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[Métier] Le vétérinaire et le docteur
Lovis FarleyCitoyen
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Le vétérinaire et le docteur
Lorsque tu te réveilles, tu sens que quelque chose ne va pas. À chaque matin, Trixie vient te réveiller en sautant dans ton lit pour te souhaiter un bon matin. Cette fois, les rayons de soleil percent au travers des rideaux et éclaire ta chambre sombre et tu ne vois ta chatte nulle part. Tu attends même quelques minutes pour voir si elle va entrer dans ta chambre. Mais, même après un moment, tu ne vois pas la porte de ta chambre bouger. Un peu inquiet, tu te lèves et pars à sa recherche. Elle n’était pas bien loin et tu la trouvas coucher au bord de la fenêtre du salon. Tu t’approchas et commenças à la flatter. Elle ouvrit un œil et réalisant qu’il était temps de se lever, elle s’étira et miaula pour te dire bon matin. Tu ne comprenais pas le langage des chats, mais tu aimais l’idée qu’elle te dise bonjour lorsque tu te levais. C’était hors de son habitude que tu la réveilles, mais tu n’y pensas plus longtemps. Une fois réveillé et étiré, elle te suivait partout dans la maison jusqu’à ce que tu doives partir travailler.
Malheureusement, après quelques jours, tu te dis que quelque chose ne va vraiment pas. Trixie n’était pas une vieille chatte. Elle n’avait que deux ans et pourtant elle ne jouait avec aucun de ses jouets. Elle avait l’habitude de jouer énormément et aimait parfois prendre des petites marches dans le parc. Lorsque tu remarquas qu’elle restait de plus en plus au lit pour dormir, tu décidas d’aller chez le vétérinaire. Annabelle avait toujours été celle que tu rencontrais au sujet de Trixie et normalement, tu refusais de voir un autre vétérinaire. Ce n’était pas que tu ne faisais pas confiance aux autres, mais tu étais… pointilleux. Tu voulais t’assurer que ta chatte reçoive les meilleurs soins et tu avais conclu qu’Annabelle était celle qui prenait le mieux soin de ton compagnon. Alors la journée que ton horaire était vide, tu en profitas pour aller la voir à la clinique.
Mais tu n’avais pas du tout de change aujourd’hui. Lorsque tu te rendis à la clinique, on t’annonça que ton vétérinaire habituel était en vacances pour la prochaine semaine. Tu étais bien sûre déçu. Tu n’étais pas sûre quoi faire. Tu n’avais pas envie de demander à quelqu’un d’autre d’examiner ta chatte, mais tu ne voulais pas attendre non plus. S’il y avait quelque chose de grave, tu voulais en avoir le cœur net dès maintenant. Alors avec un soupir, tu demandas si quelqu’un était disponible pour s’occuper de ton animal. Évidemment, tout le monde était occupé. On te suggéra donc d’aller voir à quelques coins de rue de la clinique. Il devrait y avoir quelqu’un pouvant t’aider. Une fois l’adresse en main, tu te dirigeas vers l’endroit indiquer. Tu penchas la tête pour regarder Trixie au travers de la cage et lui souris.
« Quelqu’un va pouvoir t’aider ici. »
Tu aurais bien aimé parler aux chats. En fait, tu aurais bien aimé avoir un don. Contrairement a tout ceux qui semblaient t’entourer, tu n’avais toujours pas découvert le tiens. Enfin, là n’était pas le moment d’être envieux. Tu devais t’occuper de Trixie. Une fois arrivé, tu entras dans la bâtisse et tu annonças.
« Bonjour, on m’a conseillé de venir voir ici pour trouver quelqu’un pouvant m’aider à comprendre ce qui ne va pas avec ma chatte. »
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Succès : ![[Métier] Le vétérinaire et le docteur FFXnyYu](https://i.imgur.com/fFXnyYu.png)
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Depuis quelques temps déjà, Adïel faisait des aller-retours dans le centre afin de prendre soin de la plupart des animaux s'il y avait besoin et si on avait besoin de lui. Certes, il avait des points de repères, mais étant plus un spécialiste des félins comparés aux autres animaux, il était moins serein lorsqu'il devait prendre soin d'une autre espèce. Or, c'était ce qu'il se passait ce matin-là, les personnes se trouvant avec lui au centre n'arrivait pas à s'occuper d'une loutre géante qui était dès plus agressive à leur égard. Si bien qu'ils avaient demandé s'il ne pouvait pas s'en occuper.
