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Festival du Solstice : la Capitale
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1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10 Wolfram CinderbaneNoble
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Festival du Solstice
Des gens & Wolfram
Décidément, il y a une de ces foules au festival. Tu étais de nouveau stopper de force car des familles s’étaient arrêtées devant une estrade afin d’admirer un “spectacle”. Enfin, si on pouvait appeler ça un spectacle. Un homme avec un masque de loup se tenait sur les planches, chantant des comptines pour les mioches. Tu grimaças en entendant la voix particulièrement nasillarde. C'était un véritable supplice pour tes pauvres oreilles. Et les gens écoutaient ça ? Ne pouvant reste une seconde de plus proche de ce maudit stand au nom ridicule de mobilmome, tu bousculas quelques personnes pour contourner le plus grand du groupe. Bien, tu te dirigerais donc vers les ballons si cela te permettait d’échapper à ce massacre musical.
Il y a encore pas mal de monde dans cette zone, mais c’était déjà bien plus vivable qu’au niveau du marché. Sûrement que le prix de l’attraction -et le vertige- en faisait fuir certains. Tu levas les yeux vers le ciel, certains ballons survolaient déjà la zone, simplement retenus par de la magie pour ne pas s’éloigner.
Il y avait quelque chose de fascinant à les regarder flotter. Est-ce que tu ne devrais pas proposer des activités semblables avec tes casinos et tes arènes ? Tu te grattas le menton, réfléchissant à cette idée tentante. Puis, tu sentais qu’ils avaient du potentiel comme futurs moyens de transports. Il faudrait un moyen de renforcer la sécurité au moment du décollage et de l’atterrissage, puis de les diriger... Augmenter le nombre de voyageurs possibles aussi. Ton regard brilla, oui, c’était des idées intéressantes.
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Festivale du solstice - la capitale
Évidemment elle est plus que motivée par cette idée, après tout ma belle sauvageonne vient du village perché, plus encore lorsqu'elle vivait en forêt, elle faisait généralement son abri dans les arbres. Rien d'étonnant alors à ce que l'idée même d'une balade dans le ciel de la capitale ne lui fasse plaisir... J'espère simplement que tout ira bien, que Cid ne se réveillera pas et que le temps sera clément... Alors que nous sommes dans la file d'attente, Saryna me pose une question légitime : suis-je effrayée par cette activité? Je dois avouer que je ne me suis pas réellement posé la question. En fait, sans doute pourrais-je l'être mais en y réfléchissant, non! Après tout, certes comme elle le signale certains de ces ballons se sont écrasés en se dirigeant vers l'ile flottante cependant, cette technologie a dû être perfectionnée, améliorée, sécurisée même! Sinon, nul doute qu'ils ne proposeraient pas à la population de les utiliser.
"Pas vraiment non! Je suis du même avis que toi concernant les ballons! Il me semble évident que s'ils le proposent comme activité, c'est que c'est sans danger! Ils ne mettraient pas inutilement la population en danger."
Une certitude évidente en réalité. C'est finalement notre tour, naturellement la poussette ne peut pas entrer avec nous, malheureusement cela prendrait trop de place. Nous nous arrangeons donc avec l'homme s'occupant de l'entrer, nous assurant que la poussette soit sécuritairement gardée et nous montons dans la nacelle, Saryna, Cid dans ses bras et moi. Apparemment il y a deux autres personne avec nous, j'ignore pourquoi, instinct de protection ou autre, mais je me rapproche un peu de Saryna, me glissant dans son dos comme pour protéger ma petite famille durant cette balade.
"Pas vraiment non! Je suis du même avis que toi concernant les ballons! Il me semble évident que s'ils le proposent comme activité, c'est que c'est sans danger! Ils ne mettraient pas inutilement la population en danger."
Une certitude évidente en réalité. C'est finalement notre tour, naturellement la poussette ne peut pas entrer avec nous, malheureusement cela prendrait trop de place. Nous nous arrangeons donc avec l'homme s'occupant de l'entrer, nous assurant que la poussette soit sécuritairement gardée et nous montons dans la nacelle, Saryna, Cid dans ses bras et moi. Apparemment il y a deux autres personne avec nous, j'ignore pourquoi, instinct de protection ou autre, mais je me rapproche un peu de Saryna, me glissant dans son dos comme pour protéger ma petite famille durant cette balade.
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Le Festival du Solstice
ÉVÉNEMENT ─ CAPITALEL'hiver avait déposé un manteau de neige immaculé sur le paysage festif qu'était devenu celui de la Capitale. Un pincement au cœur l'avait saisit à cette vue familière et pourtant si différente de celle qu'il aurait pu avoir s'il était resté à Forteresse. La neige ici était bien plus civilisée que celle du nord, balayée avec douceur hors des pas des portes et contempler avec émerveillement par les enfants. Elyas, cependant, ne se permit pas de s'embourber dans cette éternelle mélancolie qui lui collait à la peau depuis son retour à la Capitale, il y maintenant plusieurs mois : le temps n'était pas aux regrets mais à la fête, comme semblait lui rappeler... Eh bien, à peu près tout, en fait.
Mille décorations scintillaient comme autant d'étoiles filantes capturées l'espace d'un instant sur les façades des commerces et dans les yeux des passants qui riaient leur plaisir. Sur la place commerçante, d'étrangers flaveurs et fragrances attiraient le museau de Brindille, qui ressemblait en tout point à un gros chien au nez un peu plus long que la moyenne. Ses grands yeux brun observaient les alentours avec curiosité, même si Elyas ne s'y laissait pas prendre : le petit loup gardait son flanc collé contre sa jambe droite depuis qu'ils avaient commencé à s'aventurer dans les endroits un peu plus fournis en humains. C'était le seul de ses deux compères qui avait un suffisamment bon tempérament pour l'accompagner pour cette promenade -au grand damne de Corneille, qu'il retrouverait sans doute en train de bouder plus tard. Elle n'aurait fait qu'une bouchée de l'enfant que regardait avec fascination Brindille, qui prit quant à lui un instant pour lui retourner son regard.
Un sourire étira timidement les lèvres d'Elyas devant cette scène, avant d'être brusquement ramené à la réalité par un choc soudain. Par réflexe, le garde rattrapa la jeune femme à la peau acajou qui l'avait percuté de plein fouet, visiblement toute aussi la tête dans les nuages que lui. Il balaya ses excuses d'un regard inquiet.
─ Il n'y a pas de mal. La place est particulièrement bondée. Vous ne vous êtes pas blessée ? demande-t-il tout en retirant poliment ses bras de ceux de son interlocutrice de fortune alors que Brindille ne put s'empêcher de renifler la nouvelle arrivante d'un air circonspect.
@Pariza Samnang
Mille décorations scintillaient comme autant d'étoiles filantes capturées l'espace d'un instant sur les façades des commerces et dans les yeux des passants qui riaient leur plaisir. Sur la place commerçante, d'étrangers flaveurs et fragrances attiraient le museau de Brindille, qui ressemblait en tout point à un gros chien au nez un peu plus long que la moyenne. Ses grands yeux brun observaient les alentours avec curiosité, même si Elyas ne s'y laissait pas prendre : le petit loup gardait son flanc collé contre sa jambe droite depuis qu'ils avaient commencé à s'aventurer dans les endroits un peu plus fournis en humains. C'était le seul de ses deux compères qui avait un suffisamment bon tempérament pour l'accompagner pour cette promenade -au grand damne de Corneille, qu'il retrouverait sans doute en train de bouder plus tard. Elle n'aurait fait qu'une bouchée de l'enfant que regardait avec fascination Brindille, qui prit quant à lui un instant pour lui retourner son regard.
Un sourire étira timidement les lèvres d'Elyas devant cette scène, avant d'être brusquement ramené à la réalité par un choc soudain. Par réflexe, le garde rattrapa la jeune femme à la peau acajou qui l'avait percuté de plein fouet, visiblement toute aussi la tête dans les nuages que lui. Il balaya ses excuses d'un regard inquiet.
─ Il n'y a pas de mal. La place est particulièrement bondée. Vous ne vous êtes pas blessée ? demande-t-il tout en retirant poliment ses bras de ceux de son interlocutrice de fortune alors que Brindille ne put s'empêcher de renifler la nouvelle arrivante d'un air circonspect.
