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[Termine] "Dans quel coup fourré tu vas encore t'embarquer?"
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"Après l'éffort le réconfort", pensais-je en me dirigeant vers le port. Je venais d'arriver sur les côtes, et j'avais qu'une hâte, aller manger le plus vite possible. Amadeus m'avait chargé d'une mission, tranporter des marchandises jusqu'au grand port. Ca c'était déroulé sans embrouilles, le chemin le plus calme de ma vie. J'étais presque déçue, de ne pas avoir eu à dégainer Riven sur le trajet. Délaissant mon cheval chez le contact que le marchand m'avait donné, je profitais de cette fin de mission pour aller chercher du réconfort. Soleil, alcool, bouffe. Que demander de mieux ? Marchand le long du quai, je regardais les étales ici et là. On me hélait pour rien toutes les trentes secondes, des écharpes, des casquettes, des bijoux, bref qui d'interessant. Moi, j'avançais à l'odeur.
Et plus j'avançais vers le bout du quai, plus j'avais l'impression de sentir du Mantabu-grillé. Plus les gens m'alpaguaient, plus mon ventre hurlait comme si il voulait leur répondre d'aller au diable. Oh et j'espère qu'ils auront de quoi remplir ma flasque. Régle numéro 1, toujours sortir avec une bouteille remplie. Régle numéro 2, Si pas de bouteille, en acheter une au plus vite. J'avais liquidé la mienne sur le trajet. Sacrilège ! Plus j'avançais sur le port et plus la population semblait se densifier, surement qu'il y avait un amas de commerçants par la bas ? C'était bizarre, en fait, ils semblaient agglutinés autour de quelque chose ?... Ma curiosité prenant le dessus, tout en continuantn mon chemin, je me hissais légèrement sur la pointe des pieds, observant ce qu'il se passait .
Un spectacle de Glooby. Trois bestioles faisaient des tours devant tous les badauds attroupés. Ils sautaient dans des cercaux, se roulaient sur eux-même, se grimpaient dessus, attirant les exclamations amusées des gens attroupés.
Décéption. Ma tête pivota sur le côté, tentant d'enlever cette image stupide de mes pensées. C'est marrant, cette carriole.. ? Trois pas sur le côté , je me stoppais devant une petite carriole de marchand, sombrement décorée. Son propriétaire me tournait le dos, avec un chapeau qui semblait cacher l'arrière de sa tête.
"- Si on m'avait dit que je croiserais ma fouineuse préférée... Que fais tu donc ici, tu prépare un mauvais coup ?"
Questionnais-je, en m'accoudant à la carriole. Bon, si c'était pas "elle", j'aurais l'air terriblement cruche, le malaise aha
Et plus j'avançais vers le bout du quai, plus j'avais l'impression de sentir du Mantabu-grillé. Plus les gens m'alpaguaient, plus mon ventre hurlait comme si il voulait leur répondre d'aller au diable. Oh et j'espère qu'ils auront de quoi remplir ma flasque. Régle numéro 1, toujours sortir avec une bouteille remplie. Régle numéro 2, Si pas de bouteille, en acheter une au plus vite. J'avais liquidé la mienne sur le trajet. Sacrilège ! Plus j'avançais sur le port et plus la population semblait se densifier, surement qu'il y avait un amas de commerçants par la bas ? C'était bizarre, en fait, ils semblaient agglutinés autour de quelque chose ?... Ma curiosité prenant le dessus, tout en continuantn mon chemin, je me hissais légèrement sur la pointe des pieds, observant ce qu'il se passait .
Un spectacle de Glooby. Trois bestioles faisaient des tours devant tous les badauds attroupés. Ils sautaient dans des cercaux, se roulaient sur eux-même, se grimpaient dessus, attirant les exclamations amusées des gens attroupés.
Décéption. Ma tête pivota sur le côté, tentant d'enlever cette image stupide de mes pensées. C'est marrant, cette carriole.. ? Trois pas sur le côté , je me stoppais devant une petite carriole de marchand, sombrement décorée. Son propriétaire me tournait le dos, avec un chapeau qui semblait cacher l'arrière de sa tête.
"- Si on m'avait dit que je croiserais ma fouineuse préférée... Que fais tu donc ici, tu prépare un mauvais coup ?"
Questionnais-je, en m'accoudant à la carriole. Bon, si c'était pas "elle", j'aurais l'air terriblement cruche, le malaise aha
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
La carriole des Arhinam était dans un fossé, et les deux criminels bien disposés, dans une mise en scène parfaitement instaurée.
Le plus dur était fait, ne restait plus qu'à apporter à Amadeus les journaux intimes de sa famille. Journaux qui avaient bien sur déjà été lu et copiés avec soins avant que les originaux ne soient dissimulés dans un faux plancher. Les feuilles étaient elle soigneusement pliées, et rangées dans de petites poches sur sa tenue. Mieux valait anticiper les mauvais coup du sort, et Valeera ne comptait pas laisser à cette catin de Lucy le luxe de décider pour elle.
Mieux valait être bien sur et ne rien laisser au hasard quand on enfreignait la loi, et déjà, Valeera avait vu la garde s'agiter. Des soldats avaient même contrôler de fond en comble son chariot, passant bien sur largement à côté du faux plancher.
Ce dernier ne contenait que les journaux, et le coffre de cristaux et de bijoux qu'elle avait prit dans la villa. Ce qui était en soit bien facile à justifier pour ce qui avait de la valeur, un bon marchand avait toujours des moyens de paiement non ?
Quant aux journaux, ils seraient sans doute la partie problématique, mais la garde cherchait de grosses richesses, et n'ouvriraient sans doute pas les journaux intimes, et les livres de compte d'une marchande du nord.
Le lotus noir était donc tranquille pour cette affaire, et les gentils soldat lui avaient même fournit des papiers pour attester qu'elle avait déjà été contrôlée.
Il ne restait plus qu'à récupérer l'escorte prêtée par son client avant de partir. Elle c'étaient bien entendues toutes les deux le long de la route. Manque de chance, Valeera avait oublié de lui préciser le départ et se bornait donc à l'attendre dans la carriole, montant parfois à l'avant pour observer la foule. C'était un pari un peu fou, mais le destin avait toujours besoin d'un peu d'aide.
Pour cette Marie Madeleine, elle c'était présentée sous le nom d'Alicia, le même prénom qu'elle avait servit à Amadeus.
Son vrai prénom, peu de personnes le savait réellement, à part la seule demoiselle qu'elle avait choisie comme amie : Lizzie.
Peut être cette Marie-Madeleine ferait partit de ce cercle un jour... Mais c'était à supposer que sa loyauté à Amadeus ne soit pas plus forte que le reste.
Quoi qu'il en soit, Alicia, fut appelée par une voix reconnaissable, et reconnu la silhouette agréable et la tignasse blanche de son compagnon de voyage.
Elle fit semblant de prendre une voix offusquée avant de poursuivre.
-Mais bien sur que non Ma' ! Je suis une honnête marchande qui à finit ses affaires ici, et qui t'attendait justement pour repartir pour la capitale.
Avait-elle dit plus tôt qu'elle venait du nord ? Oui bien sur, mais jamais elle avait dit y retourner tout de suite, ses peaux avaient été remplacées par des coffres d'épices de la région, en un troc qu'elle n'avait pas supervisé, faisant jouer son réseau cabalite pour cette opération aussi simple qu'hors de sa portée.
-Et toi alors mon amie ? En quête d'une nouvelle ivresse à Grand port ? La capitale n'est donc pas ton seul lieu de débauche ?
Pour une fois tout cela était dit sur le ton de la plaisanterie. Valeera après les jours de voyage et de discussion avait fini par apprécier la simplicité de cette aventurière atypique, mais toujours honnête. Les discussions avaient été aussi variés que son épée, on son petit surnom : MMP, que Valeera trouvait bien trop peu élogieux.
Elle l'avait surnommé Ma' et avait soigneusement évitée toutes les questions personnelle quand à son sujet.
-Enfin, il serait peut être temps de rentrer à la capitale, nous avons une dizaine de jours de voyage et si ta compagnie me réjouit, je n'aimerais tout de même pas perdre trop de temps.
Les routes sont sûres, mais mes avis que les marchés de la capitale n'attendent que ces épices fines
En soit, elle se moquait bien de ces tonneaux, et les confieraient à un autre membre de la cabale pour les vendre. Ce n'était pas une tache aussi obscure que tuer des gens ou récolter des informations, mais cela simplifiait grandement la vie.
La "marchande" avait rendez vous avec un grossiste à l'entrée de la ville, et lui laisserait par la même la cariole.
-Alors, souhaite tu encore admirer ce spectacle de gloot ? Ou préfère tu embarquer dès maintenant avec moi ?
Lui dit elle avec un sourire un peu forcé par la foule aux alentours, se décalant pour lui faire une place sur la carriole
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M'attendre pour repartir... ? C'était déjà l'heure ? Mince, javais complétement zappé. Je pensais que nous repartions plus tard et pour dire vrai, cette mission de recherches our chopper les brochettes de mantabu-grillé m'avait complétement absorbé ! La remarque de la jeune femme me fit sourire.
"- Mon lieu de débauche ? Aha, Non biensûre que non, je me plais à baptiser tous les endroits où je me rends ! Attend moi encore deux minutes, j'arrive tout de suite !"
Je me détournais quelques minutes et me faufila entre deux stands avant de trouvé le saint Graal. Un homme en tablier faisait rôtir deux gloots piqué sur un morceau de bois. Ah ! Par la sainte Lucy. Je ne pris pas le temps de complimenter son stand en lui disant que j'avais salivé sur tous le quai à cause de cette odeur m'emplissant les narires mais le coeur y était. D'un signe de tête je le remerciais lorsqu'il me donna les deux brochettes en échange de cristaux. Je repris mon chemin pour revenir auprès d'Alicia et me hissais à mon tour sur la carriole, à côté d'elle. A l'allée, j'avais emprunter un cheval à la capital, qui désormais était chez le maréchal, un point de passage. Pour le etour, nous pourrions nous contenter de voyager sur la carriole, ca m'irait très bien également. Gardant l'une des brochettes en main, je tendis la seconde à la jeune femme, sait on jamais, un quatre heure, un apero, tout était pretexte pour manger.
