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Festival du Solstice : la Capitale
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1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 Devon HaraginDoudou personnel de Cid
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Festivale du solstice - la capitale
Elle détourne le regard, cela ne m'échappe pas alors que je tente de voir si elle va réellement bien. Non pas que j'ai des raisons de douter de sa parole mais, elle pleurait tout de même précédemment, j'aimerai croire que ce n'était rien mais, je suis bien trop empathique pour me détourner simplement sans faire ce qui est en mon pouvoir pour aider. Malheureusement je suis ainsi, au grand dam de Saryna parfois. Je me souviens parfaitement de notre rencontre avec Aube, de ma volonté d'aider cette gamine qui semblait complètement perdue alors que ma conjointe voulait juste rentrer à la maison, même si cela signifiait la jeter dehors. Oh, bien-sûr ma belle n'est pas un monstre, loin de là! Elle a cependant subie tant durant sa jeunesse, elle s'est endurcie, a vécue dans la forêt, n'a toujours compté que sur elle-même... Je suppose qu'au final, elle ne voit juste pas l'intérêt d'aider les autres alors que personne ne l'a jamais aidé? Personne lui a fait de cadeau après tout!
J'ai une vision toute différente des choses, après tout sans l'aide de mes compagnons et amis lorsque j'étais encore aventurier, je serai sans doute mort aujourd'hui! Cette aide que l'on m'a apporté, je me fais un devoir de la rendre aux autres, si je peux être utile pour quelqu'un, je considère que c'est un devoir de le faire! L'inconnue affirme être simplement à bout de force? Je la regarde incertain alors qu'elle se renseigne sur la durée restante de notre petite balade aérienne... C'est autre chose qui attire pourtant réellement mon attention : se reposer quelque part? Pas de précision, pas de spécificité! Elle ne dit pas qu'elle va rentrer chez elle, aller chez un ami, une connaissance, ses parents... Juste quelque part?
Bien-sûr, ma belle répond, intervenant dans la conversation pour évoquer des faits : quelques minutes tout au plus avant que nous ne retrouvions le plancher des vaches mais, qu'adviendra-t-il de la jeune femme ensuite? Je soupire doucement, je ne vais pas proposer de l'héberger, lui offrir un chocolat chaud et du pain d'épice, je ne vais pas faire entrer une inconnue chez moi avec Cid qui est si jeune et puis, Saryna ne l'approuverait pas mais, je ne peux pas rester les yeux fermés sur la possibilité que cette jeune femme soit sans toit et sans le sous! Après tout, je me souviens de l'attitude étrange du jeune garçon quand elle est montée dans la nacelle et du fait qu'elle n'a apparemment pas payée son entrée...
"Vous savez, je suis tavernier dans cette ville... Je connais pas mal de monde, notamment plusieurs patrons d'auberge! Si vous avez besoin d'un endroit pour dormir, j'peux sans doute toucher un petit mot à quelqu'un..." Une manière non-invasive de lui signaler que si elle n'a pas de cristaux, je peux probablement faire un geste plutôt que de voir une gamine dormir dans la rue, même si elle avait une couverture pour s'emmitoufler.
J'ai une vision toute différente des choses, après tout sans l'aide de mes compagnons et amis lorsque j'étais encore aventurier, je serai sans doute mort aujourd'hui! Cette aide que l'on m'a apporté, je me fais un devoir de la rendre aux autres, si je peux être utile pour quelqu'un, je considère que c'est un devoir de le faire! L'inconnue affirme être simplement à bout de force? Je la regarde incertain alors qu'elle se renseigne sur la durée restante de notre petite balade aérienne... C'est autre chose qui attire pourtant réellement mon attention : se reposer quelque part? Pas de précision, pas de spécificité! Elle ne dit pas qu'elle va rentrer chez elle, aller chez un ami, une connaissance, ses parents... Juste quelque part?
Bien-sûr, ma belle répond, intervenant dans la conversation pour évoquer des faits : quelques minutes tout au plus avant que nous ne retrouvions le plancher des vaches mais, qu'adviendra-t-il de la jeune femme ensuite? Je soupire doucement, je ne vais pas proposer de l'héberger, lui offrir un chocolat chaud et du pain d'épice, je ne vais pas faire entrer une inconnue chez moi avec Cid qui est si jeune et puis, Saryna ne l'approuverait pas mais, je ne peux pas rester les yeux fermés sur la possibilité que cette jeune femme soit sans toit et sans le sous! Après tout, je me souviens de l'attitude étrange du jeune garçon quand elle est montée dans la nacelle et du fait qu'elle n'a apparemment pas payée son entrée...
"Vous savez, je suis tavernier dans cette ville... Je connais pas mal de monde, notamment plusieurs patrons d'auberge! Si vous avez besoin d'un endroit pour dormir, j'peux sans doute toucher un petit mot à quelqu'un..." Une manière non-invasive de lui signaler que si elle n'a pas de cristaux, je peux probablement faire un geste plutôt que de voir une gamine dormir dans la rue, même si elle avait une couverture pour s'emmitoufler.
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Cristaux : 3695MESSAGES : 597COULEUR : #Wolfram CinderbaneNoble
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Festival du Solstice
Des gens & Wolfram
Alors qu’elle s’accroche à toi, tu viens poser ta main sur la sienne une seconde, caressant légèrement sa peau alors qu’un sourire amusé se forme sur tes lèvres. Tu apprécies le naturel de la jeune femme, ça te change bien des autres personnes qui t’entourent. Tu profites donc de son corps contre le tien alors que tu sens une douce chaleur se diffuser dans ton ventre. Une sensation bien meilleure que de juste t'emmitoufler dans diverses couches de tissus ou de te bâffrer de pain d'épice.
”Nous n’avions pourtant pas de rendez-vous aujourd’hui.” Tu te penches légèrement vers elle, venant souffler à son oreille. ”Même si je suis heureux de vous rencontrer par pur hasard.” Tu inspires une seconde son odeur avant de te redresser pour la laisser se détacher de toi et t’intéresser à l’autre personne présente. Ainsi, c’était bel et bien un inconnu ? Ton regard se pose à nouveau sur la belle avant de revenir vers l’homme et son loup. Elle espérait une amitié ? Et bien tu devrais te montrer sympathique. Tu tendis ta main vers l’homme.
”Wolfram Cinderbane.” Déclaras-tu avec ton sourire commercial. Ton regard se pose sur le loup. Il était vrai que c’était une belle créature. Tu ne t’étais jamais encombré de familier durant ta jeunesse, mais ces derniers temps tu envisageais de plus en plus d’en adopter un. D'ailleurs, devais tu en offrir un à tes enfants ? Ca serait un beau cadeau ... mais un familier était un choix assez personnel... Peut-être devrais-tu attendre encore un peu.
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Succès : Cristaux : 1502MESSAGES : 61COULEUR : #Ivara Streÿk& Inaros
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Ivara écarquilla les yeux à ces mots, ses lèvres s'entrouvant une nouvelle fois pour former un O muet. Jamais elle n'aurait espéré pouvoir rencontrer la Première Ministre un jour, et jamais elle n'aurait pu imaginer que la sœur de celui qui empruntait son corps avait des connaissances aussi hauts placées. Plus détendue, plus aux anges, elle se laissa volontiers embarquer par Zahria vers la piste de danse formée par plusieurs couples. L'heure était vraiment à la fête pour tous et c'était si plaisant à voir !
Elle avait eu le temps de confier son verre, au trois quart plein, à Luz, avant de commencer à bouger au rythme de la musique. Danser. Cela faisait si longtemps qu'elle n'en avait pas profité et qu'elle ne s'était pas lâchée ! Les rares fois où elle bougeait ainsi, c'était lors de ses représentations à L'Atelier. Rares avaient été les fois où elle avait dansé par pur plaisir, seule ou accompagnée. En y réfléchissant bien, il lui semblait que ça n'était jamais arrivé ces dernières lunes.
Elle se demanda si les autres se joindraient à eux et jeta un coup d'oeil vers l'endroit où elle s'était trouvée, à peine une minute auparavant.
Les yeux pétillants d'un éclat nouveau, elle se mit à rire et repensa à l'agréable soirée qu'elle était en train de passer. Certes, elle avait dû s'emmitoufler à plusieurs reprises dans son manteau pour se maintenir au chaud, mais elle avait aussi mangé de délicieux pains d'épices et observé la Capitale depuis un perchoir bien particulier !
Désormais, un seul petit détail venait la tracasser.
- Si j'avais su que je vous verrais, je vous aurais pris quelques cadeaux ! avoua-t-elle.
