Informations
Prénom Iris
Age 24 ans
Sexe Féminin
Groupe Noble
Spécialité/Métier/etc Potionniste & parfumeuse, romancière jamais publiée.
Orientation sexuelle Bisexuelle.
Arme de prédilection Sa beauté, une certaine maîtrise d’arts martiaux divers. Mais si elle devait choisir une arme : ses cheveux.
Soeur de Dahlia Delancy, petite-fille d'Astrid Dalgaard et d'Haydée Delancy, Iris s'est secrètement vouée à la vie d'arnaqueuse pour éponger ses dettes contractées au jeu.
Pouvoir
Catégorie Pouvoirs et changements physiques
Iris est capable de faire pousser ses cheveux et de les contrôler, un peu comme s’ils étaient des extensions de son corps, à la manière des tentacules d’une pieuvre.
En étendant ses cheveux, Iris ne gagne aucunement en force mais elle peut rassembler ses mèches pour former de grands tentacules capillaires lui permettant d’attraper ou manipuler des objets de son entourage. Ne gagnant aucun bonus de puissance, Iris ne pourra porter effectivement que des objets qu’elle peut normalement soulever et sera soumise au même degré d’effort que si elle le portait avec ses propres mains. Par exemple, elle pourra attraper sans effort plusieurs livres, mais devra fournir bien plus d’effort pour maintenir ne serait-ce que deux épées avec ses cheveux, tout en souffrant de leur poids.
Iris peut faire pousser ses cheveux jusqu’à 5m maximum et devra les couper d’une quelconque manière pour retrouver une taille convenable. Ils sont sensibles comme n’importe quel type de cheveux et peuvent être endommagés en conséquence. Lorsqu'elle atteint la taille maximale, elle ne peut plus utiliser son pouvoir pendant une heure. De même, trop forcer sur la manipulation d’objets et manipuler des objets trop lourds donneront de sévères crampes à Iris, surtout au niveau du cou et des épaules…
Description
- Voilà votre champagne, mademoiselle.
- Merci bien, répondit l’intéressée en battant des cils, mais vous avez oublié les framboises, mon chou. Vous n’allez tout de même pas me laisser boire cette coupe sans framboise, n’est-ce pas…?
Esquissant un fin sourire, Iris roucoulait de sa voix de velours face à un serveur qui rougissait à vue d’œil. Ne sachant pas trop où regarder, le jeune homme intimidé furetait entre le décolleté très plongeant de la belle, ainsi que ses yeux d’un bleu glacier. Habillée d’une simple chemise et d’une jupe longue, Iris s’était contentée de déboutonner légèrement son haut pour mettre en valeur sa poitrine, sublimant son tour de cou avec un diamant solitaire. D’ordinaire, la jeune femme préférait arborer des tenues plus sophistiquées avec des parrures plus tape-à-l’œil, mais pour l’occasion elle avait concéder à porter une tenue plus… adéquates. Ce n’était pas tous les jours que sa sœur prenait le temps de lui accorder de son temps libre, surtout pour aller déjeuner ensemble. Dahlia, qui n’était toujours pas arrivée, avait laissé soin à Iris de choisir le lieu de rendez-vous, et la demoiselle avait bien profité de cet égard. Elle avait sélectionné un restaurant gastronomique qui faisait fureur, où l’on mangeait du crabe frit épicé et du homard au cognac, le tout arrosé de champagne et de cerises. Cette avalanche de luxe seyait on ne pouvait mieux à Iris, cette vie dorée où tout était satiné et rutilant.
- T… toutes mes excuses, mademoiselle ! Je reviens immédiatement !
- Faites vite, vous me manquez déjà…
Les joues du pauvre serveur étaient cramoisies alors qu’il repartait sous le regard fort amusé d’Iris. Elle aimait jouer de ses charmes. Après tout, elle était belle et en avait parfaitement conscience. Mais, finalement, qui pouvait résister à ses courbes graciles, sa peau de porcelaine et ses fossettes subtiles ? Elle savait si bien mettre en valeur ses atouts, que cela soit sa poitrine rebondie, sa taille de guêpe ou ses jambes vertigineuses. Iris savait quel effet elle faisait aux autres, hommes comme femmes, et elle aimait ça. Elle aimait faire tourner la tête de son entourage en minaudant, avec la satisfaction de voir ses moindres désirs devenir des réalités juste en croisant les jambes. Sans vergogne pour ceux qu’elle plume, Iris aime ce jeu de séduction, cette danse incertaine qu’elle mène d’une main de maître pour, au final, piétiner le cœur de prétendants avides de voler trop près du soleil.
- Voici votre champagne, avec vos framboises, comme vous le vouliez, mademoiselle ! Fit le serveur en apparaissant de nouveau avec la coupe pleine de vin mousseux dans lequel baignait plusieurs baies rouges. Avez-vous besoin d’autre chose ?
