Nom Gatza

Prénom Hals

Surnom Iggy, c'était son prénom à l'orphelinat, sa fratrie et ses proches l'utilisent parfois.

Age Même si ça ne se vois pas, il arrive à ses 45 ans, son hybridation fait des miracles sur son apparence.

Sexe Biologiquement c'est complexe, les joies de l'hybridation on dira. Sur les papiers officiels de l'adoption c'était écris masculin par défaut.

Groupe Noble

Métier Juge

Arme de prédilection La justice et le karma.

Funfacts Il a une passion dévorante pour les œufs depuis toujours. Enfant il parlais peu à cause de ses sifflements. Ce qu'il appréciais particulièrement pendant ses années dans la garde était les courses poursuites juste pour le plaisir de faire du parcours et avoir un payement pour cela.


En quelques mots...
Orphelin ayant fait partie d’un gang de pickpockets avant d’être adopté par un couple de nobles.
Ancien garde, en service pendant 25 ans en constant mouvement de régiment
Juge tout nouvellement en service, en pleine mise en place d’un système de jugement plus impartial et basé sur des travaux d’intérêts généraux.

Préfère écrire que parler à cause de son élocution sifflante. Comprendre il préfère les correspondance de base, une fois devant une personne il parle, juste il vas éviter de déblatérer pour ne rien dire.
Crois aux secondes chances, même si après beaucoup de chance donnée déjà.
À une sainte horreur, des injustices dues ont une différence de moyen financier.
Particulièrement sarcastique avec les gens.
Aime beaucoup faire du parcours ou faire simplement de l’escalade qu’importe le support de base.
Ne considère pas avoir de genre défini, mais par confort se laisse genré à la convenance de son interlocuteur.
Continue à s'entraîner quotidiennement pour ne pas perdre sa masse musculaire gagnée pendant ses années de service à la garde.

Nom du pouvoir Iguanard siffleur

Catégorie Pouvoirs et changements physiques


Fonctionnement du pouvoir
Pouvoir de type passif.

C’est une hybridation avec l’iguanard siffleur de genre féminin visiblement.

Il n’a pas de peau, mais de fine écaille qui recouvre son épiderme d’une couleur légèrement bleutée, sous ses yeux certaines écailles sont plus foncées et forment des motifs. Ses écailles ont exactement la même résistance que la peau, il n’y a aucun poil qui pisse dessus à l’exception de ses cheveux et sourcils. La sensibilité de cette dernière est plus forte que la peau humaine, ce qui est assez désagréable pour trouver des vêtements confortables spécifiquement pour lui.

Ses doigts ont la particularité physique d’être comme ceux des geckos capables d’adhérer à toutes les matières. Ce qui est très pratique pour grimper ou faire les poches des passants quand il pratiquait encore ses deux activités régulièrement.

Deux cornes recourbées d’une trentaine de centimètres, ainsi qu’une queue d’une fine queue mobile d’une cinquantaine de centimètres sont présentes comme des excroissances de son corps. Les cornes sont complètement insensibles au niveau du toucher. La queue donne un équilibre à Hals dans ses mouvements, elle est aussi extrêmement sensible au toucher.

La langue fendue en son bout au début et particulièrement efficace pour produire des sifflements. Dans sa diction quotidienne, cela signifie qu’il siffle régulièrement dans certains mots ou entre les phrases, ce qui est particulièrement agaçant même pour lui pour avoir une discussion sérieuse avec quelqu’un.

Il a la magnifique particularité d’avoir le sang froid des reptiles et donc est particulièrement sensible au changement de température, surtout quand celle-ci descend.

Ses ongles poussent plus rapidement que la moyenne pour donner des griffes, celles-ci sont taillées régulièrement.

Pour ses sens il y a aussi son odorat qui est plus développé que celui d’un être humain classique, dans le sens qu’il sent les phéromones en plus des odeurs dites classiques.

Il n’a pas de force physique ou endurance plus importante par son hybridation. Par contre il fait beaucoup plus jeune que son âge avec son hybridation et il est fortement possible que son espérance de vie sera plus grande que celle des humains de manière naturelle.

Biologiquement cela a rendu Hals stérile et physiquement c’est complexe.

Qualités Idéaliste - Curieux - Sportif - A l'écoute - Inventif

Défauts Têtu - Franc - Sarcastique -Bordélique - Profiteur


Physique et mental
Physique

Sa peau est en réalité recouverte d’écaille, de couleur légèrement bleutée, sa seule pilosité sont ses sourcils et ses longs cheveux noirs lui arrivant au bas du dos qu’il nous le plus souvent en tresse. Ses cheveux bouclent facilement ce qui est un enfer quand le temps est humide pour les coiffer convenablement. Il a des yeux d’un très beau violet.

