Je pensais que la bave de glooby n’était utilisée que dans les produits cosmétiques. Mais tu me rends curieux de son utilisation en cuisine. Et s’il y a bien un endroit où je dois pouvoir trouver ça, c’est à la Capitale.
Va pour L’effet Mer, ça devrait effectivement être amusant. Et je crois effectivement que Kana est en mal de compagnie, ce qui est assez malheureux. Pourras-tu passer la voir ? Peut-être même profiter des derniers beaux jours pour la mener à cette crique que tu nous avais montrée et dont elle est tombée amoureuse ? Merci de ton attention (puisqu’après tout c’est une mission en plus sur ton planning déjà très chargé),
Bises,
Cal
P.S. : es-tu vraiment sûre, sûre, sûre pour le glooby ? Je suis à la colocation Luzah, et Moudy (mon glooby) me regarde avec l’envie d’aller explorer le sud.
P.S. 2 : les prix sont vraiment indécents pour les Protège-arrière. A défaut, j’ai acheté un aquarium magique. Parce que j’avais un bon de réduction. Ça me servira à rien, on est d’accord. Je l’ai mis chez Naëry, ça égaiera son studio.
P.S. 3 : d’ailleurs, en parlant de Naëry et de la colocation, il faut que je te raconte un truc.
Soly,
Je ne vais malheureusement pas pouvoir te rejoindre comme prévu, je suis encore coincé à la Capitale. Mais peut-être est-ce pour le mieux ; Lara prétend qu’Agatha lui aurait confié que tes vocalises ont le pouvoir de réveiller les morts. Bien entendu, je n’en crois pas un mot ; il est évident qu’il n’y a là qu’une jalousie de ta douce voix.
J’ai vu que si les jeudis c’est soirée musicale, les samedis c’est soirée « blind test » ; c’est peut-être plus raisonnable, non ?
Bises,
Cal
Sol,
Il semblerait que ce ne soit pas non plus pour cette fois-ci. Je me suis pris un arbre, un rocher et le sol sur le trajet vers le Village Perché. Ma cheville et ma tête ont trouvé du repos et des soins chez la très gentille Lyra, mais mon retour n’est pas pour tout de suite.
Amicalement,
Cal
Solveig,
Je vais passer quelques semaines du côté de la Capitale.
Amicalement,
Cal
Faut qu’j’te parle de ma fiancée : Lyra. Une belle histoire d’amour (puisqu’après tout c’est bien ça qui me caractérise ahahahahah) sans frontières.
Et faut vraiment que j’te fasse rencontrer Shushu, il est absolument génialissime. Et puis les objets contondants, ça l’connait. On pourrait s’faire un truc pas mal à trois. Comme faut que j’te raconte les dernières danses de la Volière aux Dragons.
En parlant de danse, on en est où de celle de ta chiraki et de mon boulet ? Parce qu’j’ai l’impression qu’y a comme un calme plat de mon côté. Ça doit faire un bail qu’il a pas envoyé de lettre à Soly chérie. Pas qu’il s’y mette pas (je l’ai vu contempler ses pages vides pendant de loooongues minutes), mais j’ai l’sentiment qu’tout part pas. Voire rien.
M’enfin, il a jamais fait simple. Visiblement l’inconnu ça lui emmêle les méninges.
Shushu, toi et moi la prochaine fois qu’on s’retrouve sur la Capitale ?
Bisous & caresses
Apo
P’tit Louis glooby,
J’suis pas sûre qu’Vivianne l’agrafeuse au pôle comptable soit un excellent plan. La voir en action ça doit être quelque chose, mais… hé ! Elle t’irait bien à toi, non ? J’suis sûre qu’ta belle lame robuste ferait honneur à ses perçantes impulsions !
J’crois que Cal-bute a posé tous ses congés pour disparaitre à la Capitale. On dirait qu’il évite quelqu’un ? On dirait qu’il évite quelqu’un. Il aime bien affronter les choses en fuyant ; il est presque mignon à s’donner autant de mal. Comment va Soly chérie ?