- Je vous sifflerai si j’ai besoin de vous, répondit-elle en rivant ses yeux dans les siens. Vous savez siffler, mon mignon ? Vous rapprochez vos lèvres en cœur et vous soufflez.
Cette fois, ce n’était pas juste les joues mais l’intégralité du visage du garçon de table qui avait adopté une teinte écarlate. Il partit se réfugier à grands pas vers ce qui semblait être les latrines, laissant Iris seule à la table. Passant la carte en revue, l'intrigante hésitait entre les noisettes de chevreuil rôties nappés de sauce aux griottes et amaretto ou le paon farci aux truffes. Alors qu’elle passait sur la page des desserts et projetait de zyeuter celle des amuse-bouche, Iris décidait de parier avec elle-même combien de ses plats elle arriverait à faire payer Dahlia, une fois celle-ci arrivée. Si le frisson de la séduction était le pêché mignon de la belle, elle n’arrivait jamais à résister à celui des jeux de hasard. Véritable assoiffée des jeux d’argents et de paris en tous genres, il n’est pas rare de la voir aller dilapider ses cristaux sur les plateaux des casinos, draguant croupiers et joueurs pour accumuler encore plus de bénéfices.
Portant sa coupe à ses lèvres, Iris se délecta d’un peu de breuvage, laissant le liquide pétiller quelques secondes sur sa langue. Reportant son attention sur la carte, elle changea subitement d’avis et décida qu’elle ne commanderait que des desserts, séduite par le suprême de chocolat noir, la poêlée de pommes confites et les coupes glacées aux pêches pochées. Iris se laissait porter par son envie, salivant déjà à l’idée de déguster crèmes et sucreries. Ses humeurs étaient aussi fatales que son apparence ou ses manières. Iris se laissait guider par ses instincts et émotions, la menant parfois sur des chemins bien chaotiques. Mais ce chaos l’excitait au même titre que la bille qui court sur la roulette. Faire des étincelles, ne jamais savoir où le vent la portait, toujours retomber sur ses pattes, c’était tout le sel de sa vie et ce qui faisait battre son cœur. Et si elle devait finir sa course, grillée comme une fin de cigarette, alors qu’à cela ne tienne. Au moins, Iris savait qu’elle aurait vécu une vie de panache et de folie, où tout allait à vive allure et où le temps et la morale n’ont aucun impact.
Oui, Iris voulait tout avoir. Iris voulait tout pour elle : l’attention, le luxe, les richesses, les cavaliers et le monde. Malheureusement pour Iris, elle avait toute conscience que le monde ne lui suffirait pas mais se fichait éperdument de ces chimères. Elle irait à la bataille, quoi qu’il en coûte, quelle que soit l’issue. Quoi qu’il arrive, Iris ferait en sorte que la bataille soit pleine de panache, de feux d’artifices, de larmes, d’amour et de diamants. Ses fantaisies cessèrent lorsque Dahlia arriva enfin. Dahlia, cette sœur qu’elle aimait tant, celle qui avait gagné toute l’attention parentale mais aussi toutes leurs exigences. Iris lui sourit alors qu’elle prenait place, cette grande sœur sur qui tous les espoirs de la famille avaient reposé, celle qui devait être la relève de leur grand-père, Edmond.
Edmond… Grand-mère Haydée lui avait tant parlé de lui, elle avait entendu son nom sans arrêt depuis sa plus tendre enfance. Où était-il à présent ? Iris n’en avait cure. Elle savait ce qu’il était devenu, qui il était devenu, mais n’avait toujours pas croisé sa route. Pour elle, il n’était qu’un souvenir voué à le rester. Depuis le temps, il n’était toujours pas revenu la voir. Pour elle, il était comme le reste de sa famille, aux petits soins pour Dahlia. Iris s’en fichait.
Après tout, ce qu’elle voulait était simple :
Le monde.
Le voir flamber, flamber ses cristaux.
Briller comme ses cristaux, briller de mille feux.
Être inarrêtable, être une étoile.
Jusqu’au bout, Iris Delancy.
Histoire
Iris laissa sa sœur s’installer, remarquant sous son épaule une broche de saphir et de topaze bleu en forme de petit coléoptère. Cette broche, Iris l’avait toujours aimée. Grand-mère Haydée lui avait souvent montré lorsque, alors que Dahlia était toute accaparée par leur mère pour ses leçons martiales, elle était contrainte de demeurer seule de le manoir familiale. Iris avait eu droit à une relation quasi fusionnelle avec sa grande sœur durant les premières années de sa vie. Mais, comme les bulles d’une coupe de champagne, cela ne dura point. Elle avait grandi avec sa sœur, bercée par les récits des moults faits d’armes de leur grand-père, feu le commandant Edmond. Voir cette broche épinglée sur la tunique de Dahlia força un sourire mélancolique sur les lèvres d’Iris qui préféra réajuster ses lunettes d’un simple coup de doigt et détourner le regard.
