HENDRICK KAVKA
Sexe :
Surnom : Le fou.
Groupe : Aventuriers.
Spécialité : Chasseur (de monstres) & Attaquant.
Orientation sexuelle : Hétéro.
Particularité : Sa grosse balafre qui lui barre la gueule.
Métamorphose en Dragon
Son caractère de détraqué lui permet peut-être de garder sa conscience lors d'une transformation totale, mais cet état de fait ne dure qu'un laps de temps court (la métamorphose étant extrêmement énergivore) et l'après transformation le sape de toutes ses forces, le forçant à garder le lit pendant deux à trois jours entiers, inévitablement.
Il peut voler, communiquer éventuellement avec des dragons (s'il en croise) et cracher des flammes dévastatrices en plus de bénéficier d'une force conséquente et d'une peau écailleuse ignifuge et très résistante. Comme n'importe quel autre dragon, en somme.
Taille : 2m et des poussières. Poids : Plus de 125 kg. Un tas de muscles. Armoire à glace. Yeux : Rouges. Cheveux : Rouges. Longs et presque toujours en queue de cheval. Style vestimentaire : Comme un aventurier lambda, même s'il lui arrive d'être généralement recouvert d'un grand manteau noir à capuche. Divers : Traits bruts, peau légèrement mate et couverte d'estafilades en tout genre et une grosse balafre qui lui barre la gueule. Quasiment un gros trou qui laisse entrevoir sa mâchoire. Comment j’suis ? J’t’en pose des questions moi ? Mais j’suis d’bonne humeur. J’vais te répondre gamin ! Ouvre bien tes esgourdes et note, ça s’reproduira pas deux fois ! Déjà, soyons clairs : J’ai la gueule d’un profond connard et j’le suis réellement. Comptez pas vraiment sur moi pour que j’sois un modèle d’vertu parce que j’étais un jour un lieutenant d’la garde civile bien sous toutes ses coutures. J’suis qu’un putain d’aventurier dorénavant hein ! D’ailleurs, j’pense remplir mon rôle au poil puisque j’sers cette faction d’merde à merveille avec la dévotion qu’il faut et une ardeur inégalée au taf vu même qu’il m’arrive très souvent d’répondre présent lorsqu’il y a des quêtes périlleuses. Et puis, faut dire c’qui est, p’tit con : C’est pas trop ma faute si j’ai envie d’violer, torturer et tuer tout c’qui passe sous mes yeux d’façon ignoble. Mais comme on peut pas trop s’laisser aller dans c’royaume d’abrutis, j’me suis mis volontiers à crever les sales bestioles l’coin… Histoire d’compenser et m’canaliser quoi. Voyons l’bon côté des choses comme on dit. Sinon que j’suis généralement un putain d’salaud à t’faire des coups d’pute quand tu t’y attends l’moins. C’est rigolo d’ailleurs, les coups tordus pour l’fun. Sur ma sale gueule et j’sais que tu l’penses que j’ai une sale gueule, tu verras toujours d’gros sourires malsains/railleurs. J’suis également désinvolte. Paresseux aussi, surtout quand on parle d’paperasse –ce pourquoi j’ai pas hésité à être lieutenant dans l’temps plutôt que gratte-papier mes couilles. Mes manières sont carrément celles d’un gros rustre, surtout quand j’suis en colère ou quand ça parle d’cul. Du reste, j‘suis plutôt direct/franc dans tout c’que j’entreprends. Et avec le sourire. Toujours. Tant pis si ça énerve. C’est pas comme si j’en avais grand-chose à foutre. Pis, j’te l’dis gamin : C’est toujours marrant d’pousser les gens à bout. Sexiste et pervers. Un tout qui fait de moi un véritable salaud aux yeux des femmes et c’pas Riley ni Aenor qui diront l’contraire ! J’vais pas jusqu’à bomber l’torse devant une meuf bien roulée, mais j’aime bien les taquiner et pl’oter leurs formes affriolantes. M’arrive parfois même d’céder à mes pulsions sauvages et d’abuser de quelques tapins dans un coin que j’visite d’ailleurs… Mais c’est pas ma faute ! Jamais ! C’est la vie qui est ainsi faite ! En même temps, c’est pas comme si vous z’étiez pas prévenues ! Quand une femme m’plait, bourge ou bledarde (m’en