Tu crois qu’un mariage au Temple c’est désuet ? (pour Lyra et moi)
En parlant d’mariage : t’as entendu pour Khaled, la tasse du soldat Barreau, et Minh, la cafetière des ressources humaines ? On va s’ambiancer ! J’ai déjà repéré les charmantes âmes d’honneur ; j’te ferai un topo si tu veux. On peut partager.
Bisous & caresses
Apo
Gloob’Louis,
Non, tu ne rêvais pas, le mur avait bien éternué. J’crois qu’on a atteint un nouveau palier dans l’histoire du ridicule. Enfin, c’pas comme si c’était si étonnant non plus. J’suis surtout étonnée qu’Soly chérie l’ait pas encore coincé quelque part pour mettre les choses au clair. Il est plus agile qu’une anguille lorsqu’il y met du sien pour s’esquiver, mais avec un peu de volonté… pas mal d’agacement, les réflexes d’une chiraki et une paire de menottes anti-magie…
Ooooooh y a un truc à faire. Y a même de quoi faire ça bien dans sa piaule partagée avec Khalie. Sans Khalie. Avec Khalie ? Un Sol-Cal-Khal-Val ça s’tente nan ? Ou tu crois qu’y en a qui sont pas trop partageurs ?
Mardi soir pour l’enterrement de vie d’garçon pour Khaled et Minh ; va falloir choisir ton camp. Vreneli et Azazel (j’crois qu’ils vont se faire une tournée de dératisation après) m’amènent à celle de Minh ; y aura ce couple de belles bottes dont j’t’avais parlé.
Bisous & caresses
Apo
G’Louis’by,
Eeeeeeeet nous voici repartis pour la Capitale. Quelle douce surprise (non). Au jeu du chiraki et de la souris, la souris gagne pour le moment !
A ma grande déception je ne serai donc par là pour le mariage de nos amis. Mais je vais pouvoir avancer mes derniers romans ! Ou déjà leur trouver une trame. Depuis que j’ai terminé mon livre d’éducation sexuelle, le royaume ne m’a guère offert milles sujets d’inspiration. Si quelques rumeurs te parviennent, je suis tout ouïe.
Mais peut-être est-il temps d’explorer les possibilités du Village Perché, j’ai des lecteurs qui me le demandent depuis quelques lunes. Et j’ai une petite source fiable de potins sur place.
« Belles Lueurs du Village Perché ». Non ?
Bisous & caresses
Apo
P.S. : ça sent la souris dans la tapette bientôt tout de même.
Sol,
Je tiens à te présenter mes excuses pour mon comportement évitant (absent et désagréable ?) de cette dernière lune. Accepterais-tu que l’on se pose un soir au Bastion, même brièvement entre deux assignations, pour discuter ?
Je comprendrai que tu refuses.
Prends soins de toi,
Cal
P.S. : j’aimerai ne pas seulement te l’écrire : je t’embrasse.
Dans les ténèbres ayant investi la Volière aux Dragons au gré de la journée déclinant inexorablement, il gravit les marches presqu’à l’aveugle pour gagner la chambre qu’il s’était appropriée. Le temps d’une pause, il contempla les faibles rayons lumineux s’échappant du cadre de la porte faisant face à la sienne, attestant d’une présence affairée dans le bureau, puis il s’en détourna. Lançant négligemment sa besace sur les draps colorés de son lit, il se défit de sa veste dans un silence préoccupé, laissant les interrogations d’Apolline sans réponse. Sa dernière missive pour Solveig avait été déposée quelques minutes plus tôt au bureau de poste de la Caserne principale, et elle partirait avec la tournée du soir qui était à présent imminente. Trop tard pour reculer.
Mais le souhaitait-il vraiment ?