Ne connaissant pas grand-chose sur eux hormis qu'il servait la plupart du temps de monture, il se renseignait un peu avant de se rendre près de la loutre géante. en se rapprochant, il remarquait effectivement que la loutre avait les poils hérissés. Cependant, il ne s'arrêtait pas uniquement à se détail-là. Observant ce qu'il n'allait pas, il remarquait qu'une de ses pattes ne touchait pas le sol et était recroquevillé. Un animal n'est jamais aussi dangereux que lorsqu'il est blessé et se sent aculé. Crachant et hérissant davantage ses poils le loutre se montrait encore plus menaçant qu'avant.
Pour tenter de l'apaiser, Adïel pris son couteau pour s'entailler superficiellement le bras. Il lui montrait qu'il saignait puis se mit un bandage. Ce simple fait, semblait l'apaiser puisqu'il ne crachait plus et que ses poils commençait peu à peu à ne plus être hérissé. Se rapprochant de sa patte, il remarquait qu'il était en effet blessé. Demandant qu'on lui donne un linge propre, pendant qu'il essuyait le sang et le nettoyant, il lui fit un bandage une fois le linge propre en main avant de lui caresser la patte. La loutre géante lui léchait alors le visage en guise de remerciement.
Pour tenter de l'apaiser, Adïel pris son couteau pour s'entailler superficiellement le bras. Il lui montrait qu'il saignait puis se mit un bandage. Ce simple fait, semblait l'apaiser puisqu'il ne crachait plus et que ses poils commençait peu à peu à ne plus être hérissé. Se rapprochant de sa patte, il remarquait qu'il était en effet blessé. Demandant qu'on lui donne un linge propre, pendant qu'il essuyait le sang et le nettoyant, il lui fit un bandage une fois le linge propre en main avant de lui caresser la patte. La loutre géante lui léchait alors le visage en guise de remerciement.
Sans qu'il ne vienne à le savoir, il avait passé un bon moment avec la loutre géante afin qu'il puisse l'approcher. Et le soleil n'était plus du tout à l'aurore et bien plus proche du zénith. Ne voulant pas perdre plus de temps, il se dirigeait vers la zone des félins afin d'aller prendre soins des chats lorsqu'une personne venait le chercher afin qu'il vienne vers l'entrée de la batisse. Ne comprenant pas, il le suivait alors qu'il avait encore plein de choses à faire. Puis en arriver près de l'entrée de la bâtisse, la personne qui était venu à sa rencontre lui expliqua que l'homme en face avait besoin d'aide pour sa chatte. Comprenant pourquoi on était venu le chercher, Adïel se dirigea vers l'homme en question. Cependant, voyant la chatte, il s'approchait d'elle pour lui parler.
- Qu'est ce qui ne va pas ? Tu ne semble pas aller bien...
Pendant ce temps, la personne en charge de l'accueil, parla à l'homme en question afin qu'il ne soit pas étonné de ne pas comprendre ce que dit Adïel.
- Voici notre spécialiste des félins. Il est capable de leur parler et les comprendre. Vous ne pourrez trouver meilleur vétérinaire pour les chats ici. Il se nomme Adïel. Suite à cette brève présentation, il s'éclipsa pour reprendre sa place à l'accueil au cas où des personnes viendraient.
Ne connaissant pas grand-chose sur eux hormis qu'il servait la plupart du temps de monture, il se renseignait un peu avant de se rendre près de la loutre géante. en se rapprochant, il remarquait effectivement que la loutre avait les poils hérissés. Cependant, il ne s'arrêtait pas uniquement à se détail-là. Observant ce qu'il n'allait pas, il remarquait qu'une de ses pattes ne touchait pas le sol et était recroquevillé. Un animal n'est jamais aussi dangereux que lorsqu'il est blessé et se sent aculé. Crachant et hérissant davantage ses poils le loutre se montrait encore plus menaçant qu'avant.
Pour tenter de l'apaiser, Adïel pris son couteau pour s'entailler superficiellement le bras. Il lui montrait qu'il saignait puis se mit un bandage. Ce simple fait, semblait l'apaiser puisqu'il ne crachait plus et que ses poils commençait peu à peu à ne plus être hérissé. Se rapprochant de sa patte, il remarquait qu'il était en effet blessé. Demandant qu'on lui donne un linge propre, pendant qu'il essuyait le sang et le nettoyant, il lui fit un bandage une fois le linge propre en main avant de lui caresser la patte. La loutre géante lui léchait alors le visage en guise de remerciement.
