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Une invitation particulière
Almassar HeckelCitoyen
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Les pas d'Almassar résonnent sur les pavés de la capitale, en cette fin d'après midi ensoleillée. La température est supportable et malgré la foule présente en ce jour, il est encore possible d'avancer un bon rythme. Et c'est exactement ce qu'espère l'enchanteur qui glisse les doigts sur les pans de sa chemise, la petite poche sur laquelle sa pulpe se perd contenant l'invitation l'ayant ainsi incité à sortir en cette journée normalement consacrée aux études et à l'approfondissement de ses connaissances. Les mots marqués sur le papier ? Pas grand chose d'utile, simplement un message "l'invitant" cordialement à se rendre dans un petit établissement de la capitale, quelque chose d'habituellement assez privatif, pour discuter d'une offre pouvant être lucrative. Signé d'une main inconnue, la lettre lui parlait d'un ami commun étant aussi l'un de ses clients. Clairement l'enchanteur est surpris d'avoir fait assez d'effet à quelqu'un pour être ainsi convoqué. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Lui même se pose la question, en effet, si la proposition peut être alléchante, ce genre de demandes veut rarement évoquer des activités totalement en odeur de sainteté auprès des forces de l'ordre.
Mais cela ne dérange pas non plus réellement l'homme dont les pas finissent par l'importer dans des rues un peu plus petites et moins peuplées, rentrant dans les quartiers plus tranquilles de la ville. Tant que cela restait respectueux de lui et de ses clients, il savait fermer les yeux quand c'était nécessaire ou qu'il avait quelque chose à gagner dans sa quête de savoirs. Pourquoi se priver de potentielles expériences quand parfois tout ce que l'on vous demande sont des choses à peine discutables, et souvent sans raison précise ? Non, pour cela, la moralité d'Almassar sait être friable, et c'est bien la son défaut et ce qui pourrait signer sa perte. Pour assouvir sa soif inextinguible de connaissances, il peut savoir fermer les yeux. Reste à espérer qu'il ne les ferme pas trop longtemps, au point de se perdre lui même.
Heureusement pour l'enchanteur, ses errances finissent par le porter au lieu du rendez-vous. Redressant le regard, il voit ce qui ressemble très clairement à une auberge, si ce n'est qu'elle montre très clairement ses racines en tant que salle privative. A peine entré à l'intérieur, des regards lui sont jetés, et de nombreuses portes camouflées de tentures mènent à des ensembles interdits au public, surveillés par des gros bras. Une ambiance à laquelle il n'est pas habitué, et bien rapidement sa main se porte à sa chemise pour en sortir une nouvelle fois le mot qu'il tourne entre ses doigts. Dix neuf heures, demander la suite principale. Hésitant une seconde sous l'insistance des yeux posés sur lui, il finit par prendre son courage en main. Il ne saura jamais ce qui l'attend après tout, si il ne va pas de l'avant. S'approchant de ce qui ressemble à un comptoir, il se racle la gorge pour demander avant même que l'homme installé derrière n'arrive à le saluer d'un grognement.
-"Bonjour. Je suis attendu à la suite principale, il semblerait. Je m'appelle Almassar."
En signe de bonne foi, il tend la lettre saisie d'une main épaisse et bourrue. Le barman qui ressemble de plus en plus à un gros bras de plus grogne de nouveau, la retournant une fois, deux fois. Finalement il rends le morceau de papier au nouvel arrivant, effectuant un geste de la main pour l'un des hommes présents contre l'un des murs qui s'approche rapidement.
-"Suite n°1. Dit au client qu'un certain Almassar souhaite le voir, confirme que c'est bien ce qu'il souhaite."
Ce dernier observe ce qu'il se passe d'un œil curieux. Il connait les rumeurs de ces lieux même si il n'a jamais été réellement invité dedans, loin d'être la cible de clientèle habituelle. L'aubergiste, quoi qu'il puisse être, continue de le surveiller du coin du regard tandis qu'un duo de personnes entrent finalement après l'enchanteur, des habitués il semblerait vu qu'ils se glissent dans une autre pièce sans aucune hésitation ni être arrêtés. Tout cela fait monter l'appréhension du jeune artisan qui se demande dans quoi il a bien pu mettre les pieds. Ses nerfs remercieront toutefois silencieusement l'homme de main qui ressort et vient hocher la tête, avant d'indiquer à l'enchanteur de le suivre jusqu’à la suite. Almassar s'exécute sans broncher, finissant par rentrer par une porte qui se referme derrière lui, révélant un grand salon privé et au confort plus que certain. Ses pupilles détaillent rapidement son environnement immédiat, se sentant clairement pas à sa place dans son pantalon, sa chemise et ses besaces, qui, même si de bonne qualité, est loin d'approcher le faste de lieux. Les yeux marrons finissent toutefois par accrocher du regard une personne présente dans la pièce, un homme imposant. Assez pour masquer de sa stature la potentielle présence d'autres participants à cet échange. Almassar s'en approche avant d'incliner la tête, finissant par enfin se présenter.