@Pariza Samnang
Lapis RajaAventurière
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Se baladant dans les rues blanches et illuminées de la capitale, Lapis avançait lentement, un livre à la main, les yeux rivés sur ce dernier. Plongée dans son ouvrage, le regard suivant le fil des lettres et la démarche lente ; une boule de neige vint heurter le côté droit de sa tête, derrière l'oreille. La jeune femme laissa s'échapper son bouquin, et regardant autour d'elle, se rendit compte qu'elle s'était involontairement immiscée dans un affrontement gelé de deux camps rivaux de gamins. Le responsable se précipitait pour ramasser son livre et tentait d'enlever les quelques flocons qui avaient pu couvrir la reliure en cuir. Voyant l'état dans lequel l'enfant se trouver, Lapis se contenta de lui adresser un sourire chaleureux alors que son agresseur se confondait déjà en excuse. Certes, cela avait perturbé sa balade et sa session de lecture, mais si elle avait porté le regard au delà de ces fines pages, elle aurait également pu éviter cette situation. Elle s'empressa de sortir de la zone de l'affrontement, et s'occupa alors d'enlever la neige restant encore dans ses cheveux et dans sa nuque. Son gant passait dans ses cheveux cristallins, tandis que l'eau de la neige coulait le long de son cou, exposant alors son corps bleuté, normalement dissimulé sous sa poudre habituelle. Réhaussant un peu plus le col de son manteau, et couvrant davantage sa nuque avec ses cheveux, Lapis chercha ensuite un endroit où elle pourrait reprendre tranquillement sa lecture.
Du coin de l'œil, elle aperçut des ballons voyageurs s'aventurer dans le ciel, parsemé d'étoiles. Curieuse, Lapis pressa sa marche, sans pour autant risquer de glisser. Elle n'avait pas envie de se fissurer ou de se briser, et elle avait encore moins envie d'expliquer les tenants et aboutissants de ces blessures. Arrivée aux embarcations, elle se mit dans la queue et patienta, son regard s'animant à nouveau sur l'écriture manuscrite de son livre. En avançant, elle remarqua un panneau, annonçant le tarif exigé pour embarquer. Cinq cristaux gris, c'était hors de prix pour sa situation actuelle. Faisant travailler ses méninges, son regard s'illumina alors. Sortant de la file et rebroussant chemin, elle retourna au niveau du lieu de l'agression et fit signe au gamin qui l'avait dérangée. Une fois que l'enfant soit parvenu à se frayer un chemin à travers les différents projectiles, Lapis arbora un air gêné et embêté, elle lui adressa la parole :
-J'imagine que tu te souviens de moi, au vu de la démarche avec laquelle tu t'es dirigé vers moi. Bon, je vais faire simple et aller droit au but. Ce livre, que tu as fait tomber, est l'édition originale de l'auteur, écrite et paraphée de sa main. Le fait que tu m'aies touchée avec cette boule de neige m'agace déjà au plus haut point, mais faire tomber ce livre est encore plus grave à mes yeux. J'estime en toute légitimité que tu m'es redevable à ce niveau, sommes nous d'accord ?
Elle savait que son petit mensonge impressionnerait le gamin et irait dans son sens. Ce dernier hochant la tête, presque les larmes aux yeux, écouta alors ce qu'elle avait à lui dire.
Lapis était de retour dans la file, impatiente de reprendre sa lecture, et souriant intérieurement au plan qu'elle avait réussi à mettre au point. Quelques minutes plus tard, au niveau du guichet, la personne responsable de faire monter les gens à bord la regardait avec un grand sourire, tendant la main, paume vers le ciel, attendant qu'elle débourse les cristaux demandés pour profiter de cette expérience. Lapis fit mine de chercher dans ses poches, mais se fit bousculer par derrière, manquant de tomber sur le personnel. Elle le regarda alors droit dans les yeux, puis se retourna vers le malpoli qui partait déjà en courant vers la ruelle la plus proche. Plongeant à nouveau sa main dans ses poches, elle annonça d'un air choqué et désespéré :
-On m'a volée ! J'avais ces 5 cristaux gris dans cette poche exacte et on me les a dérobés !
Son regard était désespéré, et l'homme en face d'elle ne savait pas où se mettre. Ne voulant créer plus d'attente il lui dit d'un air gêné :
-Allez y mademoiselle, mais faites un peu plus attention à où est ce que vous rangez vos cristaux la prochaine fois...
Le remerciant infiniment, elle embarqua, et en regardant derrière elle, elle aperçut le jeune garçon, sous sa capuche, lui faire ce qu'elle estimait être un salut agrémenté d'un clin d'œil, avant de s'enfoncer dans la ruelle. D'autres personnes, dont une mère et son enfant à première vue, montèrent à bord, alors que le ballon quittait petit à petit le niveau du sol. Enfonçant sa main dans son sac, elle se saisit à nouveau de son livre, aussi neuf qu'au début de la journée, et entreprit de continuer sa lecture, éclairée par le ciel étoilé, les yeux s'égarant de temps à autre pour se poser sur l'horizon qui s'étendait à perte de vue.
Du coin de l'œil, elle aperçut des ballons voyageurs s'aventurer dans le ciel, parsemé d'étoiles. Curieuse, Lapis pressa sa marche, sans pour autant risquer de glisser. Elle n'avait pas envie de se fissurer ou de se briser, et elle avait encore moins envie d'expliquer les tenants et aboutissants de ces blessures. Arrivée aux embarcations, elle se mit dans la queue et patienta, son regard s'animant à nouveau sur l'écriture manuscrite de son livre. En avançant, elle remarqua un panneau, annonçant le tarif exigé pour embarquer. Cinq cristaux gris, c'était hors de prix pour sa situation actuelle. Faisant travailler ses méninges, son regard s'illumina alors. Sortant de la file et rebroussant chemin, elle retourna au niveau du lieu de l'agression et fit signe au gamin qui l'avait dérangée. Une fois que l'enfant soit parvenu à se frayer un chemin à travers les différents projectiles, Lapis arbora un air gêné et embêté, elle lui adressa la parole :
-J'imagine que tu te souviens de moi, au vu de la démarche avec laquelle tu t'es dirigé vers moi. Bon, je vais faire simple et aller droit au but. Ce livre, que tu as fait tomber, est l'édition originale de l'auteur, écrite et paraphée de sa main. Le fait que tu m'aies touchée avec cette boule de neige m'agace déjà au plus haut point, mais faire tomber ce livre est encore plus grave à mes yeux. J'estime en toute légitimité que tu m'es redevable à ce niveau, sommes nous d'accord ?
Elle savait que son petit mensonge impressionnerait le gamin et irait dans son sens. Ce dernier hochant la tête, presque les larmes aux yeux, écouta alors ce qu'elle avait à lui dire.
[...]
Lapis était de retour dans la file, impatiente de reprendre sa lecture, et souriant intérieurement au plan qu'elle avait réussi à mettre au point. Quelques minutes plus tard, au niveau du guichet, la personne responsable de faire monter les gens à bord la regardait avec un grand sourire, tendant la main, paume vers le ciel, attendant qu'elle débourse les cristaux demandés pour profiter de cette expérience. Lapis fit mine de chercher dans ses poches, mais se fit bousculer par derrière, manquant de tomber sur le personnel. Elle le regarda alors droit dans les yeux, puis se retourna vers le malpoli qui partait déjà en courant vers la ruelle la plus proche. Plongeant à nouveau sa main dans ses poches, elle annonça d'un air choqué et désespéré :
-On m'a volée ! J'avais ces 5 cristaux gris dans cette poche exacte et on me les a dérobés !
Son regard était désespéré, et l'homme en face d'elle ne savait pas où se mettre. Ne voulant créer plus d'attente il lui dit d'un air gêné :
-Allez y mademoiselle, mais faites un peu plus attention à où est ce que vous rangez vos cristaux la prochaine fois...
Le remerciant infiniment, elle embarqua, et en regardant derrière elle, elle aperçut le jeune garçon, sous sa capuche, lui faire ce qu'elle estimait être un salut agrémenté d'un clin d'œil, avant de s'enfoncer dans la ruelle. D'autres personnes, dont une mère et son enfant à première vue, montèrent à bord, alors que le ballon quittait petit à petit le niveau du sol. Enfonçant sa main dans son sac, elle se saisit à nouveau de son livre, aussi neuf qu'au début de la journée, et entreprit de continuer sa lecture, éclairée par le ciel étoilé, les yeux s'égarant de temps à autre pour se poser sur l'horizon qui s'étendait à perte de vue.
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Succès : Cristaux : 1175MESSAGES : 78COULEUR : #3333ccSaryna DelarosaLa Forestière Sombre
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Festival du Solstice - la capitale
Le ballon monta graduellement vers le ciel alors que je me contentais de rester debout pour observer les différents bâtiments disparaître de mon champ de vision. Derrière moi se tenait Devon qui protégeait de son corps tel une barrière. J’ignore s’il avait peur qu’il nous arrive quelque chose à notre enfant et moi, mais il s’inquiétait bien trop.
