![Nikolaos Lehnsherr](https://i.servimg.com/u/f55/20/40/03/58/unknow10.png)
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Informations
Prénom Nikolaos
Surnom Niko
Age 26 ans
Sexe Masculin
Groupe La Garde
Spécialité/Métier/etc Belluaire
Orientation sexuelle Hétérosexuel
Particularité A squatté le corps d’une sculptrice de verre pendant plusieurs lunes
Nikolaos Lehnsherr est devenu garde il y a quelques semaines et a, très récemment, été envoyé chez les Belluaires, au Village Perché. Ses derniers souvenirs remontent à sa plus tendre enfance, il n’en a pas d’autres. Il ignore qu’il fut Inaros, un mercenaire reconnu dans le métier et qui a, malencontreusement, cohabité -squatté- dans le corps d’une sculptrice de verre, Ivara. Il est devenu ce qu’il aurait toujours dû être si sa vie d’avant avait été différente. C’est un homme droit dans ses bottes et qui n’a qu’une envie : faire ses preuves et aider à faire respecter, rigoureusement, l’ordre dans le Royaume.
Pouvoir
Catégorie Divers
Nikolaos est capable de revenir à la vie un certain nombre de fois lorsqu’il meurt, sous certaines conditions et avec plusieurs limites.
Le pouvoir se réinitialise toutes les semaines. Si le pouvoir s’active une seule fois, il doit donc passer une semaine sans mourir sinon voici ce qui l’attend :
À sa première mort Nikolaos peut revenir instantanément (une dizaine de secondes)
À sa deuxième mort, il lui faudra attendre une journée avant de revenir à la vie.
À la troisième mort, il devra attendre trois jours
À la quatrième mort, il devra attendre six jours.
À la cinquième mort, il devra attendre une lune.
Le pouvoir s’active dès que son cœur cesse de battre et ne permet à son corps de régénérer que la (ou les) blessure(s) qui auront été mortelles (pour éviter de rentrer dans un cercle vicieux). Cela ne permet pas de lui redonner un corps totalement neuf s’il a subi mutilations, coupures ou encore ecchymoses. La décapitation est le seul moyen de le tuer définitivement puisqu’il n’est pas capable de faire repousser sa tête (ou tout autre membre). Toutefois, s’il est, par exemple, jeté ligoté dans une rivière : son pouvoir ne lui permettra pas de se libérer et il va donc mourir en boucle. S’il est tué par quelque chose qui le transperce de part en part en touchant un ou plusieurs organes vitaux, il faudra que ce quelque chose soit retiré pour que le pouvoir s’active correctement.
À la première mort, les contre-coups sont déjà importants : fatigue intense, quelques vertiges, de la nausées. Ces symptômes s’accentuent chaque fois qu’il doit revenir à la vie sous le délai d’une semaine, ce qui peut finir par le rendre inapte au service car il aura besoin de beaucoup de repos pour récupérer.
Potite remarque : Nikolaos n’est pas au courant de son pouvoir et ne l’a donc jamais utilisé.
Description
Défauts Têtu - Peut être cruel - Souvent sur la défensive - (Trop) pragmatique
Physique
Nikolaos est un homme d’environ un mètre quatre-vingt, de corpulence plutôt fine et agile. Ses muscles sont savamment dessinés - signe d’un entraînement sans faille déjà bien avant qu’il ne rentre dans la garde. Ses cheveux bruns, mi-longs, sont souvent attachés pour ne pas obstruer sa vue lorsqu’il s’entraîne ou est en poste. Lors de ses temps libres, il aime les garder détachés et, s’il y a du soleil, quelques reflets plus clairs s’y devinent. Les traits de son visage sont fins et anguleux. Il a de petits yeux vert-gris en amande, bordés d’une rangée de longs cils garnis. Mais, ce que les autres remarquent en premier sur son faciès, ce sont les étranges cicatrices - d’un rouge encore vif - qui soulignent son regard perçant. Il ignore comment elles sont arrivées là et ne ressent aucune douleur lorsqu’il les touche. Son petit nez droit et ses lèvres charnues complètent la panoplie d’un jeune homme relativement beau d’apparence.
