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Des cristaux en hameçon |Pariza & Wolfram
Wolfram CinderbaneNoble
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Des cristaux en hameçon
Pariza & Wolfram
Tu te retrouvais désormais dans les rues de la Capitale après avoir déserté le salon Saint Albray en compagnie de la charmante journaliste. Tu avais passé les portes dans un éclat de rire, en la voyant réaliser un doigt d’honneur au portier. La jeune femme semblait avoir un don pour t'amuser. Quand vos mains s’étaient finalement lâchées quelques rues plus loin, tu lui avais offert ton bras avant de la guider vers de plus grandes avenues. Tu avais hésité à l’emmener jusqu’à un établissement de ta connaissance. Un lieu plutôt luxueux, ou du moins qui n’étaient pas accessibles à toutes les bourses, mais après ton passage au salon, tu n’avais pas envie de retrouver cette ambiance guinder. Tu te retrouvais donc dans un quartier plus populaire, proche de la place commerçante. Les préparatifs pour les festivités allaient bon train puisque les magasins avaient déjà sorti leurs meilleures décorations et illuminations pour émerveiller petits et grands... et attirer la clientèle.
Les petites lumières colorées ressortaient d’autant plus que la nuit commençait à tomber, troquant les derniers rayons de soleil pour des étoiles. Quelques flacons continuaient à blanchir les rues. Ca te changeait des jours de neige du sud du royaume et tu devais bien avouer que c’était assez agréable.
”D’ailleurs, je me demandais si Spiced était toujours dans ses petits trafics ?” Demandas-tu en posant ton regard sur la jeune femme, depuis votre départ vous aviez continué sur de sujets plus légers... Ou plutôt elle s’était amusée à raconter diverses anecdotes sur sa famille –dont cette chère Gerturde qui semblait vraiment être un sacré bout de femme- et quelques autres. ”Ca doit bien faire quatre ou cinq ans que je n’ai pas vu et je serai ravi de réaliser de nouveaux contrats avec lui.” Avait-il pris sa retraite ? Ça te paraissait peu probable au vu des souvenirs que tu avais du gaillard, mais pas impossible pour autant. A vrai dire, tu le voyais plus faire une malheureuse rencontre avec une créature trop grosse pour lui plutôt que s’arrêter.
Tu t’arrêtas une seconde devant un établissement au nom familier. Ça, c’était une surprise.”N’est-ce pas le fameux Palais sans trône ?”. Le bar restaurant n’était plus que l’ombre de lui-même. Tu t’arrêtas une seconde pour admirer ce désastre. Visiblement, il n’avait pas réussi à se remettre depuis cet été. ”Si je me souviens bien, vous avez parlé d’une auberge bien meilleure non loin d’ici... Poulor en pot ? Nous pourrions continuer notre conversation là-bas.” Proposas-tu à la jeune femme, pas que les bavardages de la belle avaient été ennuyant, mais vous n’aviez pas fini la discussion au sujet d’un possible mariage.
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Cristaux : 1500MESSAGES : 61COULEUR : #Hals GatzaNoble
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Il aurait pu lui proposer le trou du cul du monde, là tout de suite, tout lui aurait convenu. De toute façon le trou du cul du monde proposer par Wolfram c’est pas le trou du cul du monde proposer par monsieur tout le monde. Il y a des trous du cul du monde avec divers niveaux d’appréciation mine de rien. Malheureusement, nous ne sommes pas là pour parler de cela. Dommage.
Nous sommes ici pour parler de ce couple qui se forme dans la rue. C’est presque fascinant comme c’est naturel d’agir avec Wolfram. On peut enlever presque de la phrase, elle trouve cela fascinant. Sa main vient naturellement prendre son bras pour le prendre et c’est comme si elle avait toujours eu sa place là. Elle arrivait de toute manière à avoir l’impression que c’était toujours sa place donc, c’est vraiment pertinent de parler de cela ?
— Il préfère dire affaire fructueuse comme terme, mais oui. Il sera ravi de refaire affaire avec toi, en ce moment il trouve que tout le monde est trop sage sur le continent.
Il n’avait pas tout à fait d’autre d’une certaine façon, elle trouvait elle-même que beaucoup de rumeurs et nouvelles étaient trop sages et manquaient de sel pour faire battre les cœurs. Elle regarde un moment le Palais sans trône et souris un peu amusé face à ce lieu.
— Il faut croire que le lieu n’a pas su trouver ses souverains pour régner convenablement sur leur empire. Enfin, empire ayant un peu des soucis de sanitaire et discrimination pour rentrer même avec une invitation.
Cela l’amuse, très clairement.
