Vous vous donnez rendez-vous au grand port, des lunes après votre dernière rencontre.
Alors que vous étiez tranquillement en train de prendre un petit verre en terrasse, une quinzaine de personnes vient vous prendre dans leurs bras. Ils crient tous en même temps, mais vous arrivez à peut près à comprendre : ces gens vous prennent pour des membres de leur famille.
A vous d'essayer d'expliquer le malentendu, en prenant en compte qu'ils sont sûr que non, et vous pousse même à venir à leur barbecue annuel.
Participants : Obsidian De Yllor & Devon Haragin
Challenge RP : Vous devez vous prendre pour des personnages de Disney; c'est-à-dire qu'il va falloir chanter des que vous pensez à quelque chose, faire des allusions à demi cacher, et avoir une princesse à sauver (un de vous deux, on vous laisse choisir )
J'réfléchis à ce que je pourrais lui dire, juste lui faire comprendre que j'peux aussi l'aider pour pas qu'il se retrouve dans la merde, qu'il est pas forcément seul s'il a besoin de l'aide d'un ami et, j'sais pas trop pourquoi, les mots défilent dans ma tête comme une chanson que je ne peux pas m'empêcher de chanter en avançant.
"Si le conseiller Jack a ses p'tits potes
Melta, Fao pour lui faire d'la compote
Toi tu es bien plus fort
T'as un Devon et ça vaut de l'or"
J'vois alors le regard de quelques personnes, visiblement surprises de ce que je suis en train de chanter et j'secoue la tête... Plus de spectacle d'enfant avec Cid, ça me reste en tête et je fais n'importe quoi!
J'arrive finalement au lieu de rendez-vous et Ekaitz est déjà là. Nous nous installons et à peine le temps de commander que voici que nous sommes assailli par un groupe d'individu qui nous parle comme si nous nous connaissions depuis toujours? Mais qu'est-ce qu'il se passe encore.
"Ah enfin vous voilà!" Dit l'un des homme en passant ses bras autour de mon cou.
"Enfin on réunit tout le clan familial,
Enfin on va pouvoir cuir de l'animal!
À notre barbecue, plus on est de fou
Et plus on s'amuse nous!"
Et les voilà qui se mettent à chanter pour nous inviter à rejoindre leur barbecue? Visiblement ils nous confondent avec des membres de leur famille? Je vais donc leur expliquer qu'ils se trompent et régler ce problème.
"Non non, vous ne comprenez pas
Non, non nous ne vous suivrons pas
Vous faites erreurs mes amis
Nous ne sommes pas de votre famille..." Dis-je alors qu'ils insistent, je regarde mon ami, que pouvons-nous faire?
Devon feat. Obsidian
Encore une fois, le soleil brillait sur Grand Port, un temps parfait pour boire un verre en terrasse. Par le plus grand des hasards, tu avais rencontré Devon qui était aussi de passage et l’occasion faisant le larron vous vous étiez décidés à vous retrouver pour boire un verre. Passant par diverses rues, tu profitais du tumulte habituel de cette ville :
“Les pêcheurs reviennent avec des filets bien remplis
De bons poissons encore bien en vie,
Pendant qu’une mégère hurle après des enfants
Qui tu dois bien l’avouer sont bien turbulents !”
Sifflotas-tu en évitant de peu le roulant à pâtisserie de la femme au visage aviné et aux chicots noirs alors des gamins s’enfuient dans des rires moqueurs. Bientôt tu vois la taverne avec ses quelques tables en terrasse pour profiter du beau temps et Devon qui s’y trouve déjà. Quelques secondes plus tard vous êtes installés sur une petite table tranquille quand des gens vous abordent. Tu n’as pas le temps d’interroger le jeune papa que tu sens de petites mains s’agripper à ta tenue :
TONTON HUBERT!”