Elle avait eu le temps de confier son verre, au trois quart plein, à Luz, avant de commencer à bouger au rythme de la musique. Danser. Cela faisait si longtemps qu'elle n'en avait pas profité et qu'elle ne s'était pas lâchée ! Les rares fois où elle bougeait ainsi, c'était lors de ses représentations à L'Atelier. Rares avaient été les fois où elle avait dansé par pur plaisir, seule ou accompagnée. En y réfléchissant bien, il lui semblait que ça n'était jamais arrivé ces dernières lunes.
Elle se demanda si les autres se joindraient à eux et jeta un coup d'oeil vers l'endroit où elle s'était trouvée, à peine une minute auparavant.
Les yeux pétillants d'un éclat nouveau, elle se mit à rire et repensa à l'agréable soirée qu'elle était en train de passer. Certes, elle avait dû s'emmitoufler à plusieurs reprises dans son manteau pour se maintenir au chaud, mais elle avait aussi mangé de délicieux pains d'épices et observé la Capitale depuis un perchoir bien particulier !
Désormais, un seul petit détail venait la tracasser.
- Si j'avais su que je vous verrais, je vous aurais pris quelques cadeaux ! avoua-t-elle.
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Cristaux : 2693MESSAGES : 964COULEUR : #07B9A7Lapis RajaAventurière
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Tavernier ? Il faut dire que ça tombait bien. Fraîchement débarquée elle avait pu se faire quelques cristaux par ci par là, mais rien d'assez conséquent pour se permettre de louer un appartement.
-Votre générosité me touche sincèrement et j'accepterai avec plaisir votre aide.
Elle n'aimait pas se savoir aussi dépendante des autres, mais dans sa situation, elle n'avait plus vraiment le luxe du choix. S'étant un peu reposée, elle se sentait capable de rester éveillée encore quelques temps. Elle leva les yeux pour contempler les étoiles et cette vision lui parut plus belle que toutes les fois où elle avait pu observer le ciel de nuit, depuis la fenêtre de sa chambre.
Lapis se saisit de son carnet de notes, prit une page vierge, et bien qu'elle ne pouvait distinguer les traces de son crayon, elle se mit en tailleur et retraça le plan des étoiles, essayant de rester le plus fidèle à ce qu'elle observait. Elle rira très probablement du rendu final demain matin au réveil, mais sur le moment cela l'aida beaucoup à s'occuper en attendant la fin du voyage.
-Votre générosité me touche sincèrement et j'accepterai avec plaisir votre aide.
Elle n'aimait pas se savoir aussi dépendante des autres, mais dans sa situation, elle n'avait plus vraiment le luxe du choix. S'étant un peu reposée, elle se sentait capable de rester éveillée encore quelques temps. Elle leva les yeux pour contempler les étoiles et cette vision lui parut plus belle que toutes les fois où elle avait pu observer le ciel de nuit, depuis la fenêtre de sa chambre.
Lapis se saisit de son carnet de notes, prit une page vierge, et bien qu'elle ne pouvait distinguer les traces de son crayon, elle se mit en tailleur et retraça le plan des étoiles, essayant de rester le plus fidèle à ce qu'elle observait. Elle rira très probablement du rendu final demain matin au réveil, mais sur le moment cela l'aida beaucoup à s'occuper en attendant la fin du voyage.
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Succès : Cristaux : 1175MESSAGES : 78COULEUR : #3333ccHaru Du LysPremière Ministre
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- Essayons…
Jin prenant les choses en main, je me laissais faire tout doucement à ses pas légers. C’était plutôt amusant de voir Jin, calme essayant de bien faire pour ne pas me marcher sur les pieds.
- Ta mère t’a appris les bonnes bases.
Et c’était vrai, il n’était pas du tout ridicule. Pas du tout près pour un bal au palais mais pour l’instant ça me suffisait de pouvoir ce moment là avec lui. On profite au maximum de l’espace disponible car ce n’était pas tous les jours qu’on avait le grand hall rien que pour ça. Nous avons quelques fous rires quand, pris d’un grand élan artistique, on fait des pas plus acrobatiques. Les bras autour de son cou, je finis par lui dire sur le ton de la rigolade.
- J’aurai dû t’offrir des chaussures de danse magiques pour le solstice. Un cadeau plus utile !
Comme s' il allait passer à travers les mailles du filet. J’avais préparé une magnifique surprise pour lui et c’était quelque chose que j’avais réfléchi depuis de nombreux jours depuis son retour de la quête royale. Ses dernières lunes ont été assez éprouvantes pour lui, pour moi mais aussi pour nous. L’attente, la peur et j’en passe. Ce désert volant était une rude épreuve et bien heureusement, rien de grave ne lui était arrivé mais j’ai passé plusieurs nuits difficiles. Allys m’avait tenu compagnie un soir et nous avons eu cette fameuse discussion. La seule à vrai dire, celle de l’avenir de mon couple. Qu’est-ce que je souhaitais faire et le fait qu’elle était impatiente de voir l’homme qui faisait chavirer mon cœur. Je me suis toujours dit que lui présenter rendait la chose tellement officielle, voire solennelle. Même si Jin n’a pas compris l’importance de cette petite rencontre, elle avait le don de faire battre plus fort mon cœur. Elle l’avait vu et elle sait que je devais faire le prochain pas. La vie peut-être tellement imprévisible et il ne fallait pas attendre le prochain millénaire. Elle m’a raconté qu’elle aussi, elle avait peur quand Grimvor partait en mission plus jeune et l’angoisse de ne jamais le revoir revenir. Mais il y avait toujours cette promesse qui a été scellée entre eux…
Mais je n’étais pas encore prête et je voulais danser, ne pas penser à cela. Devrait-on en parler du futur ? Oui, est-ce le moment ? Jamais ! On continua ainsi encore quelques minutes et je préfère l’arrêter avant qu’il n’arrive plus à se canaliser.
- Viens, allons profiter dans un endroit plus à notre convenance.
Liant mes doigts aux siens, je prends le chemin de mon cabinet. J’ai foulé de nombreuses fois ses marches mais jamais main dans la main avec quelqu’un. C’était une première même si nous n’avions pas de témoins mis à part Lucy, l’idée était plaisante.
- Théoriquement, personne ne viendra nous déranger. J’avais prévenu que je partais pour la Guilde en milieu de soirée. Mais j’ai eu un changement de programme.
Je pointe sa personne d’un air faussement peiné.
- Mais j’apprécie ce contretemps
Anticipant déjà sa réplique. On se sourit à cet échange silencieux. On apprenait à se connaître mutuellement et au final, au bout de presque deux ans, nous avons évolué chacun de notre manière. On atteint mon étage et attrape la clé de la porte lourde. Jin s’amuse à attraper la clé pour l’ouvrir, je le laisse faire surtout quand celui-ci me tient la porte avec révérence. Jouant le jeu, je le remercie chaleureusement avant de poser mon manteau sur le premier fauteuil disponible dans le petit salon.
- Le calme, ça fait du bien quand même. C’est rare d’avoir personne dans ce bâtiment. Tout le monde est dans la salle de réception.
L’aventurier finit par m’attraper par la taille et pose son menton sur mon épaule. Quelques baisers ici et là. Je finis par l’arrêter tout doucement avant d’aller plus loin.
- Alors certes, je suis un des cadeaux de ce soir mais je souhaite t’offrir quelque chose avant. Tsubaki, tu peux venir ?
Le petit floki arrive avec énergie à notre rencontre.
- Tu as oublié le colis.
Il retourne aussitôt dans l’autre bureau et tire avec lui un sac pour me le poser à mes pieds. Je me dégage alors tout doucement de Jin et l’amène avec moi dans mon bureau.
- Allez viens, ça serait mieux dans l’autre pièce.
Jouant cette atmosphère mystérieuse, donnant un petit bout de pain d’épice à mon familier, je fis un signe à Tsubaki qui part se mettre dans l’autre pièce avec Natsu. On ne voulait pas être dérangé tout simplement. Je pose le sac sur la petite table basse. J’avais fait grâce à mon amant de la magnifique boîte où se trouvait à l’origine le cadeau. C’était de la décoration superficielle et ce qui était important c’était le cadeau lui-même pas la manière dont il est emmitouflé.
- Alors déjà, c’est quelque chose d’utile mais pas que.
Ne lui montrant toujours pas, il essaye de deviner ce que c’était, lui répondant toujours par la négative. Je finis par sortir la ceinture de lames du sac. De belle manufacture, elle était d’un cuir bruni avec des gravures de flammes noires sur le côté. Discrètes mais bien dessinées, on voyait que ce n’était pas une ceinture sortie du stock du magasin. J’avais trouvé le meilleur tanneur de la Capitale pour ensuite voir l’enchanteur. L’autre détail était la boucle en argent. Réversible, elle avait deux symboles, un sur chaque face.
Je finis donc par lui tendre, les armoiries de famille bien visible sur la face avant.
- Tu te doutes que cette ceinture va surtout tenir ton pantalon mais aussi pouvoir cacher une épée de ton choix. Tu as juste besoin d’aller à cet enchanteur pour qui lie ton épée à la ceinture. Il t’expliquera comment ça fonctionne.
Un aventurier n’était jamais à court d’armes, une de plus dans ses bagages était quelque chose qui me rassurait plus qu’autre chose.
- Puis tu as ça aussi.
Je pointe du doigt la boucle avant.
- Comme tu peux voir, ici, ce sont les armoiries de ma famille puis si tu tournes la boucle, tu as une flamme.
Gardant toujours la boucle dans la main ainsi que la main de Jin, je le regarde droit dans les yeux, peu rassurée.
- Je sais qu’on en a jamais parlé mais cette ceinture, cette boucle, c’est quelque chose que je tiens. Quelque chose que je voudrais que tu portes.
Caressant le dos de la main, j’essaye de conserver mon courage.
- Je souhaite que si quelqu'un ose te faire du mal ou j’en passe. Ils savent qu’ils s’attaquent à moi, à mon nom. Que nous deux, nous sommes liés.
Je n’ai pas envie qu’il prenne loin de là. Je n’étais pas du tout en train de voler sa demande au mariage, si il veut en faire une un jour mais nous n’étions pas du tout à cette étape là.
- Tu es libre de porter n’importe quel côté de la boucle. Tu n’es pas obligé de répondre maintenant mais peut-être plus tard nous devrions en parler du après.
Je prends une mine plus souriante.
- Surtout que la Reine souhaite te rencontrer maintenant.
Je finis par lui tendre directement la ceinture pour qu’il l’a prenne.
- Cette boucle, c’est une protection. Tu ne peux pas savoir tout ce que mon nom pourrait faire. J’en profite peu et je ne vis pas dans cette optique là par rapport à certains. Mais je souhaite que quoi qu’il arrive, je puisse t’aider, toi et ta famille.
Est-ce que j’en avais trop fait ? J’en sais rien. Avec lui, je ne sais jamais ce qu’il va penser de tout ça. Allys m’a tellement poussé que je fasse un gage de mon amour. Etre consort était peut-être un premier pas. Le mariage, j’étais de loin pas prête du tout. Je crois qu'aucun de nous deux ne l’était mais on s’aimait. Mais ce contrat… je pouvais largement m’y consentir.
- Ou sinon, je t’offre simplement des chaussures de danse magiques et tu oublies tout ça.
C’était ma seule issue de sortie, pour nous deux…
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Cristaux : 1877MESSAGES : 899COULEUR : #9966ffSaryna DelarosaLa Forestière Sombre
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Festival du Solstice - la capitale
Les écoutant, je poussai un léger soupir quand Devon offrit à cette dernière de l’aide. C’était plutôt un souffle du nez, voir moqueur au stade ou nous en étions rendu entre lui et moi. Être gentil était à la fois sa plus grande qualité, mais aussi son plus grand défaut. J’espère simplement que personne n’en abusera pour lui faire du mal. Heureusement – ou peut-être pas en fait – que je suis là. Parce que je ne ferais pas de cadeaux à personne si je venais à le découvrir. Je sais comment faire disparaître des gens et même si j’ai déjà avoué mes crimes passés à mon époux, je n’hésiterai pas si c’est pour le protéger.
Bon, je m’égare! Je sais que ce n’est sûrement pas l’intention de la demoiselle et contrairement à une certaine jeune femme, celle-ci ne s’était pas jetée sur mon compagnon pour venir se blottir contre lui! Elle avait du savoir-vivre!
Un léger soubresaut du ballon – qui m’arracha un sursaut – nous fit comprendre que ce dernier allait entamer sa descente. Je ne sais pas si Cid l’avait ressenti, mais ce dernier se mit doucement à s’agiter contre moi. Quelques babillements à moitié endormis s’échappèrent de sa bouche et je me contentai de le bercer contre moi tout en me contentant de meumeumer pour tenter de l’apaiser. D’ailleurs, ça ne parait peut-être pas, mais j’ai bien hâte de pouvoir le poser dans sa poussette! Je n’ai pas de réel support pour m’aider à la porter et me contente de mes bras et ces derniers commencent à le sentir! J’ai les muscles qui brûlent.
« Devon, est-ce que tu peux prendre Cid le temps de retrouver la poussette. Je ne sens plus mes bras… »
Je n’ai pas réellement besoin d’attendre une réponse de sa part puisque je sais qu’il le prendra et nous procédons à l’échange alors que je l’aide simplement à l’allonger contre son bras et son torse tout en m’assurant qu’il soit bien emmitouflé. C’est pas toujours simple pour lui de n’avoir qu’un bras de fonctionnel alors je fais de mon mieux pour palier à cela. D’ailleurs, un petit sourire se dessine sur mes lèvres alors que je les observe tous les deux.
Après quelques minutes, le ballon finit par retourner au sol, laissant les arômes des festivités nous enrober. Le vendeur de pâtisseries n’étant pas très loin semblait avoir, cette fois-ci, préparé une fournée de pain d’épice puisque ça sentait jusqu’ici.
« Faites gaffe en descendant! »
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Cristaux : 1387MESSAGES : 748COULEUR : #ff3333Devon HaraginDoudou personnel de Cid
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Festivale du solstice - la capitale
Je souris à la jeune inconnue alors qu'elle accepte mon aide, ce n'est sans doute pas grand chose, je pourrais sans doute lui avoir une nuit offerte dans l'auberge d'une de mes connaissances, rien de plus mais... C'est mieux que rien non? Et puis, pour ce que cela me demande d'aller parler avec un ami un instant, si je peux aider pourquoi pas? Après tout, c'est le solstice tout de même, c'est la bonne période de l'année pour cela! Naturellement, le souffle de ma compagne ne m'échappe pas réellement, ma belle sauvageonne me connait parfaitement et je sais que ses manières de faire diffèrent des miennes mais, je lui suis reconnaissant de ne rien en dire. Après tout, je suis ainsi, je tente d'aider mon prochain du mieux que je le peux, de faire en sorte que tout aille mieux pour le plus de monde possible. Au fond, je me dis simplement que si les gens s'entraidaient plus souvent, ce royaume serait un lieu plus agréable pour mon fils dans les années à venir tout simplement... Un rêve sans doute idéaliste mais il faut bien des utopique si l'on veut que cela puisse arriver un jour non?
Je laisse donc la jeune femme à ses occupations pour l'instant alors que le ballon amorce sa descente, je me tourne vers Saryna et vient l'enlacer en douceur dans son dos avant de déposer un tendre baiser sur sa joue, murmurant d'une voix douce. "Merci..." De quoi? De me laisser faire peut-être ou simplement d'être là et d'être elle? Après tout je n'ai pas forcément une raison unique de remercier la belle. Nous revenons finalement au niveau du sol et mon épouse me confie notre fils après m'avoir aidé à l'installer... Je lui ai déjà dis que je n'ai pas spécialement d'aide mais que voulez-vous? Je suppose qu'elle s'inquiète bien plus que moi de l'état de mon bras même si, au fond, j'ai déjà prouvé être parfaitement capable de me débrouiller avec un seul membre opérationnel. Pendant qu'elle prépare la poussette que les hommes en charge des ballons ont gardés pour nous, je me tourne vers la jeune femme à la chevelure océan tout en berçant doucement Cid.
"Au fait, je ne me suis même pas présenté! Devon Haragin, mon épouse Saryna et notre fils, Cid! Nous allons passé par le marché du solstice pour nous diriger vers l'auberge d'un de mes amis, cela vous convient-il?"
Je laisse donc la jeune femme à ses occupations pour l'instant alors que le ballon amorce sa descente, je me tourne vers Saryna et vient l'enlacer en douceur dans son dos avant de déposer un tendre baiser sur sa joue, murmurant d'une voix douce. "Merci..." De quoi? De me laisser faire peut-être ou simplement d'être là et d'être elle? Après tout je n'ai pas forcément une raison unique de remercier la belle. Nous revenons finalement au niveau du sol et mon épouse me confie notre fils après m'avoir aidé à l'installer... Je lui ai déjà dis que je n'ai pas spécialement d'aide mais que voulez-vous? Je suppose qu'elle s'inquiète bien plus que moi de l'état de mon bras même si, au fond, j'ai déjà prouvé être parfaitement capable de me débrouiller avec un seul membre opérationnel. Pendant qu'elle prépare la poussette que les hommes en charge des ballons ont gardés pour nous, je me tourne vers la jeune femme à la chevelure océan tout en berçant doucement Cid.
"Au fait, je ne me suis même pas présenté! Devon Haragin, mon épouse Saryna et notre fils, Cid! Nous allons passé par le marché du solstice pour nous diriger vers l'auberge d'un de mes amis, cela vous convient-il?"
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Image de profil : Succès : Cristaux : 3695MESSAGES : 597COULEUR : #Amaryllis TylwaenExaminatrice Adorée
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Il était vrai que le pouvoir avait toujours un effet sur les gens. Que ce soit ceux y étant, ceux le convoitant, ou bien ceux l’admirant. Amaryllis savait parfaitement dans quelle catégorie elle se trouvait, et vu les réactions de certains elle pouvait parfaitement voir où d’autres se trouvaient. De loin, ces fonctions devaient être intimidantes. De plus proche, ils restaient tous humains, peu importait le genre qu’ils pouvaient se donner. La sculptrice, notamment, semblait particulièrement admirative de ces gens. Notamment de la garde royale, une remarque qui fit légèrement sourire Amaryllis.
« Je me suis déjà entretenue avec un grand nombre de gardes royaux. Également avec la ministre de la justice, Dame Heydell, ou avec Sa Majesté le prince, qui sont tous deux très investis pour le bien du Royaume. »
Jamais avec la Première Ministre, par contre, mais ses attributions militaires étaient peut-être un peu trop spécifiques pour réellement susciter son intérêt, à moins qu’il ne s’agisse d’un évènement majeur pour le Royaume. Amaryllis avait une opinion bien moindre des gardes royaux, des élites bien mal mises à profit selon elle, tant une protection personnelle et une bonne note aux cours de combat n’étaient pas du tout la même chose.
Zahria emmena ensuite Ivara pour une petite danse, et, Amaryllis, de son côté, après avoir terminé sa coupe - assez rapidement - et un petit peu profité de quelques petits fours, se retourna vers la rousse, celle qui avait laissé la meilleure impression sur elle pour le moment. Même si ce n’était pas un concours. La consultante ne pouvait pas nier que la médecin avait quelque chose d’électrisant. Elle trouva rapidement son regard.
« Une danse, Dame Weiss? »
Un accord entendu, la rouge s’empara de l’attention de la médecin pour l’amener jusqu’à la piste. Sans être elle-même une experte dans ce genre de milieu et de pratiques, elle savait bien se débrouiller dans ce genre de petit jeu. Se laissant s’approcher, s’éloigner pour mieux revenir ensuite, au rythme de la musique et des effets du champagne montant doucement. Ce n’était qu’une première coupe, après tout, d’autres suivront.
Pas vraiment des plus timides de son côté, elle n’hésita pas vraiment à poursuivre leur petit jeu jusqu’à rapprocher la danse dans ce qui pouvait s’apparenter à un câlin.
« Je dirais bien que je suis désolée de vous monopoliser ainsi alors que tant de gens vous demandent. Mais ce serait un mensonge. »
Ses yeux améthystes s’étaient rivés vers les siens lors de cet échange. Désolée, elle ne l’était clairement pas, elle ne le serait sûrement jamais avec quelqu’un comme elle entre les mains et les bras.
« Je me suis déjà entretenue avec un grand nombre de gardes royaux. Également avec la ministre de la justice, Dame Heydell, ou avec Sa Majesté le prince, qui sont tous deux très investis pour le bien du Royaume. »
Jamais avec la Première Ministre, par contre, mais ses attributions militaires étaient peut-être un peu trop spécifiques pour réellement susciter son intérêt, à moins qu’il ne s’agisse d’un évènement majeur pour le Royaume. Amaryllis avait une opinion bien moindre des gardes royaux, des élites bien mal mises à profit selon elle, tant une protection personnelle et une bonne note aux cours de combat n’étaient pas du tout la même chose.
Zahria emmena ensuite Ivara pour une petite danse, et, Amaryllis, de son côté, après avoir terminé sa coupe - assez rapidement - et un petit peu profité de quelques petits fours, se retourna vers la rousse, celle qui avait laissé la meilleure impression sur elle pour le moment. Même si ce n’était pas un concours. La consultante ne pouvait pas nier que la médecin avait quelque chose d’électrisant. Elle trouva rapidement son regard.
« Une danse, Dame Weiss? »
Un accord entendu, la rouge s’empara de l’attention de la médecin pour l’amener jusqu’à la piste. Sans être elle-même une experte dans ce genre de milieu et de pratiques, elle savait bien se débrouiller dans ce genre de petit jeu. Se laissant s’approcher, s’éloigner pour mieux revenir ensuite, au rythme de la musique et des effets du champagne montant doucement. Ce n’était qu’une première coupe, après tout, d’autres suivront.
Pas vraiment des plus timides de son côté, elle n’hésita pas vraiment à poursuivre leur petit jeu jusqu’à rapprocher la danse dans ce qui pouvait s’apparenter à un câlin.
« Je dirais bien que je suis désolée de vous monopoliser ainsi alors que tant de gens vous demandent. Mais ce serait un mensonge. »
Ses yeux améthystes s’étaient rivés vers les siens lors de cet échange. Désolée, elle ne l’était clairement pas, elle ne le serait sûrement jamais avec quelqu’un comme elle entre les mains et les bras.
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Succès : Cristaux : 2005MESSAGES : 198COULEUR : #cc0099Astrid DalgaardEx-Commandant Trolleur
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Les gens dansent, boivent, mangent, et les gardes royaux surveillaient le tout sans pouvoir rejoindre les festivités. Les pauvres vraiment, Astrid avait un peu de peine pour eux et revoyait également Edmond Delancy surveiller ce genre d’événements en devant résister à la vue et l'odeur des divers pâtisseries. Aaaaah, triste époque ! Mais maintenant, elle était libre ! Libre de faire tout ce qu'elle souhaitait et de manger jusqu'à se faire péter le bide ! Ce qu'elle faisait activement. Entre deux éclairs au chocolat, elle commença à observer la foule pour voir si elle y reconnaissait des gens et surtout si elle y voyait le roi et la reine. Elle haussa légèrement un sourcil en reconnaissant la blonde qui avait failli se taper avec l'autre aux cheveux mauve danser avec une autre personne. Elle n'avait pas l'air blessé et n'avait pas de bleu. Pas de bagarre donc. Tch. Décevant. Et avec elle le groupe avec Luz wesh. Eh bah. Drôle de coïncidence de les recroiser ici. Hmmm...Est-ce que c'était Astrid où l'un d'eux, de dos, grand et blond - Lovis -, ressemblait à son frère, Gwain ? Elle en mettrait sa main au feu ! Avant d'y réfléchir deux fois, elle arriva derrière la personne qu'elle pensait être son frère et se jeta sur lui pour le câliner.
-GWAAAAAAAAAAAAAAIN ! TU M'AVAIS MANQUÉÉÉÉ !
Il suffit à Astrid de lever un peu les yeux vers le visage de la dite personne pour se rendre compte qu'elle s'était foirée.
-Oooooh. Oops. Ouaaaais, désolé mon ptit, de dos j'pensais que t'étais mon frère haha.
Et la fouteuse de merde ambulante repartit aussi vite qu'elle était venue.
-GWAAAAAAAAAAAAAAIN ! TU M'AVAIS MANQUÉÉÉÉ !
Il suffit à Astrid de lever un peu les yeux vers le visage de la dite personne pour se rendre compte qu'elle s'était foirée.
-Oooooh. Oops. Ouaaaais, désolé mon ptit, de dos j'pensais que t'étais mon frère haha.
Et la fouteuse de merde ambulante repartit aussi vite qu'elle était venue.
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Cristaux : 5096MESSAGES : 1435COULEUR : #0066ffJin HidoruLe Châtieur Ardent
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Pas de magie au palais, hé ? Mon fion.
Je baigne actuellement dans une magie sans nom.
J'sais pas si je suis ridicule, là, actuellement. Je suis pas le meilleur danseur du monde, et pourtant, nous tournons dans le hall, nos pas résonnent dans l'immensité de la pièce, l'écho qui attestait de nos seules présences. Ouais, c'était vraiment magique. Deux tornades, dans le même courant, durant quelques minutes. Rictus gêné, des fois en partageant son rire, ou bien en opinant du chef sur l'achat éventuel d'une paire de pompes de danse magique, même si dans le cadre actuel, ça ne fonctionnerait pas.
Mais, bizarrement, j'aimais cette absence de pouvoir. Il ne fait que nous rendre plus authentique. On ne peut pas se cacher, mentir, ou embellir une situation avec des flammes, de la lumière ou n'importe quoi d'autre. Seulement se confronter à notre propre vulnérabilité, et mine de rien, être encore plus sincère avec Haru. Peut-être que c'était ce dont j'avais besoin. Ne pas m'enfermer dans les violences ardentes de mon pouvoir. On fait moins le malin, hein, Jin ?
La danse s'arrête, mais pas la magie, et silencieusement je garde d'une main celle que j'aime pour la suivre. Le cœur bat fort, une chaleur naissante dans le ventre, j'me mordille les lèvres en pensant à beaucoup de choses. On retrouve son cabinet, montant côtes à côtes l’escalier, comme la signature d'un énième cap passé ensemble. Ne pas être Chasseur de primes ou aventurier, ni Ministre, seulement deux individus qui comptent pour l'un et l'autre. Evidemment, j'aime jouer les pitres,, donc quand j'essaie d'ouvrir la porte, le coup du sort s'acharne lorsque j'vais mettre quelques secondes à ouvrir le battant avant de jouer ma parodie ratée du majordome qui lui tient la porte.
Puis, un soupir.
- Ouais, le calme. Je suis d'accord. De nos boulots respectifs, j'ai l'impression que le calme est un des rares luxes qu'on peut pas se donner.
Et c'est comme ça que j'vais me consoler avec une étreinte chaleureuse, me blottissant contre son dos, non sans laisser des mains baladeuses, alors que je butine de baisers sa clavicule et enfin son cou. Maaaaais... Comment ça j'dois m'arrêter ?!
-... Un cadeau ? Hm, qu'est-ce que vous me cachez madame la Ministre ?
J'hausse un sourcil sur Tsubaki qui maintenant m'a déjà vu une paire de fois, assez pour tolérer ma présence manifestement. Il a loupé la première manœuvre, un rire léger me prend. Elle a carrément fait participer sa petite famille à poils.
- Jolie mise en scène. Tu fais toujours merveilleusement bien les choses.
Mais, elle me connaît, j'suis jamais bien patient lorsqu'il s'agit de mystère. Mais, faut avouer que ça apporte son lot d'excitation avec cet air là dans les yeux. J'quitte mon manteau pour le laisser sur la chaise de son bureau, côté invité, évidemment. J'analyse alors la boite, qui aussi bien présenté qu'un artefact de musée. J'vais me casser la gueule à plusieurs reprises, en tentant désespérément de trouver ledit cadeau. Un bijou ? Un vêtement ? Un cadre magique ? Aucune foutue idée.
Mais c'est une ceinture de lames qui finit dans sa main. J'connais très bien cet objet. Ma bouche s'ouvre à moitié, et normalement, si j'avais mes pouvoirs mes yeux grand ouvert auraient pris une lumière vive pour trahir toute ma surprise. En détaillant la boucle, je vois un symbole bien connu. La maison Du Lys, son emblème, son blason. Qu'est-ce que ça voulait dire ?
- Oui, je connais l'objet, c'est extrêmement utile...
Mais ?
- Oh...
Je vois la boucle changer de sens et des flammes naissent dans la géométrie inversée. Fascinant. Mes yeux se détachent de l'objet pour plonger dans les améthystes, emplit de doutes et d'incertitudes. Je reste alors silencieux durant toute son explication. Je comprenais doucement, toute l'engagement de ce cadeau. Nous sommes ensemble, et plus que ça. La quête royale au désert volant m'a mis une énorme claque. Je me suis rendu compte à quel point Haru est vitale pour moi. Je ne me vois vivre avec personne d'autre que elle. Plus les lunes, et les années défilent, plus cela sonne comme une évidence, maintenant. Et cette situation ne fait que le confirmer. J'aimerai la rassurer, tout de suite, mais j'veux pas lui couper la parole. Tenir son symbole, c'est signer une nouvelle union. Un sourire timide, qui va disparaître après la mention de la Reine. Va falloir mettre le paquet pour lui plaire, à Sa Majesté.
L'objet fini dans ma main, et je finis par prendre une inspiration. L'autre main libre caresse la ligne de sa mâchoire, un long silence ainsi, à la contempler. Qu'est-ce qu'elle est belle. Rangeant une mèche à l'arrière de son oreille, mes yeux vont replonger sur ce cadeau si symbolique.
- Jin Hidoru. Le Châtieur Ardent. Pyromancien. Flammèche. Chasseur de primes. Autant de noms qui me définissent. Problème, c'est que tu fais partie de ma vie, maintenant. Et je ne suis plus cet homme, ou plutôt, je suis maintenant plus que ça. Tout le monde sait que j'peux incinérer un environnement…
J'entoure la dite ceinture autour de ma taille, la boucle orientée sur l'Emblème des Du Lys.
- …Mais les gens doivent savoir dorénavant que je fais également partie de ta vie, à toi.
J'approche doucement mon visage vers le sien, capturant ses lèvres d'un baiser plus doux que la normale. La respiration tremblante. Moi aussi finalement, pas rassuré.
- C'est un honneur d'accepter ce présent. De le porter, si c'est pour te montrer à quel point je t'aime.
Un pas qui s'approche d'un mariage. Est-ce que j'ai les épaules ? Aucune. Foutue. De. Putains. D'idées. Mais faut croire que ça ne m'arrête pas d'y songer. Maintenant, j'me sens con. Très con. D'être venu ici, sans cadeaux notables. Et il faudra rectifier ça, coûte que coûte.
Pour toi.
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Cristaux : 1760MESSAGES : 801COULEUR : #ff6600Lapis RajaAventurière
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-Enchantée Devon, Saryna et Cid, je me présente ; Lapis Raja, mais appelez moi Lapis.
En prononçant ces mots, la jeune femme se rendit compte qu'elle n'avait même pas prit le temps d'observer le visage de ses interlocuteurs dans la pénombre qui régnait là-haut. Avec les éclairages aux alentours, elle pouvait désormais clairement discerner les visages de chacun. Le grand homme qui lui avait proposé son aide avait une figure à la hauteur de sa carrure, et cela se lisait sur ses traits qu'il aimait rendre service aux personnes dans le besoin. Lapis s'en réjouit, car avec une telle stature, qui sait ce dont il serait capable de faire avec des intentions toutes autres. Quant à la femme, elle semblait beaucoup plus distante, et protectrice envers son enfant, quelque peu méfiante. Sûrement une question d'instinct maternel, chose qu'elle ne comprendra probablement jamais. L'enfant étant déjà dans sa poussette, elle ne s'en préoccupa pas plus que ça.
-Avec plaisir, je vous suis.
Lapis leur emboîta alors le pas, regardant autour d'elle. Sur ce marché se trouvaient différents stands. Certains vendant de la nourriture ou des boissons chaudes, et si l'odeur était très appétissante, elle n'avait pas la tête à ça. Son sac qui n'était pourtant pas si lourd, lui paraissait maintenant si dur à porter. Elle devait tenir bon, le temps d'arriver à l'auberge de l'ami de Devon.
En prononçant ces mots, la jeune femme se rendit compte qu'elle n'avait même pas prit le temps d'observer le visage de ses interlocuteurs dans la pénombre qui régnait là-haut. Avec les éclairages aux alentours, elle pouvait désormais clairement discerner les visages de chacun. Le grand homme qui lui avait proposé son aide avait une figure à la hauteur de sa carrure, et cela se lisait sur ses traits qu'il aimait rendre service aux personnes dans le besoin. Lapis s'en réjouit, car avec une telle stature, qui sait ce dont il serait capable de faire avec des intentions toutes autres. Quant à la femme, elle semblait beaucoup plus distante, et protectrice envers son enfant, quelque peu méfiante. Sûrement une question d'instinct maternel, chose qu'elle ne comprendra probablement jamais. L'enfant étant déjà dans sa poussette, elle ne s'en préoccupa pas plus que ça.
-Avec plaisir, je vous suis.
Lapis leur emboîta alors le pas, regardant autour d'elle. Sur ce marché se trouvaient différents stands. Certains vendant de la nourriture ou des boissons chaudes, et si l'odeur était très appétissante, elle n'avait pas la tête à ça. Son sac qui n'était pourtant pas si lourd, lui paraissait maintenant si dur à porter. Elle devait tenir bon, le temps d'arriver à l'auberge de l'ami de Devon.