bas les steaks d’la provenance) j’lui fais du rentre-dedans et quand y’a aucune conclusion qui m’est favorable, j’hésite pas à la viol… Euh à la soumettre j’veux dire. Quoi ? Comment ça y’a pas de différence, putain ?! Tu veux mon poing dans ta tronche, p’tit con ?! Et puis bon… Si la meuf peut plus s’asseoir pendant deux semaines après ça, l’aura qu’à s’en prendre à elle-même hein… Bon ouais, j’ai pas que des défauts, p’tit. J’suis plutôt un bon vivant. Un bon vivant j’te dis. Hormis défoncer la gueule des gens, j’aime faire la fête, boire et draguer, m’amuser en gros, mais que dans les coins d’mon milieu, faut pas déconner non plus. J’ai beau tuer, truander que j’suis pas pourri jusqu’à la moelle épinière et j’te jure sur la tête d’ma daronne que j’mytho pas. Bon d’accord. J’suis sadique, parfois très violent et assez imprévisible mais on a vu pire hein ! Preuve en ait qu’il peut m’arriver d’me greffer dans une équipe d’aventuriers quand la quête s’annonce chaude. En fait, j’suis beaucoup plus agréable qu’on l’pense, surtout quand une personne en vaut la peine. J’peux même aller jusqu’à aider. Mais faudrait pas abuser des rares moments où j’suis de bonne foi. Parce qu’une fois que j’sais que vous vous foutez d’ma gueule… Ouais, non, en fait, j’vais fermer sa gueule. J’te dirais plus rien. Tu m’découvriras par toi-même p’tit, huhuhu ! |
Histoire
Nan en vrai, j’ai évité ce cliché vu et revu. Tout du moins au niveau des darons, on s’entend. Pour la misère, ça a pas loupé...
J’ai pas eu une enfance facile. T’as beau avoir une famille aimante, que ça fait pas tout, surtout quand t’as l’bide qui gronde tout l’temps parce que tu peux pas bouffer à ta faim. Mes vieux n’étaient pas méchants, mais j’avais pas forcément été gâté. La daronne était une femme bien dans ses bottes, droite, qui essayait de m’inculquer toutes les valeurs qui feraient d’moi un brave zig. Sauf qu’elle était d’constitution fragile. Maladive comme jamais. Fragile à souhait. L’vioque n’était pas non plus un mauvais bougre, sauf qu’il savait pas faire grand-chose d’ses dix doigts. Même la garde l’avait recalé pour incompétence et il avait fini par devenir aventurier par défaut. Mais là encore, il était pas très doué et lui arrivait d’faire d’longues périodes en dehors d’la capitale avant d’revenir avec d’maigres économies. Pas vraiment glorieux pour un père d’famille. D’ailleurs, à l’orée d’mes huit ans, l’type s’était fait lamentablement buter en cours d’mission dans la forêt du royaume. Pas bien glorieux. Les commérages racontaient qu’il s’était fait bouffer par un Basilic, mais on a jamais vraiment su l’fin fond de l’histoire. M’enfin… C’était pas comme si j’avais cherché à savoir d’toute façon. Par contre, sa mort a terriblement affecté ma mère qui était inconsolable. Une faiblesse que j’ai jamais pardonnée à mon père, du coup. Même si en vouloir à un type déjà mort, c’était pas vraiment un bail sensé, intelligent. Mais quand t’es un mioche de huit piges, hein…
Du coup, j’me suis mis à faire comme tous les gosses désœuvrés d’mon âge : A voler. Vu qu’ma mère pouvait rien faire à cause d’sa fragilité, j’avais été responsabilisé très tôt. Un peu trop tôt même. La vie dans les bas-quartiers n’pardonnait pas d’ailleurs. Malgré l’taux d’homicide relativement bas, on risquait cher quand on s’faisait prendre pour un crime quelconque. Et j’me suis fait prendre pas mal d’fois justement. Les insultes, les brimades, les passages à tabac, les intimidations et moqueries, j’dois avouer avoir tout essuyé ; et ce d’autant plus que j’étais marginalisé en plus d’tout ça : Faut dire que quand t’as la capacité d’te transformer en un dragon, quand bien même miniature, tu t’fais pas vraiment d’potes. Et de toutes les bêtes recensées par les humains, les dragons étaient considérés comme l’une des races les plus effrayantes. Rien qu’ça, oui. Ceci étant, j’avais pas trop à m’plaindre d’mon cas. J’avais pas c’loisir là. Si j’avais pas grand-chose à foutre d’mon défunt paternel qui n’avait jamais vraiment été un modèle, c’était très différent avec ma mère. J’l’aimais vraiment. D’tout mon cœur. D’toute mon âme. D’toutes mes tripes même. Et j’étais prêt à tout subir rien que pour voir son sourire, l’entendre m’complimenter, m’conseiller. Avec l’recul, j’crois que c’est bien c’qui maintenait ma santé mentale clean. N’importe quel enfant dans mes conditions aurait complètement craqué. Et il y avait de quoi craquer en vérité…
A mes treize ans, j’ai eu la malchance ou plutôt la chance d’pouvoir voler un mec plutôt bien friqué. Enfin, j’ai pas échappé bien longtemps à c’gars et lui avait fallu moins de deux à trois minutes pour me maitriser comme jamais auparavant, alors qu’avec l’âge, j’avais gagné en taille, en masse, en espièglerie et tout c’qu’il fallait pour faire d’moi un bon voleur. Impressionné par mes talents bruts, l’homme plutôt que d’me bastonner à mort me proposa un deal : M’former à la garde. Il aurait pu effectivement m’faire tout c’qu’il voulait, mais c’type qui était en fait un vieil instructeur d’la garde civile, avait su voir en moi les capacités d’un bon futur garde. Avec les réflexes et la ténacité dont j’avais fait preuve, il n’avait aucun doute. Sauf que j’l’ai envoyé chier. Tout c’qui était en relation avec la royauté, les riches tout ça, c’était pas trop ma came. J’avais trop souffert pour adhérer aussi facilement à ce pont en or. D’quoi amuser ma cible qui m’laissa filer avec son fric. Sans que j’comprenne pourquoi d’ailleurs. Néanmoins, il était revenu un mois plus tard à la charge : Par on n’sait quel coup, il avait réussi à savoir où j’habitais, à s’entretenir avec ma mère toujours scotchée au lit et à avoir son aval pour m’ramener avec lui à la garde. Sans mon consentement. Evidemment que j’avais gueulé. Que j’lui avais même balancé tous les objets qui m’étaient passé entre les mains. Mais ledit instructeur m’proposa encore une fois un deal : Offrir à ma mère des soins et du fric.
D’quoi m’calmer instantanément. Et m’faire rapidement acquiescer. Pis, tant qu’il avait la bénédiction d’la vieille hein…
C’est donc ainsi que j’me retrouvai à l’internat d’la garde. L’petit pouilleux des bas-quartiers côtoyait des gens d’la haute et d’la moyenne classe. Y’avait bien des chiens galeux comme moi issus des bidonvilles, mais nous étions rares. En sous-effectif, si on peut l’dire ainsi et la raison était simple : Dénicher des gars comme moi, c’était pas forcément évident. Il fallait trainer dans nos quartiers et c’était pas vraiment une joie pour la plupart des gardes d’faires des rondes dans ces zones délaissés. Mais là n’était pas l’plus important. L’plus important, c’était ma formation et elle n’fut pas d’tout repos. Néanmoins, contrairement aux gosses d’riches qui voulaient faire carrière dans l’armée et assumer des postes à responsabilité, j’avais pas tant d’mal à m’faire à cette vie : Récurer les chiottes, faire la plonge, bouffer peu, s’entrainer dur et tous les jours, c’était pas très éprouvant pour une personne qui avait passé sa vie à courir avec un butin d’peur d’se faire rattraper et s’faire casser la gueule. Bien entendu, il arrivait d’me faire bolosser par ces mêmes idiots qui m’traitaient d’racaille et d’lie d’la populace, mais j’en avais pas grand-chose à foutre. J’étais là pour un but : Devenir un garde, rembourser mon « mentor » et subvenir moi-même aux b’soins d’la daronne. Pourquoi rembourser mon mentor ? Parce que c’dernier avait fini par m’expliquer qu’il avait vécu la même misère que moi et qu’il avait bénéficié tout comme moi d’une main tendue un jour.