-"Bonjour à vous, je suis Almassar. Vous souhaitiez me voir il semblerait ... ?"
Mais cela ne dérange pas non plus réellement l'homme dont les pas finissent par l'importer dans des rues un peu plus petites et moins peuplées, rentrant dans les quartiers plus tranquilles de la ville. Tant que cela restait respectueux de lui et de ses clients, il savait fermer les yeux quand c'était nécessaire ou qu'il avait quelque chose à gagner dans sa quête de savoirs. Pourquoi se priver de potentielles expériences quand parfois tout ce que l'on vous demande sont des choses à peine discutables, et souvent sans raison précise ? Non, pour cela, la moralité d'Almassar sait être friable, et c'est bien la son défaut et ce qui pourrait signer sa perte. Pour assouvir sa soif inextinguible de connaissances, il peut savoir fermer les yeux. Reste à espérer qu'il ne les ferme pas trop longtemps, au point de se perdre lui même.
Heureusement pour l'enchanteur, ses errances finissent par le porter au lieu du rendez-vous. Redressant le regard, il voit ce qui ressemble très clairement à une auberge, si ce n'est qu'elle montre très clairement ses racines en tant que salle privative. A peine entré à l'intérieur, des regards lui sont jetés, et de nombreuses portes camouflées de tentures mènent à des ensembles interdits au public, surveillés par des gros bras. Une ambiance à laquelle il n'est pas habitué, et bien rapidement sa main se porte à sa chemise pour en sortir une nouvelle fois le mot qu'il tourne entre ses doigts. Dix neuf heures, demander la suite principale. Hésitant une seconde sous l'insistance des yeux posés sur lui, il finit par prendre son courage en main. Il ne saura jamais ce qui l'attend après tout, si il ne va pas de l'avant. S'approchant de ce qui ressemble à un comptoir, il se racle la gorge pour demander avant même que l'homme installé derrière n'arrive à le saluer d'un grognement.
-"Bonjour. Je suis attendu à la suite principale, il semblerait. Je m'appelle Almassar."
En signe de bonne foi, il tend la lettre saisie d'une main épaisse et bourrue. Le barman qui ressemble de plus en plus à un gros bras de plus grogne de nouveau, la retournant une fois, deux fois. Finalement il rends le morceau de papier au nouvel arrivant, effectuant un geste de la main pour l'un des hommes présents contre l'un des murs qui s'approche rapidement.
-"Suite n°1. Dit au client qu'un certain Almassar souhaite le voir, confirme que c'est bien ce qu'il souhaite."
Ce dernier observe ce qu'il se passe d'un œil curieux. Il connait les rumeurs de ces lieux même si il n'a jamais été réellement invité dedans, loin d'être la cible de clientèle habituelle. L'aubergiste, quoi qu'il puisse être, continue de le surveiller du coin du regard tandis qu'un duo de personnes entrent finalement après l'enchanteur, des habitués il semblerait vu qu'ils se glissent dans une autre pièce sans aucune hésitation ni être arrêtés. Tout cela fait monter l'appréhension du jeune artisan qui se demande dans quoi il a bien pu mettre les pieds. Ses nerfs remercieront toutefois silencieusement l'homme de main qui ressort et vient hocher la tête, avant d'indiquer à l'enchanteur de le suivre jusqu’à la suite. Almassar s'exécute sans broncher, finissant par rentrer par une porte qui se referme derrière lui, révélant un grand salon privé et au confort plus que certain. Ses pupilles détaillent rapidement son environnement immédiat, se sentant clairement pas à sa place dans son pantalon, sa chemise et ses besaces, qui, même si de bonne qualité, est loin d'approcher le faste de lieux. Les yeux marrons finissent toutefois par accrocher du regard une personne présente dans la pièce, un homme imposant. Assez pour masquer de sa stature la potentielle présence d'autres participants à cet échange. Almassar s'en approche avant d'incliner la tête, finissant par enfin se présenter.
-"Bonjour à vous, je suis Almassar. Vous souhaitiez me voir il semblerait ... ?"
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Une invitation particulière.
Almassar & Wolfram
-"Bonjour à vous, je suis Almassar. Vous souhaitiez me voir il semblerait ... ?"