Mental
Nikolaos est un homme droit dans ses bottes. Il essaie toujours d’être impartial et juste lorsqu’il fait face à des situations qui nécessitent son discernement. Sans vouloir sauver la veuve et l’orphelin, il éprouve une furieuse envie de lutter contre le crime - organisé ou non - et de contribuer au bon fonctionnement de la Garde. Il a en horreur les menteurs mais encore plus ceux qui n’ont aucune ouverture d’esprit, peut-être la preuve que l’éducation qu’il a reçu durant son enfance a porté ses fruits. Très débrouillard, il a toujours la petite idée - la petite débrouillardise dirons-nous - pour se sortir indemne de certaines affaires ou discussions. Sa rigueur peut parfois se retourner contre lui, particulièrement lorsqu’il en attend trop de lui-même ou des autres. Bien qu’il ait été recueilli et logé par la Garde Civile, preuve que l’être humain peut être bon, il ne peut s’empêcher d’être sur la défensive lorsque quelqu’un qu’il ne connaît que peu ou prou vient lui adresser la parole. Des choses sur lui, il en a entendu des tas dans les couloirs de la caserne et il a donc l’impression que la majorité des personnes ne sont pas sincères avec lui. Une fois cette barrière passée, il a tendance à être très (trop) bavard, ce qui peut surprendre lorsqu’on le voit en service, où il est bien plus silencieux et concentré puisqu’il est avide de faire ses preuves.
Histoire
Seul. Je suis seul. Je peine à ouvrir les yeux. Mais pour voir quoi ? Il n’y a rien, tout est sombre autour de moi. Mon corps semble rouillé, vieille machine qui aurait été laissée à l’abandon pendant des lunes. Combien ? Je ne sais pas. J’ai du mal à réfléchir, l’impression qu’un petit forgeron dans ma tête s’amuse à frapper, avec son marteau, le peu de cervelles encore intactes que j’ai. J’essaie d’utiliser mes autres sens. Allez, j’en ai bien un qui peut fonctionner puisque la vue, c’est mort. Y’a pas non plus le moindre son qui parvient à mes oreilles. Mes narines s’agitent, tentent de capter une effluve, un petit quelque chose qui me donnera un indice sur le lieu où je suis. De la terre, c’est ça que je renifle. J’ai un moment de panique, mon palpitant s’affole et je tâche de faire appel à toute ma volonté pour ne pas y céder. Pourquoi y'a t-il de la terre partout autour de moi ? Je gratte au-dessus de mon corps, avec toute la force dont je suis capable, autant dire pas grand-chose.
Puis, la lumière. Le soleil et l’air pur, dont j’emplis mes poumons en gonflant la cage thoracique comme si ma vie en dépendait - ce qui était sûrement le cas. Ça me fait un mal de chien de respirer. C’est sûrement pour ça que les morveux geignent autant quand ils viennent au monde, la douleur d’avoir les bronches qui s’activent pour la première fois doit être insupportable. Heureusement qu'on ne s'en souvient pas. Sauf que moi, je m’en souviens et que ce premier souvenir reste inscrit dans toute ma chair. Je sors de là où je suis en rampant comme un ver, essayant péniblement de traîner ma carcasse sur mes coudes et mes genoux. J’ai mal aux yeux, je préfère les garder fermer. Autour de moi, seul le chant des oiseaux vient troubler une apparente tranquillité.
Je ne sais pas combien de temps je reste assis, là, adossé contre je-ne-sais-quoi parce que je refuse de voir. Je finis par porter ma main droite devant ma face pour filtrer les rayons lumineux avec mes doigts et m’habituer à la clarté ambiante. Encore une fois, j’ai l’impression que ça fait une éternité qu’ils n’ont pas été utilisés. J’ai aussi une autre sensation bien plus désagréable comme si… Comme si je n’étais pas dans mon propre corps.
Il s’écoule encore de longues minutes avant que je réussisse à capter plus de détails autour de moi. Je suis dans une forêt et, à côté de moi, il y a un énorme trou duquel je me suis extirpé. Mais je ne comprends rien. Je ne comprends rien parce que je n’ai aucun souvenir, lorsque j’essaie de faire le point sur ma situation, je ne trouve rien. Mon dernier souvenir remonte à mon plus jeune âge, autant dire rien de probant pour m’aider à démêler le vrai du faux. Je ne sais même pas qui je suis. Par contre, il y a une chose que je devine : si j’étais là, c’est, qu’aux yeux de mes semblables, la vie m’avait quittée. N’est-ce pas là une coutume humaine, d’enterrer ses morts ?
C’est alors que je me rends compte de mes besoins les plus primaires. J’ai soif. J’essaie de me relever à plusieurs reprises. Mes jambes tremblent et j’ai du mal à tenir debout. Au bout de la cinquième tentative, j’y arrive. L’arbre contre lequel je prenais appui depuis le début m’aide à tenir et, sous ma paume, la sensation de l’écorce qui érafle ma peau me paraît plus douce maintenant que j’ai pris conscience que j’étais vivant. Je remarque alors une curieuse inscription sur le tronc. Je fronce les sourcils, ayant du mal à la déchiffrer.