"- Eh bien, j'ai l'impression qu'on repart aussi chargée qu'à l'allée.. Il faudrait vraiment aggrandir les autorisations pour les pass de téléportation, histoire de faire passer des marchandises plus facilement !.. "
Ca serait tellement plus rapide ! Bien que j'appreciais tout de même les excursions, mais bon.. La carriole s'avança, longeant le quartier où nous nous trouvions. Bon il nous fallait regagner la capitale désormais. Dix jours c'est long. Mais faisable, pis ca pourrait être pire, même si nous nous connaissions depuis peu, Alicia était d'agréable compagnie.
"- Dis moi, tu sais ce qui se trame toi par ici ? J'ai pu observer pas mal de gardes aux alentours.."
Pour dire vrai, Depuis que j'étais partie en quête avec Jin, je n'vais pas vu le temps défilé si vite. Ni meme suivis les actualité. Il y avait un truc qui se tramait, ca c'était sûr. Les gardes semblaient chercher quelque chose, y avait-il eu des problème d'alerte à l'attentat ? Ou des menaces envers le roi ? Mystère et boulle de gomme.
La cariolle parvint à s'extraire de la foule, nous étions enfin plus tranquille, avec un peu moins de badauds aux alentours. A quelques pas de l'entrée de la ville, nous allions pouvoir mettre les voiles et enfin commencer le trajet de retour !
"- Mon lieu de débauche ? Aha, Non biensûre que non, je me plais à baptiser tous les endroits où je me rends ! Attend moi encore deux minutes, j'arrive tout de suite !"
Je me détournais quelques minutes et me faufila entre deux stands avant de trouvé le saint Graal. Un homme en tablier faisait rôtir deux gloots piqué sur un morceau de bois. Ah ! Par la sainte Lucy. Je ne pris pas le temps de complimenter son stand en lui disant que j'avais salivé sur tous le quai à cause de cette odeur m'emplissant les narires mais le coeur y était. D'un signe de tête je le remerciais lorsqu'il me donna les deux brochettes en échange de cristaux. Je repris mon chemin pour revenir auprès d'Alicia et me hissais à mon tour sur la carriole, à côté d'elle. A l'allée, j'avais emprunter un cheval à la capital, qui désormais était chez le maréchal, un point de passage. Pour le etour, nous pourrions nous contenter de voyager sur la carriole, ca m'irait très bien également. Gardant l'une des brochettes en main, je tendis la seconde à la jeune femme, sait on jamais, un quatre heure, un apero, tout était pretexte pour manger.
"- Eh bien, j'ai l'impression qu'on repart aussi chargée qu'à l'allée.. Il faudrait vraiment aggrandir les autorisations pour les pass de téléportation, histoire de faire passer des marchandises plus facilement !.. "
Ca serait tellement plus rapide ! Bien que j'appreciais tout de même les excursions, mais bon.. La carriole s'avança, longeant le quartier où nous nous trouvions. Bon il nous fallait regagner la capitale désormais. Dix jours c'est long. Mais faisable, pis ca pourrait être pire, même si nous nous connaissions depuis peu, Alicia était d'agréable compagnie.
"- Dis moi, tu sais ce qui se trame toi par ici ? J'ai pu observer pas mal de gardes aux alentours.."
Pour dire vrai, Depuis que j'étais partie en quête avec Jin, je n'vais pas vu le temps défilé si vite. Ni meme suivis les actualité. Il y avait un truc qui se tramait, ca c'était sûr. Les gardes semblaient chercher quelque chose, y avait-il eu des problème d'alerte à l'attentat ? Ou des menaces envers le roi ? Mystère et boulle de gomme.
La cariolle parvint à s'extraire de la foule, nous étions enfin plus tranquille, avec un peu moins de badauds aux alentours. A quelques pas de l'entrée de la ville, nous allions pouvoir mettre les voiles et enfin commencer le trajet de retour !
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Valeera attendit quelques instant que la jeune femme aille chercher ses brochettes, la connaissant, elle devait les chercher depuis un petit moment. Marie Madeleine, quand elle avait une idée en tête... Même un Fenrir n'aurait pu la faire changer d'avis. Et le Lotus Noir avait de toute façon tout son temps, avec les papiers de la garde, c'était tellement plus simple...
Un jour il faudrait qu'elle pense à s'infiltrer dans une caserne pour voler un tampon, mine de rien ce genre de petits objet devenait très pratique.
Elle reçu avec un grand sourire la nourriture mordant timidement dans la viande. Finalement... ce n'était pas si mauvais que ça, et elle prit le temps de finir un quartier entier avant de répondre à son acolyte
-Mais cela nous priverais de bien des avantages de la route, nous ne pourrions pas faire la route ensemble, et vadrouiller dans le pays !
Et cela mettrait sur la paille les bandits de grand chemin, et limiterait les hors la loi à des pillage de boutique. Elle même n'avait jamais dévalisée une carriole sur une route, mais elle imaginait que c'était amusant. Enfin... elle préférait de toute façon les gros coups comme celui qu'elle avait fait cette nuit.
D'ailleurs de petites cernes étaient visibles sous ses yeux, on ne passait pas une nuit éveillé sans en subir quelques conséquences
Commençant à guider la carriole hors de la ville elle répondit en retenant un gloussement.
-Oh tu sais moi... je ne m'informe pas trop de l'agitation des grandes villes, mais le garde qui m'a contrôlé m'a parlé d'une villa de noble cambriolée, une grosse somme dérobée.
Autant te dire que ce n'est pas nous, si j'avais cette "grosse somme" je ne serais pas marchande ! Disons plutôt... comtesse ! Dans l'ouest
La grosse somme avait été éparpillée autour du lieu de "l'accident" et il ne restait qu'un coffret richement garni de bijoux et de cristaux de bonne couleur, ce qui représentait tout de même une somme colossale, mais bien moins qu'initialement.
Voilà qui servirait sans doute à.... Et bien... elle n'avait pas encore de plan pour ces cristaux, mais sans doute Amadeus aurait quelques financement supplémentaire de la part d'un généreux donateur. Ce petit bonhomme avait du potentiel, et surtout... avait suffisamment à craindre d'elle pour travailler sans poser de questions.
A l'entrée, il y eut un nouvel arrêt alors que les gardes inspectaient les marchandises, une formalité qui fut grandement raccourcit par son laissé passé. Et le plus jeune des soldats tenta même un timide coucou aux deux demoiselle.
Alicia la marchande lui offrit un sourire, alors que Valeera la hors la loi, intérieurement lui aurait craché au visage.
Mais le Lotus Noir devait se montrer discrète.
Enfin ce fut la grande route, une dizaine de jours de voyage aux commandes de cette petite carriole qui ne payait pas de mine
-Alors, qu'à tu fais de tes deux jours à grand port ? Alcool et ? Tu n'aurai pas cherché quelques noises dans les tavernes ?
Valeera observa l'immense épée que la Ma' avait toujours près d'elle doutant de pouvoir ne serait-ce que la soulever.
-Ta chère amie a t'elle servit ?
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"- Si tu savais ... "
Mes deux jours ici s'étaient révélés hasardeux. Alcool, jeu, pêche à la ligne... C'était presque honteux.
"- Lorsque j'étais à la taverne, un homme s'est assis en face de moi et m'a proposé un jeu. Boh tu l'as compis, je suis pas trop le genre à refuser de jouer, il m'avait apporté une pinte en plus. Et au final j'ai gagné une canne à pêche. Pour la première fois de ma vie, j'ai testé cette pratique... Même pas un mantabu attrappé, j'étais déçue. Tout ce que j'ai réussi à sortir de l'eau, c'était une botte...."
Haussement d'épaule. C'était pas la fin du monde. Mais j'avoue que j'avais presque été déçue de ne pas arriver à chopeer l'une de ces petites raies. Peut-être n'avais-je pas assez renverser d'alcool dans l'eau pour les faire venir ? Allez savoir. Avachis sur le dossier de l'assise, je me laissais guider par notre conductrice en chef. Déjà en règle, elle franchissait tous les petits contrôles des gardes, contrairement à certains badauds. Mon regard s'était stoppé sur une autre cariole à côté de nous, où un homme arrétait pas de lever les bras en l'air, en scandant que c'était une abbération de se faire controler ainsi. Qu'il se sentait souillé, humilié, violé de tout son être. Sourcil droit arqué, je me demandais bien pourquoi il s'agitait autant. C'était cruellement une diversion pour tenter de dissuader les gardes de continuer mais en vain. Car ils trouvèrent quelque chose qui fit palîre le marchand. De là ou je me trouvais je ne voyais qu'une sachet transparant. Des os de gloot ou des cristaux en poudre, je n'aurais sû dire, mais en tout cas, ca me fit ricanner.
"- Et toi, tu es allée trainer par où ?"
Même si j'affichais la plus grande transparence vis à vis d'Alicia, je me doutais que ce n'étais pas totalement la même de son côé, elle restait evasive sur certains sujets. Je savais qu'Amadeus traiait avec elle, mais sur d'autres sujets. Pas que dans la vente. Le fait est que je n'en savais pas plus. Sur son passé ou sa vie à lui non plus dans le fond. J'en savais ce qu'il voulait bien me dire mais je n'avais jamais cherché plus loin. Il me payait à faire une mission, j'y allais, point. Et même si nous en venions à nous cotoyer de temps à autre, les sujets trop personnels ne prenaient jamais le dessus.
"- Parce que tu as une de ces mines, on dirait que c'est toi qui a passé la soirée à la taverne aha"
Mes deux jours ici s'étaient révélés hasardeux. Alcool, jeu, pêche à la ligne... C'était presque honteux.