- Jolie broche, fit-elle néanmoins d’un ton légèrement mielleux. Le bleu de ces pierres va si bien avec celui de tes cernes !
Iris adorait taquiner sa sœur, depuis toujours d’ailleurs. Elle se souvient des nombreuses farces qu’elle préparait pour Dahlia en attendant de la retrouver après ses leçons. Ce ne fut jamais au goût de leur mère, Belladona Delancy, qui imposa très vite une séparation entre les deux petites, condamnant Iris à une enfance solitaire. Triste enfance où, négligée par ses parents, toute leur attention centrée sur Dahlia, elle fut forcée d’apprendre à grandir elle-même, avec pour seule compagnie un spectre du passé. Au sens propre d’ailleurs, car ce spectre n’était autre que celui de leur grand-mère qui n’en finissait jamais de lui raconter des histoires sur Edmond, lui enseignant elle-même l’art de la conversation, de l’étiquette, du savoir vivre… Une aïeule fantôme était devenue sa préceptrice, sa seule compagnie, et la seule personne de sa famille qui avait un tant soit peu d’attention à son égard…
- Tu arrives juste à temps, j’ai presque fini ma première coupe et je n’ai toujours pas commandé à manger. Mais j’ai bien envie de petits amuse-bouche comme les croustilles de champignons ou les verrines de crabe au pamplemousse.
Alors qu’elle énonçait des plats de plus en plus chers sous le regard concerné de Dahlia, Iris sortit un petit flacon de parfum de son sac pour s’en vaporiser autour du cou, donnant un petit coup final en direction de sa sœur d’un air malicieux. Celui-ci sentait le lilas, la groseille et le bois de santal, une de ses fragrances fétiches. Dans sa solitude, Iris avait bien dû se trouver des passe-temps. Et, alors qu’elle subissait une énième litanie de grand-mère Haydée au sujet des combats d’Edmond, la jeune Iris trouvait plus captivant d’échapper à sa vigilance pour flâner dans le jardin et s’intéresser aux fleurs. De même, elle coupait souvent sa grand-mère pour lui demander mille et une questions au sujet des bijoux de la famille, brillant sous ses yeux dès que mère les portait. Cette réclusion forcée l’a plus ou moins conduite à en apprendre bien plus qu’elle ne l’aurait pensé au sujet des plantes et des minéraux, lui donnant de solides bases pour entreprendre de préparer ses propres mélanges.
- Je crois que tu as oublié de te parfumer après ton entraînement de ce matin, ma chère ! Minauda-t-elle comme un chat narguant son maître. Tiens, je devrais te laisser le flacon, j’en ai plein d’autres après tout.
Iris laissa la bouteille sur la table avant de se mettre à siffler pour appeler le serveur rougissant qu’elle avait déjà alpagué plus tôt. Quand ce dernier arriva, il ne fit même pas attention à Dahlia, toujours aussi rouge qu’un coquelicot alors qu’Iris exhibait son cou parfumé. Ce mélange d’essences florales était l’une de ses premières créations. L’avantage d’avoir des parents qui ne s’occupaient que de son aînée lui a permis, sous la surveillance de sa grand-mère, d’expérimenter par la pratique ses lectures et connaissances. Elle réussit à concocter tout un assortiment de parfums et potions utilitaires. Ces dernières furent d’ailleurs toutes confisquées au compte-goutte par Belladona qui, non contente de remercier sa seconde fille et de louer ses talents de potionniste en herbe, jugeait plus intelligent d’en faire bénéficier Dahlia durant son apprentissage militaire.
- Quelle joie de vous revoir, mon joli ! Adressa-t-elle au serveur. Nous allons prendre le combat de coquelets au vin rouge, le lapin citronné à la cabriole, le homard bouquetière et les perdreaux épicés aux citrons confits. Vite, vite, mon chou, je suis a-ffa-mée.
Dahlia esquissa un sourire en se grattant la joue, consciente que son portefeuille saignerait à la fin du repas. Iris, quant à elle, jubilait en regardant le garçon de table s’éloigner à petits sauts de cabri vers les cuisines. Pour l’instant, son pari commençait bien. Comme tous les premiers qu’elle a fait dans sa vie d’ailleurs. Lorsqu’Iris eut l’âge de quitter la maison, elle ne se priva pas pour faire ses bagages et claquer la porte. Iris tira son épingle du jeu en profitant de deux choses : la fortune familiale, et la peur viscérale de sa mère quant à la honte qu’une vie faite de frasques pouvait lui apporter. Iris eut droit à des transferts réguliers d’argent de sa famille alors qu’elle s’installait dans un grand bâtiment qu’elle rénova à son goût. Loin de sa grand-mère, la belle eut tout loisir de perfectionner ses talents en potions et élargir sa gamme de parfums. Elle commença même à toucher à des recettes plus… dangereuses, en flirtant avec les poisons et elixirs charmeurs. Les affaires marchaient plutôt bien et il lui suffisait de vendre plusieurs bouteilles pour se remplir les poches.