3ème jour de la première lune chaude de l'an 975 - 15ème jour de la première lune douce de l’an 1000
Ce nom évoque quelque chose en moi. Je ne sais pas l’expliquer, mais je sens que je suis ce Nikolaos. C’est même plutôt évident. C’est une épitaphe.
Une voix m’interpelle. Surpris, je me retourne et j’aperçois un type de grande taille, assez imposant de par sa carrure et qui fronce ses sourcils en me voyant. Faut dire que je dois être dans un sale état et, maintenant que je me suis habitué aux autres odeurs, je me rends compte que la plus repoussante c’est la mienne.
J’apprendrai plus tard que cet homme est un garde de cinquante-neuf ans, nommé Karl Pedersen et qu’il est dans la civile. Je pense aujourd'hui pouvoir affirmer qu’il m’a sauvé la vie.
Je griffonne encore quelques mots sur mon journal et je corrige quelques tournures de phrases qui ne me conviennent pas. C’est un des médecins de la garde qui m’a conseillé de coucher sur papier toutes mes pensées, pour m’aider à avancer et pour prouver que je suis assez sain d’esprit pour qu’on me fasse confiance. J’ai pas compris grand-chose à tout ce charabia mais j’ai conservé cette habitude, même si ça fait maintenant plusieurs semaines que je suis soldat. Puis, je n'ai rien écrit sur cette partie de ma vie, alors c’est l’occasion de le faire. Où est-ce que j’en étais ? Je sais que le vieux Karl - il déteste que je l’appelle comme ça - a lourdement insisté auprès de ses supérieurs pour me faire passer plusieurs tests. Faudrait que je l’écrive ça aussi, alors je reprends mon crayon pour continuer ma rédaction.
J’avais été retrouvé au début de l’an 1002. Je ne savais pas ce que je faisais là mais j’avais une identité à donner : Nikolaos Lehnsherr - qui a inventé un nom aussi compliqué ?! - et j’ai été emmené par Karl Pedersen à la Capitale. J’avais vaguement l’impression de reconnaître les lieux, mais ça ne ravivait rien de particulier… Si ce n’est les fourmillements dans mes jambes. J’avais une furieuse envie de courir et d’escalader les toits de la ville. Je me suis retenu et j’ai poliment souri à Karl en lui disant que je ne me souvenais de rien. J’ai été emmené à la caserne et, avant qu’on m’interroge, j’ai eu le droit de me nourrir et de me décrasser. Dans les couloirs, les autres se pinçaient le nez. C’était assez humiliant. J’ai pris un bain, parce qu’une simple douche n’aurait pas suffit à retirer tout ce que j’avais accumulé sur mon corps pendant des lunes.
J’avais pu me regarder dans un miroir et là, un véritable choc. J’avais de longs cheveux bruns qui descendaient à hauteur d’épaules et d’étranges cicatrices sous les yeux. Je n’ai jamais su les expliquer et elles sont encore là aujourd’hui. Mes lèvres s’étirent pour former un demi-sourire. Je reprends mes notes.
Les jours qui ont suivi j’ai été testé et évalué, aussi bien physiquement que psychologiquement. Étrangement, malgré des lunes passées sous terre, j’ai été en pleine forme après une bonne nuit de sommeil. Je n’ai jamais été troublé par des rêves ou des cauchemars. Au bout de quelques semaines, j’ai même été évalué comme apte à devenir soldat. C’est ce que je voulais le plus au monde. Je voulais rester dans cette caserne et me forger une nouvelle vie. Je n’avais même pas envie d’essayer de repenser à l’ancienne et aux circonstances qui m’ont entraînées vers la mort. On m’a vaguement ressorti l’affaire du meurtre de Kathemia et Nikolaos Lehnsherr, par un certain mercenaire nommé Inaros, mais je n’ai même pas de désirs de vengeance. J’ai même l’impression que j’ai toujours voulu être garde, alors pourquoi gâcher cette chance en courant après un fantôme ? En plus, des souvenirs que je possède de mon enfance, cette Kathemia était une mère indigne et me frappait. Ce mercenaire m’aura sûrement plus rendu service qu’autre chose.