Hésitant encore un peu, plus quant à la manière d’agencer ses pensées qu’aux mouvements suivants de son corps, il resta un moment songeur devant la pile de lettres décachetées trônant sur sa table de chevet. Avant de quitter, enfin, sa chambre pour franchir les quelques pas le séparant de la pièce voisine de palier. Sur le seuil de celle-ci, il frappa un rythme défini contre le bois de la porte close.
Au cœur de la tempête, lorsque les certitudes s’effondraient, certaines présences remarquables rendaient aux possibilités leurs entiers horizons. Et, à ce moment, embourbé entre ses codes moraux et ses émotions, Calixte avait bien besoin qu’on l’aidât à lever le regard vers le lointain.
- Zahria ?
Ils utilisent ça dans les produits cosmétiques… ? J’aurais préféré ne pas le savoir. Je vais avoir l’impression de m’étaler du glooby sur le visage maintenant. Ce qui est le cas d’une certaine façon. Beurk. Déjà que je n’étais pas une fervente utilisatrice du maquillage, tu viens de m’en passer l’envie ! Essaie peut-être d’envoyer un courrier à Faolan, il saura mieux que moi t’indiquer quoi faire avec cette… Bave de glooby ? Par la sainte, tu comptes vraiment te renseigner à ce sujet ? Je ne te comprendrais jamais.
Je suis passée voir Kana il y a deux jours, elle n’était effectivement pas en forme. Comme d’habitude je pense que tu lui manques, je pense aussi que ses amis lui manque. Alors j’ai laissé Azazel et Charlie avec elle. Tu te doutes bien qu’Aza n’est absolument pas content, cela dit Charlie est plus que ravi de sa nouvelle amie et je pense que Kana ne le déteste pas. Il est un peu bêta en plus alors… C’est plus amusant pour moi que pour elle j’imagine eheh. En tout cas la mission à été menée à bien, chef ! La loutre géante a retrouvé l’appétit et la bêtise.
Concernant ton glooby tu devrais le ramener dans le sud si il en a besoin. Du moment que tu le met dans un vivarium, enfermé lui même dans un boite en carton sceller avec du scotch et une chaîne. Et que tu ne le montre pas à Sam. Et qu’il reste bien caché dans TA chambre. Ne compte pas sur moi pour m’en occuper !
J’ai hâte que tu me racontes toutes tes histoires, elles sont toujours intéressantes !
Je t’embrasse,
Soly.
P.S : J’ai entendu quelqu’un dire que les températures allaient commencer à chuter. J’espère que tu as emporté de quoi te couvrir, il ne fait jamais bien chaud à la Capitale.
P.S 1 : Aux alentours de 20h pour l’effet-mer, ça te convient ? Je passerais te chercher. (Pas que l’on soit très loin mais bon eheh)
Cal,
Aaaaah Calixte… Est-ce que Agatha t’as aussi dit qu’elle ne m’avait pas remit ta lettre en temps et en heure et que j’ai attendu plus d’une heure plantée devant la porte de ta chambre ? Enfin, rien de grave, Charlie était avec moi et j’ai eu le temps de lui apprendre à ramener un bout de bois. Il n’est toujours pas très malin mais il semble avoir une très bonne mémoire. Je suis sûre que c’est grâce à cela qu’il retrouve toujours mes planques à bonbons dans la chambre. La dernière fois il a trouvé celle de Sammael, trois fois, j’ai cru qu’elle allait le passer à la casserole.
Tu as parfaitement raison, ma voix est d’une douceur exemplaire et mon timbre inégalable. Lara n’a qu’à bien se tenir. Et puis soyons honnête, elle ne s’en tire pas beaucoup mieux. Un léger mélange entre un violon joué par un débutant et une crécelle. Je ne sais pas si tu visualise mais je te le déconseille !
Fais attention à toi, et pense à utiliser le foulard que je t’ai offert.
Affectueusement,
Soly
P.S : Va pour un samedi alors, mais cette fois c’est toi qui te déplace. Goujat !
Cal,
Je crois que tu es arrivé à un stade de malchance extraordinaire. As-tu déjà pensé à écrire un livre à ce sujet ? Tu devrais peut-être en parler avec Apolline. Je suis sûre qu’elle serait ravie d’écrire tes mémoires. « L’art et la manière de manquer de se tuer une à deux fois par jour ». En tout cas j’espère que ta nouvelle amie prend soin de toi, j’aimerais pouvoir faire plus. Je suis désolée.
Je t’embrasse,
Sol
P.S : Il y a un onguent, je l’ai acheté au Grand Port il y a quelque jour. Apparemment cela diminue les gonflements. Je l’avais acheté en prévision d’une prochaine mission mais je pense que tu en auras plus besoin que moi. Il suffit de l’appliquer sur l’endroit endoloris.
P.S 1 : Si quelque chose n’allait pas, tu m’en parlerais n’est-ce pas ?
Cal,
Comment vas-tu ? Je n’ai eut que peu de nouvelle depuis que tu as dis que tu passerais quelques temps à la Capitale. J’imagine que tu es prit par le travail mais je dois dire que je m’inquiète un peu. Enfin, pas vraiment tu as beaucoup de proche là-bas, je suppose que tout vas pour le mieux. Pense à prendre soin de toi, si quelqu’un ne le fait pas déjà et donne moi de tes nouvelles !
Bises,
Sol
Cal,
Cela fait… Eh bien, plusieurs semaines que je n’ai pas eut de tes nouvelles. J’ai croisé Lara tout à l’heure, il paraît que tu vas bien. Je suis contente, et un peu rassurée. Les Sam ont aussi demandés de tes nouvelles, je leur ait simplement dit la même chose. Mais je pense qu’ils aimeraient en savoir un peu plus. Moi aussi d’ailleurs. Prend soin de toi.
Bises,
Sol
P.S : Samaël à tenu à te faire un nouveau dessin. Le truc avec une touffe rousse jaune sur la tête, je crois que c’est toi. Et l’autre avec les oreilles démesurément grande, c’est moi.
Ô Apolline,
Vos lettres m’emplissent toujours de joie. J’ai hâte que nos chemins se recroisent afin que vous me contiez les péripéties qui vous sont arrivées. Malheureusement je ne suis pas sûr de saisir tout ce dont vous me parlez. Des objets contondants ? Je ne suis une dague très chère, je ne suis pas certain de pouvoir faire quoi que ce soit. Quoi qu’avec mon pommeau… Enfin passons, les murs ont des oreilles dans cette caserne…
Mademoiselle Prudence va bien, elle ne passe pas beaucoup de temps dans sa chambre. C’est pour cela que je peux vous écrire d’ailleurs. Elle semble aller bien, seulement elle s’entraîne avec beaucoup d’ardeur et lorsque le soir tombe, elle rentre directement ce coucher. Rebelote le lendemain. J’imagine qu’elle doit se préparer pour une mission de la plus haute importance.
Dès que je le pourrais je vous rejoindrais à la capitale douce dame.
Mes sincères salutations,
Louis.
Apolline,
Viviane n’est absolument pas à mon goût voyez vous, je trouve que pour une agrafeuse elle un peu rustre. Je suis peut-être un pinailleur, mais j’apprécie les dames douces et érudites. J’ose d’ailleurs espérer que ces remarques resteront entre nous. Je ne tiens pas à m’attirer son courroux, surtout si les rumeurs concernant son épouvantable caractère sont avérées.
Un temple me semble bien, encore dans l’air du temps et parfaitement conventionnel. Vous avez encore une fois très bon goût ma dame.
Je trouve ça extraordinaire tout de même, je n’ai pas bougé du Grand Port depuis des lunes et pourtant vous êtes plus au fait des ragots que moi. C’est dans ce genre de moment que je me rend compte que votre présence me manque terriblement. Pour amasser des ragots bien évidemment.