Dès qu’elle avait les poches pleines, Iris partait dans les salons mondains et les casinos de jeux pour dilapider ce qu’elle avait gagné, un petit manège inlassable qui lui donnait les meilleurs frissons du monde. Elle ne s’arrêtait jamais, et ne comptait pas le faire. La valse devint plus sombre cependant, un soir, lorsqu’un croupier arborant un étrange tatouage de griffon lui annonça qu’elle avait perdu. Le hic, c’est qu’elle avait mis tout sur le tapis. Quitte ou double, comme elle l’avait annoncé fièrement. La chance lui avait pourtant souri toute la soirée, elle aurait dû voir la supercherie à plusieurs kilomètres. Mais comment s’arrêter quand on a des étoiles plein les yeux ? Le sentiment était si grisant, jamais elle n’aurait pu…
- Tu as vu grand-père dernièrement ? Toujours trop occupé à ne pas venir prendre de mes nouvelles ? Non pas qu’il me manque. Si je dois encore entendre grand-mère nous raconter l’histoire des pirates du cap au Crâne, je me jette du haut du toit !
Sirotant son champagne à petites gorgées, Iris éclata d’un rire cristallin alors que sa sœur recevait un cocktail rose pâle dans un verre taillé en forme de cygne. La garde n’avait aucune idée de ce qu’elle venait de recevoir, encore une lubie de sa sœur qui avait imposé la boisson. Alors que les amuse-bouches arrivaient à table, Iris sortit une sucette et entreprit de la mastiquer bruyamment sous le regard interloqué de plusieurs bourgeois empâtés. Sans aucune considération pour les conséquences, Iris n’avait cure du regard des autres. Après tout, elle devait une importante somme d’argent à un mystérieux créancier trônant au sommet d’un casino et plumait tout et n’importe qui pour rembourser sa dette et se débarrasser de cette éminence grise. Dans cette optique, elle s’est alliée à Edith, une vieille sorcière diseuse de bonne aventure qui dirige un groupuscule d’habiles malins à la gouaille intrépide. Parmi eux, Iris a appris pas mal de combines, comment tricher efficacement au casino, se battre…
Dahlia était au courant de tout cela, et Iris se demandait si l’aide que son aînée lui procurait n’était pas non plus un tantinet intéressée. Iris avait un mauvais pressentiment. Ce casino avait l’air d’être la face émergée d’un immense iceberg… Elle devait se venger, détruire ses démons. Elle n’avait pas envie d’y penser, ni de deviser sur les motivations de cette sœur qu’elle réapprenait à connaître. Tout ce qu’elle voulait, c’était ne pas donner raison à sa mère, ni à l’héritage d’Edmond. Iris voulait continuer de faire des étincelles, d’être cette déesse qui charme et illumine. Elle n’était pas désolée, ni pour ses aïeux, ni pour sa mère, ni pour Dahlia.
Elle était Iris Delancy, brillante, fatale, et peut-être un peu folle. Elle était cette étoile, elle était magnifique.
Mais elle les aimait, pour toujours...
Quelques mots sur toi
Pseudo : Elisabeth II.
Je suis le chat.
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? Contrôle du savon.
Si on te parle d'histoires fantastique, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? ça dépend lequel…
Quelle serait la première chose que tu ferais ? Oui.
Côté HRP
Double compte ? Ui : Olenna, Klarion & Lunar
Comment as-tu connu le forum ? C’est le forum qui me connait.
Un truc à rajouter ? Saucisse.
Source de l'avatar
- Code:
[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]BAYONETTA[/b], Bayonetta @"Iris Delancy"
Sans plus de cérémonie, tout est OK de mon côté, bon RP avec ton reroll ! o/
Tout a l'air correct sur ta fiche, il ne manque plus que le passage d'un administrateur pour te donner la couleur et l'accès au forum ! Tu n'as plus rien à faire, il devrait passer d'ici peu pour t'ajouter tout cela !
Tu peux d'ores et déjà commencer à poster ton journal de bord si tu veux un peu t'avancer ou rechercher des partenaires des RPs dans la section de recherche, cependant merci de ne pas en commencer tant que tu n'es pas officiellement validé !
Pour toute question, n'hésite pas à contacter le staff et en tout cas, bienvenue sur le forum !
Dans le cadre de ton reroll, j'ai changé ton pseudo et reboot tes cristaux. Bons RP avec Iris !
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !