Sax Saw
Sexe : Féminin
Surnom : Son prénom étant trop court on aurait pû croire qu’elle en a peu, mais ayant eu beaucoup de moquerie autour de son prénom elle préfère qu’on l’appelle Dolly, sans succès d’ailleurs
Groupe : Citoyen
Métier : Serrurière
Orientation sexuelle : Elle est beaucoup plus intéressée par la romance que par le sexe. Elle crush plus sur les garçons que les filles cependant.
Particularité : Adore les journaux parlants des familles de nobles, que les informations soient vrais ou fausses.
Celle qui parle aux oreilles des portes
Bien sûr il faut certaine conditions pour qu’elle puisse établir le contact avec ces magnifiques créations.
Déjà, le contact physique est obligatoire.
Ensuite, pour établir la communication, elle devait une poser une question sans interlocuteur ou à l’objet spécifiquement. Elle peut discuter avec lui tant qu’elle ne s’adresse pas à quelqu’un d’autre.
Enfin, elle ne peut pas communiquer avec un objet avec une forme animal ou humain. Par exemple elle ne peut pas parler avec un tableau, mais si le cadre est sans toile elle pourrait lui demander s’il a vu un chien ou le numéro du coffre de l’autre.
Rien n’oblige à répondre aux questions de Sax. Il n’y a pas plus buté qu’une porte après tout !
La première chose que l’on pense lorsque l’on voit Sax pour la première fois, c’est qu’elle est une très jolie fille. Fine avec de jolie forme, un visage harmonieux, des yeux jade et une chevelure d’un roux éclatant. Toujours coquette pour ne pas dire superficielle, elle change de tenue en même temps que les nouvelles tendances. Elle semble polie, bien élevée pendant les deux premières minutes. Mais rapidement le masque se brise. Sax vit à cent à l’heure. Elle n’a pas ou peu de filtre à partir du moment où elle ne fait plus intention. Elle tombe amoureuse aussi rapidement qu’elle peut vous snober pour un mot de travers. Les idées bien arrêtée, elle est comme une tornade que l’on cherche à arrêter. Le pire, c’est que sous ses airs de pimbêche sans cervelle, elle est se trouve être très réfléchie dans ses choix. Elle a juste beaucoup confiance en ce qu’on lui confie, sans doute un reste de son éducation où il n’y avait pas à remettre en question. On réalise alors que la vraie Sax est quelqu’un qui n’aime pas qu’on lui marche sur les pieds. Malgré sa peau de porcelaine, on remarque que ses mains sont rugueuses. Sax n’est pas une noble, elle travaille d’arrachepied pour réaliser ses rêves. Elle bricole tout et n’importe quoi, c’est sans doute pour ce côté manuelle qu’elle a pu devenir serrurière. Si elle avait de plus grande ambition, sans doute pourrait-elle inventer des machines farfelue comme le peleur de pommes ou de découpe œuf. On pourrait croire que Sax est une femme de ville, mais ce n'est pas du tout le cas. Elle adore crapahuter à l'extérieur, juste pour se permettre de pester sans qu'une cuillère ou l'encadrement des fenêtres. Pourtant ce n'est pas qu'elle déteste son don, elle aime juste quelque fois se retrouver seule avec sa tête, juste pour penser à sa fixation du moment. Elle s’intéresse aussi très rapidement à des détails insignifiants. Elle est très friande des histoires d’amour et du drama en général. Cela explique sans doute son intérêt pour les familles de noble et les ragots qu’elle peut récupérer de ces meubles préférés. Elle adore d’ailleurs rôder près des demeures pour grappiller des informations et rencontre un riche héritier. A vrai dire, Sax suit son fil jusqu’au bout, quoi qu’on lui dise. Elle est pourtant une bonne amie. Toujours prête à rendre service et à se mêler de choses qu’elle ne devrait pas. Elle se retrouve d’ailleurs dans des situations loufoques à cause de cette curiosité maladive, mais avec le sourire. Elle ne se rend compte qu’après tout qu’elle va trop loin, et elle l’oublie quatre secondes après pour retomber de nouveaux dans un traquenard. Autre fait important, vous verrez systématiquement Sax tiquer au mot "Lucy". Elle a été élevé sous son dogme, mais elle a sans doute été légèrement traumatisée dans sa jeunesse. Elle lui arrive quelque fois de la prier dans les situations vraiment désespérées , et le regrettait juste après. Au final, sous ses airs de marquise, Sax n'est qu'une fille du peuple aux rêves irréalisables. |
Histoire
Aussi loin que tu t’en souviennes, la déesse Lucy a toujours été présente dans ton monde.