La personne qui se tenait devant toi était un gamin qui n’avait même pas la moitié de ton âge et si tu en croyais les rapports que tu avais lu, il était même plus jeune que ton aîné. Tu détaillas le jeune homme du regard, restant quelques instants sur sa tenue ou même sa coiffure qui aurait mérité un bon coup de peigne. Le garçon n’était pas bien grand, ni des plus costauds, mais ce n’était pas ce que tu attendais de lui de toutes façons. Puis, il ne fallait pas se fier aux apparences. Tu avais déjà vu un certain nombre de fois un maigrichon écraser un géant dans tes arènes ou même parmi tes employés. Puis, Rick avait un don pour trouver des perles rares, tu avais donc confiance dans les dires de l’homme. Bon, ça ne voulait pas dire que tu allais tout de suite l’engager sur le long terme, tu désirais voir la qualité de son travail.
Tu terminas de l’observer en plongeant tes yeux dans ses orbes pailletées d’or.
”Ah...”
Un sourire froid se forma sur tes lèvres. S’il y avait bien quelque chose chez ce jeune homme qui aurait pu attirer l’attention de ton fidèle subordonné, c'était bien cette soif de connaissance et cette intelligence acérée qui brillaient au fond de ses yeux. Il ne te restait plus qu’à le confirmer durant votre entrevue... Et si dans le futur il se révélait décevant d’une manière ou d’une autre, il rejoindrait tout simplement ses prédécesseurs dans une fosse commune. Ce n’est qu’à la fin de cette observation, que tu le saluas d’un simple hochement de tête.
”Installez-vous, monsieur Heckel, nous serons plus confortables pour discuter.” Soufflas-tu en le voyant rester planter au milieu de la pièce pendant que tu en faisais de même de l’autre côté du bureau en bois massif. ”Une connaissance vous a en effet... chaudement recommandé quand je lui ai demandé de me trouver un enchanteur talentueux.” Ajoutas-tu de ta voix grave, mais d’où perçait une certaine douceur comme lorsque tu cherchais à amadouer de potentiels partenaires commerciaux. LE ton de ta voix se fit amuser. ”Ces derniers temps, il n’a pas tari d’éloges à votre égard et il n’arrêtait pas de se vanter de sa toute dernière acquisition.” Tu laissas s’écouler quelques secondes, avant de reprendre :
”J’ai dans mes relations, une personne possédant un pouvoir assez intéressant. Elle peut absorber la lumière de n’importe quelle source lumineuse avant de la convertir en énergie. Ton regard brilla de convoitise alors que certains souvenirs te revenaient en mémoire. ”J’aimerai avoir un objet qui me permettrait aussi de plonger un lieu dans le noir complet. ” Cela pourrait être un avantage pour t’échapper ou attaquer. ”De plus, si je suis satisfait de votre travail, je pourrai sûrement vous faire une proposition qui vous intéressera.” S’il se révélait aussi doué que Rick le pensait, tu ne le laisserais pas tomber entre d’autres mains.
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Il ne faut que quelque secondes pour permettre à l'enchanteur de comprendre qu'il vient de mettre les pieds dans quelque chose qu'il pourrait très aisément regretter. En effet, tout dans l'aura de Wolfram exsude d'une menace sous-jacente, présente, tendue. Cette sensation qu'au moindre faux pas, détail, anicroche, il serait sans hésitation abandonné dans l'une des ruelles sombres de la ville. Et pourtant, il prends une grande inspiration pour faire face, rester aussi impassible que possible. C'est un exercice difficile pour lui qui est habitué à laisser son visage et ses gestes parler pour sa personne, mais nécessaire pour sa propre survie. L'échange de leurs regards dure un moment, chacun jaugeant l'autre. Finalement, quand Almassar est prié de s'installer il s'exécute, ses pupilles glissant rapidement sur le reste de la pièce sans rien voir qui ne le perturbe plus que Wolfram ne le pourrait déjà.
Bien sur il laisse l'homme face à lui faire la conversation pour le moment, se contentant de hocher poliment la tête par moments, souriant légèrement quand il parle de sa connaissance ne pouvant taire ses éloges. C'est toujours agréable de savoir que les clients sont heureux du travail fourni, surtout vu les prix. L'enchantement n'est pas un art donné, tant à pratiquer qu'a posséder. Finalement, durant ces quelques secondes le jeune homme laisse échapper, ses lèvres s'étirant durant un instant en un sourire.
-"Je suis content de savoir que mes clients apprécient mon travail. C'est important pour fidéliser la clientèle et se faire une réputation, après tout."
Puis enfin la conversation commence réellement. Les jeux cessent et tout devient bien plus sérieux. Almassar sort un carnet un crayon sans même demander, tournant les pages pour commencer à prendre des notes. Quand il évoque cette "connaissance" et le fait qu'il souhaite un objet pour totalement contrecarrer son pouvoir, une légère sueur froide vient le prendre. Il sait très bien que Wolfram le teste, essaye de voir ses limites. En posant sur la table aussi franchement son jeu et ses objectifs, l'enchanteur comprends bien que le criminel veut voir de quel bois il est fait, et si il est prêt à faire ce genre de travaux, et surtout surement sans poser de questions. Un soupire échappe de ses lèvres tandis qu'il ose redresser le regard sur son potentiel employeur, osant bien plus en se sentant désormais en terrain connu : celui de sa passion.