Je me tournai alors brièvement observant par la même occasion l’une des personnes qui nous avaient accompagnés. Comme nous nous trouvions dans le ballon ayant le moins de place, j’espérais au moins que Devon, du haut de ses deux mètres dix, ainsi que moi-même ne prenions pas trop de place. Je ne voudrais pas gâcher l’expérience d’une autre personne parce que nous prenions de la place. Enfin, cette dernière ne semblait pas être gênée par cela, bien que je me questionne un peu sur son activité actuelle. Pourquoi lisait-elle à une telle noirceur? N’avait-elle pas peur d’user ses yeux en les forçant ainsi à lire avec si peu de lumière? Puis pourquoi lire quand il y avait tant de choses à observer de là-haut.
« Regarde! » disai-je alors en chuchotant tout en pointant rapidement d’un doigt les nombreux cristaux de lumière qui illuminait la capitale. « On dirait plein de petites étoiles! »
Et dire que nos parents manquaient un tel spectacle! Mais bon, nous avions préféré manqué le repas de fête de ce soir pour pouvoir profiter pleinement des festivités en amoureux incluant Cid. Enfin, je suis bien contente de m’être habillée chaudement, parce que le temps se fait plus froid là-haut m’arrachant même un petit frisson. J’ajuste le bonnet sur la tête du p’tit et m’assure qu’il n’aille pas froid et m’appuie un peu plus sur le torse de mon époux.
« Il fait un vrai froid de canard là-haut! »
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Cristaux : 1387MESSAGES : 748COULEUR : #ff3333Devon HaraginDoudou personnel de Cid
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Festivale du solstice - la capitale
Je dois avouer que cette personne est étrange, je la regarde en plissant légèrement les yeux... Quand on est tavernier depuis aussi longtemps que moi, on remarque ce genre de détails : j'veux dire, elle cherchait dans sa veste avant de se faire bousculer sans rien trouver et le gamin lui fonce dessus et chope immédiatement les cristaux? En plus, pourquoi foncer sur la première de file? C'est le meilleur moyen de se faire attraper puisque c'est là qu'il y a généralement le plus de surveillance... C'est peut-être à cause d'elle que j'ai le réflexe de me rapprocher de Saryna, couvrant ma petite famille de mon ombre protectrice. J'ai dans l'idée que du haut de mes deux mètres vingt, personne ne viendra tenter quoi que ce soit! Un dernier regard à la jeune femme et je secoue la tête en soupirant discrètement, sérieusement pourquoi monter dans les airs si c'est uniquement pour lire un livre? Elle aurait pu le faire depuis le plancher des vaches sans faire un tel cirque dans la file mais bon, je suppose que certaines personne ne sont pas réellement logiques.
Je me détourne d'elle pour me concentrer, m'émerveiller même sur le paysage! C'est véritablement à couper le souffle! Je ne regrette pas que nous ayons raté le souper avec nos parents, de toute manière nous aurons encore d'autres occasions pour partager un repas de fête, il est évident que les grands-parents n'accepteront pas de ne pas voir leur petit-fils du solstice et, de toute manière, je ne compte pas leur infliger cela! Saryna se colle un peu plus à moi et je souris doucement, elle n'a pas besoin de me le dire pour que je remarque qu'elle a froid, son souffle faisant une légère buée alors qu'elle tremble légèrement. Pour des raison évidentes, je ne peux pas réellement déposer ma veste sur ses épaules, à la place je me contente de l'entourer de mes bras en caressant, au passage, la tête de notre fils par dessus son bonnet en prenant soin de ne pas le réveiller.
"C'est magnifique!" Dis-je en regardant le visage de mon épouse, est-ce que je parle de la vue de la ville ou simplement de la vue de ma belle, difficile à dire même si j'ai déjà choisi personnellement laquelle me plait le plus. Espérons juste que cette petite balade en ballon ne se refroidisse pas encore, cela pourrait devenir moins agréable! Après tout, Saryna est une femme araignée et, on sait que l'on voit généralement peu d'araignée durant la saison froide...
Je me détourne d'elle pour me concentrer, m'émerveiller même sur le paysage! C'est véritablement à couper le souffle! Je ne regrette pas que nous ayons raté le souper avec nos parents, de toute manière nous aurons encore d'autres occasions pour partager un repas de fête, il est évident que les grands-parents n'accepteront pas de ne pas voir leur petit-fils du solstice et, de toute manière, je ne compte pas leur infliger cela! Saryna se colle un peu plus à moi et je souris doucement, elle n'a pas besoin de me le dire pour que je remarque qu'elle a froid, son souffle faisant une légère buée alors qu'elle tremble légèrement. Pour des raison évidentes, je ne peux pas réellement déposer ma veste sur ses épaules, à la place je me contente de l'entourer de mes bras en caressant, au passage, la tête de notre fils par dessus son bonnet en prenant soin de ne pas le réveiller.
"C'est magnifique!" Dis-je en regardant le visage de mon épouse, est-ce que je parle de la vue de la ville ou simplement de la vue de ma belle, difficile à dire même si j'ai déjà choisi personnellement laquelle me plait le plus. Espérons juste que cette petite balade en ballon ne se refroidisse pas encore, cela pourrait devenir moins agréable! Après tout, Saryna est une femme araignée et, on sait que l'on voit généralement peu d'araignée durant la saison froide...
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Festival du Solstice : la Capitale
Lovis cherchait des yeux un autre marchand vendant du vin. Dans sa recherche, il fut plutôt distrait, ne réalisant pas lorsqu’on lui parlait. Il avait été capable de capter quelques mots qui tournaient dans sa tête. Statue de verre. Oui, elle était difficile à manquer. Elle était magnifique et très bien placée. Lorsque la température le permettait et que le soleil brillait de toutes ses forces, la sculpture semblait presque prendre vie.
Alors que la discussion continuait, il ne trouvait malheureusement pas personne pour pouvoir remplir sa tasse et il frissonna lorsqu’un vent froid se leva. Il aurait dû enfiler un bonnet de laine pour être sûre de bien rester au chaud. Déçu, il ramena son attention au groupe. Il n’était plus certain ou la discussion était rendue. À un moment, il pensait que Luz avait parlé de la forteresse, puis à une autre dame Tylwaen mentionnait le désert volant. Cela sonnait une cloche. Il n’y avait pas été, mais si sa mémoire ne lui faisait pas défaut, Luz avait fait le voyage. Apparemment, Ivara aussi.
Une fois que ce fut leur tour, il monta à bord des ballons. La vue était exceptionnelle et valait la peine d’attendre. Il regarda la ville de haut, souriant en voyant toutes les maisons illuminées. Il était plutôt tard pour le remarquer, mais lorsqu’il se tourna, il vit qu’une autre personne s’était encore joins à la directrice de l’astre. C’était gênant de ne pas avoir remarqué plus tôt. Il trouva un moment de silence pour pouvoir s’approcher de la nouvelle femme et se présenter.
« Toutes mes excuses, j’étais distrait. Je suis Lovis Farley, docteur à l’astre de l’aube. »
Il espérait ne pas sembler trop impoli. Après tout, cela devait faire déjà un moment qu’elle s’était incrusté dans le groupe et il ne lui avait toujours pas adressé la parole.
« Il fait plutôt froid lorsque nous sommes à une telle hauteur. Aimeriez-vous vous réchauffer par la suite autour d’un bon repas de fête? »
Dit-il a l’intention de tous. Il y avait plusieurs restaurants qui avaient piqué son intérêt lorsqu’il cherchait son précieux vin. Les différentes odeurs lui avaient chatouillé le nez et réveiller son appétit. De plus, il ne dirait pas non à pouvoir se réchauffer quelque part.
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Succès : Cristaux : 1227MESSAGES : 105COULEUR : #0000ffAstrid DalgaardEx-Commandant Trolleur
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Semer les gardes ne fut pas bien difficile avec un tel pouvoir. Que Lucy soit louée de l'avoir bénie pour ça ! Ça lui permettait de faire des conneries en toute facilité hehe. Cela dit, elle avait déjà pas mal couru et décida de souffler un peu en s'asseyant dans un coin loin de la foule. Pfiou.
Les festivités étaient toujours aussi intenses et n'avaient pas l'air de se calmer de si tôt malgré le froid et la neige. Une bonne chose vraiment. Remettant son bonnet rouge de Solstice en place, elle observa en silence les gens qui passaient devant elle tandis que son Ribec patientait sur son épaule.
Elle se demanda un instant si sa famille avait toujours prévu le repas de fête cette année et si elle irait. Il faudrait, parce que ça faisait un certain temps qu'elle n'y était pas retourné. Le problème c'était de trouver quelqu'un, ou des gens, pour garder un œil sur ses trop nombreux familiers. Ah vraiment, quel enfer d'en avoir autant et surtout de ne pas être riche ! Lucy l'avait ptet bénie pour la vitesse du son, mais pour le reste par contre c'était la dèche ! M'enfin. Il fallait faire avec.
