NomBornamhir  

Prénom  Lysea Mayline

Surnom Lys ou May

Age 25 ans

Sexe Féminin

Groupe Citoyen

Spécialité/Métier/etc Professeur de danse

Orientation sexuelle Telle une fleur qui attend d'être cueillis à nouveau par une personne qui sera la trouver exceptionnelle (Bi)



En quelques mots...
assez tête en l’air – trop bruyante – Très fière –  est facilement émerveillé – aime beaucoup les couleurs monochromes –  rit assez facilement –  aime observer les étoiles – est assez romantique – est très éloquente – dés qu'elle entends de la musique elle se met à danser – est peu compétitive -


Comparé à ses parents, les deux frère de Lysea l'ont de suite encouragé lors son envie de danser et de faire de cela sa vocation même s'ils lui ont appris à se défendre en utilisant son art à elle. Ils n'ont par contre jamais voulu lui donner d'arme même leur père avait interdiction de lui en donner une. Lysea a compris plus tard quand elle s'est coupé avec un couteau de cuisine, la panique de ses deux aînés face à la plaie de leur jeune soeur... Ils étaient prêt à l'amener à l'hôpital si leur mère ne les avaient pas calmer en soignant la jeune fille.

Nom du pouvoir DollMaster

Catégorie Manipulation de choses ou éléments


Fonctionnement du pouvoir
A partir de ses cheveux abîmés ou mort, Lysea peut crée des poupées qui auront des interaction différente.

Les interaction seront calculé aux nombres de cheveux utilisé pour crée la poupée.

- de 1 à 3, la poupée voltera autour de Lysea seulement
- de 4 à 6, la poupée ira voler autour de la personne qui aura suscité son invocation, elle voltera autour de cette personne avec curiosité
-de 7 à 9, la poupée sera capable de mordre. La sensation sera semblable à un glooby qui vous grimpe dessus
- à parti de 10, la morsure de la poupée sera semblable à une piqûre de Kiripik

Qualités Bienveillante - sociable - protectrice - éloquente – passionné

Défauts Fière - indécise - nerveuse - râleuse - énigmatique  


Physique et mental
En touchant cet arbre qui m’a vu grandir, en sentant le vent dans mes cheveux, les souvenirs que j'ai gardés reviennent dans ma mémoire, celle que je pensais perdue avec le temps qui défile.

Même si le temps se joue de nous, nous sommes toujours là, à nous réunir, à nous souvenirs, j'aime ses souvenirs, peut-être que mon long voyage m'a rendu nostalgique de cette époque enfantine, où discuter du beau temps était plus simple que des sujets abordés maintenant.

On me demande souvent si je regrette d'avoir quitté cette voie qui m'était destinée, que j'ai préférer suivre mon propre chemin que celui tracé par mes ancêtres....

Je souris à ses paroles, bienveillante comme à chaque fois, je sais que mes paroles ne seront pas bien prises sauf que cela m'importe peu, après toute la vérité n'est jamais bonne à attendre.

Je préfère qu'on me blesse en me disant la vérité que de me mentir, ce qui me ferait crée une illusion, me blesserais et la personne qui ment perdrait ma confiance, alors que je la donne de bon cœur, avec joie et amour.

Après les Humains sont comme cela, en grandissant on apprend des fois qu'il faut mieux mentir que dire la vérité même si cela reste plus juste.

Il y’a aussi cette fierté, mal placé, qui nous empêche de dire ce que l’on souhaite réellement, au risque de se blesser plus que de blesser autrui…

Qu’importe nos pensées même les plus obscures,  les gens pensent à autrui avant de penser à eux, c’est instinctif, de nature, ça rend les gens naïfs, tête en l’air, simplet alors que d’autre ça les rend arrogant, hautain, inaccessible.

Je suis peut-être un mélange des deux, incapable de faire un choix correct, cela m’importe peu de me blesser ou de blesser autrui, de dire que j’ai tort ou que les autres ont tort, de m’énerver ou bien d’énerver les autres.

Ce n’est peut-être pas l’éducation que voulait mon père mais, c’est le chemin que j’ai décidé de suivre, de construire, les montagnes de la vie que j’ai décidé de gravir, les unes après les autres.

Alors que je déporte ma main pour la laisser tomber le long de mon corps, je vois mon père s’approcher de moi, je lui souris avec gentillesse, qu’il me rend aussitôt, il m’invite à le suivre à travers ce jardin qui m’émerveille depuis petite, j’ai toujours vu les choses avec des étoiles dans les yeux, c’est pour cela que j’aime ce chemin que j'ai suivis. Cet apprentissage que je continue de suivre même en étant une adulte.

Je lève les yeux vers le ciel bleu où volent librement les oiseaux, nous sommes rejoints par nos animaux de compagnie respectif, j’admire sa chouette griffine alors qu'à mes jambes vient se frotter mon étoile blanche qui me suit depuis quelque années déjà.

Un animal craintif qui ne me correspond pourtant je trouve qu'on se ressemble légèrement... Pour les gens autour de moi j'ai l'air d'être frivole et d'être à l'aise avec les gens sauf que non.

Si je peux m'enfermer dans ma bulle pour m'éloigner de cette vie d'aventurier que proclame le reste de ma famille, je le fais sans hésiter.

Comme les étoiles blanches, si quelqu'un à des pensées hostile à mon égard, j'essaie de m'en éloigner le plus possible pour ne pas être corrompue et avoir à mon tour des pensées hostile.

Mais, je peux être une véritable tempête si je le souhaite, je sais me mettre en colère, je ne souhaite pas être une personne standard.

Une jeune fille au cœur remplis de toutes les émotions que porte les Hommes, qu’importe leurs origines. Je suis naïve, pleurnicheuse, joyeuse, amoureuse, en colère, étonné, en confiance, ressentir du dégoût, avoir des regrets, être remplis d'une terreur insupportable, etc.
Je pourrais développer chacun des sentiments mais, il me serait difficile pour la colère et la terreur, il m’est arrivé que très rarement de ressentir ses deux sentiments, je peux par contre développer ce sentiment qui me rend assez fébrile, fleur bleue comme bon nombre de jeune adolescente ou femme comme moi.

Un amour pur et sincère, jusqu’à ce qu’il se brise par une cause diverse, justifié avec le temps, une page tournée pour voir ailleurs, trouvé réconfort entre des draps de soie pour combler ce cœur pour une nuit, retomber amoureuse et revivre ce cycle éternellement jusqu’à trouver comme le destin nous le dicte, la personne qui est faite pour nous.

Je ne suis pas vraiment renfermé sur moi-même mais, je préfère ne pas trop penser à mes sentiments personnels, surtout ce sentiment-là, je préfère me concentrer sur mon sentiment de partage.

Comme cette balade que je partage avec mon père, que j’admire autant que ma mère, ils sont mes modèles premiers, j’ai eu de la chance de tomber sur de tels parents, peu d’enfant peuvent se sentir chanceux.

Certaines famille préfèrent les traditions et les inclure à leurs enfants que d'écouter ce qu'ils désirent eux.

Alors que je vois un point au loin, une longue chevelure blonde qui attends avec sagesse, tu avances plus vite que ton père pour prendre ma mère avec tendresse. Cette tendresse que j’aimerais donné à beaucoup de personne, elles en auraient bien besoin même si je sais que cela n’est pas vraiment possible, c'est pour cela que j'essaie de la partager à travers ma danse et aux élèves qui suivent mes cours.

Malgré tout cela, on pourrait largement penser le contraire.

Après tout, ma mère me dit souvent que les personnes que j'allais rencontrer au cours de ma vie allait me juger dés qu'ils poseront leur yeux sur moi et malheureusement les gens se trompent souvent sur mon sujet.

Il est vrai que j'aborde rarement des vêtements de couleur, que je porte souvent des couleurs monochrome comme le noir/blanc/gris dans toutes les nuances possible, c'est surtout pour mettre mes cheveux colorés en valeurs et que j'aime particulièrement ses couleurs là.

Et surtout c'est plus simple aussi pour voir les cheveux mort sur ses couleurs là, même si ce n'est qu'un avantage parmi tant d'autre.

De plus je ne porte des robes ou des jupes, avec des hauts bien évidemment, donc on ne peut pas dire que je ne ressemble pas à n'importe quel femme de mon âge.

C'est comme pour le dégradé de mes cheveux, je pourrais faire croire que c'est naturel sauf que non. J'ai seulement gardé une petite partis en partant des pointes du blond que j'ai hérité de mon père, la fierté de la famille Bornamhir ce blond jaune digne des cristaux les plus purs que peu de personne peuvent se vanter d'avoir vu dans leur petite vie.
En ce qui concerne cette immense partie violette qui peut passer au rose ou bien au marron, tout cela est du à la magie des cristaux très spécial crée par ma mère exclusivement pour moi et que je ne partage avec personne.

J'aborde quelque bijoux fantaisie sauf que cela reste rare, je ne suis pas fan de cela... Une vague impression d'être étrangler même si n'est pas vrai.

Je ne porte pas d'autre bijou, trop gênant pour danser.

J'aime les chapeaux même s'ils ont du mal à rester sur ma tête, je trouve que cela donne un air de grande dame sans trop exagérer et j'aime bien donc je continuerais à en porter même si certaines personnes osent dire que cela ne me va pas.

Alors que le son du piano m'enveloppe tendrement alors que je fais grincer doucement les planches de bois qui se trouvent sous mes pieds, les quelques voix que j'entends malgré ma bulle sont toujours stupéfaite remplis d'admiration sauf que tout cela n'aurait pas eu lieu si le destin avait voulu que j'accepte la destiné pour laquelle j'étais née.

Au lieu de cette salle remplis d'immense miroir, ce serait plutôt le monde qui m'aurait vu danser avec une épée dans les mains, un destin d'aventurier lambda.

Il a fallut qu'une... plutôt quatre bonnes étoiles se mettent sur ce chemin et firent plier les adversaires principales pour que je finisse dans cette salle, virevoltant gracieusement que ce soit seul ou bien accompagner.

Mais, ce n'est que la continuité de ma vie, je devrais peut-être vous compter le début, cela vous aiderais à mieux vous situer et comprendre pourquoi d'une vie d’aventurière je suis devenue professeur de danse, suscitant l'admiration de mes élèves ou bien de tout autre personnes qui passe sur mon chemin de vie.

Je suis donc Lysea Mayline, de la jeune famille d'aventurier Bornamhir.

Une modeste famille d'aventurier depuis cinq génération maintenant, que vous soyez un garçon ou une fille, vous finissez dans le chemin qu'est l'aventurer à travers le royaume qu'est Aryon.

Je suis la troisième enfant de ce qu'on peut appeler la branche principal de la famille Bornamhir.
J'ai deux aîné, le premier Diael avec qui je partage une différence d'âge de dix ans. Le second aîné, Iottis avec qui je partage cinq ans de différence.

Et enfin deux jeune frère, qui sont plus jeune que moi de trois ans, née en même temps, Minéon et Yahu.

Une joyeuse fratrie de cinq enfants que nos deux parents ont élever selon les traditions qu'ils connaissent et avec l'aide du reste de notre famille.

Un destin au-delà des murs de la maison, entraîné dans le jardin pour manier divers instrument qui nous maintiendrait en vie en dehors des murs de la capital qui nous voit grandir et devenir ce que la vie attend de nous.

Mais.

Il y'a toujours un « mais » dans toutes histoires qui se respectent et je fus ce « mais » dans la continuité de l'histoire de la famille  Bornamhir.

Même si je m’entraînais avec mes deux aînés, quelque chose au fond de moi n'avait pas envie de laisser le destin de ma famille se réaliser pour ma personne, je voulais être autre chose qu'une aventurière, je voulais voir au-delà du mur que les adultes autour de moi bâtissait autour de moi.

Mais, comment une enfant de six ans pouvait expliquer cela à ses parents sans qu'ils ne la remettent en question ou qu'ils fassent passer cela pour un caprice ?

Je ne savais pas à qui expliquer cette situation, personne dans mon entourage aurait le don de me croire ou bien de me pousser en avant pour faire éclore ce désir de voir ailleurs que la vie en dehors des murs de la maison.

J'ai commençait à ne plus être régulière aux entraînements, à fuir vers la ville, à endurer les réprimandes de mon père.

Un soir comme un autre depuis cette rébellion intérieur, j'avais fuit dans les rues de la capital comme à mon habitude et c'est là que ma nouvelle fleur du destin éclos et me fit voir un monde comparable à un arc-en-ciel après la pluie qui se déverser dans mon cœur depuis trop longtemps.

Une artiste de rue comme tant d'autre sauf que les mouvements gracieux qu'elle enchaînait, me combler de joie bien plus que n'importe quel entraînement d'escrime avec mon père.

Tu as trouvé ta nouvelle voie, Lys ?

Cet voix masculine dans mon dos, c'était mon frère aîné Diael et derrière lui se trouvait mon autre aîné Iottis.

Je voulais retourner chez nous et ne pas parler de cela sauf que le sourire bienveillant de Diael m'a cloué sur place, je ne pouvais que regarder mes pieds avec l'envie de pleurer parce que je devais le décevoir comme père.

Si tu pense que nous sommes déçu comme père, tu te trompe largement.

Oui, nous sommes fière que tu prenne un autre chemin, Lysea.

Je relevais la tête pour regarder mes deux aînés, pourquoi ils étaient fière que je veuille devenir autre chose qu'une aventurière comme eux et père ?

Iottis est même aller voir la dame, ils ont discutés quelques minutes avant que mon second aîné nous invite à le rejoindre.

Tu aimerais apprendre à danser, jeune demoiselle ?

OUI !

Mon cri me surpris et fit rire les trois autres personnes, est-ce que je pouvais vraiment apprendre à être aussi gracieuse que la dame ?

Et la réponse à cette question était oui, bien évidemment.

Avec l'encouragement de mes deux aîné et mes deux jeunes frère qui se mirent dans la combine des deux plus grands, je pus apprendre à danser même si mes parents n'étais pas en accord avec cela, je continuais malgré moi les entraînements pour être une aventurière.


Ma professeur de danse de cet époque me proposa de participer à un concours qui rassemblait beaucoup d'enfant de tout âge et de tout le royaume, celui-ci pourrait obtenir de quoi étudier la danse auprès des meilleurs professeurs du palais royal.

Il fallait absolument que je gagne ce concours pour prouver à mes parents que la danse était le destin que la vie m'avait réservé, que je n'était réellement pas faite pour être une aventurière.

Je séchais encore plus les entraînements de mon père pour ceux de ma professeur de danse, je voulais montrer à ceux qui ne croyait pas encore en moi allait regretter leur choix.

Le nombre de participant le jour du concours était impressionnant, de nombreuses petites écoles de danses ainsi que des prestigieuse étaient présentes.

Le jury était composé des quatre professeurs de danse de la famille royal, mettre en stress en plus à des enfants peu préparer à cela sauf que je savais que j'allais m'en sortir, les entraînements de mon père allait me servir pour vaincre ce stress.

Il fallait absolument que je gagne ce concours pour prouver à mes parents que la danse était le destin que la vie m'avait réservé, que je n'était réellement pas faite pour être une aventurière.

Je séchais encore plus les entraînements de mon père pour ceux de ma professeur de danse, je voulais montrer à ceux qui ne croyait pas encore en moi allait regretter leur choix.

Le nombre de participant le jour du concours était impressionnant, de nombreuses petites écoles de danses ainsi que des prestigieuse étaient présentes.

Les encouragements de ma professeur avant mon passage font gonfler la confiance que j'ai en moi encore plus à bloc qu'elle ne l'était.

Alors que dans la grâce que j'ai appris, je monte sur la scène, je vois mes quatre frère dans le public ainsi que mes parents.

Je devais tout donné, c'était le moment pour cela.

Le piano s'éleva doucement dans l'air et je commençais à poser mes pas sur les planches de bois, avec ce sourire que je voulais qu'il exprime cet arc-en-ciel que j'ai vu lorsque j'ai assisté à la danse de l'artiste de rue qui m'a donné envie d'être sur cette scène.

Le son du piano s'éteint doucement et je me referme telle une fleur qui se couche à la tombé de la nuit, les applaudissements retentir aussitôt alors que je faisais une révérence avant de quitter la scène.

Ma professeur de danse me félicita de tout son cœur, elle était très fière de moi et me disait que je pouvais être fière de moi après une tel performance.

Les autres concurrents passèrent, le concours touchait à sa fin.

Tous réunis sur scène, les quatre jury allaient annoncé en premier lieu les danseurs qui auront droit à un lot de consolation pour leur participation au concours, vient ensuite ceux qui verront leur école de danse devenir populaire suite au concours.

On était plus que cinq participant, je pensais réellement faire partis des personnes avec un lot de consolation même si ma professeur de danse était fière de moi et que je pouvais être fière de moi.

Les jury annoncèrent que pour choisir un vainqueur, ils eurent beaucoup de mal et qu'ils ajoutaient un lot spécial pour les quatre danseur en dessous du vainqueur.

Les danseurs choisie iraient apprendre la danse auprès du jury qui a été marqué le plus par leur performance.

Le vainqueur fut donc annoncé, ce ne fut pas moi, c'était évident.

Mais, la question de maintenant était de savoir lequel des quatre jury j'avais impressionné ?

Étant donné que c'était quatre nobles qui dansent depuis leur plus jeune âge, je me demande lequel des quatre j'ai pu impressionné ?

Dame Vhashras ou Rarosme du côté des nobles dames, sieur Renitrak ou Jaasithshi du côté des nobles hommes.

Le premier jury qui s'avança fut sieur Jaasithshi vers le garçon à mes côtés.
Le second fut dame Vhashras qui s'avança vers la fille qui était dernière dans le sens ou j'étais.
La fille à côté de moi fut choisie par dame Rarosme.

Il ne restait plus que sieur Renitrak qui s'avança vers moi.

Tu as une grâce inouïe pour quelqu'un qui d'après sa fiche danse depuis que trois ans, je vais t'apprendre à être encore plus gracieuse, mon école de danse t'attend de pied ferme à sa rentré.

J'allais donc rentré dans une école hautement prestigieuse de danse à la 3e lune chaude de l'an 987, juste après mes dix ans.

J'étais au ange sauf que est-ce que mes parents allaient être d'accord, je sais que sieur Renitrak saurait les convaincre mais est-ce que comme lui ils ont étaient impressionné par ma représentation ?

Ma professeur de danse s'inclina devant sieur Renitrak et me pris dans ses bras en suivant, fière de moi ; ce fut le tour de mes frère aînés avec mes jeunes frères de dire que même si je n'ai pas gagné le concours et la place dans l'école de danse de la famille royal être choisie par sieur Renitrak était encore mieux que la place dans l'école de danse royal.

Puis mes parents furent leur apparition, j'avais eu le temps brièvement de parler de ma condition à mon futur professeur de danse, qui n'eut le temps de dire à un mot que mes parents avaient un grand sourire sur la visage.

Ma mère me prit tendrement des bras de mes frères pour dire qu'elle fut extrêmement ému quand je suis passé sur scène et qu'elle donne son accord pour que j’intègre l'école de sieur Renitrak.

Il ne restait plus que les mots de père... Je ne savais pas à quoi m'attendre sauf que fut surpris qu'il s'agenouilla devant sieur Renitrak et lui confia son unique fille pour qu'elle s'épanouisse autant que la représentation qu'il a vu aujourd'hui.

Les mois sont passé, ma rentré fut effectué, entre les cours de danse et les cours généraux pour qu'on puisse toujours s'en sortir, c'était l'un des principe de sieur Renitrak.

On nous présenta aussi les pouvoirs, héréditaire de tout habitant d'Aryon, il était normal qu'on nous aide à les développer.

Certains élève avait déjà un stade bien avancé de leurs pouvoirs.

Pour ma part c'était le néant complet jusqu'à ce jour où on enlevant un cheveux blond de mon costume noir que celui-ci se transforma en une poupée complètement désarticulé qui se posa sur mon épaule.

Je la prit délicatement alors que nombreux de mes camarades la complimentait, elle avait l'air de ne pas souffrir elle affichait même un sourire.

Avec l'aide de notre professeur, je développais à vitesse grand v ce pouvoir, sans trop m'épuisait vu que cela demande quand même beaucoup d'énergie de crée des poupées même si c'est à partir de mes cheveux morts.


Entre les deux apprentissages qui était mon destin à présent, je gravis les échelons de la vie assez rapidement d'après mes professeur qui me font passer moult concours ou bien m'apprenne toutes les danses que le monde à transmis à travers les âges.

Celle que j’excelle sont la danse classique, la valse, le flamenco et le tango.

Beaucoup furent surpris pour les deux dernières, je fus assez surprise aussi sauf que les professeur qui m'ont enseigné les deux danse m'ont confirmé que j'avais le talent pour être dans le top 1 lors de concours.

Les années passèrent et je fut diplômé de l'école de danse de sieur Renitrak à l'âge de 20 ans.

J'ai enchaîner les concours sur mes deux années de jeunes diplômé, que ce soit en temps que participante ou jury. J'étais fière qu'on appelle à moi pour cela, mais j'ai vite compris que j'étais plus accessible que les danseurs de l'académie royal ou les professeurs de la noblesse.

Arrivée presque à 23 ans, cette vie de troubadour ne me plaisait plus vraiment et peut-être parce que je voyais des enfants dansait que la vie de sédentaire s'est manifesté en moi.

Je pourrais apprendre à danser comme on m'a appris à le faire, je savais que je pouvais le faire... Le plus compliqué allait de trouver un endroit pour réaliser cette envie.

Ayant retrouvé ma famille même si je les contactais souvent à travers des cristaux magique ou j'envoyais des poupée pour leur délivrer des messages, mon aîné Iottis proposa que je rénove l'un des nombreux studios de danse qui sont à l'abandon vu que peu de personne sont apte à les reprendre.

L'idée était excellente, après une aide financière mon père, les clés de l'un de ses fameux studio était entre mes mains.

La rénovation me prit un peu moins d'une année et avoir des élèves me prit seulement deux semaines étant donné la pub que mes deux jeunes frères ont fait sans que je ne sois vraiment au courant.

Alors que ma 25e année a été prononcé, je m'épanouis à apprendre à danser à toutes personnes désireuse d'apprendre.

Je ne regrette rien, c'est bien le destin que je voulais et je continue à le modeler encore pour le parfaire toujours plus à mon image.