Image de profil : Succès : Cristaux : 1175MESSAGES : 78COULEUR : #3333ccSaryna DelarosaLa Forestière Sombre
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Festival du Solstice - la capitale
Étant la première à mettre le pied au sol, je regarde brièvement derrière moi avant de me diriger vers le garde qui surveillait notre poussette. Je ne suis pas spécialement leur amie, mais je ne suis pas impolie non plus et je le remercie malgré tout. Ça ne doit pas être facile non plus de ne pas pouvoir fêter avec sa famille et de devoir surveiller des gens, en quête de nouveautés, montées dans les ballons. Il suffirait qu’une personne aux mauvaises intentions réussisse à passer pour que cela tourne au drame.
Je me rapproche alors de ma famille ainsi que de l’inconnue et assiste finalement aux présentations faites par Devon. Je fis un léger mouvement de tête de haut en bas en guise de salutation. Par la suite, je laissai donc Devon remettre le petit dans sa poussette et profitai qu’il soit penché pour venir l’embrasser sur la joue tout en caressant tendrement son dos. Puis une fois l’enfant bien installé, nous nous mîmes en route.
Marchant à une vitesse régulière, dans un premier temps, nous dûmes ralentir le pas plus nous approchions le quartier commerçant qui accueillait déjà une foule de monde et marché devenait compliqué sans avoir à attendre que l’un ou l’autre passe. Il y avait des tables partout et chacune d’elle semblait attirer son potentiel public.
Pour ma part, je me contente simplement de me rapprocher de mon époux pour une question de sécurité pour moi et pour les autres. Normalement, dans une foule comme celle-ci, je me serais couvert la tête m’assurant qu’on ne voit pas mon visage. Il doit bien y avoir des citoyens venus exprès pour le solstice de la capitale et qui ne m’ont jamais croisé. Évidemment que mon visage attire les regards! Je suis une hybride-araignée veuve noire, il n’y a rien de super attirant là-dedans contrairement à ceux ayant des oreilles velues ou de simples queues. Enfin, on ne le devine pas au premier regard et je dois normalement le mentionner quand on me questionne, parce que je pourrais être bien des choses…
En tout cas, je regrette notre choix de parcours…
Image de profil : Succès : Cristaux : 1387MESSAGES : 748COULEUR : #ff3333Haru Du LysPremière Ministre
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Au palais - bâtiment des ministres - cabinet d'Haru
Les secondes durent des minutes et mon palpitant frappe ma poitrine. Nul besoin d’utiliser mon pouvoir pour voir les différentes émotions de Jin. Quand j’évoque la Reine, encore une fois, la peur l'envahit peu à peu. Est-ce si peu commun de parler avec elle ? Je voulais justement lui présenter l'homme qu’il était. Un homme qui n’avait à voir de tous ceux du Palais. Un homme franc, sincère et qui aimait rendre les autres heureux. Des choses si simples qui pouvaient manquer à tellement de gens ici entre ses murs.
Car je le sais, si il prend cette ceinture, il l’a prend pour moi. Je sais qu’il en que faire de ce que je suis tout comme moi ce qu’il était. Nous avons déjà passé cette étape mais on pourrait partager ce que l’autre pouvait contribuer à l’autre maintenant. Facile à dire mais à faire… c’était tellement d’étapes différentes qui finissaient toutes au même point. Sa main retrouve ma joue et j’observe ses yeux qui n’avaient jamais pu changer de couleur depuis tout à l’heure. J’ai bien rigolé au début de notre relation quand son regard s’enflammait. Est-ce que son pouvoir élémentaire l’a rendu comme il l’était ? Je me suis toujours posée la question à vrai dire. Son tempérament, sa fougue. Ce pouvoir destructeur et incontrôlable. Est-ce qu’il aurait été pareil en maîtrisant un autre élément ? Je ne le saurai jamais mais l’homme que j’avais en face de moi, je l’aimais comme ça justement.
Alors quand il finit par mettre sa ceinture autour de sa taille, le Lys visible devant, je me sentais fière. Mon amant acceptait cette partie là et je n’osais pas ajouter qu’en plus de tous les noms qu’il venait de citer, est-ce qu’il pourrait s’appeler un jour Jin Hidoru Du Lys ? Ou même moi ?
Mais ne sachant quoi dire tous les deux, nos lèvres se retrouvent pour un baiser doux. Le silence était bien mieux, partageant nos sentiments par nos actes et non par des mots.
Pour une fois, Jin reprend la parole et je m’amuse de la tournure de sa phrase.
- On dirait que tu viens de me louer allégeance. Tel mon chevalier !
Je m’approche de lui, pointant la fière ceinture du doigt.
- Je ne veux pas simplement ton épée, je te veux toi…
Finissant par desserer un peu le col de sa chemise puis quelques boutons.
- C’est le plus cadeau que tu aies pu me faire Jin. Accepter cette ceinture, ce qui symbolise et tout le reste. Mais si nous profitons du solstice d’une façon bien plus agréable, non ?
Continuant cette longue descente, je finis par faire tomber cette veste qui était définitivement de trop entre nous.
- On dit que la nuit du Solstice est la plus extraordinaire pour partager nos sentiments. Je voudrais tester cette hypothèse, veux-tu ?
Peut-être que c’était vrai mais il faut dire que je n’avais pas besoin de ça pour qu’on finisse tous les deux sur ce canapé. Cette fois-ci, je comptais bien qu’il garde cette ceinture un certain temps, après tout le mal que je me suis donnée à lui faire faire et qu’il l’a porte. De toute façon… La nuit ne faisait que commencer non ?
Image de profil : Succès : Cristaux : 1877MESSAGES : 899COULEUR : #9966ffLuz WeissCroc de foudre
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Mais… N’était-ce pas Astrid qu’elle avait entre-aperçue du coin de l’œil juste à l’instant ? Luz se morigéna. Que viendrait faire au palais la jeune femme aux cheveux blancs, autrefois croisée au carrefour d’une agression magique ? Certes, la praticienne l’avait brièvement rencontrée aux côtés de Zilith, cette Astrid ne pouvait donc pas foncièrement être une mauvaise personne… Ses pensées s’égrenèrent toutefois avant qu’elle ne soit parvenue à une explication rationnelle, happée dans l’instant par la proposition inattendue d’Amaryllis. Damn. Oh damn. Tiens-toi bien gredine de doctoresse ! Ce n’était nullement le jour pour déclencher une polémique politique pour avoir trop taquiné la belle cornue…
« Avec grand plaisir ! »
Déjà, elle se remettait de sa surprise, emboitant le pas à la Consultante sur l’immense piste de danse, les dalles frappées d’étoiles scintillantes vibrant de mille feux diaprés sous leurs semelles. Elle avait eu le temps de finir sa coupe de champagne -et celle d’Ivara- avant de rejoindre sa partenaire, et s’il lui fallait plus qu’une once de liquide pétillant pour lui faire tourner la tête, le breuvage lui procurait un voile de chaleur agréable, une électricité contenue qu’avivait plus encore la proximité d’Amaryllis. Elle virevoltait à présent de part et d’autre de cette dernière, coulant ses courbes dans les espaces offerts, effleurant par moment sa peau, la brève échancrure de ses hanches et les ressacs de ses mouvements pour mieux lui donner le change. Si un ravissant sourire restait placardé sur ses lèvres, toute embrasée de danse qu’elle était, la dernière remarque d’Amaryllis lui arracha un rire franc.
« Si l’on m’avait dit que les jours de neige permettaient de rencontrer d’aussi charmante Conseillère, je serais venue vous rendre visite plus tôt dans la saison froide ! »
Et profitant qu’elles pivotaient toutes deux d’un semblable élan pour mieux se retrouver face à face, Luz, un tantinet essoufflée par leur danse endiablée, poursuivit la directe ligne de ses pensées :
« Je serais ravie cependant de rattraper ce retard impardonnable. Je pressens chez vous une fabuleuse partenaire de conversation. »
Outre le plaisir évident que la praticienne retirait d’être en compagnie visuellement si plaisante, elle s’intéressait bien évidemment également à l’opinion d’Amaryllis sur des sujets aussi vastes que le Royaume ou le Gouvernement. Plusieurs de ses réponses indiquaient qu’elle disposait d’avis très pointu dans ces domaines et Luz était curieuse de connaitre la véritable nature d’une telle personnalité de la Garde.
« Petits fours ? Devinettes ou champagne ? vint leur proposer l’un des domestiques du palais aussitôt qu’elles prirent une pause. »
De toute évidence, la Couronne s’était plu à animer la soirée de quelques devinettes bien senties pour les invités.
