! Tu te rapprochas du mur que tu savais le plus proche et tentas de revenir sur tes pas pour trouver la sortie ou quelqu’un qui pourrait te renseigner. Tu tentas de calmer quelques personnes sans succès et tu notas quelque chose : il n’y avait plus un seul employé. ”Ils se sont volatilisés ou quoi ?” Marmonnas-tu avant de lâcher un nouveau juron. Ton attention fut attirée par deux voix, l’une ordonnant à quelqu’un d’ouvrir la porte et tu t’en approchas. ”Elle ne s’ouvre pas ?” Demandas-tu en posant une main sur ladite porte qui ne bougea pas. Dans le doute tu tentas d’y mettre plus de force sans succès. fait chier... Il doit bien y avoir une autre sortie.” Et sur ces derniers mots, tu te retournas pour longer le mur en quête d’une autre porte.
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Succès : Cristaux : 1250MESSAGES : 58COULEUR : ##75BEDAOmbra SolarisCitoyen
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Au détour d’un couloir, une mare écarlate s’étendait sur le sol, éclaboussant les murs et ses tableaux macabres. La foule s’amassait en un troupeau rendant la traque aisée pour l’ombre massive qui se déplaçait de gestes lents. Des restes humains visibles pendaient lamentablement de ses longs bras filiformes. Une odeur de charogne flottait désormais dans l’air alors que la masse mouvante se faisait faucher dans un rideau de sang.
Lorsqu’Oscar arriva sur les lieux, il était déjà trop tard, des cadavres jonchaient le sol tandis que d’autres survivants tentaient de ramper sur le sol. Des sillons rougeoyants se dessinaient sur le carrelage ivoire à leur passage, les yeux exorbités par la terreur. L’aventurier voulut tendre sa main dans la direction d’un homme qui succomba malheureusement de ses blessures avant qu’il ne puisse l’atteindre. À peine celui-ci dans les bras de Lucy, la créature bondit sur lui, dévorant la chaire sous le regard de l’archonte qui eut un brusque mouvement de recul.
La créature humanoïde était d’une pâleur translucide, s’habillant du rouge de ses victimes. Elle devait dépasser très largement les deux mètres, alors que ses pattes postérieures étaient plus semblables à des pattes d’insectes qu’à de réelles jambes. Les genoux tournés vers le ciel se déplaçant dans un balancement sinistre. Les longs doigts recourbés se plongèrent dans l’amas sanglant, arrachant la chaire pour l’apporter à une bouche sans lèvres, tout justes munies de dents pointues.
Suffisamment proche d’Oscar, la créature ne semblait pas l’avoir repéré – sûrement aveugle et dénuée d’oreille donc également sourde – et dans un geste désespéré, il sortit son épée pour trancher la peau gélatineuse. La tête tomba dans un bruit humide aux côtés des quelques cadavres. Les survivants s’étant enfuis dès que l’occasion s’était présentée. Des suppliques hurlantes résonnaient en échos dans le bâtiment, désespérés à l’idée d’être bloqués dans ce manoir sanglant.
Mais quelque chose n’allait pas, le corps ne s’était pas effondré, et continuait de nourrir la tête fantôme comme si le coup n’avait pas fait mouche. Quant au crâne arraché, celui-ci gémissait de frustration, ouvrant ses lèvres pour happer la chaire qui ne venait pas à lui. Oscar choisit ce moment pour retourner sur ses pas, incapable d’expliquer ce phénomène. Mais une chose était certaine, cette créature n’était pas morte.
Courant à l’inverse du couloir, le jeune archonte essaya de se souvenir où il avait déjà vu cette créature qui lui était à la fois familière et complètement inconnue.
« Réfléchis… Réfléchis… Se répéta-t-il en boucle. »
Il ferma les yeux pour remettre ses idées en place avant de se rappeler d’un détail important à mesure qu’il se rapprochait de l’entrée. Oscar s’arrêta brusquement, manquant de heurter une silhouette qui ne lui était pas totalement inconnue.
« Vous ! S’éclaira l’aventurier d’un sourire sincère. »
Ce n’était peut-être pas le moment idéal pour des retrouvailles, mais rencontrer un visage familier au milieu de ce massacre avait tout de même quelque chose de rassurant.
« Pas dans cette direction Leffe, il faut que l’on s’éloigne de là. Je vous explique la situation lorsque l’on sera dans une pièce en sécurité. »
Dans un tel état de panique personne n’était en mesure de l’écouter, mais à eux seuls, ils ne seraient pas capables d’arrêter cette créature vorace de chair humaine. Mais alors qu’il allait repartir, le groupe de quelques personnes fut encerclé de deux de ces créatures.
Lorsqu’Oscar arriva sur les lieux, il était déjà trop tard, des cadavres jonchaient le sol tandis que d’autres survivants tentaient de ramper sur le sol. Des sillons rougeoyants se dessinaient sur le carrelage ivoire à leur passage, les yeux exorbités par la terreur. L’aventurier voulut tendre sa main dans la direction d’un homme qui succomba malheureusement de ses blessures avant qu’il ne puisse l’atteindre. À peine celui-ci dans les bras de Lucy, la créature bondit sur lui, dévorant la chaire sous le regard de l’archonte qui eut un brusque mouvement de recul.
La créature humanoïde était d’une pâleur translucide, s’habillant du rouge de ses victimes. Elle devait dépasser très largement les deux mètres, alors que ses pattes postérieures étaient plus semblables à des pattes d’insectes qu’à de réelles jambes. Les genoux tournés vers le ciel se déplaçant dans un balancement sinistre. Les longs doigts recourbés se plongèrent dans l’amas sanglant, arrachant la chaire pour l’apporter à une bouche sans lèvres, tout justes munies de dents pointues.
Suffisamment proche d’Oscar, la créature ne semblait pas l’avoir repéré – sûrement aveugle et dénuée d’oreille donc également sourde – et dans un geste désespéré, il sortit son épée pour trancher la peau gélatineuse. La tête tomba dans un bruit humide aux côtés des quelques cadavres. Les survivants s’étant enfuis dès que l’occasion s’était présentée. Des suppliques hurlantes résonnaient en échos dans le bâtiment, désespérés à l’idée d’être bloqués dans ce manoir sanglant.
Mais quelque chose n’allait pas, le corps ne s’était pas effondré, et continuait de nourrir la tête fantôme comme si le coup n’avait pas fait mouche. Quant au crâne arraché, celui-ci gémissait de frustration, ouvrant ses lèvres pour happer la chaire qui ne venait pas à lui. Oscar choisit ce moment pour retourner sur ses pas, incapable d’expliquer ce phénomène. Mais une chose était certaine, cette créature n’était pas morte.
Courant à l’inverse du couloir, le jeune archonte essaya de se souvenir où il avait déjà vu cette créature qui lui était à la fois familière et complètement inconnue.
« Réfléchis… Réfléchis… Se répéta-t-il en boucle. »
Il ferma les yeux pour remettre ses idées en place avant de se rappeler d’un détail important à mesure qu’il se rapprochait de l’entrée. Oscar s’arrêta brusquement, manquant de heurter une silhouette qui ne lui était pas totalement inconnue.
« Vous ! S’éclaira l’aventurier d’un sourire sincère. »
Ce n’était peut-être pas le moment idéal pour des retrouvailles, mais rencontrer un visage familier au milieu de ce massacre avait tout de même quelque chose de rassurant.
« Pas dans cette direction Leffe, il faut que l’on s’éloigne de là. Je vous explique la situation lorsque l’on sera dans une pièce en sécurité. »
Dans un tel état de panique personne n’était en mesure de l’écouter, mais à eux seuls, ils ne seraient pas capables d’arrêter cette créature vorace de chair humaine. Mais alors qu’il allait repartir, le groupe de quelques personnes fut encerclé de deux de ces créatures.
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