Hubert, qui était tonton Hubert ? Quel était donc cette nouvelle histoire ? Qui étaient ces fous ? Pourquoi chantaient-ils ? Tu jettes un regard surpris à ton ami qui se met lui aussi à chanter ? Tu allais demander quelque chose ressemblant à : “c’est quoi ce bordel?”. A la place ce fut un :
“C’est gênant, ces gens sont dans le flou,
Ils nous prennent pour l’un des leurs !
Mes braves vous êtes dans l’erreur,
Nous ne sommes pas l’un d’entre vous !”
Et oui, toi aussi tu chantais. Tu posas tes mains sur ta gorge surpris. Qu’est-ce que... Avant même de formuler la moindre pensée, la famille vous traînèrent derrière eux sans écouter vos arguments.
”Mais que racontez-vous là ?
Il ne faut pas abuser des bières comme ça!
Nous et vous, sommes qu’un,
Vous n’êtes pas des importuns !”
Répondit l’un d’eux en chantant toujours, alors que tout le monde se faisait la bise –enfin surtout à vous deux car vous étiez les deux perdus qu’ils venaient de retrouver. Il était temps d’aller se faire barbecue familiale sur la plage pour s’engueuler, rire et se remémorer ! Et en moins de cinq minutes vous vous retrouvez déjà les pieds dans le sable et un pique à brochette dans les mains.
"Allez viens boire un p'tit coup au barbecue
Y a d'la blonde, de la rousse et d'la "grisou"
Et Marcel avec son p'tit accordéon
Vive la bidoche et la famille et les chansons!"
Me dit-il chantant toujours alors que je refuse poliment cette bière, qu'est-ce qu'on fait là exactement et comment va-t-on bien pouvoir leur fausser compagnie alors qu'ils semblent persuadé que nous sommes réellement "tonton Hubert" et j'ai cru entendre une femme m'appeler Philippe avant d'affirmer que je suis toujours beau comme un prince... Quelle situation complètement folle dans laquelle nous nous trouvons.
"Je suis navré, vous faites erreur
Je faisais un détour pour le travail
Mais je dois partir de bonne heure
Saryna m'attend au bercail...
Veuillez baisser ces brochettes
Et me laisser partir en ce jour...
Non je ne peux rester faire la fête
Sans mon amouuuuur"
J'ai l'impression de chanter un requiem pour un fou mais il faut bien leur faire comprendre que nous ne pouvons pas rester... Un regard vers mon compagnon d'infortune alors que j'arque un sourcil, comment donc s'en sort-il de son côté?
Devon feat. Obsidian
Ton pique à brochette en main, tu tentais de décoller le sale mioche qui s’accrochait à tes basques. Seulement, celui-ci n’était plus seul, ses suppliques avaient attiré l’attention de trois autres gamins qui s’accrochèrent aussi à toi. Même un ou deux adultes t’encadrèrent en tapant dans leurs mains en scandant : ”Hubert ! Hubert ! Hubert!” Tu étais devenu fou et tu étais dans un asile ? Ou tu avais pris une pastille de rêve ? Non ? Tu cherchais ton infortuné compagnon du regard pour l’appeler à l’aide. Tout pour qu’il te tire de ce traquenard tendu par ces chiards ! Et en plus ils insistaient sur le fait que tu appartenais à la famille ! Pourtant tu n’avais rien en commun avec eux !
“Voilà, j’ai vraiment perdu la boule,
Vous ne voyez pas que je ne rentre pas dans le moule ?
Ouvrez les yeux par Lucy,
Et enfin la vérité sera établie !
Aucun de vous deux ressemblaient à cette à joyeuse troupe ! Comment pouvaient-ils vous confondre ? Tu parvins à ignorer les invitations à conter tes aventures – tu n’étais pas un barde, ni un aventurier, tu n’avais rien à leur dire ! Tu allais exprimer ta frustration quand une douce main attrapa la tienne et qu’une voix féminine se mit à chanter :
“Le sang, l’apparence,
Oh, oncle, ce n’est pas la solution !
Aimer notre famille et notre nom suffit,
Tout n’est que sentiment,
Nous partageons notre repas,
Nous dansons, rions et chantons
Ce n’est pas grave si nous ne nous ressemblons pas !”