D’quoi forcer mon respect et surtout mon admiration pour cet homme. Jean qu’il s’appelait.
L’seul truc qui m’faisait bien chier, c’était la discipline. Mais l’vieux Jean me l’inculqua à coups d’sermons et d’tatanes bien senties. Il fit en sorte d’m’apprendre également à lire, à écrire et surtout à éveiller mon esprit comme n’importe quel type sensé qui avait reçu une éducation récente. L’tout a pas été facile, j’vous avoue. Pour lui comme pour moi. Mais les années firent leurs œuvres et j’devins finalement un gars somme toute correct. Et surtout un garde. Un membre officiel d’la garde ! A dix-huit piges ceci dit. Parce que savoir taper c’est bien, mais niveau rigueur, discipline et intellect, il m’avait fallu un p’tit moment quand même pour gérer tout ça. Tu parles d’une lumière, j’te jure ! Cette promotion aussi minime soit-elle m’emplit d’joie et d’fierté tant et si bien que j’voulus l’fêter avec ma mère. Mais en rentrant chez moi, chez nous, j’tombai sur un corps inerte, immobile, pâle, froid. Mort. Elle avait clamsé. Comme ça. Sans raisons. L’vioque qui était venu avec moi dépêcha un guérisseur chez nous, mais rien n’y fit. La maladie l’avait définitivement emporté alors qu’il y avait eu du mieux ces dernières années. Incompréhensible. Impensable. Fou. Brisure. Cette perte m’déchira quelque part et brisa un quelque chose en moi. Jean l’sentit très vite et m’apporta tout son soutien en tant que mentor, mais surtout en tant que père d’substitution. Il voulait pas m’voir vriller et s’évertua à faire l’garde-fou et à m’foutre sur l’droit chemin quand j’deviais dangereusement…
Oui parce que j’devenais un garde violent. Hargneux. Sanguin. Surtout avec mon pouvoir qui faisait d’moi une vraie bête d’puissance au fil du temps. Dragon. Un vrai dragon. Promis à un bel avenir. Commandant qu’on m’disait. Et l’objectif n’était pas pour m’déplaire. L’affection et l’amour que j’avais pour ma mère s’reportèrent vers Jean. Faire sa fierté était devenu l’un d’mes motto. Faire comme lui aussi, à savoir dénicher des talents dans les bas-quartiers m’tenait à cœur. Mais il m’fallait du grade pour ça. D’la marge. Alors j’cravachai dur. Sans relâche. J’me fis un nom auprès des miens et des contacts un peu partout, si bien que j’devins au fil du temps un exemple pour mes pairs mais aussi pour les jeunes générations. Au bout d’trois ans d’bons et loyaux services, on m’octroya l’grade d’lieutenant. Avec un peu plus d’pouvoirs et d’considérations, j’pus alors, petit à petit, recruter des gosses dans les bas-fonds et aussi faire mon job comme il s’le devait. J’devins irréprochable et j’constituais même un bon parti pour moult femmes qui voyaient en moi un futur commandant. Pour beaucoup, j’étais bien parti pour. Cependant, c’était sans compter la malice de Lucy et le côté facétieux ou plutôt impitoyable du destin : Lors d’une mission conjointe avec Jean qui approchait d’la retraite d’ailleurs, nous tombâmes sur un changelement près d’une grotte. Le dénouement fut terrible : Une balafre à vie pour bibi et la mort d’un nombre important de gardes…
Dont Jean…