"- Lorsque j'étais à la taverne, un homme s'est assis en face de moi et m'a proposé un jeu. Boh tu l'as compis, je suis pas trop le genre à refuser de jouer, il m'avait apporté une pinte en plus. Et au final j'ai gagné une canne à pêche. Pour la première fois de ma vie, j'ai testé cette pratique... Même pas un mantabu attrappé, j'étais déçue. Tout ce que j'ai réussi à sortir de l'eau, c'était une botte...."
Haussement d'épaule. C'était pas la fin du monde. Mais j'avoue que j'avais presque été déçue de ne pas arriver à chopeer l'une de ces petites raies. Peut-être n'avais-je pas assez renverser d'alcool dans l'eau pour les faire venir ? Allez savoir. Avachis sur le dossier de l'assise, je me laissais guider par notre conductrice en chef. Déjà en règle, elle franchissait tous les petits contrôles des gardes, contrairement à certains badauds. Mon regard s'était stoppé sur une autre cariole à côté de nous, où un homme arrétait pas de lever les bras en l'air, en scandant que c'était une abbération de se faire controler ainsi. Qu'il se sentait souillé, humilié, violé de tout son être. Sourcil droit arqué, je me demandais bien pourquoi il s'agitait autant. C'était cruellement une diversion pour tenter de dissuader les gardes de continuer mais en vain. Car ils trouvèrent quelque chose qui fit palîre le marchand. De là ou je me trouvais je ne voyais qu'une sachet transparant. Des os de gloot ou des cristaux en poudre, je n'aurais sû dire, mais en tout cas, ca me fit ricanner.
"- Et toi, tu es allée trainer par où ?"
Même si j'affichais la plus grande transparence vis à vis d'Alicia, je me doutais que ce n'étais pas totalement la même de son côé, elle restait evasive sur certains sujets. Je savais qu'Amadeus traiait avec elle, mais sur d'autres sujets. Pas que dans la vente. Le fait est que je n'en savais pas plus. Sur son passé ou sa vie à lui non plus dans le fond. J'en savais ce qu'il voulait bien me dire mais je n'avais jamais cherché plus loin. Il me payait à faire une mission, j'y allais, point. Et même si nous en venions à nous cotoyer de temps à autre, les sujets trop personnels ne prenaient jamais le dessus.
"- Parce que tu as une de ces mines, on dirait que c'est toi qui a passé la soirée à la taverne aha"
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Les mésaventures de Ma' avaient de quoi faire sourire, et Valeera ne s'en priva pas, imaginant sans peine l'aventurière avec sa boite au bout de sa ligne.
N'était pas doué tout le monde dans ce genre de science, et elle ne savait pas vraiment si jeter sa ligne dans l'eau suffisait à attraper un poisson.
Elle tapota l'épaule de la jeune femme avec un air compatissant.
-Allons Ma', ce n'est que de la pèche, personnellement j'ai toujours préféré le plancher des gloot à l'eau, j'aime savoir ce qu'il y a sous mes pieds et puis.... je préfère la brochette que tu m'a donnée plutôt qu'un poisson frit.
Quand la question revint sur son activité, elle fut bien obligée de répondre, et ne dit que la moitié d'un mensonge, ou la moitié de la vérité, au choix.
-Au marché pardi ! J'avais besoin d'aller voir un contact pour trouver preneur pour mes peaux, pas le plus charmant des hommes, un peu rustre enfin... tu sais ce genre de personnes qui se trouvent irrésistible et pensent que toutes les femmes tomberont à ses pieds.
Enfin, au moins il était efficace.
Désignant les barils d'épices à l'arrière, dont elle se moquait complètement, elle ajouta avec un soupçon de fierté feinte.
-La preuve, j'ai tout plein d'épices locales, mais je ne saurais pas toutes les nommer... Mais ça viendra peut être
Ou peut être pas ! C'était même surement ça.
Alicia eut un petit rire quand il fut mention de sa nuit.
-La folie du commerce, et l'appréhension de trouver un client, je dois avouer que je dors toujours mal avant les grosses affaires, je n'ai pas l'habitude de faire des transactions de cette échelle.
J'ai peur de me faire avoir comme une débutante.
Et il en allait de même pour le crime, et cette affaire était allée beaucoup plus vite que prévue. Et sa planification minutieuse de plusieurs semaines avait été passée à la trappe.
Mais le plus important... c'était que le grand port soit derrière.
-Manque de chance, je supporte plutôt mal les tavernes, toujours des hommes qui veulent nous voir dans leurs lits, ou des gens répugnants qui se pensent sympathique en empestant l’alcool
Je préfère les salons de thés à l'ambiance plus feutrés, les gens délicats et qui pensent avec leurs tête.
Mais que veux tu... je suis un peu particulière sur mes goûts.
D'autant plus qu'elle n'aimait que peu les endroits trop bruyant. Valeera ressemblait parfois à un de ces chats de race, bien trop heureux de briller devant le regard des gens, sans jamais être touché.
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Je ne pouvais que la rejoindre sur ce point, les brochettes de gloot c'était meilleur. Non et puis surtout, les gloots en général, peut importe comment ils étaient fait, ca donnait toujours faim. Brochette, grillé, en bacon, cuit à l'eau, dans un bouillon.. On pouvait dire ce que l'on voulait sur leur place dans le monde du fait de leur inutilité, mais, au moins, ils étaient bons à grailler. Alicia me raconta brièvement son séjour ici, elle avait fait une sacrée affaire, je crois ? Avec tous ces barils en tout genre.. Pour être honnête, la cuisine et moi, ca faisait deux. Je ne savais vraiment faire à manger, alors me servir d'épices ? Bien que j'avais une certaines cultures à ce sujet lâ, sur les plantes en tout genre, les manger ca, restait un mystère.
"- Je comprend. Lorsque je pars en mission généralement j'ai toujours un petit soupçon d'excitation. Parfois j'ai du mal à en dormir, mais c'est la qu'on peut compter sur nos vieux amis."
Je pris alors à ma ceinture la flaque qui y pendait pour en prendre une gorgée et de la tendre à ma compagne de route.
"- Rhum arrangé. Il dépote, j'ai trouvé un bon fabriquant en ville. A ma prochaine venue, je prendrais un charriot entier aha"
Si il y avait bien une chose qui m'avait frappé lors de mon voyage avec Alicia, c'était l'univers total qui nous séparait. Lorsque moi une auberge miteuse avec des latrines engorgées et des saoulards un peu insistant me faisait rire, la demoiselle était plus du genre à les fuir. Je l'imaginais bien vivre dans une petite maison toute ordonnée, avec des placards remplis de sucreries et de boite en vrac de thé. Elle devait bien s'entendre avec Amadeus de ce fait. Peut-être que le lien qui les unissait relevait donc de cela ? Ils s'étaient rencontré dans un salon de thé et levait leur petit doigt ensemble quand 'autres eux, lève le coude ? Cette pensée me fit sourire. Ou peut-être le fait de songer au marchand. Surtout sans cette position ridicule.
Notre petite carriole avançait tranquillement, le long des chemins. Cela faisait déjà un petit moment que nous aétions parties, je n'avais pas vraiment vu le temps passer. Levant le nez, mon regard cherchait le soleil qui semblait tomber petit à petit. Il nous faudrait établir un camp d'ici peu, si nous voulions être tranquilles. J'avais acheté quelques bricoles à manger, des gloots fumés et quelques légumes pour accompagner. Nous fîmes hâlte pour nous installer un peu à l'écart du chemin. La tente monté et du bois rassemblé sur le sol, je m'étais accroupis pour tenter d'allumer du feu avec deux espèces de cailloux.
"- Dis moi Alicia, pourquoi travailles-tu avec Amadeus ?"
Une curiosité. Etait-ce en effet à cause de leur point commun à lever le petit doigt en buvant leur thé ? Les deux cailloux s'entre-choquaient, produisant de maigres étincelles. Mais rien de plus. Arh. C'était pas mon fort. Si seulement Jin se trouvait là, il me l'aurait allumé en deux deux !
"- Je comprend. Lorsque je pars en mission généralement j'ai toujours un petit soupçon d'excitation. Parfois j'ai du mal à en dormir, mais c'est la qu'on peut compter sur nos vieux amis."
Je pris alors à ma ceinture la flaque qui y pendait pour en prendre une gorgée et de la tendre à ma compagne de route.
"- Rhum arrangé. Il dépote, j'ai trouvé un bon fabriquant en ville. A ma prochaine venue, je prendrais un charriot entier aha"
Si il y avait bien une chose qui m'avait frappé lors de mon voyage avec Alicia, c'était l'univers total qui nous séparait. Lorsque moi une auberge miteuse avec des latrines engorgées et des saoulards un peu insistant me faisait rire, la demoiselle était plus du genre à les fuir. Je l'imaginais bien vivre dans une petite maison toute ordonnée, avec des placards remplis de sucreries et de boite en vrac de thé. Elle devait bien s'entendre avec Amadeus de ce fait. Peut-être que le lien qui les unissait relevait donc de cela ? Ils s'étaient rencontré dans un salon de thé et levait leur petit doigt ensemble quand 'autres eux, lève le coude ? Cette pensée me fit sourire. Ou peut-être le fait de songer au marchand. Surtout sans cette position ridicule.
Notre petite carriole avançait tranquillement, le long des chemins. Cela faisait déjà un petit moment que nous aétions parties, je n'avais pas vraiment vu le temps passer. Levant le nez, mon regard cherchait le soleil qui semblait tomber petit à petit. Il nous faudrait établir un camp d'ici peu, si nous voulions être tranquilles. J'avais acheté quelques bricoles à manger, des gloots fumés et quelques légumes pour accompagner. Nous fîmes hâlte pour nous installer un peu à l'écart du chemin. La tente monté et du bois rassemblé sur le sol, je m'étais accroupis pour tenter d'allumer du feu avec deux espèces de cailloux.
"- Dis moi Alicia, pourquoi travailles-tu avec Amadeus ?"
Une curiosité. Etait-ce en effet à cause de leur point commun à lever le petit doigt en buvant leur thé ? Les deux cailloux s'entre-choquaient, produisant de maigres étincelles. Mais rien de plus. Arh. C'était pas mon fort. Si seulement Jin se trouvait là, il me l'aurait allumé en deux deux !
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Les deux amies étaient balotées par la route irrégulière, cette dernière semblant rythmer le passage du temps au fil des bosses et des trous de la voie. Mais malgré tout, la jeune femme gardait sa bonne humeur, sifflotant doucement un air connu.
Observant la flasque tendue vers elle. Hum.... elle n'aimait pas l'ambiance des tavernes mais si l'alcool était bon...
-Et bien me voilà plus cajolée qu'une unicorne dans un enclos ! Mais c'est avec plaisir que j'accepte !
Ce faisant, elle prit une bonne rasade de rhum, sentant l'alcool fort descendre le long de sa gorge pour la réchauffer doucement, dans une situation loin d'être désagréable.
Rebouchant délicatement malgré les secousses elle tendit le récipient à Ma' avant d'ajouter.
-Tu as de sacré goût en alcool ! Fait moi penser à t'accompagner quand en reprendra, j'en commanderai moi même quelques barils, cela fera très bien pour mes soirées seules chez moi hihihihi.
Un thé, ou un bon vin au coin du chauffage... Que demander de plus sinon un peu de compagnie ? Surement pas grand chose, mais rare étaient ceux à pouvoir pénétrer dans sa fausse maison. Alors pour le reste....
Le soir tombait déjà et la pause fut instaurée. Inutile de monter un gros camp, une simple tente partagée suffirait amplement, Valeera avait dormit dans pire et ici, le tapis d'herbes vertes était largement plus confortable qu'un lit moisi dans les quartiers pauvre de la capitale.
Alors que l'aventurière tentait d'allumer un feu, elle se mit à poser une question qui fit sourire "Alicia", qui se plaça en face d'elle ses yeux jaunes brillant sous le clair de lune.
-Pourquoi lui ? Hum c'est vrai qu'il n'a pas grand charme, mais il m'est à toute fin... plutôt rentable et utile, j'ai passé un accord avec lui, qui, crois le ou non, m'est très profitable.
Et tant que cela me rapporte des cristaux, je continue.
Bon je te sens bloquée, laisse moi essayer.
Prenant les deux silex dans ses mains d'apparence délicate, elle commença à les frapper énergiquement, près du petit bois, jusqu'à ce qu'une petite étincelle ne tombe dans les brindilles sèche. Après quelques léger souffle, le tas parti et elle le plaça précautionneusement dans le feu.
-Sacré marchande hein !
Et toi Ma', pourquoi reste tu attachée à lui, c'est une question sentimentale ? Ou plus terre à terre ?
Je fais ça pour l'argent, toi tu ne m'a pas dit. Il n'a pas l'air d'être le genre d'homme à fréquenter les tavernes. Et pourtant... tu semble y tenir.
Le regard plongé dans le sien, de petites flammes commençait à s'échapper du tas de bois, dégageant une douce chaleur.
Quittant cet air de prédateur bien peu représentatif d'un marchand elle reprit plus légèrement.
-En tout cas je ne te le volerai si c'est ce que tu veux savoir hihihihhi
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Genoux au sol, je tentais en vain d'allumer ce feu. Persévérence mon pays.. Mais ca ne fonctionnait pas. Pourtant Alek m'avait montré comment faire,alors pourquoi là je n'y arrivais pas ? Ah. Peut-être pas les bonnes caillasses ? Visiblement si, puisqu'Alicia y parvint sans la moindre difficulté. Pour une petite machande qui ne payait pas de mine, elle était plutôt agile de ses mains. Assise en tailleur, je pris dans mon sac les mets achetés plus tôt sur le marché; des tomates et les morceaux de gloot fumé. Le marchand, prévoyant m'avait donné quelques piques à brochettes, ce qui nous permettait d'embrocher les morceau de viande ainsi que les tomates une fois coupé et de les mettre au dessus du feu. Levant les yeux vers Alicia, je pris un air dubitatif. Me le voler ? De qui, mon boulot ?
"- Ah non non.. Ce n'est pas mon genre."
Ce qu'il s'était passé à la taverne, c'était des délires d'alcoolique complétement ivre non ? Amadeus n'était pas du tout dans mes critères de séléctions, de base. Beaucoup trop éffémine, fin, un corps sans cicatrices, un mannequin en sommes. Moi je regardais les vieux loups de mers attaqués par la vie. Allez savoir.
J'ai débarqué dans sa boutique un jour, pour casser la gu-... Euh. Regler une petite broutille avec un sale type. Et depuis Amad' vient me voir lorsqu'il à besoin de quelques services. J'imagine qu'il avait dû me prendre pour un mercrenaire.. Mais je ne vais pas m'en plaindre, on ne dit jamais non à quelques cristaux !
Attiré par l'odeur que la viande dégageait, un petit animal s'approcha de nous.
"- Oust va-t-en toi !"
Lui ordonnais-je en lui jetant un morceau de tomate. L'animal s'approcha, le renifla avant de partir en courrant. Rien de mieux pour faire fuir un petit carnivore,: lui donner des légumes. Ca marche pareil, avec les humains. Tournant les brochettes, mon regard se reporta sur ma bouteille que j'avais dégotée avant de l'ouvrir et d'en boire un coup. Apéro ?
"- Et une fois rentrée à la capitale, tu as déjà une idée des projets qui t'attendent ? J'imagine que vendre tes épices cela va être fait en un rien de temps ! Tu vas t'en débarasser aussi vite que tu les as obtenu.. Es-tu spécialisés dans le commerce d'autres choses.. ?"
Du genre, illégaux ? C'était peut-être cela, le truc entre eux deux. Amadeus faisait-il des armes pour une rebellion, ou que sais-je ?
"- Ah non non.. Ce n'est pas mon genre."
Ce qu'il s'était passé à la taverne, c'était des délires d'alcoolique complétement ivre non ? Amadeus n'était pas du tout dans mes critères de séléctions, de base. Beaucoup trop éffémine, fin, un corps sans cicatrices, un mannequin en sommes. Moi je regardais les vieux loups de mers attaqués par la vie. Allez savoir.
J'ai débarqué dans sa boutique un jour, pour casser la gu-... Euh. Regler une petite broutille avec un sale type. Et depuis Amad' vient me voir lorsqu'il à besoin de quelques services. J'imagine qu'il avait dû me prendre pour un mercrenaire.. Mais je ne vais pas m'en plaindre, on ne dit jamais non à quelques cristaux !
Attiré par l'odeur que la viande dégageait, un petit animal s'approcha de nous.
"- Oust va-t-en toi !"
Lui ordonnais-je en lui jetant un morceau de tomate. L'animal s'approcha, le renifla avant de partir en courrant. Rien de mieux pour faire fuir un petit carnivore,: lui donner des légumes. Ca marche pareil, avec les humains. Tournant les brochettes, mon regard se reporta sur ma bouteille que j'avais dégotée avant de l'ouvrir et d'en boire un coup. Apéro ?
"- Et une fois rentrée à la capitale, tu as déjà une idée des projets qui t'attendent ? J'imagine que vendre tes épices cela va être fait en un rien de temps ! Tu vas t'en débarasser aussi vite que tu les as obtenu.. Es-tu spécialisés dans le commerce d'autres choses.. ?"
Du genre, illégaux ? C'était peut-être cela, le truc entre eux deux. Amadeus faisait-il des armes pour une rebellion, ou que sais-je ?
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Pas son genre hein ? Comme Valeera, Ma' était ce genre de personne qui préférait les cristaux aux relations amoureuses et... cela elle pouvait très bien le comprendre, et aurait été plus que mal avisée de lui le reprocher. Bien au contraire. Voilà bien une chose que son déguisement de marchande pouvait lui permettre : être honnête la dessus.
-Oh que non, les cristaux donnent le sourire et rendent la vie bien plus facile, même si je n'en manque pas, j'aime avoir de bon petits stocks, et on n'est jamais à l'abris des problèmes !
Je n'ai que peu de dépenses, mais j'essaye d'investir dans de bon tuyaux.
Bon dans la réalité, elle avait énormément de dépenses, et l'argent de ses travaux était surtout destinés à des aménagements divers dans sa vrai et fausse maison. Mais aussi pour graisser quelques pattes et entériner sa couverture.
Etre hors la loi, c'était des frais !
Observant l'aventurière jeter un morceau de légume à un nuisible, elle sourit largement en comprenant le sous entendu, se mettant à rire.
-J'ai un contact à qui donner la marchandise, ça me fera une somme assez rondelette, car cette route n'est pas la plus sure, surtout quand on a un gros chargement. C'est d'ailleurs pour cela que tu été mise avec moi.
Quand à mes autres commerces.... C'est à croire que tu me crois fourbe comme un globou !
Allez elle pouvait bien se permettre d'être honnête une fois avec cette gentille Ma' qui, à vrai dire, lui inspirait bien plus confiance qu'Amadeus ou ce cher Robhan.
-Disons que je commerce aussi des informations, quand on voyage ainsi, c'est rentable, ça ne prend pas de place et ça rajoute un peu de viande au fond de la marmite. Le cours des épices, pourquoi le forgeron d'à côté est meilleur que moi, pourquoi la taverne reçoit de la bière Burgman et pas moi.
Bon il y avait aussi le côté, menacer le fournisseur pour changer l'approvisionnement, mais c'était un détail de l'histoire.
Et puis... c'était un peu comme être une vraie marchande et négocier de termes d'un contrat, sauf qu'elle ne laissait pas le choix.
-Mais pour te répondre, je pense qu'une fois rentrée, je reprendrais mon travail un peu moins aventureux, à vendre au plus offrant et à continuer à développer mes contacts
Et ses moyens de pressions surtout, et d'avantage maintenant qu'elle savait que des familles nobles avaient de sales petit secrets comme les Arkhinam
Faire chanter les gens serait d'autant plus amusant.
-Et toi Ma' ? Une fois rentrée quel est le programme ?