-"Bien, je pense comprendre votre demande. Mais plusieurs points demandent des éclaircissements."
Se raclant la gorge, durant ces quelques instants de silence, seul le bruit de sa plume qui trace les contours de ce qui pourrait être une nouvelle collaboration tranche le silence tandis qu'il termine de noter ce qu'il lui semble utile.
-"De nombreuses choses sont possibles, mais chacune ont leurs limites propres je dois vous prévenir. Si vraiment il peut même se nourrir de lumière artificielle, deux idées me viennent en tête. Un objet capable de créer un dôme d'obscurité, empêchant ainsi toute source extérieure de s'infiltrer dans une zone donnée pour un certain temps. Mais ce serait peu efficace si jamais une source lumineuse était utilisée à l'intérieur. Même si, j'ose présumer qu'une lampe ou une torche lui fait bien moins d'effet que le soleil."
Quelques notes supplémentaires, sa voix devenant de plus en plus sérieuse et concentrée. Le travail lui faisant totalement oublier la peur et le lieu où il se trouve, la personne avec laquelle il converse.
-"La seconde impliquerait de peut être créer un objet capable de dissiper une fumée obscurcissante par exemple. Sans cacher complètement toute lumière, assez la réduire pour empêcher le pouvoir de fonctionner efficacement. Bien sur dans les deux cas, ça aurait un impact sur votre vision et donc il faudra prévoir en conséquence."
Finalement la plume cesse et l'enchanteur penche légèrement la tête sur le coté, observant Wolfram de bas en haut, bien plus confiant qu'au début de leur échange. En effet, le fait que l'homme évoque un partenariat lui fait penser qu'au moins, tant qu'il fait du bon travail il ne risque rien et au contraire, il pourrait même y trouver son compte. Ce qui lui serait des plus utiles, vu les projets et voyages qu'il a déjà en tête.
-"Ce ne sont toutefois que des idées jetées en l'air, avec un peu plus de détails voir même vos propres idées, il sera possible de faire quelque chose correspondant exactement à votre besoin..."
La plume s'élève de nouveau, prête à noircir le carnet pour de nouvelles notes, attendant que son potentiel client lui donne son avis sur tout cela, presque impatient. Mais pourtant toujours d'un calme qui contraste la passion avec laquelle il évoque son métier et les possibles inventions qu'il pourrait fournir à ce mafieux.
Bien sur il laisse l'homme face à lui faire la conversation pour le moment, se contentant de hocher poliment la tête par moments, souriant légèrement quand il parle de sa connaissance ne pouvant taire ses éloges. C'est toujours agréable de savoir que les clients sont heureux du travail fourni, surtout vu les prix. L'enchantement n'est pas un art donné, tant à pratiquer qu'a posséder. Finalement, durant ces quelques secondes le jeune homme laisse échapper, ses lèvres s'étirant durant un instant en un sourire.
-"Je suis content de savoir que mes clients apprécient mon travail. C'est important pour fidéliser la clientèle et se faire une réputation, après tout."
Puis enfin la conversation commence réellement. Les jeux cessent et tout devient bien plus sérieux. Almassar sort un carnet un crayon sans même demander, tournant les pages pour commencer à prendre des notes. Quand il évoque cette "connaissance" et le fait qu'il souhaite un objet pour totalement contrecarrer son pouvoir, une légère sueur froide vient le prendre. Il sait très bien que Wolfram le teste, essaye de voir ses limites. En posant sur la table aussi franchement son jeu et ses objectifs, l'enchanteur comprends bien que le criminel veut voir de quel bois il est fait, et si il est prêt à faire ce genre de travaux, et surtout surement sans poser de questions. Un soupire échappe de ses lèvres tandis qu'il ose redresser le regard sur son potentiel employeur, osant bien plus en se sentant désormais en terrain connu : celui de sa passion.
-"Bien, je pense comprendre votre demande. Mais plusieurs points demandent des éclaircissements."
Se raclant la gorge, durant ces quelques instants de silence, seul le bruit de sa plume qui trace les contours de ce qui pourrait être une nouvelle collaboration tranche le silence tandis qu'il termine de noter ce qu'il lui semble utile.
-"De nombreuses choses sont possibles, mais chacune ont leurs limites propres je dois vous prévenir. Si vraiment il peut même se nourrir de lumière artificielle, deux idées me viennent en tête. Un objet capable de créer un dôme d'obscurité, empêchant ainsi toute source extérieure de s'infiltrer dans une zone donnée pour un certain temps. Mais ce serait peu efficace si jamais une source lumineuse était utilisée à l'intérieur. Même si, j'ose présumer qu'une lampe ou une torche lui fait bien moins d'effet que le soleil."