Il mesure 2 mètres de haut, sans compter ses cornes ou sa queue. Il a deux cornes recourbées d’une trentaine de centimètres, ainsi qu’une queue d’une fine queue mobile d’une cinquantaine de centimètres sont présentes comme des excroissances de son corps. Sa morphologie est assez pauvre en graisse et il a la musculature d’une personne appréciant pratiquer l’escalade de manière régulière en prime avec toute l’endurance et agilité qui va avec en prime, en plus d’une vingtaine d’années de service dans la garde sur le terrain et non derrière un bureau.

Il a une voix assez sifflante, littéralement, sa langue coupée en deux semble être spécialement faite pour faciliter ce genre de bruit. Son élocution compliquée par cela il évite de monter le ton et a tendance à faire des phrases assez directes et précises, même s’il glisse quelque pique dedans régulièrement. Dans ses autres particularités physiques, il y a ses ongles qui poussent en griffe qu’il taille régulièrement.

Au niveau du style vestimentaire, il porte seulement des vêtements sur mesure pour s’adapter à son hybridation, de bonne facture et le plus sobre possible. Il n’a aucune envie de jeter son argent aux yeux des passants et cherche avant tout des tenues pratiques où il pourra se mouvoir facilement.

Mentale

Utopiste. C’est le terme qui va le mieux à Hals. Il a toujours sa vision du monde et veut que ce dernier tourne dans ce sens là. Il a été en bas, puis en haut, connais la différence de traitement, mais voudrait pourtant que tout le monde ait le même traitement. Qu’importe le statut social, le genre, l’âge, le pouvoir, l’ensemble d’une personne tout simplement.

Il sait avoir eu de la chance pour en être là où il en est, il est très reconnaissant à Lucy pour cela. Même s’il se doute bien que tout ne vient pas de là, elle reste un facteur qu’il pense avoir été important dans sa vie. La raison aussi pour laquelle il souhaite offrir le plus de chance possible aux gens pour qu’eux même puissent changer leur destin de base.

Même s’il préfère échanger par lettre que parler directement à des gens à cause de ses soucis d’élocution, un de ses petits plaisirs est de faire des piques sarcastiques quand c’est possible. Il reste très à l’écoute de ses interlocuteurs, mais on s’amuse bien chacun à sa façon. Surtout quand il est persuadé d’avoir raison, en bon têtu il ne lâchera pas une affaire avant d’avoir eu exactement ce qu’il souhaite.

Qu’importe la situation, il cherchera toujours à voir là où il pourra tirer un avantage. Si un quiproquo peut lui apporter quelque chose à aucun moment il n’hésitera à l’utiliser, sans la moindre honte plus tard quand ça sera dévoiler l’origine de tout. Ses convictions et actions passent avant l’intérêt des autres. Il sera toujours très franc dans ses propos, mais ça ne le rend pas moins ambitieux.

L’organisation est tout sauf son point fort et il a tendance à perdre des choses avant de les retrouver à des endroits improbables et trouver cela parfaitement normal. Tout comme il ne s’organise jamais vraiment à l’avance et semble tout faire au jour le jour, comptant beaucoup sur sa spontanéité pour gérer les situations plus ou moins cocasses.

Il fait prendre d’inventivité pour tenter de trouver des peines pour les criminels qu’il condamne. Sa manière de condamné étant basé plus sur des travaux d’intérêt général en lien avec le crime commis pour servir d’exemple pour les gens autour, de leçon pour la personne qui a commis le délit ainsi que de chance de réinsertion en prime le tout sans faire grossir le nombre de personnes dans des cellules ou envoyer à l’exil de base.

Il reste très sportif et quand c’est possible il continue de faire de l’escalade ou du parcours, que cela soit en ville ou en pleine nature. La sensation qu’il a en étant en hauteur lui fait toujours énormément de bien, comme s’il était complètement libre.

On passe par plein d'identités dans notre vie. Ce n’est pas toujours des choses immenses. Suivant la période de notre vie, on est des gens un peu différents parce qu’on a vécu des choses différentes. Il y a une base qui reste, mais qui évolue toujours un peu plus. Même avant de mettre le nez dehors.

Trésor.

C’est comme cela que sa génitrice là nommée au début. C’était un trésor en même temps, elle venait d’apprendre qu’elle était enceinte de l’homme qu’elle aime et avec qui elle avait une relation depuis un moment. Bon, certes, ils étaient tous les deux dans une situation précaire, ils n’en avaient jamais parlé, ils ne voulaient pas financer de simples bagues contre-mouflet trouvant toujours quelque chose qui avait plus d’intérêt sur le moment, comme une fumette sympathique à consommer à deux on va dire pour simplifier les choses.