Mademoiselle ne vas… Pas très fort je crois. Je ne dirais pas qu’elle va mal, mais elle continue de travailler avec acharnement. Hors nous n’avons pas de mission de prévu et surtout celles passées ne valaient absolument pas tout le mal qu’elle se donne. Je suppose que c’est cela, une vraie valkyrie. Il était temps qu’elle embrasse véritablement le rang qui est le siens. Plus qu’à lui inculquer quelques bonnes manières ci et là, et je suis certain qu’elle ferait une parfaite épouse. Ne croyez vous pas ?
Avec toute ma tendre affection,
Louis.
Calixte,
Je ne compte plus vraiment les lunes depuis lesquelles je n’ai pas eu de nouvelle. Personne ne m’a annoncé ta mort, alors je suppose que tu es en vie. Je crois aussi que tu n’as pas envie de me parler. Enfin cette fois où tu m’as évité, quitte à faire un demi tour sur les chapeaux de roue dans le couloir du pôle administratif me laisse supposer que c’est le cas. J’essaye de réfléchir mais en toute franchise je ne comprend pas. En tout cas, je suis désolée si j’ai pu faire quelque chose qui t’as blessé. J’imagine qu’il vaut mieux que je te laisse prendre ton temps.
Solveig.
P.S : Tu ne voudrais pas qu’on en discute au moins ?
Calixte,
J’ai croisé une loutre géante ce matin, j’ai pensé à toi. Comment vas-tu ?
Solveig.
Apo,
La souris gagne effectivement, mais je crois que le chiraki ne se laissera pas faire aussi facilement. Cela dit, la tournure que prennent les choses ne me semble pas des plus plaisantes. Mademoiselle Prudence est des plus ronchon en ce moment. Je n’ose lui parler sans finir planter dans la porte.
Le mariage était grandiose, et j’ai fais la rencontre du doux et délicat napperon des chambres de l’étage. Avez-vous déjà pu tâter de la douceur de son filage ? Vous en seriez toute retournée, je vous le promet. A votre retour je vous le présenterais. Sinon, je n’ai que peu de rumeur, en vérité, ce cher napperon m’a suffisamment asticoté pour que j’en oublie les autres convives… Fort intéressant je vous disais…
Avez-vous pensé aux sources de la forteresse pour votre livre ?
Infinies caresses,
Louis.
Calixte,
J’accepte.
A bientôt,
Solveig.
Solveig était encore allongée dans son lit, mais ses yeux étaient parfaitement ouverts. Elle s’était réveillée avec les premiers rayons du soleil et ne trouvait plus le sommeil depuis. Devant elle, bras tendu, était dépliée la lettre qu’elle avait reçu la veille. L’écriture, elle l’a connaissait entre mille, presque aussi bien que sa propre plume. Elle relisait les mots griffonnés sur le papier sans discontinuer. Combien de temps s’était-il écoulé depuis ? Elle ne savait pas. Sa notion du temps avait été biaisé par un emploi du temps surchargé. Une nouvelle fois, elle laissa ses yeux suivre les courbes des lettres et son visage se sabra d’un sourire. Il lui avait enfin écrit, elle allait enfin avoir les réponses aux questions qu’elle se posait et qu’elle lui posait depuis des lustres. Impatiente, elle n'avait pu s'empêcher de lui répondre dans l'heure.
Puis soudainement elle se souvint, que par deux fois déjà, il lui avait posé un lapin. Ses oreilles retombèrent mollement de chaque côté de sa tête. Elle soupira puis écrasa la lettre entre ses mains jusqu'à ce qu'elle ne soit plus qu'une boule qu’elle jeta contre le mur, puis elle rejeta sa couverture. Elle attrapa son pantalon et son ceinturon ainsi que Louis, qui était encore endormis et quitta la chambre. Elle n’avait pas envie de penser aujourd'hui non plus.