Les festivités étaient toujours aussi intenses et n'avaient pas l'air de se calmer de si tôt malgré le froid et la neige. Une bonne chose vraiment. Remettant son bonnet rouge de Solstice en place, elle observa en silence les gens qui passaient devant elle tandis que son Ribec patientait sur son épaule.
Elle se demanda un instant si sa famille avait toujours prévu le repas de fête cette année et si elle irait. Il faudrait, parce que ça faisait un certain temps qu'elle n'y était pas retourné. Le problème c'était de trouver quelqu'un, ou des gens, pour garder un œil sur ses trop nombreux familiers. Ah vraiment, quel enfer d'en avoir autant et surtout de ne pas être riche ! Lucy l'avait ptet bénie pour la vitesse du son, mais pour le reste par contre c'était la dèche ! M'enfin. Il fallait faire avec.
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Cristaux : 5096MESSAGES : 1435COULEUR : #0066ffLuz WeissCroc de foudre
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« Je crois que je vois encore le trou que nous avons laissé chez l’un de tes proches voisins, glissa Luz à Ivara, prêtant un ton complice à sa découverte. »
Car près de là où pointait le regard de la Sculptrice, à plusieurs empans de pavés, se tenait une pauvre masure au toit bizarrement biscornu. A cette hauteur, il était difficile de distinguer les détails mais la différence nette de couleur, délimitant un pourtour concentrique, témoignait à elle seule d’un précédent incident. Le propriétaire avait de toute évidence réparé sa toiture comme il le pouvait par des tuiles provisoires afin de contrer le froid de cette fin d’année. Sans doute passerait-elle au retour glisser une poignée de cristaux dans leur boite aux lettres, une pointe de culpabilité perçant sa poitrine. Heh, elles avaient fait au mieux à l’époque…
« Zahria, viens voir ! On aperçoit aussi notre Volière d’ici ! »
Elle avait pointé son index dans la bonne direction, les prunelles pétillantes d’un enthousiasme difficilement contenu. Comme les temps avaient changé depuis le précédent Solstice… La maison s’était à nouveau colorée de vie et de passages, et les silences s’étaient mués en repas de fêtes et retrouvailles.
« Je vous suis où que vous alliez par la suite, répondit Luz à la proposition de Lovis, regardant tour à tour les passagers présents. Il me semble qu’ils ont installé de grandes tables près de la place principale avec des buffets chauds… »
Elle s’était penchée, ce faisant, remontant distraitement son bonnet, et ses prunelles accrochèrent les silhouettes familières d’un couple qu’elle connaissait bien. Et puisque Luz était Luz, que le principe d’un gouffre sans fond autour d’eux ne l’effarouchait guère, la rousse s’empressa de placer ses mains en porte-voix pour interpeller bruyamment les deux époux par-delà le vide. Dans l’autre ballon, des visages interloqués se tournèrent vers ses cris.
« Monsieur et Madame Haragiiiiiiiin ! Comment allez-vouuuuuus ? »
Elle réalisa fort heureusement qu’il était parfaitement impossible de nouer une prompte conversation dans cette attraction et par cette foule ambiante, baissant aussitôt le bras qu’elle agitait précédemment dans leur direction avec vigueur. Les deux interpellés paraissaient en outre être de sortie en famille et Luz considéra qu’après leur mariage, elle n’allait probablement pas empiéter également sur leur intimité de parents.
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Cristaux : 1791MESSAGES : 2530COULEUR : #993300Amaryllis TylwaenExaminatrice Adorée
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Les gens bougeaient, se pressaient dans des petites vagues alors que des colonnes avançaient lentement au milieu de ceux qui restaient scotchés devant les stands. Tel une multitude de petites fourmis, Amaryllis s’amusa d’obtenir un tel point de vue sur une scène bien plus banale au sol. En haut, malgré le froid, les gens se réfugiaient sous leur manteau et leur bonnet.
« Oh, mon rôle est avant tout que la garde fasse son travail plus efficacement et plus facilement, comme une potentielle enquête en cas d’accident. Je ne suis pas là pour voler leur travail, et si je mets parfois le nez dedans c’est surtout pour obtenir des données de terrain. Mais je serai une menteuse si je disais que je savais comment fonctionnent ces ballons, je laisse ce secret aux ingénieurs de la forteresse et à ceux ayant fait naître ce projet en urgence dans le besoin. »
Il était vrai que son rôle restait abstrait - ce qui faisait forcément que certains la jugeaient comme une gratte-papiers inutile et coûteuse pour le Royaume. D’autres savaient très bien que les rouages administratifs tentaculaires du pays ne bougeaient pas si vite que cela, peu importait la force de ses muscles. Et savaient qu’elle oeuvrait dans la bonne direction - du moins en apparence.
La consultante se retourna ensuite vers la sculptrice. Elle sembla se rattraper légèrement, mais après tout, rien n’empêchait la rousse de venir faire un tour par chez elle sur la place commerçante à l’occasion. Elle y mettait de temps en temps les pieds, donc le détour ne serait pas bien grand.
« J’habite à la Capitale, donc je pourrais venir découvrir votre art plus en détail à l’occasion. J’habite pas bien loin d’ici, d’ailleurs. »
Proche du centre, une maison un peu étroite, mais déjà un certain luxe à cet endroit de la Capitale. Elle avait largement la place pour y vivre tranquillement - De tout de façon, elle était seule, et rarement chez elle. La rousse ne donnait pas énormément de travail à sa domestique, même si d’un autre côté cette dernière s’était déjà faite aggresser. Alors son emploi du temps tranquille était sûrement contrebalancé par le risque de servir une agente du Royaume.
Le médecin proposa d’ailleurs de partager un repas de fête bien chaud, pour récupérer des éléments particulièrement agressifs à cette altitude. Amaryllis n’était pas particulièrement contre l’idée, même si les grandes tables n’allaient pas vraiment les abriter du froid.
« La plupart des restaurants et tavernes du centre sont sûrement bondés en cette période. Il y a toujours les tables à l’extérieur mais le froid continuera sûrement à être mordant. A moins que vous ne connaissiez une bonne adresse peu connue qui aurait encore de la place? »
La rousse réfléchit quelques instants de plus. Il y avait bien encore d’autres options.
« Il y a bien toujours la réception au Palais où à la guilde. Ou bien je peux vous accueillir chez moi pour la soirée, ça donnera peut-être un peu de travail à Meyla, pour une fois. Même si on sera un peu serrés, surtout si notre doctoresse préférée continue de ramener la moitié de la ville à elle. »
Un petit ton taquin lors de cette dernière remarque, aucune animosité. Non pas qu’elle lui en voulait, la rousse pouvait même se montrer plus qu’utile avec un tel réseau de connaissances. Elle s’adossa légèrement au bord de la nacelle, avant de finir par comprendre quelque chose. Haragin, elle avait déjà entendu ce nom. Une histoire de trafic de drogue, et d’une erreur de livraison. Et de gardes un peu zélés. Apparemment, le tavernier était innocent, quand elle avait rapidement resuivi le dossier ensuite. Enfin, elle n’allait pas balancer ce genre d’informations en public, ce n’était pas très bon pour l’image de son établissement, après tout.
« Oh, mon rôle est avant tout que la garde fasse son travail plus efficacement et plus facilement, comme une potentielle enquête en cas d’accident. Je ne suis pas là pour voler leur travail, et si je mets parfois le nez dedans c’est surtout pour obtenir des données de terrain. Mais je serai une menteuse si je disais que je savais comment fonctionnent ces ballons, je laisse ce secret aux ingénieurs de la forteresse et à ceux ayant fait naître ce projet en urgence dans le besoin. »
Il était vrai que son rôle restait abstrait - ce qui faisait forcément que certains la jugeaient comme une gratte-papiers inutile et coûteuse pour le Royaume. D’autres savaient très bien que les rouages administratifs tentaculaires du pays ne bougeaient pas si vite que cela, peu importait la force de ses muscles. Et savaient qu’elle oeuvrait dans la bonne direction - du moins en apparence.
La consultante se retourna ensuite vers la sculptrice. Elle sembla se rattraper légèrement, mais après tout, rien n’empêchait la rousse de venir faire un tour par chez elle sur la place commerçante à l’occasion. Elle y mettait de temps en temps les pieds, donc le détour ne serait pas bien grand.
« J’habite à la Capitale, donc je pourrais venir découvrir votre art plus en détail à l’occasion. J’habite pas bien loin d’ici, d’ailleurs. »
Proche du centre, une maison un peu étroite, mais déjà un certain luxe à cet endroit de la Capitale. Elle avait largement la place pour y vivre tranquillement - De tout de façon, elle était seule, et rarement chez elle. La rousse ne donnait pas énormément de travail à sa domestique, même si d’un autre côté cette dernière s’était déjà faite aggresser. Alors son emploi du temps tranquille était sûrement contrebalancé par le risque de servir une agente du Royaume.