« Tout va bien Lovis ? héla plutôt Luz à travers la pièce, persuadée d’avoir vu le jeune homme se faire bruyamment abordé une poignée de secondes plus tôt. »
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Cristaux : 1791MESSAGES : 2530COULEUR : #993300Astrid DalgaardEx-Commandant Trolleur
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Après ce petit incident des plus gênants, Astrid s'éloigna bien vite vers un serveur pour prendre un nouveau verre d'alcool qu'elle vida cul-sec en un clin d’œil. Bon, où étaient ces sales gamins ? Elle plissa les yeux et se mit sur la pointe des pieds. Un grand con avec des cheveux désordonnés et roux, et une autre jolie jeune femme avec de belles formes au longs cheveux noirs. Hmm.
Oooh ! Les voilà ! Les étoiles d'Aryon ! Telle une prédatrice silencieuse, elle se faufila à travers la foule pour arriver derrière le couple royal et une fois assez proche, elle donna un grand coup dans le dos de Grimvor avant de sauter sur Allys pour lui faire un gros câlin en criant :
-SURPPRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISE ! Comment ça va en ce jour de neige? Je vous ai manquééééééééééé ?
Face à cette attaque soudaine, quelques regards s'étaient tournés vers elle et des gardes furent prêt à réagir mais rapidement, Grimvor leur fit savoir qu'il n'y avait rien à craindre et que c'était une amie.
Enfin, le mentor de Grimvor quand il était encore qu'un sale morveux de garde et le commandant royal qui s'était occupé d'Allys quand elle était gamine pour être plus précis, mais ce n'était que des détails, heh.
Oooh ! Les voilà ! Les étoiles d'Aryon ! Telle une prédatrice silencieuse, elle se faufila à travers la foule pour arriver derrière le couple royal et une fois assez proche, elle donna un grand coup dans le dos de Grimvor avant de sauter sur Allys pour lui faire un gros câlin en criant :
-SURPPRRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIISE ! Comment ça va en ce jour de neige? Je vous ai manquééééééééééé ?
Face à cette attaque soudaine, quelques regards s'étaient tournés vers elle et des gardes furent prêt à réagir mais rapidement, Grimvor leur fit savoir qu'il n'y avait rien à craindre et que c'était une amie.
Enfin, le mentor de Grimvor quand il était encore qu'un sale morveux de garde et le commandant royal qui s'était occupé d'Allys quand elle était gamine pour être plus précis, mais ce n'était que des détails, heh.
Image de profil : Succès : Cristaux : 5096MESSAGES : 1435COULEUR : #0066ffIvara Streÿk& Inaros
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Ivara sursauta, surprise, lorsqu'elle entendit un éclat de voix féminin non loin de là où elle dansait. Mais elle n'eut pas l'occasion d'en apprendre plus sur son origine, car elle reconnut aussi la voix de Luz, qui avait pour partenaire la Consultante. La sculptrice esquissa un sourire, redonnant toute son attention à Zahria pour poursuivre leur conversation.
- Et du coup... Comment ça se fait qu'on ne t'a pas vu depuis aussi longtemps ? Je ne crois pas qu'Inaros...
Elle fronça les sourcils quelques instants, cherchant dans des souvenirs profondément enfouis et qui n'étaient pas tous les siens une réponse à ses questions.
- Hm... Non, c'est ça, je ne crois pas que tu l'aies vu aussi !
La musique s'arrêta, le temps d'une pause pour la demoiselle de se précipiter vers les petits fours qu'un serveur lui tendait. Amusée, elle en choisit plusieurs en formes d'étoiles et en proposa à sa partenaire de danse. Elle attendait ses réponses avec impatience. Après tout, elle l'appréciait bien, même si elle avait un lien fraternel avec le mercenaire. Elle s'était toujours montrée douce et compréhensive avec eux. Ce n'était pas comme Violette, qui ne s'était sûrement pas mise à sa place pour essayer de comprendre sa situation.
- Luz, Amaryllis, Lovis, ce plateau là, c'est délicieux ! S'exclama-t-elle en agitant son bras pour attirer leur attention.
Avec l'ambiance régnante, nul doute que les jours de neige étaient plus doux pour le mental de la blonde que ceux du Solstice estival. Elle croqua, dans un plaisir non dissimulé, dans ses petits fours.
- Et du coup... Comment ça se fait qu'on ne t'a pas vu depuis aussi longtemps ? Je ne crois pas qu'Inaros...
Elle fronça les sourcils quelques instants, cherchant dans des souvenirs profondément enfouis et qui n'étaient pas tous les siens une réponse à ses questions.
- Hm... Non, c'est ça, je ne crois pas que tu l'aies vu aussi !
La musique s'arrêta, le temps d'une pause pour la demoiselle de se précipiter vers les petits fours qu'un serveur lui tendait. Amusée, elle en choisit plusieurs en formes d'étoiles et en proposa à sa partenaire de danse. Elle attendait ses réponses avec impatience. Après tout, elle l'appréciait bien, même si elle avait un lien fraternel avec le mercenaire. Elle s'était toujours montrée douce et compréhensive avec eux. Ce n'était pas comme Violette, qui ne s'était sûrement pas mise à sa place pour essayer de comprendre sa situation.
- Luz, Amaryllis, Lovis, ce plateau là, c'est délicieux ! S'exclama-t-elle en agitant son bras pour attirer leur attention.
Avec l'ambiance régnante, nul doute que les jours de neige étaient plus doux pour le mental de la blonde que ceux du Solstice estival. Elle croqua, dans un plaisir non dissimulé, dans ses petits fours.
Image de profil : Succès : Cristaux : 2693MESSAGES : 964COULEUR : #07B9A7Devon HaraginDoudou personnel de Cid
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Festivale du solstice - la capitale
Nous nous mettons en route, inutile de perdre trop de temps. Le ciel est déjà rempli d'étoiles et puisque la jeune femme disait manquer de forces, il vaut mieux ce dépêcher de rejoindre une auberge. Après tout, avec le monde présent au niveau de la place commerçante, je risque de rencontrer des connaissances ce qui va nous ralentir, sans compter qu'en ce jour de neige, les déplacements avec la poussette seront peut-être un peu plus compliqués. Naturellement, je garde un oeil sur la jeune femme, je dois avouer que je ne comprends pas réellement comment elle peut être aussi épuisée, a-t-elle eu l'occasion de manger quelque chose? Est-ce qu'elle utilise un pouvoir que je ne remarque pas et qui draine son énergie? Je ne saurai le dire mais je ne veux pas avoir la mauvaise surprise de me tourner et qu'elle soit allongée sans énergie dans la neige.
Cependant, ce n'est pas la seule qui me préoccupe, je sais que Saryna n'aime pas trop les zones bondées, quand il y a trop de monde, cela déplait souvent à ma belle. Elle a longtemps souffert du regard des autres et je ne veux pas lui infliger cela outre mesure. Je m'excuserai plus tard de nous avoir fait emprunter ce chemin et je trouverai un moyen de me faire pardonner ou du moins de me rattraper. Pour l'heure, lorsqu'elle s'approche de moi, je passe mon bras sous le sien, lui souriant doucement comme pour lui apporter mon soutient, une chose est certaine : personne n'osera dévisager la belle alors qu'elle a pareil géant à son bras! Au moins, mon air parfois patibulaire et ma taille ont cet avantage indéniable d'impressionner immédiatement ceux qui ne me connaissent pas qui sont, par extension, ceux qui ne connaissent pas Saryna...
Comme prévu, je dois m'arrêter quelques fois car des clients, amis, connaissances me reconnaissent. Heureusement, je suis assez doué pour faire des salutations rapides et ne pas m'éterniser, en ce sens Cid est la meilleure des excuses puisque le bambin endormi est un bon prétexte pour vouloir rentrer chez nous. Au bout d'un moment, nous arrivons finalement à destination! Je pousse la porte de l'auberge et suis immédiatement accueilli par le propriétaire : Baderon.
- Devon! J'pensais pas te voir ce soir, que me vaut le plaisir?
"Bonsoir Baderon, je te présente Lapis... J'aurais besoin d'un service."
J'm'écarte un instant avec l'aubergiste et j'lui explique rapidement la situation, ce que je crois être un manque de moyens du côté de la demoiselle et je lui demande s'il peut lui offrir le gite pour une nuit. Au bout de quelques minutes, nous revenons auprès des deux jeunes femmes.
- Lapis, j'ai une chambre de libre pour ce soir, les amis de Devon étant mes amis, bienvenue!