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Pour le coup, elle n'avait pas tout à fait tord ! Menteur était le bonhomme qui avait décrété "les cristaux ne font pas le bonheur". C'est clair que lorsque tu es à la rue à fouiller la poubelle pour nourire ta famille, tu es heureux. A pardon, tu as ta famille c'est vrai. Mais bon, elle crève de faim et se nourri à sucer des arrêtes de poissons, c'est clair que la vie est heureuse ! Non, franchement, un peu de cristaux, ca faisait pas de mal. Au moins pour s'acheter une bouteille ! Tu es dans la rue seul certes, mais "avec ton pinard, la vie est plus dard".
Les dépenses d'Alicia me faisait penser d'elle que c'était une personne très responsable... Amusant, elle avait dans les yeux une flamme de malice, je l'aurais bien vue avec une double vie.. Marchande le jour, et séductrice avérée et amoureuse de jeux d'argent la nuit. Mais visiblement non. Bien que je l'imaginais bien dans son second rôle. Fourbe comme un globou ? L'expression me fit sourire.
"- Je me demande bien d'où tu la tire celle là, cette expression ! C'est la première fois que je l'entend aha"
Ouai non mais surtout pour l'image ! Parce que comparer Alicia, avec son teint clair et ses traits délicat de poupée face à un globou qui se nourris de déchets et dont l'aspect est quelque peu répugnant, c'était un peu compliquer à imaginer ! Croquant dans la viande pour l'extraire du baton de bois qui la maintenait, je réfléchissais un peu. Des contacts sur la capitale ? C'est vrai que je n'en avais pas beaucoup dans ce milieu. Le seul vrai marchand avec qui je travaillais c'était Amadeus, et puis bon, Marty, le tarvernier où je dilapidais mes thunes mais bon..
"- Je pense aller à la guilde d'ici peu, y'a pas mal de boulot en ce moment. Mais avant ça, je dois aller récuperer mon familier. Je me suis procuré un coeurl juste avant notre départ, alors je l'ai laissé à un ami à moi le temps de la mission, pour qu'il ne nous pose pas de soucis. Il est un peu fougueux faut dire aha... "
J'avais hâte de le revoir d'ailleurs, j'esperais das le fond que Alek, -l'homme qui fut le tuteur de MMP plus jeune – avait réussi à s'occuper de la bête et avait réussi à en faire quelque chose.. C'était pas dit. C'était même pas du tout coool de ma part car à peine adopté je le lui avais refourgué. Mais bon, euh, je me voyais pas arpenter les chemins avec un familier qui ne pense qu'à bouffer et bouffer.
"- Tu as des familiers chez toi ?"
Les dépenses d'Alicia me faisait penser d'elle que c'était une personne très responsable... Amusant, elle avait dans les yeux une flamme de malice, je l'aurais bien vue avec une double vie.. Marchande le jour, et séductrice avérée et amoureuse de jeux d'argent la nuit. Mais visiblement non. Bien que je l'imaginais bien dans son second rôle. Fourbe comme un globou ? L'expression me fit sourire.
"- Je me demande bien d'où tu la tire celle là, cette expression ! C'est la première fois que je l'entend aha"
Ouai non mais surtout pour l'image ! Parce que comparer Alicia, avec son teint clair et ses traits délicat de poupée face à un globou qui se nourris de déchets et dont l'aspect est quelque peu répugnant, c'était un peu compliquer à imaginer ! Croquant dans la viande pour l'extraire du baton de bois qui la maintenait, je réfléchissais un peu. Des contacts sur la capitale ? C'est vrai que je n'en avais pas beaucoup dans ce milieu. Le seul vrai marchand avec qui je travaillais c'était Amadeus, et puis bon, Marty, le tarvernier où je dilapidais mes thunes mais bon..
"- Je pense aller à la guilde d'ici peu, y'a pas mal de boulot en ce moment. Mais avant ça, je dois aller récuperer mon familier. Je me suis procuré un coeurl juste avant notre départ, alors je l'ai laissé à un ami à moi le temps de la mission, pour qu'il ne nous pose pas de soucis. Il est un peu fougueux faut dire aha... "
J'avais hâte de le revoir d'ailleurs, j'esperais das le fond que Alek, -l'homme qui fut le tuteur de MMP plus jeune – avait réussi à s'occuper de la bête et avait réussi à en faire quelque chose.. C'était pas dit. C'était même pas du tout coool de ma part car à peine adopté je le lui avais refourgué. Mais bon, euh, je me voyais pas arpenter les chemins avec un familier qui ne pense qu'à bouffer et bouffer.
"- Tu as des familiers chez toi ?"
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Ou avait elle entendu cela ? Devait elle vraiment relater de son enfance dans les bas quartiers ? Mieux ne valait pas, car si fouiller les poubelles avait pu la nourrir, elle aurait sans doute préféré. Mais c'était une vieille histoire, et elle avait laissé ces histoires sordides loin derrière, vivant justement dans son propre luxe, bien loin de la crasse des ruelles.
Elle eut donc un petit rire au moment de répondre.
-Disons qu'en discutant avec des gens... j'ai croisés quelques personne peu scrupuleuses prêtes à faire tout les petits boulots, même à trahir les gens pour un quelconque avantage, alors ça m'est resté !
Bon, c'était elle qui plantait une dague dans le dos de ses alliés le plus souvent, mais encore une fois, un léger détails inutile à préciser. Sans doute MMP la verrait bien différemment si elle la connaissait vraiment. Et Valeera, elle aimait bien l'aventurière dans sa simplicité.
Autant ne pas se faire d'ennemi dans des moments pareils non ?
-Ah un familier, je t'aurai bien imaginé avec un qui puisse porter ta boisson le long de tes aventures, un requin saoulard si tu étais restée au grand port peut être ?
Mais à la question pourtant simple, elle ne put répondre grand chose. Peu de familier se prêtaient à sa vie, et peu étaient capable de créer un lien avec la jeune femme qui avait fait de sa vie une forteresse de solitude, et peu encline à laisser quelqu'un la blesser.
Réfléchissant, elle finit par dire.
-Ma foi, non je n'en ai pas, mais un jour pourquoi pas, j'i entendu dire que les obscuris et les bastets pouvaient être de très bon compagnon pour peu qu'on arrive à les approcher
Des animaux soient très craintifs et invisible, soit détestant cordialement les gens, autant dire qu'ils étaient conforme en tout point au caractère de la jeune femme.
Mais pour l'instant ce serait beaucoup trop de contrainte pour un avantage bien incertain. Le jour ou elle se lasserait de la solitude, pourquoi pas. D'ici là, l'eau avait le temps de couler sous les ponts.
-Qui sait, un jour tu me verra peut être avec un félin sur l'épaule hihihihi.
Un félin sur un félin, l'effet serait sans doute saisissant, surtout si la créature se montrait aussi précieuse que Valeera
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"- Aaaah non pas du tout ! "
Un familier alcoolique ! Eh bien quelle drôle d'image que voilà ! Bien que, accessoirement j'avais quelques connaissances qui travaillaient le cuir en ville et peut-être pourrais-je négocier un harnais pour y accrocher des bouteilles ? Je fis un hochement de tête amusé, y'avait de l'idée tout de même ! Mais pas sûre que Rhésus n'apprécie réellement la farce. La jeune femme elle me rapportait qu'elle se voyait plus avec un obscuris ou un bastet. Autant deire deux ête totalement différente de mon coeur, et encore plus différente l'une de l'autre.. Mais ils avaient un point commun, le fait de ne pas trop apprecier la compagnie des humains. Etrange choix. Enfin, à regarder de plus près, prendre un coeurl, c'était pas non plus le même rapport qu'un gloot. Brochette finie, je pris une gorgée du rhum qui se tenait encore dans ma flasque. Quelques descentes de la flasque en plus avec ma compagne de route avant d'aller nous coucher.
Autant dire que le réveil fut matinal pour nous deux, la toile de tente laissant filtrer la lumière du jour et nous reveiller progressivement. Mais un mal pour un bien, nous pouvions reprendre la route de bonne heure ainsi. Une fois notre matériel rangé, un peu de nourriture dans le gosier, nous reprîmes la route tranquillement sur les chemin. Deux bonnes heures s'était écoulées, au moins, avant que surgisse de nul part trois hommes vétus de noirs.. Un flash venait de me traverser, me faisait comprendre que d'ici peu, nous ne serions plus seule. Riven étant trop loin de ma portée, je me redressais d'un coup et sorti de ma botte une épée courte avant de sauter sur le chemin, et d'aller frapper ma lame contre celle de cet inconnu qui venait de surgir et se planter en plein milieu du chemin, forçant la cariole à s'arreter. Il avait eu d'excellents reflexes.. Dans un même temps, deux hommes venaient de débarquer sur les côtés, nous prenant en tenaille. L'homme me jaugea, avant de me repousser avec son épée. Je fis un pas en arrière, me remettant en garde.
(Brigand 1) "- Degagez d'la cariole mes p'tites dames, et on vous laissera tranquilles."
Des voleurs ? Ca m'en avait tout l'air. Pour le coup, le voyage se passait beaucoup trop bien jusqu'à présent.. En un contre un, j'aurais pu me les faire facilement. Mais le fait qu'Alicia soit là et que je ne sache pas ses compétences, il m'était difficile de sauter d'un côté et de la laisser s'exposer seule à l'un deux. Alors il me restait plus qu'à attrapper le chef non ? La tête sur serpent coupé, il me serait plus simple de dissuader les deux autres.
"- Vous comptez faire quoi, prendre à de pauvres jeunes femmes sans défenses leur chargement et les laisser au bas de la route, à l'affut des truands en tout genre ?"
Questionnais-je, sans vraiment en vouloir la réponse. Alors que je m'appretais à relancer un assaut contre l'homme face à moi, au cheval surgissa alors des buissons à toute hâte. Dessus, un homme avec un chapeau de mousquetaire horné d'une plume.
(Robin ?) "- Ôtez vos mains de ces pauvres femmes en detresses !"
Abboya-t-il alors, avant de se mettre pied à terre et de se mettre ne garde contre l'homme situé sur la droite. Ce dernier leva la tête et croisa le regarde d'Alicia.
(Robin) "- Ne vous inquietez pas gentes dames, je suis ici pour vous sauvez!"
"- Non mais il veut quoi Robin des noix ?"
On nage en plein délire ? J'sais pas ce que j'avais bu ce matin, mais c'était de la bonne.
Un familier alcoolique ! Eh bien quelle drôle d'image que voilà ! Bien que, accessoirement j'avais quelques connaissances qui travaillaient le cuir en ville et peut-être pourrais-je négocier un harnais pour y accrocher des bouteilles ? Je fis un hochement de tête amusé, y'avait de l'idée tout de même ! Mais pas sûre que Rhésus n'apprécie réellement la farce. La jeune femme elle me rapportait qu'elle se voyait plus avec un obscuris ou un bastet. Autant deire deux ête totalement différente de mon coeur, et encore plus différente l'une de l'autre.. Mais ils avaient un point commun, le fait de ne pas trop apprecier la compagnie des humains. Etrange choix. Enfin, à regarder de plus près, prendre un coeurl, c'était pas non plus le même rapport qu'un gloot. Brochette finie, je pris une gorgée du rhum qui se tenait encore dans ma flasque. Quelques descentes de la flasque en plus avec ma compagne de route avant d'aller nous coucher.
Autant dire que le réveil fut matinal pour nous deux, la toile de tente laissant filtrer la lumière du jour et nous reveiller progressivement. Mais un mal pour un bien, nous pouvions reprendre la route de bonne heure ainsi. Une fois notre matériel rangé, un peu de nourriture dans le gosier, nous reprîmes la route tranquillement sur les chemin. Deux bonnes heures s'était écoulées, au moins, avant que surgisse de nul part trois hommes vétus de noirs.. Un flash venait de me traverser, me faisait comprendre que d'ici peu, nous ne serions plus seule. Riven étant trop loin de ma portée, je me redressais d'un coup et sorti de ma botte une épée courte avant de sauter sur le chemin, et d'aller frapper ma lame contre celle de cet inconnu qui venait de surgir et se planter en plein milieu du chemin, forçant la cariole à s'arreter. Il avait eu d'excellents reflexes.. Dans un même temps, deux hommes venaient de débarquer sur les côtés, nous prenant en tenaille. L'homme me jaugea, avant de me repousser avec son épée. Je fis un pas en arrière, me remettant en garde.
(Brigand 1) "- Degagez d'la cariole mes p'tites dames, et on vous laissera tranquilles."
Des voleurs ? Ca m'en avait tout l'air. Pour le coup, le voyage se passait beaucoup trop bien jusqu'à présent.. En un contre un, j'aurais pu me les faire facilement. Mais le fait qu'Alicia soit là et que je ne sache pas ses compétences, il m'était difficile de sauter d'un côté et de la laisser s'exposer seule à l'un deux. Alors il me restait plus qu'à attrapper le chef non ? La tête sur serpent coupé, il me serait plus simple de dissuader les deux autres.
"- Vous comptez faire quoi, prendre à de pauvres jeunes femmes sans défenses leur chargement et les laisser au bas de la route, à l'affut des truands en tout genre ?"
Questionnais-je, sans vraiment en vouloir la réponse. Alors que je m'appretais à relancer un assaut contre l'homme face à moi, au cheval surgissa alors des buissons à toute hâte. Dessus, un homme avec un chapeau de mousquetaire horné d'une plume.
(Robin ?) "- Ôtez vos mains de ces pauvres femmes en detresses !"
Abboya-t-il alors, avant de se mettre pied à terre et de se mettre ne garde contre l'homme situé sur la droite. Ce dernier leva la tête et croisa le regarde d'Alicia.
(Robin) "- Ne vous inquietez pas gentes dames, je suis ici pour vous sauvez!"
"- Non mais il veut quoi Robin des noix ?"
On nage en plein délire ? J'sais pas ce que j'avais bu ce matin, mais c'était de la bonne.
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
La matinée s'annonçait radieuse, et à peine levée, Valeera s'éclipsa dans le chariot, entre les tonneaux pour faire sa toilette matinale, étant toujours aussi intransigeante sur l'hygiène que si elle était en ville. Pas question d’empester comme tout ces voyageurs !
La route reprit donc après que tout soit rangé, même si la toile ne prenait pas tant de place que ça. Pas une fois le Lotus noir ne chercha à couvrir ses traces en dispersant la cendre ou quoi que ce soit. Si quelqu'un les suivait, il valait mieux qu'il ai quelque chose à se mettre sous la dent, un marchand qui rendait place propre et qu'on ne pouvait pas suivre, c'était suspect, et Valeera n'avait pas tellement envie d'attirer une attention non nécessaire.
Et soudainement, comme pour gâcher la journée du Lotus noir, des bandits débarquèrent sur la route...
Cette catin de Lucy en soit témoin, le sort s'acharnait. Des bandits.... et pas les meilleurs vu leurs façon de faire.
Néanmoins Ma' eut un réflexe surprenant qui justifia soudainement le prix qu'avait mis Amdeus dans son recrutement.
A peine de retour sur le plancher des gloots, elle fonça sur le premier adversaire avec un sourire appréciateur de la criminelle derrière elle.
Mais quand l'autre énergumène sortit des buissons avec son ridicule chapeau, s'en fut presque trop pour "Alicia" qui dut garder tout son calme pour ne pas sauter sur n'importe lequel de ces guignol pour lui créer une nouvelle voie respiratoire avec sa dague.
Cela dit, si un guignol s'amusait à venir les sauver... autant le laisser faire surtout s'il se faisait tuer dans la manœuvre
Prenant un faux air de femme en détresse, elle regarda le nouvel énergumène avec une voix si fausse qu'un comédien en aurait rougit de honte, mais difficile de le savoir sans la connaitre
-Oh oui sauvez nous brave chevalier
Comme si elle avait besoin d'aide pour battre ces trois idiots. En terme de force brute, ils la dominaient, mais l'arme de Valeera n'était pas la maitrise martiale, mais celle de a dague et du poison. Ce qui ferait une mort nettement moins honorable.
Sa dague de l'hydre collée contre sa cuisse, elle faisait de son mieux pour ne pas la tirer, cela grillerait sans doute sa couverture.
Alors, elle resta là, observant MMP et ce Robien des bois sortit de nul part, les deux occupant les bandits. Enfin seulement deux, et le troisième s'empressa de monter pour prendre la fausse marchande en otage, passant un bras sous sa gorge et pointant une dague vers son visage.
-Jetez vos armes ou je butte la donzelle !
Hurla t'il alors que l'air de Valeera prit un ennui profond.
Observant la dague bon marché dirigée vers elle.
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C'était une évidence, que les routes n'étaient pas sûres, mais qu'elles étaient à la porté de n'importe quel badaud du coin se statuant comme "voyou" ? Non parce que là clairement, ils donnaient plus l'impression d'être des branquignols que des malfrats organisés. L'homme face à moi était vétu de noir, avec une cape de couleur kaki. Il portait également un foulard devant sa bouche, comme les deux autres. Mais il était facile de s'imaginer le retrouver plus tard. Il avait deux piercings au niveau de l'arcade, deux marques totalement distinctives, niveau discrétion c'était pas trop ca.
La remarque de la jeune femme me fit sourire. "chevalier" ? Etions-nous encore aux temps des rois et des croisades ? Aha oui. Probablement oui. On aurait dit une scène de théatre pour laquelle je n'avais pas signé pourtant ! Mais bbon, nous y voilà. Notre Robin des Noix eu un frémissement lorsque le roisième homme s'élança pour monter sur la cariole. Il se cabra et tendis sa fine lame devant lui, tout en dressant son deuxième bras en l'air dans un demi arc.. La bouche à demi ouverte, le briguant percé et moi-même échangions un regard hébété.
(Brigand 1)- N'as tu rien compris pauv' cloche ? Mon collègue a dit qu'il allait butter la demoiselle !
Il me fallait neutraliser ce mec. Genre, rapidement. Admettons que mr des Noix sache combattre, il occuperait l'autre gars quelques minutes. Ca me serait suffisant pour le retenir et moi de faire demi-tour et de m'occuper du second. Le problème c'est qu'Alicia se trouve actuellement à la merci de l'autre gars.. Ce qui me laissait vraiment très peu de marche de manoeuvre. Il fallait réfléchir à un plan et..
Pas le temps de faire plus. L'autre abruti se jetait corps et âme à l'assaut du brigand face à lui. Il fallait réagir maintenant. Sans plus attendre. Je fis alors un bond devant moi pour venir échanger des coups de lame avec celle de mon adversaire actuel. Il n'était pas mauvais, mais clairement, le dextérité lui manquait. D'autant plus que je n'avais pas Riven. Moi qui était habituée à frapper de taille plutôt que d'estoc, je devais adapter ma technique. Après quelques échanges, je parvins à crée une ouverture. L'homme se retrouva le bras en l'air, c'est le moment que j'avais choisis pour lui retourner un coup de pied dans l'abdomen. Le choc le repoussa avant qu'il ne tombe sur les fesses. Mais je n'attendis pas de regarder sa chutte, me tournant rapidement pour m'élancer vers Alicia. Mais c'était trop tard, l'homme s'élançait vers Valeera pour la planter de son épée. Tentant le tout pour le tout, je me servis de ma courte épée comme d'un couteau de lancé et l'envoya en direction du brigant, mais il l'esquiva.
"- Damn..."
Merde, merde. J'allais lui dire quoi à Amad, que j'avais perdue sa collaboratrice ?
La remarque de la jeune femme me fit sourire. "chevalier" ? Etions-nous encore aux temps des rois et des croisades ? Aha oui. Probablement oui. On aurait dit une scène de théatre pour laquelle je n'avais pas signé pourtant ! Mais bbon, nous y voilà. Notre Robin des Noix eu un frémissement lorsque le roisième homme s'élança pour monter sur la cariole. Il se cabra et tendis sa fine lame devant lui, tout en dressant son deuxième bras en l'air dans un demi arc.. La bouche à demi ouverte, le briguant percé et moi-même échangions un regard hébété.