Elle tournoya autours de toi, faisant voler ses longues boucles blondes, avant de se diriger vers ton compagnon d’infortune et de lui prendre sa main valide avec un grand sourire. Elle frotta sa joue contre sa paume avant d’attraper une pomme d’un rouge intense et de la lui mettre dans la bouche.
”Voilà pourquoi l’on partage tout,
Car l’important c’est d’être unis.
Alors profitez juste de l’instant
Avant que ne s’échappe le temps.”
Après un clin d’œil pour le patron de l’aventurier téméraire, elle revint de tapoter gentiment la joue. Maintenant tu le savais. Ils étaient drogués. Tous. Même les enfants. En regardant ces gens continuer à chanter leur amour pour la famille. Tu ne prêtas qu’une faible attention à l’une des vieilles qui qualifia la blonde de “princesse” de ce clan. Tu te rapprochas de ton ami et lui attrapa le bras:
“Clairement, ils ont pas fumé que du tabac,
Ni bu que des margaritas !
Disons leur vite aurevoir,
Avant qu’ils nous forcent à raconter des histoires !”
"Elle est trop jolie, Marie
Bien plus jolie que la vie, Marie
Bien plus belle que la nuit
Plus jolie que Lucy
Plus jolie qu'les plus belle femmes du pays"
M'affirme-t-il alors que la demoiselle tourne en dansant dans une étrange ronde vers moi, continuant ses paroles et me mettant une pomme entre les lèvres, revenant ensuite vers Ekaitz qui s'approche de moi. Je prends la pommes dans mes mains, regardant un instant le fruit que je m'empresse de jeter ensuite, est-ce qu'il y a un philtre dedans? Forçant tous les gens présents à se comporter de la sorte?
"Quand j'ai vu Marie, j'me suis dit elle sort d'où celle là?
Son comportement est étrange j'suis d'accord avec toi
C'est comme une princesse, qui se dit qu'elle a tous les droits
Mais si ça s'apprend elle va s'faire tuer par Saryna..."
Et l'homme de tout à l'heure se met à rire à mes côtés, regardant à la fois mon compagnon et moi-même avant de secouer la tête.
"Tu veux rire? Tu veux rire? J'en crois pas mes oreilles
Vous êtes impayables les mecs, jamais rien vu d'pareille
Vous vous trompez sur toute la ligne à propos de Marie!
C'est notre princesse, c'est la reine de la famille!
Il lui arrivera jamais rien parce qu'on y tient
Et si elle s'éloigne, on la ramènera c'est certain..."
Et soudain, la révélation alors que l'homme s'éloigne en riant pour reprendre des brochette...
Et si, et si cette fille avait un pouvoir
Qu'elle ne contrôle malheureusement pas?
Et que du coup sans le savoir
Elle envoûtait des mecs comme ça?
Et si maintenant ça se retournait
Contre elle sans qu'elle n'puisse rien y faire?
Et que ces hommes la séquestrait
Ne vivrait-elle pas un enfer?"
Devon feat. Obsidian
Le gars qui est avec Devon a clairement un grain, et la princesse un sérieux problème. Tu n’avais plus qu’une envie partir sans même t’expliquer. Et tu te demandais d’ailleurs ce qui t’en empêchait maintenant que tu n’avais plus un chiard dans les pattes. Malheureusement, ton ami te retient car il semble avoir compris quelque chose sur cette “famille” plus que loufoque. Suite à son petit couplet, tu jettes un regard à la blondinette qui continue de chanter sous les applaudissements des personnes l’entourant.
“Cette demoiselle aurait donc un don,
Celui de nous faire tomber en pamoison ?
On la dirait sorti d’un conte de fée,
Et qu’elle ne se rend pas compte de ses méfaits...”
Après tout, elle aussi semblait penser que ces hommes étaient sa famille. Tu continues de l’observer, quand tu accroches son regard qui te semble désormais désespéré. Est-ce l’ancien aventurier avait raison ? Mais alors pourquoi avait-elle chanté ça ?