Cependant, ce n'est pas la seule qui me préoccupe, je sais que Saryna n'aime pas trop les zones bondées, quand il y a trop de monde, cela déplait souvent à ma belle. Elle a longtemps souffert du regard des autres et je ne veux pas lui infliger cela outre mesure. Je m'excuserai plus tard de nous avoir fait emprunter ce chemin et je trouverai un moyen de me faire pardonner ou du moins de me rattraper. Pour l'heure, lorsqu'elle s'approche de moi, je passe mon bras sous le sien, lui souriant doucement comme pour lui apporter mon soutient, une chose est certaine : personne n'osera dévisager la belle alors qu'elle a pareil géant à son bras! Au moins, mon air parfois patibulaire et ma taille ont cet avantage indéniable d'impressionner immédiatement ceux qui ne me connaissent pas qui sont, par extension, ceux qui ne connaissent pas Saryna...
Comme prévu, je dois m'arrêter quelques fois car des clients, amis, connaissances me reconnaissent. Heureusement, je suis assez doué pour faire des salutations rapides et ne pas m'éterniser, en ce sens Cid est la meilleure des excuses puisque le bambin endormi est un bon prétexte pour vouloir rentrer chez nous. Au bout d'un moment, nous arrivons finalement à destination! Je pousse la porte de l'auberge et suis immédiatement accueilli par le propriétaire : Baderon.
- Devon! J'pensais pas te voir ce soir, que me vaut le plaisir?
"Bonsoir Baderon, je te présente Lapis... J'aurais besoin d'un service."
J'm'écarte un instant avec l'aubergiste et j'lui explique rapidement la situation, ce que je crois être un manque de moyens du côté de la demoiselle et je lui demande s'il peut lui offrir le gite pour une nuit. Au bout de quelques minutes, nous revenons auprès des deux jeunes femmes.
- Lapis, j'ai une chambre de libre pour ce soir, les amis de Devon étant mes amis, bienvenue!
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : Succès : Cristaux : 3695MESSAGES : 597COULEUR : #Lovis FarleyCitoyen
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Festival du Solstice : la Capitale
Lovis laissa les femmes danser. La danse n'était pas du tout un point fort pour lui. Il préférait les regarder s'amuser tout en sirotant son verre de champagne. La boisson pétillante brillait comme des étoiles lorsque soudainement, il manqua de faire tomber son verre par surprise. Quelqu'un s'était faufilé derrière lui pour lui faire un câlin. Non seulement n'aimait-il pas les contacts physiques, mais cela provenait d'une personne qu'il ne connaissait pas du tout. Il ne put s'empêcher de laisser un petit cri s'échapper. Son regard croisa rapidement celui de la jeune femme qui, après s'être rendu compte qu'elle s'était trompé de personne, reparti rapidement.
Évidemment, son couinement attira l'attention de plusieurs. Embarrassé par ce qui venait de se passer son visage vira au rouge pour être assortie avec le restant des décorations. Alors qu'il entendit la voix de Luz à travers la pièce, il lui fit signe que tout était sous contrôle. Lorsque la sculptrice attira son attention vers le plateau, il s'empressa d'aller la rejoindre près du plateau et goûter a ce qui était offert. L'attention sur lui avait disparu et les gens retournèrent à leur petite affaire. Bientôt, il allait croire que les jours de neige étaient maudits.
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Succès : Cristaux : 1227MESSAGES : 105COULEUR : #0000ffLapis RajaAventurière
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Après quelques interpellations des passants, Devon ouvrit la porte et laissa Lapis entrer. Accueillie par l'aubergiste, celui-ci se fit brièvement prendre à l'écart par Devon, qui lui expliqua alors sûrement la situation dans laquelle elle se trouvait. Quelques secondes plus tard, les deux hommes revinrent, tandis que Baderon annonça lui offrir une chambre pour la nuit. Incroyablement reconnaissante pour ce geste, la gemme s'inclina fortement vers l'avant, sans dire mot, laissant un blanc de quelques instants. En se relevant, elle se tourna vers le couple.
-Je ne sais comment vous remercier, je vous suis extrêmement reconnaissante pour tout ce que vous avez fait pour moi pendant cette soirée.
Cette soirée qui aurait dû se passer normalement, avait été assez éprouvante mentalement pour Lapis. Le premier craquage qu'elle avait eu depuis sa transformation, et le dernier avant longtemps elle l'espérait. Elle réhaussa correctement son sac sur ses épaules, et suivit alors l'aubergiste pour qu'il lui indique sa chambre. Sur le chemin, elle fit un dernier regard en arrière, agrémenté d'un sourire et d'un mouvement de la main en signe d'au revoir.
Après avoir bien ouvert les volets et laissé la fenêtre entrouverte, pour être certaine de capter les premiers rayons du soleil pointant le bout de leur nez, elle s'affaissa sur le lit. Le matelas était bon, bien que ce n'était en aucun cas un critère qui lui tenait à cœur. Elle se releva tout de même, se dévêtit et enleva les quelques résidus de poudre qui avaient résisté aux frictions et à l'humidité. Si pendant la journée la surface de ses cheveux lui suffisait à absorber assez d'énergie pour se mouvoir sans problème, pendant la nuit elle préférait maximiser les surfaces d'absorption pour être opérationnelle dès que possible.
Ces étapes étant faites, elle se mit en hibernation, attendant les rayons du petit matin pour se réveiller.
-Je ne sais comment vous remercier, je vous suis extrêmement reconnaissante pour tout ce que vous avez fait pour moi pendant cette soirée.
Cette soirée qui aurait dû se passer normalement, avait été assez éprouvante mentalement pour Lapis. Le premier craquage qu'elle avait eu depuis sa transformation, et le dernier avant longtemps elle l'espérait. Elle réhaussa correctement son sac sur ses épaules, et suivit alors l'aubergiste pour qu'il lui indique sa chambre. Sur le chemin, elle fit un dernier regard en arrière, agrémenté d'un sourire et d'un mouvement de la main en signe d'au revoir.
Après avoir bien ouvert les volets et laissé la fenêtre entrouverte, pour être certaine de capter les premiers rayons du soleil pointant le bout de leur nez, elle s'affaissa sur le lit. Le matelas était bon, bien que ce n'était en aucun cas un critère qui lui tenait à cœur. Elle se releva tout de même, se dévêtit et enleva les quelques résidus de poudre qui avaient résisté aux frictions et à l'humidité. Si pendant la journée la surface de ses cheveux lui suffisait à absorber assez d'énergie pour se mouvoir sans problème, pendant la nuit elle préférait maximiser les surfaces d'absorption pour être opérationnelle dès que possible.
Ces étapes étant faites, elle se mit en hibernation, attendant les rayons du petit matin pour se réveiller.
Image de profil : Succès : Cristaux : 1175MESSAGES : 78COULEUR : #3333ccIvara Streÿk& Inaros
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Lorsque Lovis s'approcha d'eux, Ivara lui tendit plusieurs des petits fours avec un sourire non dissimulé. Elle-même en avait encore plein la bouche et elle prit le temps de les mâcher pour ne pas paraître pour une impolie. Elle avait remarqué les joues encore un peu cramoisies de Lovis et elle ne pouvait s'empêcher de lui faire une remarque sur celles-ci.
- Et bien, est-ce l'effet du champagne ? J'ai l'impression que tu as un peu chaud, tout va bien ?
Elle avait accompagné sa remarque d'un froncement de sourcils. Il était monnaie courante de savoir que les docteurs étaient ceux qui prenaient le moins soin d'eux et Ivara, avec son empathie décuplée qui revenait au galop maintenant que le mercenaire semblait avoir disparu de son esprit, était préoccupée par son état. Elle n'avait même pas remarqué qu'elle était passée au tutoiement. En vérité, la pauvre tenait si peu l'alcool qu'elle était déjà un peu enivrée par les effets des différentes boissons alcoolisées qu'elle avait ingurgité. Elle se sentait plus légère, plus détendue. Rire et danser lui avaient aussi procuré un véritable sentiment de plénitude.
Il était donc tout naturel qu'elle s'inquiète pour les autres.
- Si tu veux sortir, n'hésite pas à le dire. Je crois qu'ils ont fait une petite pause mais que la musique va reprendre... Donc, si tu préfères danser avec nous. Tu es le bienvenue, hein Zah ?
Elle n'avait pas envie que le docteur se sente trop intimidé, mais elle n'avait pas non plus envie qu'il ne se sente pas à sa place par ici. Et puis, après tout, n'avait-il pas été de ceux ayant souhaité venir dans le palais ? Peut-être qu'il avait aussi une autre idée derrière la tête... Un peu comme elle, qui ne faisait qu'admirer un monde dans lequel elle aurait aimé évoluer depuis toute petite.
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