Sa perte acheva d’briser tout c’qu’il avait d’humain en moi ; et ce d’autant plus que ses funérailles ne furent pas à la hauteur du personnage. Peu d’hommages, peu de reconnaissances, pas grand-chose pour cet ancien garde qui avait pourtant tout donné. A la suite de ces déboires et plutôt impressionné par le fait que j’ai pu abattre le changelement à l’aide de quelques collègues, les hautes strates me proposèrent le fameux grade de capitaine. Cependant, contre toute attente, j’les envoyai littéralement chier. Qui avait besoin d’un cadeau sans saveur ? A la suite d’ce refus, j’vrillai complètement. L’bon lieutenant n’était plus. Sur l’terrain, j’faisais preuve d’une violence inouïe qui choquait mes pairs comme les civils ? Un simple vol à l’étalage ? Un bras en moins pour l’fameux voleur. Une agression quelconque ? L’agresseur retrouvé et passé à tabac par mes soins, parfois même jusqu’à l’article d’la mort. Bien évidemment, commandants et capitaines me remirent plusieurs fois au pas, mais j’en avais rien à branler, si bien que lors d’une énième intervention musclée qui commença à m’tailler une sinistre réputation, j’fus envoyé en cour martiale. On m’jetta bien évidemment en taule pendant trois bons mois histoire que j’me calme tout en m’dégradant évidemment. D’lieutenant, j’redevins un simple garde qui n’avait plus aucune espèce d’importance. Des décisions qui m’marquèrent si bien qu’une fois l’trimestre purgé, j’posai ma démission à mes supérieurs…
N’étant plus en phrase avec la garde et n’pouvant pas m’défouler sur les humais, j’décidai d’me réorienter…
Et faire l’aventurier était un filon tout trouvé pour moi.
Combien d’temps que j’suis aventurier maintenant ? Des années que j’compte plus, bordel !
Et si j’pouvais pas buter des humains, rien n’m’empêchait d’me défouler sur les monstres…
Pour l’meilleur et pour l’pire…
Source de l'avatar : Lo'Lo (ou Ro'ro selon les versions) de Magi.
- Code:
Pour un personnage masculin :
[color=#00cccc][size=16]♂[/size][/color] [b]MAGI :THE LABYRINTH OF MAGIC[/b], Lo'Lo @"Hendrick Kavka"
Comment avez vous découvert le forum ? C'était Aeron, ce charo !
Disponibilités : Comme d'hab. 3/7 pour le rp en lui-même.
Quelques mots sur vous ? Bleeeh.
Quelque chose à rajouter ? Enjoy !
Le roi nous fait que des perso qui ont l'air badass quand même J'adore !
Pour ton pouvoir il faudra juste que tu nous donnes quelques précisions : Combien de temps peut-il rester intangible ? L'étendre à des personnes : c'est à dire ? Jusqu'à quel point ? Et de quelle manière partielle ou complète ?
Il me faudrait aussi du coup une condition ou un contre coup pour équilibrer tout ça
Ben alors qu'est qu'on s'en fou :P
(Bon quand même)
Petit coquin va, re-bienvenue espèce de patate ambulante.
Love you bisou <3
PS: Go brûler Aniel, elle a volé ton pouvoir
Nevra > Merci !
Karly > Ah ? Tu te fiches de ton roi ? C'pas bô ça
Morticia > Le magma, y'a que ça d'vrai héhé ! Sinon ouais, ce ft. c'est définitivement un coup de coeur héhé et merci !
Athena > Eh bien, j'espère qu'il sera à la hauteur
Carci > T'auras droit à une fessée comme Lotta
Atheas > Merci beaucoup et j'ai changé de pouvoir comme convenu !
Au cas où un autre staffeux passerait par là, j'ai l'aval de la grande cheffe pour la métamorphose en dragon, pris par un membre inactif qui risque bientôt de sauter.
Fiche terminée, enfin ! Bonne lecture ! x)
On organise un rodéo à dos de dragon ?!
Bienvenue !
C'est ta faute tout ça.
Jpp de toi.
Connu. Trop connu. Mais toujours aussi appréciable
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil !
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