“je ne sais, mon ami, si tu dis vrai,
Ou si tu perds aussi la tête,
Mais si, ces gens sont mauvais
Nous devons arrêter cette fête!”
Tu prends du recule, analyses la situation. Comment faire pour arrêter cet enfer ? Seul, tu te serais contenté de partir, mais ton ami ne serait pas du genre à laisser cette pauvre fille avec ces gens.
“Nous allons l’aider,
Hum, voyons Devon,
Regarde-les, ils l’écoutent avec dévotion
Elle est le centre de l’attention,
Pourquoi ne pas les en détourner ?
En voilà une bonne idée !
Oh, je sais déjà quoi faire
Pour que l’oiseau quitte son nid.
Ils n’auront d’yeux que pour moi
Seulement pour moi.
Tu as dû chanter le plus bas possible, pour que seul Devon puisse t’entendre. Il serait bête de leur mettre la puce à l’oreille ! Tu tapotes l’épaule de ton camarade d’infortune tout en lui faisant un clin d’œil. Tu comptes sur lui pour gérer la demoiselle en détresse, toi tu t’occupais des vilains ! Tu regardes ton pique à brochette, il allait t’être bien utile ! Tu t’éloignes un peu de Devon, te rapprochant du barbecue et de ses braises incandescentes. Il ne faudrait pas qu’ils regardent en direction de la ville ou du tavernier. Et c’est avec un sourire malicieux que tu pousses un sifflement strident, assez pour stopper le chant de la blondinette et pour que tous les regards se tournent vers toi.
”Vous vouliez une histoire, non?”
"Je compte sur toi do di do di do di do,
je compte sur toi."
Sur ce, je me dirige aussi discrètement que ma carrure le permet pour m'éloigner d'Ekaitz et me diriger vers la douce demoiselle en détresse - l'est-elle seulement? - alors que mon compagnon prend position pour réclamer l'attention de tous. Une attention qu'il semble obtenir en réalité, comme si les histoires de tontons Hubert étaient d'une importance capitale en ce moment. Parfait, c'est le moment que je choisis pour m'élancer et attraper la main de la demoiselle dans ma main droite, l'entraînant à ma suite pour une gigue endiablée sous l'apparence d'une course.
"Suivez moi...
J'vous laisserez pas tomber si vous croyez en moi
et j'vais vous libérez de cette situation là
Mais pour ça, vous devez croire en moi..."
Lui dis-je alors que nous nous éloignons en courant de cette réunion familiale qui ne me semblait pourtant pas réellement en être une. J'espère que mon ami pourra trouver une échappatoire lui aussi, nous n'avons même pas convenu d'un point de ralliement pour nous retrouver ensuite mais, qui sait? Si cette situation se résout, peut-être pourrons-nous nous rejoindre aisément? Pour l'heure, je cours avec la demoiselle telle un chevalier servant cherchant à la délogé d'une tour d'ivoire dont elle serait prisonnière. Encore une fois, une image que ma belle sauvageonne n'apprécierait guère mais, si je ne suis guère le prince charmant de blonde à la voie envoutante, je peux au moins l'aider. Une fois à distance suffisante de la plage, nous nous arrêtons pour reprendre son souffle et, comme si être loin des "siens" avait mit fin à ce maléfice, la voici qui prend la parole, en chantant toujours...
"Je vous remercie de m'avoir sauver
Seule jamais je n'y serai arrivé
J'aurais tant à vous dire,
Si je pouvais parler
Mais il n'y a pas de quoi rire
Je ne peux que chanter...
Dès que j'ouvre les lèvres les hommes y sont pendus
Malheureusement je n'ai aucun contrôle dessus
J'aimerai pouvoir parler, ne pas avoir ce don
Mais je ne peux y échapper c'est ma malédiction...