Quelques notes supplémentaires, sa voix devenant de plus en plus sérieuse et concentrée. Le travail lui faisant totalement oublier la peur et le lieu où il se trouve, la personne avec laquelle il converse.
-"La seconde impliquerait de peut être créer un objet capable de dissiper une fumée obscurcissante par exemple. Sans cacher complètement toute lumière, assez la réduire pour empêcher le pouvoir de fonctionner efficacement. Bien sur dans les deux cas, ça aurait un impact sur votre vision et donc il faudra prévoir en conséquence."
Finalement la plume cesse et l'enchanteur penche légèrement la tête sur le coté, observant Wolfram de bas en haut, bien plus confiant qu'au début de leur échange. En effet, le fait que l'homme évoque un partenariat lui fait penser qu'au moins, tant qu'il fait du bon travail il ne risque rien et au contraire, il pourrait même y trouver son compte. Ce qui lui serait des plus utiles, vu les projets et voyages qu'il a déjà en tête.
-"Ce ne sont toutefois que des idées jetées en l'air, avec un peu plus de détails voir même vos propres idées, il sera possible de faire quelque chose correspondant exactement à votre besoin..."
La plume s'élève de nouveau, prête à noircir le carnet pour de nouvelles notes, attendant que son potentiel client lui donne son avis sur tout cela, presque impatient. Mais pourtant toujours d'un calme qui contraste la passion avec laquelle il évoque son métier et les possibles inventions qu'il pourrait fournir à ce mafieux.
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Une invitation particulière.
Almassar & Wolfram
Un dôme ou un objet libérant de la fumée en continue ? Tu fermas les yeux une seconde, prenant le temps de réfléchir aux avantages et désavantages qu’avaient annoncé le jeune enchanteur. Tu laissas échapper un soupir.
”Et bien, si quelqu’un peut utiliser des cristaux, une lampe-magique ou une torche, cela gâcherait l’effet de l’objet. Pour la seconde proposition, elle peut être intéressante, mais nous avons déjà des fumerolles. ” Déclaras-tu après ta courte réflexion, tu regardas à nouveau le jeune homme. Au moins, il était assez vif pour te proposer quelques idées rapidement, bien qu’elles ne soient pas parfaites, ou plutôt qu’elles ne correspondaient pas à tes envies.
”Laissez-moi vous expliquer son pouvoir exacte, cela pourra sûrement vous aiguiller. Tu rassemblas tous tes souvenirs, afin de lui fournir la meilleure explication possible. ”Elle peut absorber toutes les sources lumineuses pour la redistribuer où elle le désire. Elle peut aussi la convertir en énergie pour … se durcir.” Tu étais moins sûre pour cette dernière partie, puis ce n’était tout simplement pas celle qui t’intéressait. ”J’aimerai me focaliser sur la partie absorption de lumière afin de plonger toute une zone ou une pièce dans l’obscurité. Mais, si vous arrivez à ajouter quelques... effets je ne serai pas contre. ” Ainsi, tu pourrais l’utiliser avec Warren par exemple. La pénombre pourrait t’être utile avec son don. Si tu ne pouvais croiser son regard, cela t’éviterait surement bien des emmerdes... et sinon vous serez à égalité.
Ta main droite vint fouiller dans ta poche intérieure pour en tirer un flacon transparent contenant une mèche de cheveux noirs. Ton regard brilla en la regardant. Cette boucle lui appartenait. Ton sourire se fit plus sombre alors que tu la revoyais utiliser son don. ”Et j’ai ceci pour vous aider, des cheveux de cette personne.” Quelque chose de rare, tu ne le laisserais utiliser qu’une partie et il aurait intérêt à réussir.
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Almassar réprime ses expressions faciales avec une souplesse musculaire soudaine née d'un mélange de curiosité d’inquiétude, évitant de grimacer et de se montrer sous un jour de faiblesse devant Wolfram. Ses idées ne plaisent pas, et il le sent aisément. Du moins, elles ne sont pas adaptées au besoin précis de son client. Mais au fond ce n'est pas grave, il est rare d'avoir la bonne idée du premier coup, surtout avec aussi peu d'éléments avec lesquels travailler. Effectivement ses propositions possèdent des faiblesses, et l'homme sait les repérer rapidement. C'est agréable d'ainsi interagir avec un client qui sait rebondir et lui même analyser. Laissant la parole à cet homme des plus étranges, l'enchanteur en profite pour continuer à noter, affiner ses premières idées et propositions. Arquant un sourcil à l'évocation de ce don précis, et surtout la capacité à durcir la peau, le chercheur attend un moment de tranquillité dans l'échange pour pouvoir répondre.