On lui avait vendu l’expérience comme quelque chose de génial d’avoir un enfant en même temps. À son géniteur aussi. Vraiment, au moment de la découverte, c'était un pur bonheur. Ils rentraient dans le beau moule idéal d’une vie de famille classique. À quelques détails près. Beaucoup de détails près. Énormément de détails qui n’étaient plus du tout des détails à force.

Parasite.

Celui-là de sobriquet il l’avait eu des mois après l’annonce. À un moment de doute dans le couple. De couple tellement intense que ton géniteur a préféré fuir en quête. Enfin, en quête, c’était ce que certaines disent, mais bon, il n’était pas aventurier pour un cristaux et la voisine semblait surtout une aventure plus intéressante que sa compagne grognon avec un ventre couvert de vergeture. Détails on a dit.

Magie ou non, c’est trop tard pour arrêter l’aventure, même si on est seul à bord. Dommage parce qu’elle aurait bien voulu, mais tous les médecins qu’elle a pu voir avec ses faibles moyens lui ont bien expliqué qu’elle mettrait sa vie en danger à vouloir se débarrasser de l’enfant maintenant. Du coup, il est devenu un parasite désagréable dont elle sentait tout son poids à chacun de ses mouvements. Même quand le géniteur revenu de sa quête bredouille et la queue bien bleue entre les jambes, le surnom est resté.

Monstre.

Celui-là il a été donné par ses deux géniteurs en le voyant sortir. Déjà qu’un bébé à la naissance ce n’est pas ce qu’il y a de plus glamour, un petit hybride qui a des bouts de corne qui blesse au passage et une couleur tout sauf conventionnelle ce n’est pas bien passé du tout. Le guérisseur aidant à l’accouchement a été assez désolé pour l’enfant de voir une réaction de dégoût aussi prononcé à la première approche. Il fut encore plus sur le cul quand le couple prend la poudre d’escampette en lui laissant le petit. Enfin, il avait mis le, mais son hybridation laissait des doutes. Être un garçon sur les papiers serait certainement plus simple.

Seulement voilà. Le guérisseur était une personne très gentille, qui aidait les personnes dans le besoin sans forcément demander un grand payement, mais il n’adoptait pas tous les enfants qu’on lui laissait en fardeau. Oui, c’est moche, mais ce n’était pas son coup d’essai pour l’expérience. Malheureusement. Il contacta lui-même l’institut « Les petites pattes », un orphelinat qui s’était spécialisé dans le fait de recueillir des hybrides. Sinon sachez que ses géniteurs ont eu une très belle histoire ensemble suite à cela et une merveilleuse famille de trois enfants, c’est simplement comme si toute cette première grossesse n’avait jamais eu lieu. Tant mieux pour eux.

Iggy.

Il était un hybride iguanard siffleur, le directeur de l’établissement trouvait que du coup ça se passait bien pour lui. Tout simplement. Son enfance dans ce lieu est assez simple. C’est un endroit avec pas beaucoup de moyens, mais qui tente de faire de son mieux. Il était une quinzaine d’enfants de manière plus ou moins permanente, assez peu d’adoption. Pas de mauvais traitement, principalement des bénévoles en gardien. Un endroit qui ressemblait plus à un dortoir où on laissait les enfants faire ce qu'ils souhaitaient du moment qu’ils suivaient les cours obligatoires pour ceux en ayant.

Parmi les bénévoles présents, il y avait certains recruteurs de petite bande locale. Des voleurs à la tire où avoir de la main-d’œuvre enfantine, influençable et sans attache plaisaient bien. C’était pas comme si c’était du grand banditisme ou si des maltraitances étaient faites aux enfants. On les faisait glisser sur une mauvaise pente, mais bon, s’il y avait eu plus de moyens dans l’établissement il y aurait certainement d’autres solutions, en tout cas c’était l’avis du directeur des lieux qui fermait les yeux sur cela contre l’aide donner à faire que le lieu reste en bon état. C’était un échange de bons procédés.

Il avait été repéré pour les magnifiques propriétés de sa peau. Avec les doigts qui accrochent facilement, aide à faire les poches des gens. Bon, il n’était pas des plus discret avec son physique, mais on ne pouvait pas tout avoir. Ça permettait d’avoir de belles récompenses, des œufs succulents, donc il avait suivi le mouvement. Quand on n’explique pas à un enfant que ce qu’il fait est mal, comment est-ce qu’il peut le deviner ?

Hals.

Là pour le coup ce fut une belle ironie du sort. Il avait tout juste 9 ans, il fait les poches d’un couple de nobles au marché et il avait été pris la main dans le sac. Littéralement. C’était l’homme qui l’avait eu pour le coup. Ils les avaient regardés un long moment sans savoir comment réagir. Ce n’était pas la première fois que cela arrivait, mais ça ne changeait rien que l’enfant ne savait jamais comment réagir. Il n’avait que 9 ans bordel. Il les fixait simplement. Eux aussi. Ça avait été un moment qui lui avait semblé infiniment long.