(Brigand 1)- N'as tu rien compris pauv' cloche ? Mon collègue a dit qu'il allait butter la demoiselle !
Il me fallait neutraliser ce mec. Genre, rapidement. Admettons que mr des Noix sache combattre, il occuperait l'autre gars quelques minutes. Ca me serait suffisant pour le retenir et moi de faire demi-tour et de m'occuper du second. Le problème c'est qu'Alicia se trouve actuellement à la merci de l'autre gars.. Ce qui me laissait vraiment très peu de marche de manoeuvre. Il fallait réfléchir à un plan et..
Pas le temps de faire plus. L'autre abruti se jetait corps et âme à l'assaut du brigand face à lui. Il fallait réagir maintenant. Sans plus attendre. Je fis alors un bond devant moi pour venir échanger des coups de lame avec celle de mon adversaire actuel. Il n'était pas mauvais, mais clairement, le dextérité lui manquait. D'autant plus que je n'avais pas Riven. Moi qui était habituée à frapper de taille plutôt que d'estoc, je devais adapter ma technique. Après quelques échanges, je parvins à crée une ouverture. L'homme se retrouva le bras en l'air, c'est le moment que j'avais choisis pour lui retourner un coup de pied dans l'abdomen. Le choc le repoussa avant qu'il ne tombe sur les fesses. Mais je n'attendis pas de regarder sa chutte, me tournant rapidement pour m'élancer vers Alicia. Mais c'était trop tard, l'homme s'élançait vers Valeera pour la planter de son épée. Tentant le tout pour le tout, je me servis de ma courte épée comme d'un couteau de lancé et l'envoya en direction du brigant, mais il l'esquiva.
"- Damn..."
Merde, merde. J'allais lui dire quoi à Amad, que j'avais perdue sa collaboratrice ?
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
La confrontation s'annonçait mal et Robin l'étrange, s'il savait au moins ferrailler correctement n'était pas pour autant un expert et la tentative de Ma' pour la sauver ne fut pas non plus un franc succès. Et l'esquive, si elle était admirable, mettait Valeera dans une situation... inconfortable.
Il l'avait violemment poussé à l'avant du chariot pour esquiver et elle se retrouvait à l'avant, la fameuse épée de Marie Madeleine juste derrière, mais bien incapable de s'en servir.
Et alors que le brigand avançait, elle fit appel à certains talents inconnu de bien des gens. Balayant sa tunique d'un revers, elle se saisit de son cève-cœur, dégainant à la vitesse du serpent pour le lancer.
Non pas sur le torse ou la tête de l'homme, mais à ses pieds, ou plutôt dans son pied.
L'arme pénétra la botte et cloua ce dernier au chariot. Pas suffisamment pour l'immobiliser mais assez pour qu'il perde l'équilibre et tombe en avant.
Le Lotus noir avait, dans un immense effort, tiré Riven en travers du chariot, et le bandit vint tomber sur la lame au clair de l'épée.
Sa mort fut sans doute douloureuse, mais elle ne lui accorda pas plus d'attention que ça, se dépêchant de récupérer sa dague et de la ranger.
Mais l'important était surtout pour MMP...
Soulevant l'arme du bandit, elle la lui jeta
-Ma', une arme !
De loin, le bandit avait semblé avoir trébuché sur une des nombreuses poutre du chariot. Et cela aurait pu passer pour un gros coup de chance.
Enfin elle espérait.
-T'es qui toi s'pèce de batard !
Hurla un bandit au Robin des bois local qui semblait prendre le dessus.
Quand à Marie Madeleine, Valeera n'avait aucun doute quand à ses talents
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Le bras à peine retombé, mon élan pour rejoindre Alicia se stoppa net. Elle n'avait visiblement pas besoin d'aide au vu de sa surprenante dextérité. Un pied cloué et tranché d'un geste, notre brigand n'en menait pas large. Il était mort ? Sourcil droit arqué, je regardais le corps tomber. Mais ce n'était pas ma plus grande question. Sa manière de se servir de Riven m'étonna beaucoup plus. N'étaient pas nombreux ceux arrivant à manier une épée aussi imposante. Alicia ne perdit pas de temps et me lanca l'épée. Je ne pris pas le temps de la rattrapper au vol, mon assaillant de nouveau sur moi. Ce dernier bras relevé coupait l'air de son cimeterre. Désarmée, je me servis de mon bras gauche que je plaçait un pe plus haut que ma tête, pour bloquer son avant bras, avant de le frapper de mon poing gauche au niveau du thorax. Il recula, sous le choc, cette fois dévié du chemin, ce qui me laissa le temps de revenir vers lui et de l'affliger d'un second coup dans le visage cette fois ci. Chance pour moi, l'avoir fait reculé l'avait posté dos à un arbre. La force de mon coup fut suffisante pour qu'il se cogne et s'assome contre le tronc d'un arbre. Pivotant, mon regard se reporta vers notre fanfaron Robin qui lachait des petits "aah" "sheeeh" "uuuuh" à chaque fois qu'il portait un coup, ou parait quelque chose. En deux pas je regagnais Rivent que je sortis du sol et me dirigeais vers notre homme et son chapeau à plume.
Il semblat danser au lieu de se battre et ca avait le don de m'agacer. Qu'il abrège nom de dieu. Ah ! Son assaillant était enfin désarmé. Mains en l'air, il regardais Robin prêt à se jeter sur lui. Mais s'en dissuada, me voyant arriver. Deux épées contre lui à main nues, moyen. Robin tenait sa lame contre le cou du brigand.
(Robin) "- Qui êtes vous pour emebetez ces douces demoiselles ?"
(Brigand 2)"- Dégage branquignol" Notre brigand cracha sur la chaussure de Robin, qui désormais affichait une mine outrée.
Plantant Riven dans le sol, je mis la main sur l'épaule de Robin, lui pris son épée et le poussa en arrière pour m'approcher de l'autre homme.Son col en main, je lui mis un coup avec le manche de lépée dans le ventre, avant d'attirer son visage vers le mien.
"- La prochaine fois c'est avec le tranchant de l'épée que je te planterais."
(Robin) "- Mais vous êtes des aventuriers, pas des tueurs ? " Me repris alors Robin...
"- Je ne t'ai pas sonné toi... Est-ce une attaque commandité, oui ou non ?"
(Brigand 2)"- pourquoi j'te le dirais sale gar-..."
C'est bon, il m'avait saoulé. Sans lui laisser le temps de répondre, ma tête se recula légèrement avant de revenir dans un mouvement vif percuter le nez du brigant. Ce dernier tomba à genoux, en se tenant le nez. Dun geste rapide, je vins alors lu iassener un autre coup, cette fois avec le manche de l'épée au niveau du front. Il tomba au sol, assomé également. Le tmps de me retourner, Robin était déjà auprès d'Alicia, sa main dans la sienne et tentait de poser ses lèvres sur sa paume.
(Robin) "- Tel un phare dans la nuit je vous ai vu illuminer ma journée au grand port mademoiselle ! Mais nous nous sommes perdus de vu lorsque vous êtes parti de la ville, alors j'ai remué ciel et terre pour vous retrouver ! ... Puis-je vous escorter jusqu'à la capitale ? Votre garde du corps est bien trop lente pour vous être utile, je vous défendrais moi , faisant barage de mon corps pour vous proteger !"
Un rictus se dessina sur mes lèvres pendant que je sortais Riven du sol. Son corps allait surtout nous servir a donner à bouffer aux animaux sauvages ouai.. D'un coup d'oeil envers Alicia, je vis qu'elle se portait bien, elle n'avait pas la tête d'une personne traumatisé d'avoir tué un homme. Accroupis, j'accrochais les poignets du brigand que je venais d'assomer avec le foulard qu'il utilisait precedement sur son visage.
"Rends-toi utile plumeau, va attacher les mains de l'autre tanche et fouille le. Savoir ce qu'il nous voulait."
Il semblat danser au lieu de se battre et ca avait le don de m'agacer. Qu'il abrège nom de dieu. Ah ! Son assaillant était enfin désarmé. Mains en l'air, il regardais Robin prêt à se jeter sur lui. Mais s'en dissuada, me voyant arriver. Deux épées contre lui à main nues, moyen. Robin tenait sa lame contre le cou du brigand.
(Robin) "- Qui êtes vous pour emebetez ces douces demoiselles ?"
(Brigand 2)"- Dégage branquignol" Notre brigand cracha sur la chaussure de Robin, qui désormais affichait une mine outrée.
Plantant Riven dans le sol, je mis la main sur l'épaule de Robin, lui pris son épée et le poussa en arrière pour m'approcher de l'autre homme.Son col en main, je lui mis un coup avec le manche de lépée dans le ventre, avant d'attirer son visage vers le mien.
"- La prochaine fois c'est avec le tranchant de l'épée que je te planterais."
(Robin) "- Mais vous êtes des aventuriers, pas des tueurs ? " Me repris alors Robin...
"- Je ne t'ai pas sonné toi... Est-ce une attaque commandité, oui ou non ?"
(Brigand 2)"- pourquoi j'te le dirais sale gar-..."
C'est bon, il m'avait saoulé. Sans lui laisser le temps de répondre, ma tête se recula légèrement avant de revenir dans un mouvement vif percuter le nez du brigant. Ce dernier tomba à genoux, en se tenant le nez. Dun geste rapide, je vins alors lu iassener un autre coup, cette fois avec le manche de l'épée au niveau du front. Il tomba au sol, assomé également. Le tmps de me retourner, Robin était déjà auprès d'Alicia, sa main dans la sienne et tentait de poser ses lèvres sur sa paume.
(Robin) "- Tel un phare dans la nuit je vous ai vu illuminer ma journée au grand port mademoiselle ! Mais nous nous sommes perdus de vu lorsque vous êtes parti de la ville, alors j'ai remué ciel et terre pour vous retrouver ! ... Puis-je vous escorter jusqu'à la capitale ? Votre garde du corps est bien trop lente pour vous être utile, je vous défendrais moi , faisant barage de mon corps pour vous proteger !"