-"User l'énergie naturelle et artificielle pour durcir sa peau ? Je présume aussi que cela offre des capacités offensives, si cette personne peut le redistribuer comme elle le souhaite."
Puis vient ensuite la demande précise et bien plus détaillée. L’absorption de lumière, un grand sujet particulièrement complexe. Si il n'est pas possible de tuer le soleil en lui même, il est possible de faire beaucoup de choses à ces petits rayons, si jamais on sait comment les manipuler. Voir même directement étouffer leur source dans l’œuf. Le bruit de la plume devient de plus en plus fort tandis qu'il laisse ses idées émerger sans restrictions, noircissant le papier à l'encre de ses idées et de ses projets. La mèche de cheveux est observée quelques secondes, suivi d'un sourire satisfait. Oui, cela l'aidera énormément pour finir l'enchantement, même si cela le force à accepter qu'une telle création aura surement de tristes résultats pour la personne ciblée. La moralité de l'enchanteur est étirée de manière assez large à cette pensée, et même lui a un peu de mal à accepter l'idée de fabriquer un objet pour tuer une personne. Mais finalement, il parvient à fermer les yeux sur cela pour reprendre la parole.
-"Cela sera utile pour terminer, en effet. Mais je préfère construire un prototype fonctionnel et ensuite rajouter ces cheveux pour lier l'enchantement que prendre le risque de les consommer sur un test qui ne sera peut être pas gardé."
Finalement ses idées commencent à s'assembler au fur et à mesure des explications, et un projet, plutôt un plan finit par émerger. Quelques secondes sont nécessaires à l'homme pour repasser sur ses propres écrits et les condenser. Finalement, Almassar redresse la tête et cherche le regard de Wolfram, bien plus détendu. Il a une idée qu'il pense bien plus intéressante à proposer, et un léger sourire nait même sur ses traits.
-"Alors si le but est de plonger une pièce dans l'obscurité, il est totalement capable de créer un petit objet pouvant absorber les sources de lumières artificielles voir magiques. Naturelles par contre, je ne peux rien y faire. Je ne peux hélas pas encore éteindre le soleil ou la lune. Mais le reste par contre, c'est totalement possible."
Le sourire vient s'élargir, devenant un peu plus prédateur, l'enchanteur se prêtant totalement au jeu. Son inventivité est titillé, ce qui lui permet clairement d'aller un peu plus loin qu'il n'irait habituellement, laissant ses questions morales passer au second plan.
-"Ensuite, soit je peux m'arranger pour qu'une seconde activation de l'objet rallume tout ce qu'il aura ainsi éteint, ou alors peut être même conserver la lumière pour la transférer à un second objet qui serait lui capable de créer des ombres, permettant ainsi d'avoir un outil en intérieur et un second pour l'extérieur, interagissant ensembles selon les situations."
Oh oui, quand on commence à toucher à la lumière, nombreuses sont les possibilités...
-"User l'énergie naturelle et artificielle pour durcir sa peau ? Je présume aussi que cela offre des capacités offensives, si cette personne peut le redistribuer comme elle le souhaite."
Puis vient ensuite la demande précise et bien plus détaillée. L’absorption de lumière, un grand sujet particulièrement complexe. Si il n'est pas possible de tuer le soleil en lui même, il est possible de faire beaucoup de choses à ces petits rayons, si jamais on sait comment les manipuler. Voir même directement étouffer leur source dans l’œuf. Le bruit de la plume devient de plus en plus fort tandis qu'il laisse ses idées émerger sans restrictions, noircissant le papier à l'encre de ses idées et de ses projets. La mèche de cheveux est observée quelques secondes, suivi d'un sourire satisfait. Oui, cela l'aidera énormément pour finir l'enchantement, même si cela le force à accepter qu'une telle création aura surement de tristes résultats pour la personne ciblée. La moralité de l'enchanteur est étirée de manière assez large à cette pensée, et même lui a un peu de mal à accepter l'idée de fabriquer un objet pour tuer une personne. Mais finalement, il parvient à fermer les yeux sur cela pour reprendre la parole.
-"Cela sera utile pour terminer, en effet. Mais je préfère construire un prototype fonctionnel et ensuite rajouter ces cheveux pour lier l'enchantement que prendre le risque de les consommer sur un test qui ne sera peut être pas gardé."
Finalement ses idées commencent à s'assembler au fur et à mesure des explications, et un projet, plutôt un plan finit par émerger. Quelques secondes sont nécessaires à l'homme pour repasser sur ses propres écrits et les condenser. Finalement, Almassar redresse la tête et cherche le regard de Wolfram, bien plus détendu. Il a une idée qu'il pense bien plus intéressante à proposer, et un léger sourire nait même sur ses traits.