Déjà il y avait ton père, Frère de votre paroisse qui prêchait sa magnificence. Il y avait aussi ta mère qui chantait louange à ses égards, fidèle qu’elle était. Elle avait probablement choisi ton père pour ce charisme indéniable lors qu’il parlait d’Elle.
Mais pour toi il y avait toujours eu un goût amer en entendant son Nom.
Peut-être que ce n’était rien, cette dureté avec ton père t’élevait, pour que tu sois la plus droite possible. Les sermons sans fin avaient été ton quotidien de petite fille. Dans cette petite demeure où l’on mangeait rarement à ta faim, où ta mère te gardait près d’elle pour te réchauffer. Tu étais une petite fille éteinte, une petite marionnette qui faisait mine d’être obéissante pour être aimée de ton père.
Peut-être aussi que cette tension était un détail, que la peur qu’ils avaient en te regardant grandir, sans don encore distinct. Qu’ils étaient heureux en te voyant discuter avec ta table de chevet à tes 5 ans ! Ce fut sans doute à partir de ce jour-là qu’ils avaient été plus clément à ton égard, maintenant qu’il était acté que tu avais un pouvoir ridicule. Ta mère te raconterait plus tard la malédiction de votre famille, vers tes dix ans dans une rue de la grande ville.
Vous étiez partie toutes les deux, pour aller acheter des feuilles afin que ta mère puisse te montrer un de ses nombreux pliages qu’elle en avait le secret. Sur les pavés, une femme aux cheveux corbeaux vous faisiez fasse. Elle avait la vingtaine et avant que tu ne puisses t’exclamer qu’elle ressemblait à ton père avec cette couleur lugubre, ta mère te prit par le bras pour changer de trottoir. Tu ne compris pas tout de suite et vous dûtes rentrer sans finir vos achats.
Alors elle t’expliqua qu’autrefois, avant ton père avait « corrigé » une disciple un peu plus rebelle que les autres. A ces mots tu tremblas de peur. Les mains de ton père pouvais soigner les maux, mais elles avaient aussi le don de te faire brûler de l’intérieur, cette « contribution karmique » était ce qui l’avait fait connaître. Autant tu n’avais connaissances de ses vertus que de nom, autant tu avais déjà goûté à ces flammes bien trop souvent dans ta jeunesse. Cette disciple avait maudit ton père, et cela n’avait été que des mots en l’air, ou du moins c’étaient ce qu’ils avaient crûs.
Elle t’avoua que tu avais une grande sœur, cette dame aux allures corbeaux. Mais elle, elle n’était pas saine. Eux qui avaient tant œuvré pour Lucy, les voilà avec son Enfant diabolique. Tant d’accidents durant sa prime enfance ne laissaient nul le doute, elle était née sous l’étoile de la malchance. Ce fut pour cela qu’ils l’abandonnèrent quand tu grandissais dans le ventre de ta mère. « Car il n’y pas plus grande parjure que de vivre avec la Malchance incarnée. »
Beaucoup de choses s’expliquaient et en même temps tant d’interrogations tournoyèrent dans ta tête. Si tu avais souvent menti à ton père, ce fut la première fois que tu mentis à ta mère. Tu fis semblant de comprendre et tu accusas donc cette nouvelle sœur de tous les maux, alors que tout était la faute de ton père. Tu pouvais mettre des mots sur le malaise que tu ressentais depuis des années.
Ce fut sans doute à partir de là que tu ne crus plus en Lucy.
Lucy ne te permettait pas de vivre de ton don, qui voudrait savoir si sa chaise vous trouve trop raide ou si son bol voudrait des vacances. A la fin de l’école, tu te retrouvas sans rien. Ni vocation ni rêve, juste une famille qui tenait par sa Volonté et un abandon.
Tu pensais un moment au chemin de l’ombre. En parlant aux objets peut-être tu pourrais devenir une voleuse, au moins tu aurais de l’argent pour ne plus vivre sous le même toi que ton père. Mais il s’avérait que les serrures étaient bien trop fidèle à leur maison et les coffres s’amusaient à donner de fausses combinaisons pour tuer le temps. Puis aussi ton père en eu vent et les brûlures t’avaient dissuadée de recommencer.