Le médecin proposa d’ailleurs de partager un repas de fête bien chaud, pour récupérer des éléments particulièrement agressifs à cette altitude. Amaryllis n’était pas particulièrement contre l’idée, même si les grandes tables n’allaient pas vraiment les abriter du froid.
« La plupart des restaurants et tavernes du centre sont sûrement bondés en cette période. Il y a toujours les tables à l’extérieur mais le froid continuera sûrement à être mordant. A moins que vous ne connaissiez une bonne adresse peu connue qui aurait encore de la place? »
La rousse réfléchit quelques instants de plus. Il y avait bien encore d’autres options.
« Il y a bien toujours la réception au Palais où à la guilde. Ou bien je peux vous accueillir chez moi pour la soirée, ça donnera peut-être un peu de travail à Meyla, pour une fois. Même si on sera un peu serrés, surtout si notre doctoresse préférée continue de ramener la moitié de la ville à elle. »
Un petit ton taquin lors de cette dernière remarque, aucune animosité. Non pas qu’elle lui en voulait, la rousse pouvait même se montrer plus qu’utile avec un tel réseau de connaissances. Elle s’adossa légèrement au bord de la nacelle, avant de finir par comprendre quelque chose. Haragin, elle avait déjà entendu ce nom. Une histoire de trafic de drogue, et d’une erreur de livraison. Et de gardes un peu zélés. Apparemment, le tavernier était innocent, quand elle avait rapidement resuivi le dossier ensuite. Enfin, elle n’allait pas balancer ce genre d’informations en public, ce n’était pas très bon pour l’image de son établissement, après tout.
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Succès : Cristaux : 2005MESSAGES : 198COULEUR : #cc0099Ivara Streÿk& Inaros
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Ah, quelle aventure cela avait été ! La pauvre sculptrice s'était retrouvée coincée sur le toit de son voisin, dans le seul but de sauver un shupon - qu'elle avait par la suite adopté et qui dormait paisiblement à cette heure-ci. Elle adressa un sourire complice à la rouquine, avant de suivre le mouvement de son index pour observer d'un peu plus près un endroit nommé « Volière ». Elle n'y avait jamais mis les pieds et continuerait probablement d'ignorer ce que c'était puisque Luz se mit à interpeller des gens qui n'étaient pas dans leur ballon. Ivara leva les yeux pour les regarder. Le nom ne lui disait rien mais tout ceci prouvait, une fois encore, que la praticienne s'était tissée une solide toile de relations à travers tout le Royaume et probablement dans toutes les couches de la société. Elle plissa les yeux, essayant d'apercevoir plus que des silhouettes avant d'abandonner le projet.
La neige, le froid et sa propre fatigue ne l'aidait pas à y voir plus clair.
- J'en serais ravie, conclut-elle à Amaryllis lorsque celle-ci lui fit part de ses possibles intentions.
Puis la conversation dévia rapidement sur un sujet qui plaisait particulièrement à la jeune femme. La nourriture. Son estomac, malgré toutes les friandises avalées, lui réclamait un repas chaud et qui tient au corps. Elle déposa ses mains sur son ventre, réfléchissant aux propositions des uns et des autres.
- Ils ont ouverts le Palais pour la soirée ? questionna la blonde, les lèvres légèrement écarquillées par la surprise. Elle n'y était jamais allée et une telle opportunité... Elle chassa cette pensée de son esprit, peu désireuse de se laisser emporter par ses rêveries. Je ne suis pas contre quelques réjouissances gustatives ! Mais nous n'allons quand même pas abuser de votre hospitalité.
Si elle pouvait surtout éviter à la pauvre Melya de travailler un soir de Solstice... Elle pinça ses lèvres, n'osant suggérer de se rendre au Palais. Elle n'y avait jamais mis les pieds. Elle consulta l'heure sur son tempus. Il restait encore un peu de temps avant que le mercenaire ne prenne le relais. Elle n'allait pas créer une catastrophe en permettant à cet individu de se rendre dans un tel lieu, hein... ?
Perdue dans ses pensées, elle se gratta le menton.
- Je vous suis où il vous plaira d'aller ! Autrement, j'avais aussi pour idée d'aller goûter chaque spécialité régionale du Royaume. Il paraît que les pass de TP sont gratuits et à utilisation illimitées pour la soirée, ou quelque chose dans ce genre, je ne sais pas trop...
Il lui sembla soudain que la nacelle se mettait à trembler et, de surprise, elle se cramponna au bras de Zahria et, s'emmêlant les pieds, manqua de la renverser par-dessus bord.
- Oh non, désolée... Ça va ? demanda-t-elle aussitôt en sentant ses joues s'empourprer.
Peut-être était-ce un coup de vent un peu trop violent qui était le résultat de cette fausse chute ? Elle ne le saurait sans doute jamais et, déjà, leur ballon commençait à perdre de l'altitude - signalant là que leur tour de manège touchait à sa fin.
La neige, le froid et sa propre fatigue ne l'aidait pas à y voir plus clair.
- J'en serais ravie, conclut-elle à Amaryllis lorsque celle-ci lui fit part de ses possibles intentions.
Puis la conversation dévia rapidement sur un sujet qui plaisait particulièrement à la jeune femme. La nourriture. Son estomac, malgré toutes les friandises avalées, lui réclamait un repas chaud et qui tient au corps. Elle déposa ses mains sur son ventre, réfléchissant aux propositions des uns et des autres.
- Ils ont ouverts le Palais pour la soirée ? questionna la blonde, les lèvres légèrement écarquillées par la surprise. Elle n'y était jamais allée et une telle opportunité... Elle chassa cette pensée de son esprit, peu désireuse de se laisser emporter par ses rêveries. Je ne suis pas contre quelques réjouissances gustatives ! Mais nous n'allons quand même pas abuser de votre hospitalité.
Si elle pouvait surtout éviter à la pauvre Melya de travailler un soir de Solstice... Elle pinça ses lèvres, n'osant suggérer de se rendre au Palais. Elle n'y avait jamais mis les pieds. Elle consulta l'heure sur son tempus. Il restait encore un peu de temps avant que le mercenaire ne prenne le relais. Elle n'allait pas créer une catastrophe en permettant à cet individu de se rendre dans un tel lieu, hein... ?
Perdue dans ses pensées, elle se gratta le menton.
- Je vous suis où il vous plaira d'aller ! Autrement, j'avais aussi pour idée d'aller goûter chaque spécialité régionale du Royaume. Il paraît que les pass de TP sont gratuits et à utilisation illimitées pour la soirée, ou quelque chose dans ce genre, je ne sais pas trop...
Il lui sembla soudain que la nacelle se mettait à trembler et, de surprise, elle se cramponna au bras de Zahria et, s'emmêlant les pieds, manqua de la renverser par-dessus bord.
- Oh non, désolée... Ça va ? demanda-t-elle aussitôt en sentant ses joues s'empourprer.
Peut-être était-ce un coup de vent un peu trop violent qui était le résultat de cette fausse chute ? Elle ne le saurait sans doute jamais et, déjà, leur ballon commençait à perdre de l'altitude - signalant là que leur tour de manège touchait à sa fin.
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Succès : Cristaux : 2693MESSAGES : 964COULEUR : #07B9A7Wolfram CinderbaneNoble
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Festival du Solstice
Des gens & Wolfram
”Il doit faire super froid là-haut !” Souffla une femme non loin de toi. Tu lui jetas un regard, en effet l’altitude ne devait pas aider. Il faudrait peut-être faire des ballons plus grands et fermés ? Une bourrasque plus forte que les autres fit crier quelques passagers, et tu vis quelque chose s’envoler de l’un des ballons avant de s’écraser non loin de toi. Le vent avait emporté un bonnet particulièrement moche avec ses motifs aux couleurs criardes.
D’autres ballons s’apprêtaient à décoller, l’un d’eux semblait faire de la pub pour un restaurant du festival qui promettait un véritable repas de fête. C’était donc une façon de faire une nouvelle de la publicité ? Tu aurais peut-être dû faire de la pub pour tes casinos ? Tu lâchas un petit ricanement à cette idée tout en la gardant dans un coin de ta tête alors que d’autres montgolfières commençaient doucement à redescendre vers la Terre ferme. Un tour durait quoi trente minutes, une heure maximum ? Ça te paraissait raisonnable pour du surplace. Puis, il y aurait toujours possibilité de faire durer plus longtemps l’attraction si quelqu’un payait le prix fort pour une utilisation privée. Pourquoi ne pas vendre des occasions spéciales au lever ou coucher du soleil, aussi ? Ou pour un dîner romantique pour une demande en mariage ? Tu en parlerais à Philippa, peut-être même à cet enchanteur qui était en train de travailler sur ta commande. Il aurait certainement des idées pour améliorer ces ballons, non ? Au moins pour la sécurité.