-"Alors si le but est de plonger une pièce dans l'obscurité, il est totalement capable de créer un petit objet pouvant absorber les sources de lumières artificielles voir magiques. Naturelles par contre, je ne peux rien y faire. Je ne peux hélas pas encore éteindre le soleil ou la lune. Mais le reste par contre, c'est totalement possible."
Le sourire vient s'élargir, devenant un peu plus prédateur, l'enchanteur se prêtant totalement au jeu. Son inventivité est titillé, ce qui lui permet clairement d'aller un peu plus loin qu'il n'irait habituellement, laissant ses questions morales passer au second plan.
-"Ensuite, soit je peux m'arranger pour qu'une seconde activation de l'objet rallume tout ce qu'il aura ainsi éteint, ou alors peut être même conserver la lumière pour la transférer à un second objet qui serait lui capable de créer des ombres, permettant ainsi d'avoir un outil en intérieur et un second pour l'extérieur, interagissant ensembles selon les situations."
Oh oui, quand on commence à toucher à la lumière, nombreuses sont les possibilités...
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Almassar & Wolfram
“De très bonnes capacités défensives et offensives en effet.” Soufflas-tu en te remémorant la belle... Tu n’avais pas vraiment eu l’occasion de te battre directement avec elle. Sauf si on considérait vos ébats dans les bras comme un combat. La jeune femme t’avait offert une nuit de plaisir, nuit qui t’avait permis de récupérer cette précieuse mèche de cheveux. Ton sourire se fit un poil libidineux alors que tu te rappelais son corps souple et musclé. Oui, tu avais passé un moment délicieux en sa compagnie, bien plus que la greluche sans cervelle que tu avais ramené l’autre jour. Tu te reconcentras sur les paroles du jeune enchanteur. Au moins, il n’avait pas perdu ses moyens à ton refus et réussissait à rebondir sur les éléments que tu lui avais donné. ” Je me doute bien qu’il soit impossible d’absorber les lumières naturelles, je ne vous tiendrai pas rigueur. “ Répétas-tu en lorgnant à nouveau le fameux flacon. Ton attention revient vers Almassar alors que tu sens un léger changement s’opérer en lui. Comme s’il était plus confiant dans ce qu’il allait proposer et effectivement, cette seconde idée pour compléter ta propre commande est plutôt intéressante. Tes doigts viennent jouer avec la peau fine de ton menton alors que tu réfléchis à ce second objet potentiel. Créer une ombre à partir de la lumière récoltée avec l’autre objet ? ”C’est une idée intéressante, comment cela fonctionnerait exactement ? Avec une sorte de rayon lumineux ?” Tu voyais l’idée générale, mais tu n’étais pas contre une explication du potentiel fonctionnement. Et les idées du jeunot t’en donnait aussi des nouvelles.
”Est ce qu’on pourrait utiliser cette lumière autrement ? Comme renforcer une arme ou même mon corps comme le fait la propriétaire de ce don ? “ Demandas-tu d’un ton songeur. Est-ce qu’une arme de lumière était possible ? Rendre tangible la lumière pour former une larme incandescente avec ? Tu avais désormais bien des choses à demander.”Ou en faire une arme ?”
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Bien sur, cette nouvelle proposition accroche bien plus l’intérêt de cet étrange client. Manipuler la lumière pour la plier à sa guise et créer autre chose avec, cela tend toujours à faire briller les pupilles de possibilités et d'idées. Bien sur, Wolfram mort à l'hameçon, comment pourrait-il en être autrement ? Et sa demande de précision ne peut que ravir Almassar, qui adore pouvoir expliquer son travail et ce qu'il fait. Se raclant la gorge -et regrettant l'absence d'un verre d'eau-, il se prépare à expliquer le fonctionnement qu'il imagine, cessant d'écrire pour laisser ses mains s'agiter et parler autant que ses mots.
-"Le principe du fonctionnement est assez simple. Après tout, cette lumière accumulée, capturée, il faut la stocker quelque part. Je propose juste de faire du bas de l'appareil une sorte de petite batterie conservant cette lumière, et pouvant soit être utilisée pour la réactiver au besoin, soit transférée à un autre objet."
La plume vient écrire quelques notes supplémentaires sur le carnet, petits détails que l'homme semblait avoir oublié. Vient ensuite la seconde partie, sur le fonctionnement des ombres. C'est plus complexe à expliquer, surtout sans exemple, mais l'homme ne semble pas stupide. Pas besoin de lui faire une démonstration avec une lampe à huile et un gobelet.
-"Pour le second objet magique, c'est un fonctionnement simple. Pour avoir des ombres, il faut de la lumière. Je compte exploiter ce principe pour libérer de manière contrôlée la lumière contenue dans la petite batterie, et le travail de ce second objet sera simplement de la rependre aux alentours pour obscurcir temporairement une zone."