Et lorsque que je chante et qu'un groupe m'approche
Ils sont tous persuadé d'être de mes proches
Et cette certitude, me touche moi aussi
Je ne l'ai guère décidé ainsi est ma vie..."
Je l'observe un instant, comprenant la situation. Elle a dû vouloir s'exprimer, a chanté auprès de quelqu'un et plusieurs personne l'ont entendu, persuadés alors de n'être qu'une et même famille... Un pouvoir terriblement puissant mais qui est plus un handicap qu'autre chose. Visiblement, ce n'est pas instantané puisque mon compagnon et moi y avons échappé? À moins que ce ne soit l'amour qui me lie à Saryna qui me protège du charme, après tout ne dit-on pas que l'amour est le plus puissant des sortilège?
"Je suis heureux d'avoir pu vous aider,
Malheureusement je ne peux rester par peur d'être envouté
Vous devriez sans doute, faire un peu attention
Et éviter devant un groupe de pousser la chanson?
Peut-être aller voir à la ville aquatique
On y trouve le conservatoire magique
Il n'est pas impossible qu'ils puissent vous aider
Et que ce don nocible vous puissiez contrôler..."
Et sur ces paroles, je lui fais mes aurevoirs, ce conseil je lui ai donné, je ne peux faire plus sans prendre le risque d'être touché par son pouvoir, autant retourner vers les côtes où Ekaitz se trouve pour vérifier si la situation s'est résolue d'elle même maintenant que la sirène n'est plus présente.
Devon feat. Obsidian
Le sifflement attire facilement l’attention de cette “famille” sur toi. Tu lèves le pique à brochette tel une épée, avant de saluer le petit groupe d’une révérence. Ils voulaient des histoires, ils allaient en avoir. Le gosse qui t’avait appelé tonton pousse un cri ravi, rapidement suivi par les quelques autres gamins. Il fallait juste espérer que la blondinette reste silencieuse pour qu’elle ne te vole pas la vedette. Tu commences à chanter –encore- est la conséquence du supposé don de la demoiselle ?
Tous ces secrets, que j’ai gardé
Vous me les avez tant demandés
C’est décidé, je vais vous les chanter !
Voyez ces monstres et ces bandits
Tous ces dangers qui en veulent à ma vie
En entendant ça tu te dis “C’est ça être aventurier !”
Tu mimes une créature rugissante dont les griffes déchirent l’air, avant de jouer un vil malfrat, tu sors tout ton jeu d’acteur pour bien capter toute l’attention. Tu entends quelques rires chez les adultes et des exclamations joyeuses chez les plus jeunes. Armé du pique tu fais semblant de combattre, roulant sur toi-même avant de triompher. Du coin de l’oeil, tu vois que Devon s’est déjà éloigné avec Marie. Pas encore assez loin. Tu devais continuer, surtout que certains semblaient déjà se détourner de toi.
J'ai vécu des tas d’aventures, des choses dont vous n’avez pas idée !
J’ai fait face aux plus terrifiantes créatures
Tu veux en savoir plus ?
Et bien écoute-moi !
Tu chantes avec plus de verve, t’approchant de l’homme qui commençait à tourner sur lui-même. Celui-ci s’arrête, te regarde avant de sourire pour t’écouter à nouveau. Un peu plus et il voyait disparaître ton ami et la princesse en détresse. Tu continues de chanter de plus bel, t’assurant qu’ils se soient assez éloignés. Ce n’est que lorsque tu commences à avoir la gorge sèche et que tu vois le tavernier revenir au loin que tu t’arrêtes. Voyant que le groupe commençait à chercher Marie –ils avaient vraiment que son prénom à la bouche- que tu te décidas à fuir. Ils finiraient bien par reprendre leurs esprits sans le don de celle-ci pour les envoûter... Et sinon les gardes ou des aventuriers s’en occuperont. Tu pousses le barbecue, renversant les braises et la viande sur le sable. Tu n’attends pas les exclamations surprises et part en courant vers ton ami.
”Vite filons d’ici ! Ils se calmeront bien tout seuls !
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