Pour tenter de l'apaiser, Adïel pris son couteau pour s'entailler superficiellement le bras. Il lui montrait qu'il saignait puis se mit un bandage. Ce simple fait, semblait l'apaiser puisqu'il ne crachait plus et que ses poils commençait peu à peu à ne plus être hérissé. Se rapprochant de sa patte, il remarquait qu'il était en effet blessé. Demandant qu'on lui donne un linge propre, pendant qu'il essuyait le sang et le nettoyant, il lui fit un bandage une fois le linge propre en main avant de lui caresser la patte. La loutre géante lui léchait alors le visage en guise de remerciement.
Sans qu'il ne vienne à le savoir, il avait passé un bon moment avec la loutre géante afin qu'il puisse l'approcher. Et le soleil n'était plus du tout à l'aurore et bien plus proche du zénith. Ne voulant pas perdre plus de temps, il se dirigeait vers la zone des félins afin d'aller prendre soins des chats lorsqu'une personne venait le chercher afin qu'il vienne vers l'entrée de la batisse. Ne comprenant pas, il le suivait alors qu'il avait encore plein de choses à faire. Puis en arriver près de l'entrée de la bâtisse, la personne qui était venu à sa rencontre lui expliqua que l'homme en face avait besoin d'aide pour sa chatte. Comprenant pourquoi on était venu le chercher, Adïel se dirigea vers l'homme en question. Cependant, voyant la chatte, il s'approchait d'elle pour lui parler.
- Qu'est ce qui ne va pas ? Tu ne semble pas aller bien...
Pendant ce temps, la personne en charge de l'accueil, parla à l'homme en question afin qu'il ne soit pas étonné de ne pas comprendre ce que dit Adïel.
- Voici notre spécialiste des félins. Il est capable de leur parler et les comprendre. Vous ne pourrez trouver meilleur vétérinaire pour les chats ici. Il se nomme Adïel. Suite à cette brève présentation, il s'éclipsa pour reprendre sa place à l'accueil au cas où des personnes viendraient.
Lovis FarleyCitoyen
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Le vétérinaire et le docteur
L’hôte est courtois et te dit que tu es au bon endroit pour ton animal. Aujourd’hui, ils ont un spécialiste qui se fera un plaisir d’aider. Tu n’as aucune raison de douter de ses paroles. Il quitte son comptoir un moment pour aller le chercher. Tu n’attends pas très longtemps avant qu’une nouvelle personne entre dans la pièce accompagnée de l’homme. Tu déduis qu’il s’agit du spécialiste. Il a l’air jeune, mais tu ne laisses pas les apparences te tromper. Après tout, tu étais un excellent docteur et un chercheur malgré ton jeune âge. Avec un sourire, tu le salut, mais son attention se pose sur la chatte en premier. Un peu impoli, mais intrigant. Voyant ton sourire s’effacer légèrement, l’hôte t’explique le don du vétérinaire. C’était donc pour cette raison qu’il était un spécialiste. Son don était très pratique pour pouvoir bien soigner les félins. Tu es un peu moins inquiet de laisser quelqu’un d’autre s’occuper de Trixie.
« Bonjour, monsieur… ? Je suis Lovis et voici ma chatte, Trixie. Merci infiniment de prendre le temps de vous occuper d’elle. »
Tu commences à lui expliquer un peu ce que tu as constaté durant les derniers jours, même si tu te dis que ton compagnon lui a peut-être tout expliquer.
« Je ne suis pas sûre de la raison derrière son comportement, mais dernièrement elle ne semble pas avoir beaucoup d’énergie. D’habitude, elle aime faire des promenades et jouer, mais récemment elle ne fait que dormir. »
C’était la première fois que cela arrivait. Tu n’avais pourtant pas changé quoi que ce soit dans ta routine. Tu n’avais pas changé sa nourriture et tu t’occupais de la litière quotidiennement. Puisqu’elle avait un poil long, tu la peignais à chaque deux ou trois jours pour éviter que des nœuds se forme. Tu ne comprenais réellement pas d’où venait ce manque d’énergie. Était-ce la température ?
Tu regardais le vétérinaire dans les yeux pendant que tu lui parlais, mais tes yeux aperçurent un bandage sur le bras d’Adïel. C’était récent. Tu pouvais voir le sang s’étaler sur le tissu. Même si tu ne travaillais pas, tu étais un docteur et ce bandage t’agaçait.
« Je constate que vous êtes blessé. Est-ce douloureux ? »
Tu aurais voulu tout savoir derrière ce pansement, mais à ce moment-ci, il devait travailler. Tu te dis que lorsqu’il aura examiné ta chatte, tu lui poserais plus de questions. S’il s’était fait blesser par un animal, il était important de désinfecter. Lorsqu’il s’agissait d’une morsure, les plaies avaient souvent tendance à s’infecter. Cela serait un problème éventuellement.
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