Bien sur, le client est vorace. Il imagine déjà de nouvelles applications. Guère surprenantes, mais clairement l'enchanteur aura du mal de mettre ça sur le compte d'une chasse aux champignons particulièrement complexe. Continuant de mordiller sa lèvre, ses yeux partent à droite et à gauche, réfléchissant à ce qu'il va bien pouvoir expliquer et surtout comment. Il ne fuit pas le regard de Wolfram, juste... Pendant un instant, il est ailleurs, imaginant les possibilités. Bien sur qu'il a envie de vendre du rêve à l'homme en face de lui, mais pour autant, il ne veut pas lui vendre quelque chose d'impossible.
-"Imiter un tel don demanderait énormément de travail, et surtout un objet beaucoup plus puissant que celui la. Capable d'absorber de bien plus grandes quantités de lumière voir même se charger directement au soleil. En ce qui concerne l'arme..."
Nouveau petit blanc, durant lequel le regard de l'enchanteur décroche de nouveau pour venir fixer les illuminations de la pièce. Transformer ces flammes, cette magie, en un flux capable de blesser autrui. C'est une idée des plus intéressante, et pas totalement inconnue à Almassar. Pour autant, ce n'est pas non plus facile. Une fois concerté avec lui même sur sa réponse, il vient de nouveau se poser les pupilles sur Wolfram
-"En faire une arme serait peut être possible. Cela demanderait toutefois aussi beaucoup de travail, et je ne peux le promettre, surtout dans un délai court. C'est à vous de voir ce que vous souhaitez. Quelque chose capable d'aspirer la lumière est facile, en faire une arme est une toute autre histoire, qui n'est toutefois pas inatteignable."
Cette fois, nul sourire sur les coins de ses lèvres. Il sait très bien qu'il joue surement son contrat sur ses mots, et qu'il se retrouve sur la fine balance entre vendre assez d'étoiles à son commanditaire pour le faire signer, sans lui promettre une lune inaccessible...
-"Le principe du fonctionnement est assez simple. Après tout, cette lumière accumulée, capturée, il faut la stocker quelque part. Je propose juste de faire du bas de l'appareil une sorte de petite batterie conservant cette lumière, et pouvant soit être utilisée pour la réactiver au besoin, soit transférée à un autre objet."
La plume vient écrire quelques notes supplémentaires sur le carnet, petits détails que l'homme semblait avoir oublié. Vient ensuite la seconde partie, sur le fonctionnement des ombres. C'est plus complexe à expliquer, surtout sans exemple, mais l'homme ne semble pas stupide. Pas besoin de lui faire une démonstration avec une lampe à huile et un gobelet.
-"Pour le second objet magique, c'est un fonctionnement simple. Pour avoir des ombres, il faut de la lumière. Je compte exploiter ce principe pour libérer de manière contrôlée la lumière contenue dans la petite batterie, et le travail de ce second objet sera simplement de la rependre aux alentours pour obscurcir temporairement une zone."
Bien sur, le client est vorace. Il imagine déjà de nouvelles applications. Guère surprenantes, mais clairement l'enchanteur aura du mal de mettre ça sur le compte d'une chasse aux champignons particulièrement complexe. Continuant de mordiller sa lèvre, ses yeux partent à droite et à gauche, réfléchissant à ce qu'il va bien pouvoir expliquer et surtout comment. Il ne fuit pas le regard de Wolfram, juste... Pendant un instant, il est ailleurs, imaginant les possibilités. Bien sur qu'il a envie de vendre du rêve à l'homme en face de lui, mais pour autant, il ne veut pas lui vendre quelque chose d'impossible.
-"Imiter un tel don demanderait énormément de travail, et surtout un objet beaucoup plus puissant que celui la. Capable d'absorber de bien plus grandes quantités de lumière voir même se charger directement au soleil. En ce qui concerne l'arme..."
Nouveau petit blanc, durant lequel le regard de l'enchanteur décroche de nouveau pour venir fixer les illuminations de la pièce. Transformer ces flammes, cette magie, en un flux capable de blesser autrui. C'est une idée des plus intéressante, et pas totalement inconnue à Almassar. Pour autant, ce n'est pas non plus facile. Une fois concerté avec lui même sur sa réponse, il vient de nouveau se poser les pupilles sur Wolfram
-"En faire une arme serait peut être possible. Cela demanderait toutefois aussi beaucoup de travail, et je ne peux le promettre, surtout dans un délai court. C'est à vous de voir ce que vous souhaitez. Quelque chose capable d'aspirer la lumière est facile, en faire une arme est une toute autre histoire, qui n'est toutefois pas inatteignable."
Cette fois, nul sourire sur les coins de ses lèvres. Il sait très bien qu'il joue surement son contrat sur ses mots, et qu'il se retrouve sur la fine balance entre vendre assez d'étoiles à son commanditaire pour le faire signer, sans lui promettre une lune inaccessible...
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