La suite est un peu floue dans son esprit. Tout ce qu’il se souvient parfaitement c’est être dans le bureau du directeur de l’orphelinat, avec ce couple, et que des papiers pour son adoption et changement de son prénom et nom était en train d’être fait. Visiblement le couple cherchait à adopter un nouvel enfant, il en avait déjà quatre à leur actif, et avait vu cette rencontre comme un signe de Lucy pour qu’il soit le cinquième petit de leur famille.

C’était une famille noble de bas étage, avec de l’argent, certes, une magnifique affaire de diverses plantes thérapeutiques à fumer, mais rien qui brille vraiment en société. Pas des gens méchants, juste en recherche de notoriété et qui n’avaient pas les capacités d’avoir leurs propres enfants. Hals avait assez rapidement sympathisé avec sa nouvelle fratrie, bien plus qu’avec ses parents adoptifs. Même s’il était petit, une part de lui faisait bien plus confiance en des enfants que des adultes. Normal d’une certaine manière.

Garde.

Même s’il avait une tête assez humanoïde pour bien être présenté en société ce n’était clairement pas lui qui aura l’héritage. Ça lui va. En soit il a pas mal d'avantage à être dans cette famille noble, dont une meilleure éducation et surtout des repas bien plus copieux ainsi que tout le confort qui va avec. Comme il n’était pas l’héritier et qu’il fallait savoir où le placer, il fallut creuser un peu.

Une de ses sœurs allait devenir sœur de Lucy dans l’espoir de devenir prêtresse un jour possiblement. Un de ses frères avait suivi une formation en commerce pour initialement aider au commerce de la famille, mais finira plus tard par plus travailler dans le marché noir qu’autre chose. Sa seconde sœur visait une carrière artistique, ce fut dans la poterie, cela lui permis de rencontrer sa moitié pour filer une vie de femme au foyer calme et tranquille exposant quand ça lui plaisait. Et le dernier de ses frères, nous l’avons dit, deviendra l’héritier en titre et gérera l’entreprise familiale. Toute sa fratrie eut assez de facilité à choisir leur voix de base. Hals restera, encore à ce jour, en très bon terme avec tous.

Tout cela pour dire que pour lui, sa famille tente l’expérience de la garde. Une très bonne expérience au demeurant parce que la justice fut quelque chose qui toucha beaucoup l’hybride qui y mit le plus d’efforts possible dans cette optique. Tellement d'efforts qu’il y consacra 25 ans de sa vie une fois sa formation à l’académie terminée. Oui, il fut garde de ses 16 ans à ses 41 ans sans jamais monter en grade et en crapahutant de régiment en régiment. Seulement voilà, ce n’était pas cette justice-là qui l’animait vraiment.

Juge.

Nous arrivons à maintenant. À savoir que sur la fin de sa carrière de garde il avait repris ses études en plus de son service pour changer de voie professionnelle, ce n’est jamais trop tard et surtout quand on a les moyens c’est possible. Même si la justice qu’offre la garde est quelque chose qui lui tient à cœur, le traitement des criminelles n’était pas dans le sens de ses convictions personnelles.

Il manquait de possibilité de seconde chance à son goût. Un équilibre pour avoir un même traitement, quels que soient les moyens des condamnés. Une prise de conscience par l’effort plus que par la réprimande. Une envie de changer le système en profondeur même si cela prenait du temps. C’est avec cette optique qu’il a voulu devenir juge. Il lui a fallu 3 ans après son départ de la garde pour être enfin nommé à son poste.

Son objectif est de devenir juge royal, mais déjà être juge c’est bien. Il est donc là, depuis moins d’un an à avoir pris ses fonctions et doucement mettre en place des peines de travaux d’intérêt généraux. Sa manière de condamné étant basé plus sur des travaux d’intérêt général en lien avec le crime commis pour servir d’exemple pour les gens autour, de leçon pour la personne qui a commis le délit ainsi que de chance de réinsertion en prime le tout sans faire grossir le nombre de personnes dans des cellules ou envoyer à l’exil de base.

Les secondes chances sont importantes. La chance de base est importante. N'est-ce pas ce qu'enseigne Lucy de base ? Tellement qu'un élément majeur de changement arrive basé là encore sur de la chance.

Empyrée. La fin de l’exil. La possibilité de peut-être encore plus changer les choses. En plus la ministre de la Justice semblait allait dans le sens de l’abolition de la peine de mort qu’était l’exil, dont c’était maintenant qu’il fallait agir.