Tu te retrouvas serrurière un peu par hasard, à la rencontre d’un vieux qui devint ton mentor. Alors tu commençais à changer avec l’adolescence. Même si ce n’était pas un travail très gratifiant, mais tu gagnais suffisamment ta vie pour que ton père en avait moins à en redire. Cela te donnait espoir Sax, celui de pouvoir partir. Mais tu restais pauvre et trop attachée à ta mère pour partir. Alors tu trainais dans les rues, pour savoir comment vivait ta sœur et ce qui lui a permis de s’en sortir. Tu demandais au poignet de porte et au seau et tu ne comptas pas le nombre de personne qui te prenait pour folle.
Mais leur réponse ne te satisfaisait pas, ils te disaient de faire attention, qu’elle avait rejoint la guilde mais que tous ses partenaires n’ont plus voulu d’elle. Cela t’attristait un peu. Même si elle pouvait avancer, elle semblait vraiment être seule au monde. Surtout qu’il semblait, au dire d’une roue de charrette qu’elle vendait maintenant ses services pour maudire autrui.
Si Lucy existait, elle serait sans doute une mauvaise personne.
Il te fallait une autre solution, et tu cherchas dans les destins des autres. Et une réponse unanime venait à toi, ou plutôt tu ignoras toutes les autres. Pour une femme, il fallait se marier avec un bon parti. Cela ne te semblait pas impossible et même plutôt acceptable surtout pour toi qui crushait sur la première personne un peu charismatique qui te faisait oublier ton quotidien. Bon ce n’était jamais allé plus loin que le fantasme mais cela te semblait être réalisable.
A seize ans tu commenças à faire tes recherches. Tu fouillas dans la misérable bibliothèque familiale, tu te renseignais sur ce qu’était les canons de beauté pour la noblesse. Tu travaillais sans relâche pour atteindre la beauté parfaite, toi qui ne savais rien d’autre que de réparer des verrous et les paroles de Lucy. Ton précepteur se moquait d’ailleurs de ta volonté de garder les mains douce aau vu du travail que tu effectuais.
Trois ans, il te fallut trois ans pour avoir un résultat potable. Tu avais quitté la demeure familiale depuis quelque fois et toutes tes économies passaient dans la chambre misérable que tu louais et des vêtements et maquillage pour paraître parfaite. Bientôt à toi le prince charmant, c’était ce que tu pensais. Mais au fond de ta tête, l’histoire de ta sœur faisait son petit beau de chemin. Toi aussi tu cherchais à être aimée, mais pas pour ce que tu étais.
Tu te trompais tellement de voie Sax. Tellement.
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[color=#ff3366][size=16]♀[/size][/color] [b]UTA NO PRINCE-SAMA [/b], Haruka Nanami @Sax Saw
Comment avez vous découvert le forum ? Un garde avec un humour douteux on me dit dans l’oreillette.
Disponibilités : Très variable, mais en général je passe au moins deux trois fois par semaine.
Quelques mots sur vous ? J’aime les crocodiles, c’est la seule chose que vous avez vraiment besoin de savoir ee
Quelque chose à rajouter ? Pas vraiment !
Un pouvoir qui risque de déclencher des situations fort cocasses !
Bienviendue ! Bon courage pour finir ta prez, femelle.
Bienvenue.
Love you bisou,
Morticia <3
Bon courage dans ta validation du coup o/
Pour tout vous dire, cette source va dans le délire de la fille bien trop dans ses rêves de prince et que je trouvais ça un peu drôle vu que c'est dans le nom de l'anime toussa (oui je m'amuse d'un rien).
Et ma chère Tala, tu as fais des dégâts à notre pauvre famille tu devrais avoir honte QWQ
Je terminerais dans la soirée sans doute! Encore merci et je vous aime déjà
Bref! Je
Si tu as besoin d'aide ou une question, n'hésites pas !
Tour de fiche fait, la famille Saw s'agrandit avec des patronymes toujours aussi riches en calembours
Amuse toi bien et que l'aventure commence!
Tu peux dès à présent aller RP sur le forum !
Nous te rajoutons dans tous les listings donc tu peux directement aller poster ton LIVRE DE BORD et faire une DEMANDE DE RP si tu cherches un partenaire !
Penses juste à mettre à jour ta fiche de personnage dans le profil !