Image de profil : Succès : Cristaux : 1502MESSAGES : 61COULEUR : #Saryna DelarosaLa Forestière Sombre
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Festival du Solstice - la capitale
Il faisait vraiment froid là haut et quand bien même je portais des vêtements chauds pour conserver ma chaleur, ne pas bouger et faire du surplace n’aidaient pas à une telle hauteur. Alors je me blottis contre Devon qui semble reconnaître les signes lorsque j’ai froid. Mes dents claquent légèrement entre elles, alors que mon corps est pris de léger tremblement. Finalement, le bras de ce dernier vient alors m’entourer pour nous réchauffer Cid et moi.
Dos à ce dernier, je ne peux donc pas savoir ce qu’il regarde vraiment, mais pour ma part je n’ai qu’yeux pour le paysage qui s’offre à nous.
« L’année prochaine, on reviendra avec toute la famille. Cid sera plus grand et marchera certainement à ce moment, dis-je en pivotant légèrement pour lever les yeux en sa direction. Je suis sûre que mon père aimerait bien cette vision… »
D’ailleurs, ça me fait penser que j’ai entendu parler d’une nouvelle espèce de familier qui pouvait voler. Je ne sais pas combien il coûte et ni où on peut les trouver, mais je compte bien me renseigner à ce sujet.
« T’aurais pas entendu des rumeurs concernant des familiers volants par le plus grand des hasards? »
Quel meilleur endroit pour connaître les rumeurs que de tendre l’oreille dans une taverne. Et ça tombe bien, comme il est tavernier, il a peut-être quelques trucs à me raconter. Malheureusement, avec les contrats qui reprennent, je ne peux pas dire que j’aille spécialement le temps de l’aider dans la taverne. Heureusement, Aube est toujours là.
Image de profil : Succès : Cristaux : 1387MESSAGES : 748COULEUR : #ff3333Devon HaraginDoudou personnel de Cid
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Festivale du solstice - la capitale
Il faut bien l'avouer, le vent dans les airs n'a rien de réellement doux ou agréable. En fait, avouons-le, il fait tout de même froid! Même moi, avec mon blouson de cuir surmonté d'une fourrure, je ressent la fraîcheur qui me fait légèrement frissonner. Pas autant que Saryna certes mais tout de même... Heureusement, la belle se blottie contre moi et je ne me fais pas prier pour les enlacer elle et mon fils, profitant de sa chaleur pour me réchauffer moi-même. Je souris, relevant les yeux vers le paysage pour observer la ville qui s'étend bien plus bas que nous. Je dois l'avouer, jamais je n'aurais cru avoir une telle vue sur la capitale, c'est donc cela que ressente les personnes dont le pouvoir permet de voler? Est-ce que tout semble toujours si petit? Certes ce n'est pas différent que de regarder l'horizon, tout ce qui est loin semble plus petit mais, lorsqu'il s'agit de la capitale, la ville la plus grande du royaume, cela reste particulièrement impressionnant.
"Je pense que mes parents aimeraient aussi... Et puis, il faut avouer que cela fait une belle sortie en famille."
Oui ce sera formidable, l'année prochaine! Mais pour l'heure, c'est ici et maintenant que l'on profite à
à deux. Enfin, trois avec le petit qui dort! Sauf que visiblement, cette petite promenade aérienne donne des idées à Saryna, je la regarde en arquant un sourcil alors qu'elle se tourne légèrement vers moi et me demande si j'ai entendu parlé de familier volant? Comme si on parlait de lui, Ambroise qui s'était caché dans ma nuque, sort sa tête pour se joindre à la conversation et je soupire doucement. Je connais ce regard, je sais parfaitement ce que mon épouse espère et je sais exactement lorsqu'elle désire un familier. Je me gratte doucement l'arrière de la tête, inutile de lui mentir ou de tenter de lui cacher quoi que ce soit, de toute manière ce n'est pas réellement mon genre.
"Y a bien des rumeurs, comment tu le sais?" Parce que bon, pour poser une question aussi précise c'est qu'elle a déjà une idée non? "Y a un gars qu'est revenu du désert volant, prétend qu'un de ses compagnons à trouver un oeuf d'une étrange créature... Apparemment, ils en ont vu un adulte sur place, le bestiaux était assez grand pour porter un homme et voler dans le ciel avec aisance. Ça risque d'être cher par contre..."
"Je pense que mes parents aimeraient aussi... Et puis, il faut avouer que cela fait une belle sortie en famille."
Oui ce sera formidable, l'année prochaine! Mais pour l'heure, c'est ici et maintenant que l'on profite à
à deux. Enfin, trois avec le petit qui dort! Sauf que visiblement, cette petite promenade aérienne donne des idées à Saryna, je la regarde en arquant un sourcil alors qu'elle se tourne légèrement vers moi et me demande si j'ai entendu parlé de familier volant? Comme si on parlait de lui, Ambroise qui s'était caché dans ma nuque, sort sa tête pour se joindre à la conversation et je soupire doucement. Je connais ce regard, je sais parfaitement ce que mon épouse espère et je sais exactement lorsqu'elle désire un familier. Je me gratte doucement l'arrière de la tête, inutile de lui mentir ou de tenter de lui cacher quoi que ce soit, de toute manière ce n'est pas réellement mon genre.
"Y a bien des rumeurs, comment tu le sais?" Parce que bon, pour poser une question aussi précise c'est qu'elle a déjà une idée non? "Y a un gars qu'est revenu du désert volant, prétend qu'un de ses compagnons à trouver un oeuf d'une étrange créature... Apparemment, ils en ont vu un adulte sur place, le bestiaux était assez grand pour porter un homme et voler dans le ciel avec aisance. Ça risque d'être cher par contre..."
Codage par Libella sur Graphiorum
Image de profil : Succès : Cristaux : 3695MESSAGES : 597COULEUR : #Zahria AhlyshOmbre
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Penchée sur la rembarde, ma vue améliorée activée pour scruter au plus loin possible, m'aidant parfois de ma longue-vue aiglefine, je ne vois pas arriver la maladresse d'Ivara qui manque de m'emporter dans le vide. Elle se cramponne à moi pour éviter de tomber, sans ça j'aurais certainement activé le Marchombre pour me téléporter dans son ombre et être certaine de ne pas tomber, mais je ne veux pas la laisser perdre son équilibre à nouveau.
« Il n'y a pas de mal, j'ai le pied sûr, heureusement pour toi... Il va en falloir un peu plus pour te débarrasser de moi ! »
Je lui fais un clin d'oeil surprise, avant de lui tendre rapidement la longue-vue alors que la descente est amorcée. Je lui pointe le palais du doigt, vu qu'il a l'air de l'intéresser.
« Regarde, il est magnifiquement décoré, et effectivement, traditionnellement, il est ouvert au public pour la soirée. Je n'ai pas manqué de participer aux festivités les précédentes années... »
Je jette un coup d'oeil complice à Luz, qui doit bien comprendre ce que ça implique sur ma participation de l'année précédente à la soirée organisée par le prince. Un frisson me parcourt alors l'échine, alors que la neige reprend de plus belle.
«... mais on va où vous voulez ! Tant que c'est au chaud, parce que ça commence à sérieusement cailler, là. Amaryllis, vous nous proposiez gentiment votre demeure, mais nous pouvons aussi aller à la Volière - c'est notre habitation, avec Luz. D'ailleurs, nous devrions inviter tout le monde, Luz ! Tu en parlais l'autre jour, tu voulais faire une fête avec plein de gens, ça pourrait être là ! Prévenons tous nos amis, et faisons passer le mot qu'on festoie ce soir... et puis demain aussi, tant qu'à faire ! Pour ceux qui auront besoin de décuver avec un thé, ou de continuer à picoler... »
Je m'emballe. Un peu. Je suis censée travailler, demain, qui plus est. Pas de repos pour les braves. Quoi que, Höls ne m'a pas sorti son traditionnel "A demain." cinglant, en partant, tout à l'heure. Il a peut-être prévu de réveillonner comme un petit fou avec ses deux chats devant sa cheminée, et il va se coucher à minuit dix au lieu de minuit, le mettant en retard pour tout le reste de la journée. Oui, demain, je reste à la maison. Je bosserai du bureau à l'étage. Si j'ai le temps.
« Enfin, bien sûr... ce n'est qu'une proposition... Allons où vous voulez, mais vite ! En tout cas, vous êtes les bienvenues demain à la Volière aux Dragons, je peux vous indiquer sa localisation sur votre carte et... »
Le ballon finit sa descente, et je me tourne vers Ivara, réalisant. Ce ne sera pas elle, demain. Si ça me ferait plaisir de voir mon frère, je ne suis pas sûre qu'il soit à l'aise dans ce genre d'événement. Et puis il risquerait d'être reconnu. Je lui souris, lui saisissant les mains. Je peux presque sentir sa peau douce à travers le contact de nos gants respectifs.
« Ça me ferait très plaisir que tu viennes. Mais lui aussi. Passe lui le mot, on verra bien... »
Puis je m'accroche à son bras en grelottant, pour essayer de me réchauffer un peu. Un endroit chaud. Vite. Sinon je vais me transformer en glaçon, malgré toutes mes protections magiques contre le froid.
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Cristaux : 774MESSAGES : 1417COULEUR : #Astrid DalgaardEx-Commandant Trolleur
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-ATCHOUM !
Brrr. C'était elle où il commençait à faire froid ? Pourtant, avec sa longue robe en laine, son potit bonnet, ses gants et ses bottes de solstice, les efforts physiques suite à ces farces et surtout, surtout, l'alcool avalé, elle aurait dû être immunisée au froid et même crever de chaud ! Elle ne comprenait de ce fait vraiment pas d'où venait cette sensation. Ou peut-être...que ce n'était pas un froid corporel mais...mental ? Était-ce donc là les effets de la solitude de la petite citoyenne face au vaste monde et aux personnes qui l'entouraient ? Un vide intérieur ? En même temps, autour d'elle dans la foule, il n'y avait que des personnes en groupe, et rares étaient ceux seuls.
Hmmm. Est-ce que c'était vraiment à cause de ça ? Elle se gratta le menton, en pleine réflexion tandis que son Ribec se posa sur ses genoux avec une expression interrogatrice avant de lécher le visage de sa maîtresse qui la câlina en retour, la réchauffant par la même occasion. C'était donc ça, elle se sentait donc seule ! Qui l'aurait cru.
-ATCHOUM !
….Hm. Ok. C'était peut-être juste un vrai coup de froid en fait.
Image de profil : Succès : Cristaux : 5096MESSAGES : 1435COULEUR : #0066ffLovis FarleyCitoyen
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Festival du Solstice : la Capitale
Lovis senti son cœur arrêté en voyant la sculptrice de verre s’accrocher à l’autre dame, manquant de tomber toutes les deux par-dessus bord. Durant un festival aussi joyeux, un accident aussi grave lui aurait ajouté du travail en plus de gâcher la soirée. Heureusement que Zahria était solide sur ses jambes.
La proposition semblait être acceptée de tous, maintenant venait le problème d’où aller. Il était vrai que simplement aller à la place principale n’allait pas réchauffer beaucoup. Surtout qu’en plus, le docteur était tout à fait frigorifié. L’idée d’aller au palais semblait bien mieux. Il ne voulait pas s’imposer non plus chez quelqu’un.
« Faire un petit tour au palais serait plutôt intéressant. »
Dit-il un peu plus pour lui. S’il le pouvait, il ne voudrait pas manquer la chance de pouvoir y aller. Le palais devait sûrement être décoré de façon extravagante et peut-être serait-il capable d’y apercevoir quelques membres de la royauté. Mais une autre information trouva chemin jusqu’aux oreilles de Lovis. Les portails étaient donc ouverts. Ce serait une façon parfaite pour lui de se rendre au village perché et y voir sa famille. Il pourrait même faire un tour dans la tour d’astronomie ! Il devait sûrement avoir des aurores boréales à observer.
Alors que le ballon redescend, la température semble moins froide. Peut-être, car il y a moins de vent. Puisqu’il n’avait pas trouvé de stand vendant de vin, il se résigna à acheter un chocolat chaud pour se réchauffer. Remarquant que Zharia grelottait, il commença à fouiller dans son sac pour acheter une deuxième tasse. Après, mure réflexion, il décida d’acheter des tasses pour tout le monde. Il espérait seulement que personne n’allait se joindre au groupe entre temps. Après tout, Luz avait tenté d’initier une conversation avec d’autres personnes dans le ballon. Il revint rapidement avec un plateau de boisson sucré pour tout le monde. Personne ne s’était incrusté le temps qu’il achète les boissons. Parfait ! Il y en avait assez pour tout le monde.
« Voilà du chocolat chaud pour tout le monde pour se réchauffer. »
Il prit une tasse qu’il serra entre ses doigts réchauffant ses mains qui étaient glacées.
Image de profil : Succès : Cristaux : 1227MESSAGES : 105COULEUR : #0000ffJin HidoruLe Châtieur Ardent
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Seulement à la Reine ? Hm, d'accord, noté. De toute façon j'me vois pas faire les risettes et compagnie à chaque poulette que j'croise. En fait, je crois que seule Haru a le droit à ce genre de traitement. Et maintenant la Reine, mais dans son cas c'est parce que j'aime les grands espaces, et que la prison c'est pas mon truc, pour avoir essayé quelques fois. Ça m'a coûté peut-être pffff... Des dizaines de bouquins ? Ouais, probablement. Et, mine de rien, une certaine passion pour la lecture. Qui pourrait penser ici que le Châtieur Ardent a le plaisir coupable de lire des histoires à l'eau de rose ? Personne, et c'est tant mieux.
- Alors la Reine est taquine ? Tiens, j'me demande de qui elle a pris à ce niveau... Ou bien, est-elle le mentor d'une femme que je connais très bien ?
Des souvenirs me reviennent finalement. Ses aveux, il y a bien longtemps. Je sais qui elle est pour elle. Quelqu'un qu'elle estime beaucoup et dans le sens le plus intime du terme. Maintenant que je l'ai eu en face, j'comprends totalement pour moi. En fait, c'est à ce demander pourquoi elle a choisie un prolo' comme moi. Un amour impossible d'un côté, mais il l'était tout autant avec moi ? Haru Du Lys, j'espère un jour vous comprendre. Une moue mélancolique dessine mes traits durant une seconde, puis j'essaie de balayer ça de la main. C'est loin derrière nous, maintenant. Et elle m'a assez prouvé les choses. Même devant ses propres parents. Y'a une Milan dans le merdier, faut pas l'oublier. Ma main toujours dans la sienne elle me guide dans une direction, mentionnant une potentielle danse et putain... Qu'est-ce que j'suis mauvais. Mais... Qu'est-ce qu'elle voulait dire par "faire autre chose avant" ? Jin Hidoru, va falloir faire fonctionner la comprenette bourgeoise un jour. J'suis à la bourre depuis deux ans, là.
Alors la déco défile, et effectivement, c'est là où je vois toute la beauté du coin. C'est canon, ouais. Aux couleurs du solstice, mais aux textures si précieuses ; des tapisseries de velours, des ornements d'or, le genre de décoration qui ne finira jamais dans mon salon. Ça donnait une teinte plus festive au palais, tout le monde, ensemble, peu importe leur rang, dans le même cadre.
Finalement, c'est bien plus beau que ce que je le croyais.
Et encore plus beau, bien plus appétissant, son sourire. Le mien devenait carnassier, je minaudais en jouant la fausse candeur, un millier d'idées lubriques me traversant la caboche.
- Tu as raison, la tranquillité c'est bien aussi.
J'détaille sans mal l'immense sapin lorsque nous arrivons dans le bâtiment des ministres. Ce bâtiment que je connais très bien finalement. Combien de fois j'y suis allé ? Oh, bien trop pour compter sur mes dix doigts. Mais, pas foutu de reconnaître l'aile tant le changement est radical. J'aime bien, surtout quand il y a du rouge, étrangement. J'écoute alors Haru, et c'était bizarrement la pensée qui me traversait à l'instant. Passer du temps avec des gens qu'on aime. Ouais.
Puis, la crispation. Une danse. Là, maintenant.
- Euh... Je...
Oh, et puis merde. Elle me connaît maintenant, et pis j'sais pas mentir.
- J'ai jamais vraiment pris des leçons de danse. Par contre, j'avais l'habitude de danser avec ma mère à chaque solstice. Depuis tout petit, en fait.
Tous les deux comme deux clodos dans une maison en ruine, on mangeait ce que le peu de pognon qu'on avait nous le permettait. Ça nous empêchait pas de se taper de grosses marrades. Et, passer du temps en famille, même avec un père canné et une sœur disparue. Il ne restait que nous, mais nous sommes encore une famille.
- Autant dire que c'est très laborieux. Mais...
En saisissant sa main gauche, mon autre main finie dans le creux de son dos, j'finis par lui sourire.
- ...Je peux toujours essayer ? Pis, c'est l'occasion, non ?
L’amour rend débile, hein ?