Mais une multitude de questions demeurent encore sans réponse à ce jour. Pourquoi ne suis-je pas resté mort ? C’est étonnant, non ? Un macchabé qui revient à la vie, on ne lit ça que dans les contes horrifiques. Certains pensent que c’est mon pouvoir, d’autres une manifestation divine. Moi, je préfère ne pas y penser non plus. Il n’est pas question que j’essaie de me donner la mort pour prouver que c’est mon pouvoir et, si c’est Lucy qui m’a jouée des tours, je ne vois pas pourquoi elle aurait perdu son temps à faire de moi un rescapé après un an et huit lunes passé sous terre.
Je m’arrête d’écrire et je lis attentivement mon dernier paragraphe. J’ai écrit une multitude de questions alors que c’est la seule. Je me corrige.
Mais une
Satisfait, je finis par ranger mes affaires. J’ai assez ressassé le passé pour ce soir. Je rejoins la chambre où je loge dans la caserne de la Capitale, regagnant discrètement mon lit en essayant de ne pas réveiller mes compagnons d’armes. Une fois que ma tête est posée sur l’oreiller et que j’ai remonté la couverture sous mon menton, je réfléchis au grand voyage qui m’attend le lendemain.
Demain, je pars pour le Village Perché. J’ai été affecté à un nouveau régiment, pour mon plus grand plaisir. Ils m’ont dit que ma formation était terminée. Ici, quelques gardes ne m’apprécient pas trop, je le vois dans leurs regards. Ils se demandent ce que je fais là et ils me prennent même pour un menteur, insinuant que j’aurais pris une potion d’oubli pour abandonner toute ma vie passée et pouvoir en recommencer une sans payer mes crimes. Pourtant, je n’ai pas la sensation d’avoir du sang sur les mains et d’être quelqu’un d’honnête. Je pousse un petit soupir en me tournant sur le côté. Ceux qui pensent que je suis un baratineur ne sont qu’une minorité et, au Village Perché, personne n’aura entendu parler de cette histoire. Je pourrais leur prouver ma valeur et ma droiture sans qu’ils aient d’a-priori sur moi.
Mais, il y a aussi autre chose. De tous mes lointains souvenirs, il y a un nom qui est resté gravé dans ma mémoire. Violette Lehnsherr. Je sais qu’elle est vivante et qu’elle est ma sœur. Avec ma formation, je n’ai pas pu essayer de la chercher. Peut-être qu’un jour, quand j’aurais du temps, je pourrais essayer.
Peut-être qu’un jour, je reconstituerai le puzzle entier de ma vie.
Mais, pour l’heure, il est temps de dormir. Demain, ma nouvelle vie au Village Perché débute et j’ai la chance de pouvoir faire ce que je pense avoir toujours voulu faire.
Quelques mots sur toi
Pseudo : Neylic & anaéL
Vous devez bien nous connaître à force :angrydog:
Si tu avais un seul pouvoir IRL ça serait quoi ? ZA WARUDOOOOOO
Si on te parle d'histoires fantastiques, d'invocation ou de réincarnation dans Aryon...
Est-ce que ça te plairait d'être incarné dans ton personnage ? Euh… Non :pausechamp:
Quelle serait la première chose que tu ferais ? On sait pas :angrydog:
Côté HRP
Double compte ?
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Comment as-tu connu le forum ? Avant ou après le ghost ?
Un truc à rajouter ? :angrydog: :balthazar:
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[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]SHINGEKI NO KYOJIN[/b], Eren Jäger @"Nikolaos Lehnsherr"
![Tasyaen Orenffield](https://pile.randimg.net/3/47/199296/Tasyaen.png)
Trop bien !
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![:mus:](/users/4116/19/19/77/smiles/2260000240.png)
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Re bienvenue !
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Rebienvenue ou bienvenue ou whatever
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Vous connaissez la chanson, pas besoin de dire quoi que ce soit, vous avez déjà les clés de la maison !
Tout a l'air correct sur ta fiche, il ne manque plus que le passage d'un administrateur pour te donner la couleur et l'accès au forum ! Tu n'as plus rien à faire, il devrait passer d'ici peu pour t'ajouter tout cela !
Tu peux d'ores et déjà commencer à poster ton journal de bord si tu veux un peu t'avancer ou rechercher des partenaires des RPs dans la section de recherche, cependant merci de ne pas en commencer tant que tu n'es pas officiellement validé !
Pour toute question, n'hésite pas à contacter le staff et en tout cas, bienvenue sur le forum !
![Luz Weiss](https://pile.randimg.net/3/51/200390/quotidien.png)
![ow](/users/4116/19/19/77/smiles/3516117240.gif)
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire ! Tu peux aussi demander une chambre à la CASERNE.
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil et les liens vers ta présentation et livre de bord dans le champ contact !
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