— Et sinon, oui, je vais… Est-ce que cela vous dérange si je vous tutoie ? Enfin. Je vais vous montrer le chemin. Il y a la carte du steak de cerberus et j’avoue que goûter une créature aussi dangereuse a quelque chose d’assez magique. Excitant aussi. Même si, soyons honnête, tous leurs plats à base de poulor sont sublimes. Le concept de là-bas c’est une créature ramenée par des aventuriers en plat spécial par lune et le reste un dérivé varié de plat au poulor.
Comme un petit moulin, elle donnait les informations sans forcément chercher à savoir si cela intéressait son interlocuteur ou non. Elle avait cette fâcheuse habitude de parler sans filtre pour donner le plus d'informations possible. Enfin, pas vraiment sans filtre. Avec l’impression que c’était sans filtre. Comme là où clairement elle mettait à sa manière en avant que le restaurant fût un réseau d’aventurier fort et disponible rapidement pour leur fournir de la viande forte et variée pour tourner sans souci et se permettre ce genre d’extravagance à la carte.
Puis, surtout, parler ainsi d’un sujet aussi bateau avait un avantage certain, cela permettait d’un peu moins stresser sur les formalités pour le futur mariage. Cela semblait, à première vue, une décision prise sur un coup de tête, mais plus elle le tournait dans son esprit, plus c’était quelque chose d’avantageux et protecteur en même temps pour elle. D’un pas assez ferme, sans la moindre hésitation, elle le conduisit au lieu désiré. C’était un établissement assez mignon de l’extérieur et très propre. Une petite enseigne simplement agréable à regarder. Une parfaite couverture.
— J’espère que vous apprécierez l’endroit autant que j’apprécie votre compagnie.
Nous sommes ici pour parler de ce couple qui se forme dans la rue. C’est presque fascinant comme c’est naturel d’agir avec Wolfram. On peut enlever presque de la phrase, elle trouve cela fascinant. Sa main vient naturellement prendre son bras pour le prendre et c’est comme si elle avait toujours eu sa place là. Elle arrivait de toute manière à avoir l’impression que c’était toujours sa place donc, c’est vraiment pertinent de parler de cela ?
— Il préfère dire affaire fructueuse comme terme, mais oui. Il sera ravi de refaire affaire avec toi, en ce moment il trouve que tout le monde est trop sage sur le continent.
Il n’avait pas tout à fait d’autre d’une certaine façon, elle trouvait elle-même que beaucoup de rumeurs et nouvelles étaient trop sages et manquaient de sel pour faire battre les cœurs. Elle regarde un moment le Palais sans trône et souris un peu amusé face à ce lieu.
— Il faut croire que le lieu n’a pas su trouver ses souverains pour régner convenablement sur leur empire. Enfin, empire ayant un peu des soucis de sanitaire et discrimination pour rentrer même avec une invitation.
Cela l’amuse, très clairement.
— Et sinon, oui, je vais… Est-ce que cela vous dérange si je vous tutoie ? Enfin. Je vais vous montrer le chemin. Il y a la carte du steak de cerberus et j’avoue que goûter une créature aussi dangereuse a quelque chose d’assez magique. Excitant aussi. Même si, soyons honnête, tous leurs plats à base de poulor sont sublimes. Le concept de là-bas c’est une créature ramenée par des aventuriers en plat spécial par lune et le reste un dérivé varié de plat au poulor.
Comme un petit moulin, elle donnait les informations sans forcément chercher à savoir si cela intéressait son interlocuteur ou non. Elle avait cette fâcheuse habitude de parler sans filtre pour donner le plus d'informations possible. Enfin, pas vraiment sans filtre. Avec l’impression que c’était sans filtre. Comme là où clairement elle mettait à sa manière en avant que le restaurant fût un réseau d’aventurier fort et disponible rapidement pour leur fournir de la viande forte et variée pour tourner sans souci et se permettre ce genre d’extravagance à la carte.
Puis, surtout, parler ainsi d’un sujet aussi bateau avait un avantage certain, cela permettait d’un peu moins stresser sur les formalités pour le futur mariage. Cela semblait, à première vue, une décision prise sur un coup de tête, mais plus elle le tournait dans son esprit, plus c’était quelque chose d’avantageux et protecteur en même temps pour elle. D’un pas assez ferme, sans la moindre hésitation, elle le conduisit au lieu désiré. C’était un établissement assez mignon de l’extérieur et très propre. Une petite enseigne simplement agréable à regarder. Une parfaite couverture.
— J’espère que vous apprécierez l’endroit autant que j’apprécie votre compagnie.
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