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Cristaux : 1760MESSAGES : 801COULEUR : #ff6600Hals GatzaNoble
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Il est prévenant l’homme qu’elle vient de percuter, cela lui arrache un bout de rire sans aucune difficulté. Ce n’est pas comme si c’était bien compliqué de base de l’amuser. Par contre, un vent froid se met à souffler et elle grelot en le sentant. L’air n’est pas le même au archipel le. Elle prend un châle dans son sac pour le mettre sur ses épaules et se réchauffe un peu avant de répondre. Rien ne presse, même avec l’ambiance festive.
— Rien de cassé, merci de vous en inquiéter. En soi c’est vraiment de ma faute, j’étais un peu trop prise dans ma prise de notes. Il y a tellement à dire sur ce lieu et… excusez-moi, je m’emporte alors que vous avez certainement encore beaucoup à faire. Franchement, je manque cruellement de savoir vivre aujourd’hui.
Turquoise se met à renifler le… loup ? C’était bien un loup n’est-ce pas ? Toute l’attention de Pariza se tourne vers l’animal et il y a une curiosité évidente sur l’animal. Autant, les familiers elle arrivait à voir la domestication sans soucis avec le lien de familier, autant un animal sans lien de familier avait toujours quelque chose d’unique en soi. Puis, surtout, il avait l’air détendu malgré l’agitation autour et les passants le frôlant parfois sans même y faire attention sur le moment.
— C’est bien un loup au fait ? Je ne me trompe pas ? Excusez-moi, ce n’est pas courant et… Il a l’air tellement calme.
Tellement calme par rapport à ce qu’un animal sauvage donnerait en plein milieu de la capitale un jour de Festival et… Elle se stop dans sa réflexion pour se tourner vers son interlocuteur.
— Il lui faut peut-être un peu plus de calme que là tout de suite… Désolé, vraiment, je vous importune avec mes excuses.
Pourtant la curiosité reste et ce n’est pas elle qui fait le premier mouvement pour partir. Non, elle fixe l’animal, son familier, une petite bleulette, aussi par la même occasion.
— Rien de cassé, merci de vous en inquiéter. En soi c’est vraiment de ma faute, j’étais un peu trop prise dans ma prise de notes. Il y a tellement à dire sur ce lieu et… excusez-moi, je m’emporte alors que vous avez certainement encore beaucoup à faire. Franchement, je manque cruellement de savoir vivre aujourd’hui.
Turquoise se met à renifler le… loup ? C’était bien un loup n’est-ce pas ? Toute l’attention de Pariza se tourne vers l’animal et il y a une curiosité évidente sur l’animal. Autant, les familiers elle arrivait à voir la domestication sans soucis avec le lien de familier, autant un animal sans lien de familier avait toujours quelque chose d’unique en soi. Puis, surtout, il avait l’air détendu malgré l’agitation autour et les passants le frôlant parfois sans même y faire attention sur le moment.
— C’est bien un loup au fait ? Je ne me trompe pas ? Excusez-moi, ce n’est pas courant et… Il a l’air tellement calme.
Tellement calme par rapport à ce qu’un animal sauvage donnerait en plein milieu de la capitale un jour de Festival et… Elle se stop dans sa réflexion pour se tourner vers son interlocuteur.
— Il lui faut peut-être un peu plus de calme que là tout de suite… Désolé, vraiment, je vous importune avec mes excuses.
Pourtant la curiosité reste et ce n’est pas elle qui fait le premier mouvement pour partir. Non, elle fixe l’animal, son familier, une petite bleulette, aussi par la même occasion.
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Succès : Cristaux : 817MESSAGES : 171COULEUR : #Ivara Streÿk& Inaros
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La catastrophe avait été évitée et, dans une dimension parallèle, elle avait peut-être loupé une centaine de grelots mais elle s'en fichait. Probablement. On en sait rien, puisque je viens de vous dire que c'était dans une dimension parallèle.
Ivara resserra, encore une fois, les pans de son manteau sur elle. Décidément, il faisait de plus en plus froid dans ce Royaume. Le contact de Zahria fut des plus réconfortants, aussi bien physiquement que mentalement. Sur ce dernier point, la situation était très compliquée en ce moment. Elle avait fui. Ils avaient essayé de se détruire l'un l'autre. Ils ne se supportaient plus. Ils n'y arrivaient plus. Mais ce n'était pas le moment d'en parler, pas l'endroit pour l'expliquer. Comme elle était reconnaissante à Zahria de ne pas agir comme Violette, l'autre demi-sœur d'Inaros ! Elle regrettait de ne pas l'avoir rencontré plus souvent. Peut-être que, si les choses avaient été différentes, elle aurait pu être d'un encore plus grand secours. Elle était aussi habitée par les tendres sentiments qu'éprouvait Inaros envers ce membre de sa famille qu'il n'avait connu que sur le tard. Dans le regard de la sculptrice, Zahria pouvait sans peine y deviner la tendresse que partageait ces deux âmes à son encontre.
- Je lui transmettrai l'invitation, répliqua-t-elle avec un sourire un peu plus timide.
Car, c'était bien l'une des raisons pour lesquelles elle était à bout : ne pas pouvoir choisir de faire ce qu'elle ferait le lendemain matin. Cette invitation à la Volière - pour peu que Luz soit d'accord - était des plus plaisantes, mais elle ne pouvait même pas choisir de l'accepter ou de la refuser. Elle était obligée de laisser sa place. Encore. Elle ferma les yeux un instant, plus las qu'attristée désormais.
Lorsqu'elle les rouvrit, le charmant médecin leur offrait à chacun une tasse de chocolat chaud. Elle s'empara de sa tasse, ne manquant pas de le remercier chaleureusement, puis elle profita de la chaleur du liquide pour se réchauffer.
- Tu veux attendre un peu ces Messieurs-Dames Hara... Haragu... Garaguin ? demanda-t-elle à la rouquine. Après tout, ils n'avaient pas pu se saluer correctement. Ou alors on peut commencer à marcher vers le Palais, puisque la majorité semble d'accord pour y passer ?
Elle jeta un regard interrogateur à l'assemblée, le bras de Zahria toujours solidement ancré au sien. Au loin, elle apercevait d'autres personnes - qu'elle ne connaissait pas spécialement - mais, dans un coin de sa tête, elle ne pouvait s'empêcher de se demander quelle était leur vie et leurs occupations en ce soir de Solstice.
Ivara resserra, encore une fois, les pans de son manteau sur elle. Décidément, il faisait de plus en plus froid dans ce Royaume. Le contact de Zahria fut des plus réconfortants, aussi bien physiquement que mentalement. Sur ce dernier point, la situation était très compliquée en ce moment. Elle avait fui. Ils avaient essayé de se détruire l'un l'autre. Ils ne se supportaient plus. Ils n'y arrivaient plus. Mais ce n'était pas le moment d'en parler, pas l'endroit pour l'expliquer. Comme elle était reconnaissante à Zahria de ne pas agir comme Violette, l'autre demi-sœur d'Inaros ! Elle regrettait de ne pas l'avoir rencontré plus souvent. Peut-être que, si les choses avaient été différentes, elle aurait pu être d'un encore plus grand secours. Elle était aussi habitée par les tendres sentiments qu'éprouvait Inaros envers ce membre de sa famille qu'il n'avait connu que sur le tard. Dans le regard de la sculptrice, Zahria pouvait sans peine y deviner la tendresse que partageait ces deux âmes à son encontre.
- Je lui transmettrai l'invitation, répliqua-t-elle avec un sourire un peu plus timide.
Car, c'était bien l'une des raisons pour lesquelles elle était à bout : ne pas pouvoir choisir de faire ce qu'elle ferait le lendemain matin. Cette invitation à la Volière - pour peu que Luz soit d'accord - était des plus plaisantes, mais elle ne pouvait même pas choisir de l'accepter ou de la refuser. Elle était obligée de laisser sa place. Encore. Elle ferma les yeux un instant, plus las qu'attristée désormais.
Lorsqu'elle les rouvrit, le charmant médecin leur offrait à chacun une tasse de chocolat chaud. Elle s'empara de sa tasse, ne manquant pas de le remercier chaleureusement, puis elle profita de la chaleur du liquide pour se réchauffer.
- Tu veux attendre un peu ces Messieurs-Dames Hara... Haragu... Garaguin ? demanda-t-elle à la rouquine. Après tout, ils n'avaient pas pu se saluer correctement. Ou alors on peut commencer à marcher vers le Palais, puisque la majorité semble d'accord pour y passer ?
Elle jeta un regard interrogateur à l'assemblée, le bras de Zahria toujours solidement ancré au sien. Au loin, elle apercevait d'autres personnes - qu'elle ne connaissait pas spécialement - mais, dans un coin de sa tête, elle ne pouvait s'empêcher de se demander quelle était leur vie et leurs occupations en ce soir de Solstice.
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