Un rictus se dessina sur mes lèvres pendant que je sortais Riven du sol. Son corps allait surtout nous servir a donner à bouffer aux animaux sauvages ouai.. D'un coup d'oeil envers Alicia, je vis qu'elle se portait bien, elle n'avait pas la tête d'une personne traumatisé d'avoir tué un homme. Accroupis, j'accrochais les poignets du brigand que je venais d'assomer avec le foulard qu'il utilisait precedement sur son visage.
"Rends-toi utile plumeau, va attacher les mains de l'autre tanche et fouille le. Savoir ce qu'il nous voulait."
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Alicia regardait la fin du combat avec admiration, jamais elle n'avait pu apprendre à se battre ainsi. Et ce coup de tête, cette catin de Lucy en soit témoin, c'était une manœuvre des plus audacieuses, mais payante.
Et finalement, les deux bandits se retrouvèrent attachés, celui d'Alicia ayant été jeté hors de la carriole, son crane ouvert gouttant à côté des tonneaux d'épices.
Ne s'en montrant aucunement touchés, Valeera ne put feindre la culpabilité, c'était une émotion qu'elle utilisait si peu souvent... qu'elle en avait quasiment oublié l'apparence.
Un point sur lequel travailler donc.
Mais déjà le don Juan de comptoir était près d'elle, embrassant sa main comme si elle était une comtesse ou une autre guignole de noble, ce qui lui valut un regard incendiaire qu'il ne remarqua pas le moins du monde, proposant même de les accompagner jusqu'à la capitale.
Avaient-elle besoin d'un guignol dans le genre ? Non surement pas, et la marchande le détestait déjà, remarquant son air lubrique et ses faux airs.
Si elle n'avait pas été en publique, sans doute l'aurait elle fait danser à sa façon, ou empoisonné. Mais, Ma' était là et elle devait tenir son rôle de gentille marchande.
Alors dans un soupir de lassitude qu'on pouvait prendre de la flatterie, elle dit :
-Mais ce serait avec une joie sans pareille mon bon monsieur ! Néanmoins tachez de ne pas vous moquer de mon amie, elle m'a sauver à bien plus d'une occasion !
Et au moins elle n'était obligée de chasser la main de MMP qui se faisait trop aventureuses par moment.
Manque de chance pour cet idiot, il ne savait pas sur qui il était tombé. Pire... que le Lotus Noir avait déjà avisé la bourse pleine de notre sauveur, et son épée ornée.
-Allez donc aider notre amie, je suis assez curieuse de savoir ce qu'ils nous voulaient
Dit elle en le poussant doucement vers les hommes attachés... et MMP
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Accroupis au sol, ma tête pivota vers la scène animant Don Juan et Alicia. QUOI ?! Qu'il fasse route avec nous ? Mon visage se décomposa, alrs que tout heureux, Robin venait à moi. C'est limite si il ne sautait pas de joie sur place, louche le sottard. L'homme que je fouillais n'avaiet rien d'interessant. Une petite bourse de cristaux -que je pris en dédomagement-, mais rien de valeur, ni de missive l'envoyant vers nous. N'ayant pas confiance en l'autre frnafreluche, je me rendis auprès de Robin des noix et le poussa, pour regarder moi même ce que possédait le brigand. Rien de plus que l'autre. Il ne restait pus qu'à fouiller le.. le mort. Je me redressais alors, et me dirigea vers lui. Robin m'interrompit alors, posant sa main sur mon épaule. La bouche à demi ouverte accentué d'un "eeeh ?", je pivotais sur moi-même. Suffisament menaçant pour que le jeune homme ne daigne enlever sa main de là.
(Robin) – Le phare de ma nuit m'a dit que vous l'aviez déjà sauver par le passé, alors je retire ce que j'ai dis je m'excu-..
"- Ouai c'est ca ouai. Tu peux te les foutre où je pense." Je me penchais de nouveau sur le cadavre, pour tenter de l'inspecter, mais Robin repris la parole, me coupant dans mon élan en me tendant la main.
(Robin/Giaco) "- Enchanté. Je me nomme Giaco Moka Sanova. Vous pouvez m'appeller Giaco. Et vous ?
"- Mmp"
L'homme tentait de reprendre la parole mais je le fis taire d'un mouvement de la main. C'est domage, Robin des noix, ca lui collait bien. Robin brise les noix même. On, rien non plus sur ce corps. Celui ci, je fis mine de le déplacer avec le corps endormis de l'autre. Qu'aurait-on pu faire de plus ? Il nous faudrait probablement signaler notre aggression lors de notre arrivée en ville, au moins pour stipulé que l'un d'eux était griévement blessé. Je pris soin d'attacher le cadavre, de la même manière que les autres. Au moins, ca donner l'impression qu'il était encore en vie, lorsque nous les avions laissé, il serait mort à la suite de ses blessures ?... Giaco Moka pourrait être un témoin dans tous les cas, autant le garde avec nous alors..
Après avoir ramasser ce que je pouvais ainsi que Riven, je revins aux côtés d' Alicia.
(Robin/Giaco) "- Aime Bap'pé à dit qu'elle était elle aussi d'accord pour que je chevauche à vos côtés, et que ma force vous serait utile !"
Annonça notre Don Juan, non peu fier de sa connerie. Il venait de remonter à cheval et se positionnait du côté d'Alicia pour lui faire la conversation. D'un air dubitatif, je lançais un regard à la jeune femme, pour lui faire comprendre que ce n'était pas du tout mes propos. Je pris ma flaque contre mes lèvres, pour boire un coup.
"- Bon. Au final on ne sait ni qui ils sont, ni si leur acte était commandité ou non. Peut-être d'autres mecs nous attendrons plus loin, restons sur nos gardes. Lorsque nous monterons le camp ce soir nous nous éloignerons un peu plus du chemin pour ne pas attirer l'attention.. On est pus qu'à quelques jours d'arriver, ca serait bête de perdre la cargaison maintenant..."
Comme si il en avait rien à tapper, Don Juan prit la parole et regarda Alicia fixement.
(Robin/Giaco) "- Quel est votre prénom à vous ma Rose des Bois ? "
Je me mis à rire. Violent.
(Robin) – Le phare de ma nuit m'a dit que vous l'aviez déjà sauver par le passé, alors je retire ce que j'ai dis je m'excu-..
"- Ouai c'est ca ouai. Tu peux te les foutre où je pense." Je me penchais de nouveau sur le cadavre, pour tenter de l'inspecter, mais Robin repris la parole, me coupant dans mon élan en me tendant la main.
(Robin/Giaco) "- Enchanté. Je me nomme Giaco Moka Sanova. Vous pouvez m'appeller Giaco. Et vous ?
"- Mmp"
L'homme tentait de reprendre la parole mais je le fis taire d'un mouvement de la main. C'est domage, Robin des noix, ca lui collait bien. Robin brise les noix même. On, rien non plus sur ce corps. Celui ci, je fis mine de le déplacer avec le corps endormis de l'autre. Qu'aurait-on pu faire de plus ? Il nous faudrait probablement signaler notre aggression lors de notre arrivée en ville, au moins pour stipulé que l'un d'eux était griévement blessé. Je pris soin d'attacher le cadavre, de la même manière que les autres. Au moins, ca donner l'impression qu'il était encore en vie, lorsque nous les avions laissé, il serait mort à la suite de ses blessures ?... Giaco Moka pourrait être un témoin dans tous les cas, autant le garde avec nous alors..
Après avoir ramasser ce que je pouvais ainsi que Riven, je revins aux côtés d' Alicia.
(Robin/Giaco) "- Aime Bap'pé à dit qu'elle était elle aussi d'accord pour que je chevauche à vos côtés, et que ma force vous serait utile !"
Annonça notre Don Juan, non peu fier de sa connerie. Il venait de remonter à cheval et se positionnait du côté d'Alicia pour lui faire la conversation. D'un air dubitatif, je lançais un regard à la jeune femme, pour lui faire comprendre que ce n'était pas du tout mes propos. Je pris ma flaque contre mes lèvres, pour boire un coup.
"- Bon. Au final on ne sait ni qui ils sont, ni si leur acte était commandité ou non. Peut-être d'autres mecs nous attendrons plus loin, restons sur nos gardes. Lorsque nous monterons le camp ce soir nous nous éloignerons un peu plus du chemin pour ne pas attirer l'attention.. On est pus qu'à quelques jours d'arriver, ca serait bête de perdre la cargaison maintenant..."
Comme si il en avait rien à tapper, Don Juan prit la parole et regarda Alicia fixement.
(Robin/Giaco) "- Quel est votre prénom à vous ma Rose des Bois ? "
Je me mis à rire. Violent.
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DANS QUEL COUP FOURRÉ TU VAS ENCORE T'EMBARQUER?
Sa force utile ? C'était vite dit... A vrai dire, Valeera avait surtout l'intention d'avoir un bouclier de vianda bien utile à mettre devant Marie Madeleine et elle.
Dans la courte listes des priorité de la jeune femme, il y avait sa survie, celle de son butin, celle de Ma', du chariot, des chevaux, de la marchandise, et celle du cheval de casse noisette et après, seulement après, casse noisette en question.
Autant dire qu'il n'avait pas grande chance de s'en sortir vivant...
Mais jouer la comédie était important alors mieux valait y mettre du sien.
-Je m'appelle Alicia, marchande de son état
Ramassant une branche tombée sur la bache du chariot, elle fit de son mieux pour éviter de lui enfoncer sa dague dans les yeux et transformer son satané visage de pseudo Don Juan en pulpe rouge.
Mais le temps viendrait... Et peut être serait il utile à un moment.
Et alors que ce guignol continuait à fanfaronner, la branche qu'elle tenait entre ses mains se brisa net. Et le Lotus noir dut reporter son attention sur son amie
-Oui montons le camp ! Mieux vaut être sur que nous serons loin de visiteurs indésirables
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